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Podcasts des "Nouvelles et réflexion" publiées sur L'ODJ Média des rubriques Billet, Chroniqueurs invité, quartier libre et Coup de cœur sur www.lodj.ma 


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  • Maroc-France : les mots du Roi, les signes d’un cap retrouvé cover
    Maroc-France : les mots du Roi, les signes d’un cap retrouvé cover
    Maroc-France : les mots du Roi, les signes d’un cap retrouvé

    En diplomatie, certains messages ont la valeur d’un acte. Celui que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé au président Emmanuel Macron à l’occasion de la fête nationale française relève indéniablement de cette catégorie. Derrière la solennité du protocole, les mots du Souverain marocain tracent, avec finesse mais fermeté, les contours d’un horizon stratégique que Rabat et Paris semblent aujourd’hui disposés à redessiner ensemble. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Maroc-France-les-mots-du-Roi-les-signes-d-un-cap-retrouve_a139581.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on July 15, 2025

  • Trump a « trumpé » ses électeurs cover
    Trump a « trumpé » ses électeurs cover
    Trump a « trumpé » ses électeurs

    « Je vais arrêter les guerres…Celle de l’Ukraine en 24 heures…Fini les interventions militaires américaines, les guerres sans fin qui ont coûté très cher en ressources et vies humaines… America first ». Telle a été, en substance, la promesse faite par Donald Trump à ses électeurs, l’une des principales qui ont motivé leurs votes en sa faveur. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Trump-a-trumpe-ses-electeurs_a139597.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on July 15, 2025

  • Commerce traditionnel au Maroc : Un pilier économique en voie de marginalisation ? cover
    Commerce traditionnel au Maroc : Un pilier économique en voie de marginalisation ? cover
    Commerce traditionnel au Maroc : Un pilier économique en voie de marginalisation ?

    Rédigé par Hajar DEHANE le Vendredi 11 Juillet 2025 Ils s’appellent l-‘attaar, l-ḥanūṭī, ou tout simplement le monsieur du coin. Chaque rue, chaque quartier au Maroc a son épicier, sa marchande de légumes, son vendeur de pain, de charbon, ou de mouchoirs. Ce petit commerce traditionnel, parfois vu comme archaïque, est en réalité l’ossature invisible de l’économie populaire. Pourtant, derrière cette image familière, le Conseil de la Concurrence alerte, dans son Avis A/1/25, sur une marginalisation progressive mais réelle de ces acteurs. Coincés entre modernisation accélérée, pression foncière, et absence de soutien public, les petits commerçants marocains sont aujourd’hui menacés de disparition. Plusieurs indicateurs montrent une érosion silencieuse du commerce de proximité : Diminution du nombre de nouveaux points de vente enregistrés chaque année ;Faible taux de transmission intergénérationnelle (les enfants refusent de reprendre l’activité familiale) ; Hausse des fermetures dans les médinas et quartiers anciens, chassés par la spéculation foncière ou la baisse de fréquentation ; Incapacité à suivre le rythme de la digitalisation (paiement mobile, gestion des stocks, e-commerce). Le rapport du Conseil cite même des cas de quartiers entiers où l’arrivée d’un supermarché provoque en moins de deux ans la fermeture de 20 à 30 % des commerces du voisinage immédiat. Loin d’être un simple maillon de la chaîne d’approvisionnement, le petit commerce assure aussi une fonction sociale cruciale : Crédit informel accordé aux clients fidèles ; Distribution de produits à l’unité pour les ménages précaires ; Transmission de savoir-faire artisanaux dans certaines zones (herboristerie, pâtisserie, épices…). L’aménagement des villes marocaines ces vingt dernières années a très peu pris en compte le rôle du commerce de proximité. Les politiques d’embellissement, de rénovation urbaine ou de construction de centres commerciaux ont souvent relégué les petits commerces aux marges. Contrairement aux idées reçues, le commerce traditionnel ne pratique pas toujours des marges exorbitantes. Les marges brutes tournent souvent autour de 10 à 15 %, notamment dans les denrées de première nécessité. Mais le manque d’organisation logistique et la dépendance aux intermédiaires renchérissent le prix d’achat. Par exemple, un épicier de quartier à Fès achète une boîte de concentré de tomate à 3,30 DH au lieu de 2,90 DH pour une enseigne de GMS à Meknès, simplement faute d’accès au grossiste principal. À cela s’ajoutent les vols à l’étal, la fiscalité difficile à comprendre, les charges fixes croissantes, et l’absence d’assurance ou de retraite. Un modèle précaire, sans filet de sécurité. Recommandations pour sauver ce tissu vital Le commerce traditionnel marocain n’est pas un reliquat du passé : c’est une infrastructure sociale vivante, profondément ancrée dans la vie des quartiers et des villages. Il répond à des besoins que la grande distribution ne comble pas, et il incarne une économie de la confiance, du lien et de la proximité. Mais il est en train de s’éroder, lentement, sous le poids de l’oubli institutionnel et de la pression du marché. Sans intervention coordonnée et ambitieuse, il pourrait s’effondrer. Ce serait un appauvrissement collectif. Préserver le commerce traditionnel, c’est aussi défendre une certaine idée de l’économie marocaine : plurielle, solidaire, enracinée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on July 15, 2025

  • Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante cover
    Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante cover
    Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante

    Rédigé par Salma Labtar le Vendredi 11 Juillet 2025 Une récente étude de la Haute Commission au Plan (HCP), réalisée en partenariat avec ONU Femmes et financée par l’Union européenne, met en lumière une réalité inquiétante : plus de 70 % des adolescentes marocaines âgées de 15 à 19 ans ont été victimes d’au moins une forme de violence. Le cercle familial et l’environnement proche sont identifiés comme les principaux lieux où ces violences se produisent, révèle une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghribia. Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante Selon cette enquête nationale sur la violence à l’égard des femmes, 71 % des jeunes filles entre 15 et 19 ans ont subi une forme de violence, un taux nettement supérieur à celui des femmes adultes (55,8 % chez les 20-74 ans). La violence dite « intime » — physique, psychologique ou sexuelle — concerne près de 59 % des adolescentes, contre 43,6 % chez les femmes majeures. Le phénomène est particulièrement accentué en milieu urbain, où 75,1 % des adolescentes déclarent avoir été exposées à la violence, contre 64,3 % en milieu rural. La famille apparaît comme le principal foyer de ces violences, 59,4 % des adolescentes rapportant avoir été victimes au sein du cercle familial. Dans près de la moitié des cas (49,3 %), les agresseurs sont des membres de la famille élargie, avec une prédominance des pères et frères. Les établissements scolaires et de formation ne sont pas non plus des zones sûres : 25,3 % des lycéennes et étudiantes ont subi des violences dans ce cadre, un chiffre plus élevé en milieu rural (34,9 %) qu’en milieu urbain (22,8 %). Près de 68 % des adolescentes estiment que la violence contre les femmes s’est intensifiée ces dernières années, sentiment plus marqué en zone urbaine (70,4 %) que rurale (63,4 %). Parmi les types de violences, la violence psychologique arrive en tête avec 61,1 % des victimes, suivie par la violence numérique (29,4 %), sexuelle (23,3 %), physique (17,1 %) et économique (9,1 %). Même les relations amoureuses ne sont pas épargnées, puisque 60,3 % des adolescentes déclarent avoir subi des violences dans ce cadre au cours de la dernière année. Au-delà des impacts humains, cette situation a aussi des répercussions économiques importantes. L’exclusion et la violence subies par les femmes rurales contribuent à une perte estimée à 25,3 milliards de dirhams, soit 2,2 % du PIB national. Ces pertes sont liées notamment au travail non rémunéré, à l’accès limité à la propriété, au financement, aux soins et à l’éducation. Ces chiffres soulignent les défis majeurs que doit relever le Maroc pour assurer la protection de ses adolescentes et promouvoir une égalité effective entre les sexes. Malgré un arsenal législatif renforcé ces dernières années, les violences et inégalités restent profondément ancrées dans la société. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    04min | Published on July 15, 2025

  • Le mouvement du 9 juillet cover
    Le mouvement du 9 juillet cover
    Le mouvement du 9 juillet

