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Les Équilibristes

Florence Sandis - Trouver sa singularité & briser le plafond de verre

Florence Sandis - Trouver sa singularité & briser le plafond de verre

42min |31/10/2019
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Description

« C’est entre 25 et 30 ans qu’on est identifié dans les entreprises comme talent, et c’est à ce moment-là qu’on fait des enfants. Et c’est là qu’on décroche, souvent on ne s’en rend compte qu’à 35-40 ans. Et tout mon travail c’est de pousser les entreprises et les jeunes femmes à prendre les mesures en amont pour ne pas décrocher, ou en tout cas pour faire ce qu’elles souhaitent. Il n’y a pas d’injonction à occuper des hauts postes, c’est un choix de vie, mais en tout cas de ne pas se limiter pour des mauvaises raisons. »

Florence Sandis, mon invitée du jour, est conférencière, coach, Présidente du Media Club’Elles, et fondatrice de la société « Brisez le plafond de verre », du nom de son livre publié il y a 2 ans.

C’est un livre que j’avais lu à sa sortie, alors que j’étais en plein dans le tourbillon des premières années de mon fils et des exigences liées au poste que j’occupais. Tiraillée, voilà comment je me sentais.

Je me souviens avoir été soulagée de trouver le livre de Florence : je lisais plein de choses venant des US sur le sujet, mais tout ce que je trouvais en français était soit très pessimiste, ressassant l’idée que concilier carrière et vie pro était impossible, soit à côté du concret de la réalité.

C’est un livre qui se savoure, que l’on lit en fonction de ses besoins du moment, qui propose des tests et exercices de réflexion. On le pose, on décante ce que l’on a lu et appris, et on y revient.

 « Je crois très profondément que notre singularité est la clé de notre succès. On est tous uniques, on a nos rêves, notre culture, la famille dans laquelle on est nés, les obstacles qu’on a eus, la façon dont on les a dépassés, nos rêves, notre sensibilité, tout ça nous rend uniques. C’est ce qui fait qu’on ne va jamais faire un job de la même façon qu’une autre personne. Et si on arrive à identifier cette plus-value, cette différence, et si on arrive à capitaliser dessus, à l’exploiter, on sera forcément bons parce qu’on sera nous-même. Mais souvent, en fait, c’est comme les oignons, il y a plein de couches, on a voulu répondre aux injonctions de tout le monde, les parents, la société, ce qu’on pensait être bien, valorisé et on a fait des choix sans se demander si ça correspondait à nos qualités profondes. »

L’idée phare de Florence, c’est que nous avons toutes et tous une singularité et que la clé du succès est de l’identifier et de la mettre en valeur. Ce n’est pas simple, tant la vie nous la fait parfois perdre de vue – mais une fois qu’on l’a (re)trouvée, quelle liberté, quelle joie !

Avec Florence, on a parlé des injonctions internalisées par les femmes, du faux choix entre carrière et vie personnelle, de l’importance de l’authenticité, de prendre soin de soi (ça fait jamais de mal de le rappeler), du rôle clé du plaisir dans ses choix, et de l’humour.

« On a un terme en grec, c’est « kefi », c’est l’envie, vraiment l’envie profonde, le truc qui nous anime, et ça c’est plus important que d’essayer de tout faire. On ne pourra pas tout faire de toute façon, il faudra faire des choix, il vaut mieux faire ce dont on a vraiment envie »

J’ai adoré cet échange avec Florence, j’y ai retrouvé le même esprit positif que j’avais tant apprécié dans son livre.

Vous êtes de plus en plus nombreux et nombreuses à partager le podcast autour de vous, alors un grand merci ! Tous vos partages m’aident vraiment à faire connaître ce travail le plus largement possible.

En avant les Équilibristes !

Sandra

Pour écouter Les Équilibristes, rendez-vous sur Apple Podcasts, Spotify ou ici !


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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« C’est entre 25 et 30 ans qu’on est identifié dans les entreprises comme talent, et c’est à ce moment-là qu’on fait des enfants. Et c’est là qu’on décroche, souvent on ne s’en rend compte qu’à 35-40 ans. Et tout mon travail c’est de pousser les entreprises et les jeunes femmes à prendre les mesures en amont pour ne pas décrocher, ou en tout cas pour faire ce qu’elles souhaitent. Il n’y a pas d’injonction à occuper des hauts postes, c’est un choix de vie, mais en tout cas de ne pas se limiter pour des mauvaises raisons. »

Florence Sandis, mon invitée du jour, est conférencière, coach, Présidente du Media Club’Elles, et fondatrice de la société « Brisez le plafond de verre », du nom de son livre publié il y a 2 ans.

C’est un livre que j’avais lu à sa sortie, alors que j’étais en plein dans le tourbillon des premières années de mon fils et des exigences liées au poste que j’occupais. Tiraillée, voilà comment je me sentais.

