Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières cover
Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières cover
Christel Célisse

Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières

Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières

27min |18/11/2025|

47

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Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières cover
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Christel Célisse

Ces femmes que l’histoire a tenté de faire taire — et ce qu’elles nous enseignent : Hatshepsout, Marie-Madeleine, les Sorcières

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Description

L’histoire est remplie de figures dont la liberté dérangeait, dont la souveraineté éclairait trop fort, dont la connexion au divin — intérieure, directe, indomptée — devenait une menace pour les structures établies.


À travers les siècles, trois figures féminines se répondent, trois femmes issues de cultures différentes, trois femmes que l’histoire a tenté de gommer pour la même raison : leur puissance ne rentrait pas dans les cadres.


Hatshepsout : la pharaonne

En Égypte, Hatshepsout a brisé l’ordre établi en s’emparant du rôle de pharaon. Elle a gouverné avec une intelligence visionnaire, apportant paix, prospérité, structures sacrées et stabilité. Après sa mort, on a effacé son nom, martelé ses statues, tenté de la faire disparaître comme si elle n’avait jamais existé.


Marie-Madeleine : l’apôtre effacée
On efface son nom, on détruit ses textes, on réécrit son rôle
Parce qu’admettre son lien privilégié avec le Christ, sa sagesse, sa place dans la transmission sacrée, revenait à reconnaître qu’une femme pouvait être dépositaire d’un enseignement divin.


Les sorcières : la liberté criminalisée
Des femmes libres, guérisseuses, sages, incarnées, vivant loin de l’autorité et proches de la nature.
Elles connaissaient les plantes, le corps, les cycles, le mystère.
Elles représentaient une autonomie insupportable pour un système basé sur le contrôle.


Le point commun entre toutes ces femmes ?

Elles étaient libres.
Libres dans leur façon de marcher vers Dieu, vers le vivant, vers leur âme.

Et cela, à travers les âges, a toujours été perçu comme dangereux.


Hérétique : un mot à réhabiliter

Le mot « hérétique » signifie, à l’origine : celui qui choisit.

Être hérétique, c’est refuser d’avaler les croyances toutes faites.
C’est refuser d’être divisé, séparé, limité.
C’est choisir sa voie, même si elle ne ressemble à aucune autre.

Tout mène au même endroit : Dieu, le Vivant, l’Amour

Quand on regarde les textes sacrés — égyptiens, hindous, païens, monothéistes — le message de fond est identique :
honorer le vivant, vivre en équilibre, marcher dans l’amour.


Tout cela mène au même lieu :
la rencontre avec toi-même, et à travers toi, avec le divin.

Il est temps d’arrêter de nous laisser diviser.
Il est temps d’arrêter de croire que la vérité est unique et fermée.


Créer sa voie spirituelle : l’appel de l’âme
Nous sommes venus pour créer notre propre relation au sacré.

Une voie en accord avec ton âme.
Une voie en accord avec le vivant.
Une voie reliée à la grande sagesse universelle : l’amour, l’unité, l’harmonie.

Redevenir souverain. Redevenir vivant. Redevenir libre.

En osant penser par toi-même.
En osant sortir des cases.
En osant écouter ce que ton cœur sait déjà.


Hatshepsout, Marie-Madeleine, les sorcières…
Elles nous montrent une chose :
lorsqu’on assume qui on est, lorsqu’on incarne sa vérité, lorsqu’on marche avec Dieu à l’intérieur,
on devient impossible à effacer.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

L’histoire est remplie de figures dont la liberté dérangeait, dont la souveraineté éclairait trop fort, dont la connexion au divin — intérieure, directe, indomptée — devenait une menace pour les structures établies.


À travers les siècles, trois figures féminines se répondent, trois femmes issues de cultures différentes, trois femmes que l’histoire a tenté de gommer pour la même raison : leur puissance ne rentrait pas dans les cadres.


Hatshepsout : la pharaonne

En Égypte, Hatshepsout a brisé l’ordre établi en s’emparant du rôle de pharaon. Elle a gouverné avec une intelligence visionnaire, apportant paix, prospérité, structures sacrées et stabilité. Après sa mort, on a effacé son nom, martelé ses statues, tenté de la faire disparaître comme si elle n’avait jamais existé.


