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Transcription
Donc on part en Martinique, on a eu comme je te disais là vraiment 15 jours de délai pour se décider ou pas on y va. Donc on s'est dit bah on y va en fait évidemment. Et donc on a vendu notre maison et on est arrivé là-bas. Plein de péripéties incroyables, vraiment des trucs, je pourrais écrire des bouquins sur la Martinique. Mais on a adoré cette expérience, c'était génial, j'ai adoré. Puis il m'appelle, il me dit bah en fait ok c'est celle-là, il nous la faut. Bon ok. Donc moi, je n'ai même pas vu la maison. Et tu n'en as pas visité d'autres ? Non, et on n'a pas visité d'autres maisons.
Tu as une maison ?
Oui, une maison.
Mais le choix de la région ?
Un peu au pif, on a croisé des critères et il fallait de l'espace, pas cher, tranquille. Et ça nous a mené un petit peu ici. Comme quoi,
il est important d'installer correctement sa maison avant d'attaquer un projet ?
En fait, oui, c'est ce qu'on se disait. Je pense que... D'avoir un endroit déjà un petit peu refuge, comme tu disais, là, je pense que ça peut être important. Parce qu'une fois qu'on est dans le rush de l'activité, trouver du temps pour faire des travaux, c'est complexe. Ici, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, c'est hyper riche en termes de relations sociales, de projets, il y a énormément de trucs. Non, non, la campagne, ce n'est pas du tout un lieu fermé où tout le monde est un peu dans son coin. Au contraire, je trouve. Bien plus qu'en ville, moi, je trouve.
Oui, finalement, en ville, tu peux avoir davantage de solitude ou d'anonymat.
Franchement, à Lyon, on ne connaissait pas nos voisins, tu vois. Et là, c'est complètement différent.
En même temps, tes voisins sont à un kilomètre ici.
Oui, c'est vrai.
Mais tu les connais.
Mais je les connais quand même. Non, et là, le plateau de millevages, c'est un espace hyper dynamique, avec plein, plein de projets. Je pense que c'est un peu unique. Après, le Périgord, je ne connais pas dans ton coin à toi. Mais je pense qu'ici, c'est un peu unique, tu vois, avec des gens hyper engagés.
Très engagés. Très,
très engagés. Et franchement, c'est génial.
Alors, très engagés dans le côté, tu vas me dire, militant, alternatif ?
Oui, oui, oui. De vie, de combat politique, enfin, tout un tas de choses.
Un peu comme en avion. Avec José Bové dans les années 70. Oui, c'est ça.
Là, cette activité, elle est chez nous. Donc, ça a vraiment beaucoup impacté notre vie personnelle. Parce qu'en fait, on ne fait plus que ça maintenant.
Mais c'est chouette ou pas ?
Mais c'est chouette, on est super contents. Et puis, même au niveau du rythme de la famille, ça permet d'avoir quand même un rythme... C'est toi qui décide. Plus de souplesse. Oui, plus de souplesse. Avec les enfants, tout ça. C'est-à-dire que les filles rentrent de l'école, moi je m'arrête au moment où elles rentrent de l'école. Je prends le goûter avec Juliette. On attend que Lou rentre du collège, qu'il rentre un peu plus tard. Voilà, on partage. Ensuite, on s'y remet, nous, parfois. Enfin non, pas parfois, tout le temps. On s'y remet après. Une fois qu'elles sont revenues, elles font un peu leurs petites activités. Voilà, chacun fait un peu son truc. Et voilà, mais ça permet, c'est ça, une souplesse. Plus on arrivait vers la rentrée, plus je me suis dit, c'est mort, on n'arrivera jamais à tout faire. Et donc, j'ai appelé l'éducation nationale. J'ai dit non, en fait, je me mets en dispo. Je vais faire des champignons. Voilà, je fais des champignons.
Ils sont tués les barges,
celles-là.
Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Aujourd'hui, je vous emmène à la rencontre de Cécile. Alors, après plusieurs années sous le soleil de la Martinique, elle a décidé, elle et sa petite famille, de revenir en métropole. Pour s'installer où ? Eh bien, sur le plateau des mille vaches. Ancienne chef de projet, ancienne professeure, eh bien, Cécile a laissé les salles de classe derrière elle. pour se lancer dans une activité qui à la fois est assez étonnante et inspirante. Cette occupation est intimement liée à la nature, au rythme de la terre et qui demande patience et délicatesse. Un métier qui selon moi évoque la magie des poussions et les forêts enchantées. Alors je vous espère curieux et curieuse de découvrir ce qui l'a poussé à entreprendre ce nouveau voyage. Alors je vous ai préparé une petite nouveauté et puis vous me direz ce que vous en pensez. Cette fois-ci... j'ai divisé l'épisode en deux parties bien distinctes. Vous trouverez une première partie où Cécile vous raconte son changement de vie en ruralité. Et sur le deuxième épisode avec Cécile, on parlera davantage de toute la partie taux professionnel. Voilà, vous me direz ce que vous en pensez. Je vous souhaite une belle écoute. Je vous remercie et je vous dis à bientôt. Ciao !
