Metaclassique #350 nord – Farcir cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique #350 nord – Farcir

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1h00 |15/10/2025
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Description

Autour de 1700, les interprètes jouaient couramment beaucoup plus de notes qui n’en étaient écrites. Mais au-delà des seuls ornements qui complétaient à vue les lignes mélodiques, il pouvait y avoir des ajouts de parties. Si bien qu’une partition écrite pour deux instruments pouvaient tout à fait être jouée par cinq instrumentistes. C’est comme ça que certains musicologues et instrumentistes se mettent aujourd’hui à « Farcir » les partitions de parties qui, sans être écrites, n’en étaient pas moins jouées par les musiciens de l’époque. D’une partition à deux voix, on peut passer à cinq selon des critères historiques scrupuleux ; d’une partie de viole, on peut ajouter une basse. Reste à déceler, dans ces pratiques, où finit la reconstitution ou commence la réécriture ? Quelle est la part de complétion et celle d’invention ? Pour ce numéro « Farcir » de Metaclassique, nous sommes installés dans la Bibliothèque La Grange-Fleuret, nous recevons le musicologue Thomas Leconte qui farci des partitions de Michel-Richard de Lalande et la violiste Noémie Lenhof qui, avec le claveciniste Guillaume Haldenwang, a farci des œuvres de Marin Marais.

Une émission mixée et assemblée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Autour de 1700, les interprètes jouaient couramment beaucoup plus de notes qui n’en étaient écrites. Mais au-delà des seuls ornements qui complétaient à vue les lignes mélodiques, il pouvait y avoir des ajouts de parties. Si bien qu’une partition écrite pour deux instruments pouvaient tout à fait être jouée par cinq instrumentistes. C’est comme ça que certains musicologues et instrumentistes se mettent aujourd’hui à « Farcir » les partitions de parties qui, sans être écrites, n’en étaient pas moins jouées par les musiciens de l’époque. D’une partition à deux voix, on peut passer à cinq selon des critères historiques scrupuleux ; d’une partie de viole, on peut ajouter une basse. Reste à déceler, dans ces pratiques, où finit la reconstitution ou commence la réécriture ? Quelle est la part de complétion et celle d’invention ? Pour ce numéro « Farcir » de Metaclassique, nous sommes installés dans la Bibliothèque La Grange-Fleuret, nous recevons le musicologue Thomas Leconte qui farci des partitions de Michel-Richard de Lalande et la violiste Noémie Lenhof qui, avec le claveciniste Guillaume Haldenwang, a farci des œuvres de Marin Marais.

Une émission mixée et assemblée par David Christoffel.


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Autour de 1700, les interprètes jouaient couramment beaucoup plus de notes qui n’en étaient écrites. Mais au-delà des seuls ornements qui complétaient à vue les lignes mélodiques, il pouvait y avoir des ajouts de parties. Si bien qu’une partition écrite pour deux instruments pouvaient tout à fait être jouée par cinq instrumentistes. C’est comme ça que certains musicologues et instrumentistes se mettent aujourd’hui à « Farcir » les partitions de parties qui, sans être écrites, n’en étaient pas moins jouées par les musiciens de l’époque. D’une partition à deux voix, on peut passer à cinq selon des critères historiques scrupuleux ; d’une partie de viole, on peut ajouter une basse. Reste à déceler, dans ces pratiques, où finit la reconstitution ou commence la réécriture ? Quelle est la part de complétion et celle d’invention ? Pour ce numéro « Farcir » de Metaclassique, nous sommes installés dans la Bibliothèque La Grange-Fleuret, nous recevons le musicologue Thomas Leconte qui farci des partitions de Michel-Richard de Lalande et la violiste Noémie Lenhof qui, avec le claveciniste Guillaume Haldenwang, a farci des œuvres de Marin Marais.

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