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Ep 36 : Au-delà du MBTI & DISC : la méthode F.L.A.S.H. pour dévoiler votre potentiel avec Yannick Zoude cover
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Mindways

Ep 36 : Au-delà du MBTI & DISC : la méthode F.L.A.S.H. pour dévoiler votre potentiel avec Yannick Zoude

Ep 36 : Au-delà du MBTI & DISC : la méthode F.L.A.S.H. pour dévoiler votre potentiel avec Yannick Zoude

52min |08/10/2025
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Description

Vous avez déjà passé le MBTI, le Big Five, le DISC ou l’Ennéagramme ? Utile… mais incomplet.
Dans cet épisode de Mindways, Yannick Zoude présente F.L.A.S.H., un modèle sans questionnaire qui révèle instantanément les talents inconscients à partir de données minimales (prénom, nom, jour/mois). On parle leadership, recrutement, soft skills, biais des tests, et de la manière dont F.L.A.S.H. met en lumière vos forces naturelles sans vous enfermer dans une case.


Ressources citées :
• Prendre RDV : www.kanakaflash.com

• Découvrir le F.L.A.S.H https://links.kanakaflash.com/widget/form/CYXQ8rGEHc9c4Ar8Diyr
• Yannick Zoude sur linkedin : https://www.linkedin.com/in/yannick-zoude/

• Livre mentionné : Hiring for Attitude – Mark Murphy


À propos de Mindways
Mindways, le podcast qui explore des méthodes concrètes pour mieux se connaître, décider, et entreprendre avec lucidité.

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Mindways, on a tous un jour rempli un test de personnalité. Le MBTI, le Big Five, le DISC, le PAPI ou encore l'Enneagram, autant d'outils devenus incontournables dans le monde du coaching, du recrutement et même du développement personnel. Ces tests ont un point commun, ils cherchent à décrire qui nous sommes à travers des traits, des profils, des combinaisons de comportements et de préférences. Ils nous classent, parfois nous rassurent, souvent nous intriguent ... Ils mettent des mots sur nos façons d'agir, de penser, de ressentir. Et pourtant, malgré leur précision, leur popularité et leur décennie de recherche scientifique, les questions persistent. Ont-ils des biais ? Peuvent-ils vraiment saisir toute la complexité d'un être humain ? Parce qu'au fond, nous ne sommes pas qu'un type, ni qu'un ensemble de traits, mais nous sommes bien faits de nuances, de paradoxes, de potentiels endormis, de forces inconscientes qui ne se laissent pas cocher dans une case. C'est là que surgit une approche différente, une approche qui ne cherche pas à analyser mais à révéler. Un modèle conçu pour faire apparaître ce qui échappe aux tests classiques, ce que vous ignorez savoir faire, ce que vous n'assumez pas encore être, mais que votre inconscient exprime déjà. Cette approche s'appelle Flash, et son créateur, Yannick Zoudé, a voulu en faire un véritable pont entre toutes les méthodes existantes. Aujourd'hui dans Mindways, on plonge avec lui. dans ce modèle qui promet de mettre en lumière vos talents invisibles et peut-être de changer votre manière de vous percevoir instantanément. Yannick, bienvenue dans Mindways. Est-ce que tu peux te présenter pour nos auditeurs ? Raconte-nous ton parcours et comment on passe de la gestion RH classique à la création d'un outil comme Flash.

  • Speaker #1

    Wow, merci pour l'introduction Sébastien, c'est formidable. Mon nom c'est Zoud, il n'y a pas de E accent aigu à la fin, mais sinon c'est génial. Et en fait là tu vas relever une partie de mon Flash, puisque j'ai une partie où j'analyse et je décortique. Ça fait partie de mon fonctionnement. J'ai adoré ton introduction, je te remercie pour l'invitation. On a eu le temps de briser la glace il n'y a pas longtemps parce que tu as eu ton flash et ça c'est cool. Briser la glace, ça fait partie d'une des dimensions du flash qu'on aura certainement le temps d'expliquer. Donc Yannick Zoude, ancien RH dans les systèmes d'information dans deux grandes sociétés à l'international. Donc grand projet, conduite du changement, tout ça en fait, ça m'a donné l'occasion aussi de tester en parallèle tous les outils du marché. Puisque j'étais intéressé par le comportement humain à l'adolescence, en fait, c'était comprendre le comportement. Ensuite, j'ai lu beaucoup, je me suis intéressé aux outils qui existaient sur le marché, tout type d'outils. Et puis, quand je suis rentré au niveau professionnel dans les ressources humaines, j'ai forcément été aussi certifié. J'ai utilisé mes formations pour me former. Alors, ça a été l'analyse transactionnelle, la PNL, les néagrammes, tous les outils que tu peux citer, le MBTI, le DISC et autres. Et en fait, tellement passionné par ça, j'ai cherché les liens qu'il pouvait y avoir entre eux, puisque je ne voulais pas avoir qu'une seule facette avec une seule vision des choses, mais bien quelque chose de global, quelque chose de holistique, qui serve à la fois pour le monde du recrutement, ça veut dire la personne doit être au meilleur job possible pour elle, c'est aussi pour le développement personnel, parce qu'on passe par la connaissance et la compréhension de soi pour pouvoir changer quelque chose. Mais on ne peut pas changer quelque chose qui est inconscient. Le flash permet de se rendre compte de choses conscientes qui pouvaient paraître inconscientes et pouvoir partir dessus comme l'état des lieux d'une maison, on va dire. C'est le potentiel de départ. Et après, brique à brique, on peut étendre la maison, agrandir la maison, la mettre à notre goût. Mais en fait, c'est bien d'avoir les bases. En fait, on est vraiment basé sur les bases et sur le big data et sur la collection de données qui m'ont fait cette... passion qui était en moi, que j'ai voulu analyser au maximum, sans passer par des questionnaires où il y a trop de biais cognitifs. Ça, les autres outils le font. Et c'était chouette parce que j'ai pu voir comment ils étaient faits pour justement voir les concepts, les approches et forcément les nuances et les liens entre eux.

  • Speaker #0

    On va lever le moteur, on va lever le capot pour voir un peu le moteur tout à l'heure, expliquer un petit peu comment ça marche du sens, qu'effectivement, c'est un outil dans lequel il n'y a pas de questions. Tu remplis... très peu de choses et ça sort le profil. C'est pour ça que c'est assez bluffant et pour l'avoir effectivement fait, je peux attester que ce qui ressort est vrai. Assez étonnant. Avant de rentrer dans le détail, à quel moment tu t'es dit c'est bon, j'ai trouvé quelque chose de nouveau ? Si tu dis que tu as connecté plusieurs choses, si tu parles de data, etc., c'est à quel moment tu te dis ok, c'est bon, mon outil fonctionne et je tiens quelque chose ?

  • Speaker #1

    En fait, j'ai lancé des calculs de folie sur un échantillon et C'est en 2020 qu'il n'y a pas eu de régression de données, c'est-à-dire que si je bougeais l'algorithme et je rajoutais un profil, ça ne faisait pas mettre en erreur les profils où ça marchait. Donc en fin de compte, ça c'était ce côté empirique vérifiable informatiquement. Donc en 2020, pécard. Suite à la pandémie, on avait beaucoup de temps pour rester chez soi. Et ça m'a permis d'aller encore plus en profondeur sur ma passion.

  • Speaker #0

    Passer du temps dessus, ouais.

  • Speaker #1

    Oui, c'est là où ça a vraiment tilté parce que je me suis dit, allez, c'est maintenant parce que j'ai du temps et je m'y mets vraiment à fond et je vais voir en détail de façon très approfondie jusqu'où je peux aller. Si je ne trouve pas la clé de décodage humain, ça reste une passion et c'est pour moi. Et si ça fonctionne, je vais le tester avec des échantillons de cas concrets après l'application puisque j'avais des cas concrets avant. pour calculer la data. Mais en fait, je me suis servi de 2020 pour informatiser ce qui était un peu artisanal. Moi, j'ai monté ça un peu dans mon garage, comme on peut voir quelques créateurs de ce monde-ci, pour Apple et autres. C'était vraiment de l'artisanat au départ, où je compile de la data et je vérifie sans arrêt. Donc en fait, on peut dire 2020, grand démarrage, où je décide de l'informatiser, puisqu'avec Mac... maquette de perfectionnisme, c'était très compliqué de se lancer en disant « Est-ce que c'est bon là ? Est-ce que j'y vais ? » Du coup, ça fait partie de mon flash et je l'explique aussi, puisque moi aussi, j'ai des nuances dans mon profil. Ce qui m'avantage, c'est des choses où il faut que je fasse attention. Donc 2020.

  • Speaker #0

    Ok. Parce que moi, effectivement, j'ai tendance à dire « mieux vaut fait que parfait » .

  • Speaker #1

    Oui, mais en fait, ça, il faut que je me le mette, tu vois. Et ce n'est pas évident avec mon flash de rentrer dans ce processus.

  • Speaker #0

    Tu décris flash comme un... révélateur de talent inconscient, qu'est-ce que tu mets exactement derrière le mot inconscient ?

  • Speaker #1

    Inconscient, c'est de réagir ou d'agir sans savoir d'où ça vient, sans connaître la source. Moi, en fait, l'idée, c'était d'aller à la source de l'information pour chaque personne, pour se dire que par rapport à un même type d'événement, on peut agir ou réagir différemment. Tu vois, c'est l'histoire des trois cerveaux, par exemple, avec Fight, Flight, Freeze. En fait, c'est la peur, mais la peur... Comment on se comporte face à la peur ? Et ça, c'était encore quelque chose, encore une idée qui a germé pour le comprendre dans le flash, où on a cinq dimensions hyper importantes, puisqu'elles sont reliées déjà aux cinq sens de l'être humain. J'ai utilisé du coup le VACOG dans la PNL, visuel auditif, kinesthésique, olfactif et gustatif. Donc j'ai fait déjà les premiers liens et il y avait plein d'autres liens derrière à faire. Mais déjà, je suis parti des cinq sens classiques de l'être humain, basiques. Et on a toujours des préférences comportementales. On a tous fait pareil, on n'a pas le même câblage. Et c'est ça qui était passionnant pour moi pendant toutes ces années. Et je n'ai pas abandonné parce que c'était une passion et c'était une sorte de mission. Puisque vraiment, je peux le dire comme ça. Si j'ai commencé à l'adolescence à chercher ça et que je n'ai pas arrêté, même si j'étais dans le monde des ressources humaines. où j'ai eu une belle carrière pendant 20 ans dans de grands groupes, ça m'a toujours taraudé, titillé, envie d'aller plus loin.

  • Speaker #0

    C'est sûr que tu aurais pu rester sur les outils qui existent depuis de très nombreuses années et faire quelques ponts éventuellement entre les uns et les autres, mais sans forcément aller redévelopper un modèle. Or là, pour le coup, tu es vraiment allé beaucoup plus loin. J'avais noté la méthode, Ce n'est pas une méthode, pour le coup, c'est vraiment un modèle. C'est comment le modèle combine-t-il une approche systémique, cognitive et humaine ? Et sur quels principes neuroscientifiques, psychologiques tu t'appuies ?

  • Speaker #1

    C'est vrai que la méthode, en fait, on la fournit dans la formation. Il y a une méthode d'apprentissage, en fait, c'est comme le permis de conduire. Là, on pilote le flash. Ce n'est pas de la conduite, c'est du pilotage. Donc, on a vraiment une formation clé en main avec... éthique déontologie dedans, puisque j'étais en RH et je ne veux pas qu'on fasse n'importe quoi avec cet outil-là. Donc il y a une façon de présenter le flash aux gens. La deuxième chose, oui, c'est un modèle. Donc en fait, c'est dans ce modèle-là, on a à la fois... une modélisation statistique avec le big data qui m'a servi pour vérifier les données. Et puis, je suis parti des briques réelles, c'est-à-dire que j'ai observé les résultats des comportements réels pour beaucoup, beaucoup,

  • Speaker #0

    beaucoup de personnes.

  • Speaker #1

    Et donc, j'ai modélisé. C'est le principe de la PNL. La PNL n'est pas une théorie, c'est une modélisation. Et là, en fait, avec le big data que j'avais et l'informatique complexe et les statistiques, J'ai pu monter ça tout doucement en vérifiant avec un jeu de quelques profils. Puis, j'ai augmenté jusqu'à 75 000 profils. Et puis après, j'ai dit OK, l'algorithme fonctionne pour tout le monde. Donc, en fin de compte, on a des intuitions, de l'instinct et de l'analyse. En fait, c'est la combinaison de tout ça qui fait que ça marche. C'est-à-dire qu'il y a des outils qui sont hyper analytiques et pour moi trop enfermants, qui mettent dans des cases et ça, c'est dommage. Il y a des outils qui sont un peu trop perchés, où l'intuition a fait faire quelque chose, mais ce n'est pas explicable. Et en fait, dans mon fonctionnement, j'ai eu des intuitions que j'ai pu vérifier de façon analytique. Donc, en fait, j'ai monté moi-même la validation des datas sans que ce soit des mesures psychométriques. C'est-à-dire que c'est juste l'informatique qui m'a permis de dire, je comprends que tel profil fonctionne avec cette préférence-là. Je vais le vérifier sur d'autres profils et c'est en agrégeant les datas, les données, que c'est monté tout doucement et c'est pour ça que j'ai bossé 20 ans dessus. C'est parce que ça a été quelque chose d'empirique, quelque chose du concret et ça a été brique par brique. Donc déjà, les fondations, puis voir si je ne me plante pas sur les cinq dimensions et ce que c'est bien ça. Est-ce que je peux intégrer le disque à l'intérieur ? Oui. Parce qu'il y a quatre dimensions dans le disque, et là, il y en a cinq. Donc, qu'est-ce qui est splitté ? Qu'est-ce qui est en plus ? Et pourquoi ça marche comme ça ? Donc, vérifier par rapport, comme je suis certifié au disque aussi, vérifier par rapport à tous les résultats que j'avais du disque, s'il y avait une corrélation entre ce que j'avais créé et leurs résultats. Et je l'ai fait avec les autres outils également. Du coup, ça m'a permis, on va dire que... C'est comme un Tetris, en fait, si je peux t'expliquer ça. C'est quoi ? Le Tetris, s'il y a un trou, ça ne marche pas. S'il y a un trou dans la raquette, tu perds. Donc, c'était construire la base, ça s'emboîte bien, puis construire la deuxième base. Puis, si jamais dans la troisième base, il y a quelque chose qui fait que ça déconne, on redescend à la deuxième base. Et donc, en fait, c'est pour ça que c'était l'itération.

  • Speaker #0

    Une itération empirique et au fur et à mesure, ça se construit. Oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que j'ai mis 20 ans. c'est parce que trouver ça comme ça, ce n'était pas possible. Mais avoir le temps de le faire, comme c'était passionnant, moi, ça ne me gênait pas. Je n'avais pas d'objectif financier, je n'avais pas d'objectif de temps, je n'avais pas… C'est juste une passion. Mais une passion avec l'envie d'atteindre un résultat quand même, tu vois, ce n'est pas une passion floue.

  • Speaker #0

    Oui, mais il n'y avait pas un objectif purement financier, en disant tiens, je vais monter un business qui va aller là-dedans, etc. ça part d'un travail de questionnement, de comment ça marche.

  • Speaker #1

    Et à chaque fois, me former, me former, me former aux outils et se dire, il y a ce qui me gêne, je pose la question, est-ce que j'ai la réponse ou pas ? Est-ce que c'est trop flou ? Est-ce qu'il y a un trou dans la raquette ? Est-ce que je peux l'intégrer dans ma méthode ? En fait, c'est parce que les outils du marché ne correspondaient pas à ce que moi j'aurais utilisé si j'avais été coach recruteur, bilan de compétences. En fait, je voulais que les gens... voient clairement des choses qui leur paraissent impossibles ou incompréhensibles. Donc, le jeu de la pédagogie a été super important dedans. Aussi, parce qu'en fin de compte, pour qu'un Tetris fonctionne, en fait, il faut donner envie. Et la pédagogie, c'est super important pour comment j'explique le flash aux gens. Donc, qu'est-ce que j'utilise comme picto ? Qu'est-ce que j'utilise comme lettres dans le flash ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Donc, Einstein disait, si tu es capable de l'expliquer à ta grammaire, tu peux l'expliquer à tout le monde. C'est le cas. Flash est utilisé aussi par des coachs sur des enfants en difficulté scolaire qui ont 8 ans et qui comprennent la pédagogie qu'il y a derrière le Flash.

