Metaclassique #175 – Iriser cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique #175 – Iriser

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1h00 |08/06/2022
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Description

Le 18 juin 1799, seulement quelques mois avant l’entrée dans le siècle romantique, Novalis écrivait : « Le son ne semble être qu’un mouvement brisé, au sens où la couleur est de la lumière décomposée. » Tout ce que la musique peut alors nous donner à entendre est en effet relié à quelque chose d’absolu, pour peu que l’on sente en effet que tout ce qu’on en reçoit est une version irisée d’un inconditionné. À l’heure où Novalis multiplie les fragments poétiques pour que se faufile, entre ses faisceaux de pensée, un saisissement plein, les nouvelles possibilités sonores développe une technique sans précédent, qu’on a alors appelé le « jeu céleste ».

Pour ce numéro Iriser en partenariat avec l’association La Nouvelle Athènes – Centre de pianos romantiques, Metaclassique est installé à l’Arcal avec Luca Montebugnoli que nous entendrons déployer et expliquer ledit « jeu céleste » sur un piano Erard de 1806 et Olivier Schefer que nous interrogerons en qualité de spécialiste de Novalis. Novalis qui disait aussi : « Comme les sons de la harpe éolienne, les objets doivent se présenter en une fois, sans causalité – sans trahir leur instrument. »

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Le 18 juin 1799, seulement quelques mois avant l’entrée dans le siècle romantique, Novalis écrivait : « Le son ne semble être qu’un mouvement brisé, au sens où la couleur est de la lumière décomposée. » Tout ce que la musique peut alors nous donner à entendre est en effet relié à quelque chose d’absolu, pour peu que l’on sente en effet que tout ce qu’on en reçoit est une version irisée d’un inconditionné. À l’heure où Novalis multiplie les fragments poétiques pour que se faufile, entre ses faisceaux de pensée, un saisissement plein, les nouvelles possibilités sonores développe une technique sans précédent, qu’on a alors appelé le « jeu céleste ».

Pour ce numéro Iriser en partenariat avec l’association La Nouvelle Athènes – Centre de pianos romantiques, Metaclassique est installé à l’Arcal avec Luca Montebugnoli que nous entendrons déployer et expliquer ledit « jeu céleste » sur un piano Erard de 1806 et Olivier Schefer que nous interrogerons en qualité de spécialiste de Novalis. Novalis qui disait aussi : « Comme les sons de la harpe éolienne, les objets doivent se présenter en une fois, sans causalité – sans trahir leur instrument. »

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


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Le 18 juin 1799, seulement quelques mois avant l’entrée dans le siècle romantique, Novalis écrivait : « Le son ne semble être qu’un mouvement brisé, au sens où la couleur est de la lumière décomposée. » Tout ce que la musique peut alors nous donner à entendre est en effet relié à quelque chose d’absolu, pour peu que l’on sente en effet que tout ce qu’on en reçoit est une version irisée d’un inconditionné. À l’heure où Novalis multiplie les fragments poétiques pour que se faufile, entre ses faisceaux de pensée, un saisissement plein, les nouvelles possibilités sonores développe une technique sans précédent, qu’on a alors appelé le « jeu céleste ».

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Le 18 juin 1799, seulement quelques mois avant l’entrée dans le siècle romantique, Novalis écrivait : « Le son ne semble être qu’un mouvement brisé, au sens où la couleur est de la lumière décomposée. » Tout ce que la musique peut alors nous donner à entendre est en effet relié à quelque chose d’absolu, pour peu que l’on sente en effet que tout ce qu’on en reçoit est une version irisée d’un inconditionné. À l’heure où Novalis multiplie les fragments poétiques pour que se faufile, entre ses faisceaux de pensée, un saisissement plein, les nouvelles possibilités sonores développe une technique sans précédent, qu’on a alors appelé le « jeu céleste ».

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