undefined cover
undefined cover
#015_Te sens-tu sous pression ? cover
#015_Te sens-tu sous pression ? cover
Manuellakem's Talk

#015_Te sens-tu sous pression ?

#015_Te sens-tu sous pression ?

09min |21/11/2024|

1179

Play
undefined cover
undefined cover
#015_Te sens-tu sous pression ? cover
#015_Te sens-tu sous pression ? cover
Manuellakem's Talk

#015_Te sens-tu sous pression ?

#015_Te sens-tu sous pression ?

09min |21/11/2024|

1179

Play

Description

Dans cet épisode, je m’adresse à toi qui te sens peut-être submergé par la pression. Cette sensation écrasante, ce poids invisible qui nous pousse parfois à douter, à nous perdre, ou à nous dépasser. Que signifie réellement être sous pression ? Quelles en sont les causes ? Et surtout, comment pouvons-nous y faire face sans nous épuiser ?


Je te propose de décortiquer cette réalité que nous vivons tous à un moment ou un autre. Ensemble, nous allons explorer des pistes pour transformer cette pression en énergie constructive, comprendre ce qu’elle révèle de nous, et trouver des moyens de garder le cap, même dans les moments difficiles.


Installe-toi confortablement et prends ce temps pour toi. Cet épisode est une invitation à réfléchir, à te recentrer, et à apprendre à danser avec la pression, plutôt que de la subir.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou les précieuses et les précieux, aujourd'hui j'aimerais m'adresser à une personne en particulier, à toi qui passe par des moments difficiles, à toi qui vois cette fin d'année arriver et on est déjà au mois de novembre et tu te dis je ne sais pas comment va se finir mon année, parce que ce que je suis en train de vivre actuellement me dépasse tellement, je me demande comment je vais m'en sortir, à toi qui est dans le doute, à toi qui est dans la peur, à toi qui a l'impression que Dieu t'a abandonné. À toi qui as l'impression que pour tout le monde c'est facile, mais pour toi c'est tellement difficile. À toi qui sens le doute, la peur, la pression, j'aimerais te dire que Dieu est là. Il ne t'a pas abandonné. J'aimerais te dire une chose que, tu sais, les épreuves ne durent qu'un temps. Mais les épreuves sont là aussi pour nous forger. Les épreuves sont là pour nous donner du caractère. Il y a quelques jours, il y a une personne avec qui je parlais qui m'a dit, Mais Magali, toi... Tu as cette force de caractère qui est en toi que d'autres n'ont pas. Et je lui dis non, non, non. Je ne peux pas accepter ce que tu me dis. Parce que pour arriver à être celle que je suis aujourd'hui, j'ai trimé, j'ai dû apprendre. J'ai dû apprendre à garder la tête au-dessus de l'eau. J'ai dû apprendre à ne pas me noyer. J'ai dû apprendre à ne pas sombrer parce que les situations de la vie, telles qu'elles se sont présentées à moi, devaient faire en sorte si... je ne me battais pas avec ma propre vie, que je sombre dans l'alcool, dans le sexe, dans plein de choses mauvaises. Même j'ai pensé au suicide parce qu'à des moments, tu es tellement mal que tu te dis que à quoi bon vivre cette vie si c'est pour ressentir ce que je ressens ? Avez-vous déjà ressenti la douleur au point que vous passez la main sur votre corps, sur votre cœur et ça vous fait mal ? Alors non, je n'ai pas appris, je ne suis pas née forte. Je ne suis pas sortie du ventre de ma mère en faisant du karaté, en faisant des abdos, en niaisant des phrases motivantes, en exprimant, en lisant ma Bible. Non, la vie m'a appris, la pression m'a forgé. Tu vois, quand je te parle, là, je vois une orange. Une orange, quand tu veux avoir son jus, qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas la presser, tu vas la presser, tu vas la presser jusqu'à ce que le jus sorte. Tu vas la presser souvent, même quand tu as fini de presser. Tu prends une cuillère et tu grattes l'intérieur et de la pulpe même, parce que tu ne veux rien manquer de ce jus, de ce fruit. C'est ce que font les épreuves. C'est ce que font les épreuves. Les épreuves font sortir de nous le meilleur. Vous savez, actuellement, moi aussi, je passe une période assez spéciale dans ma vie. Et pourquoi je dis spéciale ? Parce que je ne veux pas dire compliqué. Parce qu'au début, je disais que c'était compliqué, mais je dis non. Si Dieu me permet que je passe par là, c'est qu'il veut me faire comprendre quelque chose. Il veut m'apprendre quelque chose. Et moi maintenant, ma raison de vivre est maintenant là. Parce que j'ai l'habitude dans ma relation avec Dieu. Je demande au Seigneur, qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Le Seigneur m'a appris à voir le bien dans le mal. Quand tout te fait pleurer, quand tout te fait sombrer, au point de perdre du poids, au point de perdre tes cheveux, au point de pleurer de... de vouloir même limite caresser la dépression. Et là, tu te reprends, tu te dis, ok, non, pourquoi je vais être dépressive ? Pourquoi cette situation va me rendre mal ? Quelle leçon je peux tirer ? Quelle chose positive je veux tirer de cette situation ? Et je partagerai mon témoignage dans quelques jours. Et vous verrez que dans le mal, Dieu crée des opportunités. Des opportunités de reconstruction. des opportunités de guérison, des opportunités tellement belles. Mais si tu regardes la situation du premier abord, tu te diras, cette relation, cette situation, ce phénomène n'est pas pour mon bien, c'est pour me tuer, c'est pour m'abattre. Mais Dieu ne voudra jamais t'abattre. Dieu veut nous faire grandir. Alors cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit de pleurer, cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit d'avoir des émotions, non, loin de là. Cela veut dire qu'il y a un temps pour tout sous le soleil. Il y a