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Les histoires de Licornou

Le miroir Arc-en-ciel

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04min |01/05/2025|

12

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Description

Caleb le zèbre admire tant son ami Licornou qu’il décide de tout faire pour lui ressembler. Mais est-ce vraiment en devenant une autre personne qu’on se fait aimer ? Une tendre aventure pleine de couleurs, d’amitié et de découvertes sur soi, pour apprendre à s’aimer tel qu’on est.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Le miroir arc-en-ciel Dans la cour de récréation de l'école de l'Arche de Noé, les cris de joie résonnaient comme une belle chanson. Tout le monde jouait, courait, riait. Caleb, lui, observait en silence son ami Licornou. Licornou était drôle, généreux et toujours entouré. Caleb, un petit zèbre discret, le regardait avec admiration. « Tout le monde l'aime. Si seulement j'étais comme lui, pensa-t-il. » Caleb eut une idée. Et s'il faisait comme les cornous ? Peut-être que lui aussi on l'aimerait autant. « Demain, je serai aussi gentil et serviable que lui, » se promit-il en rentrant dans la salle de classe. Il ne savait pas encore que ce n'est pas en imitant qu'on devient spécial. Le lendemain matin, dans la cour, Caleb courait dans tous les sens. « Tiens, une pomme pour toi ! » dit-il à Hugues de la Reynette. « Laisse-moi t'aider à porter ton cartable ! » propose-t-il à Bernadette la Chouette. « Tu veux que je répare ton cerf-volant ? » demanda-t-il au paresseux. Malgré tout, personne ne semblait vraiment le remarquer. Caleb s'assit sous un arbre. Il avait le souffle court et le cœur un peu lourd. « Je fais tout comme Licorneau ! » « Pourquoi personne ne me regarde comme lui ? » réfléchissa-t-il. Huguette, la rainette, s'approcha timidement. « Merci pour la pomme, Caleb ! » Mais elle s'éloigna aussitôt sans un mot de plus. Le matin suivant, Caleb arriva dans la cour avec une carotte attachée au front par un ruban coloré. « Bonjour tout le monde ! » « Je suis une licorne ! » lança-t-il tout fier. Titouan le toucan cligna des yeux. « Tu es sûr ? » « Oui, regardez ma corne magique ! » Mais certains ricanèrent, tandis que d'autres s'éloignèrent. Mais Caleb ne s'arrêta pas là. Il rentra chez lui avec un plan, devenir une vraie fausse licorne. Il se repénit tout en blanc, ajouta des paillettes, colora sa crinière en arc-en-ciel avec des feutres. Demain, ils me verront. « Enfin comme licorneau ! » pensa-t-il avec espoir. Le lendemain, la course figea quand Caleb arriva. « Ouah ! » souffla Michael l'écureuil. « Tu brides mille couleurs ! » s'exclama Lulu la tortue. Caleb bomba le torse. « Je suis une autre licorne ! » Mais bientôt, de gros nuages arrivèrent. Une goutte, deux gouttes, puis toute une pluie fine se mit à tomber. Peu à peu, la peinture coula, les paillettes disparurent, la carotte tomba. « Oh non ! » chuchota Caleb. Et tous virent les rayures réapparaître. Caleb, trempé, n'osa plus bouger. Il sentait les regards sur lui et son cœur battait très fort. « Je voulais juste être aimé ! » dit-il d'une toute petite voix. Un silence envahit la cour. Puis une voix familière répondit. « Mais tu es déjà aimé, Caleb ! » Licorneau posa une patte douce sur l'épaule de Caleb. « Tu n'as pas besoin de changer. Tu es gentil, drôle, attentionné. Tu es toi, et c'est ce qui te rend unique. » Caleb leva les yeux surpris. « Tu le penses vraiment ? » « J'en suis sûr, » répondit Licorneau d'une voix rassurante. Les autres animaux vinrent à leur tour. « On aime ton rire, Caleb ! Et tes câlins aussi ! Et ton gâteau aux bananes ! » Le petit zèbre sourit pour la première fois de la journée. Il se sentait bien, vraiment bien. Le soleil revint et un arc-en-ciel apparut dans le ciel d'Animalia. « Tu vois, » dit les cornous, « ton cœur brille plus fort que toutes les cornes du monde. » Caleb sourit, les rayures bien en place. Il n'avait plus besoin de se cacher. Il était Caleb. Et c'était parfait. Fin. Morale de cette histoire ? On a tous quelque chose d'unique en soi. Ce n'est pas en copiant les autres qu'on trouve sa place, mais en laissant briller ce qu'on a de plus précieux, son vrai soi. Caleb l'a compris, et maintenant, il sait qu'il n'a jamais eu besoin d'être quelqu'un d'autre pour être aimé. Parce qu'être soi, c'est déjà magique.

