Vairāgya : Le Détachement qui Ouvre les Portes de l'Abondance cover
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Ma vie de Sorcière - Christel Célisse

Vairāgya : Le Détachement qui Ouvre les Portes de l'Abondance

Vairāgya : Le Détachement qui Ouvre les Portes de l'Abondance

21min |17/06/2025|

54

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Vairāgya : Le Détachement qui Ouvre les Portes de l'Abondance

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Description

Et pour cela, il y a un concept dont j’ai envie de te parler aujourd’hui : Vairāgya, le détachement.


C’est un des piliers du Yoga selon les Yoga Sūtra de Patañjali. Vairāgya est souvent traduit par « détachement ». Mais attention : ce n’est ni du rejet, ni de l’indifférence, ni une carapace qu’on se forge pour éviter de souffrir. C’est un mouvement d’amour.


Détachement ne veut pas dire « se couper ». Il s’agit plutôt de savoir vivre, aimer, créer, ressentir... sans s’accrocher. C’est une danse avec la vie, où l’on goûte tout, mais sans vouloir tout posséder. C’est embrasser le mouvement sans chercher à le figer. Ce n’est pas une fuite du monde, c’est une fusion avec lui, mais sans dépendance.

Patañjali parle de deux niveaux de détachement :

  1. Le premier, plus accessible, concerne ce que l’on perçoit et ressent. Se libérer du besoin d’avoir, de désirer, d’accumuler.

  2. Le second est plus subtil : il concerne le renoncement au besoin d’être « quelqu’un ». Ne plus courir après la reconnaissance, la réussite, la sagesse ou même l’accomplissement spirituel. Juste être. Dans l’étendue du Soi.

Et c’est justement cette deuxième forme que j’ai rencontrée ces derniers mois.


Le détachement n’est pas un renoncement, c’est une libération.

Il ne s’agit pas d’être insensible, rigide ou au-dessus de tout. Il s’agit d’être en paix avec ce qui est. D’aimer sans posséder. De remercier même les épreuves. C’est une sagesse tendre, une confiance radicale dans la vie.

Ce que j’observe dans mes accompagnements, c’est que ce sont souvent les attachements à l’image, aux attentes, au regard des autres qui bloquent l’abondance. Parce qu’on croit que l’abondance est à mériter, à atteindre, à valider. Mais non. Elle se reçoit. Et pour la recevoir, il faut s’abandonner. Vraiment.

Se détacher des résultats. Des objectifs. De la peur de ne pas être assez. Se reconnecter à cette vérité qui réside au-delà des illusions de l’ego.


L’abondance ne répond pas à la peur. Elle résonne avec l’abandon.

Et c’est tout le propos de l’immersion Abondance que j’ai créée. Un espace vibratoire pour reprogrammer ce qui entrave la réception, pour faire tomber les derniers voiles, pour reconnecter la structure à la fréquence de l’abondance divine. Nous commençons par un soin énergétique et une hypnose de déprogrammation, poursuivons avec des constellations systémiques et un réencodage cellulaire profond.

Tout est prêt pour que tu reçoives, si tu es prêt(e) à te détacher, à t’abandonner, à faire confiance.

Parce que tu es déjà cette vague de l’océan. Tu n’as rien à mériter. Rien à prouver. Juste à vibrer.

Tu es. Et c’est suffisant.

L’immersion Abondance reste ouverte jusqu'à ce soir minuit. Si tu ressens l’appel, je serai honorée de t’y accueillir. Toutes les infos sont ici


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Et pour cela, il y a un concept dont j’ai envie de te parler aujourd’hui : Vairāgya, le détachement.


C’est un des piliers du Yoga selon les Yoga Sūtra de Patañjali. Vairāgya est souvent traduit par « détachement ». Mais attention : ce n’est ni du rejet, ni de l’indifférence, ni une carapace qu’on se forge pour éviter de souffrir. C’est un mouvement d’amour.


