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LOUPE SUR VERSETS CONFUS

Nouvel épisode du 30/04 15:29 Être baptisé du Saint Esprit n’est pas synonyme d’être rempli du Saint Esprit ! Romain 10 : 9-11

Nouvel épisode du 30/04 15:29 Être baptisé du Saint Esprit n’est pas synonyme d’être rempli du Saint Esprit ! Romain 10 : 9-11

14min |01/05/2025|

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Description

: Être baptisé du Saint Esprit n’est pas synonyme d’être rempli du Saint Esprit ! Romain 10 : 9-11

« vu que, si de ta bouche tu confesses Jésus comme Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. 10. Car c'est du cœur qu'on croit pour parvenir à la justice, et c'est de la bouche qu'on confesse pour parvenir au salut. 11. En effet, l'Ecriture dit  Quiconque croit en lui ne sera point confus. »

Auditrice et auditeurs de Loope sur les versets confus ou controversés de la Bible,

Il n’est pas rare de voir des chrétiens avec des comportements païen et pourtant, ils croient bien au Seigneur Jésus, ils ont bel et bien confessé Christ comme leur Seigneur et sauveur personnel ce qui veut dire qu’ils sont baptisés du Saint Esprit. Mais Quand on regarde de près le comportement qu’affichent ces derniers, on a tendance à les considérer comme des païens. Cependant ils sont bel et bien chrétiens, et nous devons les considérés comme tel,  cela ne dépend pas de nous, c’est un don de Dieu.

L'apôtre transforme la déclaration du verset précèdent en un principe général. Il revient à l'ordre dans lequel les deux actes se succèdent : la foi du cœur d'abord, puis la confession de la bouche.

Justice et salut ne sont pas deux termes synonymes, qui seraient employés seulement pour imprimer à la phrase le parallélisme poétique.

Le salut est le but ; la justice, ou justification, est la condition du salut et le gage donné au croyant qu'il y parviendra. (Romains 5.9,10) Car la justification qui ne produirait pas le salut c'est-à-dire la délivrance finale du péché et de la mort, ne serait pas la vraie justification.

De même, il y a corrélation entre croire et confesser : toute foi qui ne s'affirmerait pas par la confession ne serait pas une foi authentique. "J'ai cru c'est pourquoi j'ai parlé."

L'apôtre montre de quelle importance la confession de la foi est pour l'Eglise et pour chaque chrétien, en nous la présentant ici comme une partie intégrante de l'œuvre du salut et en faisant de la fidélité à confesser une condition, la seule qu'il énonce, pour parvenir au salut.

C'est bien ainsi que l'entendait l'Eglise des premiers siècles, puisque, même dans les temps où la confession emportait le sacrifice de la vie, elle excluait de son sein ceux qui n'avaient pas le courage de rendre ce témoignage.

Mais comment comprendre que certains chrétiens ayant rempli toutes les conditions de Romain 10 : 9-11. Sont encore caractérisés par la violence, la méchanceté, l’impudicité, la cupidité, le vol etc ? La réponse est ceci : « Tous les croyants sont baptisés de l’Esprit, mais tous ne sont pas nécessairement remplis de l’Esprit, »

La plénitude est l'état normal du chrétien. Jésus-Christ baptise le croyant et le remplit du Saint-Esprit dès sa conversion. Ce fut le cas de Saul de Tarse lors de sa « reddition » au Seigneur (cp. Actes 9:17), et des païens d'Antioche de Pisidie lorsqu'ils se tournèrent vers Jésus-Christ après avoir entendu la parole du Seigneur (cp. Actes 13:52).

 Il n’est donc pas vrai de considérer la plénitude comme un état exceptionnel ; cela provient du fait que nous nous habituons à la médiocrité. C’est au contraire l’absence de cette plénitude qui constitue un état anormal, qui ne glorifie pas le Seigneur, n'édifie pas l'Eglise et n'attire pas les inconvertis à Jésus.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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: Être baptisé du Saint Esprit n’est pas synonyme d’être rempli du Saint Esprit ! Romain 10 : 9-11

« vu que, si de ta bouche tu confesses Jésus comme Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. 10. Car c'est du cœur qu'on croit pour parvenir à la justice, et c'est de la bouche qu'on confesse pour parvenir au salut. 11. En effet, l'Ecriture dit  Quiconque croit en lui ne sera point confus. »

Auditrice et auditeurs de Loope sur les versets confus ou controversés de la Bible,

Il n’est pas rare de voir des chrétiens avec des comportements païen et pourtant, ils croient bien au Seigneur Jésus, ils ont bel et bien confessé Christ comme leur Seigneur et sauveur personnel ce qui veut dire qu’ils sont baptisés du Saint Esprit. Mais Quand on regarde de près le comportement qu’affichent ces derniers, on a tendance à les considérer comme des païens. Cependant ils sont bel et bien chrétiens, et nous devons les considérés comme tel,  cela ne dépend pas de nous, c’est un don de Dieu.