un temps pour pleurer. Il y a un temps pour rire. Il y a un temps pour rêver. Tu sais, dans la Bible, il est écrit qu'au jour du malheur, réfléchis. Je répète, au jour du malheur, réfléchis. Donc, s'il y a quelque chose de mauvais que tu trouves qui se passe dans ta vie, ça veut dire que ce n'est pas le temps de pleurer. Il faut pleurer un temps, pas trop longtemps. Mais il faut t'asseoir, il faut que tu réfléchisses. Il faut que tu réfléchisses à la situation. Il faut que tu réfléchisses à ce qui a amené à ce que cette situation arrive. Il faut que tu demandes au Seigneur, parle-moi, parle-moi, je veux t'entendre, parle-moi. Et tu sais, lorsque tu dis à Dieu de te parler, il te parlera toujours. Tu sais, lorsqu'il y avait les disciples dans la barque, ils étaient avec Jésus et il y avait la tempête. Dans la barque, il y avait Jésus et ils ont crié, nous périssons, nous périssons. Et quand ils ont crié, nous périssons, c'est à ce moment-là seulement que Jésus se leva et calma les vents et les tempêtes. Mais avant qu'ils crient à l'aide, je pense qu'ils ont essayé eux-mêmes, par leur propre force, d'équilibrer cette barque. Ils ont essayé par leur propre force. propre force, décoper tout l'eau qui rentre dans la barque, jusqu'à un moment donné peut-être qu'ils n'avaient plus de force peut-être même que ça faisait des heures et des heures qu'ils étaient en train d'essayer de ne pas couler et ils se disaient que comme Jésus dort, on ne va pas le réveiller, mais attendez je me suis posé la question, dans une barque on n'est pas dans un yacht, on n'est pas dans un paquebot dans une barque, dans une barque il y a une tempête et Jésus dort, ne pensez-vous pas que les vagues, que le vent, que les cris Il était censé le réveiller. C'est quel sommeil profond dans lequel il était où il n'entendait pas tous ces cris. Moi, je crois, et puis ça ne tient qu'à moi, que Jésus entendait. Il entendait plein de cris. Il entendait plein de choses. Il entendait le vent, mais il n'a pas entendu des enfants, des disciples crier à l'aide. Il n'a pas entendu quelqu'un lui dire, Christ, Jésus, lève-toi, j'ai besoin de toi. Viens me secourir, viens me chercher. Je sais seulement quand ils ont crié à lui de désespoir. À la fin, quand ils ont fini de faire ce qu'ils avaient à faire, de leur propre force, qu'ils ont crié à l'aide, et là Jésus intervient. Mais ne pensez-vous pas que s'ils avaient demandé, ils avaient crié à l'aide bien plus tôt. Ils l'avaient réveillé bien plus tôt. La situation, ils auraient évité d'avoir des peurs et des craintes et des sueurs froides comme ils en ont eu. Ne pensez-vous pas que souvent dans nos vies, on appelle à l'aide. Trop tard ? Ne pensez-vous pas que parfois dans nos vies, on réagit trop tard, on appelle, on fait rentrer Jésus dans notre barque, notre situation, trop tard ? Mais le pire, c'est que même si c'est tard, il vient quand même. Regarde la situation qui te donne la pression et les sueurs froides. À quel moment as-tu introduit Christ ? À quel moment as-tu fait appel à Dieu pour qu'il puisse intervenir dans ta situation ? Pose-toi la question. Mais peu importe le moment, appelle-le maintenant. Maintenant. Oui, là, maintenant, tu peux le faire. Dis-lui, mon Seigneur, mon Dieu, je me sens mourir, je me sens partir, je n'y arrive plus. Je n'ai plus de force. Dis-lui, parle-lui, mais adresse-toi directement à lui. Ne te dis pas comme ses disciples. Non, mais il dort, mais peut-être qu'il voit, mais peut-être qu'on ne va pas le déranger. Eh, mon fils est d'aile quand il a besoin de moi, que je dorme ou pas. Il vient dans mon lit, il vient me parler. Peu importe ce dont il a, si je dors ou pas. Il vient, il me dit Maman, j'ai faim. Et des fois, je dis Mais Eden, je dors. Il dit J'ai faim. Ça veut dire que peu importe mon état, peu importe ma condition, lui, ce qu'il regarde, ça a son besoin. Mais nous, on se gêne de déranger Dieu et de lui dire Papa, regarde ma situation, je n'en peux plus. Donc, qui est Dieu ? Qui est Père ? C'est nous qui sommes le Père ? C'est nous qui devons prendre soin de Dieu ou bien nous sommes les enfants de Dieu ? Il doit prendre soin de nous. Remettons les choses à leur place et reprenons notre place de fille et de fils de Dieu. Et adoptons le comportement d'un enfant de Dieu. Ça veut dire dépendance totale à lui. On ne fait pas les choses par nous-mêmes. Dépendance totale. Des fois, je dis à Eden, va chercher telle chose. Je sais que je l'ai vue dans sa chambre. Il y va, il revient et dit, je n'ai pas trouvé. Et vous savez quoi ? Je lui dis, va chercher encore. Il revient et me dit, je n'ai pas trouvé. Et c'est seulement parce que je l'aime. Je vais dans sa chambre. Et ce que j'ai vu, je vais le chercher, je lui donne. Et je dis toujours, tu vois, tu as toujours besoin de moi. Et là, il dit, bah oui, maman, c'est pareil avec Dieu. On a toujours besoin de lui. Alors, n'hésite pas à l'appeler. Sous-titrage Société Radio-Can N'hésite pas à l'invoquer. N'hésite surtout pas. D'accord ? Essaye de faire ça. Et puis, écris-moi un commentaire. sur YouTube, sur Instagram. Après avoir pris conscience de cela, qu'est-ce que ça a fait chez toi dans ton cœur et qu'est-ce que ça a déclenché dans ton cœur ? Nous entamons actuellement ensemble un nouveau processus de podcast. Ça s'appellera le processus de restauration. Après chaque podcast, tu dois changer, Sous-titrage Société bouger, te mettre en mouvement dans ta foi, dans ta vie et tu verras. Les choses viendront et les choses s'accompliront dans ta vie pour toi. Allez, je t'aime. Passe une bonne journée, soirée, peu importe le moment où tu écouteras ce podcast, mais sache que tu n'es pas seul.