Détachement ne veut pas dire « se couper ». Il s’agit plutôt de savoir vivre, aimer, créer, ressentir... sans s’accrocher. C’est une danse avec la vie, où l’on goûte tout, mais sans vouloir tout posséder. C’est embrasser le mouvement sans chercher à le figer. Ce n’est pas une fuite du monde, c’est une fusion avec lui, mais sans dépendance.

Patañjali parle de deux niveaux de détachement :

  1. Le premier, plus accessible, concerne ce que l’on perçoit et ressent. Se libérer du besoin d’avoir, de désirer, d’accumuler.

  2. Le second est plus subtil : il concerne le renoncement au besoin d’être « quelqu’un ». Ne plus courir après la reconnaissance, la réussite, la sagesse ou même l’accomplissement spirituel. Juste être. Dans l’étendue du Soi.

Et c’est justement cette deuxième forme que j’ai rencontrée ces derniers mois.


Le détachement n’est pas un renoncement, c’est une libération.

Il ne s’agit pas d’être insensible, rigide ou au-dessus de tout. Il s’agit d’être en paix avec ce qui est. D’aimer sans posséder. De remercier même les épreuves. C’est une sagesse tendre, une confiance radicale dans la vie.

Ce que j’observe dans mes accompagnements, c’est que ce sont souvent les attachements à l’image, aux attentes, au regard des autres qui bloquent l’abondance. Parce qu’on croit que l’abondance est à mériter, à atteindre, à valider. Mais non. Elle se reçoit. Et pour la recevoir, il faut s’abandonner. Vraiment.

Se détacher des résultats. Des objectifs. De la peur de ne pas être assez. Se reconnecter à cette vérité qui réside au-delà des illusions de l’ego.


L’abondance ne répond pas à la peur. Elle résonne avec l’abandon.

Et c’est tout le propos de l’immersion Abondance que j’ai créée. Un espace vibratoire pour reprogrammer ce qui entrave la réception, pour faire tomber les derniers voiles, pour reconnecter la structure à la fréquence de l’abondance divine. Nous commençons par un soin énergétique et une hypnose de déprogrammation, poursuivons avec des constellations systémiques et un réencodage cellulaire profond.

Tout est prêt pour que tu reçoives, si tu es prêt(e) à te détacher, à t’abandonner, à faire confiance.

Parce que tu es déjà cette vague de l’océan. Tu n’as rien à mériter. Rien à prouver. Juste à vibrer.

Tu es. Et c’est suffisant.

L’immersion Abondance reste ouverte jusqu'à ce soir minuit. Si tu ressens l’appel, je serai honorée de t’y accueillir. Toutes les infos sont ici


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Et pour cela, il y a un concept dont j’ai envie de te parler aujourd’hui : Vairāgya, le détachement.


C’est un des piliers du Yoga selon les Yoga Sūtra de Patañjali. Vairāgya est souvent traduit par « détachement ». Mais attention : ce n’est ni du rejet, ni de l’indifférence, ni une carapace qu’on se forge pour éviter de souffrir. C’est un mouvement d’amour.


Détachement ne veut pas dire « se couper ». Il s’agit plutôt de savoir vivre, aimer, créer, ressentir... sans s’accrocher. C’est une danse avec la vie, où l’on goûte tout, mais sans vouloir tout posséder. C’est embrasser le mouvement sans chercher à le figer. Ce n’est pas une fuite du monde, c’est une fusion avec lui, mais sans dépendance.

Patañjali parle de deux niveaux de détachement :

  1. Le premier, plus accessible, concerne ce que l’on perçoit et ressent. Se libérer du besoin d’avoir, de désirer, d’accumuler.

  2. Le second est plus subtil : il concerne le renoncement au besoin d’être « quelqu’un ». Ne plus courir après la reconnaissance, la réussite, la sagesse ou même l’accomplissement spirituel. Juste être. Dans l’étendue du Soi.

Et c’est justement cette deuxième forme que j’ai rencontrée ces derniers mois.


Le détachement n’est pas un renoncement, c’est une libération.

Il ne s’agit pas d’être insensible, rigide ou au-dessus de tout. Il s’agit d’être en paix avec ce qui est. D’aimer sans posséder. De remercier même les épreuves. C’est une sagesse tendre, une confiance radicale dans la vie.