L'apôtre transforme la déclaration du verset précèdent en un principe général. Il revient à l'ordre dans lequel les deux actes se succèdent : la foi du cœur d'abord, puis la confession de la bouche.

Justice et salut ne sont pas deux termes synonymes, qui seraient employés seulement pour imprimer à la phrase le parallélisme poétique.

Le salut est le but ; la justice, ou justification, est la condition du salut et le gage donné au croyant qu'il y parviendra. (Romains 5.9,10) Car la justification qui ne produirait pas le salut c'est-à-dire la délivrance finale du péché et de la mort, ne serait pas la vraie justification.

De même, il y a corrélation entre croire et confesser : toute foi qui ne s'affirmerait pas par la confession ne serait pas une foi authentique. "J'ai cru c'est pourquoi j'ai parlé."

L'apôtre montre de quelle importance la confession de la foi est pour l'Eglise et pour chaque chrétien, en nous la présentant ici comme une partie intégrante de l'œuvre du salut et en faisant de la fidélité à confesser une condition, la seule qu'il énonce, pour parvenir au salut.

C'est bien ainsi que l'entendait l'Eglise des premiers siècles, puisque, même dans les temps où la confession emportait le sacrifice de la vie, elle excluait de son sein ceux qui n'avaient pas le courage de rendre ce témoignage.

Mais comment comprendre que certains chrétiens ayant rempli toutes les conditions de Romain 10 : 9-11. Sont encore caractérisés par la violence, la méchanceté, l’impudicité, la cupidité, le vol etc ? La réponse est ceci : « Tous les croyants sont baptisés de l’Esprit, mais tous ne sont pas nécessairement remplis de l’Esprit, »

La plénitude est l'état normal du chrétien. Jésus-Christ baptise le croyant et le remplit du Saint-Esprit dès sa conversion. Ce fut le cas de Saul de Tarse lors de sa « reddition » au Seigneur (cp. Actes 9:17), et des païens d'Antioche de Pisidie lorsqu'ils se tournèrent vers Jésus-Christ après avoir entendu la parole du Seigneur (cp. Actes 13:52).

 Il n’est donc pas vrai de considérer la plénitude comme un état exceptionnel ; cela provient du fait que nous nous habituons à la médiocrité. C’est au contraire l’absence de cette plénitude qui constitue un état anormal, qui ne glorifie pas le Seigneur, n'édifie pas l'Eglise et n'attire pas les inconvertis à Jésus.


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« vu que, si de ta bouche tu confesses Jésus comme Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. 10. Car c'est du cœur qu'on croit pour parvenir à la justice, et c'est de la bouche qu'on confesse pour parvenir au salut. 11. En effet, l'Ecriture dit  Quiconque croit en lui ne sera point confus. »

Auditrice et auditeurs de Loope sur les versets confus ou controversés de la Bible,

Il n’est pas rare de voir des chrétiens avec des comportements païen et pourtant, ils croient bien au Seigneur Jésus, ils ont bel et bien confessé Christ comme leur Seigneur et sauveur personnel ce qui veut dire qu’ils sont baptisés du Saint Esprit. Mais Quand on regarde de près le comportement qu’affichent ces derniers, on a tendance à les considérer comme des païens. Cependant ils sont bel et bien chrétiens, et nous devons les considérés comme tel,  cela ne dépend pas de nous, c’est un don de Dieu.

L'apôtre transforme la déclaration du verset précèdent en un principe général. Il revient à l'ordre dans lequel les deux actes se succèdent : la foi du cœur d'abord, puis la confession de la bouche.

Justice et salut ne sont pas deux termes synonymes, qui seraient employés seulement pour imprimer à la phrase le parallélisme poétique.

Le salut est le but ; la justice, ou justification, est la condition du salut et le gage donné au croyant qu'il y parviendra. (Romains 5.9,10) Car la justification qui ne produirait pas le salut c'est-à-dire la délivrance finale du péché et de la mort, ne serait pas la vraie justification.

De même, il y a corrélation entre croire et confesser : toute foi qui ne s'affirmerait pas par la confession ne serait pas une foi authentique. "J'ai cru c'est pourquoi j'ai parlé."

L'apôtre montre de quelle importance la confession de la foi est pour l'Eglise et pour chaque chrétien, en nous la présentant ici comme une partie intégrante de l'œuvre du salut et en faisant de la fidélité à confesser une condition, la seule qu'il énonce, pour parvenir au salut.

C'est bien ainsi que l'entendait l'Eglise des premiers siècles, puisque, même dans les temps où la confession emportait le sacrifice de la vie, elle excluait de son sein ceux qui n'avaient pas le courage de rendre ce témoignage.