    Ils étaient plus d'un millier pour la marche pacifique à Ait Bouguemaz avec pour leitmotiv des revendications sociales légitimes La vallée n'est plus heureuse ! Dans la "vallée heureuse" d'Aït Bouguemez, la colère gronde alors que les habitants se mobilisent pour dénoncer un développement à la traîne. Ils étaient plus d'un millier pour la marche pacifique à Ait Bouguemaz avec pour leitmotiv des revendications sociales légitimes : réclamer des infrastructures essentielles dans le Haut Atlas ! Lire la suite (https://www.lodj.ma/Le-mouvement-du-9-juillet_a139411.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on July 14, 2025

  • Istiqlal et la jeunesse : une alliance pour l’avenir cover
    Istiqlal et la jeunesse : une alliance pour l’avenir cover
    Istiqlal et la jeunesse : une alliance pour l’avenir

    Dans un paysage politique souvent accusé de sclérose et de déconnexion avec les attentes citoyennes, une lueur d’espérance vient rappeler que le renouveau n’est ni une utopie, ni un slogan : c’est une stratégie, un choix, un engagement. Le Parti de l’Istiqlal vient d’en apporter la preuve éclatante en accueillant, à travers son Académie de la jeunesse, une première promotion de 150 jeunes issus de toutes les régions du Royaume. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Istiqlal-et-la-jeunesse-une-alliance-pour-l-avenir_a139454.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on July 14, 2025

  • Plus de comptes bancaires, moins de pouvoir d'achat cover
    Plus de comptes bancaires, moins de pouvoir d'achat cover
    Plus de comptes bancaires, moins de pouvoir d'achat

    Rédigé par Adnane Benchakroun le Jeudi 10 Juillet 2025 Bank Al-Maghrib a publié ses chiffres annuels : à fin 2024, pas moins de 38,2 millions de comptes bancaires sont recensés au Maroc. Ce chiffre impressionne. Il donne l’illusion d’un pays financièrement inclus, connecté à son système bancaire. En une année, ce sont 3,1 millions de nouveaux comptes qui ont été ouverts, dont près de 884 000 par des personnes physiques qui entraient pour la première fois dans le système bancaire. Pourtant, cette dynamique cache une baisse de 6,1 % par rapport à l’année précédente. En clair, l’élan ralentit, malgré les campagnes de promotion de l’inclusion financière. Les comptes chèques représentent la majorité (64 %), suivis des comptes sur carnets (30 %), tandis que les comptes courants ne pèsent que 5 %. À noter que les comptes en devises ne concernent qu’une infime frange de la population (0,3 %, majoritairement en euro), ce qui illustre encore la fracture économique entre ceux qui peuvent épargner à l’étranger et la majorité des Marocains qui peinent à finir le mois. Les jeunes, première cible d’une inclusion bancarisée… mais pas économique Parmi les nouveaux venus dans le système bancaire, la jeunesse domine largement. Plus de 55 % des nouvelles personnes bancarisées ont moins de 25 ans, dont 23 % à peine la vingtaine passée. Ces chiffres montrent l’efficacité des campagnes de sensibilisation, mais ne disent rien du contenu de ces comptes. Sont-ils créditeurs ? Alimentés par un salaire ? Ou servent-ils juste à recevoir une bourse ou des aides ponctuelles avant de retomber à zéro ? Un taux de bancarisation qui progresse… à coups de révision démographique En effet, Bank Al-Maghrib a pris en compte les résultats du Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH 2024), qui révise la population adulte résidente à la baisse : 26,8 millions d’habitants contre 28,2 millions estimés auparavant. Ce n’est donc pas tant que la bancarisation ait progressé, mais plutôt que la base de calcul ait été resserrée. Femmes et bancarisation : un lent réveil, mais un long chemin Les femmes représentent aujourd’hui 39 % des personnes physiques bancarisées. Une progression légère mais réelle. Entre 2023 et 2024, le taux de bancarisation féminin est passé de 42 % à 46 %, là où celui des hommes s’établit à 70 %. Cette disparité n’est pas anodine : elle reflète des inégalités économiques persistantes, et plus largement, une fracture de genre dans l’accès à l’autonomie financière. Et pourtant, les femmes sont de plus en plus nombreuses à ouvrir un compte pour la première fois : elles représentent 45 % des nouveaux entrants dans le système bancaire. L’écart se réduit, mais la pente reste raide. Et après ? Vers quelle bancarisation voulons-nous aller ? Ce que révèle ce rapport annuel, c’est un modèle d’inclusion bancarisée sans inclusion économique réelle. Si la bancarisation est un outil, elle n’est pas une fin. Or, au Maroc, elle devient un indicateur trompe-l’œil, une manière de cocher une case sans transformer les vies. L’enjeu n’est pas seulement d’ouvrir plus de comptes, mais de faire en sorte que chaque compte puisse devenir un levier de stabilité et de progression sociale. Cela suppose un emploi digne, un accès au crédit productif, une éducation financière adaptée, et surtout, un environnement économique où l’on peut réellement planifier son avenir. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on July 14, 2025

  • Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme cover
    Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme cover
    Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme

    Rédigé par Mamoune ACHARKI le Lundi 7 Juillet 2025 Face à une demande d’eau en forte hausse, Casablanca, Tanger et Marrakech subissent une pression hydrique inédite et multiplient les mesures d’urgence. Et après ? Vers une révolution de la gestion de l’eau ? Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme Alerte à la soif dans les grandes villes marocaines ! Casablanca, Tanger et Marrakech voient leur consommation d’eau grimper en flèche cet été, forçant les autorités à sortir l’artillerie lourde pour éviter la panne sèche. Cette année, la chaleur tape fort et les robinets tournent à plein régime. Résultat : Casablanca, Tanger et Marrakech, déjà connues pour leur dynamisme, se retrouvent sous une pression hydrique jamais vue. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la demande explose, les réserves fondent, et chaque goutte compte. Les fontaines publiques tournent au ralenti, les jardins sont moins arrosés et les habitants commencent à s’inquiéter. Pourquoi c’est grave ? Parce que l’eau, c’est la base : sans elle, plus de thé à la menthe, plus de tajines, et surtout, plus de vie normale dans les grandes villes. Pour les jeunes, ça veut dire des douches plus courtes, pour les commerçants, des coûts qui grimpent, et pour les entreprises, un vrai casse-tête logistique. Au-delà du quotidien, la crise de l’eau menace aussi l’économie et l’attractivité de nos villes : comment attirer des touristes ou des investisseurs si la ressource de base manque ? Face à l’urgence, les autorités n’ont pas traîné. Campagnes de sensibilisation, restrictions sur l’arrosage, contrôle des fuites, et même coupures programmées dans certains quartiers : tout est mis sur la table pour gérer la crise. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #EauMaroc et #SoifUrbaine cartonnent, entre blagues sur les douches express et vrais coups de gueule contre le gaspillage. Certains influenceurs, comme Ghita du podcast "Casablanca Stories", lancent des défis pour économiser l’eau, façon challenge TikTok. Au « café du coin », le sujet fait débat : « Avant, on parlait foot ou météo, maintenant, c’est qui a eu de l’eau ce matin ! », plaisante un habitant de Sidi Maârouf. Même les célébrités s’y mettent, appelant à la responsabilité collective. La vraie question : comment sortir de la galère ? Les experts parlent de dessalement, de récupération d’eau de pluie, d’innovations high-tech pour surveiller la consommation. Mais sans changement dans nos habitudes, rien ne bougera vraiment. La crise de l’eau pourrait bien être le déclic pour une vraie révolution écologique au Maroc. L’été ne fait que commencer… Reste à savoir si les solutions tiendront la route ou si la soif urbaine va s’installer pour de bon. Alors, prêts à changer vos réflexes pour sauver chaque goutte ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on July 14, 2025

  • Chronique d’un malentendu entre éthique et écolage cover
    Chronique d’un malentendu entre éthique et écolage cover
    Chronique d’un malentendu entre éthique et écolage

    Le refus des écoles privées marocaines d’accueillir gratuitement des élèves défavorisés relance le débat sur leur mission sociale et leur rôle éducatif. Charité bien ordonnée… commence par une exception Il était une fois, dans le royaume bien réel de l'Éducation, un drôle de bras de fer. D’un côté, l’État, qui tente tant bien que mal d’injecter un peu de justice sociale dans les circuits scolaires. De l’autre, un secteur privé bien installé qui brandit sa calculatrice comme une arme de défense massive. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Chronique-d-un-malentendu-entre-ethique-et-ecolage_a139196.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on July 11, 2025

