Speaker #0Hello à tous et bienvenue dans le podcast de M'Aide pas peur, c'est Tiara et aujourd'hui on va parler du syndrome de l'imposteur. Et alors vous allez voir, vous allez le voir trop fort, c'est quoi ? Comment as-tu passé ? Il te paralyse, il m'a paralysée pendant longtemps, il paralyse notre société, mais qui est-il ? Ce syndrome, qui est-il ? En fait déjà le syndrome de l'imposteur c'est quoi ? C'est quand tu fais un truc, quand tu fais une tâche, quand tu rentres dans un nouveau job, quand tu rencontres des personnes, quand tu veux avancer dans la vie, t'as une petite voix dans ta tête comme ça, qui te dit « Tu vas pas y arriver ! » C'est tout ce qu'il te dit, en gros. En gros, c'est tout ce qu'il te dit. Il te donne tes défauts, il te donne ce que tu sais pas faire, il te donne tout ce que t'as arrêté dans la vie, il te le répète un bout dans la tête, il te fait un bruit de fond là, qui te reste et qui t'empêche en fait de t'améliorer, d'apprendre, de devenir une meilleure personne, etc. La vérité, c'est que le syndrome de l'imposteur, il y a quelque chose qui m'a fait beaucoup de bien, que j'ai lu, qui est cette idée là. Le syndrome de l'imposteur, en fait, il marque que t'arrives dans quelque chose de nouveau. C'est une sortie de ta zone de confort. Une sortie de ta zone de confort, c'est positif. Donc le syndrome de l'imposteur, il faut l'accueillir, lui dire « Bienvenue, regarde notre nouvelle vie, regarde où on en est. Et bien maintenant, pour que tu disparaisses, on va apprendre. Merci de m'avoir dit que j'avais grandi et que je suis passé dans un niveau super haut de ma vie. Je suis très content, c'est super cool. Allez, hasta la vista ! » Voilà comment je parle à mes émotions. Ça en fait, ça s'appelle changer de mindset et ça s'appelle reprendre le pouvoir de la narration de sa vie. C'est deux choses qui sont super importantes. Deux. Le syndrome de l'imposteur, il peut beaucoup apparaître, en tout cas moi de mon expérience, en étant une femme dans le business, par exemple. Parce que j'ai envie d'entreprendre, j'ai grandi avec des croyances, on a tous grandi avec des croyances, on a tous grandi avec des a priori, des stéréotypes qui vont après se mélanger, faire une sorte de petite boule comme ça, qui vont après être distribuées entre les mains de tout le monde pour avoir une sorte de prédétermination de ce qu'il va se passer. maintenant on a envie de changer ça, parce que c'est pas parce que tu es une femme que tu peux pas réussir et il y a de plus en plus de femmes qui le prouvent maintenant ça reste très difficile parce qu'il y a énormément de barrières que ce soit psychologique ou même financière ou même matérielle dans le sens de la matérialité du monde, le matérialité c'est un concept qui dit on a ce qu'on a et on doit faire avec ce qu'on a donc notre éducation, nos études, nos parents, nos croyances etc etc etc et ensuite ça se transforme Dans la réalité, c'est ce qu'on appelle la matérialité. Donc toute ta matérialité, tu la prends, tu l'analyses, et tu comprends qu'en fait, des fois, tu ne peux pas lutter contre certaines choses. Donc par exemple, le sexisme au travail. On m'a déjà dit, pour réussir un pitch, la prochaine fois, tu mettras une mini-jupe. Typiquement. Donc ça veut dire que ma qualité de travail, elle est peut-être moins importante que ma qualité physique. Bon. Et donc il y a plein de petites choses comme ça, qui peuvent te polluer dans l'esprit quand tu grandis, qui vont te faire croire que tu n'es pas légitime de faire quelque chose. ton manque de croyance envers ta légitimité à réaliser des choses, à réaliser ce que tu veux, à réaliser n'importe quoi, parce qu'on est tous humains, on a des capacités intellectuelles, émotionnelles similaires, il faut juste les travailler pour qu'elles correspondent à toi, ta manière de fonctionner. Et bien en fait si tu veux réussir, il faut juste y croire, et donc transformer cette légitimité en pouvoir d'action, et non ce manque de légitimité en syndrome de l'imposteur. Ça marche aussi dans le personnel, donc moi pareil, expérience personnelle que je vais vous partager. Quand je rencontre un mec et qu'il me plaît, j'ai tendance à me dire que je suis pas assez bien, qu'il va me trouver moche, qu'il va me trouver pas intéressante, que je vais pas être à la hauteur, etc. Enfin, tout ça, c'était avant. Là, ça fait quelques mois où je suis en