  • Speaker #0

    On va y revenir sur le fonctionnement. Comme il n'y a pas de questions, on peut le faire à n'importe qui. Peut-être que tu nous expliqueras, il y a peut-être des limites, on verra. À ce stade, effectivement, il n'y a pas de question, contrairement à ce qu'on peut avoir avec un disque ou ce genre de choses. J'aime bien le moment où tu dis, le disque, il a quatre dimensions, moi, j'en ai cinq. comment je split, etc. Moi, je suis un grand fan du disque depuis toujours et pour le coup, j'ai un profil qui est extrêmement marqué.

  • Speaker #1

    Ok, c'est très marqué, d'accord.

  • Speaker #0

    Je me suis toujours posé la question, alors même si dans mon quotidien, je pense que le profil disque est assez vrai, mais je me suis toujours posé la question de est-ce que je l'ai influencé au moment où j'ai répondu aux questions.

  • Speaker #1

    Oui, parce que le principe du questionnaire, c'est qu'on demande d'auto-déclarer son fonctionnement. Pour pouvoir s'auto-déclarer, il faut se connaître parfaitement, il ne faut pas avoir d'enjeu, et c'est OK. Du coup, le résultat est fiable. Donc, en fait, il y a déjà des paramètres de départ. Après, les autres, c'est les biais cognitifs, c'est est-ce que j'ai compris la question, est-ce que je me mets en situation globale ou en situation professionnelle, et du coup, il y a trop de questions. Donc, du coup... on est dans une auto-réflexion pour répondre. Donc, on est forcé de répondre à un instant T avec notre compréhension des questions qui nous arrivent.

  • Speaker #0

    Oui, potentiellement dans l'humeur du moment, en plus.

  • Speaker #1

    J'allais te le dire, bravo, c'est ça. C'est-à-dire, si je suis en colère, si je suis excité, si je suis stressé, peu importe le mode de stress, ça va en fait jouer sur la qualité de mes réponses. Et en fait, l'algorithme va prendre en compte forcément la réponse aux questions. Et donc, c'est qu'est-ce que je donne comme carburant au moteur de l'algorithme du disque ? J'ai répondu bleu parce que j'ai un profil quand même qui est analytique. Donc, et conformité, ça me va bien parce que c'est le monde des règles. Et en fait, je me suis appuyé sur de l'analytique pour vérifier tout ça. Cependant, à un moment donné, j'ai voulu faire le disque pour aller vers un coaching. Et en fait, j'ai répondu rouge parce que j'avais envie d'influencer le... Le test pour leur montrer que le flash, en fait, tu ne peux pas faire ça. C'était un peu le but du jeu. Donc oui, on peut un peu influencer forcément les questions.

  • Speaker #0

    Moi, j'ai eu la chance de faire ces tests-là, à part peut-être un il y a très longtemps, mais sans enjeu. Sans enjeu réel, c'est-à-dire que je n'étais pas dans une configuration de recrutement ou ce genre de choses où potentiellement tu vas essayer de répondre bien au truc pour orienter le débat et avoir ton poste. nous on l'a vraiment fait dans une optique de savoir comment l'équipe fonctionne et plusieurs fois alors il y a quand même des biais mais voilà pour le coup je sais que mon fonctionnement s'adapte pas tant que ça et du coup pour le coup c'était assez réel Est-ce que tu peux nous expliquer comment se déroule une séance flash ? Qu'est-ce que la personne vit réellement ? Je pourrais en témoigner aussi. Et du coup, quels sont les inputs de données que l'on rentre ?

  • Speaker #1

    C'est très clair, les inputs de données, comme on va chercher la source à l'origine et que ça a été vérifié informatiquement, en fait, on décode le prénom, le nom et le jour-mois de naissance. Le jour-mois de naissance, ce n'est pas de l'astrologie, de la numérologie, ça n'augmente qu'une seule des cinq dimensions. Quand on va voir la médecine traditionnelle chinoise, on voit qu'il apparaît un calendrier perpétuel. Et en fin de compte, en fonction de la longueur de chaîne de caractère de ton prénom, la longueur de chaîne de caractère de ton nom et du positionnement des lettres à l'intérieur, on n'a pas le même résultat. Et c'est ça que j'ai vérifié sans arrêt pour trouver une sorte d'énergie à l'origine. Et puis, une sorte de décodage des sources à l'origine. Et en fait, c'est ça qui est assez bluffant. C'est que je me suis mis à chercher ça par passion en disant, je veux éviter les questionnaires. Je ne veux pas passer par les questionnaires. Donc, soit je trouve, soit je ne crée pas un questionnaire par-dessus. Et quand j'ai rencontré un gars de la stratégie et de l'innovation, il m'a dit, Yannick, pour que ça marche, rajoute un questionnaire par-dessus. Même si tu fais tourner ton algorithme, j'ai refusé. Parce que le vrai faux me pilote énormément dans mon fonctionnement. Du coup, dans sa stratégie, qui aurait pu fonctionner côté business, je l'ai mis de côté complètement, parce que ce n'était pas du tout le but de l'outil, de passer par un questionnaire. Donc en fait, les datas, c'est prénom, nom, jour, mois de naissance, il n'y a pas besoin de l'année. Il n'y a pas besoin du lieu de naissance, il n'y a rien d'astral ou quoi que ce soit, c'est juste de l'agrégation mathématique, statistique, scientifique. et À partir de là, on a un résultat en une seconde, c'est-à-dire qu'on met plus de temps à taper les données d'entrée qu'à voir le résultat, qui se traduit en français, en anglais, en allemand, bientôt en espagnol, en une fraction de seconde aussi. Et après, on a tout un profil. Donc toi, tu as eu le profil pro, il existe aussi un profil... de croissance personnelle. Mais je pense que la première étape, c'est super important de savoir quel est le bon job pour nous, comment je fonctionne avec une équipe. Et donc, c'est le côté professionnel qui m'a titillé le plus, en fait, quand j'ai testé les outils dans le monde du recrutement, où je me suis dit, attention, il peut y avoir des problématiques de résultats. Et en fait, dans l'étude, suite au livre de Mark Murphy, Hiring for Attitude, en fait, j'avais regardé les études qui avaient été faites. Et en fait, les erreurs de recrutement, De 6 mois à un an et demi quand la personne ne fait plus partie de l'entreprise, on n'a que 11% qui ont fait que c'était des hard skills, c'est-à-dire des compétences dures sur je me sers des logiciels, je sais utiliser ceci, ceci, etc. Et les soft skills représentaient donc 79% des échecs dans le recrutement. Donc tout est une histoire de comportement. D'ailleurs, si on observe une centaine de personnes dans une promo pour une formation, il y aura 100 trajectoires différentes qui sont liées au comportement de chacun. Par exemple, les gens qui vont en fac de médecine, en fonction du flash, on peut les aider à s'orienter en disant est-ce qu'il faut qu'ils aillent plutôt dans les urgences, dans la gériatrie, dans les métiers de spécialisation comme l'opération de la cataracte, et en fonction vraiment du profil comportemental des gens, on n'est pas bon partout. on ne peut pas être à la fois généraliste et spécialiste,

  • Speaker #0

    le flash permet de voir le métier de généraliste.

  • Speaker #1

    Le médecin de campagne sur trois générations, c'est un généraliste et il aime bien rester à cet endroit-là. Il y en a d'autres qui ont le sens de l'urgence. Let's go pour ce genre de métier.

  • Speaker #0

    Je reviens sur ce que tu disais sur le côté hard skills, soft skills. Mon profil, tu ne seras pas étonné, mais effectivement, quand je recrute, je marche beaucoup à l'intuition. et me trompe rarement pour le coup alors je dis pas que ça arrive jamais mais la grande majorité des cas en général elles me donnent raison effectivement je te rejoins sur le côté hard skill en général tu peux le vérifier assez vite et soft skill les gens peuvent le masquer en tout cas dans un premier temps très rapidement le naturel revient au galop et donc ils finissent par se faire rattraper et on se rend vite compte de ce qui va, ce qui ne va pas. Après, ça peut ou pas se corriger, ça, c'est des cas différents. Mais effectivement, on peut masquer un certain temps et aller contre nature, entre guillemets, sur les soft skills, mais il y a un moment où ça demande trop d'énergie et les gens reviennent à leur format, à leur fonctionnement normal. Et c'est là où, en général, il peut y avoir un clash.

  • Speaker #1

    Dans le masque, en fait, j'appelle ça un comportement d'emprunt. Et c'est pas de chip. En fait, tu veux le poste, donc tu vas fonctionner en fonction de ce qu'il veut faire, que le recruteur qui a son propre flash, qu'il soit influencé ou insuensable, parce que si tu donnes les mots qu'il veut entendre, forcément déjà ça se passe bien. Et je me rappelle d'une recruteuse à l'international qui me dit « moi je suis instinctive » et dans son flash ça ressort analytique. Elle me dit « en quoi vous êtes instinctive ? » Elle me dit « en fait je serre la main et je sais déjà » . Mais comment vous savez ? Je lui pose la question parce que moi, je pose des questions. Eh bien, si la personne a la main sèche, ça va, c'est là que ça va. Elle a confiance et tout. Puis si elle a les mains moites, en fait, je vois qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Et je dis, en fait, pour moi, ça, c'est le cerveau analytique parce que c'est si, alors sinon. C'est si elle a la main sèche, alors c'est cool. Si elle a la main moite, alors c'est pas cool. C'est plus de l'instant. C'est une analyse. Ah ouais, ok, d'accord Et bon nombre de fois où quand j'utilise le flash, les gens ne sont pas toujours d'accord sur un truc, sur un détail. Et merci, c'est eux qui sont experts de leur propre vie. Moi, je ne suis pas là pour dire tu fonctionnes comme ça. Ça ne marche pas. Donc, en fait, j'apporte les choses et quand les personnes me posent des questions sur telle chose, en fait, j'utilise des métaphores ou des contextes particuliers qui font que la personne prend du recul et comprend en fait pourquoi elle pensait comme ça. Et ça, c'est cool. Il y a toujours une partie. pédagogique dans ce que j'apporte et c'est ce qui me passionne.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu as des cas où le modèle ne révèle rien de probant ou pose un problème ? Je pense que tu en as eu tout au long de l'évolution du modèle, mais est-ce qu'aujourd'hui, il y a encore des cas où il y a des choses qui ne sortent pas ou pas comme tu voudrais ?

  • Speaker #1

    Je dirais que j'ai eu un cas il y a très longtemps où on était en mode débriefing et la personne avait 20-25 ans. Elle ne comprenait pas qu'elle avait la cinquième dimension qui était forte, qu'elle ne comprenait pas qu'elle influençait les autres. Mais en fait, ça, ça peut être inconscient. C'est-à-dire que... Quand on influence quelqu'un, on n'en est pas toujours conscient, c'est-à-dire que le fait d'être enjoué, le fait de dire j'ai découvert un truc génial, le fait de dire en fait on ne s'en rend pas compte, mais on influence. Et dans son approche, c'était ah ben non, moi non, je n'influence pas, ok. Et j'ai dit ok, on est d'accord, si tu le vois comme ça, c'est ok. Et en fait, ça c'était au tout début. En fait là, je n'ai pas de cas de gens qui me disent que ce n'est pas eux. Et la deuxième chose, c'est que ce qui est encore plus puissant, du coup, je ne peux pas l'influencer, c'est qu'avec plus d'une centaine de personnes formées côté francophone, ce sont les clients des gens que j'ai formés qui rapportent qu'ils ont été bluffés par le résultat. Donc là, c'est encore plus gratifiant, puisque ça veut dire que 1, je ne suis pas intervenu dans la prise en compte et le résultat de... de ce qu'ils ont pu observer et de dire, OK, c'est moi. En tout cas, c'est mes grands traits de personnalité et de caractère. Et en plus de ça, ça veut dire que c'est cool pour moi parce que j'ai bien formé. C'est pas de joc. Pour débriefer, en fait, on fait un sas de décompression émotionnelle. Il faut aussi leur dire, qu'est-ce que vous connaissez comme outil ? Parce qu'on a un cadre de référence qui fait qu'on peut aussi avoir ce biais en disant, moi, je connais ça et en fait, c'est comme ça. Donc tout ça aussi, il faut le prendre en compte dans l'analyse de son propre profil. Donc c'est bien que la personne soit cool pour recevoir les informations et que la deuxième chose, donc, il n'y ait pas d'enjeu, qu'elle soit cool au niveau émotionnel et qu'elle n'ait pas trop de cadres de référence qui pourraient en fait, comme l'outil est disruptif et qui reprend différents concepts, c'est rigolo parce que quand je fais un debriefing de flash d'une heure, une heure et demie, les gens me disent « Ah ben, je vois MBTI dedans, ah ben, je vois la PNL dedans, ah ben, ouais » .

  • Speaker #0

    mais en fait tu vois parce que tu as appris ça comme ça du coup je montrerai des images dans la vidéo pour ceux qui écouteront ou qui regarderont le podcast en vidéo sinon je les invite évidemment à te contacter pour faire leur flash, est-ce que tu peux expliquer du coup les 5 dimensions comment elles se représentent donc le fast, limit assemble, slice et hello pour expliquer un petit peu aux gens Ce qui se cache derrière ça, tu parlais des cinq sens, pour que ça soit un petit peu plus clair pour les gens qui nous écoutent, et comment après, dans l'analyse que tu fais, pour expliquer comment ça se passe, le résultat tombe avec des pourcentages, et derrière, il y a des associations de ces différentes dimensions qui permettent de donner des orientations plutôt sur tel ou tel métier ou sur tel ou tel mode de fonctionnement. Est-ce que tu peux nous expliquer ça ?

  • Speaker #1

    Très bonne question, merci Sébastien. Du coup, Flash, c'est un acronyme. Je voulais que ça serve pour les Français et les Anglais. Donc déjà, ça parle. Après, le F et le H sont à l'extérieur parce que c'est la partie extraversion, proaction. Et puis à l'intérieur, les trois centrales, c'est la réaction. Donc ça n'a pas été placé au hasard.

  • Speaker #0

    Fast,

  • Speaker #1

    c'est l'olfactif. Voilà, pour le Wacog. La deuxième, elle s'appelle Limit. Je l'expliquerai après, mais c'est la partie... c'est le visuel. La troisième assemble, qui est la terre, c'est la partie gustative. Tous les aliments viennent de la terre, c'est simple. La quatrième dimension, elle est auditive, c'est le slice du flash. Et puis, la dernière dimension est kinesthésique, c'est le H2LO. Donc là, en fait, on a comme point d'entrée, déjà, la partie vacoque de la PNL. Fast, c'est une dimension sur laquelle on va voir quelle est la vitesse de la personne pour atteindre un résultat. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'entre 30 et 70 %, les dimensions sont bien gérées en fonction du contexte qui le demande. Et là, les gens ne comprennent pas toujours ce que c'est ça. Mais on pourra voir plus loin. Au-dessus de 70 %, c'est une autoroute comportementale, c'est-à-dire qu'on a tendance à l'utiliser peu importe le contexte. C'est naturel, c'est facile. Donc, c'est à la fois un talent et c'est aussi une zone de turbulence émotionnelle. Et puis, en dessous de 30%, comme il n'y a pas de bon et mauvais profil, bon et mauvais, ça fait partie d'une dualité de l'ego, donc je ne veux pas entendre parler bon ou mauvais, qualité, les défauts, recrutement, on sait quoi. Et du coup, en dessous de 30%, c'est des dimensions qu'on ne va pas chercher régulièrement. Et si on va les chercher parce que les cinq dimensions sont disponibles,

  • Speaker #0

    il faut l'utiliser avec parcimonie, mais on ne peut pas l'utiliser dans un job à forte fréquence, forte intensité, sinon ça va nous fatiguer et on a des risques de dépression, de burn-out et de problèmes au travail. Donc face, c'est la vitesse à laquelle on va atteindre un résultat. Donc c'est un pourcentage. C'est très rigolo parce qu'on peut faire la métaphore avec le vélo, c'est-à-dire Einstein disait « si tu ne pédales pas, tu perds l'équilibre » quelque part. Donc la force gyroscopique... quand j'ai passé le permis moto, c'était 35 km heure. Une roue ne perd pas l'équilibre et ne tombe pas au-delà de 35 km heure, même si ce n'est pas motorisé derrière. Donc, on peut dire que 35, on peut être en mode haut pas au niveau des résultats si on est en dessous de 30 %, donc on est plus enclin à l'empathie. Entre 30 et 70 %. On fait une marche rapide ou un petit footing, ce qui fait que c'est facile de ralentir ou d'accélérer. Donc, c'est bien managé. Et puis, au-dessus de 70 %, on est en mode running à fond, battre des records au niveau de la vitesse et dans le défi permanent. Et ça, il faut avoir beaucoup d'énergie pour avoir un défi permanent. Donc, c'est la dimension la plus physique des cinq dimensions. Je ne sais pas si j'ai été clair sur Fast.