Description

Caleb le zèbre admire tant son ami Licornou qu’il décide de tout faire pour lui ressembler. Mais est-ce vraiment en devenant une autre personne qu’on se fait aimer ? Une tendre aventure pleine de couleurs, d’amitié et de découvertes sur soi, pour apprendre à s’aimer tel qu’on est.


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  • Speaker #0

    Le miroir arc-en-ciel Dans la cour de récréation de l'école de l'Arche de Noé, les cris de joie résonnaient comme une belle chanson. Tout le monde jouait, courait, riait. Caleb, lui, observait en silence son ami Licornou. Licornou était drôle, généreux et toujours entouré. Caleb, un petit zèbre discret, le regardait avec admiration. « Tout le monde l'aime. Si seulement j'étais comme lui, pensa-t-il. » Caleb eut une idée. Et s'il faisait comme les cornous ? Peut-être que lui aussi on l'aimerait autant. « Demain, je serai aussi gentil et serviable que lui, » se promit-il en rentrant dans la salle de classe. Il ne savait pas encore que ce n'est pas en imitant qu'on devient spécial. Le lendemain matin, dans la cour, Caleb courait dans tous les sens. « Tiens, une pomme pour toi ! » dit-il à Hugues de la Reynette. « Laisse-moi t'aider à porter ton cartable ! » propose-t-il à Bernadette la Chouette. « Tu veux que je répare ton cerf-volant ? » demanda-t-il au paresseux. Malgré tout, personne ne semblait vraiment le remarquer. Caleb s'assit sous un arbre. Il avait le souffle court et le cœur un peu lourd. « Je fais tout comme Licorneau ! » « Pourquoi personne ne me regarde comme lui ? » réfléchissa-t-il. Huguette, la rainette, s'approcha timidement. « Merci pour la pomme, Caleb ! » Mais elle s'éloigna aussitôt sans un mot de plus. Le matin suivant, Caleb arriva dans la cour avec une carotte attachée au front par un ruban coloré. « Bonjour tout le monde ! » « Je suis une licorne ! » lança-t-il tout fier. Titouan le toucan cligna des yeux. « Tu es sûr ? » « Oui, regardez ma corne magique ! » Mais certains ricanèrent, tandis que d'autres s'éloignèrent. Mais Caleb ne s'arrêta pas là. Il rentra chez lui avec un plan, devenir une vraie fausse licorne. Il se repénit tout en blanc, ajouta des paillettes, colora sa crinière en arc-en-ciel avec des feutres. Demain, ils me verront. « Enfin comme licorneau ! » pensa-t-il avec espoir. Le lendemain, la course figea quand Caleb arriva. « Ouah ! » souffla Michael l'écureuil. « Tu brides mille couleurs ! » s'exclama Lulu la tortue. Caleb bomba le torse. « Je suis une autre licorne ! » Mais bientôt, de gros nuages arrivèrent. Une goutte, deux gouttes, puis toute une pluie fine se mit à tomber. Peu à peu, la peinture coula, les paillettes disparurent, la carotte tomba. « Oh non ! » chuchota Caleb. Et tous virent les rayures réapparaître. Caleb, trempé, n'osa plus bouger. Il sentait les regards sur lui et son cœur battait très fort. « Je voulais juste être aimé ! » dit-il d'une toute petite voix. Un silence envahit la cour. Puis une voix familière répondit. « Mais tu es déjà aimé, Caleb ! » Licorneau posa une patte douce sur l'épaule de Caleb. « Tu n'as pas besoin de changer. Tu es gentil, drôle, attentionné. Tu es toi, et c'est ce qui te rend unique. » Caleb leva les yeux surpris. « Tu le penses vraiment ? » « J'en suis sûr, » répondit Licorneau d'une voix rassurante. Les autres animaux vinrent à leur tour. « On aime ton rire, Caleb ! Et tes câlins aussi ! Et ton gâteau aux bananes ! » Le petit zèbre sourit pour la première fois de la journée. Il se sentait bien, vraiment bien. Le soleil revint et un arc-en-ciel apparut dans le ciel d'Animalia. « Tu vois, » dit les cornous, « ton cœur brille plus fort que toutes les cornes du monde. » Caleb sourit, les rayures bien en place. Il n'avait plus besoin de se cacher. Il était Caleb. Et c'était parfait. Fin. Morale de cette histoire ? On a tous quelque chose d'unique en soi. Ce n'est pas en copiant les autres qu'on trouve sa place, mais en laissant briller ce qu'on a de plus précieux, son vrai soi. Caleb l'a compris, et maintenant, il sait qu'il n'a jamais eu besoin d'être quelqu'un d'autre pour être aimé. Parce qu'être soi, c'est déjà magique.

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Caleb le zèbre admire tant son ami Licornou qu’il décide de tout faire pour lui ressembler. Mais est-ce vraiment en devenant une autre personne qu’on se fait aimer ? Une tendre aventure pleine de couleurs, d’amitié et de découvertes sur soi, pour apprendre à s’aimer tel qu’on est.


