S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20 cover
S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20 cover
Les Podcasts de LUDOMAG

S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20

S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20

23min |24/10/2023
Play
S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20 cover
S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20 cover
Les Podcasts de LUDOMAG

S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20

S4#E4 " la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours" avec Marc Simon eRun - épisode du 24/10 09:20

23min |24/10/2023
Play

Description


Aujourd’hui nous recevons, Marc Simon, enseignant en premier degré et ERUN à l’Ecole Clair de Lune à Wingersheim dans le bas Rhin avec qui nous allons parler d’un projet « de réalité virtuelle pour apprendre à porter secours»


Vous avez utilisé le numérique en classe et aujourd’hui de par votre fonction d’ErUn détaché à 50% votre rôle est de transmettre les usages aux autres collègues dans l’académie de Strasbourg , dans la circonscription de Strasbourg 5


Alors aujourd’hui on va évoquer un projet que vous avez présenté à LUDOVIA qui s’intitule « la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours », il s’agit d’une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)” Pouvez vous nous en dire plus et détailler la démarche, ce projet fait-il partie d’un programme académique, fait en collaboration avec un acteur local ?

Ce projet est une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)”. Il ne s’agit pas de remplacer l’apprentissage des notions de l’APS, qui reste traditionnel, mais venir en complément dans la phase de validation des connaissances. J’ai toujours trouvé, ainsi que mes élèves, très peu réaliste et peu convaincante cette image photocopiée décrivant une maison à l’intérieur de laquelle il fallait désigner toutes les situations domestiques dangereuses.

À ce stade la réalité virtuelle permettrait une mise en situation quasi-réelle des enfants pour les inviter à exécuter les gestes et attitudes apprises. La RV deviendrait un outil d’évaluation.

Notre projet se situe à la fin d’une séquence développant la compétence “l’élève qui se protège et protège autrui”. Il consiste en la mise en œuvre d’une séance qui se fera sous la forme d’une mise en situation par le biais de la réalité virtuelle. L’environnement virtuel consiste en une maison à l’intérieur de laquelle l’élève doit se déplacer, repérer des situations dangereuses et répondre à des questions afin de les mettre en sécurité. 

Cet environnement a été conçu avec la plateforme « CoSpaceEdu » 



L’intégration de plusieurs outils numériques

La plateforme « CoSpaceEdu » a permis la conception de l’environnement virtuel, les interactions avec les objets de l’environnement sont programmées avec du codage par blocs (Scratch). Cette partie a été effectuée par mes soins. Mais il est tout à fait possible que les élèves y participent. L’environnement produit est utilisable aussi bien avec un visiocasque que sur un écran d’ordinateur. (lien https://edu.cospaces.io/XZF-CGM

Les questionnaires ont été conçus avec le générateur de questionnaire la « Quizinière » de Canopé. Chaque élève a répondu aux différents questions par le biais de l’application.

Des casques de réalité virtuelle avec leurs contrôleurs (Meta Quest 2) ont permis l’immersion dans l’environnement virtuel. et il faut un Wifi de qualité pour le transfert entre le casque et l’ordinateur.


La réplicabilité du projet : 

Le cœur de l’expérimentation est l’environnement virtuel, celui-ci est conçu sur une plateforme qui permet son partage via un lien. Il est donc tout à fait envisageable de partager et de de co-construire un environnement à plusieurs mains.

Il faut parfois parler l’anglais pour l’entraide sur la plateforme « CoSpaceEdu » 2/ 3 euros par mois, pour que les élèves puissent construire, c’est un peu plus de budget également. Les casques sont aujourd’hui uj peu cher, mais les DRANES sont souvent équipées et ont une politique de prêt. (modèle utilisé 350 euros)


Description


Aujourd’hui nous recevons, Marc Simon, enseignant en premier degré et ERUN à l’Ecole Clair de Lune à Wingersheim dans le bas Rhin avec qui nous allons parler d’un projet « de réalité virtuelle pour apprendre à porter secours»


Vous avez utilisé le numérique en classe et aujourd’hui de par votre fonction d’ErUn détaché à 50% votre rôle est de transmettre les usages aux autres collègues dans l’académie de Strasbourg , dans la circonscription de Strasbourg 5


Alors aujourd’hui on va évoquer un projet que vous avez présenté à LUDOVIA qui s’intitule « la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours », il s’agit d’une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)” Pouvez vous nous en dire plus et détailler la démarche, ce projet fait-il partie d’un programme académique, fait en collaboration avec un acteur local ?

Ce projet est une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)”. Il ne s’agit pas de remplacer l’apprentissage des notions de l’APS, qui reste traditionnel, mais venir en complément dans la phase de validation des connaissances. J’ai toujours trouvé, ainsi que mes élèves, très peu réaliste et peu convaincante cette image photocopiée décrivant une maison à l’intérieur de laquelle il fallait désigner toutes les situations domestiques dangereuses.