  • Speaker #1

    Si, si, pour moi, c'est très clair.

  • Speaker #0

    Donc, c'est la vitesse pour atteindre un résultat. La deuxième, elle est d'ordre mental. C'est limite. Donc, c'est la vue. C'est comment j'analyse la data, comment je traite l'information. C'est-à-dire que quand c'est très bas, on peut sortir des sentiers battus et des cadres de référence. Quand c'est bien géré, on peut à la fois sortir des cadres de référence ou fonctionner avec des règles de fonctionnement. Si on est supérieur à 70 %, on va avoir tendance à contrôler l'information, la vérifier. pour voir si c'est vrai ou faux. C'est une dualité qui existe derrière cette dimension, alors que dans Fast, c'est fort ou faible. On retrouve les dualités de l'ego dedans, donc c'est facile de coacher après. Donc ça, c'était la deuxième dimension sur la partie mentale. Une autre dimension qui fait partie du néocortex, c'est la dimension assemble, elle est centrale, parce que c'est la notion d'équilibre, c'est la notion de stabiliser, d'harmoniser les choses, et d'avoir une vue d'ensemble sur les choses. Ça veut dire que cette dimension-là, on est sur le lourd-léger. Quand c'est très élevé, on imagine que ce qui est lourd est solide et que si c'est léger, c'est instable, chaotique. Donc en fonction de cette dimension-là, c'est celle de l'organisation dans le temps. On est capable de voir si on peut changer son calendrier très rapidement avec une dimension très basse, ou plus de 70%, on est emprunt à avoir de l'inertie dans son fonctionnement. On met en place des calendriers qu'il ne faut pas changer. Donc il y a des métiers qui sont très bien pour ça, tu vois. Quand tu fais par exemple la paye, tu as le calendrier pour faire les tests de paye, le calcul de paye, la vérification, puis le virement. Donc ça, c'est vraiment un calendrier répétitif. Il y a des gens qui sont OK avec ça parce que ça les rassure d'avoir des choses dans le temps comme ça qui se reproduisent. Puis d'autres, ça les stresse parce qu'ils se disent c'est trop lourd, je m'ennuie, c'est une habitude, c'est une routine qui ne me plaît pas. C'est parce qu'ils ont des dimensions très basses sur cette dimension centrale.

  • Speaker #1

    Ça doit expliquer mon aversion au procès.

  • Speaker #0

    Globalement, ça peut être ça, parce que c'est peut-être lourd en fermant.

  • Speaker #1

    Complètement. Mais pour ceux qui n'ont que l'audio, j'ai une dimension très faible sur Assemble, justement. Et donc, effectivement, les trucs lourds me fatiguent beaucoup.

  • Speaker #0

    Puis ça va à contre-ensens d'une créativité, parce que c'est le basique. Le terre-à-terre, le concret, voilà. Donc, ça a ses limites aussi. Merci pour ça, pour ton feedback, Sébastien. Donc, du coup, fast, c'est l'action, limite, le plan d'action, assemble, l'organisation dans le temps, les jalons. Donc, ces trois dimensions-là, elles sont plutôt d'ordre interne. Et puis après, on va passer aux deux dernières dimensions, slice et hello, où on est de l'ordre de l'interaction avec les autres. Puisque slice, ça veut dire trancher en français. Donc, c'est la qualité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Et l'eau, c'est la quantité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Donc, à partir de là, on comprend que la confiance en soi, c'est dans le fast. Et l'estime de soi, estime, c'est valorisé, c'est infiniment petit. Eh bien, c'est derrière le slice, la partie métal du flash. Et c'est super intéressant de voir, en fonction des deux dimensions, qui pilotent vraiment nos interactions, de faciliter à rentrer, à s'inclure dans un nouveau groupe ou à s'en exclure dès le départ. Ça, c'est la première dimension. Et la deuxième, c'est l'ouverture aux autres. Est-ce que je suis... Est-ce que je connecte facilement ? Est-ce que je souris facilement ? Est-ce que j'ai envie de partager facilement ? Est-ce que j'ai envie de connecter ? C'est cette dimension d'ouverture aux autres. Et donc, quand on étudie les deux, on est capable de voir pourquoi on réagit comme ça. Par exemple, certains qui sont traités parfois de bipolaires, parfois c'est un peu too much, c'est parce qu'on leur met une étiquette dessus. Mais si on comprend qu'un slice et un lot très élevé font qu'il y a des fois, j'ai envie de voir tout le monde, je partage et je me marre. Et que d'autres fois, je préfère être reclus, pas parler, et puis être dans un mode de tristesse attirmée. et de s'isoler pour se ressourcer, parce que c'est les deux qui font nous ressourcer. Soit je suis en introspection quand j'ai beaucoup de métal, soit je suis en extraversion si j'ai beaucoup de bois. Et on comprend le fonctionnement facilement. Donc voilà, on a passé là en revue rapidement les cinq dimensions. Et déjà, on peut voir que les combinaisons entre elles donnent des compréhensions de soi hyper pertinentes.

  • Speaker #1

    C'est là où le... où le modèle devient extrêmement fort, c'est justement quand tu commences à les combiner. Est-ce que tu peux nous expliquer, dans la façon dont tu débriefes, comment tu les combines ? Tu disais tout à l'heure justement qu'il y a une façon d'expliquer le flash. Je pense que les combinaisons, elles ne sont pas faites par hasard. Est-ce que tu peux expliquer rapidement comment tu les organises pour les gens qui nous écoutent ?

  • Speaker #0

    En fait, il y a 20 talents, j'appelle ça des talents naturels. puisqu'on a des ressources naturelles, donc on a des talents naturels. Et il y en a 20, donc je n'en présente que 8 par ordre décroissant sur le Flash Pro pour dire que déjà, en fait, tu peux aller dans ces dimensions-là, ça ne va pas te fatiguer dans le job. Donc ça, c'est super important parce que mon but, ce n'est pas forcément que tu trouves un job en disant « je vais faire la formation, c'est cool » , c'est surtout « est-ce que c'est bon pour toi ? Est-ce que ça va te fatiguer ou est-ce que tu vas être à l'aise dedans ? » Et c'est ça l'enjeu. Donc, en fin de compte, dans l'histoire... les combinaisons ensemble donnent des talents. Et c'est assez simple à comprendre, c'est-à-dire que si on est dans les deux premières dimensions très élevées, fastes et limites, on va avoir une action rapide sur une grande capacité d'analyse. Donc on va être dans la résolution de problèmes. Si on a, par exemple, la troisième dimension, un sample très élevé sur la partie solidité des choses, et qu'on a un slice très élevé sur la valeur des choses, eh bien, tout ce qui est de l'ordre des ressources naturelles ou d'investissement dans des ressources en dur, par exemple de l'immobilier ou des choses comme ça, on va être bon là-dedans parce qu'on va savoir valoriser, par exemple, un patrimoine. On va savoir, en fait, les produits de la terre qui sont bons. Donc, on peut avoir un profil de chef cuisinier qui tient plutôt une auberge. Parce qu'il va se servir du potager d'à côté, tout en local, pour faire découvrir sa cuisine, mais par rapport à quelque chose de très concentré sur le terrain. Et en fait, si tu prends un pizzaiolo uniquement le sud en saison, prends-le avec un fast très élevé, parce que tout ce qu'il veut, lui, c'est dépenser son énergie physique et c'est OK pour ça. Donc du coup, même le monde de la cuisine, le monde de la médecine, le monde du commerce. En fait, on a des profils qui sont complètement différents de l'un à l'autre. Et en fait, la combinaison des dimensions entre elles, qui sont donc des dimensions naturelles qui ne me fatiguent pas, font qu'on a des talents naturels qui nous amènent à des jobs. C'est-à-dire que si on a, par exemple, beaucoup de limites, cette soif de connaissances et beaucoup de métal qui est la valorisation des choses, on va être dans des métiers de conseil et d'expertise. Parce qu'on analyse la data et on est capable de la valoriser.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas les mêmes en fonction de l'ordre entre le premier et le deuxième. C'est drôle parce que je parcourais les miens et j'ai fait aussi bien un côté que l'autre. Des deux premiers qui sortent et en cherchant, il y a une liste de métiers qui apparaît et ils sont tous dedans. Alors que je n'ai pas été influencé du coup par le flash,

  • Speaker #0

    puisque je l'ai découvert il n'y a pas très longtemps.

  • Speaker #1

    Donc, c'est assez drôle de voir qu'en fait, j'étais déjà entre guillemets dans ma zone de confort, sans le savoir.

  • Speaker #0

    C'est rigolo parce que même quand tu t'exprimes, et ça, je l'apprends en formation, tu dis c'est assez drôle de voir. Ok, alors drôle, c'est l'amusement, le fun, la créativité, c'est le hello. Et puis, de voir, visuel, donc on est dans la partie limite des choses. Donc, quand on s'exprime, on ne fait pas toujours attention. Mais on peut utiliser son langage flash sans s'en rendre compte. Sans nous. Et c'est là où j'aide les gens aussi. Je dis, ben voilà, tu as ces préférences comportementales, donc tu risques, tu peux voir le monde. avec ses dimensions élevées. Donc, c'est chouette dans ton job. Et fais attention dans ta vie perso parce que ce n'est peut-être pas ce contexte-là qui te le demande. Et ça, ça permet d'identifier facilement avec un langage universel. En fait, c'est un peu comme la prose de M. Jourdain. Ah bon, je fais de la prose ? Oui, quand vous parlez, vous faites de la prose. Ah, c'est merveilleux, je fais de la prose. Là, en fait, on est en train de... Parce qu'en fait, on perçoit le monde par nos cinq sens. Et donc, c'est facile de faire comprendre à la personne qu'il y a notre vérité à travers le flash par rapport à la réalité. Alors, parfois, ça colle, parfois, ça ne colle pas. Et c'est pour ça que des gens qui ont des flashs complètement différents peuvent avoir des zones d'entente sur des dimensions où c'est bien géré. Et puis, il peut y avoir des zones conflictuelles parce que ce n'est pas du tout ma même vision du monde, ma même carte mentale. Et ça, c'est génial, tout ce qui est team building, cohésion d'équipe. Quand je recrute quelqu'un dans une équipe, ouais, mais il faut voir le flash des autres, parce que du coup, tu as une nouvelle dynamique dans un équilibre existant. Et à un moment donné, ça peut faire un déséquilibre avant de retrouver un équilibre. C'est un peu l'histoire du premier ou du deuxième enfant dans une famille, où ça perturbe un peu.

  • Speaker #1

    Tu me fais une transition magnifique. Aujourd'hui, tu utilises... Enfin, tu utilises YouTube. propose le flash justement pour ce genre de choses de team building, de compréhension des équipes, etc. Les unes avec les autres, de comment un tel, un tel fonctionne. Et d'un point de vue managérial, justement, de pouvoir mieux gérer ses équipes. Ça se passe comment aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    C'est simple en fait. Quand on regarde son flash dans l'ordre dans lequel il arrive, ce qui est en bas du profil pro, on est capable de voir qu'est-ce qui nous challenge, comment je communique et comment je manage naturellement. Et puis, quand on a affaire à une équipe et on va leur présenter le flash sur ça, et on peut faire une roue d'équipe, c'est-à-dire, imaginons qu'il y ait cinq personnes qui soient des personnes clés dans l'entreprise, un comex ou des choses comme ça, eh bien, en fin de compte, on va avoir la roue d'équipe. C'est-à-dire, quelle va être la tendance la plus forte si on fait la moyenne des flashs qui nous sont disponibles ? On peut avoir une tendance à la nouveauté pour sortir un nouveau produit. Ça, c'est le H de Hello. Mais si tous les flashs des gens sont vraiment bas dans la dimension Hello, soit on prend quelqu'un qui a ce côté innovant, nouveauté, dynamique, de quelque chose d'incroyable, soit on fait venir un prestataire extérieur qui a ce flash-là pour nous aider à changer notre vision, par exemple, à voir les choses autrement. Et donc, c'est puissant parce que... Ça parle à tout le monde et c'est facile, c'est un langage universel pour moi. C'est-à-dire que tu comprends visuellement les cinq dimensions. Une fois que tu as expliqué la définition, dans n'importe quel pays, ça passe. Parce qu'en fin de compte,

  • Speaker #1

    c'est universel.

  • Speaker #0

    Parce que là, on parle des cinq sens, mais derrière, les pictos font que si je te dis que l'eau, c'est l'information, le feu, c'est la vitesse, après, les associations, elles se font facilement. Du coup, on est capable d'amener un nouveau langage aux personnes, en dehors de la langue qu'ils ont apprise, pour justement faciliter la communication entre les personnes.

  • Speaker #1

    On commence à arriver vers la fin. Aujourd'hui, l'outil, il fonctionne. Tu dois encore avoir des freins de certaines personnes qui disent « mais ce n'est pas possible » . Et pour l'anecdote, j'en ai eu moi il n'y a pas longtemps en en parlant. à des collègues qui me disent « Attends, avec le jour et le mois, il n'y a même pas l'année. »

  • Speaker #0

    « Je peux me parler de l'année, ok, pardon. Je peux la rajouter, hein ? »

  • Speaker #1

    « Pour la forme. » Et je dis « Non, mais honnêtement, c'est bluffant, etc. » Et tu rencontres encore beaucoup de freins où je sais que tu es en train de travailler au niveau des États-Unis. Ils commencent à s'intéresser aux trucs. Le chemin est en train de se faire, mais tu as encore beaucoup de freins ou de moins en moins ?

  • Speaker #0

    En fait, le scepticisme fait partie d'une peur. Donc, en fin de compte, je dis qu'il faut juste l'expérimenter et en parler après. Et souvent, c'est aidant de leur dire, OK, je vais vous acheter un bouquin pour bricoler et allez-y, débrouillez-vous. Vous allez construire une maison. Ça ne marche pas. Ou alors, je leur dis, la vie c'est une somme d'expériences et de rencontres. Et tu peux lire tous les bouquins, ça ne va pas t'apprendre pas vraiment comment communiquer avec les gens. Donc, c'est de l'expérience qu'il faut et c'est de l'interaction. Il faut le vivre. Pour moi, c'est une expérience à vivre. Et en fait, peu importe ce qu'on me raconte au départ sur... Parce qu'en fin de compte, c'est en profil du flash. C'est le profil flash qui fait que la réaction est comme ça. Si tu as affaire à un profil hyper analytique et que le LO est plutôt bas et qu'il n'est pas dans... Eh, la nouveauté, ça m'intéresse. Du coup... mais moi, avec mon profil, j'ai un profil plutôt sceptique. C'est-à-dire que tu m'apportes quelque chose, je vais vouloir le vérifier. Et si je n'avais pas inventé le flash et que quelqu'un d'autre me réamènerait le flash, j'aurais dit, c'est bizarre ce truc-là. Comment c'est possible qu'avec quelques data comme ça, on arrive à un résultat ? Déjà, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Et donc ça, c'est les profils très analytiques. Et en fait, si tu ne passes que par ton cerveau analytique pour prendre les décisions, Tu rentres dans si, alors, sinon, et tu dis, si je ne comprends pas, alors, je comprends. Ça ne peut pas marcher. C'est même jusque-là. Ça va jusque-là. Parfois, on fait des recours si analytiques. Et en fait, non, il faut juste faire vivre l'expérience parce que certainement que tu en as déjà parlé parce que ton « hello » , il est vraiment… Donc, c'est encore une chose que quand tu découvres quelque chose, tu as envie d'en parler. Et merci pour le podcast parce que ça en fait partie. Le podcast, c'est… Tu as envie de partager de l'information.

  • Speaker #1

    Complètement.

  • Speaker #0

    Oui, mais c'est ça. Parfois, on fait un métier ou plusieurs métiers. Je ne sais plus, c'est slasher, je crois, quand on fait plusieurs métiers. Je m'explique aussi quand les gens sont slasher. Je dis, regardez, il y a ces dimensions-là qui sont élevées, mais il y en a d'autres que tu utilises, qui sont assez fortes, que tu n'utilises pas dans ton job actuel. Donc, c'est normal que tu ailles vers ça.

  • Speaker #1

    On va chercher ces points d'accompagnement naturellement.

