#33 Maud Louvrier Clerc, artiste plasticienne - Cocréer un développement durable cover
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Les PassionariArts

#33 Maud Louvrier Clerc, artiste plasticienne - Cocréer un développement durable

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43min |07/03/2022
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Description

Maud Louvrier-Clerc développe sa réflexion artistique autour de deux axes principaux, l’équilibre et l’évolution, qu’elle inscrit dans un même défi : « cocréer un développement durable ».


Sensible aux questions du bien vivre ensemble et de l’écologie, les thématiques de l’identité, de l’empreinte et de l’interdépendance sont au cœur de sa réflexion et de sa production artistique.


Plasticienne et designer de formation, elle est aussi passionnée d’économie, et de biologie, influencée par la philosophie, l’astrophysique, et a pratiqué pendant plusieurs années la danse, la guitare, le théâtre et écrit encore aujourd’hui de la poésie.


De cette pluralité d’inspiration, elle construit entre autres depuis une dizaine d’années sa recherche sur un motif d’équilibre qu’elle nomme « carrond », forme née de la fusion d’un demi-carré et d’un demi-rond.

Ses œuvres se nourrissent des enjeux écologiques propres à « l’anthropocène », terme désignant « l’ère de l’Humain », nouvelle période dans laquelle l’espèce humaine est perçue comme la principale force de changement sur Terre, au-delà des forces géophysiques.


Elle aborde ainsi à travers son art plusieurs problématiques au cœur de l’actualité comme le réchauffement climatique, la pollution plastique et certaines transformations sociétales.

Son travail est régulièrement présenté dans des expositions personnelles, au sein desquelles elle a rendu hommage à certaines grandes figures artistiques telles que Le Corbusier en 2016 avec son banc-sculpture « Le Modulaire », ou Mondrian à travers sa console-étagère Ruban.


Plus récemment, suite au premier confinement de 2020, elle initie « les rencontres Proxémie » qui cherchent à revisiter et déconstruire la distance entre monde réel et monde virtuel.

Avec elle, nous avons parlé de :

  • l'apoptose
  • la place de l'anthropocène dans son travail
  • son regard sur le désastre écologique en cours
  • la disparition du sable
  • les quatre carronds
  • l'impact de l'art sur l'énergie
  • la psychologie entrepreneuriale
  • le pouvoir de l'art sur la prise de conscience
  • sa passionariart Madeleine Filippi


Tous les détails, références et ressources des épisodes sont disponibles sur le site www.lespassionariarts.com  


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Maud Louvrier-Clerc développe sa réflexion artistique autour de deux axes principaux, l’équilibre et l’évolution, qu’elle inscrit dans un même défi : « cocréer un développement durable ».


Sensible aux questions du bien vivre ensemble et de l’écologie, les thématiques de l’identité, de l’empreinte et de l’interdépendance sont au cœur de sa réflexion et de sa production artistique.


Plasticienne et designer de formation, elle est aussi passionnée d’économie, et de biologie, influencée par la philosophie, l’astrophysique, et a pratiqué pendant plusieurs années la danse, la guitare, le théâtre et écrit encore aujourd’hui de la poésie.


De cette pluralité d’inspiration, elle construit entre autres depuis une dizaine d’années sa recherche sur un motif d’équilibre qu’elle nomme « carrond », forme née de la fusion d’un demi-carré et d’un demi-rond.

Ses œuvres se nourrissent des enjeux écologiques propres à « l’anthropocène », terme désignant « l’ère de l’Humain », nouvelle période dans laquelle l’espèce humaine est perçue comme la principale force de changement sur Terre, au-delà des forces géophysiques.


Elle aborde ainsi à travers son art plusieurs problématiques au cœur de l’actualité comme le réchauffement climatique, la pollution plastique et certaines transformations sociétales.

Son travail est régulièrement présenté dans des expositions personnelles, au sein desquelles elle a rendu hommage à certaines grandes figures artistiques telles que Le Corbusier en 2016 avec son banc-sculpture « Le Modulaire », ou Mondrian à travers sa console-étagère Ruban.


Plus récemment, suite au premier confinement de 2020, elle initie « les rencontres Proxémie » qui cherchent à revisiter et déconstruire la distance entre monde réel et monde virtuel.