Description

Dans cet épisode, je m’adresse à toi qui te sens peut-être submergé par la pression. Cette sensation écrasante, ce poids invisible qui nous pousse parfois à douter, à nous perdre, ou à nous dépasser. Que signifie réellement être sous pression ? Quelles en sont les causes ? Et surtout, comment pouvons-nous y faire face sans nous épuiser ?


Je te propose de décortiquer cette réalité que nous vivons tous à un moment ou un autre. Ensemble, nous allons explorer des pistes pour transformer cette pression en énergie constructive, comprendre ce qu’elle révèle de nous, et trouver des moyens de garder le cap, même dans les moments difficiles.


Installe-toi confortablement et prends ce temps pour toi. Cet épisode est une invitation à réfléchir, à te recentrer, et à apprendre à danser avec la pression, plutôt que de la subir.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou les précieuses et les précieux, aujourd'hui j'aimerais m'adresser à une personne en particulier, à toi qui passe par des moments difficiles, à toi qui vois cette fin d'année arriver et on est déjà au mois de novembre et tu te dis je ne sais pas comment va se finir mon année, parce que ce que je suis en train de vivre actuellement me dépasse tellement, je me demande comment je vais m'en sortir, à toi qui est dans le doute, à toi qui est dans la peur, à toi qui a l'impression que Dieu t'a abandonné. À toi qui as l'impression que pour tout le monde c'est facile, mais pour toi c'est tellement difficile. À toi qui sens le doute, la peur, la pression, j'aimerais te dire que Dieu est là. Il ne t'a pas abandonné. J'aimerais te dire une chose que, tu sais, les épreuves ne durent qu'un temps. Mais les épreuves sont là aussi pour nous forger. Les épreuves sont là pour nous donner du caractère. Il y a quelques jours, il y a une personne avec qui je parlais qui m'a dit, Mais Magali, toi... Tu as cette force de caractère qui est en toi que d'autres n'ont pas. Et je lui dis non, non, non. Je ne peux pas accepter ce que tu me dis. Parce que pour arriver à être celle que je suis aujourd'hui, j'ai trimé, j'ai dû apprendre. J'ai dû apprendre à garder la tête au-dessus de l'eau. J'ai dû apprendre à ne pas me noyer. J'ai dû apprendre à ne pas sombrer parce que les situations de la vie, telles qu'elles se sont présentées à moi, devaient faire en sorte si... je ne me battais pas avec ma propre vie, que je sombre dans l'alcool, dans le sexe, dans plein de choses mauvaises. Même j'ai pensé au suicide parce qu'à des moments, tu es tellement mal que tu te dis que à quoi bon vivre cette vie si c'est pour ressentir ce que je ressens ? Avez-vous déjà ressenti la douleur au point que vous passez la main sur votre corps, sur votre cœur et ça vous fait mal ? Alors non, je n'ai pas appris, je ne suis pas née forte. Je ne suis pas sortie du ventre de ma mère en faisant du karaté, en faisant des abdos, en niaisant des phrases motivantes, en exprimant, en lisant ma Bible. Non, la vie m'a appris, la pression m'a forgé. Tu vois, quand je te parle, là, je vois une orange. Une orange, quand tu veux avoir son jus, qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas la presser, tu vas la presser, tu vas la presser jusqu'à ce que le jus sorte. Tu vas la presser souvent, même quand tu as fini de presser. Tu prends une cuillère et tu grattes l'intérieur et de la pulpe même, parce que tu ne veux rien manquer de ce jus, de ce fruit. C'est ce que font les épreuves. C'est ce que font les épreuves. Les épreuves font sortir de nous le meilleur. Vous savez, actuellement, moi aussi, je passe une période assez spéciale dans ma vie. Et pourquoi je dis spéciale ? Parce que je ne veux pas dire compliqué. Parce qu'au début, je disais que c'était compliqué, mais je dis non. Si Dieu me permet que je passe par là, c'est qu'il veut me faire comprendre quelque chose. Il veut m'apprendre quelque chose. Et moi maintenant, ma raison de vivre est maintenant là. Parce que j'ai l'habitude dans ma relation avec Dieu. Je demande au Seigneur, qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Le Seigneur m'a appris à voir le bien dans le mal. Quand tout te fait pleurer, quand tout te fait sombrer, au point de perdre du poids, au point de perdre tes cheveux, au point de pleurer de... de vouloir même limite caresser la dépression. Et là, tu te reprends, tu te dis, ok, non, pourquoi je vais être dépressive ? Pourquoi cette situation va me rendre mal ? Quelle leçon je peux tirer ? Quelle chose positive je veux tirer de cette situation ? Et je partagerai mon témoignage dans quelques jours. Et vous verrez que dans le mal, Dieu crée des opportunités. Des opportunités de reconstruction. des opportunités de guérison, des opportunités tellement belles. Mais si tu regardes la situation du premier abord, tu te diras, cette relation, cette situation, ce phénomène n'est pas pour mon bien, c'est pour me tuer, c'est pour m'abattre. Mais Dieu ne voudra jamais t'abattre. Dieu veut nous faire grandir. Alors cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit de pleurer, cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit d'avoir des émotions, non, loin de là. Cela veut dire qu'il y a un temps pour tout sous le soleil. Il y a un temps pour pleurer. Il y a un temps pour rire. Il y a un temps pour rêver. Tu sais, dans la Bible, il est écrit qu'au jour du malheur, réfléchis. Je répète, au jour du malheur, réfléchis. Donc, s'il y a quelque chose de