  • Haouz Reloaded : Réparer les pierres, réparer les vies cover
    Haouz Reloaded : Réparer les pierres, réparer les vies cover
    Haouz Reloaded : Réparer les pierres, réparer les vies

    Le programme de reconstruction d’Al Haouz franchit un cap majeur : plus de 46 000 logements réhabilités, des écoles et routes refaites, un avenir qui reprend forme : Une mobilisation nationale qui commence à porter ses fruits sur le terrain Infrastructures, logements, écoles, hôpitaux : état d’avancement secteur par secteur De l’urgence à la résilience : vers une reconstruction durable et humaine Lire la suite (https://www.lodj.ma/Haouz-Reloaded-Reparer-les-pierres-reparer-les-vies_a139268.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on July 11, 2025

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    En diplomatie, certains messages ont la valeur d’un acte. Celui que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a adressé au président Emmanuel Macron à l’occasion de la fête nationale française relève indéniablement de cette catégorie. Derrière la solennité du protocole, les mots du Souverain marocain tracent, avec finesse mais fermeté, les contours d’un horizon stratégique que Rabat et Paris semblent aujourd’hui disposés à redessiner ensemble. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Maroc-France-les-mots-du-Roi-les-signes-d-un-cap-retrouve_a139581.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on July 15, 2025

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    « Je vais arrêter les guerres…Celle de l’Ukraine en 24 heures…Fini les interventions militaires américaines, les guerres sans fin qui ont coûté très cher en ressources et vies humaines… America first ». Telle a été, en substance, la promesse faite par Donald Trump à ses électeurs, l’une des principales qui ont motivé leurs votes en sa faveur. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Trump-a-trumpe-ses-electeurs_a139597.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    02min | Published on July 15, 2025

  • Commerce traditionnel au Maroc : Un pilier économique en voie de marginalisation ? cover
    Commerce traditionnel au Maroc : Un pilier économique en voie de marginalisation ? cover
    Commerce traditionnel au Maroc : Un pilier économique en voie de marginalisation ?

    Rédigé par Hajar DEHANE le Vendredi 11 Juillet 2025 Ils s’appellent l-‘attaar, l-ḥanūṭī, ou tout simplement le monsieur du coin. Chaque rue, chaque quartier au Maroc a son épicier, sa marchande de légumes, son vendeur de pain, de charbon, ou de mouchoirs. Ce petit commerce traditionnel, parfois vu comme archaïque, est en réalité l’ossature invisible de l’économie populaire. Pourtant, derrière cette image familière, le Conseil de la Concurrence alerte, dans son Avis A/1/25, sur une marginalisation progressive mais réelle de ces acteurs. Coincés entre modernisation accélérée, pression foncière, et absence de soutien public, les petits commerçants marocains sont aujourd’hui menacés de disparition. Plusieurs indicateurs montrent une érosion silencieuse du commerce de proximité : Diminution du nombre de nouveaux points de vente enregistrés chaque année ;Faible taux de transmission intergénérationnelle (les enfants refusent de reprendre l’activité familiale) ; Hausse des fermetures dans les médinas et quartiers anciens, chassés par la spéculation foncière ou la baisse de fréquentation ; Incapacité à suivre le rythme de la digitalisation (paiement mobile, gestion des stocks, e-commerce). Le rapport du Conseil cite même des cas de quartiers entiers où l’arrivée d’un supermarché provoque en moins de deux ans la fermeture de 20 à 30 % des commerces du voisinage immédiat. Loin d’être un simple maillon de la chaîne d’approvisionnement, le petit commerce assure aussi une fonction sociale cruciale : Crédit informel accordé aux clients fidèles ; Distribution de produits à l’unité pour les ménages précaires ; Transmission de savoir-faire artisanaux dans certaines zones (herboristerie, pâtisserie, épices…). L’aménagement des villes marocaines ces vingt dernières années a très peu pris en compte le rôle du commerce de proximité. Les politiques d’embellissement, de rénovation urbaine ou de construction de centres commerciaux ont souvent relégué les petits commerces aux marges. Contrairement aux idées reçues, le commerce traditionnel ne pratique pas toujours des marges exorbitantes. Les marges brutes tournent souvent autour de 10 à 15 %, notamment dans les denrées de première nécessité. Mais le manque d’organisation logistique et la dépendance aux intermédiaires renchérissent le prix d’achat. Par exemple, un épicier de quartier à Fès achète une boîte de concentré de tomate à 3,30 DH au lieu de 2,90 DH pour une enseigne de GMS à Meknès, simplement faute d’accès au grossiste principal. À cela s’ajoutent les vols à l’étal, la fiscalité difficile à comprendre, les charges fixes croissantes, et l’absence d’assurance ou de retraite. Un modèle précaire, sans filet de sécurité. Recommandations pour sauver ce tissu vital Le commerce traditionnel marocain n’est pas un reliquat du passé : c’est une infrastructure sociale vivante, profondément ancrée dans la vie des quartiers et des villages. Il répond à des besoins que la grande distribution ne comble pas, et il incarne une économie de la confiance, du lien et de la proximité. Mais il est en train de s’éroder, lentement, sous le poids de l’oubli institutionnel et de la pression du marché. Sans intervention coordonnée et ambitieuse, il pourrait s’effondrer. Ce serait un appauvrissement collectif. Préserver le commerce traditionnel, c’est aussi défendre une certaine idée de l’économie marocaine : plurielle, solidaire, enracinée. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on July 15, 2025

  • Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante cover
    Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante cover
    Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante

    Rédigé par Salma Labtar le Vendredi 11 Juillet 2025 Une récente étude de la Haute Commission au Plan (HCP), réalisée en partenariat avec ONU Femmes et financée par l’Union européenne, met en lumière une réalité inquiétante : plus de 70 % des adolescentes marocaines âgées de 15 à 19 ans ont été victimes d’au moins une forme de violence. Le cercle familial et l’environnement proche sont identifiés comme les principaux lieux où ces violences se produisent, révèle une revue de presse du quotidien Al Ahdath Al Maghribia. Plus de 70 % des adolescentes marocaines victimes de violences, selon une étude alarmante Selon cette enquête nationale sur la violence à l’égard des femmes, 71 % des jeunes filles entre 15 et 19 ans ont subi une forme de violence, un taux nettement supérieur à celui des femmes adultes (55,8 % chez les 20-74 ans). La violence dite « intime » — physique, psychologique ou sexuelle — concerne près de 59 % des adolescentes, contre 43,6 % chez les femmes majeures. Le phénomène est particulièrement accentué en milieu urbain, où 75,1 % des adolescentes déclarent avoir été exposées à la violence, contre 64,3 % en milieu rural. La famille apparaît comme le principal foyer de ces violences, 59,4 % des adolescentes rapportant avoir été victimes au sein du cercle familial. Dans près de la moitié des cas (49,3 %), les agresseurs sont des membres de la famille élargie, avec une prédominance des pères et frères. Les établissements scolaires et de formation ne sont pas non plus des zones sûres : 25,3 % des lycéennes et étudiantes ont subi des violences dans ce cadre, un chiffre plus élevé en milieu rural (34,9 %) qu’en milieu urbain (22,8 %). Près de 68 % des adolescentes estiment que la violence contre les femmes s’est intensifiée ces dernières années, sentiment plus marqué en zone urbaine (70,4 %) que rurale (63,4 %). Parmi les types de violences, la violence psychologique arrive en tête avec 61,1 % des victimes, suivie par la violence numérique (29,4 %), sexuelle (23,3 %), physique (17,1 %) et économique (9,1 %). Même les relations amoureuses ne sont pas épargnées, puisque 60,3 % des adolescentes déclarent avoir subi des violences dans ce cadre au cours de la dernière année. Au-delà des impacts humains, cette situation a aussi des répercussions économiques importantes. L’exclusion et la violence subies par les femmes rurales contribuent à une perte estimée à 25,3 milliards de dirhams, soit 2,2 % du PIB national. Ces pertes sont liées notamment au travail non rémunéré, à l’accès limité à la propriété, au financement, aux soins et à l’éducation. Ces chiffres soulignent les défis majeurs que doit relever le Maroc pour assurer la protection de ses adolescentes et promouvoir une égalité effective entre les sexes. Malgré un arsenal législatif renforcé ces dernières années, les violences et inégalités restent profondément ancrées dans la société. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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    Istiqlal et la jeunesse : une alliance pour l’avenir cover
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  • Plus de comptes bancaires, moins de pouvoir d'achat cover
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    Plus de comptes bancaires, moins de pouvoir d'achat

