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#36 On parle des dangers de la pilule contraceptive... cover
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LOVECARE, le podcast de Thérèse.

#36 On parle des dangers de la pilule contraceptive...

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44min |07/06/2024
Play
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Description

A 18 ans, Marion Larat s’écroule victime d’un AVC massif causé par la pilule contraceptive. C’est du moins ce qu’elle découvrira cinq ans plus tard, après que l’on lui ai caché cette vérité. S’en est suivi une longue rééducation pour retrouver l’usage de la parole et de la locomotion. Aujourd’hui, elle reste paralysée du côté droit et souffre d’aphasie.

 

En 2013, elle raconte son histoire et le scandale de la pilule contraceptive éclate au grand jour.

 

Entre 50 et 200 femmes meurent chaque année en France à cause de la pilule. Environ 2 500 accidents graves comme des AVC, des embolies pulmonaires, des thromboses sont provoqués par la prise d’hormones de synthèse. C’est énorme, c’est révoltant.

 

Prescrire un médicament à des femmes qui sont en bonne santé pour maîtriser leur fertilité, il est là, le véritable problème. Les médicaments ont toujours potentiellement des effets secondaires et avec la contraception hormonale, on risque de provoquer la maladie sur un corps sain.

 

Dans cet épisode, Marion revient sur son histoire et nous livre les raisons de son combat.

 

Après avoir publié en 2014 La pilule est amer chez Stock, elle sort une bande dessinée avec Binet chez Dargaud, Marion. Elle veut informer la société, éviter aux femmes l’accident qu’elle a vécu et faire changer les mentalités.  

 

Au nom de quoi faudrait-il taire ces drames ?

Pourquoi les féministes ne reconnaissent-elles pas qu’elles se sont trompées ?

Comment est-il possible que toutes les femmes ne se révoltent pas contre cette injustice ?

 

Marion est une femme d’un courage immense, j’ai été bouleversée de la rencontrer.

Elle m’a émue jusqu’aux larmes. Son histoire aurait pu être la mienne, la vôtre.   

 

De mon côté, je dénonce depuis mon adolescence les discours qui associent la pilule à la libération sexuelle des femmes. On m’a dégagé de l’université de la Sorbonne pour avoir osé écrire à ce sujet, on m’empêche de parler dans certains lycées par peur que j’informe les jeunes, on me diabolise parce que je remets en cause la pilule. Encore en 2024, oui.

 

Mais en écoutant Marion, j’ai réalisé combien je n’en faisais pas assez et que c’était beaucoup plus grave encore que ce que je pensais !

 

Il existe des alternatives à la pilule.

 

Au micro de LOVECARE, j’ai reçu trois femmes qui font un travail exceptionnel. Marion Vallet est sage-femme et elle forme les professionnels de la santé sur le cycle féminin. Laurène Sindicic est naturopathe, fondatrice d’Emancipées et transmet aux femmes et aux hommes toutes les connaissances sur la fertilité pour leur redonner le pouvoir. Cécile de Williencourt est sage-femme et, entre autres choses, enseigne aux jeunes filles tout ce qu'elles doivent savoir sur leur cycle.

 

Écoutez ces épisodes.

Partagez-les autour de vous.

Lisez le livre de Marion.

Informez-vous sur les alternatives.  

 

Nous sommes la génération de femmes qui voulons réaliser le projet de libération sexuelle exprimé par nos grands-parents mais nous pensons que la pilule n’est pas le bon moyen pour y parvenir.

 

T.

 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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A 18 ans, Marion Larat s’écroule victime d’un AVC massif causé par la pilule contraceptive. C’est du moins ce qu’elle découvrira cinq ans plus tard, après que l’on lui ai caché cette vérité. S’en est suivi une longue rééducation pour retrouver l’usage de la parole et de la locomotion. Aujourd’hui, elle reste paralysée du côté droit et souffre d’aphasie.

 

En 2013, elle raconte son histoire et le scandale de la pilule contraceptive éclate au grand jour.

 

Entre 50 et 200 femmes meurent chaque année en France à cause de la pilule. Environ 2 500 accidents graves comme des AVC, des embolies pulmonaires, des thromboses sont provoqués par la prise d’hormones de synthèse. C’est énorme, c’est révoltant.

 

Prescrire un médicament à des femmes qui sont en bonne santé pour maîtriser leur fertilité, il est là, le véritable problème. Les médicaments ont toujours potentiellement des effets secondaires et avec la contraception hormonale, on risque de provoquer la maladie sur un corps sain.