  • Speaker #0

    Ouais, parce que c'est des besoins, donc ça nous titille. Donc si ces besoins-là ne sont pas assouvis, on va les chercher ailleurs, tu vois. Et ça explique plein, plein, plein de choses. Donc, en fait, je m'en fiche. Avant, je repassais par l'analytique pour expliquer comment je l'avais fait pour des gens qui étaient un peu sceptiques. Aujourd'hui, je n'ai plus le temps et je pense qu'il ne faut pas que je traîne. Je pense que c'est un outil worldwide. C'est Kanaka World, donc c'est le monde de Kanaka. Kanaka qui veut dire être humain libre en Maori. c'est par la compréhension de soi. Le Graal, il n'est pas l'extérieur. C'est connais-toi toi-même. Et en fait, j'ouvre les portes. Après, si les personnes ne veulent pas clencher ou rentrer, c'est OK. Je pense que ça fait partie du truc. Je ne veux pas convaincre tout le monde sur la planète. Je veux juste que ce soit utile aux personnes qui en ont besoin. Et je pense que ça se fait naturellement. Mais c'est vrai qu'avant, je me prenais la tête en voulant à chaque fois expliquer, en disant, mais si j'ai réussi, je te montre. Comment je l'ai fait ? Plus je donnais de l'analyse, plus les gens ne comprenaient pas. Ça ne faisait pas partie de leur mindset de compréhension. Donc, on rentre tout de suite dans des registres de freins, de peurs, de scepticisme. Mais ça, ce sont des peurs et ce n'est pas grave. Il y a beaucoup de personnes qui peuvent avoir cette image-là. Après, il y a d'autres profils ou des gens qui veulent un résultat rapide, innovant, précis. Ils vont tout de suite, mais ça dépend encore d'un autre flash. Et puis les early adopteurs, c'est forcément le H2LO qui dit « Hey, c'est une découverte, je vais tester,

  • Speaker #1

    je veux voir » .

  • Speaker #0

    Mais non, ça fait partie des profils de chacun. Ce qui est puissant et bluffant, c'est que nos comportements d'achat se font avec notre flash. Et donc, si je pouvais avoir le flash de la personne à qui tu as présenté, je pourrais avoir une attitude qui fasse qu'il ait envie d'aller plus loin. Oui, ça va jusque-là.

  • Speaker #1

    De toute façon, quand tu sais après comment les gens fonctionnent et leur facilité à aller vers telle ou telle chose, forcément, tu peux t'adapter. Et c'est en ça que c'est hyper puissant aussi. Pour ceux qui nous écoutent et qui voudraient faire le test et tester par eux-mêmes, justement, où est-ce qu'ils peuvent te retrouver ?

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'ils peuvent me retrouver ? Donc on a un site anglophone mais qui se traduit facilement sur Chrome, ça s'appelle kanakaflash.com et donc là on peut prendre rendez-vous, il y a un calendrier, on s'inscrit et je fais le debriefing des gens rapidement et je leur offre le flash. Bon après si ton auditoire, les gens qui sont plus d'un million, j'aurais peut-être du mal à le faire pour tous. Avec grand plaisir pour leur faire découvrir leur flash, le potentiel naturel qu'ils ont. Ça n'enferme pas, ça donne les prédispositions. C'est pour ça que je l'ai fait, par rapport à des outils qu'ils pouvaient enfermer avec des cases. Je ne voulais pas être seulement un expert des systèmes d'information à ressources humaines. Même si j'ai ces compétences-là, je suis bien plus que ça, comme beaucoup de personnes qui sont en quête de sens. et qui ont envie de changer de job, ça rentre dans l'épiderme compétences aussi. Trajectoire pro, trajectoire perso à fond.

  • Speaker #1

    Ça permet de se situer et d'avoir des pistes de réflexion en tout cas pour ceux qui en ont besoin.

  • Speaker #0

    Vous pouvez affirmer des choses.

  • Speaker #1

    Je mettrai évidemment tout ça en description de l'épisode, comme ça vous pourrez retrouver directement le lien dans la description. Yannick, merci beaucoup. pour cet échange. J'espère qu'il aura apporté à mes auditeurs et ceux qui nous écoutent beaucoup de valeur et en tout cas l'envie de découvrir le Flash. Je vous invite vraiment à le faire pour l'avoir fait. Honnêtement, je trouve ça bluffant et hyper instructif sur soi-même. N'hésitez pas à faire le test et je vous dis à très vite.

  • Speaker #0

    Merci Sébastien.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode de Mindways. J'espère qu'il t'a ouvert une nouvelle façon de voir les défis, ces moments où tout semble se bloquer, avant qu'une idée, une prise de conscience ou une rencontre ne relance tout. Ce podcast, c'est un voyage à travers les détours de l'esprit entrepreneurial et personnel, les doutes, les rebonds, les visions qui prennent forme malgré les tempêtes. Si cet épisode t'a inspiré, abonne-toi à Mindway sur ta plateforme d'écoute préférée ou à la newsletter sur LinkedIn pour continuer à avancer ensemble, pas après pas. Tu peux aussi me retrouver sur Instagram, et Mindways underscore FR, pour prolonger la réflexion et partager tes expériences, ou simplement échanger entre esprits curieux et ambitieux. Ton écoute, tes retours et tes partages sont le moteur de cette aventure, alors n'hésite pas à partager autour de toi. Merci d'être là, d'oser te remettre en question et de continuer à construire ta voix. Reste audacieux, reste curieux, et n'oublie jamais que chaque pas compte. pour atteindre le sommet. A très vite.

Description

Vous avez déjà passé le MBTI, le Big Five, le DISC ou l’Ennéagramme ? Utile… mais incomplet.
Dans cet épisode de Mindways, Yannick Zoude présente F.L.A.S.H., un modèle sans questionnaire qui révèle instantanément les talents inconscients à partir de données minimales (prénom, nom, jour/mois). On parle leadership, recrutement, soft skills, biais des tests, et de la manière dont F.L.A.S.H. met en lumière vos forces naturelles sans vous enfermer dans une case.


Ressources citées :
• Prendre RDV : www.kanakaflash.com

• Découvrir le F.L.A.S.H https://links.kanakaflash.com/widget/form/CYXQ8rGEHc9c4Ar8Diyr
• Yannick Zoude sur linkedin : https://www.linkedin.com/in/yannick-zoude/

• Livre mentionné : Hiring for Attitude – Mark Murphy


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Mindways, on a tous un jour rempli un test de personnalité. Le MBTI, le Big Five, le DISC, le PAPI ou encore l'Enneagram, autant d'outils devenus incontournables dans le monde du coaching, du recrutement et même du développement personnel. Ces tests ont un point commun, ils cherchent à décrire qui nous sommes à travers des traits, des profils, des combinaisons de comportements et de préférences. Ils nous classent, parfois nous rassurent, souvent nous intriguent ... Ils mettent des mots sur nos façons d'agir, de penser, de ressentir. Et pourtant, malgré leur précision, leur popularité et leur décennie de recherche scientifique, les questions persistent. Ont-ils des biais ? Peuvent-ils vraiment saisir toute la complexité d'un être humain ? Parce qu'au fond, nous ne sommes pas qu'un type, ni qu'un ensemble de traits, mais nous sommes bien faits de nuances, de paradoxes, de potentiels endormis, de forces inconscientes qui ne se laissent pas cocher dans une case. C'est là que surgit une approche différente, une approche qui ne cherche pas à analyser mais à révéler. Un modèle conçu pour faire apparaître ce qui échappe aux tests classiques, ce que vous ignorez savoir faire, ce que vous n'assumez pas encore être, mais que votre inconscient exprime déjà. Cette approche s'appelle Flash, et son créateur, Yannick Zoudé, a voulu en faire un véritable pont entre toutes les méthodes existantes. Aujourd'hui dans Mindways, on plonge avec lui. dans ce modèle qui promet de mettre en lumière vos talents invisibles et peut-être de changer votre manière de vous percevoir instantanément. Yannick, bienvenue dans Mindways. Est-ce que tu peux te présenter pour nos auditeurs ? Raconte-nous ton parcours et comment on passe de la gestion RH classique à la création d'un outil comme Flash.

  • Speaker #1

    Wow, merci pour l'introduction Sébastien, c'est formidable. Mon nom c'est Zoud, il n'y a pas de E accent aigu à la fin, mais sinon c'est génial. Et en fait là tu vas relever une partie de mon Flash, puisque j'ai une partie où j'analyse et je décortique. Ça fait partie de mon fonctionnement. J'ai adoré ton introduction, je te remercie pour l'invitation. On a eu le temps de briser la glace il n'y a pas longtemps parce que tu as eu ton flash et ça c'est cool. Briser la glace, ça fait partie d'une des dimensions du flash qu'on aura certainement le temps d'expliquer. Donc Yannick Zoude, ancien RH dans les systèmes d'information dans deux grandes sociétés à l'international. Donc grand projet, conduite du changement, tout ça en fait, ça m'a donné l'occasion aussi de tester en parallèle tous les outils du marché. Puisque j'étais intéressé par le comportement humain à l'adolescence, en fait, c'était comprendre le comportement. Ensuite, j'ai lu beaucoup, je me suis intéressé aux outils qui existaient sur le marché, tout type d'outils. Et puis, quand je suis rentré au niveau professionnel dans les ressources humaines, j'ai forcément été aussi certifié. J'ai utilisé mes formations pour me former. Alors, ça a été l'analyse transactionnelle, la PNL, les néagrammes, tous les outils que tu peux citer, le MBTI, le DISC et autres. Et en fait, tellement passionné par ça, j'ai cherché les liens qu'il pouvait y avoir entre eux, puisque je ne voulais pas avoir qu'une seule facette avec une seule vision des choses, mais bien quelque chose de global, quelque chose de holistique, qui serve à la fois pour le monde du recrutement, ça veut dire la personne doit être au meilleur job possible pour elle, c'est aussi pour le développement personnel, parce qu'on passe par la connaissance et la compréhension de soi pour pouvoir changer quelque chose. Mais on ne peut pas changer quelque chose qui est inconscient. Le flash permet de se rendre compte de choses conscientes qui pouvaient paraître inconscientes et pouvoir partir dessus comme l'état des lieux d'une maison, on va dire. C'est le potentiel de départ. Et après, brique à brique, on peut étendre la maison, agrandir la maison, la mettre à notre goût. Mais en fait, c'est bien d'avoir les bases. En fait, on est vraiment basé sur les bases et sur le big data et sur la collection de données qui m'ont fait cette... passion qui était en moi, que j'ai voulu analyser au maximum, sans passer par des questionnaires où il y a trop de biais cognitifs. Ça, les autres outils le font. Et c'était chouette parce que j'ai pu voir comment ils étaient faits pour justement voir les concepts, les approches et forcément les nuances et les liens entre eux.

  • Speaker #0

    On va lever le moteur, on va lever le capot pour voir un peu le moteur tout à l'heure, expliquer un petit peu comment ça marche du sens, qu'effectivement, c'est un outil dans lequel il n'y a pas de questions. Tu remplis... très peu de choses et ça sort le profil. C'est pour ça que c'est assez bluffant et pour l'avoir effectivement fait, je peux attester que ce qui ressort est vrai. Assez étonnant. Avant de rentrer dans le détail, à quel moment tu t'es dit c'est bon, j'ai trouvé quelque chose de nouveau ? Si tu dis que tu as connecté plusieurs choses, si tu parles de data, etc., c'est à quel moment tu te dis ok, c'est bon, mon outil fonctionne et je tiens quelque chose ?

  • Speaker #1

    En fait, j'ai lancé des calculs de folie sur un échantillon et C'est en 2020 qu'il n'y a pas eu de régression de données, c'est-à-dire que si je bougeais l'algorithme et je rajoutais un profil, ça ne faisait pas mettre en erreur les profils où ça marchait. Donc en fin de compte, ça c'était ce côté empirique vérifiable informatiquement. Donc en 2020, pécard. Suite à la pandémie, on avait beaucoup de temps pour rester chez soi. Et ça m'a permis d'aller encore plus en profondeur sur ma passion.

  • Speaker #0

    Passer du temps dessus, ouais.

  • Speaker #1

    Oui, c'est là où ça a vraiment tilté parce que je me suis dit, allez, c'est maintenant parce que j'ai du temps et je m'y mets vraiment à fond et je vais voir en détail de façon très approfondie jusqu'où je peux aller. Si je ne trouve pas la clé de décodage humain, ça reste une passion et c'est pour moi. Et si ça fonctionne, je vais le tester avec des échantillons de cas concrets après l'application puisque j'avais des cas concrets avant. pour calculer la data. Mais en fait, je me suis servi de 2020 pour informatiser ce qui était un peu artisanal. Moi, j'ai monté ça un peu dans mon garage, comme on peut voir quelques créateurs de ce monde-ci, pour Apple et autres. C'était vraiment de l'artisanat au départ, où je compile de la data et je vérifie sans arrêt. Donc en fait, on peut dire 2020, grand démarrage, où je décide de l'informatiser, puisqu'avec Mac... maquette de perfectionnisme, c'était très compliqué de se lancer en disant « Est-ce que c'est bon là ? Est-ce que j'y vais ? » Du coup, ça fait partie de mon flash et je l'explique aussi, puisque moi aussi, j'ai des nuances dans mon profil. Ce qui m'avantage, c'est des choses où il faut que je fasse attention. Donc 2020.

  • Speaker #0

    Ok. Parce que moi, effectivement, j'ai tendance à dire « mieux vaut fait que parfait » .

  • Speaker #1

    Oui, mais en fait, ça, il faut que je me le mette, tu vois. Et ce n'est pas évident avec mon flash de rentrer dans ce processus.

  • Speaker #0

    Tu décris flash comme un... révélateur de talent inconscient, qu'est-ce que tu mets exactement derrière le mot inconscient ?

  • Speaker #1

    Inconscient, c'est de réagir ou d'agir sans savoir d'où ça vient, sans connaître la source. Moi, en fait, l'idée, c'était d'aller à la source de l'information pour chaque personne, pour se dire que par rapport à un même type d'événement, on peut agir ou réagir différemment. Tu vois, c'est l'histoire des trois cerveaux, par exemple, avec Fight, Flight, Freeze. En fait, c'est la peur, mais la peur... Comment on se comporte face à la peur ? Et ça, c'était encore quelque chose, encore une idée qui a germé pour le comprendre dans le flash, où on a cinq dimensions hyper importantes, puisqu'elles sont reliées déjà aux cinq sens de l'être humain. J'ai utilisé du coup le VACOG dans la PNL, visuel auditif, kinesthésique, olfactif et gustatif. Donc j'ai fait déjà les premiers liens et il y avait plein d'autres liens derrière à faire. Mais déjà, je suis parti des cinq sens classiques de l'être humain, basiques. Et on a toujours des préférences comportementales. On a tous fait pareil, on n'a pas le même câblage. Et c'est ça qui était passionnant pour moi pendant toutes ces années. Et je n'ai pas abandonné parce que c'était une passion et c'était une sorte de mission. Puisque vraiment, je peux le dire comme ça. Si j'ai commencé à l'adolescence à chercher ça et que je n'ai pas arrêté, même si j'étais dans le monde des ressources humaines. où j'ai eu une belle carrière pendant 20 ans dans de grands groupes, ça m'a toujours taraudé, titillé, envie d'aller plus loin.

  • Speaker #0

    C'est sûr que tu aurais pu rester sur les outils qui existent depuis de très nombreuses années et faire quelques ponts éventuellement entre les uns et les autres, mais sans forcément aller redévelopper un modèle. Or là, pour le coup, tu es vraiment allé beaucoup plus loin. J'avais noté la méthode, Ce n'est pas une méthode, pour le coup, c'est vraiment un modèle. C'est comment le modèle combine-t-il une approche systémique, cognitive et humaine ? Et sur quels principes neuroscientifiques, psychologiques tu t'appuies ?

  • Speaker #1

    C'est vrai que la méthode, en fait, on la fournit dans la formation. Il y a une méthode d'apprentissage, en fait, c'est comme le permis de conduire. Là, on pilote le flash. Ce n'est pas de la conduite, c'est du pilotage. Donc, on a vraiment une formation clé en main avec... éthique déontologie dedans, puisque j'étais en RH et je ne veux pas qu'on fasse n'importe quoi avec cet outil-là. Donc il y a une façon de présenter le flash aux gens. La deuxième chose, oui, c'est un modèle. Donc en fait, c'est dans ce modèle-là, on a à la fois... une modélisation statistique avec le big data qui m'a servi pour vérifier les données. Et puis, je suis parti des briques réelles, c'est-à-dire que j'ai observé les résultats des comportements réels pour beaucoup, beaucoup,

  • Speaker #0

    beaucoup de personnes.