mode, je suis une bosse. Et en fait, le mec qui me mérite, c'est un mec exceptionnel et incroyable. Du coup, la personne que je vais rencontrer sera exceptionnelle et incroyable. On s'aimera d'un amour fou et admiratif, et ce sera génial dans le meilleur des mondes. Mais, n'empêche qu'il y a beaucoup de relations que j'ai sabotées, moi-même, parce que je me sentais pas à la hauteur, par exemple. Justement cette voix intérieure qui me disait toujours t'es pas assez bien, t'es pas assez belle, t'es pas assez ci, t'es pas assez ça Et je sais que ce genre de discours peut aussi vous traverser l'esprit C'est pour ça aussi que j'ai envie qu'on en parle dans cet épisode, dans ce podcast Là, maintenant, tout de suite, se mettre en mode combat, changer de posture Et battre ce putain de syndrome de l'imposteur qui s'applique dans plein de domaines de notre vie Et qui nous empêche d'avancer Je vais vous faire un rappel fondamental sur l'idée de changer de posture qui est on a le fucking time de changer les choses, de réussir, d'accomplir, de rencontrer, de faire notre vie, de construire ce qu'on a envie de construire, etc. On a le temps, ok ? Donc oui, il y a des gens qui sont pressés, oui, il y a des choses qui vont prendre plus de temps que d'autres, oui, il y a des choses qui vont être plus rapides, oui, il y a des gens qui vont réussir avant nous, oui, oui, oui, oui, oui, le temps passe vite, oui, bah une fois qu'on a fait ses études, bah il y a déjà des choses qui sont déterminées dans notre vie. Bref, n'empêche que... T'as le temps. Et si tu ne me crois pas, écoute Gary V. Ok ? Gary V, c'est un mec, il va te dire t'as le temps. Et en vrai, ça fait du bien de se dire ok, tous les jours... est un nouveau départ potentiel. Tous les jours est un point de départ d'une nouvelle période de temps que je peux consacrer aux changements que je peux consacrer pour construire ma vie, que je peux consacrer pour évoluer, devenir une meilleure personne, changer mon mindset, etc. Donc on a le temps, il n'est jamais trop tard. Alors à partir de maintenant, si tu as envie de changer, je t'invite à prendre cet engagement avec toi-même qui est « Je suis une meilleure personne qu'hier » pour moi-même, pour les autres. pour ce que j'aime, pour la vie que j'ai envie de mener et je vais donner le meilleur de moi-même pour réussir. Tu es fort. Te. Ou fort. Et tu es génial et je suis sûre que toutes les choses que tu as envie qui se réalisent pourront se réaliser un jour si tu as mis l'effort. Si tu y crois. Au pire ça n'arrive pas. Tu n'auras pas cette avis à y croire. Tu n'auras pas cette avis à rêver. Tu n'auras pas cette avis à faire les choses pour. Et personne ne me fera croire que ça, ça ne t'apportera déjà pas. un niveau de gratitude et d'accomplissement génial et incroyable. Par rapport au temps, il y a un truc qui peut être très mignon de visualiser. Vous avez un champ devant vous, vous plantez des graines, des fleurs. Si vous attendez trois mois, les fleurs ne poussent pas. Enfin, je n'en sais rien, moi je ne suis pas jardinière, mais ça prend du temps, un jardin, à pousser et à faire des magnifiques fleurs. Et quand vous regardez la vie, c'est des cycles, on plante, il pleut, il y a du soleil, nanani nanana. Et après, il y a des jolies fleurs qui poussent et ça fait un champ magnifique de plein de fleurs différentes, trop trop belles, de plein de couleurs. Comme ça, on peut vraiment visualiser ce que c'est de juste faire confiance au temps et planter des graines. Un autre truc que je veux vous dire par rapport au temps, en fait, chaque âge apporte son lot de possibilités. N'importe quel âge est bien, n'importe quel âge est beau, n'importe quel âge est bon à avoir. Quand t'as 20 ans, t'es un peu dans la folie, t'es dans l'insouciance, tu t'amuses, tu te fais des potes, et nananin, nanan. Quand t'as 30 ans, peut-être tu construis. Peut-être c'est le moment où tu construis des choses, tu mets en place ta vie, tu récoltes déjà les graines que tu as semées dans ta vingtaine et puis tu commences à en planter de nouvelles pour ta quarantaine. Peut-être à 40 ans, tu commences à avoir une certaine maturité, un certain savoir-faire, une certaine habitude, une certaine confiance. Donc là, bam, t'agis, t'accélères les choses, etc. Donc en fait, que ce soit au niveau professionnel, personnel, chaque âge te permet de vivre des choses qui sont différentes