mauvais que tu trouves qui se passe dans ta vie, ça veut dire que ce n'est pas le temps de pleurer. Il faut pleurer un temps, pas trop longtemps. Mais il faut t'asseoir, il faut que tu réfléchisses. Il faut que tu réfléchisses à la situation. Il faut que tu réfléchisses à ce qui a amené à ce que cette situation arrive. Il faut que tu demandes au Seigneur, parle-moi, parle-moi, je veux t'entendre, parle-moi. Et tu sais, lorsque tu dis à Dieu de te parler, il te parlera toujours. Tu sais, lorsqu'il y avait les disciples dans la barque, ils étaient avec Jésus et il y avait la tempête. Dans la barque, il y avait Jésus et ils ont crié, nous périssons, nous périssons. Et quand ils ont crié, nous périssons, c'est à ce moment-là seulement que Jésus se leva et calma les vents et les tempêtes. Mais avant qu'ils crient à l'aide, je pense qu'ils ont essayé eux-mêmes, par leur propre force, d'équilibrer cette barque. Ils ont essayé par leur propre force. propre force, décoper tout l'eau qui rentre dans la barque, jusqu'à un moment donné peut-être qu'ils n'avaient plus de force peut-être même que ça faisait des heures et des heures qu'ils étaient en train d'essayer de ne pas couler et ils se disaient que comme Jésus dort, on ne va pas le réveiller, mais attendez je me suis posé la question, dans une barque on n'est pas dans un yacht, on n'est pas dans un paquebot dans une barque, dans une barque il y a une tempête et Jésus dort, ne pensez-vous pas que les vagues, que le vent, que les cris Il était censé le réveiller. C'est quel sommeil profond dans lequel il était où il n'entendait pas tous ces cris. Moi, je crois, et puis ça ne tient qu'à moi, que Jésus entendait. Il entendait plein de cris. Il entendait plein de choses. Il entendait le vent, mais il n'a pas entendu des enfants, des disciples crier à l'aide. Il n'a pas entendu quelqu'un lui dire, Christ, Jésus, lève-toi, j'ai besoin de toi. Viens me secourir, viens me chercher. Je sais seulement quand ils ont crié à lui de désespoir. À la fin, quand ils ont fini de faire ce qu'ils avaient à faire, de leur propre force, qu'ils ont crié à l'aide, et là Jésus intervient. Mais ne pensez-vous pas que s'ils avaient demandé, ils avaient crié à l'aide bien plus tôt. Ils l'avaient réveillé bien plus tôt. La situation, ils auraient évité d'avoir des peurs et des craintes et des sueurs froides comme ils en ont eu. Ne pensez-vous pas que souvent dans nos vies, on appelle à l'aide. Trop tard ? Ne pensez-vous pas que parfois dans nos vies, on réagit trop tard, on appelle, on fait rentrer Jésus dans notre barque, notre situation, trop tard ? Mais le pire, c'est que même si c'est tard, il vient quand même. Regarde la situation qui te donne la pression et les sueurs froides. À quel moment as-tu introduit Christ ? À quel moment as-tu fait appel à Dieu pour qu'il puisse intervenir dans ta situation ? Pose-toi la question. Mais peu importe le moment, appelle-le maintenant. Maintenant. Oui, là, maintenant, tu peux le faire. Dis-lui, mon Seigneur, mon Dieu, je me sens mourir, je me sens partir, je n'y arrive plus. Je n'ai plus de force. Dis-lui, parle-lui, mais adresse-toi directement à lui. Ne te dis pas comme ses disciples. Non, mais il dort, mais peut-être qu'il voit, mais peut-être qu'on ne va pas le déranger. Eh, mon fils est d'aile quand il a besoin de moi, que je dorme ou pas. Il vient dans mon lit, il vient me parler. Peu importe ce dont il a, si je dors ou pas. Il vient, il me dit Maman, j'ai faim. Et des fois, je dis Mais Eden, je dors. Il dit J'ai faim. Ça veut dire que peu importe mon état, peu importe ma condition, lui, ce qu'il regarde, ça a son besoin. Mais nous, on se gêne de déranger Dieu et de lui dire Papa, regarde ma situation, je n'en peux plus. Donc, qui est Dieu ? Qui est Père ? C'est nous qui sommes le Père ? C'est nous qui devons prendre soin de Dieu ou bien nous sommes les enfants de Dieu ? Il doit prendre soin de nous. Remettons les choses à leur place et reprenons notre place de fille et de fils de Dieu. Et adoptons le comportement d'un enfant de Dieu. Ça veut dire dépendance totale à lui. On ne fait pas les choses par nous-mêmes. Dépendance totale. Des fois, je dis à Eden, va chercher telle chose. Je sais que je l'ai vue dans sa chambre. Il y va, il revient et dit, je n'ai pas trouvé. Et vous savez quoi ? Je lui dis, va chercher encore. Il revient et me dit, je n'ai pas trouvé. Et c'est seulement parce que je l'aime. Je vais dans sa chambre. Et ce que j'ai vu, je vais le chercher, je lui donne. Et je dis toujours, tu vois, tu as toujours besoin de moi. Et là, il dit, bah oui, maman, c'est pareil avec Dieu. On a toujours besoin de lui. Alors, n'hésite pas à l'appeler. Sous-titrage Société Radio-Can N'hésite pas à l'invoquer. N'hésite surtout pas. D'accord ? Essaye de faire ça. Et puis, écris-moi un commentaire. sur YouTube, sur Instagram. Après avoir pris conscience de cela, qu'est-ce que ça a fait chez toi dans ton cœur et qu'est-ce que ça a déclenché dans ton cœur ? Nous entamons actuellement ensemble un nouveau processus de podcast. Ça s'appellera le processus de restauration. Après chaque podcast, tu dois changer, Sous-titrage Société bouger, te mettre en mouvement dans ta foi, dans ta vie et tu verras. Les choses viendront et les choses s'accompliront dans ta vie pour toi. Allez, je t'aime. Passe une bonne journée, soirée, peu importe le moment où tu écouteras ce podcast, mais sache que tu n'es pas seul.