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Donc on part en Martinique, on a eu comme je te disais là vraiment 15 jours de délai pour se décider ou pas on y va. Donc on s'est dit bah on y va en fait évidemment. Et donc on a vendu notre maison et on est arrivé là-bas. Plein de péripéties incroyables, vraiment des trucs, je pourrais écrire des bouquins sur la Martinique. Mais on a adoré cette expérience, c'était génial, j'ai adoré. Puis il m'appelle, il me dit bah en fait ok c'est celle-là, il nous la faut. Bon ok. Donc moi, je n'ai même pas vu la maison. Et tu n'en as pas visité d'autres ? Non, et on n'a pas visité d'autres maisons.
Tu as une maison ?
Oui, une maison.
Mais le choix de la région ?
Un peu au pif, on a croisé des critères et il fallait de l'espace, pas cher, tranquille. Et ça nous a mené un petit peu ici. Comme quoi,
il est important d'installer correctement sa maison avant d'attaquer un projet ?
En fait, oui, c'est ce qu'on se disait. Je pense que... D'avoir un endroit déjà un petit peu refuge, comme tu disais, là, je pense que ça peut être important. Parce qu'une fois qu'on est dans le rush de l'activité, trouver du temps pour faire des travaux, c'est complexe. Ici, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, c'est hyper riche en termes de relations sociales, de projets, il y a énormément de trucs. Non, non, la campagne, ce n'est pas du tout un lieu fermé où tout le monde est un peu dans son coin. Au contraire, je trouve. Bien plus qu'en ville, moi, je trouve.
Oui, finalement, en ville, tu peux avoir davantage de solitude ou d'anonymat.
Franchement, à Lyon, on ne connaissait pas nos voisins, tu vois. Et là, c'est complètement différent.
En même temps, tes voisins sont à un kilomètre ici.
Oui, c'est vrai.
Mais tu les connais.
Mais je les connais quand même. Non, et là, le plateau de millevages, c'est un espace hyper dynamique, avec plein, plein de projets. Je pense que c'est un peu unique. Après, le Périgord, je ne connais pas dans ton coin à toi. Mais je pense qu'ici, c'est un peu unique, tu vois, avec des gens hyper engagés.
Très engagés. Très,
très engagés. Et franchement, c'est génial.
Alors, très engagés dans le côté, tu vas me dire, militant, alternatif ?
Oui, oui, oui. De vie, de combat politique, enfin, tout un tas de choses.
Un peu comme en avion. Avec José Bové dans les années 70. Oui, c'est ça.
Là, cette activité, elle est chez nous. Donc, ça a vraiment beaucoup impacté notre vie personnelle. Parce qu'en fait, on ne fait plus que ça maintenant.
Mais c'est chouette ou pas ?
Mais c'est chouette, on est super contents. Et puis, même au niveau du rythme de la famille, ça permet d'avoir quand même un rythme... C'est toi qui décide. Plus de souplesse. Oui, plus de souplesse. Avec les enfants, tout ça. C'est-à-dire que les filles rentrent de l'école, moi je m'arrête au moment où elles rentrent de l'école. Je prends le goûter avec Juliette. On attend que Lou rentre du collège, qu'il rentre un peu plus tard. Voilà, on partage. Ensuite, on s'y remet, nous, parfois. Enfin non, pas parfois, tout le temps. On s'y remet après. Une fois qu'elles sont revenues, elles font un peu leurs petites activités. Voilà, chacun fait un peu son truc. Et voilà, mais ça permet, c'est ça, une souplesse. Plus on arrivait vers la rentrée, plus je me suis dit, c'est mort, on n'arrivera jamais à tout faire. Et donc, j'ai appelé l'éducation nationale. J'ai dit non, en fait, je me mets en dispo. Je vais faire des champignons. Voilà, je fais des champignons.
Ils sont tués les barges,
celles-là.
Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Aujourd'hui, je vous emmène à la rencontre de Cécile. Alors, après plusieurs années sous le soleil de la Martinique, elle a décidé, elle et sa petite famille, de revenir en métropole. Pour s'installer où ? Eh bien, sur le plateau des mille vaches. Ancienne chef de projet, ancienne professeure, eh bien, Cécile a laissé les salles de classe derrière elle. pour se lancer dans une activité qui à la fois est assez étonnante et inspirante. Cette occupation est intimement liée à la nature, au rythme de la terre et qui demande patience et délicatesse. Un métier qui selon moi évoque la magie des poussions et les forêts enchantées. Alors je vous espère curieux et curieuse de découvrir ce qui l'a poussé à entreprendre ce nouveau voyage. Alors je vous ai préparé une petite nouveauté et puis vous me direz ce que vous en pensez. Cette fois-ci... j'ai divisé l'épisode en deux parties bien distinctes. Vous trouverez une première partie où Cécile vous raconte son changement de vie en ruralité. Et sur le deuxième épisode avec Cécile, on parlera davantage de toute la partie taux professionnel. Voilà, vous me direz ce que vous en pensez. Je vous souhaite une belle écoute. Je vous remercie et je vous dis à bientôt. Ciao !
