Metaclassique - Adorer cover
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METACLASSIQUE

Metaclassique - Adorer

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1h00 |10/10/2025
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Dans le spectacle Nexus de l’adoration, Joris Lacoste invente une religion qui consiste à adorer toutes les choses, qu’il s’agisse d’un Pokemon, d’une pâquerette ou d’une pensée de Cyril Hanouna. Dans Eternal Dawn (L’Aube éternelle), Alexander Schubert met en scène un transhumanisme dans lequel la technologie a phagocyté tout ce qui peut relier les êtres vivants au monde. Deux propositions présentées dans le cadre de l’édition 2025 du festival Musica qui peuvent s’entendre comme deux faces très différemment dystopiques d’une même préoccupation ou d’une même perplexité face aux futurs plus ou moins désirables de la spiritualité dans une société hyperconnectée. Dans le même temps, dans le livre Spiritualités radicales paru aux éditions divergences, l’essayiste Yuna Visentin montre comment, de l’astrologie aux croyances animismes en passant par les monothéismes, les religions consacrées ou inventées peuvent s’entendre comme des récits contre-hégémoniques, autant de manières de se représenter le monde, d’imaginer la liaison entre les êtres avec des systèmes de représentations alternatifs à l’injonction aux storytellings normatifs qui s’imposent aux individus que le capitalisme ne cesse de sur-individualiser ?

A l’occasion de leurs créations respectives au cours de l’édition 2025 du festival Musica à Strasbourg, Metaclassique a pu interroger les compositeurs Joris Lacoste et Alexander Schubert (qui sera traduit par Jules Paul) dont les réflexions seront prolongées par celles de Yuna Visentin.

Une émission tramée et agencée par David Christoffel.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Dans le spectacle Nexus de l’adoration, Joris Lacoste invente une religion qui consiste à adorer toutes les choses, qu’il s’agisse d’un Pokemon, d’une pâquerette ou d’une pensée de Cyril Hanouna. Dans Eternal Dawn (L’Aube éternelle), Alexander Schubert met en scène un transhumanisme dans lequel la technologie a phagocyté tout ce qui peut relier les êtres vivants au monde. Deux propositions présentées dans le cadre de l’édition 2025 du festival Musica qui peuvent s’entendre comme deux faces très différemment dystopiques d’une même préoccupation ou d’une même perplexité face aux futurs plus ou moins désirables de la spiritualité dans une société hyperconnectée. Dans le même temps, dans le livre Spiritualités radicales paru aux éditions divergences, l’essayiste Yuna Visentin montre comment, de l’astrologie aux croyances animismes en passant par les monothéismes, les religions consacrées ou inventées peuvent s’entendre comme des récits contre-hégémoniques, autant de manières de se représenter le monde, d’imaginer la liaison entre les êtres avec des systèmes de représentations alternatifs à l’injonction aux storytellings normatifs qui s’imposent aux individus que le capitalisme ne cesse de sur-individualiser ?

A l’occasion de leurs créations respectives au cours de l’édition 2025 du festival Musica à Strasbourg, Metaclassique a pu interroger les compositeurs Joris Lacoste et Alexander Schubert (qui sera traduit par Jules Paul) dont les réflexions seront prolongées par celles de Yuna Visentin.

Une émission tramée et agencée par David Christoffel.


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Dans le spectacle Nexus de l’adoration, Joris Lacoste invente une religion qui consiste à adorer toutes les choses, qu’il s’agisse d’un Pokemon, d’une pâquerette ou d’une pensée de Cyril Hanouna. Dans Eternal Dawn (L’Aube éternelle), Alexander Schubert met en scène un transhumanisme dans lequel la technologie a phagocyté tout ce qui peut relier les êtres vivants au monde. Deux propositions présentées dans le cadre de l’édition 2025 du festival Musica qui peuvent s’entendre comme deux faces très différemment dystopiques d’une même préoccupation ou d’une même perplexité face aux futurs plus ou moins désirables de la spiritualité dans une société hyperconnectée. Dans le même temps, dans le livre Spiritualités radicales paru aux éditions divergences, l’essayiste Yuna Visentin montre comment, de l’astrologie aux croyances animismes en passant par les monothéismes, les religions consacrées ou inventées peuvent s’entendre comme des récits contre-hégémoniques, autant de manières de se représenter le monde, d’imaginer la liaison entre les êtres avec des systèmes de représentations alternatifs à l’injonction aux storytellings normatifs qui s’imposent aux individus que le capitalisme ne cesse de sur-individualiser ?

A l’occasion de leurs créations respectives au cours de l’édition 2025 du festival Musica à Strasbourg, Metaclassique a pu interroger les compositeurs Joris Lacoste et Alexander Schubert (qui sera traduit par Jules Paul) dont les réflexions seront prolongées par celles de Yuna Visentin.

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Dans le spectacle Nexus de l’adoration, Joris Lacoste invente une religion qui consiste à adorer toutes les choses, qu’il s’agisse d’un Pokemon, d’une pâquerette ou d’une pensée de Cyril Hanouna. Dans Eternal Dawn (L’Aube éternelle), Alexander Schubert met en scène un transhumanisme dans lequel la technologie a phagocyté tout ce qui peut relier les êtres vivants au monde. Deux propositions présentées dans le cadre de l’édition 2025 du festival Musica qui peuvent s’entendre comme deux faces très différemment dystopiques d’une même préoccupation ou d’une même perplexité face aux futurs plus ou moins désirables de la spiritualité dans une société hyperconnectée. Dans le même temps, dans le livre Spiritualités radicales paru aux éditions divergences, l’essayiste Yuna Visentin montre comment, de l’astrologie aux croyances animismes en passant par les monothéismes, les religions consacrées ou inventées peuvent s’entendre comme des récits contre-hégémoniques, autant de manières de se représenter le monde, d’imaginer la liaison entre les êtres avec des systèmes de représentations alternatifs à l’injonction aux storytellings normatifs qui s’imposent aux individus que le capitalisme ne cesse de sur-individualiser ?

A l’occasion de leurs créations respectives au cours de l’édition 2025 du festival Musica à Strasbourg, Metaclassique a pu interroger les compositeurs Joris Lacoste et Alexander Schubert (qui sera traduit par Jules Paul) dont les réflexions seront prolongées par celles de Yuna Visentin.

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