Arrêtons de détourner le regard : traumas, abus, agressions cover
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Ma vie de Sorcière - Christel Célisse

Arrêtons de détourner le regard : traumas, abus, agressions

Arrêtons de détourner le regard : traumas, abus, agressions

37min |11/03/2025|

68

Play
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Ma vie de Sorcière - Christel Célisse

Arrêtons de détourner le regard : traumas, abus, agressions

Arrêtons de détourner le regard : traumas, abus, agressions

37min |11/03/2025|

68

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Description

Aujourd’hui, j’ai envie de te parler d’un sujet qui dérange : les abus, les agressions, le harcèlement.
Pas parce que c’est un "truc à la mode", mais parce que c’est une réalité que beaucoup de femmes (et d’hommes) vivent en silence.


Parce que se taire, c’est laisser faire.
Parce que ne pas nommer, c’est accepter que ça continue.
On fait semblant de ne pas voir, on détourne les yeux comme si ce n’était pas notre problème.
Et pourtant…


💥 Nommer, c’est faire exister.

On ne peut pas guérir ce qu’on refuse de voir.
On ne peut pas changer une société si on n’a pas le courage de mettre des mots sur l’inacceptable.

Dire "j’ai été victime d’abus", ce n’est pas se plaindre.
C’est oser regarder la vérité en face.
C’est ouvrir la voie pour que d’autres puissent aussi parler.


Combien de victimes, même après une agression, s’entendent dire :

  • "C’est pas si grave."

  • "T’as vu comment tu t’habilles aussi ?"

  • "Il a juste essayé de te draguer."

Et cette culpabilité, c’est elles qui la portent.
Alors qu’elle ne leur appartient pas.


On nous a appris, dès l’enfance, à accepter les violences sous prétexte "qu’il t’aime bien", "qu’il est maladroit", "qu’il taquine".
Parce qu’on nous apprend que notre corps est dangereux, qu’il "provoque".
Parce qu’on nous fait croire que si on se fait toucher, c’est qu’on l’a bien cherché.
Parce qu’on nous a inculqué que notre sensualité, notre sexualité, nos désirs sont sales, honteux.

Et à force de vivre dans ce schéma-là, on s’habitue.


Peu importe la forme :
👉 Une parole déplacée.
👉 Une main sur ton corps sans ton accord.
👉 Un regard insistant et dérangeant.
👉 Une pression pour avoir une relation sexuelle.

Tout ça, c’est grave.


Et tu n’as pas à minimiser ce que tu ressens.
Tu n’as pas à te dire "ce n’est pas si important".
Ton corps t’appartient. Ton histoire est légitime. Ta douleur a le droit d’exister.


Je souhaite t'accompagner à reprendre ton pouvoir.

Être une femme, c’est porter dans ses cellules des siècles d’oppression, de silences, de violences.
Mais aujourd’hui, on peut se libérer.

En reprenant notre place, en ouvrant notre bouche, en reconnectant à notre corps, notre sensualité, notre puissance.


Comment se libérer ?

💫 Nommer les choses.

💫 Se réapproprier son corps.
Bouger, danser, se regarder avec amour.
Faire de la place à la sensualité, à la sexualité choisie, libre, puissante.

💫 Oser parler.
Chercher du soutien. Partager à quelqu’un de confiance. Rejoindre un cercle.

💫 Se libérer de la honte.
Parce que ce n’est pas toi qui es sale. Ce n’est pas toi qui dois avoir honte.

💫 Travailler sur ton énergie féminine.


Et si toi aussi tu veux libérer cette puissance, si tu veux reconnecter à ton énergie féminine sacrée, viens nous rejoindre lors de la retraite "L’Éclosion des Déesses".
Une retraite pour :
Guérir.
Se libérer.

👉 Tous les détails de la retraite ici : https://christelcelisse.systeme.io/retraite-feminin-sacre


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Aujourd’hui, j’ai envie de te parler d’un sujet qui dérange : les abus, les agressions, le harcèlement.
Pas parce que c’est un "truc à la mode", mais parce que c’est une réalité que beaucoup de femmes (et d’hommes) vivent en silence.


Parce que se taire, c’est laisser faire.
Parce que ne pas nommer, c’est accepter que ça continue.
On fait semblant de ne pas voir, on détourne les yeux comme si ce n’était pas notre problème.
Et pourtant…


💥 Nommer, c’est faire exister.

On ne peut pas guérir ce qu’on refuse de voir.
On ne peut pas changer une société si on n’a pas le courage de mettre des mots sur l’inacceptable.

