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Attica Locke dans Libération : "Face à Trump, j'aurais voté pour un crapaud"

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12min |07/04/2025
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Elle s’appelle Attica, parce que ses parents, activistes pour les Droits Civiques, voulaient rendre hommage aux prisonniers noirs qui avaient organisé une mutinerie pour protester contre l’assassinat d’un militant des Black Panthers. Et Attica Locke pleure depuis le 4 novembre, le jour où Donald Trump a remporté pour la 2e fois les élections présidentielles. La romancière se livre longuement dans un entretien avec Alexandra Schwarzbrod, de Libération, qu’on a lu pour vous ce weekend, à  l’occasion de sa venue à Lyon dans le cadre du festival Quai du Polar, où elle a présenté son derier roman  “Il est long le chemin du retour” (Ed. Liana Lévi)

 

Dans ces Matins du lundi, on se souvient aussi de Billie Holiday, née le 7 avril 1915, qui voulait "chanter comme un instrument". Et on parle avec Olivier Celik, le rédacteur en chef du magazine L'Œil, d'une artiste oubliée à (re-)découvrir au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, Gabriele Münter.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Elle s’appelle Attica, parce que ses parents, activistes pour les Droits Civiques, voulaient rendre hommage aux prisonniers noirs qui avaient organisé une mutinerie pour protester contre l’assassinat d’un militant des Black Panthers. Et Attica Locke pleure depuis le 4 novembre, le jour où Donald Trump a remporté pour la 2e fois les élections présidentielles. La romancière se livre longuement dans un entretien avec Alexandra Schwarzbrod, de Libération, qu’on a lu pour vous ce weekend, à  l’occasion de sa venue à Lyon dans le cadre du festival Quai du Polar, où elle a présenté son derier roman  “Il est long le chemin du retour” (Ed. Liana Lévi)

 

Dans ces Matins du lundi, on se souvient aussi de Billie Holiday, née le 7 avril 1915, qui voulait "chanter comme un instrument". Et on parle avec Olivier Celik, le rédacteur en chef du magazine L'Œil, d'une artiste oubliée à (re-)découvrir au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, Gabriele Münter.


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Dans ces Matins du lundi, on se souvient aussi de Billie Holiday, née le 7 avril 1915, qui voulait "chanter comme un instrument". Et on parle avec Olivier Celik, le rédacteur en chef du magazine L'Œil, d'une artiste oubliée à (re-)découvrir au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, Gabriele Münter.


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Dans ces Matins du lundi, on se souvient aussi de Billie Holiday, née le 7 avril 1915, qui voulait "chanter comme un instrument". Et on parle avec Olivier Celik, le rédacteur en chef du magazine L'Œil, d'une artiste oubliée à (re-)découvrir au Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris, Gabriele Münter.


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