Ce que j’observe dans mes accompagnements, c’est que ce sont souvent les attachements à l’image, aux attentes, au regard des autres qui bloquent l’abondance. Parce qu’on croit que l’abondance est à mériter, à atteindre, à valider. Mais non. Elle se reçoit. Et pour la recevoir, il faut s’abandonner. Vraiment.

Se détacher des résultats. Des objectifs. De la peur de ne pas être assez. Se reconnecter à cette vérité qui réside au-delà des illusions de l’ego.


L’abondance ne répond pas à la peur. Elle résonne avec l’abandon.

Et c’est tout le propos de l’immersion Abondance que j’ai créée. Un espace vibratoire pour reprogrammer ce qui entrave la réception, pour faire tomber les derniers voiles, pour reconnecter la structure à la fréquence de l’abondance divine. Nous commençons par un soin énergétique et une hypnose de déprogrammation, poursuivons avec des constellations systémiques et un réencodage cellulaire profond.

Tout est prêt pour que tu reçoives, si tu es prêt(e) à te détacher, à t’abandonner, à faire confiance.

Parce que tu es déjà cette vague de l’océan. Tu n’as rien à mériter. Rien à prouver. Juste à vibrer.

Tu es. Et c’est suffisant.

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C’est un des piliers du Yoga selon les Yoga Sūtra de Patañjali. Vairāgya est souvent traduit par « détachement ». Mais attention : ce n’est ni du rejet, ni de l’indifférence, ni une carapace qu’on se forge pour éviter de souffrir. C’est un mouvement d’amour.


Détachement ne veut pas dire « se couper ». Il s’agit plutôt de savoir vivre, aimer, créer, ressentir... sans s’accrocher. C’est une danse avec la vie, où l’on goûte tout, mais sans vouloir tout posséder. C’est embrasser le mouvement sans chercher à le figer. Ce n’est pas une fuite du monde, c’est une fusion avec lui, mais sans dépendance.

Patañjali parle de deux niveaux de détachement :

  1. Le premier, plus accessible, concerne ce que l’on perçoit et ressent. Se libérer du besoin d’avoir, de désirer, d’accumuler.

  2. Le second est plus subtil : il concerne le renoncement au besoin d’être « quelqu’un ». Ne plus courir après la reconnaissance, la réussite, la sagesse ou même l’accomplissement spirituel. Juste être. Dans l’étendue du Soi.

Et c’est justement cette deuxième forme que j’ai rencontrée ces derniers mois.


Le détachement n’est pas un renoncement, c’est une libération.

Il ne s’agit pas d’être insensible, rigide ou au-dessus de tout. Il s’agit d’être en paix avec ce qui est. D’aimer sans posséder. De remercier même les épreuves. C’est une sagesse tendre, une confiance radicale dans la vie.

Ce que j’observe dans mes accompagnements, c’est que ce sont souvent les attachements à l’image, aux attentes, au regard des autres qui bloquent l’abondance. Parce qu’on croit que l’abondance est à mériter, à atteindre, à valider. Mais non. Elle se reçoit. Et pour la recevoir, il faut s’abandonner. Vraiment.

Se détacher des résultats. Des objectifs. De la peur de ne pas être assez. Se reconnecter à cette vérité qui réside au-delà des illusions de l’ego.


L’abondance ne répond pas à la peur. Elle résonne avec l’abandon.

Et c’est tout le propos de l’immersion Abondance que j’ai créée. Un espace vibratoire pour reprogrammer ce qui entrave la réception, pour faire tomber les derniers voiles, pour reconnecter la structure à la fréquence de l’abondance divine. Nous commençons par un soin énergétique et une hypnose de déprogrammation, poursuivons avec des constellations systémiques et un réencodage cellulaire profond.

Tout est prêt pour que tu reçoives, si tu es prêt(e) à te détacher, à t’abandonner, à faire confiance.

Parce que tu es déjà cette vague de l’océan. Tu n’as rien à mériter. Rien à prouver. Juste à vibrer.

Tu es. Et c’est suffisant.

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