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Tu as une maison ?
Oui, une maison.
Mais le choix de la région ?
Un peu au pif, on a croisé des critères et il fallait de l'espace, pas cher, tranquille. Et ça nous a mené un petit peu ici. Comme quoi,
il est important d'installer correctement sa maison avant d'attaquer un projet ?
En fait, oui, c'est ce qu'on se disait. Je pense que... D'avoir un endroit déjà un petit peu refuge, comme tu disais, là, je pense que ça peut être important. Parce qu'une fois qu'on est dans le rush de l'activité, trouver du temps pour faire des travaux, c'est complexe. Ici, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, c'est hyper riche en termes de relations sociales, de projets, il y a énormément de trucs. Non, non, la campagne, ce n'est pas du tout un lieu fermé où tout le monde est un peu dans son coin. Au contraire, je trouve. Bien plus qu'en ville, moi, je trouve.
Oui, finalement, en ville, tu peux avoir davantage de solitude ou d'anonymat.
Franchement, à Lyon, on ne connaissait pas nos voisins, tu vois. Et là, c'est complètement différent.
En même temps, tes voisins sont à un kilomètre ici.
Oui, c'est vrai.
Mais tu les connais.
Mais je les connais quand même. Non, et là, le plateau de millevages, c'est un espace hyper dynamique, avec plein, plein de projets. Je pense que c'est un peu unique. Après, le Périgord, je ne connais pas dans ton coin à toi. Mais je pense qu'ici, c'est un peu unique, tu vois, avec des gens hyper engagés.
Très engagés. Très,
très engagés. Et franchement, c'est génial.
Alors, très engagés dans le côté, tu vas me dire, militant, alternatif ?
Oui, oui, oui. De vie, de combat politique, enfin, tout un tas de choses.
Un peu comme en avion. Avec José Bové dans les années 70. Oui, c'est ça.
Là, cette activité, elle est chez nous. Donc, ça a vraiment beaucoup impacté notre vie personnelle. Parce qu'en fait, on ne fait plus que ça maintenant.
Mais c'est chouette ou pas ?
Mais c'est chouette, on est super contents. Et puis, même au niveau du rythme de la famille, ça permet d'avoir quand même un rythme... C'est toi qui décide. Plus de souplesse. Oui, plus de souplesse. Avec les enfants, tout ça. C'est-à-dire que les filles rentrent de l'école, moi je m'arrête au moment où elles rentrent de l'école. Je prends le goûter avec Juliette. On attend que Lou rentre du collège, qu'il rentre un peu plus tard. Voilà, on partage. Ensuite, on s'y remet, nous, parfois. Enfin non, pas parfois, tout le temps. On s'y remet après. Une fois qu'elles sont revenues, elles font un peu leurs petites activités. Voilà, chacun fait un peu son truc. Et voilà, mais ça permet, c'est ça, une souplesse. Plus on arrivait vers la rentrée, plus je me suis dit, c'est mort, on n'arrivera jamais à tout faire. Et donc, j'ai appelé l'éducation nationale. J'ai dit non, en fait, je me mets en dispo. Je vais faire des champignons. Voilà, je fais des champignons.
Ils sont tués les barges,
celles-là.
Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Aujourd'hui, je vous emmène à la rencontre de Cécile. Alors, après plusieurs années sous le soleil de la Martinique, elle a décidé, elle et sa petite famille, de revenir en métropole. Pour s'installer où ? Eh bien, sur le plateau des mille vaches. Ancienne chef de projet, ancienne professeure, eh bien, Cécile a laissé les salles de classe derrière elle. pour se lancer dans une activité qui à la fois est assez étonnante et inspirante. Cette occupation est intimement liée à la nature, au rythme de la terre et qui demande patience et délicatesse. Un métier qui selon moi évoque la magie des poussions et les forêts enchantées. Alors je vous espère curieux et curieuse de découvrir ce qui l'a poussé à entreprendre ce nouveau voyage. Alors je vous ai préparé une petite nouveauté et puis vous me direz ce que vous en pensez. Cette fois-ci... j'ai divisé l'épisode en deux parties bien distinctes. Vous trouverez une première partie où Cécile vous raconte son changement de vie en ruralité. Et sur le deuxième épisode avec Cécile, on parlera davantage de toute la partie taux professionnel. Voilà, vous me direz ce que vous en pensez. Je vous souhaite une belle écoute. Je vous remercie et je vous dis à bientôt. Ciao !