  • Speaker #1

    Et donc, j'ai modélisé. C'est le principe de la PNL. La PNL n'est pas une théorie, c'est une modélisation. Et là, en fait, avec le big data que j'avais et l'informatique complexe et les statistiques, J'ai pu monter ça tout doucement en vérifiant avec un jeu de quelques profils. Puis, j'ai augmenté jusqu'à 75 000 profils. Et puis après, j'ai dit OK, l'algorithme fonctionne pour tout le monde. Donc, en fin de compte, on a des intuitions, de l'instinct et de l'analyse. En fait, c'est la combinaison de tout ça qui fait que ça marche. C'est-à-dire qu'il y a des outils qui sont hyper analytiques et pour moi trop enfermants, qui mettent dans des cases et ça, c'est dommage. Il y a des outils qui sont un peu trop perchés, où l'intuition a fait faire quelque chose, mais ce n'est pas explicable. Et en fait, dans mon fonctionnement, j'ai eu des intuitions que j'ai pu vérifier de façon analytique. Donc, en fait, j'ai monté moi-même la validation des datas sans que ce soit des mesures psychométriques. C'est-à-dire que c'est juste l'informatique qui m'a permis de dire, je comprends que tel profil fonctionne avec cette préférence-là. Je vais le vérifier sur d'autres profils et c'est en agrégeant les datas, les données, que c'est monté tout doucement et c'est pour ça que j'ai bossé 20 ans dessus. C'est parce que ça a été quelque chose d'empirique, quelque chose du concret et ça a été brique par brique. Donc déjà, les fondations, puis voir si je ne me plante pas sur les cinq dimensions et ce que c'est bien ça. Est-ce que je peux intégrer le disque à l'intérieur ? Oui. Parce qu'il y a quatre dimensions dans le disque, et là, il y en a cinq. Donc, qu'est-ce qui est splitté ? Qu'est-ce qui est en plus ? Et pourquoi ça marche comme ça ? Donc, vérifier par rapport, comme je suis certifié au disque aussi, vérifier par rapport à tous les résultats que j'avais du disque, s'il y avait une corrélation entre ce que j'avais créé et leurs résultats. Et je l'ai fait avec les autres outils également. Du coup, ça m'a permis, on va dire que... C'est comme un Tetris, en fait, si je peux t'expliquer ça. C'est quoi ? Le Tetris, s'il y a un trou, ça ne marche pas. S'il y a un trou dans la raquette, tu perds. Donc, c'était construire la base, ça s'emboîte bien, puis construire la deuxième base. Puis, si jamais dans la troisième base, il y a quelque chose qui fait que ça déconne, on redescend à la deuxième base. Et donc, en fait, c'est pour ça que c'était l'itération.

  • Speaker #0

    Une itération empirique et au fur et à mesure, ça se construit. Oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que j'ai mis 20 ans. c'est parce que trouver ça comme ça, ce n'était pas possible. Mais avoir le temps de le faire, comme c'était passionnant, moi, ça ne me gênait pas. Je n'avais pas d'objectif financier, je n'avais pas d'objectif de temps, je n'avais pas… C'est juste une passion. Mais une passion avec l'envie d'atteindre un résultat quand même, tu vois, ce n'est pas une passion floue.

  • Speaker #0

    Oui, mais il n'y avait pas un objectif purement financier, en disant tiens, je vais monter un business qui va aller là-dedans, etc. ça part d'un travail de questionnement, de comment ça marche.

  • Speaker #1

    Et à chaque fois, me former, me former, me former aux outils et se dire, il y a ce qui me gêne, je pose la question, est-ce que j'ai la réponse ou pas ? Est-ce que c'est trop flou ? Est-ce qu'il y a un trou dans la raquette ? Est-ce que je peux l'intégrer dans ma méthode ? En fait, c'est parce que les outils du marché ne correspondaient pas à ce que moi j'aurais utilisé si j'avais été coach recruteur, bilan de compétences. En fait, je voulais que les gens... voient clairement des choses qui leur paraissent impossibles ou incompréhensibles. Donc, le jeu de la pédagogie a été super important dedans. Aussi, parce qu'en fin de compte, pour qu'un Tetris fonctionne, en fait, il faut donner envie. Et la pédagogie, c'est super important pour comment j'explique le flash aux gens. Donc, qu'est-ce que j'utilise comme picto ? Qu'est-ce que j'utilise comme lettres dans le flash ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Donc, Einstein disait, si tu es capable de l'expliquer à ta grammaire, tu peux l'expliquer à tout le monde. C'est le cas. Flash est utilisé aussi par des coachs sur des enfants en difficulté scolaire qui ont 8 ans et qui comprennent la pédagogie qu'il y a derrière le Flash.

  • Speaker #0

    On va y revenir sur le fonctionnement. Comme il n'y a pas de questions, on peut le faire à n'importe qui. Peut-être que tu nous expliqueras, il y a peut-être des limites, on verra. À ce stade, effectivement, il n'y a pas de question, contrairement à ce qu'on peut avoir avec un disque ou ce genre de choses. J'aime bien le moment où tu dis, le disque, il a quatre dimensions, moi, j'en ai cinq. comment je split, etc. Moi, je suis un grand fan du disque depuis toujours et pour le coup, j'ai un profil qui est extrêmement marqué.

  • Speaker #1

    Ok, c'est très marqué, d'accord.

  • Speaker #0

    Je me suis toujours posé la question, alors même si dans mon quotidien, je pense que le profil disque est assez vrai, mais je me suis toujours posé la question de est-ce que je l'ai influencé au moment où j'ai répondu aux questions.

  • Speaker #1

    Oui, parce que le principe du questionnaire, c'est qu'on demande d'auto-déclarer son fonctionnement. Pour pouvoir s'auto-déclarer, il faut se connaître parfaitement, il ne faut pas avoir d'enjeu, et c'est OK. Du coup, le résultat est fiable. Donc, en fait, il y a déjà des paramètres de départ. Après, les autres, c'est les biais cognitifs, c'est est-ce que j'ai compris la question, est-ce que je me mets en situation globale ou en situation professionnelle, et du coup, il y a trop de questions. Donc, du coup... on est dans une auto-réflexion pour répondre. Donc, on est forcé de répondre à un instant T avec notre compréhension des questions qui nous arrivent.

  • Speaker #0

    Oui, potentiellement dans l'humeur du moment, en plus.

  • Speaker #1

    J'allais te le dire, bravo, c'est ça. C'est-à-dire, si je suis en colère, si je suis excité, si je suis stressé, peu importe le mode de stress, ça va en fait jouer sur la qualité de mes réponses. Et en fait, l'algorithme va prendre en compte forcément la réponse aux questions. Et donc, c'est qu'est-ce que je donne comme carburant au moteur de l'algorithme du disque ? J'ai répondu bleu parce que j'ai un profil quand même qui est analytique. Donc, et conformité, ça me va bien parce que c'est le monde des règles. Et en fait, je me suis appuyé sur de l'analytique pour vérifier tout ça. Cependant, à un moment donné, j'ai voulu faire le disque pour aller vers un coaching. Et en fait, j'ai répondu rouge parce que j'avais envie d'influencer le... Le test pour leur montrer que le flash, en fait, tu ne peux pas faire ça. C'était un peu le but du jeu. Donc oui, on peut un peu influencer forcément les questions.

  • Speaker #0

    Moi, j'ai eu la chance de faire ces tests-là, à part peut-être un il y a très longtemps, mais sans enjeu. Sans enjeu réel, c'est-à-dire que je n'étais pas dans une configuration de recrutement ou ce genre de choses où potentiellement tu vas essayer de répondre bien au truc pour orienter le débat et avoir ton poste. nous on l'a vraiment fait dans une optique de savoir comment l'équipe fonctionne et plusieurs fois alors il y a quand même des biais mais voilà pour le coup je sais que mon fonctionnement s'adapte pas tant que ça et du coup pour le coup c'était assez réel Est-ce que tu peux nous expliquer comment se déroule une séance flash ? Qu'est-ce que la personne vit réellement ? Je pourrais en témoigner aussi. Et du coup, quels sont les inputs de données que l'on rentre ?

  • Speaker #1

    C'est très clair, les inputs de données, comme on va chercher la source à l'origine et que ça a été vérifié informatiquement, en fait, on décode le prénom, le nom et le jour-mois de naissance. Le jour-mois de naissance, ce n'est pas de l'astrologie, de la numérologie, ça n'augmente qu'une seule des cinq dimensions. Quand on va voir la médecine traditionnelle chinoise, on voit qu'il apparaît un calendrier perpétuel. Et en fin de compte, en fonction de la longueur de chaîne de caractère de ton prénom, la longueur de chaîne de caractère de ton nom et du positionnement des lettres à l'intérieur, on n'a pas le même résultat. Et c'est ça que j'ai vérifié sans arrêt pour trouver une sorte d'énergie à l'origine. Et puis, une sorte de décodage des sources à l'origine. Et en fait, c'est ça qui est assez bluffant. C'est que je me suis mis à chercher ça par passion en disant, je veux éviter les questionnaires. Je ne veux pas passer par les questionnaires. Donc, soit je trouve, soit je ne crée pas un questionnaire par-dessus. Et quand j'ai rencontré un gars de la stratégie et de l'innovation, il m'a dit, Yannick, pour que ça marche, rajoute un questionnaire par-dessus. Même si tu fais tourner ton algorithme, j'ai refusé. Parce que le vrai faux me pilote énormément dans mon fonctionnement. Du coup, dans sa stratégie, qui aurait pu fonctionner côté business, je l'ai mis de côté complètement, parce que ce n'était pas du tout le but de l'outil, de passer par un questionnaire. Donc en fait, les datas, c'est prénom, nom, jour, mois de naissance, il n'y a pas besoin de l'année. Il n'y a pas besoin du lieu de naissance, il n'y a rien d'astral ou quoi que ce soit, c'est juste de l'agrégation mathématique, statistique, scientifique. et À partir de là, on a un résultat en une seconde, c'est-à-dire qu'on met plus de temps à taper les données d'entrée qu'à voir le résultat, qui se traduit en français, en anglais, en allemand, bientôt en espagnol, en une fraction de seconde aussi. Et après, on a tout un profil. Donc toi, tu as eu le profil pro, il existe aussi un profil... de croissance personnelle. Mais je pense que la première étape, c'est super important de savoir quel est le bon job pour nous, comment je fonctionne avec une équipe. Et donc, c'est le côté professionnel qui m'a titillé le plus, en fait, quand j'ai testé les outils dans le monde du recrutement, où je me suis dit, attention, il peut y avoir des problématiques de résultats. Et en fait, dans l'étude, suite au livre de Mark Murphy, Hiring for Attitude, en fait, j'avais regardé les études qui avaient été faites. Et en fait, les erreurs de recrutement, De 6 mois à un an et demi quand la personne ne fait plus partie de l'entreprise, on n'a que 11% qui ont fait que c'était des hard skills, c'est-à-dire des compétences dures sur je me sers des logiciels, je sais utiliser ceci, ceci, etc. Et les soft skills représentaient donc 79% des échecs dans le recrutement. Donc tout est une histoire de comportement. D'ailleurs, si on observe une centaine de personnes dans une promo pour une formation, il y aura 100 trajectoires différentes qui sont liées au comportement de chacun. Par exemple, les gens qui vont en fac de médecine, en fonction du flash, on peut les aider à s'orienter en disant est-ce qu'il faut qu'ils aillent plutôt dans les urgences, dans la gériatrie, dans les métiers de spécialisation comme l'opération de la cataracte, et en fonction vraiment du profil comportemental des gens, on n'est pas bon partout. on ne peut pas être à la fois généraliste et spécialiste,

  • Speaker #0

    le flash permet de voir le métier de généraliste.

  • Speaker #1

    Le médecin de campagne sur trois générations, c'est un généraliste et il aime bien rester à cet endroit-là. Il y en a d'autres qui ont le sens de l'urgence. Let's go pour ce genre de métier.

  • Speaker #0

    Je reviens sur ce que tu disais sur le côté hard skills, soft skills. Mon profil, tu ne seras pas étonné, mais effectivement, quand je recrute, je marche beaucoup à l'intuition. et me trompe rarement pour le coup alors je dis pas que ça arrive jamais mais la grande majorité des cas en général elles me donnent raison effectivement je te rejoins sur le côté hard skill en général tu peux le vérifier assez vite et soft skill les gens peuvent le masquer en tout cas dans un premier temps très rapidement le naturel revient au galop et donc ils finissent par se faire rattraper et on se rend vite compte de ce qui va, ce qui ne va pas. Après, ça peut ou pas se corriger, ça, c'est des cas différents. Mais effectivement, on peut masquer un certain temps et aller contre nature, entre guillemets, sur les soft skills, mais il y a un moment où ça demande trop d'énergie et les gens reviennent à leur format, à leur fonctionnement normal. Et c'est là où, en général, il peut y avoir un clash.

  • Speaker #1

    Dans le masque, en fait, j'appelle ça un comportement d'emprunt. Et c'est pas de chip. En fait, tu veux le poste, donc tu vas fonctionner en fonction de ce qu'il veut faire, que le recruteur qui a son propre flash, qu'il soit influencé ou insuensable, parce que si tu donnes les mots qu'il veut entendre, forcément déjà ça se passe bien. Et je me rappelle d'une recruteuse à l'international qui me dit « moi je suis instinctive » et dans son flash ça ressort analytique. Elle me dit « en quoi vous êtes instinctive ? » Elle me dit « en fait je serre la main et je sais déjà » . Mais comment vous savez ? Je lui pose la question parce que moi, je pose des questions. Eh bien, si la personne a la main sèche, ça va, c'est là que ça va. Elle a confiance et tout. Puis si elle a les mains moites, en fait, je vois qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Et je dis, en fait, pour moi, ça, c'est le cerveau analytique parce que c'est si, alors sinon. C'est si elle a la main sèche, alors c'est cool. Si elle a la main moite, alors c'est pas cool. C'est plus de l'instant. C'est une analyse. Ah ouais, ok, d'accord Et bon nombre de fois où quand j'utilise le flash, les gens ne sont pas toujours d'accord sur un truc, sur un détail. Et merci, c'est eux qui sont experts de leur propre vie. Moi, je ne suis pas là pour dire tu fonctionnes comme ça. Ça ne marche pas. Donc, en fait, j'apporte les choses et quand les personnes me posent des questions sur telle chose, en fait, j'utilise des métaphores ou des contextes particuliers qui font que la personne prend du recul et comprend en fait pourquoi elle pensait comme ça. Et ça, c'est cool. Il y a toujours une partie. pédagogique dans ce que j'apporte et c'est ce qui me passionne.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu as des cas où le modèle ne révèle rien de probant ou pose un problème ? Je pense que tu en as eu tout au long de l'évolution du modèle, mais est-ce qu'aujourd'hui, il y a encore des cas où il y a des choses qui ne sortent pas ou pas comme tu voudrais ?

  • Speaker #1

    Je dirais que j'ai eu un cas il y a très longtemps où on était en mode débriefing et la personne avait 20-25 ans. Elle ne comprenait pas qu'elle avait la cinquième dimension qui était forte, qu'elle ne comprenait pas qu'elle influençait les autres. Mais en fait, ça, ça peut être inconscient. C'est-à-dire que... Quand on influence quelqu'un, on n'en est pas toujours conscient, c'est-à-dire que le fait d'être enjoué, le fait de dire j'ai découvert un truc génial, le fait de dire en fait on ne s'en rend pas compte, mais on influence. Et dans son approche, c'était ah ben non, moi non, je n'influence pas, ok. Et j'ai dit ok, on est d'accord, si tu le vois comme ça, c'est ok. Et en fait, ça c'était au tout début. En fait là, je n'ai pas de cas de gens qui me disent que ce n'est pas eux. Et la deuxième chose, c'est que ce qui est encore plus puissant, du coup, je ne peux pas l'influencer, c'est qu'avec plus d'une centaine de personnes formées côté francophone, ce sont les clients des gens que j'ai formés qui rapportent qu'ils ont été bluffés par le résultat. Donc là, c'est encore plus gratifiant, puisque ça veut dire que 1, je ne suis pas intervenu dans la prise en compte et le résultat de... de ce qu'ils ont pu observer et de dire, OK, c'est moi. En tout cas, c'est mes grands traits de personnalité et de caractère. Et en plus de ça, ça veut dire que c'est cool pour moi parce que j'ai bien formé. C'est pas de joc. Pour débriefer, en fait, on fait un sas de décompression émotionnelle. Il faut aussi leur dire, qu'est-ce que vous connaissez comme outil ? Parce qu'on a un cadre de référence qui fait qu'on peut aussi avoir ce biais en disant, moi, je connais ça et en fait, c'est comme ça. Donc tout ça aussi, il faut le prendre en compte dans l'analyse de son propre profil. Donc c'est bien que la personne soit cool pour recevoir les informations et que la deuxième chose, donc, il n'y ait pas d'enjeu, qu'elle soit cool au niveau émotionnel et qu'elle n'ait pas trop de cadres de référence qui pourraient en fait, comme l'outil est disruptif et qui reprend différents concepts, c'est rigolo parce que quand je fais un debriefing de flash d'une heure, une heure et demie, les gens me disent « Ah ben, je vois MBTI dedans, ah ben, je vois la PNL dedans, ah ben, ouais » .