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Caleb le zèbre admire tant son ami Licornou qu’il décide de tout faire pour lui ressembler. Mais est-ce vraiment en devenant une autre personne qu’on se fait aimer ? Une tendre aventure pleine de couleurs, d’amitié et de découvertes sur soi, pour apprendre à s’aimer tel qu’on est.


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  • Speaker #0

    Le miroir arc-en-ciel Dans la cour de récréation de l'école de l'Arche de Noé, les cris de joie résonnaient comme une belle chanson. Tout le monde jouait, courait, riait. Caleb, lui, observait en silence son ami Licornou. Licornou était drôle, généreux et toujours entouré. Caleb, un petit zèbre discret, le regardait avec admiration. « Tout le monde l'aime. Si seulement j'étais comme lui, pensa-t-il. » Caleb eut une idée. Et s'il faisait comme les cornous ? Peut-être que lui aussi on l'aimerait autant. « Demain, je serai aussi gentil et serviable que lui, » se promit-il en rentrant dans la salle de classe. Il ne savait pas encore que ce n'est pas en imitant qu'on devient spécial. Le lendemain matin, dans la cour, Caleb courait dans tous les sens. « Tiens, une pomme pour toi ! » dit-il à Hugues de la Reynette. « Laisse-moi t'aider à porter ton cartable ! » propose-t-il à Bernadette la Chouette. « Tu veux que je répare ton cerf-volant ? » demanda-t-il au paresseux. Malgré tout, personne ne semblait vraiment le remarquer. Caleb s'assit sous un arbre. Il avait le souffle court et le cœur un peu lourd. « Je fais tout comme Licorneau ! » « Pourquoi personne ne me regarde comme lui ? » réfléchissa-t-il. Huguette, la rainette, s'approcha timidement. « Merci pour la pomme, Caleb ! » Mais elle s'éloigna aussitôt sans un mot de plus. Le matin suivant, Caleb arriva dans la cour avec une carotte attachée au front par un ruban coloré. « Bonjour tout le monde ! » « Je suis une licorne ! » lança-t-il tout fier. Titouan le toucan cligna des yeux. « Tu es sûr ? » « Oui, regardez ma corne magique ! » Mais certains ricanèrent, tandis que d'autres s'éloignèrent. Mais Caleb ne s'arrêta pas là. Il rentra chez lui avec un plan, devenir une vraie fausse licorne. Il se repénit tout en blanc, ajouta des paillettes, colora sa crinière en arc-en-ciel avec des feutres. Demain, ils me verront. « Enfin comme licorneau ! » pensa-t-il avec espoir. Le lendemain, la course figea quand Caleb arriva. « Ouah ! » souffla Michael l'écureuil. « Tu brides mille couleurs ! » s'exclama Lulu la tortue. Caleb bomba le torse. « Je suis une autre licorne ! » Mais bientôt, de gros nuages arrivèrent. Une goutte, deux gouttes, puis toute une pluie fine se mit à tomber. Peu à peu, la peinture coula, les paillettes disparurent, la carotte tomba. « Oh non ! » chuchota Caleb. Et tous virent les rayures réapparaître. Caleb, trempé, n'osa plus bouger. Il sentait les regards sur lui et son cœur battait très fort. « Je voulais juste être aimé ! » dit-il d'une toute petite voix. Un silence envahit la cour. Puis une voix familière répondit. « Mais tu es déjà aimé, Caleb ! » Licorneau posa une patte douce sur l'épaule de Caleb. « Tu n'as pas besoin de changer. Tu es gentil, drôle, attentionné. Tu es toi, et c'est ce qui te rend unique. » Caleb leva les yeux surpris. « Tu le penses vraiment ? » « J'en suis sûr, » répondit Licorneau d'une voix rassurante. Les autres animaux vinrent à leur tour. « On aime ton rire, Caleb ! Et tes câlins aussi ! Et ton gâteau aux bananes ! » Le petit zèbre sourit pour la première fois de la journée. Il se sentait bien, vraiment bien. Le soleil revint et un arc-en-ciel apparut dans le ciel d'Animalia. « Tu vois, » dit les cornous, « ton cœur brille plus fort que toutes les cornes du monde. » Caleb sourit, les rayures bien en place. Il n'avait plus besoin de se cacher. Il était Caleb. Et c'était parfait. Fin. Morale de cette histoire ? On a tous quelque chose d'unique en soi. Ce n'est pas en copiant les autres qu'on trouve sa place, mais en laissant briller ce qu'on a de plus précieux, son vrai soi. Caleb l'a compris, et maintenant, il sait qu'il n'a jamais eu besoin d'être quelqu'un d'autre pour être aimé. Parce qu'être soi, c'est déjà magique.

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