Share

Embed

You may also like

Description

Dans cet épisode, je m’adresse à toi qui te sens peut-être submergé par la pression. Cette sensation écrasante, ce poids invisible qui nous pousse parfois à douter, à nous perdre, ou à nous dépasser. Que signifie réellement être sous pression ? Quelles en sont les causes ? Et surtout, comment pouvons-nous y faire face sans nous épuiser ?


Je te propose de décortiquer cette réalité que nous vivons tous à un moment ou un autre. Ensemble, nous allons explorer des pistes pour transformer cette pression en énergie constructive, comprendre ce qu’elle révèle de nous, et trouver des moyens de garder le cap, même dans les moments difficiles.


Installe-toi confortablement et prends ce temps pour toi. Cet épisode est une invitation à réfléchir, à te recentrer, et à apprendre à danser avec la pression, plutôt que de la subir.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou les précieuses et les précieux, aujourd'hui j'aimerais m'adresser à une personne en particulier, à toi qui passe par des moments difficiles, à toi qui vois cette fin d'année arriver et on est déjà au mois de novembre et tu te dis je ne sais pas comment va se finir mon année, parce que ce que je suis en train de vivre actuellement me dépasse tellement, je me demande comment je vais m'en sortir, à toi qui est dans le doute, à toi qui est dans la peur, à toi qui a l'impression que Dieu t'a abandonné. À toi qui as l'impression que pour tout le monde c'est facile, mais pour toi c'est tellement difficile. À toi qui sens le doute, la peur, la pression, j'aimerais te dire que Dieu est là. Il ne t'a pas abandonné. J'aimerais te dire une chose que, tu sais, les épreuves ne durent qu'un temps. Mais les épreuves sont là aussi pour nous forger. Les épreuves sont là pour nous donner du caractère. Il y a quelques jours, il y a une personne avec qui je parlais qui m'a dit, Mais Magali, toi... Tu as cette force de caractère qui est en toi que d'autres n'ont pas. Et je lui dis non, non, non. Je ne peux pas accepter ce que tu me dis. Parce que pour arriver à être celle que je suis aujourd'hui, j'ai trimé, j'ai dû apprendre. J'ai dû apprendre à garder la tête au-dessus de l'eau. J'ai dû apprendre à ne pas me noyer. J'ai dû apprendre à ne pas sombrer parce que les situations de la vie, telles qu'elles se sont présentées à moi, devaient faire en sorte si... je ne me battais pas avec ma propre vie, que je sombre dans l'alcool, dans le sexe, dans plein de choses mauvaises. Même j'ai pensé au suicide parce qu'à des moments, tu es tellement mal que tu te dis que à quoi bon vivre cette vie si c'est pour ressentir ce que je ressens ? Avez-vous déjà ressenti la douleur au point que vous passez la main sur votre corps, sur votre cœur et ça vous fait mal ? Alors non, je n'ai pas appris, je ne suis pas née forte. Je ne suis pas sortie du ventre de ma mère en faisant du karaté, en faisant des abdos, en niaisant des phrases motivantes, en exprimant, en lisant ma Bible. Non, la vie m'a appris, la pression m'a forgé. Tu vois, quand je te parle, là, je vois une orange. Une orange, quand tu veux avoir son jus, qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas la presser, tu vas la presser, tu vas la presser jusqu'à ce que le jus sorte. Tu vas la presser souvent, même quand tu as fini de presser. Tu prends une cuillère et tu grattes l'intérieur et de la pulpe même, parce que tu ne veux rien manquer de ce jus, de ce fruit. C'est ce que font les épreuves. C'est ce que font les épreuves. Les épreuves font sortir de nous le meilleur. Vous savez, actuellement, moi aussi, je passe une période assez spéciale dans ma vie. Et pourquoi je dis spéciale ? Parce que je ne veux pas dire compliqué. Parce qu'au début, je disais que c'était compliqué, mais je dis non. Si Dieu me permet que je passe par là, c'est qu'il veut me faire comprendre quelque chose. Il veut m'apprendre quelque chose. Et moi maintenant, ma raison de vivre est maintenant là. Parce que j'ai l'habitude dans ma relation avec Dieu. Je demande au Seigneur, qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Le Seigneur m'a appris à voir le bien dans le mal. Quand tout te fait pleurer, quand tout te fait sombrer, au point de perdre du poids, au point de perdre tes cheveux, au point de pleurer de... de vouloir même limite caresser la dépression. Et là, tu te reprends, tu te dis, ok, non, pourquoi je vais être dépressive ? Pourquoi cette situation va me rendre mal ? Quelle leçon je peux tirer ? Quelle chose positive je veux tirer de cette situation ? Et je partagerai mon témoignage dans quelques jours. Et vous verrez que dans le mal, Dieu crée des opportunités. Des opportunités de reconstruction. des opportunités de guérison, des opportunités tellement belles. Mais si tu regardes la situation du premier abord, tu te diras, cette relation, cette situation, ce phénomène n'est pas pour mon bien, c'est pour me tuer, c'est pour m'abattre. Mais Dieu ne voudra jamais t'abattre. Dieu veut nous faire grandir. Alors cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit de pleurer, cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit d'avoir des émotions, non, loin de là. Cela veut dire qu'il y a un temps pour tout sous le soleil. Il y a un temps pour pleurer. Il y a un temps pour rire. Il y a un temps pour rêver. Tu sais, dans la Bible, il est écrit qu'au jour du malheur, réfléchis. Je répète, au jour du malheur, réfléchis. Donc, s'il y a