À ce stade la réalité virtuelle permettrait une mise en situation quasi-réelle des enfants pour les inviter à exécuter les gestes et attitudes apprises. La RV deviendrait un outil d’évaluation.

Notre projet se situe à la fin d’une séquence développant la compétence “l’élève qui se protège et protège autrui”. Il consiste en la mise en œuvre d’une séance qui se fera sous la forme d’une mise en situation par le biais de la réalité virtuelle. L’environnement virtuel consiste en une maison à l’intérieur de laquelle l’élève doit se déplacer, repérer des situations dangereuses et répondre à des questions afin de les mettre en sécurité. 

Cet environnement a été conçu avec la plateforme « CoSpaceEdu » 



L’intégration de plusieurs outils numériques

La plateforme « CoSpaceEdu » a permis la conception de l’environnement virtuel, les interactions avec les objets de l’environnement sont programmées avec du codage par blocs (Scratch). Cette partie a été effectuée par mes soins. Mais il est tout à fait possible que les élèves y participent. L’environnement produit est utilisable aussi bien avec un visiocasque que sur un écran d’ordinateur. (lien https://edu.cospaces.io/XZF-CGM

Les questionnaires ont été conçus avec le générateur de questionnaire la « Quizinière » de Canopé. Chaque élève a répondu aux différents questions par le biais de l’application.

Des casques de réalité virtuelle avec leurs contrôleurs (Meta Quest 2) ont permis l’immersion dans l’environnement virtuel. et il faut un Wifi de qualité pour le transfert entre le casque et l’ordinateur.


La réplicabilité du projet : 

Le cœur de l’expérimentation est l’environnement virtuel, celui-ci est conçu sur une plateforme qui permet son partage via un lien. Il est donc tout à fait envisageable de partager et de de co-construire un environnement à plusieurs mains.

Il faut parfois parler l’anglais pour l’entraide sur la plateforme « CoSpaceEdu » 2/ 3 euros par mois, pour que les élèves puissent construire, c’est un peu plus de budget également. Les casques sont aujourd’hui uj peu cher, mais les DRANES sont souvent équipées et ont une politique de prêt. (modèle utilisé 350 euros)


Share

Embed

You may also like

Description


Aujourd’hui nous recevons, Marc Simon, enseignant en premier degré et ERUN à l’Ecole Clair de Lune à Wingersheim dans le bas Rhin avec qui nous allons parler d’un projet « de réalité virtuelle pour apprendre à porter secours»


Vous avez utilisé le numérique en classe et aujourd’hui de par votre fonction d’ErUn détaché à 50% votre rôle est de transmettre les usages aux autres collègues dans l’académie de Strasbourg , dans la circonscription de Strasbourg 5


Alors aujourd’hui on va évoquer un projet que vous avez présenté à LUDOVIA qui s’intitule « la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours », il s’agit d’une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)” Pouvez vous nous en dire plus et détailler la démarche, ce projet fait-il partie d’un programme académique, fait en collaboration avec un acteur local ?

Ce projet est une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)”. Il ne s’agit pas de remplacer l’apprentissage des notions de l’APS, qui reste traditionnel, mais venir en complément dans la phase de validation des connaissances. J’ai toujours trouvé, ainsi que mes élèves, très peu réaliste et peu convaincante cette image photocopiée décrivant une maison à l’intérieur de laquelle il fallait désigner toutes les situations domestiques dangereuses.

À ce stade la réalité virtuelle permettrait une mise en situation quasi-réelle des enfants pour les inviter à exécuter les gestes et attitudes apprises. La RV deviendrait un outil d’évaluation.

Notre projet se situe à la fin d’une séquence développant la compétence “l’élève qui se protège et protège autrui”. Il consiste en la mise en œuvre d’une séance qui se fera sous la forme d’une mise en situation par le biais de la réalité virtuelle. L’environnement virtuel consiste en une maison à l’intérieur de laquelle l’élève doit se déplacer, repérer des situations dangereuses et répondre à des questions afin de les mettre en sécurité. 

Cet environnement a été conçu avec la plateforme « CoSpaceEdu » 



L’intégration de plusieurs outils numériques

La plateforme « CoSpaceEdu » a permis la conception de l’environnement virtuel, les interactions avec les objets de l’environnement sont programmées avec du codage par blocs (Scratch). Cette partie a été effectuée par mes soins. Mais il est tout à fait possible que les élèves y participent. L’environnement produit est utilisable aussi bien avec un visiocasque que sur un écran d’ordinateur. (lien https://edu.cospaces.io/XZF-CGM

Les questionnaires ont été conçus avec le générateur de questionnaire la « Quizinière » de Canopé. Chaque élève a répondu aux différents questions par le biais de l’application.

