Métaclassique #91 – Ensorceller cover
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METACLASSIQUE

Métaclassique #91 – Ensorceller

Métaclassique #91 – Ensorceller

1h00 |28/10/2020
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Description

On sait – à moins qu’on ne fasse que supposer – que les sorcières chantaient, suivaient un certain refrain, un certain rythme. Mais de là à parler d’une musique sorcière, même si c’est pour dire qu’on ne sait pas à quoi elle peut exactement ressembler, ce serait peut-être déjà aller trop loin. Dans Musique sorcière d’une certaineMeri Franco Léo, on pouvait lire en 1976 : « La musique des sorcières faisait partie d’un tout, d’une cosmogonie, et elle a subi la même répression que leur médecine, leur astrologie, et leurs savoirs. » Et c’est certainement par l’histoire de leur répression que l’histoire des sorcières est la mieux renseignée. Et pour cause : Si on n’a peut-être jamais vu en vrai une sorcière voler sur un balai, on a pourtant bien instruit des procès en sorcellerie contre des femmes auxquelles on a reproché, pour de vrai, de voler sur un balai. Pour démêler, tout en les croisant, les procès en sorcellerie du Moyen-Âge et les activités musicales de l’époque, nous recevons deux médiévistes : l’historien Maxime Perbellini qui termine à l’EHESS à Parais et à l’Université Libre de Bruxelles, une thèse sur les sorcières au Moyen-Âge et la musicologue Isabelle Ragnard qui enseigne à l’Université Paris-Sorbonne et au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris.

Avec la participation d’Omer Corlaix.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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On sait – à moins qu’on ne fasse que supposer – que les sorcières chantaient, suivaient un certain refrain, un certain rythme. Mais de là à parler d’une musique sorcière, même si c’est pour dire qu’on ne sait pas à quoi elle peut exactement ressembler, ce serait peut-être déjà aller trop loin. Dans Musique sorcière d’une certaineMeri Franco Léo, on pouvait lire en 1976 : « La musique des sorcières faisait partie d’un tout, d’une cosmogonie, et elle a subi la même répression que leur médecine, leur astrologie, et leurs savoirs. » Et c’est certainement par l’histoire de leur répression que l’histoire des sorcières est la mieux renseignée. Et pour cause : Si on n’a peut-être jamais vu en vrai une sorcière voler sur un balai, on a pourtant bien instruit des procès en sorcellerie contre des femmes auxquelles on a reproché, pour de vrai, de voler sur un balai. Pour démêler, tout en les croisant, les procès en sorcellerie du Moyen-Âge et les activités musicales de l’époque, nous recevons deux médiévistes : l’historien Maxime Perbellini qui termine à l’EHESS à Parais et à l’Université Libre de Bruxelles, une thèse sur les sorcières au Moyen-Âge et la musicologue Isabelle Ragnard qui enseigne à l’Université Paris-Sorbonne et au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris.

Avec la participation d’Omer Corlaix.

Une émission produite et réalisée par David Christoffel.


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On sait – à moins qu’on ne fasse que supposer – que les sorcières chantaient, suivaient un certain refrain, un certain rythme. Mais de là à parler d’une musique sorcière, même si c’est pour dire qu’on ne sait pas à quoi elle peut exactement ressembler, ce serait peut-être déjà aller trop loin. Dans Musique sorcière d’une certaineMeri Franco Léo, on pouvait lire en 1976 : « La musique des sorcières faisait partie d’un tout, d’une cosmogonie, et elle a subi la même répression que leur médecine, leur astrologie, et leurs savoirs. » Et c’est certainement par l’histoire de leur répression que l’histoire des sorcières est la mieux renseignée. Et pour cause : Si on n’a peut-être jamais vu en vrai une sorcière voler sur un balai, on a pourtant bien instruit des procès en sorcellerie contre des femmes auxquelles on a reproché, pour de vrai, de voler sur un balai. Pour démêler, tout en les croisant, les procès en sorcellerie du Moyen-Âge et les activités musicales de l’époque, nous recevons deux médiévistes : l’historien Maxime Perbellini qui termine à l’EHESS à Parais et à l’Université Libre de Bruxelles, une thèse sur les sorcières au Moyen-Âge et la musicologue Isabelle Ragnard qui enseigne à l’Université Paris-Sorbonne et au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris.

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