quelque chose de mauvais que tu trouves qui se passe dans ta vie, ça veut dire que ce n'est pas le temps de pleurer. Il faut pleurer un temps, pas trop longtemps. Mais il faut t'asseoir, il faut que tu réfléchisses. Il faut que tu réfléchisses à la situation. Il faut que tu réfléchisses à ce qui a amené à ce que cette situation arrive. Il faut que tu demandes au Seigneur, parle-moi, parle-moi, je veux t'entendre, parle-moi. Et tu sais, lorsque tu dis à Dieu de te parler, il te parlera toujours. Tu sais, lorsqu'il y avait les disciples dans la barque, ils étaient avec Jésus et il y avait la tempête. Dans la barque, il y avait Jésus et ils ont crié, nous périssons, nous périssons. Et quand ils ont crié, nous périssons, c'est à ce moment-là seulement que Jésus se leva et calma les vents et les tempêtes. Mais avant qu'ils crient à l'aide, je pense qu'ils ont essayé eux-mêmes, par leur propre force, d'équilibrer cette barque. Ils ont essayé par leur propre force. propre force, décoper tout l'eau qui rentre dans la barque, jusqu'à un moment donné peut-être qu'ils n'avaient plus de force peut-être même que ça faisait des heures et des heures qu'ils étaient en train d'essayer de ne pas couler et ils se disaient que comme Jésus dort, on ne va pas le réveiller, mais attendez je me suis posé la question, dans une barque on n'est pas dans un yacht, on n'est pas dans un paquebot dans une barque, dans une barque il y a une tempête et Jésus dort, ne pensez-vous pas que les vagues, que le vent, que les cris Il était censé le réveiller. C'est quel sommeil profond dans lequel il était où il n'entendait pas tous ces cris. Moi, je crois, et puis ça ne tient qu'à moi, que Jésus entendait. Il entendait plein de cris. Il entendait plein de choses. Il entendait le vent, mais il n'a pas entendu des enfants, des disciples crier à l'aide. Il n'a pas entendu quelqu'un lui dire, Christ, Jésus, lève-toi, j'ai besoin de toi. Viens me secourir, viens me chercher. Je sais seulement quand ils ont crié à lui de désespoir. À la fin, quand ils ont fini de faire ce qu'ils avaient à faire, de leur propre force, qu'ils ont crié à l'aide, et là Jésus intervient. Mais ne pensez-vous pas que s'ils avaient demandé, ils avaient crié à l'aide bien plus tôt. Ils l'avaient réveillé bien plus tôt. La situation, ils auraient évité d'avoir des peurs et des craintes et des sueurs froides comme ils en ont eu. Ne pensez-vous pas que souvent dans nos vies, on appelle à l'aide. Trop tard ? Ne pensez-vous pas que parfois dans nos vies, on réagit trop tard, on appelle, on fait rentrer Jésus dans notre barque, notre situation, trop tard ? Mais le pire, c'est que même si c'est tard, il vient quand même. Regarde la situation qui te donne la pression et les sueurs froides. À quel moment as-tu introduit Christ ? À quel moment as-tu fait appel à Dieu pour qu'il puisse intervenir dans ta situation ? Pose-toi la question. Mais peu importe le moment, appelle-le maintenant. Maintenant. Oui, là, maintenant, tu peux le faire. Dis-lui, mon Seigneur, mon Dieu, je me sens mourir, je me sens partir, je n'y arrive plus. Je n'ai plus de force. Dis-lui, parle-lui, mais adresse-toi directement à lui. Ne te dis pas comme ses disciples. Non, mais il dort, mais peut-être qu'il voit, mais peut-être qu'on ne va pas le déranger. Eh, mon fils est d'aile quand il a besoin de moi, que je dorme ou pas. Il vient dans mon lit, il vient me parler. Peu importe ce dont il a, si je dors ou pas. Il vient, il me dit Maman, j'ai faim. Et des fois, je dis Mais Eden, je dors. Il dit J'ai faim. Ça veut dire que peu importe mon état, peu importe ma condition, lui, ce qu'il regarde, ça a son besoin. Mais nous, on se gêne de déranger Dieu et de lui dire Papa, regarde ma situation, je n'en peux plus. Donc, qui est Dieu ? Qui est Père ? C'est nous qui sommes le Père ? C'est nous qui devons prendre soin de Dieu ou bien nous sommes les enfants de Dieu ? Il doit prendre soin de nous. Remettons les choses à leur place et reprenons notre place de fille et de fils de Dieu. Et adoptons le comportement d'un enfant de Dieu. Ça veut dire dépendance totale à lui. On ne fait pas les choses par nous-mêmes. Dépendance totale. Des fois, je dis à Eden, va chercher telle chose. Je sais que je l'ai vue dans sa chambre. Il y va, il revient et dit, je n'ai pas trouvé. Et vous savez quoi ? Je lui dis, va chercher encore. Il revient et me dit, je n'ai pas trouvé. Et c'est seulement parce que je l'aime. Je vais dans sa chambre. Et ce que j'ai vu, je vais le chercher, je lui donne. Et je dis toujours, tu vois, tu as toujours besoin de moi. Et là, il dit, bah oui, maman, c'est pareil avec Dieu. On a toujours besoin de lui. Alors, n'hésite pas à l'appeler. Sous-titrage Société Radio-Can N'hésite pas à l'invoquer. N'hésite surtout pas. D'accord ? Essaye de faire ça. Et puis, écris-moi un commentaire. sur YouTube, sur Instagram. Après avoir pris conscience de cela, qu'est-ce que ça a fait chez toi dans ton cœur et qu'est-ce que ça a déclenché dans ton cœur ? Nous entamons actuellement ensemble un nouveau processus de podcast. Ça s'appellera le processus de restauration. Après chaque podcast, tu dois changer, Sous-titrage Société bouger, te mettre en mouvement dans ta foi, dans ta vie et tu verras. Les choses viendront et les choses s'accompliront dans ta vie pour toi. Allez, je t'aime. Passe une bonne journée, soirée, peu importe le moment où tu écouteras ce podcast, mais sache que tu n'es pas seul.