Je me souviens avoir été soulagée de trouver le livre de Florence : je lisais plein de choses venant des US sur le sujet, mais tout ce que je trouvais en français était soit très pessimiste, ressassant l’idée que concilier carrière et vie pro était impossible, soit à côté du concret de la réalité.

C’est un livre qui se savoure, que l’on lit en fonction de ses besoins du moment, qui propose des tests et exercices de réflexion. On le pose, on décante ce que l’on a lu et appris, et on y revient.

 « Je crois très profondément que notre singularité est la clé de notre succès. On est tous uniques, on a nos rêves, notre culture, la famille dans laquelle on est nés, les obstacles qu’on a eus, la façon dont on les a dépassés, nos rêves, notre sensibilité, tout ça nous rend uniques. C’est ce qui fait qu’on ne va jamais faire un job de la même façon qu’une autre personne. Et si on arrive à identifier cette plus-value, cette différence, et si on arrive à capitaliser dessus, à l’exploiter, on sera forcément bons parce qu’on sera nous-même. Mais souvent, en fait, c’est comme les oignons, il y a plein de couches, on a voulu répondre aux injonctions de tout le monde, les parents, la société, ce qu’on pensait être bien, valorisé et on a fait des choix sans se demander si ça correspondait à nos qualités profondes. »

L’idée phare de Florence, c’est que nous avons toutes et tous une singularité et que la clé du succès est de l’identifier et de la mettre en valeur. Ce n’est pas simple, tant la vie nous la fait parfois perdre de vue – mais une fois qu’on l’a (re)trouvée, quelle liberté, quelle joie !

Avec Florence, on a parlé des injonctions internalisées par les femmes, du faux choix entre carrière et vie personnelle, de l’importance de l’authenticité, de prendre soin de soi (ça fait jamais de mal de le rappeler), du rôle clé du plaisir dans ses choix, et de l’humour.

« On a un terme en grec, c’est « kefi », c’est l’envie, vraiment l’envie profonde, le truc qui nous anime, et ça c’est plus important que d’essayer de tout faire. On ne pourra pas tout faire de toute façon, il faudra faire des choix, il vaut mieux faire ce dont on a vraiment envie »

J’ai adoré cet échange avec Florence, j’y ai retrouvé le même esprit positif que j’avais tant apprécié dans son livre.

Vous êtes de plus en plus nombreux et nombreuses à partager le podcast autour de vous, alors un grand merci ! Tous vos partages m’aident vraiment à faire connaître ce travail le plus largement possible.

En avant les Équilibristes !

Sandra

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« C’est entre 25 et 30 ans qu’on est identifié dans les entreprises comme talent, et c’est à ce moment-là qu’on fait des enfants. Et c’est là qu’on décroche, souvent on ne s’en rend compte qu’à 35-40 ans. Et tout mon travail c’est de pousser les entreprises et les jeunes femmes à prendre les mesures en amont pour ne pas décrocher, ou en tout cas pour faire ce qu’elles souhaitent. Il n’y a pas d’injonction à occuper des hauts postes, c’est un choix de vie, mais en tout cas de ne pas se limiter pour des mauvaises raisons. »

Florence Sandis, mon invitée du jour, est conférencière, coach, Présidente du Media Club’Elles, et fondatrice de la société « Brisez le plafond de verre », du nom de son livre publié il y a 2 ans.

C’est un livre que j’avais lu à sa sortie, alors que j’étais en plein dans le tourbillon des premières années de mon fils et des exigences liées au poste que j’occupais. Tiraillée, voilà comment je me sentais.

Je me souviens avoir été soulagée de trouver le livre de Florence : je lisais plein de choses venant des US sur le sujet, mais tout ce que je trouvais en français était soit très pessimiste, ressassant l’idée que concilier carrière et vie pro était impossible, soit à côté du concret de la réalité.

C’est un livre qui se savoure, que l’on lit en fonction de ses besoins du moment, qui propose des tests et exercices de réflexion. On le pose, on décante ce que l’on a lu et appris, et on y revient.

 « Je crois très profondément que notre singularité est la clé de notre succès. On est tous uniques, on a nos rêves, notre culture, la famille dans laquelle on est nés, les obstacles qu’on a eus, la façon dont on les a dépassés, nos rêves, notre sensibilité, tout ça nous rend uniques. C’est ce qui fait qu’on ne va jamais faire un job de la même façon qu’une autre personne. Et si on arrive à identifier cette plus-value, cette différence, et si on arrive à capitaliser dessus, à l’exploiter, on sera forcément bons parce qu’on sera nous-même. Mais souvent, en fait, c’est comme les oignons, il y a plein de couches, on a voulu répondre aux injonctions de tout le monde, les parents, la société, ce qu’on pensait être bien, valorisé et on a fait des choix sans se demander si ça correspondait à nos qualités profondes. »

L’idée phare de Florence, c’est que nous avons toutes et tous une singularité et que la clé du succès est de l’identifier et de la mettre en valeur. Ce n’est pas simple, tant la vie nous la fait parfois perdre de vue – mais une fois qu’on l’a (re)trouvée, quelle liberté, quelle joie !