Dire "j’ai été victime d’abus", ce n’est pas se plaindre.
C’est oser regarder la vérité en face.
C’est ouvrir la voie pour que d’autres puissent aussi parler.


Combien de victimes, même après une agression, s’entendent dire :

  • "C’est pas si grave."

  • "T’as vu comment tu t’habilles aussi ?"

  • "Il a juste essayé de te draguer."

Et cette culpabilité, c’est elles qui la portent.
Alors qu’elle ne leur appartient pas.


On nous a appris, dès l’enfance, à accepter les violences sous prétexte "qu’il t’aime bien", "qu’il est maladroit", "qu’il taquine".
Parce qu’on nous apprend que notre corps est dangereux, qu’il "provoque".
Parce qu’on nous fait croire que si on se fait toucher, c’est qu’on l’a bien cherché.
Parce qu’on nous a inculqué que notre sensualité, notre sexualité, nos désirs sont sales, honteux.

Et à force de vivre dans ce schéma-là, on s’habitue.


Peu importe la forme :
👉 Une parole déplacée.
👉 Une main sur ton corps sans ton accord.
👉 Un regard insistant et dérangeant.
👉 Une pression pour avoir une relation sexuelle.

Tout ça, c’est grave.


Et tu n’as pas à minimiser ce que tu ressens.
Tu n’as pas à te dire "ce n’est pas si important".
Ton corps t’appartient. Ton histoire est légitime. Ta douleur a le droit d’exister.


Je souhaite t'accompagner à reprendre ton pouvoir.

Être une femme, c’est porter dans ses cellules des siècles d’oppression, de silences, de violences.
Mais aujourd’hui, on peut se libérer.

En reprenant notre place, en ouvrant notre bouche, en reconnectant à notre corps, notre sensualité, notre puissance.


Comment se libérer ?

💫 Nommer les choses.

💫 Se réapproprier son corps.
Bouger, danser, se regarder avec amour.
Faire de la place à la sensualité, à la sexualité choisie, libre, puissante.

💫 Oser parler.
Chercher du soutien. Partager à quelqu’un de confiance. Rejoindre un cercle.

💫 Se libérer de la honte.
Parce que ce n’est pas toi qui es sale. Ce n’est pas toi qui dois avoir honte.

💫 Travailler sur ton énergie féminine.


Et si toi aussi tu veux libérer cette puissance, si tu veux reconnecter à ton énergie féminine sacrée, viens nous rejoindre lors de la retraite "L’Éclosion des Déesses".
Une retraite pour :
Guérir.
Se libérer.

👉 Tous les détails de la retraite ici : https://christelcelisse.systeme.io/retraite-feminin-sacre


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Aujourd’hui, j’ai envie de te parler d’un sujet qui dérange : les abus, les agressions, le harcèlement.
Pas parce que c’est un "truc à la mode", mais parce que c’est une réalité que beaucoup de femmes (et d’hommes) vivent en silence.


Parce que se taire, c’est laisser faire.
Parce que ne pas nommer, c’est accepter que ça continue.
On fait semblant de ne pas voir, on détourne les yeux comme si ce n’était pas notre problème.
Et pourtant…


💥 Nommer, c’est faire exister.

On ne peut pas guérir ce qu’on refuse de voir.
On ne peut pas changer une société si on n’a pas le courage de mettre des mots sur l’inacceptable.

Dire "j’ai été victime d’abus", ce n’est pas se plaindre.
C’est oser regarder la vérité en face.
C’est ouvrir la voie pour que d’autres puissent aussi parler.


Combien de victimes, même après une agression, s’entendent dire :

  • "C’est pas si grave."

  • "T’as vu comment tu t’habilles aussi ?"

  • "Il a juste essayé de te draguer."

Et cette culpabilité, c’est elles qui la portent.
Alors qu’elle ne leur appartient pas.


On nous a appris, dès l’enfance, à accepter les violences sous prétexte "qu’il t’aime bien", "qu’il est maladroit", "qu’il taquine".
Parce qu’on nous apprend que notre corps est dangereux, qu’il "provoque".
Parce qu’on nous fait croire que si on se fait toucher, c’est qu’on l’a bien cherché.
Parce qu’on nous a inculqué que notre sensualité, notre sexualité, nos désirs sont sales, honteux.

Et à force de vivre dans ce schéma-là, on s’habitue.


Peu importe la forme :
👉 Une parole déplacée.
👉 Une main sur ton corps sans ton accord.
👉 Un regard insistant et dérangeant.
👉 Une pression pour avoir une relation sexuelle.