Description

Dans cet épisode, je m’adresse à toi qui te sens peut-être submergé par la pression. Cette sensation écrasante, ce poids invisible qui nous pousse parfois à douter, à nous perdre, ou à nous dépasser. Que signifie réellement être sous pression ? Quelles en sont les causes ? Et surtout, comment pouvons-nous y faire face sans nous épuiser ?


Je te propose de décortiquer cette réalité que nous vivons tous à un moment ou un autre. Ensemble, nous allons explorer des pistes pour transformer cette pression en énergie constructive, comprendre ce qu’elle révèle de nous, et trouver des moyens de garder le cap, même dans les moments difficiles.


Installe-toi confortablement et prends ce temps pour toi. Cet épisode est une invitation à réfléchir, à te recentrer, et à apprendre à danser avec la pression, plutôt que de la subir.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Coucou les précieuses et les précieux, aujourd'hui j'aimerais m'adresser à une personne en particulier, à toi qui passe par des moments difficiles, à toi qui vois cette fin d'année arriver et on est déjà au mois de novembre et tu te dis je ne sais pas comment va se finir mon année, parce que ce que je suis en train de vivre actuellement me dépasse tellement, je me demande comment je vais m'en sortir, à toi qui est dans le doute, à toi qui est dans la peur, à toi qui a l'impression que Dieu t'a abandonné. À toi qui as l'impression que pour tout le monde c'est facile, mais pour toi c'est tellement difficile. À toi qui sens le doute, la peur, la pression, j'aimerais te dire que Dieu est là. Il ne t'a pas abandonné. J'aimerais te dire une chose que, tu sais, les épreuves ne durent qu'un temps. Mais les épreuves sont là aussi pour nous forger. Les épreuves sont là pour nous donner du caractère. Il y a quelques jours, il y a une personne avec qui je parlais qui m'a dit, Mais Magali, toi... Tu as cette force de caractère qui est en toi que d'autres n'ont pas. Et je lui dis non, non, non. Je ne peux pas accepter ce que tu me dis. Parce que pour arriver à être celle que je suis aujourd'hui, j'ai trimé, j'ai dû apprendre. J'ai dû apprendre à garder la tête au-dessus de l'eau. J'ai dû apprendre à ne pas me noyer. J'ai dû apprendre à ne pas sombrer parce que les situations de la vie, telles qu'elles se sont présentées à moi, devaient faire en sorte si... je ne me battais pas avec ma propre vie, que je sombre dans l'alcool, dans le sexe, dans plein de choses mauvaises. Même j'ai pensé au suicide parce qu'à des moments, tu es tellement mal que tu te dis que à quoi bon vivre cette vie si c'est pour ressentir ce que je ressens ? Avez-vous déjà ressenti la douleur au point que vous passez la main sur votre corps, sur votre cœur et ça vous fait mal ? Alors non, je n'ai pas appris, je ne suis pas née forte. Je ne suis pas sortie du ventre de ma mère en faisant du karaté, en faisant des abdos, en niaisant des phrases motivantes, en exprimant, en lisant ma Bible. Non, la vie m'a appris, la pression m'a forgé. Tu vois, quand je te parle, là, je vois une orange. Une orange, quand tu veux avoir son jus, qu'est-ce que tu vas faire ? Tu vas la presser, tu vas la presser, tu vas la presser jusqu'à ce que le jus sorte. Tu vas la presser souvent, même quand tu as fini de presser. Tu prends une cuillère et tu grattes l'intérieur et de la pulpe même, parce que tu ne veux rien manquer de ce jus, de ce fruit. C'est ce que font les épreuves. C'est ce que font les épreuves. Les épreuves font sortir de nous le meilleur. Vous savez, actuellement, moi aussi, je passe une période assez spéciale dans ma vie. Et pourquoi je dis spéciale ? Parce que je ne veux pas dire compliqué. Parce qu'au début, je disais que c'était compliqué, mais je dis non. Si Dieu me permet que je passe par là, c'est qu'il veut me faire comprendre quelque chose. Il veut m'apprendre quelque chose. Et moi maintenant, ma raison de vivre est maintenant là. Parce que j'ai l'habitude dans ma relation avec Dieu. Je demande au Seigneur, qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Qu'est-ce que tu veux m'apprendre ? Le Seigneur m'a appris à voir le bien dans le mal. Quand tout te fait pleurer, quand tout te fait sombrer, au point de perdre du poids, au point de perdre tes cheveux, au point de pleurer de... de vouloir même limite caresser la dépression. Et là, tu te reprends, tu te dis, ok, non, pourquoi je vais être dépressive ? Pourquoi cette situation va me rendre mal ? Quelle leçon je peux tirer ? Quelle chose positive je veux tirer de cette situation ? Et je partagerai mon témoignage dans quelques jours. Et vous verrez que dans le mal, Dieu crée des opportunités. Des opportunités de reconstruction. des opportunités de guérison, des opportunités tellement belles. Mais si tu regardes la situation du premier abord, tu te diras, cette relation, cette situation, ce phénomène n'est pas pour mon bien, c'est pour me tuer, c'est pour m'abattre. Mais Dieu ne voudra jamais t'abattre. Dieu veut nous faire grandir. Alors cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit de pleurer, cela ne veut pas dire que tu n'as pas le droit d'avoir des émotions, non, loin de là. Cela veut dire qu'il y a un temps pour tout sous le soleil. Il y a un temps pour pleurer. Il y a un temps pour rire. Il y a un temps pour rêver. Tu sais, dans la Bible, il est écrit qu'au jour du malheur, réfléchis. Je répète, au jour du malheur, réfléchis. Donc, s'il y a quelque chose de mauvais que