et il n'y a pas mieux ou moins bien. C'est juste chaque chose dans son temps et c'est hyper important de se dire on a le temps, chaque chose dans son temps, les choses arrivent quand elles doivent arriver et moi si je fais ce que j'ai à faire, si je dis ce que j'ai à dire, si je débunk, si je déconstruis les croyances que j'ai à déconstruire, si je déconstruis les peurs que j'ai à déconstruire, eh bien j'arriverai à construire une vie qui me correspond, qui me plaît et dans laquelle je me sens bien, en paix et sereine. En tout cas, encore une fois, ça ce sont mes aspirations mais je vous invite à mettre les mots que vous souhaitez sur ce que je viens de dire. Ok. Je vais vous raconter une petite histoire. Mon père, il a aujourd'hui 83 ans. Un monsieur qui a énormément trait dans sa vie, qui a eu plusieurs vies, qui a fait plein de choses. Aujourd'hui, il est en pleine forme. Franchement, il profite de sa vie. C'est quelqu'un qui n'a pas peur de se lever le matin, de faire ce qu'il a à faire, de vivre sa journée et d'aller se coucher. Il ne se pose pas de questions, il vit la vie. Et là, le point est que je pense que le syndrome de l'imposteur, c'est un peu une peur de vivre. C'est une peur de réussir. C'est une peur d'échouer, c'est une peur de ne pas être à la hauteur. Et en plus de ça, on ne fait que se comparer avec les modèles qu'on a, avec les gens qu'on admire, à qui on aimerait ressembler. Et on oublie de se poser la question, en fait, est-ce que si je change ça ou ça ou ça, ou si je fais ça ou ça ou ça, est-ce que je ne pourrais pas ressembler moi aussi à ces gens-là et être cette personne qu'on admire et être cette personne qui inspire les autres aussi à évoluer, à dépasser ses peurs, à dépasser sa peur de vivre sa vie ? Parce qu'en fait, il s'agit de ça. Quand tu as le syndrome de l'imposteur, tu t'empêches de vivre ta vie parce que tu te poses trop de questions, parce que tu laisses trop de place à cette petite voix à l'intérieur de ta tête et c'est pas agréable et tu perds du temps, tu vois. Tu perds peut-être plus de temps que sur ton smartphone, t'imagines. Alors qu'on passe déjà beaucoup de temps sur le smartphone, là imagine que tu perds du temps à te mal te parler. Et après tu perds du temps à te réparer de mal te parler. Et après tu perds du temps, non, non, non, non, non. Alors qu'en fait tu pourrais juste commencer à changer ton vocabulaire envers toi-même, à te poser les bonnes questions sur la vie. sur tes peurs, dès qu'on se fait peur, voir un thérapeute, voir un coach, écrire, méditer, faire du sport, voir tes potes qui te portent vers le haut, monter des projets, peindre, faire de l'art en général, aller au musée, t'inspirer, plein de choses qui te détachent de ce sentiment de « je ne suis pas à la hauteur » parce que tu es à la hauteur et te dire que tu es à la hauteur, c'est t'autoriser à vivre. Donc maintenant, on est ensemble là-dessus. Tu es la star de... ton propre film, alors choisis ton scénario, choisis tes personnels, choisis tes actions, choisis là où tu te sens bien, et je pense que t'as vraiment envie de te sentir bien, et je pense que t'as envie de faire les choses. à fond. Donc, let's go, vas-y, on y va, on est ensemble. Et j'espère que ce podcast est en train de te motiver. L'histoire commence toujours par ce que l'on se raconte à soi-même. J'ai déjà fait un épisode là-dessus, sur le pouvoir des mots, que je vous invite à aller écouter si vous voulez en savoir plus sur comment modifier son vocabulaire et comment modifier sa perception des choses pour pouvoir avancer dans la vie et devenir ce qu'on aspire. à devenir. Le syndrome de l'imposteur, il veut te mettre KO, il veut te faire croire que t'es pas à la hauteur, mais moi je te dis, c'est pas vrai et tu mérites pas de penser ça. Comme vous l'avez vu dans cette vidéo, le syndrome de l'imposteur, c'est un truc qui est plutôt polluant que aidant. Il y a une meuf que j'adore sur Insta qui s'appelle Emond Brain, c'est une américaine qui est docteur en neurosciences, et qui dit que le syndrome de l'imposteur, il t'indique juste que t'es en train de level up et que ton cerveau, il a encore du mal à faire la transition entre ton toit. d'avant et ton nouveau toi qui est capable de faire ces nouvelles choses que tu penses mais tu n'es pas capable de faire à cause de ce f***** syndrome de l'imposteur. Elle, elle disait un truc que j'ai