  • Speaker #0

    mais en fait tu vois parce que tu as appris ça comme ça du coup je montrerai des images dans la vidéo pour ceux qui écouteront ou qui regarderont le podcast en vidéo sinon je les invite évidemment à te contacter pour faire leur flash, est-ce que tu peux expliquer du coup les 5 dimensions comment elles se représentent donc le fast, limit assemble, slice et hello pour expliquer un petit peu aux gens Ce qui se cache derrière ça, tu parlais des cinq sens, pour que ça soit un petit peu plus clair pour les gens qui nous écoutent, et comment après, dans l'analyse que tu fais, pour expliquer comment ça se passe, le résultat tombe avec des pourcentages, et derrière, il y a des associations de ces différentes dimensions qui permettent de donner des orientations plutôt sur tel ou tel métier ou sur tel ou tel mode de fonctionnement. Est-ce que tu peux nous expliquer ça ?

  • Speaker #1

    Très bonne question, merci Sébastien. Du coup, Flash, c'est un acronyme. Je voulais que ça serve pour les Français et les Anglais. Donc déjà, ça parle. Après, le F et le H sont à l'extérieur parce que c'est la partie extraversion, proaction. Et puis à l'intérieur, les trois centrales, c'est la réaction. Donc ça n'a pas été placé au hasard.

  • Speaker #0

    Fast,

  • Speaker #1

    c'est l'olfactif. Voilà, pour le Wacog. La deuxième, elle s'appelle Limit. Je l'expliquerai après, mais c'est la partie... c'est le visuel. La troisième assemble, qui est la terre, c'est la partie gustative. Tous les aliments viennent de la terre, c'est simple. La quatrième dimension, elle est auditive, c'est le slice du flash. Et puis, la dernière dimension est kinesthésique, c'est le H2LO. Donc là, en fait, on a comme point d'entrée, déjà, la partie vacoque de la PNL. Fast, c'est une dimension sur laquelle on va voir quelle est la vitesse de la personne pour atteindre un résultat. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'entre 30 et 70 %, les dimensions sont bien gérées en fonction du contexte qui le demande. Et là, les gens ne comprennent pas toujours ce que c'est ça. Mais on pourra voir plus loin. Au-dessus de 70 %, c'est une autoroute comportementale, c'est-à-dire qu'on a tendance à l'utiliser peu importe le contexte. C'est naturel, c'est facile. Donc, c'est à la fois un talent et c'est aussi une zone de turbulence émotionnelle. Et puis, en dessous de 30%, comme il n'y a pas de bon et mauvais profil, bon et mauvais, ça fait partie d'une dualité de l'ego, donc je ne veux pas entendre parler bon ou mauvais, qualité, les défauts, recrutement, on sait quoi. Et du coup, en dessous de 30%, c'est des dimensions qu'on ne va pas chercher régulièrement. Et si on va les chercher parce que les cinq dimensions sont disponibles,

  • Speaker #0

    il faut l'utiliser avec parcimonie, mais on ne peut pas l'utiliser dans un job à forte fréquence, forte intensité, sinon ça va nous fatiguer et on a des risques de dépression, de burn-out et de problèmes au travail. Donc face, c'est la vitesse à laquelle on va atteindre un résultat. Donc c'est un pourcentage. C'est très rigolo parce qu'on peut faire la métaphore avec le vélo, c'est-à-dire Einstein disait « si tu ne pédales pas, tu perds l'équilibre » quelque part. Donc la force gyroscopique... quand j'ai passé le permis moto, c'était 35 km heure. Une roue ne perd pas l'équilibre et ne tombe pas au-delà de 35 km heure, même si ce n'est pas motorisé derrière. Donc, on peut dire que 35, on peut être en mode haut pas au niveau des résultats si on est en dessous de 30 %, donc on est plus enclin à l'empathie. Entre 30 et 70 %. On fait une marche rapide ou un petit footing, ce qui fait que c'est facile de ralentir ou d'accélérer. Donc, c'est bien managé. Et puis, au-dessus de 70 %, on est en mode running à fond, battre des records au niveau de la vitesse et dans le défi permanent. Et ça, il faut avoir beaucoup d'énergie pour avoir un défi permanent. Donc, c'est la dimension la plus physique des cinq dimensions. Je ne sais pas si j'ai été clair sur Fast.

  • Speaker #1

    Si, si, pour moi, c'est très clair.

  • Speaker #0

    Donc, c'est la vitesse pour atteindre un résultat. La deuxième, elle est d'ordre mental. C'est limite. Donc, c'est la vue. C'est comment j'analyse la data, comment je traite l'information. C'est-à-dire que quand c'est très bas, on peut sortir des sentiers battus et des cadres de référence. Quand c'est bien géré, on peut à la fois sortir des cadres de référence ou fonctionner avec des règles de fonctionnement. Si on est supérieur à 70 %, on va avoir tendance à contrôler l'information, la vérifier. pour voir si c'est vrai ou faux. C'est une dualité qui existe derrière cette dimension, alors que dans Fast, c'est fort ou faible. On retrouve les dualités de l'ego dedans, donc c'est facile de coacher après. Donc ça, c'était la deuxième dimension sur la partie mentale. Une autre dimension qui fait partie du néocortex, c'est la dimension assemble, elle est centrale, parce que c'est la notion d'équilibre, c'est la notion de stabiliser, d'harmoniser les choses, et d'avoir une vue d'ensemble sur les choses. Ça veut dire que cette dimension-là, on est sur le lourd-léger. Quand c'est très élevé, on imagine que ce qui est lourd est solide et que si c'est léger, c'est instable, chaotique. Donc en fonction de cette dimension-là, c'est celle de l'organisation dans le temps. On est capable de voir si on peut changer son calendrier très rapidement avec une dimension très basse, ou plus de 70%, on est emprunt à avoir de l'inertie dans son fonctionnement. On met en place des calendriers qu'il ne faut pas changer. Donc il y a des métiers qui sont très bien pour ça, tu vois. Quand tu fais par exemple la paye, tu as le calendrier pour faire les tests de paye, le calcul de paye, la vérification, puis le virement. Donc ça, c'est vraiment un calendrier répétitif. Il y a des gens qui sont OK avec ça parce que ça les rassure d'avoir des choses dans le temps comme ça qui se reproduisent. Puis d'autres, ça les stresse parce qu'ils se disent c'est trop lourd, je m'ennuie, c'est une habitude, c'est une routine qui ne me plaît pas. C'est parce qu'ils ont des dimensions très basses sur cette dimension centrale.

  • Speaker #1

    Ça doit expliquer mon aversion au procès.

  • Speaker #0

    Globalement, ça peut être ça, parce que c'est peut-être lourd en fermant.

  • Speaker #1

    Complètement. Mais pour ceux qui n'ont que l'audio, j'ai une dimension très faible sur Assemble, justement. Et donc, effectivement, les trucs lourds me fatiguent beaucoup.

  • Speaker #0

    Puis ça va à contre-ensens d'une créativité, parce que c'est le basique. Le terre-à-terre, le concret, voilà. Donc, ça a ses limites aussi. Merci pour ça, pour ton feedback, Sébastien. Donc, du coup, fast, c'est l'action, limite, le plan d'action, assemble, l'organisation dans le temps, les jalons. Donc, ces trois dimensions-là, elles sont plutôt d'ordre interne. Et puis après, on va passer aux deux dernières dimensions, slice et hello, où on est de l'ordre de l'interaction avec les autres. Puisque slice, ça veut dire trancher en français. Donc, c'est la qualité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Et l'eau, c'est la quantité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Donc, à partir de là, on comprend que la confiance en soi, c'est dans le fast. Et l'estime de soi, estime, c'est valorisé, c'est infiniment petit. Eh bien, c'est derrière le slice, la partie métal du flash. Et c'est super intéressant de voir, en fonction des deux dimensions, qui pilotent vraiment nos interactions, de faciliter à rentrer, à s'inclure dans un nouveau groupe ou à s'en exclure dès le départ. Ça, c'est la première dimension. Et la deuxième, c'est l'ouverture aux autres. Est-ce que je suis... Est-ce que je connecte facilement ? Est-ce que je souris facilement ? Est-ce que j'ai envie de partager facilement ? Est-ce que j'ai envie de connecter ? C'est cette dimension d'ouverture aux autres. Et donc, quand on étudie les deux, on est capable de voir pourquoi on réagit comme ça. Par exemple, certains qui sont traités parfois de bipolaires, parfois c'est un peu too much, c'est parce qu'on leur met une étiquette dessus. Mais si on comprend qu'un slice et un lot très élevé font qu'il y a des fois, j'ai envie de voir tout le monde, je partage et je me marre. Et que d'autres fois, je préfère être reclus, pas parler, et puis être dans un mode de tristesse attirmée. et de s'isoler pour se ressourcer, parce que c'est les deux qui font nous ressourcer. Soit je suis en introspection quand j'ai beaucoup de métal, soit je suis en extraversion si j'ai beaucoup de bois. Et on comprend le fonctionnement facilement. Donc voilà, on a passé là en revue rapidement les cinq dimensions. Et déjà, on peut voir que les combinaisons entre elles donnent des compréhensions de soi hyper pertinentes.

  • Speaker #1

    C'est là où le... où le modèle devient extrêmement fort, c'est justement quand tu commences à les combiner. Est-ce que tu peux nous expliquer, dans la façon dont tu débriefes, comment tu les combines ? Tu disais tout à l'heure justement qu'il y a une façon d'expliquer le flash. Je pense que les combinaisons, elles ne sont pas faites par hasard. Est-ce que tu peux expliquer rapidement comment tu les organises pour les gens qui nous écoutent ?

  • Speaker #0

    En fait, il y a 20 talents, j'appelle ça des talents naturels. puisqu'on a des ressources naturelles, donc on a des talents naturels. Et il y en a 20, donc je n'en présente que 8 par ordre décroissant sur le Flash Pro pour dire que déjà, en fait, tu peux aller dans ces dimensions-là, ça ne va pas te fatiguer dans le job. Donc ça, c'est super important parce que mon but, ce n'est pas forcément que tu trouves un job en disant « je vais faire la formation, c'est cool » , c'est surtout « est-ce que c'est bon pour toi ? Est-ce que ça va te fatiguer ou est-ce que tu vas être à l'aise dedans ? » Et c'est ça l'enjeu. Donc, en fin de compte, dans l'histoire... les combinaisons ensemble donnent des talents. Et c'est assez simple à comprendre, c'est-à-dire que si on est dans les deux premières dimensions très élevées, fastes et limites, on va avoir une action rapide sur une grande capacité d'analyse. Donc on va être dans la résolution de problèmes. Si on a, par exemple, la troisième dimension, un sample très élevé sur la partie solidité des choses, et qu'on a un slice très élevé sur la valeur des choses, eh bien, tout ce qui est de l'ordre des ressources naturelles ou d'investissement dans des ressources en dur, par exemple de l'immobilier ou des choses comme ça, on va être bon là-dedans parce qu'on va savoir valoriser, par exemple, un patrimoine. On va savoir, en fait, les produits de la terre qui sont bons. Donc, on peut avoir un profil de chef cuisinier qui tient plutôt une auberge. Parce qu'il va se servir du potager d'à côté, tout en local, pour faire découvrir sa cuisine, mais par rapport à quelque chose de très concentré sur le terrain. Et en fait, si tu prends un pizzaiolo uniquement le sud en saison, prends-le avec un fast très élevé, parce que tout ce qu'il veut, lui, c'est dépenser son énergie physique et c'est OK pour ça. Donc du coup, même le monde de la cuisine, le monde de la médecine, le monde du commerce. En fait, on a des profils qui sont complètement différents de l'un à l'autre. Et en fait, la combinaison des dimensions entre elles, qui sont donc des dimensions naturelles qui ne me fatiguent pas, font qu'on a des talents naturels qui nous amènent à des jobs. C'est-à-dire que si on a, par exemple, beaucoup de limites, cette soif de connaissances et beaucoup de métal qui est la valorisation des choses, on va être dans des métiers de conseil et d'expertise. Parce qu'on analyse la data et on est capable de la valoriser.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas les mêmes en fonction de l'ordre entre le premier et le deuxième. C'est drôle parce que je parcourais les miens et j'ai fait aussi bien un côté que l'autre. Des deux premiers qui sortent et en cherchant, il y a une liste de métiers qui apparaît et ils sont tous dedans. Alors que je n'ai pas été influencé du coup par le flash,

  • Speaker #0

    puisque je l'ai découvert il n'y a pas très longtemps.

  • Speaker #1

    Donc, c'est assez drôle de voir qu'en fait, j'étais déjà entre guillemets dans ma zone de confort, sans le savoir.

  • Speaker #0

    C'est rigolo parce que même quand tu t'exprimes, et ça, je l'apprends en formation, tu dis c'est assez drôle de voir. Ok, alors drôle, c'est l'amusement, le fun, la créativité, c'est le hello. Et puis, de voir, visuel, donc on est dans la partie limite des choses. Donc, quand on s'exprime, on ne fait pas toujours attention. Mais on peut utiliser son langage flash sans s'en rendre compte. Sans nous. Et c'est là où j'aide les gens aussi. Je dis, ben voilà, tu as ces préférences comportementales, donc tu risques, tu peux voir le monde. avec ses dimensions élevées. Donc, c'est chouette dans ton job. Et fais attention dans ta vie perso parce que ce n'est peut-être pas ce contexte-là qui te le demande. Et ça, ça permet d'identifier facilement avec un langage universel. En fait, c'est un peu comme la prose de M. Jourdain. Ah bon, je fais de la prose ? Oui, quand vous parlez, vous faites de la prose. Ah, c'est merveilleux, je fais de la prose. Là, en fait, on est en train de... Parce qu'en fait, on perçoit le monde par nos cinq sens. Et donc, c'est facile de faire comprendre à la personne qu'il y a notre vérité à travers le flash par rapport à la réalité. Alors, parfois, ça colle, parfois, ça ne colle pas. Et c'est pour ça que des gens qui ont des flashs complètement différents peuvent avoir des zones d'entente sur des dimensions où c'est bien géré. Et puis, il peut y avoir des zones conflictuelles parce que ce n'est pas du tout ma même vision du monde, ma même carte mentale. Et ça, c'est génial, tout ce qui est team building, cohésion d'équipe. Quand je recrute quelqu'un dans une équipe, ouais, mais il faut voir le flash des autres, parce que du coup, tu as une nouvelle dynamique dans un équilibre existant. Et à un moment donné, ça peut faire un déséquilibre avant de retrouver un équilibre. C'est un peu l'histoire du premier ou du deuxième enfant dans une famille, où ça perturbe un peu.

  • Speaker #1

    Tu me fais une transition magnifique. Aujourd'hui, tu utilises... Enfin, tu utilises YouTube. propose le flash justement pour ce genre de choses de team building, de compréhension des équipes, etc. Les unes avec les autres, de comment un tel, un tel fonctionne. Et d'un point de vue managérial, justement, de pouvoir mieux gérer ses équipes. Ça se passe comment aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    C'est simple en fait. Quand on regarde son flash dans l'ordre dans lequel il arrive, ce qui est en bas du profil pro, on est capable de voir qu'est-ce qui nous challenge, comment je communique et comment je manage naturellement. Et puis, quand on a affaire à une équipe et on va leur présenter le flash sur ça, et on peut faire une roue d'équipe, c'est-à-dire, imaginons qu'il y ait cinq personnes qui soient des personnes clés dans l'entreprise, un comex ou des choses comme ça, eh bien, en fin de compte, on va avoir la roue d'équipe. C'est-à-dire, quelle va être la tendance la plus forte si on fait la moyenne des flashs qui nous sont disponibles ? On peut avoir une tendance à la nouveauté pour sortir un nouveau produit. Ça, c'est le H de Hello. Mais si tous les flashs des gens sont vraiment bas dans la dimension Hello, soit on prend quelqu'un qui a ce côté innovant, nouveauté, dynamique, de quelque chose d'incroyable, soit on fait venir un prestataire extérieur qui a ce flash-là pour nous aider à changer notre vision, par exemple, à voir les choses autrement. Et donc, c'est puissant parce que... Ça parle à tout le monde et c'est facile, c'est un langage universel pour moi. C'est-à-dire que tu comprends visuellement les cinq dimensions. Une fois que tu as expliqué la définition, dans n'importe quel pays, ça passe. Parce qu'en fin de compte,

  • Speaker #1

    c'est universel.