Marie-Madeleine : l’apôtre effacée
On efface son nom, on détruit ses textes, on réécrit son rôle
Parce qu’admettre son lien privilégié avec le Christ, sa sagesse, sa place dans la transmission sacrée, revenait à reconnaître qu’une femme pouvait être dépositaire d’un enseignement divin.


Les sorcières : la liberté criminalisée
Des femmes libres, guérisseuses, sages, incarnées, vivant loin de l’autorité et proches de la nature.
Elles connaissaient les plantes, le corps, les cycles, le mystère.
Elles représentaient une autonomie insupportable pour un système basé sur le contrôle.


Le point commun entre toutes ces femmes ?

Elles étaient libres.
Libres dans leur façon de marcher vers Dieu, vers le vivant, vers leur âme.

Et cela, à travers les âges, a toujours été perçu comme dangereux.


Hérétique : un mot à réhabiliter

Le mot « hérétique » signifie, à l’origine : celui qui choisit.

Être hérétique, c’est refuser d’avaler les croyances toutes faites.
C’est refuser d’être divisé, séparé, limité.
C’est choisir sa voie, même si elle ne ressemble à aucune autre.

Tout mène au même endroit : Dieu, le Vivant, l’Amour

Quand on regarde les textes sacrés — égyptiens, hindous, païens, monothéistes — le message de fond est identique :
honorer le vivant, vivre en équilibre, marcher dans l’amour.


Tout cela mène au même lieu :
la rencontre avec toi-même, et à travers toi, avec le divin.

Il est temps d’arrêter de nous laisser diviser.
Il est temps d’arrêter de croire que la vérité est unique et fermée.


Créer sa voie spirituelle : l’appel de l’âme
Nous sommes venus pour créer notre propre relation au sacré.

Une voie en accord avec ton âme.
Une voie en accord avec le vivant.
Une voie reliée à la grande sagesse universelle : l’amour, l’unité, l’harmonie.

Redevenir souverain. Redevenir vivant. Redevenir libre.

En osant penser par toi-même.
En osant sortir des cases.
En osant écouter ce que ton cœur sait déjà.


Hatshepsout, Marie-Madeleine, les sorcières…
Elles nous montrent une chose :
lorsqu’on assume qui on est, lorsqu’on incarne sa vérité, lorsqu’on marche avec Dieu à l’intérieur,
on devient impossible à effacer.


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L’histoire est remplie de figures dont la liberté dérangeait, dont la souveraineté éclairait trop fort, dont la connexion au divin — intérieure, directe, indomptée — devenait une menace pour les structures établies.


À travers les siècles, trois figures féminines se répondent, trois femmes issues de cultures différentes, trois femmes que l’histoire a tenté de gommer pour la même raison : leur puissance ne rentrait pas dans les cadres.


Hatshepsout : la pharaonne

En Égypte, Hatshepsout a brisé l’ordre établi en s’emparant du rôle de pharaon. Elle a gouverné avec une intelligence visionnaire, apportant paix, prospérité, structures sacrées et stabilité. Après sa mort, on a effacé son nom, martelé ses statues, tenté de la faire disparaître comme si elle n’avait jamais existé.


Marie-Madeleine : l’apôtre effacée
On efface son nom, on détruit ses textes, on réécrit son rôle
Parce qu’admettre son lien privilégié avec le Christ, sa sagesse, sa place dans la transmission sacrée, revenait à reconnaître qu’une femme pouvait être dépositaire d’un enseignement divin.


Les sorcières : la liberté criminalisée
Des femmes libres, guérisseuses, sages, incarnées, vivant loin de l’autorité et proches de la nature.
Elles connaissaient les plantes, le corps, les cycles, le mystère.
Elles représentaient une autonomie insupportable pour un système basé sur le contrôle.


Le point commun entre toutes ces femmes ?

Elles étaient libres.
Libres dans leur façon de marcher vers Dieu, vers le vivant, vers leur âme.

Et cela, à travers les âges, a toujours été perçu comme dangereux.


Hérétique : un mot à réhabiliter

Le mot « hérétique » signifie, à l’origine : celui qui choisit.

Être hérétique, c’est refuser d’avaler les croyances toutes faites.
C’est refuser d’être divisé, séparé, limité.
C’est choisir sa voie, même si elle ne ressemble à aucune autre.

