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Le Salon Marocain

7ème sens - Rachid Boufous : Motion de censure avortée / Fiasco, complot ou trahison politique ?

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32min |29/05/2025
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Description

Rachid Boufous / Écrivain et Observateur politique.

Maroc : une motion de censure ratée, un signal d’alarme pour la démocratie

La récente tentative avortée de motion de censure au Maroc a mis en lumière, non pas la force d’un gouvernement en place, mais plutôt la faiblesse criante de son opposition. Rachid Boufous, écrivain et chroniqueur politique, s’interroge sur ce qui s’apparente à un fiasco institutionnel : simple maladresse politique, manœuvre avortée ou trahison interne ? Le spectacle politique donné soulève des inquiétudes profondes sur la vitalité démocratique du royaume.

À l’approche des législatives de 2026, Boufous sonne l’alerte : si les partis d’opposition n’offrent ni cohérence ni projets crédibles, ils ne feront qu’accompagner leur propre marginalisation. L’absence de leadership fort, la fragmentation idéologique, et le manque d’unité risquent de détourner davantage encore les citoyens d’un processus démocratique déjà fragilisé.

L’Aïd approche, et avec lui les tensions sur les prix du bétail. Malgré les appels à la modération, la demande reste forte. Boufous souligne ici un déséquilibre structurel : offre irrégulière, importations mal coordonnées, et absence de stratégie de régulation à long terme. Une situation qui reflète le désordre ambiant dans les politiques publiques.

Le constat est amer : les Marocains ne croient plus en leurs partis. Ces derniers peinent à se réinventer, à s’ouvrir, à écouter. La motion de censure n’a été qu’un révélateur d’un malaise profond. Pour Boufous, le débat sur cette motion n’est qu’un écran de fumée qui masque des problématiques bien plus graves : la rupture entre les institutions et les citoyens.

#politique #censure

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Maroc : une motion de censure ratée, un signal d’alarme pour la démocratie

La récente tentative avortée de motion de censure au Maroc a mis en lumière, non pas la force d’un gouvernement en place, mais plutôt la faiblesse criante de son opposition. Rachid Boufous, écrivain et chroniqueur politique, s’interroge sur ce qui s’apparente à un fiasco institutionnel : simple maladresse politique, manœuvre avortée ou trahison interne ? Le spectacle politique donné soulève des inquiétudes profondes sur la vitalité démocratique du royaume.

À l’approche des législatives de 2026, Boufous sonne l’alerte : si les partis d’opposition n’offrent ni cohérence ni projets crédibles, ils ne feront qu’accompagner leur propre marginalisation. L’absence de leadership fort, la fragmentation idéologique, et le manque d’unité risquent de détourner davantage encore les citoyens d’un processus démocratique déjà fragilisé.

L’Aïd approche, et avec lui les tensions sur les prix du bétail. Malgré les appels à la modération, la demande reste forte. Boufous souligne ici un déséquilibre structurel : offre irrégulière, importations mal coordonnées, et absence de stratégie de régulation à long terme. Une situation qui reflète le désordre ambiant dans les politiques publiques.

Le constat est amer : les Marocains ne croient plus en leurs partis. Ces derniers peinent à se réinventer, à s’ouvrir, à écouter. La motion de censure n’a été qu’un révélateur d’un malaise profond. Pour Boufous, le débat sur cette motion n’est qu’un écran de fumée qui masque des problématiques bien plus graves : la rupture entre les institutions et les citoyens.

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Maroc : une motion de censure ratée, un signal d’alarme pour la démocratie

La récente tentative avortée de motion de censure au Maroc a mis en lumière, non pas la force d’un gouvernement en place, mais plutôt la faiblesse criante de son opposition. Rachid Boufous, écrivain et chroniqueur politique, s’interroge sur ce qui s’apparente à un fiasco institutionnel : simple maladresse politique, manœuvre avortée ou trahison interne ? Le spectacle politique donné soulève des inquiétudes profondes sur la vitalité démocratique du royaume.

À l’approche des législatives de 2026, Boufous sonne l’alerte : si les partis d’opposition n’offrent ni cohérence ni projets crédibles, ils ne feront qu’accompagner leur propre marginalisation. L’absence de leadership fort, la fragmentation idéologique, et le manque d’unité risquent de détourner davantage encore les citoyens d’un processus démocratique déjà fragilisé.

L’Aïd approche, et avec lui les tensions sur les prix du bétail. Malgré les appels à la modération, la demande reste forte. Boufous souligne ici un déséquilibre structurel : offre irrégulière, importations mal coordonnées, et absence de stratégie de régulation à long terme. Une situation qui reflète le désordre ambiant dans les politiques publiques.

Le constat est amer : les Marocains ne croient plus en leurs partis. Ces derniers peinent à se réinventer, à s’ouvrir, à écouter. La motion de censure n’a été qu’un révélateur d’un malaise profond. Pour Boufous, le débat sur cette motion n’est qu’un écran de fumée qui masque des problématiques bien plus graves : la rupture entre les institutions et les citoyens.

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À l’approche des législatives de 2026, Boufous sonne l’alerte : si les partis d’opposition n’offrent ni cohérence ni projets crédibles, ils ne feront qu’accompagner leur propre marginalisation. L’absence de leadership fort, la fragmentation idéologique, et le manque d’unité risquent de détourner davantage encore les citoyens d’un processus démocratique déjà fragilisé.

L’Aïd approche, et avec lui les tensions sur les prix du bétail. Malgré les appels à la modération, la demande reste forte. Boufous souligne ici un déséquilibre structurel : offre irrégulière, importations mal coordonnées, et absence de stratégie de régulation à long terme. Une situation qui reflète le désordre ambiant dans les politiques publiques.

Le constat est amer : les Marocains ne croient plus en leurs partis. Ces derniers peinent à se réinventer, à s’ouvrir, à écouter. La motion de censure n’a été qu’un révélateur d’un malaise profond. Pour Boufous, le débat sur cette motion n’est qu’un écran de fumée qui masque des problématiques bien plus graves : la rupture entre les institutions et les citoyens.

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