Avec elle, nous avons parlé de :

  • l'apoptose
  • la place de l'anthropocène dans son travail
  • son regard sur le désastre écologique en cours
  • la disparition du sable
  • les quatre carronds
  • l'impact de l'art sur l'énergie
  • la psychologie entrepreneuriale
  • le pouvoir de l'art sur la prise de conscience
  • sa passionariart Madeleine Filippi


Tous les détails, références et ressources des épisodes sont disponibles sur le site www.lespassionariarts.com  


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Maud Louvrier-Clerc développe sa réflexion artistique autour de deux axes principaux, l’équilibre et l’évolution, qu’elle inscrit dans un même défi : « cocréer un développement durable ».


Sensible aux questions du bien vivre ensemble et de l’écologie, les thématiques de l’identité, de l’empreinte et de l’interdépendance sont au cœur de sa réflexion et de sa production artistique.


Plasticienne et designer de formation, elle est aussi passionnée d’économie, et de biologie, influencée par la philosophie, l’astrophysique, et a pratiqué pendant plusieurs années la danse, la guitare, le théâtre et écrit encore aujourd’hui de la poésie.


De cette pluralité d’inspiration, elle construit entre autres depuis une dizaine d’années sa recherche sur un motif d’équilibre qu’elle nomme « carrond », forme née de la fusion d’un demi-carré et d’un demi-rond.

Ses œuvres se nourrissent des enjeux écologiques propres à « l’anthropocène », terme désignant « l’ère de l’Humain », nouvelle période dans laquelle l’espèce humaine est perçue comme la principale force de changement sur Terre, au-delà des forces géophysiques.


Elle aborde ainsi à travers son art plusieurs problématiques au cœur de l’actualité comme le réchauffement climatique, la pollution plastique et certaines transformations sociétales.

Son travail est régulièrement présenté dans des expositions personnelles, au sein desquelles elle a rendu hommage à certaines grandes figures artistiques telles que Le Corbusier en 2016 avec son banc-sculpture « Le Modulaire », ou Mondrian à travers sa console-étagère Ruban.


Plus récemment, suite au premier confinement de 2020, elle initie « les rencontres Proxémie » qui cherchent à revisiter et déconstruire la distance entre monde réel et monde virtuel.

Avec elle, nous avons parlé de :

  • l'apoptose
  • la place de l'anthropocène dans son travail
  • son regard sur le désastre écologique en cours
  • la disparition du sable
  • les quatre carronds
  • l'impact de l'art sur l'énergie
  • la psychologie entrepreneuriale
  • le pouvoir de l'art sur la prise de conscience
  • sa passionariart Madeleine Filippi


Tous les détails, références et ressources des épisodes sont disponibles sur le site www.lespassionariarts.com  


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Maud Louvrier-Clerc développe sa réflexion artistique autour de deux axes principaux, l’équilibre et l’évolution, qu’elle inscrit dans un même défi : « cocréer un développement durable ».


Sensible aux questions du bien vivre ensemble et de l’écologie, les thématiques de l’identité, de l’empreinte et de l’interdépendance sont au cœur de sa réflexion et de sa production artistique.


Plasticienne et designer de formation, elle est aussi passionnée d’économie, et de biologie, influencée par la philosophie, l’astrophysique, et a pratiqué pendant plusieurs années la danse, la guitare, le théâtre et écrit encore aujourd’hui de la poésie.


De cette pluralité d’inspiration, elle construit entre autres depuis une dizaine d’années sa recherche sur un motif d’équilibre qu’elle nomme « carrond », forme née de la fusion d’un demi-carré et d’un demi-rond.

Ses œuvres se nourrissent des enjeux écologiques propres à « l’anthropocène », terme désignant « l’ère de l’Humain », nouvelle période dans laquelle l’espèce humaine est perçue comme la principale force de changement sur Terre, au-delà des forces géophysiques.


Elle aborde ainsi à travers son art plusieurs problématiques au cœur de l’actualité comme le réchauffement climatique, la pollution plastique et certaines transformations sociétales.

Son travail est régulièrement présenté dans des expositions personnelles, au sein desquelles elle a rendu hommage à certaines grandes figures artistiques telles que Le Corbusier en 2016 avec son banc-sculpture « Le Modulaire », ou Mondrian à travers sa console-étagère Ruban.


Plus récemment, suite au premier confinement de 2020, elle initie « les rencontres Proxémie » qui cherchent à revisiter et déconstruire la distance entre monde réel et monde virtuel.

Avec elle, nous avons parlé de :

  • l'apoptose
  • la place de l'anthropocène dans son travail
  • son regard sur le désastre écologique en cours
  • la disparition du sable
  • les quatre carronds
  • l'impact de l'art sur l'énergie
  • la psychologie entrepreneuriale
  • le pouvoir de l'art sur la prise de conscience
  • sa passionariart Madeleine Filippi


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