Des casques de réalité virtuelle avec leurs contrôleurs (Meta Quest 2) ont permis l’immersion dans l’environnement virtuel. et il faut un Wifi de qualité pour le transfert entre le casque et l’ordinateur.


La réplicabilité du projet : 

Le cœur de l’expérimentation est l’environnement virtuel, celui-ci est conçu sur une plateforme qui permet son partage via un lien. Il est donc tout à fait envisageable de partager et de de co-construire un environnement à plusieurs mains.

Il faut parfois parler l’anglais pour l’entraide sur la plateforme « CoSpaceEdu » 2/ 3 euros par mois, pour que les élèves puissent construire, c’est un peu plus de budget également. Les casques sont aujourd’hui uj peu cher, mais les DRANES sont souvent équipées et ont une politique de prêt. (modèle utilisé 350 euros)


Description


Aujourd’hui nous recevons, Marc Simon, enseignant en premier degré et ERUN à l’Ecole Clair de Lune à Wingersheim dans le bas Rhin avec qui nous allons parler d’un projet « de réalité virtuelle pour apprendre à porter secours»


Vous avez utilisé le numérique en classe et aujourd’hui de par votre fonction d’ErUn détaché à 50% votre rôle est de transmettre les usages aux autres collègues dans l’académie de Strasbourg , dans la circonscription de Strasbourg 5


Alors aujourd’hui on va évoquer un projet que vous avez présenté à LUDOVIA qui s’intitule « la réalité virtuelle pour apprendre à porter secours », il s’agit d’une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)” Pouvez vous nous en dire plus et détailler la démarche, ce projet fait-il partie d’un programme académique, fait en collaboration avec un acteur local ?

Ce projet est une tentative d’usage de la réalité virtuelle dans un cadre pédagogique d’enseignement à de jeunes enfants (CM2 - cycle 3) des apprentissages à la sécurité, dans un domaine appelé “Apprendre à Porter Secours (APS)”. Il ne s’agit pas de remplacer l’apprentissage des notions de l’APS, qui reste traditionnel, mais venir en complément dans la phase de validation des connaissances. J’ai toujours trouvé, ainsi que mes élèves, très peu réaliste et peu convaincante cette image photocopiée décrivant une maison à l’intérieur de laquelle il fallait désigner toutes les situations domestiques dangereuses.

À ce stade la réalité virtuelle permettrait une mise en situation quasi-réelle des enfants pour les inviter à exécuter les gestes et attitudes apprises. La RV deviendrait un outil d’évaluation.

Notre projet se situe à la fin d’une séquence développant la compétence “l’élève qui se protège et protège autrui”. Il consiste en la mise en œuvre d’une séance qui se fera sous la forme d’une mise en situation par le biais de la réalité virtuelle. L’environnement virtuel consiste en une maison à l’intérieur de laquelle l’élève doit se déplacer, repérer des situations dangereuses et répondre à des questions afin de les mettre en sécurité. 

Cet environnement a été conçu avec la plateforme « CoSpaceEdu » 



L’intégration de plusieurs outils numériques

La plateforme « CoSpaceEdu » a permis la conception de l’environnement virtuel, les interactions avec les objets de l’environnement sont programmées avec du codage par blocs (Scratch). Cette partie a été effectuée par mes soins. Mais il est tout à fait possible que les élèves y participent. L’environnement produit est utilisable aussi bien avec un visiocasque que sur un écran d’ordinateur. (lien https://edu.cospaces.io/XZF-CGM

Les questionnaires ont été conçus avec le générateur de questionnaire la « Quizinière » de Canopé. Chaque élève a répondu aux différents questions par le biais de l’application.

Des casques de réalité virtuelle avec leurs contrôleurs (Meta Quest 2) ont permis l’immersion dans l’environnement virtuel. et il faut un Wifi de qualité pour le transfert entre le casque et l’ordinateur.


La réplicabilité du projet : 

Le cœur de l’expérimentation est l’environnement virtuel, celui-ci est conçu sur une plateforme qui permet son partage via un lien. Il est donc tout à fait envisageable de partager et de de co-construire un environnement à plusieurs mains.

Il faut parfois parler l’anglais pour l’entraide sur la plateforme « CoSpaceEdu » 2/ 3 euros par mois, pour que les élèves puissent construire, c’est un peu plus de budget également. Les casques sont aujourd’hui uj peu cher, mais les DRANES sont souvent équipées et ont une politique de prêt. (modèle utilisé 350 euros)


Share

Embed

You may also like