Tout ça, c’est grave.


Et tu n’as pas à minimiser ce que tu ressens.
Tu n’as pas à te dire "ce n’est pas si important".
Ton corps t’appartient. Ton histoire est légitime. Ta douleur a le droit d’exister.


Je souhaite t'accompagner à reprendre ton pouvoir.

Être une femme, c’est porter dans ses cellules des siècles d’oppression, de silences, de violences.
Mais aujourd’hui, on peut se libérer.

En reprenant notre place, en ouvrant notre bouche, en reconnectant à notre corps, notre sensualité, notre puissance.


Comment se libérer ?

💫 Nommer les choses.

💫 Se réapproprier son corps.
Bouger, danser, se regarder avec amour.
Faire de la place à la sensualité, à la sexualité choisie, libre, puissante.

💫 Oser parler.
Chercher du soutien. Partager à quelqu’un de confiance. Rejoindre un cercle.

💫 Se libérer de la honte.
Parce que ce n’est pas toi qui es sale. Ce n’est pas toi qui dois avoir honte.

💫 Travailler sur ton énergie féminine.


Et si toi aussi tu veux libérer cette puissance, si tu veux reconnecter à ton énergie féminine sacrée, viens nous rejoindre lors de la retraite "L’Éclosion des Déesses".
Une retraite pour :
Guérir.
Se libérer.

👉 Tous les détails de la retraite ici : https://christelcelisse.systeme.io/retraite-feminin-sacre


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Aujourd’hui, j’ai envie de te parler d’un sujet qui dérange : les abus, les agressions, le harcèlement.
Pas parce que c’est un "truc à la mode", mais parce que c’est une réalité que beaucoup de femmes (et d’hommes) vivent en silence.


Parce que se taire, c’est laisser faire.
Parce que ne pas nommer, c’est accepter que ça continue.
On fait semblant de ne pas voir, on détourne les yeux comme si ce n’était pas notre problème.
Et pourtant…


💥 Nommer, c’est faire exister.

On ne peut pas guérir ce qu’on refuse de voir.
On ne peut pas changer une société si on n’a pas le courage de mettre des mots sur l’inacceptable.

Dire "j’ai été victime d’abus", ce n’est pas se plaindre.
C’est oser regarder la vérité en face.
C’est ouvrir la voie pour que d’autres puissent aussi parler.


Combien de victimes, même après une agression, s’entendent dire :

  • "C’est pas si grave."

  • "T’as vu comment tu t’habilles aussi ?"

  • "Il a juste essayé de te draguer."

Et cette culpabilité, c’est elles qui la portent.
Alors qu’elle ne leur appartient pas.


On nous a appris, dès l’enfance, à accepter les violences sous prétexte "qu’il t’aime bien", "qu’il est maladroit", "qu’il taquine".
Parce qu’on nous apprend que notre corps est dangereux, qu’il "provoque".
Parce qu’on nous fait croire que si on se fait toucher, c’est qu’on l’a bien cherché.
Parce qu’on nous a inculqué que notre sensualité, notre sexualité, nos désirs sont sales, honteux.

Et à force de vivre dans ce schéma-là, on s’habitue.


Peu importe la forme :
👉 Une parole déplacée.
👉 Une main sur ton corps sans ton accord.
👉 Un regard insistant et dérangeant.
👉 Une pression pour avoir une relation sexuelle.

Tout ça, c’est grave.


Et tu n’as pas à minimiser ce que tu ressens.
Tu n’as pas à te dire "ce n’est pas si important".
Ton corps t’appartient. Ton histoire est légitime. Ta douleur a le droit d’exister.


Je souhaite t'accompagner à reprendre ton pouvoir.

Être une femme, c’est porter dans ses cellules des siècles d’oppression, de silences, de violences.
Mais aujourd’hui, on peut se libérer.

En reprenant notre place, en ouvrant notre bouche, en reconnectant à notre corps, notre sensualité, notre puissance.


Comment se libérer ?

💫 Nommer les choses.

💫 Se réapproprier son corps.
Bouger, danser, se regarder avec amour.
Faire de la place à la sensualité, à la sexualité choisie, libre, puissante.

💫 Oser parler.
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💫 Se libérer de la honte.
Parce que ce n’est pas toi qui es sale. Ce n’est pas toi qui dois avoir honte.

💫 Travailler sur ton énergie féminine.


Et si toi aussi tu veux libérer cette puissance, si tu veux reconnecter à ton énergie féminine sacrée, viens nous rejoindre lors de la retraite "L’Éclosion des Déesses".
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