Metaclassique #185 – Enniaiser cover
Metaclassique #185 – Enniaiser cover
METACLASSIQUE

Metaclassique #185 – Enniaiser

Metaclassique #185 – Enniaiser

1h00 |17/08/2022
Play
Metaclassique #185 – Enniaiser cover
Metaclassique #185 – Enniaiser cover
METACLASSIQUE

Metaclassique #185 – Enniaiser

Metaclassique #185 – Enniaiser

1h00 |17/08/2022
Play

Description

Pour parler de la romance, on pourrait dire qu’elle apparaît au 18ème siècle et qu’elle se distingue de l’ariette en ce qu’elle a toujours un accompagnement. Mais au lieu d’une observation formelle, on pourrait tenter de faire quelques ponts généalogiques et retenir que les chansons sont peut-être une version moderne des romances de l’époque romantique qui étaient elles-mêmes des versions actualisées des chansons des troubadours. À moins de chercher à penser aussi bien la forme que les ramifications historiques de la romance en partant d’une impression tenace : pourquoi la romance passe-t-elle à ce point pour un genre niais ? Est-ce que sa niaiserie tient au fait qu’on a tout oublié de son contexte ou est-ce qu’elle lui est attachée plus intrinsèquement ? Pour faire avancer la question, nous avons interrogé trois spécialistes de la question, par ordre d’apparition : Clotilde Verwaerde, Vincent Vivès et Florence Launay. Quitte à repartir des chansons de troubadour, telles qu’on a pu les chanter au milieu du 20ème siècle.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Pour parler de la romance, on pourrait dire qu’elle apparaît au 18ème siècle et qu’elle se distingue de l’ariette en ce qu’elle a toujours un accompagnement. Mais au lieu d’une observation formelle, on pourrait tenter de faire quelques ponts généalogiques et retenir que les chansons sont peut-être une version moderne des romances de l’époque romantique qui étaient elles-mêmes des versions actualisées des chansons des troubadours. À moins de chercher à penser aussi bien la forme que les ramifications historiques de la romance en partant d’une impression tenace : pourquoi la romance passe-t-elle à ce point pour un genre niais ? Est-ce que sa niaiserie tient au fait qu’on a tout oublié de son contexte ou est-ce qu’elle lui est attachée plus intrinsèquement ? Pour faire avancer la question, nous avons interrogé trois spécialistes de la question, par ordre d’apparition : Clotilde Verwaerde, Vincent Vivès et Florence Launay. Quitte à repartir des chansons de troubadour, telles qu’on a pu les chanter au milieu du 20ème siècle.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like

Description

Pour parler de la romance, on pourrait dire qu’elle apparaît au 18ème siècle et qu’elle se distingue de l’ariette en ce qu’elle a toujours un accompagnement. Mais au lieu d’une observation formelle, on pourrait tenter de faire quelques ponts généalogiques et retenir que les chansons sont peut-être une version moderne des romances de l’époque romantique qui étaient elles-mêmes des versions actualisées des chansons des troubadours. À moins de chercher à penser aussi bien la forme que les ramifications historiques de la romance en partant d’une impression tenace : pourquoi la romance passe-t-elle à ce point pour un genre niais ? Est-ce que sa niaiserie tient au fait qu’on a tout oublié de son contexte ou est-ce qu’elle lui est attachée plus intrinsèquement ? Pour faire avancer la question, nous avons interrogé trois spécialistes de la question, par ordre d’apparition : Clotilde Verwaerde, Vincent Vivès et Florence Launay. Quitte à repartir des chansons de troubadour, telles qu’on a pu les chanter au milieu du 20ème siècle.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Pour parler de la romance, on pourrait dire qu’elle apparaît au 18ème siècle et qu’elle se distingue de l’ariette en ce qu’elle a toujours un accompagnement. Mais au lieu d’une observation formelle, on pourrait tenter de faire quelques ponts généalogiques et retenir que les chansons sont peut-être une version moderne des romances de l’époque romantique qui étaient elles-mêmes des versions actualisées des chansons des troubadours. À moins de chercher à penser aussi bien la forme que les ramifications historiques de la romance en partant d’une impression tenace : pourquoi la romance passe-t-elle à ce point pour un genre niais ? Est-ce que sa niaiserie tient au fait qu’on a tout oublié de son contexte ou est-ce qu’elle lui est attachée plus intrinsèquement ? Pour faire avancer la question, nous avons interrogé trois spécialistes de la question, par ordre d’apparition : Clotilde Verwaerde, Vincent Vivès et Florence Launay. Quitte à repartir des chansons de troubadour, telles qu’on a pu les chanter au milieu du 20ème siècle.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Share

Embed

You may also like