    Rédigé par Adnane Benchakroun le Jeudi 10 Juillet 2025 Bank Al-Maghrib a publié ses chiffres annuels : à fin 2024, pas moins de 38,2 millions de comptes bancaires sont recensés au Maroc. Ce chiffre impressionne. Il donne l’illusion d’un pays financièrement inclus, connecté à son système bancaire. En une année, ce sont 3,1 millions de nouveaux comptes qui ont été ouverts, dont près de 884 000 par des personnes physiques qui entraient pour la première fois dans le système bancaire. Pourtant, cette dynamique cache une baisse de 6,1 % par rapport à l’année précédente. En clair, l’élan ralentit, malgré les campagnes de promotion de l’inclusion financière. Les comptes chèques représentent la majorité (64 %), suivis des comptes sur carnets (30 %), tandis que les comptes courants ne pèsent que 5 %. À noter que les comptes en devises ne concernent qu’une infime frange de la population (0,3 %, majoritairement en euro), ce qui illustre encore la fracture économique entre ceux qui peuvent épargner à l’étranger et la majorité des Marocains qui peinent à finir le mois. Les jeunes, première cible d’une inclusion bancarisée… mais pas économique Parmi les nouveaux venus dans le système bancaire, la jeunesse domine largement. Plus de 55 % des nouvelles personnes bancarisées ont moins de 25 ans, dont 23 % à peine la vingtaine passée. Ces chiffres montrent l’efficacité des campagnes de sensibilisation, mais ne disent rien du contenu de ces comptes. Sont-ils créditeurs ? Alimentés par un salaire ? Ou servent-ils juste à recevoir une bourse ou des aides ponctuelles avant de retomber à zéro ? Un taux de bancarisation qui progresse… à coups de révision démographique En effet, Bank Al-Maghrib a pris en compte les résultats du Recensement Général de la Population et de l’Habitat (RGPH 2024), qui révise la population adulte résidente à la baisse : 26,8 millions d’habitants contre 28,2 millions estimés auparavant. Ce n’est donc pas tant que la bancarisation ait progressé, mais plutôt que la base de calcul ait été resserrée. Femmes et bancarisation : un lent réveil, mais un long chemin Les femmes représentent aujourd’hui 39 % des personnes physiques bancarisées. Une progression légère mais réelle. Entre 2023 et 2024, le taux de bancarisation féminin est passé de 42 % à 46 %, là où celui des hommes s’établit à 70 %. Cette disparité n’est pas anodine : elle reflète des inégalités économiques persistantes, et plus largement, une fracture de genre dans l’accès à l’autonomie financière. Et pourtant, les femmes sont de plus en plus nombreuses à ouvrir un compte pour la première fois : elles représentent 45 % des nouveaux entrants dans le système bancaire. L’écart se réduit, mais la pente reste raide. Et après ? Vers quelle bancarisation voulons-nous aller ? Ce que révèle ce rapport annuel, c’est un modèle d’inclusion bancarisée sans inclusion économique réelle. Si la bancarisation est un outil, elle n’est pas une fin. Or, au Maroc, elle devient un indicateur trompe-l’œil, une manière de cocher une case sans transformer les vies. L’enjeu n’est pas seulement d’ouvrir plus de comptes, mais de faire en sorte que chaque compte puisse devenir un levier de stabilité et de progression sociale. Cela suppose un emploi digne, un accès au crédit productif, une éducation financière adaptée, et surtout, un environnement économique où l’on peut réellement planifier son avenir. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on July 14, 2025

  • Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme cover
    Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme cover
    Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme

    Rédigé par Mamoune ACHARKI le Lundi 7 Juillet 2025 Face à une demande d’eau en forte hausse, Casablanca, Tanger et Marrakech subissent une pression hydrique inédite et multiplient les mesures d’urgence. Et après ? Vers une révolution de la gestion de l’eau ? Eau secours ! Casablanca, Tanger et Marrakech tirent la sonnette d’alarme Alerte à la soif dans les grandes villes marocaines ! Casablanca, Tanger et Marrakech voient leur consommation d’eau grimper en flèche cet été, forçant les autorités à sortir l’artillerie lourde pour éviter la panne sèche. Cette année, la chaleur tape fort et les robinets tournent à plein régime. Résultat : Casablanca, Tanger et Marrakech, déjà connues pour leur dynamisme, se retrouvent sous une pression hydrique jamais vue. Les chiffres parlent d’eux-mêmes : la demande explose, les réserves fondent, et chaque goutte compte. Les fontaines publiques tournent au ralenti, les jardins sont moins arrosés et les habitants commencent à s’inquiéter. Pourquoi c’est grave ? Parce que l’eau, c’est la base : sans elle, plus de thé à la menthe, plus de tajines, et surtout, plus de vie normale dans les grandes villes. Pour les jeunes, ça veut dire des douches plus courtes, pour les commerçants, des coûts qui grimpent, et pour les entreprises, un vrai casse-tête logistique. Au-delà du quotidien, la crise de l’eau menace aussi l’économie et l’attractivité de nos villes : comment attirer des touristes ou des investisseurs si la ressource de base manque ? Face à l’urgence, les autorités n’ont pas traîné. Campagnes de sensibilisation, restrictions sur l’arrosage, contrôle des fuites, et même coupures programmées dans certains quartiers : tout est mis sur la table pour gérer la crise. Sur les réseaux sociaux, les hashtags #EauMaroc et #SoifUrbaine cartonnent, entre blagues sur les douches express et vrais coups de gueule contre le gaspillage. Certains influenceurs, comme Ghita du podcast "Casablanca Stories", lancent des défis pour économiser l’eau, façon challenge TikTok. Au « café du coin », le sujet fait débat : « Avant, on parlait foot ou météo, maintenant, c’est qui a eu de l’eau ce matin ! », plaisante un habitant de Sidi Maârouf. Même les célébrités s’y mettent, appelant à la responsabilité collective. La vraie question : comment sortir de la galère ? Les experts parlent de dessalement, de récupération d’eau de pluie, d’innovations high-tech pour surveiller la consommation. Mais sans changement dans nos habitudes, rien ne bougera vraiment. La crise de l’eau pourrait bien être le déclic pour une vraie révolution écologique au Maroc. L’été ne fait que commencer… Reste à savoir si les solutions tiendront la route ou si la soif urbaine va s’installer pour de bon. Alors, prêts à changer vos réflexes pour sauver chaque goutte ? Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    03min | Published on July 14, 2025

  • Chronique d’un malentendu entre éthique et écolage cover
    Chronique d’un malentendu entre éthique et écolage cover
    Chronique d’un malentendu entre éthique et écolage

    Le refus des écoles privées marocaines d’accueillir gratuitement des élèves défavorisés relance le débat sur leur mission sociale et leur rôle éducatif. Charité bien ordonnée… commence par une exception Il était une fois, dans le royaume bien réel de l'Éducation, un drôle de bras de fer. D’un côté, l’État, qui tente tant bien que mal d’injecter un peu de justice sociale dans les circuits scolaires. De l’autre, un secteur privé bien installé qui brandit sa calculatrice comme une arme de défense massive. Lire la suite (https://www.lodj.ma/Chronique-d-un-malentendu-entre-ethique-et-ecolage_a139196.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    05min | Published on July 11, 2025

  • Haouz Reloaded : Réparer les pierres, réparer les vies cover
    Haouz Reloaded : Réparer les pierres, réparer les vies cover
    Haouz Reloaded : Réparer les pierres, réparer les vies

    Le programme de reconstruction d’Al Haouz franchit un cap majeur : plus de 46 000 logements réhabilités, des écoles et routes refaites, un avenir qui reprend forme : Une mobilisation nationale qui commence à porter ses fruits sur le terrain Infrastructures, logements, écoles, hôpitaux : état d’avancement secteur par secteur De l’urgence à la résilience : vers une reconstruction durable et humaine Lire la suite (https://www.lodj.ma/Haouz-Reloaded-Reparer-les-pierres-reparer-les-vies_a139268.html) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

    06min | Published on July 11, 2025

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