Avec Florence, on a parlé des injonctions internalisées par les femmes, du faux choix entre carrière et vie personnelle, de l’importance de l’authenticité, de prendre soin de soi (ça fait jamais de mal de le rappeler), du rôle clé du plaisir dans ses choix, et de l’humour.

« On a un terme en grec, c’est « kefi », c’est l’envie, vraiment l’envie profonde, le truc qui nous anime, et ça c’est plus important que d’essayer de tout faire. On ne pourra pas tout faire de toute façon, il faudra faire des choix, il vaut mieux faire ce dont on a vraiment envie »

J’ai adoré cet échange avec Florence, j’y ai retrouvé le même esprit positif que j’avais tant apprécié dans son livre.

Vous êtes de plus en plus nombreux et nombreuses à partager le podcast autour de vous, alors un grand merci ! Tous vos partages m’aident vraiment à faire connaître ce travail le plus largement possible.

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« C’est entre 25 et 30 ans qu’on est identifié dans les entreprises comme talent, et c’est à ce moment-là qu’on fait des enfants. Et c’est là qu’on décroche, souvent on ne s’en rend compte qu’à 35-40 ans. Et tout mon travail c’est de pousser les entreprises et les jeunes femmes à prendre les mesures en amont pour ne pas décrocher, ou en tout cas pour faire ce qu’elles souhaitent. Il n’y a pas d’injonction à occuper des hauts postes, c’est un choix de vie, mais en tout cas de ne pas se limiter pour des mauvaises raisons. »

Florence Sandis, mon invitée du jour, est conférencière, coach, Présidente du Media Club’Elles, et fondatrice de la société « Brisez le plafond de verre », du nom de son livre publié il y a 2 ans.

C’est un livre que j’avais lu à sa sortie, alors que j’étais en plein dans le tourbillon des premières années de mon fils et des exigences liées au poste que j’occupais. Tiraillée, voilà comment je me sentais.

Je me souviens avoir été soulagée de trouver le livre de Florence : je lisais plein de choses venant des US sur le sujet, mais tout ce que je trouvais en français était soit très pessimiste, ressassant l’idée que concilier carrière et vie pro était impossible, soit à côté du concret de la réalité.

C’est un livre qui se savoure, que l’on lit en fonction de ses besoins du moment, qui propose des tests et exercices de réflexion. On le pose, on décante ce que l’on a lu et appris, et on y revient.

 « Je crois très profondément que notre singularité est la clé de notre succès. On est tous uniques, on a nos rêves, notre culture, la famille dans laquelle on est nés, les obstacles qu’on a eus, la façon dont on les a dépassés, nos rêves, notre sensibilité, tout ça nous rend uniques. C’est ce qui fait qu’on ne va jamais faire un job de la même façon qu’une autre personne. Et si on arrive à identifier cette plus-value, cette différence, et si on arrive à capitaliser dessus, à l’exploiter, on sera forcément bons parce qu’on sera nous-même. Mais souvent, en fait, c’est comme les oignons, il y a plein de couches, on a voulu répondre aux injonctions de tout le monde, les parents, la société, ce qu’on pensait être bien, valorisé et on a fait des choix sans se demander si ça correspondait à nos qualités profondes. »

L’idée phare de Florence, c’est que nous avons toutes et tous une singularité et que la clé du succès est de l’identifier et de la mettre en valeur. Ce n’est pas simple, tant la vie nous la fait parfois perdre de vue – mais une fois qu’on l’a (re)trouvée, quelle liberté, quelle joie !

Avec Florence, on a parlé des injonctions internalisées par les femmes, du faux choix entre carrière et vie personnelle, de l’importance de l’authenticité, de prendre soin de soi (ça fait jamais de mal de le rappeler), du rôle clé du plaisir dans ses choix, et de l’humour.

« On a un terme en grec, c’est « kefi », c’est l’envie, vraiment l’envie profonde, le truc qui nous anime, et ça c’est plus important que d’essayer de tout faire. On ne pourra pas tout faire de toute façon, il faudra faire des choix, il vaut mieux faire ce dont on a vraiment envie »

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Vous êtes de plus en plus nombreux et nombreuses à partager le podcast autour de vous, alors un grand merci ! Tous vos partages m’aident vraiment à faire connaître ce travail le plus largement possible.

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