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Les podcasts d'Ombres Blanches

Classiques au détail → Nicolas Chorier

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1h13 |23/07/2025
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Description

Rencontre proposée par Yves Le Pestipon. L’Académie des dames, Nicolas Chorier. « Premier entretien ». De « Ceux qui ne veulent point » à « Je n’ose dire le reste ».

En 1680, parut en français, sans nom d‘auteur, L’Académie des dames, qui succédait à la publication du même texte, mais en latin. On ne doute guère aujourd’hui que c’était l’œuvre de Nicolas Chorier, auteur surtout connu pour ses travaux historiques sur le Dauphiné. Cette Académie des Dames intrigue, émerveille, donne à penser. C’est délicieusement écrit. C’est coquin en diable. Cela égale à bien des égards l’Arétin : une dame instruit son amie, qui va se marier, des pratiques de la sexualité. Tout est dit. Rien n’est en trop. La langue, précise, met tout à distance par le charme. On lit. On sourit. On s’instruit. On jette parfois un œil aux gravures. Pour les « Classiques au détail », nous ne lirons que 2 pages du premier entretien. Il est possible que le désir vienne de connaître la suite. On n’en finit pas avec le plaisir.


👉 voir sur le site

--

23/06/2025 - Réalisation et mise en ondes Radio Radio, RR+, Radio TER


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Rencontre proposée par Yves Le Pestipon. L’Académie des dames, Nicolas Chorier. « Premier entretien ». De « Ceux qui ne veulent point » à « Je n’ose dire le reste ».

En 1680, parut en français, sans nom d‘auteur, L’Académie des dames, qui succédait à la publication du même texte, mais en latin. On ne doute guère aujourd’hui que c’était l’œuvre de Nicolas Chorier, auteur surtout connu pour ses travaux historiques sur le Dauphiné. Cette Académie des Dames intrigue, émerveille, donne à penser. C’est délicieusement écrit. C’est coquin en diable. Cela égale à bien des égards l’Arétin : une dame instruit son amie, qui va se marier, des pratiques de la sexualité. Tout est dit. Rien n’est en trop. La langue, précise, met tout à distance par le charme. On lit. On sourit. On s’instruit. On jette parfois un œil aux gravures. Pour les « Classiques au détail », nous ne lirons que 2 pages du premier entretien. Il est possible que le désir vienne de connaître la suite. On n’en finit pas avec le plaisir.


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En 1680, parut en français, sans nom d‘auteur, L’Académie des dames, qui succédait à la publication du même texte, mais en latin. On ne doute guère aujourd’hui que c’était l’œuvre de Nicolas Chorier, auteur surtout connu pour ses travaux historiques sur le Dauphiné. Cette Académie des Dames intrigue, émerveille, donne à penser. C’est délicieusement écrit. C’est coquin en diable. Cela égale à bien des égards l’Arétin : une dame instruit son amie, qui va se marier, des pratiques de la sexualité. Tout est dit. Rien n’est en trop. La langue, précise, met tout à distance par le charme. On lit. On sourit. On s’instruit. On jette parfois un œil aux gravures. Pour les « Classiques au détail », nous ne lirons que 2 pages du premier entretien. Il est possible que le désir vienne de connaître la suite. On n’en finit pas avec le plaisir.


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En 1680, parut en français, sans nom d‘auteur, L’Académie des dames, qui succédait à la publication du même texte, mais en latin. On ne doute guère aujourd’hui que c’était l’œuvre de Nicolas Chorier, auteur surtout connu pour ses travaux historiques sur le Dauphiné. Cette Académie des Dames intrigue, émerveille, donne à penser. C’est délicieusement écrit. C’est coquin en diable. Cela égale à bien des égards l’Arétin : une dame instruit son amie, qui va se marier, des pratiques de la sexualité. Tout est dit. Rien n’est en trop. La langue, précise, met tout à distance par le charme. On lit. On sourit. On s’instruit. On jette parfois un œil aux gravures. Pour les « Classiques au détail », nous ne lirons que 2 pages du premier entretien. Il est possible que le désir vienne de connaître la suite. On n’en finit pas avec le plaisir.


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