  • Speaker #0

    Parce que là, on parle des cinq sens, mais derrière, les pictos font que si je te dis que l'eau, c'est l'information, le feu, c'est la vitesse, après, les associations, elles se font facilement. Du coup, on est capable d'amener un nouveau langage aux personnes, en dehors de la langue qu'ils ont apprise, pour justement faciliter la communication entre les personnes.

  • Speaker #1

    On commence à arriver vers la fin. Aujourd'hui, l'outil, il fonctionne. Tu dois encore avoir des freins de certaines personnes qui disent « mais ce n'est pas possible » . Et pour l'anecdote, j'en ai eu moi il n'y a pas longtemps en en parlant. à des collègues qui me disent « Attends, avec le jour et le mois, il n'y a même pas l'année. »

  • Speaker #0

    « Je peux me parler de l'année, ok, pardon. Je peux la rajouter, hein ? »

  • Speaker #1

    « Pour la forme. » Et je dis « Non, mais honnêtement, c'est bluffant, etc. » Et tu rencontres encore beaucoup de freins où je sais que tu es en train de travailler au niveau des États-Unis. Ils commencent à s'intéresser aux trucs. Le chemin est en train de se faire, mais tu as encore beaucoup de freins ou de moins en moins ?

  • Speaker #0

    En fait, le scepticisme fait partie d'une peur. Donc, en fin de compte, je dis qu'il faut juste l'expérimenter et en parler après. Et souvent, c'est aidant de leur dire, OK, je vais vous acheter un bouquin pour bricoler et allez-y, débrouillez-vous. Vous allez construire une maison. Ça ne marche pas. Ou alors, je leur dis, la vie c'est une somme d'expériences et de rencontres. Et tu peux lire tous les bouquins, ça ne va pas t'apprendre pas vraiment comment communiquer avec les gens. Donc, c'est de l'expérience qu'il faut et c'est de l'interaction. Il faut le vivre. Pour moi, c'est une expérience à vivre. Et en fait, peu importe ce qu'on me raconte au départ sur... Parce qu'en fin de compte, c'est en profil du flash. C'est le profil flash qui fait que la réaction est comme ça. Si tu as affaire à un profil hyper analytique et que le LO est plutôt bas et qu'il n'est pas dans... Eh, la nouveauté, ça m'intéresse. Du coup... mais moi, avec mon profil, j'ai un profil plutôt sceptique. C'est-à-dire que tu m'apportes quelque chose, je vais vouloir le vérifier. Et si je n'avais pas inventé le flash et que quelqu'un d'autre me réamènerait le flash, j'aurais dit, c'est bizarre ce truc-là. Comment c'est possible qu'avec quelques data comme ça, on arrive à un résultat ? Déjà, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Et donc ça, c'est les profils très analytiques. Et en fait, si tu ne passes que par ton cerveau analytique pour prendre les décisions, Tu rentres dans si, alors, sinon, et tu dis, si je ne comprends pas, alors, je comprends. Ça ne peut pas marcher. C'est même jusque-là. Ça va jusque-là. Parfois, on fait des recours si analytiques. Et en fait, non, il faut juste faire vivre l'expérience parce que certainement que tu en as déjà parlé parce que ton « hello » , il est vraiment… Donc, c'est encore une chose que quand tu découvres quelque chose, tu as envie d'en parler. Et merci pour le podcast parce que ça en fait partie. Le podcast, c'est… Tu as envie de partager de l'information.

  • Speaker #1

    Complètement.

  • Speaker #0

    Oui, mais c'est ça. Parfois, on fait un métier ou plusieurs métiers. Je ne sais plus, c'est slasher, je crois, quand on fait plusieurs métiers. Je m'explique aussi quand les gens sont slasher. Je dis, regardez, il y a ces dimensions-là qui sont élevées, mais il y en a d'autres que tu utilises, qui sont assez fortes, que tu n'utilises pas dans ton job actuel. Donc, c'est normal que tu ailles vers ça.

  • Speaker #1

    On va chercher ces points d'accompagnement naturellement.

  • Speaker #0

    Ouais, parce que c'est des besoins, donc ça nous titille. Donc si ces besoins-là ne sont pas assouvis, on va les chercher ailleurs, tu vois. Et ça explique plein, plein, plein de choses. Donc, en fait, je m'en fiche. Avant, je repassais par l'analytique pour expliquer comment je l'avais fait pour des gens qui étaient un peu sceptiques. Aujourd'hui, je n'ai plus le temps et je pense qu'il ne faut pas que je traîne. Je pense que c'est un outil worldwide. C'est Kanaka World, donc c'est le monde de Kanaka. Kanaka qui veut dire être humain libre en Maori. c'est par la compréhension de soi. Le Graal, il n'est pas l'extérieur. C'est connais-toi toi-même. Et en fait, j'ouvre les portes. Après, si les personnes ne veulent pas clencher ou rentrer, c'est OK. Je pense que ça fait partie du truc. Je ne veux pas convaincre tout le monde sur la planète. Je veux juste que ce soit utile aux personnes qui en ont besoin. Et je pense que ça se fait naturellement. Mais c'est vrai qu'avant, je me prenais la tête en voulant à chaque fois expliquer, en disant, mais si j'ai réussi, je te montre. Comment je l'ai fait ? Plus je donnais de l'analyse, plus les gens ne comprenaient pas. Ça ne faisait pas partie de leur mindset de compréhension. Donc, on rentre tout de suite dans des registres de freins, de peurs, de scepticisme. Mais ça, ce sont des peurs et ce n'est pas grave. Il y a beaucoup de personnes qui peuvent avoir cette image-là. Après, il y a d'autres profils ou des gens qui veulent un résultat rapide, innovant, précis. Ils vont tout de suite, mais ça dépend encore d'un autre flash. Et puis les early adopteurs, c'est forcément le H2LO qui dit « Hey, c'est une découverte, je vais tester,

  • Speaker #1

    je veux voir » .

  • Speaker #0

    Mais non, ça fait partie des profils de chacun. Ce qui est puissant et bluffant, c'est que nos comportements d'achat se font avec notre flash. Et donc, si je pouvais avoir le flash de la personne à qui tu as présenté, je pourrais avoir une attitude qui fasse qu'il ait envie d'aller plus loin. Oui, ça va jusque-là.

  • Speaker #1

    De toute façon, quand tu sais après comment les gens fonctionnent et leur facilité à aller vers telle ou telle chose, forcément, tu peux t'adapter. Et c'est en ça que c'est hyper puissant aussi. Pour ceux qui nous écoutent et qui voudraient faire le test et tester par eux-mêmes, justement, où est-ce qu'ils peuvent te retrouver ?

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'ils peuvent me retrouver ? Donc on a un site anglophone mais qui se traduit facilement sur Chrome, ça s'appelle kanakaflash.com et donc là on peut prendre rendez-vous, il y a un calendrier, on s'inscrit et je fais le debriefing des gens rapidement et je leur offre le flash. Bon après si ton auditoire, les gens qui sont plus d'un million, j'aurais peut-être du mal à le faire pour tous. Avec grand plaisir pour leur faire découvrir leur flash, le potentiel naturel qu'ils ont. Ça n'enferme pas, ça donne les prédispositions. C'est pour ça que je l'ai fait, par rapport à des outils qu'ils pouvaient enfermer avec des cases. Je ne voulais pas être seulement un expert des systèmes d'information à ressources humaines. Même si j'ai ces compétences-là, je suis bien plus que ça, comme beaucoup de personnes qui sont en quête de sens. et qui ont envie de changer de job, ça rentre dans l'épiderme compétences aussi. Trajectoire pro, trajectoire perso à fond.

  • Speaker #1

    Ça permet de se situer et d'avoir des pistes de réflexion en tout cas pour ceux qui en ont besoin.

  • Speaker #0

    Vous pouvez affirmer des choses.

  • Speaker #1

    Je mettrai évidemment tout ça en description de l'épisode, comme ça vous pourrez retrouver directement le lien dans la description. Yannick, merci beaucoup. pour cet échange. J'espère qu'il aura apporté à mes auditeurs et ceux qui nous écoutent beaucoup de valeur et en tout cas l'envie de découvrir le Flash. Je vous invite vraiment à le faire pour l'avoir fait. Honnêtement, je trouve ça bluffant et hyper instructif sur soi-même. N'hésitez pas à faire le test et je vous dis à très vite.

  • Speaker #0

    Merci Sébastien.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode de Mindways. J'espère qu'il t'a ouvert une nouvelle façon de voir les défis, ces moments où tout semble se bloquer, avant qu'une idée, une prise de conscience ou une rencontre ne relance tout. Ce podcast, c'est un voyage à travers les détours de l'esprit entrepreneurial et personnel, les doutes, les rebonds, les visions qui prennent forme malgré les tempêtes. Si cet épisode t'a inspiré, abonne-toi à Mindway sur ta plateforme d'écoute préférée ou à la newsletter sur LinkedIn pour continuer à avancer ensemble, pas après pas. Tu peux aussi me retrouver sur Instagram, et Mindways underscore FR, pour prolonger la réflexion et partager tes expériences, ou simplement échanger entre esprits curieux et ambitieux. Ton écoute, tes retours et tes partages sont le moteur de cette aventure, alors n'hésite pas à partager autour de toi. Merci d'être là, d'oser te remettre en question et de continuer à construire ta voix. Reste audacieux, reste curieux, et n'oublie jamais que chaque pas compte. pour atteindre le sommet. A très vite.

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Vous avez déjà passé le MBTI, le Big Five, le DISC ou l’Ennéagramme ? Utile… mais incomplet.
Dans cet épisode de Mindways, Yannick Zoude présente F.L.A.S.H., un modèle sans questionnaire qui révèle instantanément les talents inconscients à partir de données minimales (prénom, nom, jour/mois). On parle leadership, recrutement, soft skills, biais des tests, et de la manière dont F.L.A.S.H. met en lumière vos forces naturelles sans vous enfermer dans une case.


Ressources citées :
• Prendre RDV : www.kanakaflash.com

• Découvrir le F.L.A.S.H https://links.kanakaflash.com/widget/form/CYXQ8rGEHc9c4Ar8Diyr
• Yannick Zoude sur linkedin : https://www.linkedin.com/in/yannick-zoude/

• Livre mentionné : Hiring for Attitude – Mark Murphy


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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Mindways, on a tous un jour rempli un test de personnalité. Le MBTI, le Big Five, le DISC, le PAPI ou encore l'Enneagram, autant d'outils devenus incontournables dans le monde du coaching, du recrutement et même du développement personnel. Ces tests ont un point commun, ils cherchent à décrire qui nous sommes à travers des traits, des profils, des combinaisons de comportements et de préférences. Ils nous classent, parfois nous rassurent, souvent nous intriguent ... Ils mettent des mots sur nos façons d'agir, de penser, de ressentir. Et pourtant, malgré leur précision, leur popularité et leur décennie de recherche scientifique, les questions persistent. Ont-ils des biais ? Peuvent-ils vraiment saisir toute la complexité d'un être humain ? Parce qu'au fond, nous ne sommes pas qu'un type, ni qu'un ensemble de traits, mais nous sommes bien faits de nuances, de paradoxes, de potentiels endormis, de forces inconscientes qui ne se laissent pas cocher dans une case. C'est là que surgit une approche différente, une approche qui ne cherche pas à analyser mais à révéler. Un modèle conçu pour faire apparaître ce qui échappe aux tests classiques, ce que vous ignorez savoir faire, ce que vous n'assumez pas encore être, mais que votre inconscient exprime déjà. Cette approche s'appelle Flash, et son créateur, Yannick Zoudé, a voulu en faire un véritable pont entre toutes les méthodes existantes. Aujourd'hui dans Mindways, on plonge avec lui. dans ce modèle qui promet de mettre en lumière vos talents invisibles et peut-être de changer votre manière de vous percevoir instantanément. Yannick, bienvenue dans Mindways. Est-ce que tu peux te présenter pour nos auditeurs ? Raconte-nous ton parcours et comment on passe de la gestion RH classique à la création d'un outil comme Flash.

  • Speaker #1

    Wow, merci pour l'introduction Sébastien, c'est formidable. Mon nom c'est Zoud, il n'y a pas de E accent aigu à la fin, mais sinon c'est génial. Et en fait là tu vas relever une partie de mon Flash, puisque j'ai une partie où j'analyse et je décortique. Ça fait partie de mon fonctionnement. J'ai adoré ton introduction, je te remercie pour l'invitation. On a eu le temps de briser la glace il n'y a pas longtemps parce que tu as eu ton flash et ça c'est cool. Briser la glace, ça fait partie d'une des dimensions du flash qu'on aura certainement le temps d'expliquer. Donc Yannick Zoude, ancien RH dans les systèmes d'information dans deux grandes sociétés à l'international. Donc grand projet, conduite du changement, tout ça en fait, ça m'a donné l'occasion aussi de tester en parallèle tous les outils du marché. Puisque j'étais intéressé par le comportement humain à l'adolescence, en fait, c'était comprendre le comportement. Ensuite, j'ai lu beaucoup, je me suis intéressé aux outils qui existaient sur le marché, tout type d'outils. Et puis, quand je suis rentré au niveau professionnel dans les ressources humaines, j'ai forcément été aussi certifié. J'ai utilisé mes formations pour me former. Alors, ça a été l'analyse transactionnelle, la PNL, les néagrammes, tous les outils que tu peux citer, le MBTI, le DISC et autres. Et en fait, tellement passionné par ça, j'ai cherché les liens qu'il pouvait y avoir entre eux, puisque je ne voulais pas avoir qu'une seule facette avec une seule vision des choses, mais bien quelque chose de global, quelque chose de holistique, qui serve à la fois pour le monde du recrutement, ça veut dire la personne doit être au meilleur job possible pour elle, c'est aussi pour le développement personnel, parce qu'on passe par la connaissance et la compréhension de soi pour pouvoir changer quelque chose. Mais on ne peut pas changer quelque chose qui est inconscient. Le flash permet de se rendre compte de choses conscientes qui pouvaient paraître inconscientes et pouvoir partir dessus comme l'état des lieux d'une maison, on va dire. C'est le potentiel de départ. Et après, brique à brique, on peut étendre la maison, agrandir la maison, la mettre à notre goût. Mais en fait, c'est bien d'avoir les bases. En fait, on est vraiment basé sur les bases et sur le big data et sur la collection de données qui m'ont fait cette... passion qui était en moi, que j'ai voulu analyser au maximum, sans passer par des questionnaires où il y a trop de biais cognitifs. Ça, les autres outils le font. Et c'était chouette parce que j'ai pu voir comment ils étaient faits pour justement voir les concepts, les approches et forcément les nuances et les liens entre eux.

  • Speaker #0

    On va lever le moteur, on va lever le capot pour voir un peu le moteur tout à l'heure, expliquer un petit peu comment ça marche du sens, qu'effectivement, c'est un outil dans lequel il n'y a pas de questions. Tu remplis... très peu de choses et ça sort le profil. C'est pour ça que c'est assez bluffant et pour l'avoir effectivement fait, je peux attester que ce qui ressort est vrai. Assez étonnant. Avant de rentrer dans le détail, à quel moment tu t'es dit c'est bon, j'ai trouvé quelque chose de nouveau ? Si tu dis que tu as connecté plusieurs choses, si tu parles de data, etc., c'est à quel moment tu te dis ok, c'est bon, mon outil fonctionne et je tiens quelque chose ?

  • Speaker #1

    En fait, j'ai lancé des calculs de folie sur un échantillon et C'est en 2020 qu'il n'y a pas eu de régression de données, c'est-à-dire que si je bougeais l'algorithme et je rajoutais un profil, ça ne faisait pas mettre en erreur les profils où ça marchait. Donc en fin de compte, ça c'était ce côté empirique vérifiable informatiquement. Donc en 2020, pécard. Suite à la pandémie, on avait beaucoup de temps pour rester chez soi. Et ça m'a permis d'aller encore plus en profondeur sur ma passion.

  • Speaker #0

    Passer du temps dessus, ouais.