tu trouves qui se passe dans ta vie, ça veut dire que ce n'est pas le temps de pleurer. Il faut pleurer un temps, pas trop longtemps. Mais il faut t'asseoir, il faut que tu réfléchisses. Il faut que tu réfléchisses à la situation. Il faut que tu réfléchisses à ce qui a amené à ce que cette situation arrive. Il faut que tu demandes au Seigneur, parle-moi, parle-moi, je veux t'entendre, parle-moi. Et tu sais, lorsque tu dis à Dieu de te parler, il te parlera toujours. Tu sais, lorsqu'il y avait les disciples dans la barque, ils étaient avec Jésus et il y avait la tempête. Dans la barque, il y avait Jésus et ils ont crié, nous périssons, nous périssons. Et quand ils ont crié, nous périssons, c'est à ce moment-là seulement que Jésus se leva et calma les vents et les tempêtes. Mais avant qu'ils crient à l'aide, je pense qu'ils ont essayé eux-mêmes, par leur propre force, d'équilibrer cette barque. Ils ont essayé par leur propre force. propre force, décoper tout l'eau qui rentre dans la barque, jusqu'à un moment donné peut-être qu'ils n'avaient plus de force peut-être même que ça faisait des heures et des heures qu'ils étaient en train d'essayer de ne pas couler et ils se disaient que comme Jésus dort, on ne va pas le réveiller, mais attendez je me suis posé la question, dans une barque on n'est pas dans un yacht, on n'est pas dans un paquebot dans une barque, dans une barque il y a une tempête et Jésus dort, ne pensez-vous pas que les vagues, que le vent, que les cris Il était censé le réveiller. C'est quel sommeil profond dans lequel il était où il n'entendait pas tous ces cris. Moi, je crois, et puis ça ne tient qu'à moi, que Jésus entendait. Il entendait plein de cris. Il entendait plein de choses. Il entendait le vent, mais il n'a pas entendu des enfants, des disciples crier à l'aide. Il n'a pas entendu quelqu'un lui dire, Christ, Jésus, lève-toi, j'ai besoin de toi. Viens me secourir, viens me chercher. Je sais seulement quand ils ont crié à lui de désespoir. À la fin, quand ils ont fini de faire ce qu'ils avaient à faire, de leur propre force, qu'ils ont crié à l'aide, et là Jésus intervient. Mais ne pensez-vous pas que s'ils avaient demandé, ils avaient crié à l'aide bien plus tôt. Ils l'avaient réveillé bien plus tôt. La situation, ils auraient évité d'avoir des peurs et des craintes et des sueurs froides comme ils en ont eu. Ne pensez-vous pas que souvent dans nos vies, on appelle à l'aide. Trop tard ? Ne pensez-vous pas que parfois dans nos vies, on réagit trop tard, on appelle, on fait rentrer Jésus dans notre barque, notre situation, trop tard ? Mais le pire, c'est que même si c'est tard, il vient quand même. Regarde la situation qui te donne la pression et les sueurs froides. À quel moment as-tu introduit Christ ? À quel moment as-tu fait appel à Dieu pour qu'il puisse intervenir dans ta situation ? Pose-toi la question. Mais peu importe le moment, appelle-le maintenant. Maintenant. Oui, là, maintenant, tu peux le faire. Dis-lui, mon Seigneur, mon Dieu, je me sens mourir, je me sens partir, je n'y arrive plus. Je n'ai plus de force. Dis-lui, parle-lui, mais adresse-toi directement à lui. Ne te dis pas comme ses disciples. Non, mais il dort, mais peut-être qu'il voit, mais peut-être qu'on ne va pas le déranger. Eh, mon fils est d'aile quand il a besoin de moi, que je dorme ou pas. Il vient dans mon lit, il vient me parler. Peu importe ce dont il a, si je dors ou pas. Il vient, il me dit Maman, j'ai faim. Et des fois, je dis Mais Eden, je dors. Il dit J'ai faim. Ça veut dire que peu importe mon état, peu importe ma condition, lui, ce qu'il regarde, ça a son besoin. Mais nous, on se gêne de déranger Dieu et de lui dire Papa, regarde ma situation, je n'en peux plus. Donc, qui est Dieu ? Qui est Père ? C'est nous qui sommes le Père ? C'est nous qui devons prendre soin de Dieu ou bien nous sommes les enfants de Dieu ? Il doit prendre soin de nous. Remettons les choses à leur place et reprenons notre place de fille et de fils de Dieu. Et adoptons le comportement d'un enfant de Dieu. Ça veut dire dépendance totale à lui. On ne fait pas les choses par nous-mêmes. Dépendance totale. Des fois, je dis à Eden, va chercher telle chose. Je sais que je l'ai vue dans sa chambre. Il y va, il revient et dit, je n'ai pas trouvé. Et vous savez quoi ? Je lui dis, va chercher encore. Il revient et me dit, je n'ai pas trouvé. Et c'est seulement parce que je l'aime. Je vais dans sa chambre. Et ce que j'ai vu, je vais le chercher, je lui donne. Et je dis toujours, tu vois, tu as toujours besoin de moi. Et là, il dit, bah oui, maman, c'est pareil avec Dieu. On a toujours besoin de lui. Alors, n'hésite pas à l'appeler. Sous-titrage Société Radio-Can N'hésite pas à l'invoquer. N'hésite surtout pas. D'accord ? Essaye de faire ça. Et puis, écris-moi un commentaire. sur YouTube, sur Instagram. Après avoir pris conscience de cela, qu'est-ce que ça a fait chez toi dans ton cœur et qu'est-ce que ça a déclenché dans ton cœur ? Nous entamons actuellement ensemble un nouveau processus de podcast. Ça s'appellera le processus de restauration. Après chaque podcast, tu dois changer, Sous-titrage Société bouger, te mettre en mouvement dans ta foi, dans ta vie et tu verras. Les choses viendront et les choses s'accompliront dans ta vie pour toi. Allez, je t'aime. Passe une bonne journée, soirée, peu importe le moment où tu écouteras ce podcast, mais sache que tu n'es pas seul.

Share

Embed

You may also like