 

Dans cet épisode, Marion revient sur son histoire et nous livre les raisons de son combat.

 

Après avoir publié en 2014 La pilule est amer chez Stock, elle sort une bande dessinée avec Binet chez Dargaud, Marion. Elle veut informer la société, éviter aux femmes l’accident qu’elle a vécu et faire changer les mentalités.  

 

Au nom de quoi faudrait-il taire ces drames ?

Pourquoi les féministes ne reconnaissent-elles pas qu’elles se sont trompées ?

Comment est-il possible que toutes les femmes ne se révoltent pas contre cette injustice ?

 

Marion est une femme d’un courage immense, j’ai été bouleversée de la rencontrer.

Elle m’a émue jusqu’aux larmes. Son histoire aurait pu être la mienne, la vôtre.   

 

De mon côté, je dénonce depuis mon adolescence les discours qui associent la pilule à la libération sexuelle des femmes. On m’a dégagé de l’université de la Sorbonne pour avoir osé écrire à ce sujet, on m’empêche de parler dans certains lycées par peur que j’informe les jeunes, on me diabolise parce que je remets en cause la pilule. Encore en 2024, oui.

 

Mais en écoutant Marion, j’ai réalisé combien je n’en faisais pas assez et que c’était beaucoup plus grave encore que ce que je pensais !

 

Il existe des alternatives à la pilule.

 

Au micro de LOVECARE, j’ai reçu trois femmes qui font un travail exceptionnel. Marion Vallet est sage-femme et elle forme les professionnels de la santé sur le cycle féminin. Laurène Sindicic est naturopathe, fondatrice d’Emancipées et transmet aux femmes et aux hommes toutes les connaissances sur la fertilité pour leur redonner le pouvoir. Cécile de Williencourt est sage-femme et, entre autres choses, enseigne aux jeunes filles tout ce qu'elles doivent savoir sur leur cycle.

 

Écoutez ces épisodes.

Partagez-les autour de vous.

Lisez le livre de Marion.

Informez-vous sur les alternatives.  

 

Nous sommes la génération de femmes qui voulons réaliser le projet de libération sexuelle exprimé par nos grands-parents mais nous pensons que la pilule n’est pas le bon moyen pour y parvenir.

 

T.

 


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A 18 ans, Marion Larat s’écroule victime d’un AVC massif causé par la pilule contraceptive. C’est du moins ce qu’elle découvrira cinq ans plus tard, après que l’on lui ai caché cette vérité. S’en est suivi une longue rééducation pour retrouver l’usage de la parole et de la locomotion. Aujourd’hui, elle reste paralysée du côté droit et souffre d’aphasie.

 

En 2013, elle raconte son histoire et le scandale de la pilule contraceptive éclate au grand jour.

 

Entre 50 et 200 femmes meurent chaque année en France à cause de la pilule. Environ 2 500 accidents graves comme des AVC, des embolies pulmonaires, des thromboses sont provoqués par la prise d’hormones de synthèse. C’est énorme, c’est révoltant.

 

Prescrire un médicament à des femmes qui sont en bonne santé pour maîtriser leur fertilité, il est là, le véritable problème. Les médicaments ont toujours potentiellement des effets secondaires et avec la contraception hormonale, on risque de provoquer la maladie sur un corps sain.

 

Dans cet épisode, Marion revient sur son histoire et nous livre les raisons de son combat.

 

Après avoir publié en 2014 La pilule est amer chez Stock, elle sort une bande dessinée avec Binet chez Dargaud, Marion. Elle veut informer la société, éviter aux femmes l’accident qu’elle a vécu et faire changer les mentalités.  

 

Au nom de quoi faudrait-il taire ces drames ?

Pourquoi les féministes ne reconnaissent-elles pas qu’elles se sont trompées ?

Comment est-il possible que toutes les femmes ne se révoltent pas contre cette injustice ?

 

Marion est une femme d’un courage immense, j’ai été bouleversée de la rencontrer.

Elle m’a émue jusqu’aux larmes. Son histoire aurait pu être la mienne, la vôtre.   

 

De mon côté, je dénonce depuis mon adolescence les discours qui associent la pilule à la libération sexuelle des femmes. On m’a dégagé de l’université de la Sorbonne pour avoir osé écrire à ce sujet, on m’empêche de parler dans certains lycées par peur que j’informe les jeunes, on me diabolise parce que je remets en cause la pilule. Encore en 2024, oui.