beaucoup aimé sur le syndrome de l'imposteur en disant qu'en fait le syndrome de l'imposteur c'est juste le différentiel entre sa perception de soi et la perception de la personne qu'on devrait être pour être au poste que l'on veut. Mais en fait si on a eu le poste ou la situation qui nous met dans un syndrome de l'imposteur, ça veut bien dire qu'on a le niveau d'y être. Donc il faut en fait refermer les différentiels. Pour s'aligner avec la personne, on doit être pour répondre aux missions qu'on nous a confiées, qui nous donnent le syndrome de l'imposteur. Et ça, c'est hyper cool parce que du coup, ça veut dire que ça se travaille. Et donc, moi, je vous recommande les affirmations positives. Donc, se répéter qu'on mérite ce poste ou cette situation et que c'est bon pour nous. Et conforter notre cerveau. Aussi, notre cerveau, il n'aime pas être dans l'inconfort. Il n'aime pas quand on lui dit des nouvelles choses, etc. Il a peur. Notre cerveau est tout le temps dans la peur. Il préfère ce qu'il connaît. Du coup l'idée de le rassurer en écrivant ou avec ses affirmations positives justement, ça marche vraiment très très très très bien. Donc je vous conseille aussi de suivre votre évolution pour vous rendre compte en fait de quelques mois que ce syndrome de l'imposteur il était pas forcément nécessaire. En fait ça vous aidera pour les prochaines fois où vous aurez level up pour ne pas avoir ce syndrome d'imposteur qui vous bouffe le mental et qui vous bouffe la vie. Donc ce que je t'invite à faire c'est de faire confiance, respirer, écrire tous tes doutes, toutes tes peurs, à tenir compte de ton évolution. et à mettre toutes les chances de ton côté pour réussir. Et je suis sûre que tu vas réussir haut la main. Bon, maintenant que vous êtes des boss, je voulais vous introduire à quelque chose. J'ai créé un jeu de cartes, ça s'appelle Coeur à Coeur. L'idée du jeu de cartes, c'est de créer des conversations propondes. Et on s'est dit, à la fin de chaque épisode de podcast, on va tirer une carte. Enfin, je vais tirer une carte. Ok. Alors là c'est l'ancienne, c'est la DA pour l'association Beyond Science Club mais il y a une nouvelle DA qui va sortir très bientôt. Restez connectés quoi. Est-ce que mon jeune toi serait fier de la personne que tu es aujourd'hui et pourquoi ? Alors est-ce que mon jeune moi serait fier de moi aujourd'hui ? Oui, un grand oui. J'ai déjà répondu à cette question évidemment en dehors du cadre de la vidéo donc je la connais déjà. Mais oui parce que justement tu vois là dans cet épisode je parle du syndrome de l'imposteur et de toute la charge mentale que ça donne et tout. Mais je pense qu'avant d'être adulte et de connaître le syndrome de l'imposteur, il y a plein d'émotions qu'on rencontre quand on est ado, quand on grandit parmi les autres et tout. Et parfois on peut vraiment se sentir pas à la hauteur, différent, qu'on n'a pas notre place, etc. Et aujourd'hui je pense que la petite fille que j'étais, et même l'adolescente en réalité que j'étais, elle serait hyper fière de moi parce que j'ai vraiment eu une grosse transformation, que ce soit physique ou mentale, parce que j'ai vraiment pris confiance en moi, que j'ai appris à m'aimer. que j'ai appris à donner d'une manière saine autour de moi, que j'ai appris à mettre mes limites, que j'ai appris ma valeur, que j'ai appris plein de choses. Et aussi avec tout mon parcours, que ce soit mes études, ce que je donne aujourd'hui pour pouvoir être un entrepreneur qui vit de ces entreprises, entre guillemets au pluriel et au sens premier du terme, c'est beaucoup d'efforts et c'est beaucoup de... de choix qui font que je peux être fière de moi. Donc oui, merci d'avoir regardé cet épisode. J'espère que ça vous aura plu et que ça vous aura apporté des choses ou que ça vous aura rassuré ou que ça vous aura donné envie de regarder d'autres épisodes que vous pouvez retrouver tous les mercredis sur ma chaîne YouTube et sur toutes les plateformes d'écoute. Spotify, Deezer, Apple Podcast, etc. N'hésitez pas à partager l'épisode, à vous abonner, à vous abonner à mon Insta. Voilà, je fais plein de trucs, c'est trop cool. J'ai de la chance d'avoir Jules avec moi qui est mon community manager. Et du coup, ça nous fera trop plaisir à tous les deux si on a vos résultats et vos retours et vos commentaires et vos likes et tout ça. Voilà, gros bisous et à très bientôt. Ciao !