Tout mène au même endroit : Dieu, le Vivant, l’Amour

Quand on regarde les textes sacrés — égyptiens, hindous, païens, monothéistes — le message de fond est identique :
honorer le vivant, vivre en équilibre, marcher dans l’amour.


Tout cela mène au même lieu :
la rencontre avec toi-même, et à travers toi, avec le divin.

Il est temps d’arrêter de nous laisser diviser.
Il est temps d’arrêter de croire que la vérité est unique et fermée.


Créer sa voie spirituelle : l’appel de l’âme
Nous sommes venus pour créer notre propre relation au sacré.

Une voie en accord avec ton âme.
Une voie en accord avec le vivant.
Une voie reliée à la grande sagesse universelle : l’amour, l’unité, l’harmonie.

Redevenir souverain. Redevenir vivant. Redevenir libre.

En osant penser par toi-même.
En osant sortir des cases.
En osant écouter ce que ton cœur sait déjà.


Hatshepsout, Marie-Madeleine, les sorcières…
Elles nous montrent une chose :
lorsqu’on assume qui on est, lorsqu’on incarne sa vérité, lorsqu’on marche avec Dieu à l’intérieur,
on devient impossible à effacer.


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Description

L’histoire est remplie de figures dont la liberté dérangeait, dont la souveraineté éclairait trop fort, dont la connexion au divin — intérieure, directe, indomptée — devenait une menace pour les structures établies.


À travers les siècles, trois figures féminines se répondent, trois femmes issues de cultures différentes, trois femmes que l’histoire a tenté de gommer pour la même raison : leur puissance ne rentrait pas dans les cadres.


Hatshepsout : la pharaonne

En Égypte, Hatshepsout a brisé l’ordre établi en s’emparant du rôle de pharaon. Elle a gouverné avec une intelligence visionnaire, apportant paix, prospérité, structures sacrées et stabilité. Après sa mort, on a effacé son nom, martelé ses statues, tenté de la faire disparaître comme si elle n’avait jamais existé.


Marie-Madeleine : l’apôtre effacée
On efface son nom, on détruit ses textes, on réécrit son rôle
Parce qu’admettre son lien privilégié avec le Christ, sa sagesse, sa place dans la transmission sacrée, revenait à reconnaître qu’une femme pouvait être dépositaire d’un enseignement divin.


Les sorcières : la liberté criminalisée
Des femmes libres, guérisseuses, sages, incarnées, vivant loin de l’autorité et proches de la nature.
Elles connaissaient les plantes, le corps, les cycles, le mystère.
Elles représentaient une autonomie insupportable pour un système basé sur le contrôle.


Le point commun entre toutes ces femmes ?

Elles étaient libres.
Libres dans leur façon de marcher vers Dieu, vers le vivant, vers leur âme.

Et cela, à travers les âges, a toujours été perçu comme dangereux.


Hérétique : un mot à réhabiliter

Le mot « hérétique » signifie, à l’origine : celui qui choisit.

Être hérétique, c’est refuser d’avaler les croyances toutes faites.
C’est refuser d’être divisé, séparé, limité.
C’est choisir sa voie, même si elle ne ressemble à aucune autre.

Tout mène au même endroit : Dieu, le Vivant, l’Amour

Quand on regarde les textes sacrés — égyptiens, hindous, païens, monothéistes — le message de fond est identique :
honorer le vivant, vivre en équilibre, marcher dans l’amour.


Tout cela mène au même lieu :
la rencontre avec toi-même, et à travers toi, avec le divin.

Il est temps d’arrêter de nous laisser diviser.
Il est temps d’arrêter de croire que la vérité est unique et fermée.


Créer sa voie spirituelle : l’appel de l’âme
Nous sommes venus pour créer notre propre relation au sacré.

Une voie en accord avec ton âme.
Une voie en accord avec le vivant.
Une voie reliée à la grande sagesse universelle : l’amour, l’unité, l’harmonie.

Redevenir souverain. Redevenir vivant. Redevenir libre.

En osant penser par toi-même.
En osant sortir des cases.
En osant écouter ce que ton cœur sait déjà.


Hatshepsout, Marie-Madeleine, les sorcières…
Elles nous montrent une chose :
lorsqu’on assume qui on est, lorsqu’on incarne sa vérité, lorsqu’on marche avec Dieu à l’intérieur,
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