Mais comment comprendre que certains chrétiens ayant rempli toutes les conditions de Romain 10 : 9-11. Sont encore caractérisés par la violence, la méchanceté, l’impudicité, la cupidité, le vol etc ? La réponse est ceci : « Tous les croyants sont baptisés de l’Esprit, mais tous ne sont pas nécessairement remplis de l’Esprit, »

La plénitude est l'état normal du chrétien. Jésus-Christ baptise le croyant et le remplit du Saint-Esprit dès sa conversion. Ce fut le cas de Saul de Tarse lors de sa « reddition » au Seigneur (cp. Actes 9:17), et des païens d'Antioche de Pisidie lorsqu'ils se tournèrent vers Jésus-Christ après avoir entendu la parole du Seigneur (cp. Actes 13:52).

 Il n’est donc pas vrai de considérer la plénitude comme un état exceptionnel ; cela provient du fait que nous nous habituons à la médiocrité. C’est au contraire l’absence de cette plénitude qui constitue un état anormal, qui ne glorifie pas le Seigneur, n'édifie pas l'Eglise et n'attire pas les inconvertis à Jésus.


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: Être baptisé du Saint Esprit n’est pas synonyme d’être rempli du Saint Esprit ! Romain 10 : 9-11

« vu que, si de ta bouche tu confesses Jésus comme Seigneur et si tu crois dans ton cœur que Dieu l'a ressuscité des morts, tu seras sauvé. 10. Car c'est du cœur qu'on croit pour parvenir à la justice, et c'est de la bouche qu'on confesse pour parvenir au salut. 11. En effet, l'Ecriture dit  Quiconque croit en lui ne sera point confus. »

Auditrice et auditeurs de Loope sur les versets confus ou controversés de la Bible,

Il n’est pas rare de voir des chrétiens avec des comportements païen et pourtant, ils croient bien au Seigneur Jésus, ils ont bel et bien confessé Christ comme leur Seigneur et sauveur personnel ce qui veut dire qu’ils sont baptisés du Saint Esprit. Mais Quand on regarde de près le comportement qu’affichent ces derniers, on a tendance à les considérer comme des païens. Cependant ils sont bel et bien chrétiens, et nous devons les considérés comme tel,  cela ne dépend pas de nous, c’est un don de Dieu.

L'apôtre transforme la déclaration du verset précèdent en un principe général. Il revient à l'ordre dans lequel les deux actes se succèdent : la foi du cœur d'abord, puis la confession de la bouche.

Justice et salut ne sont pas deux termes synonymes, qui seraient employés seulement pour imprimer à la phrase le parallélisme poétique.

Le salut est le but ; la justice, ou justification, est la condition du salut et le gage donné au croyant qu'il y parviendra. (Romains 5.9,10) Car la justification qui ne produirait pas le salut c'est-à-dire la délivrance finale du péché et de la mort, ne serait pas la vraie justification.

De même, il y a corrélation entre croire et confesser : toute foi qui ne s'affirmerait pas par la confession ne serait pas une foi authentique. "J'ai cru c'est pourquoi j'ai parlé."

L'apôtre montre de quelle importance la confession de la foi est pour l'Eglise et pour chaque chrétien, en nous la présentant ici comme une partie intégrante de l'œuvre du salut et en faisant de la fidélité à confesser une condition, la seule qu'il énonce, pour parvenir au salut.

C'est bien ainsi que l'entendait l'Eglise des premiers siècles, puisque, même dans les temps où la confession emportait le sacrifice de la vie, elle excluait de son sein ceux qui n'avaient pas le courage de rendre ce témoignage.

Mais comment comprendre que certains chrétiens ayant rempli toutes les conditions de Romain 10 : 9-11. Sont encore caractérisés par la violence, la méchanceté, l’impudicité, la cupidité, le vol etc ? La réponse est ceci : « Tous les croyants sont baptisés de l’Esprit, mais tous ne sont pas nécessairement remplis de l’Esprit, »

La plénitude est l'état normal du chrétien. Jésus-Christ baptise le croyant et le remplit du Saint-Esprit dès sa conversion. Ce fut le cas de Saul de Tarse lors de sa « reddition » au Seigneur (cp. Actes 9:17), et des païens d'Antioche de Pisidie lorsqu'ils se tournèrent vers Jésus-Christ après avoir entendu la parole du Seigneur (cp. Actes 13:52).

 Il n’est donc pas vrai de considérer la plénitude comme un état exceptionnel ; cela provient du fait que nous nous habituons à la médiocrité. C’est au contraire l’absence de cette plénitude qui constitue un état anormal, qui ne glorifie pas le Seigneur, n'édifie pas l'Eglise et n'attire pas les inconvertis à Jésus.


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