Le photographe Pierre de Vallombreuse est l'invité de notre deuxième épisode. L'occasion de revenir avec lui sur quelques expériences et convictions forgées auprès des hommes des origines. Particulièrement les Palawan, peuple premier qui vit aux Philippines, loin du monde moderne, retiré dans des cavernes une partie de l'année. Familier de Joseph Kessel dans sa jeunesse, l’enfant qui voulait être Mowgli a consacré sa vie à témoigner de la disparition des peuples autochtones. Il nous livre un plaidoyer pour la diversité du vivant.  Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Dans ce premier épisode, Enfants du Mékong donne la parole à Claire de Saint Lager, fondatrice de Isha Formation (https://ishaformation.fr (https://ishaformation.fr/)) parcours destinés aux femmes et aux jeunes filles (Graine de Femme) pour renouer avec le féminin. Diplômée de l'ESCP, après des études de lettres et d'histoire, elle est l’auteur de deux essais : La voie de l’amoureuse – libérer le féminin : désir, intériorité, alliance (https://www.editionsartege.fr/livre/fiche/la-voie-de-l-amoureuse-9791033605317) aux éditions Artèges (2017) et Comme des colonnes sculptées – le célibat : un chemin d’espérance (https://www.librairie-emmanuel.fr/comme-des-colonnes-sculptees-p-150835) aux éditions de l’Emmanuel (2020). En 2010, Claire avait fait l’expérience du service et du volontariat au Cambodge avec Enfants du Mékong. À l’occasion des 30 ans des missions de volontariat Bambous, elle a accepté de témoigner et de nous faire part de son expérience du don. Avec elle, Antoine Besson, rédacteur en chef du magazine Asie Reportages s'intéresse aux mécanismes du don, ses prérequis, ses dangers, ses joies…  « Le don est constitutif de l’être humain. Il y a une sécheresse de l’être quand il n’a pas de lieu et d’espace pour se donner. » Affirme Claire de Saint Lager d’emblée à ceux qui voient dans le don une simple transaction ou un égoïsme déguisé. A l’inverse, elle ne croit pas pour autant « à la morale qui impose la générosité à coup d’affirmations comme : "parce qu’il faut, que je dois, que c’est bien, que c’est moral". Au contraire, je pense que tout ce qui est trop moral est asséchant, parce que ça nie notre liberté. Je travaille beaucoup sur l’être, plus que sur le faire et l’avoir. Pour pouvoir profondément se donner, il faut avoir conscience aussi de ce qui nous ressource. Je crois beaucoup à cette dimension de la vie intérieure. C’est dans l’écoute de soi que l’on apprend où l’on doit vraiment être. » Que dit le don de celui qui donne ? L’altruisme pur existe-t-il ? À trop donner, ne risque-t-on pas l’épuisement ? Découvrez les chemins de liberté de Claire de Saint Lager dans l’épisode 1 du podcast Les raisons du cœur. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.