 

Mais en écoutant Marion, j’ai réalisé combien je n’en faisais pas assez et que c’était beaucoup plus grave encore que ce que je pensais !

 

Il existe des alternatives à la pilule.

 

Au micro de LOVECARE, j’ai reçu trois femmes qui font un travail exceptionnel. Marion Vallet est sage-femme et elle forme les professionnels de la santé sur le cycle féminin. Laurène Sindicic est naturopathe, fondatrice d’Emancipées et transmet aux femmes et aux hommes toutes les connaissances sur la fertilité pour leur redonner le pouvoir. Cécile de Williencourt est sage-femme et, entre autres choses, enseigne aux jeunes filles tout ce qu'elles doivent savoir sur leur cycle.

 

Écoutez ces épisodes.

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Lisez le livre de Marion.

Informez-vous sur les alternatives.  

 

Nous sommes la génération de femmes qui voulons réaliser le projet de libération sexuelle exprimé par nos grands-parents mais nous pensons que la pilule n’est pas le bon moyen pour y parvenir.

 

T.

 


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A 18 ans, Marion Larat s’écroule victime d’un AVC massif causé par la pilule contraceptive. C’est du moins ce qu’elle découvrira cinq ans plus tard, après que l’on lui ai caché cette vérité. S’en est suivi une longue rééducation pour retrouver l’usage de la parole et de la locomotion. Aujourd’hui, elle reste paralysée du côté droit et souffre d’aphasie.

 

En 2013, elle raconte son histoire et le scandale de la pilule contraceptive éclate au grand jour.

 

Entre 50 et 200 femmes meurent chaque année en France à cause de la pilule. Environ 2 500 accidents graves comme des AVC, des embolies pulmonaires, des thromboses sont provoqués par la prise d’hormones de synthèse. C’est énorme, c’est révoltant.

 

Prescrire un médicament à des femmes qui sont en bonne santé pour maîtriser leur fertilité, il est là, le véritable problème. Les médicaments ont toujours potentiellement des effets secondaires et avec la contraception hormonale, on risque de provoquer la maladie sur un corps sain.

 

Dans cet épisode, Marion revient sur son histoire et nous livre les raisons de son combat.

 

Après avoir publié en 2014 La pilule est amer chez Stock, elle sort une bande dessinée avec Binet chez Dargaud, Marion. Elle veut informer la société, éviter aux femmes l’accident qu’elle a vécu et faire changer les mentalités.  

 

Au nom de quoi faudrait-il taire ces drames ?

Pourquoi les féministes ne reconnaissent-elles pas qu’elles se sont trompées ?

Comment est-il possible que toutes les femmes ne se révoltent pas contre cette injustice ?

 

Marion est une femme d’un courage immense, j’ai été bouleversée de la rencontrer.

Elle m’a émue jusqu’aux larmes. Son histoire aurait pu être la mienne, la vôtre.   

 

De mon côté, je dénonce depuis mon adolescence les discours qui associent la pilule à la libération sexuelle des femmes. On m’a dégagé de l’université de la Sorbonne pour avoir osé écrire à ce sujet, on m’empêche de parler dans certains lycées par peur que j’informe les jeunes, on me diabolise parce que je remets en cause la pilule. Encore en 2024, oui.

 

Mais en écoutant Marion, j’ai réalisé combien je n’en faisais pas assez et que c’était beaucoup plus grave encore que ce que je pensais !

 

Il existe des alternatives à la pilule.

 

Au micro de LOVECARE, j’ai reçu trois femmes qui font un travail exceptionnel. Marion Vallet est sage-femme et elle forme les professionnels de la santé sur le cycle féminin. Laurène Sindicic est naturopathe, fondatrice d’Emancipées et transmet aux femmes et aux hommes toutes les connaissances sur la fertilité pour leur redonner le pouvoir. Cécile de Williencourt est sage-femme et, entre autres choses, enseigne aux jeunes filles tout ce qu'elles doivent savoir sur leur cycle.

 

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Lisez le livre de Marion.

Informez-vous sur les alternatives.  

 

Nous sommes la génération de femmes qui voulons réaliser le projet de libération sexuelle exprimé par nos grands-parents mais nous pensons que la pilule n’est pas le bon moyen pour y parvenir.

 

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