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Oui, une maison.
Mais le choix de la région ?
Un peu au pif, on a croisé des critères et il fallait de l'espace, pas cher, tranquille. Et ça nous a mené un petit peu ici. Comme quoi,
il est important d'installer correctement sa maison avant d'attaquer un projet ?
En fait, oui, c'est ce qu'on se disait. Je pense que... D'avoir un endroit déjà un petit peu refuge, comme tu disais, là, je pense que ça peut être important. Parce qu'une fois qu'on est dans le rush de l'activité, trouver du temps pour faire des travaux, c'est complexe. Ici, contrairement à ce que beaucoup de gens pensent, c'est hyper riche en termes de relations sociales, de projets, il y a énormément de trucs. Non, non, la campagne, ce n'est pas du tout un lieu fermé où tout le monde est un peu dans son coin. Au contraire, je trouve. Bien plus qu'en ville, moi, je trouve.
Oui, finalement, en ville, tu peux avoir davantage de solitude ou d'anonymat.
Franchement, à Lyon, on ne connaissait pas nos voisins, tu vois. Et là, c'est complètement différent.
En même temps, tes voisins sont à un kilomètre ici.
Oui, c'est vrai.
Mais tu les connais.
Mais je les connais quand même. Non, et là, le plateau de millevages, c'est un espace hyper dynamique, avec plein, plein de projets. Je pense que c'est un peu unique. Après, le Périgord, je ne connais pas dans ton coin à toi. Mais je pense qu'ici, c'est un peu unique, tu vois, avec des gens hyper engagés.
Très engagés. Très,
très engagés. Et franchement, c'est génial.
Alors, très engagés dans le côté, tu vas me dire, militant, alternatif ?
Oui, oui, oui. De vie, de combat politique, enfin, tout un tas de choses.
Un peu comme en avion. Avec José Bové dans les années 70. Oui, c'est ça.
Là, cette activité, elle est chez nous. Donc, ça a vraiment beaucoup impacté notre vie personnelle. Parce qu'en fait, on ne fait plus que ça maintenant.
Mais c'est chouette ou pas ?
Mais c'est chouette, on est super contents. Et puis, même au niveau du rythme de la famille, ça permet d'avoir quand même un rythme... C'est toi qui décide. Plus de souplesse. Oui, plus de souplesse. Avec les enfants, tout ça. C'est-à-dire que les filles rentrent de l'école, moi je m'arrête au moment où elles rentrent de l'école. Je prends le goûter avec Juliette. On attend que Lou rentre du collège, qu'il rentre un peu plus tard. Voilà, on partage. Ensuite, on s'y remet, nous, parfois. Enfin non, pas parfois, tout le temps. On s'y remet après. Une fois qu'elles sont revenues, elles font un peu leurs petites activités. Voilà, chacun fait un peu son truc. Et voilà, mais ça permet, c'est ça, une souplesse. Plus on arrivait vers la rentrée, plus je me suis dit, c'est mort, on n'arrivera jamais à tout faire. Et donc, j'ai appelé l'éducation nationale. J'ai dit non, en fait, je me mets en dispo. Je vais faire des champignons. Voilà, je fais des champignons.
Ils sont tués les barges,
celles-là.
Bonjour, bonsoir et bienvenue chez les nouvelles filles de la campagne. Aujourd'hui, je vous emmène à la rencontre de Cécile. Alors, après plusieurs années sous le soleil de la Martinique, elle a décidé, elle et sa petite famille, de revenir en métropole. Pour s'installer où ? Eh bien, sur le plateau des mille vaches. Ancienne chef de projet, ancienne professeure, eh bien, Cécile a laissé les salles de classe derrière elle. pour se lancer dans une activité qui à la fois est assez étonnante et inspirante. Cette occupation est intimement liée à la nature, au rythme de la terre et qui demande patience et délicatesse. Un métier qui selon moi évoque la magie des poussions et les forêts enchantées. Alors je vous espère curieux et curieuse de découvrir ce qui l'a poussé à entreprendre ce nouveau voyage. Alors je vous ai préparé une petite nouveauté et puis vous me direz ce que vous en pensez. Cette fois-ci... j'ai divisé l'épisode en deux parties bien distinctes. Vous trouverez une première partie où Cécile vous raconte son changement de vie en ruralité. Et sur le deuxième épisode avec Cécile, on parlera davantage de toute la partie taux professionnel. Voilà, vous me direz ce que vous en pensez. Je vous souhaite une belle écoute. Je vous remercie et je vous dis à bientôt. Ciao !
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