  • Speaker #1

    Oui, c'est là où ça a vraiment tilté parce que je me suis dit, allez, c'est maintenant parce que j'ai du temps et je m'y mets vraiment à fond et je vais voir en détail de façon très approfondie jusqu'où je peux aller. Si je ne trouve pas la clé de décodage humain, ça reste une passion et c'est pour moi. Et si ça fonctionne, je vais le tester avec des échantillons de cas concrets après l'application puisque j'avais des cas concrets avant. pour calculer la data. Mais en fait, je me suis servi de 2020 pour informatiser ce qui était un peu artisanal. Moi, j'ai monté ça un peu dans mon garage, comme on peut voir quelques créateurs de ce monde-ci, pour Apple et autres. C'était vraiment de l'artisanat au départ, où je compile de la data et je vérifie sans arrêt. Donc en fait, on peut dire 2020, grand démarrage, où je décide de l'informatiser, puisqu'avec Mac... maquette de perfectionnisme, c'était très compliqué de se lancer en disant « Est-ce que c'est bon là ? Est-ce que j'y vais ? » Du coup, ça fait partie de mon flash et je l'explique aussi, puisque moi aussi, j'ai des nuances dans mon profil. Ce qui m'avantage, c'est des choses où il faut que je fasse attention. Donc 2020.

  • Speaker #0

    Ok. Parce que moi, effectivement, j'ai tendance à dire « mieux vaut fait que parfait » .

  • Speaker #1

    Oui, mais en fait, ça, il faut que je me le mette, tu vois. Et ce n'est pas évident avec mon flash de rentrer dans ce processus.

  • Speaker #0

    Tu décris flash comme un... révélateur de talent inconscient, qu'est-ce que tu mets exactement derrière le mot inconscient ?

  • Speaker #1

    Inconscient, c'est de réagir ou d'agir sans savoir d'où ça vient, sans connaître la source. Moi, en fait, l'idée, c'était d'aller à la source de l'information pour chaque personne, pour se dire que par rapport à un même type d'événement, on peut agir ou réagir différemment. Tu vois, c'est l'histoire des trois cerveaux, par exemple, avec Fight, Flight, Freeze. En fait, c'est la peur, mais la peur... Comment on se comporte face à la peur ? Et ça, c'était encore quelque chose, encore une idée qui a germé pour le comprendre dans le flash, où on a cinq dimensions hyper importantes, puisqu'elles sont reliées déjà aux cinq sens de l'être humain. J'ai utilisé du coup le VACOG dans la PNL, visuel auditif, kinesthésique, olfactif et gustatif. Donc j'ai fait déjà les premiers liens et il y avait plein d'autres liens derrière à faire. Mais déjà, je suis parti des cinq sens classiques de l'être humain, basiques. Et on a toujours des préférences comportementales. On a tous fait pareil, on n'a pas le même câblage. Et c'est ça qui était passionnant pour moi pendant toutes ces années. Et je n'ai pas abandonné parce que c'était une passion et c'était une sorte de mission. Puisque vraiment, je peux le dire comme ça. Si j'ai commencé à l'adolescence à chercher ça et que je n'ai pas arrêté, même si j'étais dans le monde des ressources humaines. où j'ai eu une belle carrière pendant 20 ans dans de grands groupes, ça m'a toujours taraudé, titillé, envie d'aller plus loin.

  • Speaker #0

    C'est sûr que tu aurais pu rester sur les outils qui existent depuis de très nombreuses années et faire quelques ponts éventuellement entre les uns et les autres, mais sans forcément aller redévelopper un modèle. Or là, pour le coup, tu es vraiment allé beaucoup plus loin. J'avais noté la méthode, Ce n'est pas une méthode, pour le coup, c'est vraiment un modèle. C'est comment le modèle combine-t-il une approche systémique, cognitive et humaine ? Et sur quels principes neuroscientifiques, psychologiques tu t'appuies ?

  • Speaker #1

    C'est vrai que la méthode, en fait, on la fournit dans la formation. Il y a une méthode d'apprentissage, en fait, c'est comme le permis de conduire. Là, on pilote le flash. Ce n'est pas de la conduite, c'est du pilotage. Donc, on a vraiment une formation clé en main avec... éthique déontologie dedans, puisque j'étais en RH et je ne veux pas qu'on fasse n'importe quoi avec cet outil-là. Donc il y a une façon de présenter le flash aux gens. La deuxième chose, oui, c'est un modèle. Donc en fait, c'est dans ce modèle-là, on a à la fois... une modélisation statistique avec le big data qui m'a servi pour vérifier les données. Et puis, je suis parti des briques réelles, c'est-à-dire que j'ai observé les résultats des comportements réels pour beaucoup, beaucoup,

  • Speaker #0

    beaucoup de personnes.

  • Speaker #1

    Et donc, j'ai modélisé. C'est le principe de la PNL. La PNL n'est pas une théorie, c'est une modélisation. Et là, en fait, avec le big data que j'avais et l'informatique complexe et les statistiques, J'ai pu monter ça tout doucement en vérifiant avec un jeu de quelques profils. Puis, j'ai augmenté jusqu'à 75 000 profils. Et puis après, j'ai dit OK, l'algorithme fonctionne pour tout le monde. Donc, en fin de compte, on a des intuitions, de l'instinct et de l'analyse. En fait, c'est la combinaison de tout ça qui fait que ça marche. C'est-à-dire qu'il y a des outils qui sont hyper analytiques et pour moi trop enfermants, qui mettent dans des cases et ça, c'est dommage. Il y a des outils qui sont un peu trop perchés, où l'intuition a fait faire quelque chose, mais ce n'est pas explicable. Et en fait, dans mon fonctionnement, j'ai eu des intuitions que j'ai pu vérifier de façon analytique. Donc, en fait, j'ai monté moi-même la validation des datas sans que ce soit des mesures psychométriques. C'est-à-dire que c'est juste l'informatique qui m'a permis de dire, je comprends que tel profil fonctionne avec cette préférence-là. Je vais le vérifier sur d'autres profils et c'est en agrégeant les datas, les données, que c'est monté tout doucement et c'est pour ça que j'ai bossé 20 ans dessus. C'est parce que ça a été quelque chose d'empirique, quelque chose du concret et ça a été brique par brique. Donc déjà, les fondations, puis voir si je ne me plante pas sur les cinq dimensions et ce que c'est bien ça. Est-ce que je peux intégrer le disque à l'intérieur ? Oui. Parce qu'il y a quatre dimensions dans le disque, et là, il y en a cinq. Donc, qu'est-ce qui est splitté ? Qu'est-ce qui est en plus ? Et pourquoi ça marche comme ça ? Donc, vérifier par rapport, comme je suis certifié au disque aussi, vérifier par rapport à tous les résultats que j'avais du disque, s'il y avait une corrélation entre ce que j'avais créé et leurs résultats. Et je l'ai fait avec les autres outils également. Du coup, ça m'a permis, on va dire que... C'est comme un Tetris, en fait, si je peux t'expliquer ça. C'est quoi ? Le Tetris, s'il y a un trou, ça ne marche pas. S'il y a un trou dans la raquette, tu perds. Donc, c'était construire la base, ça s'emboîte bien, puis construire la deuxième base. Puis, si jamais dans la troisième base, il y a quelque chose qui fait que ça déconne, on redescend à la deuxième base. Et donc, en fait, c'est pour ça que c'était l'itération.

  • Speaker #0

    Une itération empirique et au fur et à mesure, ça se construit. Oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que j'ai mis 20 ans. c'est parce que trouver ça comme ça, ce n'était pas possible. Mais avoir le temps de le faire, comme c'était passionnant, moi, ça ne me gênait pas. Je n'avais pas d'objectif financier, je n'avais pas d'objectif de temps, je n'avais pas… C'est juste une passion. Mais une passion avec l'envie d'atteindre un résultat quand même, tu vois, ce n'est pas une passion floue.

  • Speaker #0

    Oui, mais il n'y avait pas un objectif purement financier, en disant tiens, je vais monter un business qui va aller là-dedans, etc. ça part d'un travail de questionnement, de comment ça marche.

  • Speaker #1

    Et à chaque fois, me former, me former, me former aux outils et se dire, il y a ce qui me gêne, je pose la question, est-ce que j'ai la réponse ou pas ? Est-ce que c'est trop flou ? Est-ce qu'il y a un trou dans la raquette ? Est-ce que je peux l'intégrer dans ma méthode ? En fait, c'est parce que les outils du marché ne correspondaient pas à ce que moi j'aurais utilisé si j'avais été coach recruteur, bilan de compétences. En fait, je voulais que les gens... voient clairement des choses qui leur paraissent impossibles ou incompréhensibles. Donc, le jeu de la pédagogie a été super important dedans. Aussi, parce qu'en fin de compte, pour qu'un Tetris fonctionne, en fait, il faut donner envie. Et la pédagogie, c'est super important pour comment j'explique le flash aux gens. Donc, qu'est-ce que j'utilise comme picto ? Qu'est-ce que j'utilise comme lettres dans le flash ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Donc, Einstein disait, si tu es capable de l'expliquer à ta grammaire, tu peux l'expliquer à tout le monde. C'est le cas. Flash est utilisé aussi par des coachs sur des enfants en difficulté scolaire qui ont 8 ans et qui comprennent la pédagogie qu'il y a derrière le Flash.

  • Speaker #0

    On va y revenir sur le fonctionnement. Comme il n'y a pas de questions, on peut le faire à n'importe qui. Peut-être que tu nous expliqueras, il y a peut-être des limites, on verra. À ce stade, effectivement, il n'y a pas de question, contrairement à ce qu'on peut avoir avec un disque ou ce genre de choses. J'aime bien le moment où tu dis, le disque, il a quatre dimensions, moi, j'en ai cinq. comment je split, etc. Moi, je suis un grand fan du disque depuis toujours et pour le coup, j'ai un profil qui est extrêmement marqué.

  • Speaker #1

    Ok, c'est très marqué, d'accord.

  • Speaker #0

    Je me suis toujours posé la question, alors même si dans mon quotidien, je pense que le profil disque est assez vrai, mais je me suis toujours posé la question de est-ce que je l'ai influencé au moment où j'ai répondu aux questions.

  • Speaker #1

    Oui, parce que le principe du questionnaire, c'est qu'on demande d'auto-déclarer son fonctionnement. Pour pouvoir s'auto-déclarer, il faut se connaître parfaitement, il ne faut pas avoir d'enjeu, et c'est OK. Du coup, le résultat est fiable. Donc, en fait, il y a déjà des paramètres de départ. Après, les autres, c'est les biais cognitifs, c'est est-ce que j'ai compris la question, est-ce que je me mets en situation globale ou en situation professionnelle, et du coup, il y a trop de questions. Donc, du coup... on est dans une auto-réflexion pour répondre. Donc, on est forcé de répondre à un instant T avec notre compréhension des questions qui nous arrivent.

  • Speaker #0

    Oui, potentiellement dans l'humeur du moment, en plus.

  • Speaker #1

    J'allais te le dire, bravo, c'est ça. C'est-à-dire, si je suis en colère, si je suis excité, si je suis stressé, peu importe le mode de stress, ça va en fait jouer sur la qualité de mes réponses. Et en fait, l'algorithme va prendre en compte forcément la réponse aux questions. Et donc, c'est qu'est-ce que je donne comme carburant au moteur de l'algorithme du disque ? J'ai répondu bleu parce que j'ai un profil quand même qui est analytique. Donc, et conformité, ça me va bien parce que c'est le monde des règles. Et en fait, je me suis appuyé sur de l'analytique pour vérifier tout ça. Cependant, à un moment donné, j'ai voulu faire le disque pour aller vers un coaching. Et en fait, j'ai répondu rouge parce que j'avais envie d'influencer le... Le test pour leur montrer que le flash, en fait, tu ne peux pas faire ça. C'était un peu le but du jeu. Donc oui, on peut un peu influencer forcément les questions.

  • Speaker #0

    Moi, j'ai eu la chance de faire ces tests-là, à part peut-être un il y a très longtemps, mais sans enjeu. Sans enjeu réel, c'est-à-dire que je n'étais pas dans une configuration de recrutement ou ce genre de choses où potentiellement tu vas essayer de répondre bien au truc pour orienter le débat et avoir ton poste. nous on l'a vraiment fait dans une optique de savoir comment l'équipe fonctionne et plusieurs fois alors il y a quand même des biais mais voilà pour le coup je sais que mon fonctionnement s'adapte pas tant que ça et du coup pour le coup c'était assez réel Est-ce que tu peux nous expliquer comment se déroule une séance flash ? Qu'est-ce que la personne vit réellement ? Je pourrais en témoigner aussi. Et du coup, quels sont les inputs de données que l'on rentre ?

  • Speaker #1

    C'est très clair, les inputs de données, comme on va chercher la source à l'origine et que ça a été vérifié informatiquement, en fait, on décode le prénom, le nom et le jour-mois de naissance. Le jour-mois de naissance, ce n'est pas de l'astrologie, de la numérologie, ça n'augmente qu'une seule des cinq dimensions. Quand on va voir la médecine traditionnelle chinoise, on voit qu'il apparaît un calendrier perpétuel. Et en fin de compte, en fonction de la longueur de chaîne de caractère de ton prénom, la longueur de chaîne de caractère de ton nom et du positionnement des lettres à l'intérieur, on n'a pas le même résultat. Et c'est ça que j'ai vérifié sans arrêt pour trouver une sorte d'énergie à l'origine. Et puis, une sorte de décodage des sources à l'origine. Et en fait, c'est ça qui est assez bluffant. C'est que je me suis mis à chercher ça par passion en disant, je veux éviter les questionnaires. Je ne veux pas passer par les questionnaires. Donc, soit je trouve, soit je ne crée pas un questionnaire par-dessus. Et quand j'ai rencontré un gars de la stratégie et de l'innovation, il m'a dit, Yannick, pour que ça marche, rajoute un questionnaire par-dessus. Même si tu fais tourner ton algorithme, j'ai refusé. Parce que le vrai faux me pilote énormément dans mon fonctionnement. Du coup, dans sa stratégie, qui aurait pu fonctionner côté business, je l'ai mis de côté complètement, parce que ce n'était pas du tout le but de l'outil, de passer par un questionnaire. Donc en fait, les datas, c'est prénom, nom, jour, mois de naissance, il n'y a pas besoin de l'année. Il n'y a pas besoin du lieu de naissance, il n'y a rien d'astral ou quoi que ce soit, c'est juste de l'agrégation mathématique, statistique, scientifique. et À partir de là, on a un résultat en une seconde, c'est-à-dire qu'on met plus de temps à taper les données d'entrée qu'à voir le résultat, qui se traduit en français, en anglais, en allemand, bientôt en espagnol, en une fraction de seconde aussi. Et après, on a tout un profil. Donc toi, tu as eu le profil pro, il existe aussi un profil... de croissance personnelle. Mais je pense que la première étape, c'est super important de savoir quel est le bon job pour nous, comment je fonctionne avec une équipe. Et donc, c'est le côté professionnel qui m'a titillé le plus, en fait, quand j'ai testé les outils dans le monde du recrutement, où je me suis dit, attention, il peut y avoir des problématiques de résultats. Et en fait, dans l'étude, suite au livre de Mark Murphy, Hiring for Attitude, en fait, j'avais regardé les études qui avaient été faites. Et en fait, les erreurs de recrutement, De 6 mois à un an et demi quand la personne ne fait plus partie de l'entreprise, on n'a que 11% qui ont fait que c'était des hard skills, c'est-à-dire des compétences dures sur je me sers des logiciels, je sais utiliser ceci, ceci, etc. Et les soft skills représentaient donc 79% des échecs dans le recrutement. Donc tout est une histoire de comportement. D'ailleurs, si on observe une centaine de personnes dans une promo pour une formation, il y aura 100 trajectoires différentes qui sont liées au comportement de chacun. Par exemple, les gens qui vont en fac de médecine, en fonction du flash, on peut les aider à s'orienter en disant est-ce qu'il faut qu'ils aillent plutôt dans les urgences, dans la gériatrie, dans les métiers de spécialisation comme l'opération de la cataracte, et en fonction vraiment du profil comportemental des gens, on n'est pas bon partout. on ne peut pas être à la fois généraliste et spécialiste,

  • Speaker #0

    le flash permet de voir le métier de généraliste.

  • Speaker #1

    Le médecin de campagne sur trois générations, c'est un généraliste et il aime bien rester à cet endroit-là. Il y en a d'autres qui ont le sens de l'urgence. Let's go pour ce genre de métier.

  • Speaker #0

    Je reviens sur ce que tu disais sur le côté hard skills, soft skills. Mon profil, tu ne seras pas étonné, mais effectivement, quand je recrute, je marche beaucoup à l'intuition. et me trompe rarement pour le coup alors je dis pas que ça arrive jamais mais la grande majorité des cas en général elles me donnent raison effectivement je te rejoins sur le côté hard skill en général tu peux le vérifier assez vite et soft skill les gens peuvent le masquer en tout cas dans un premier temps très rapidement le naturel revient au galop et donc ils finissent par se faire rattraper et on se rend vite compte de ce qui va, ce qui ne va pas. Après, ça peut ou pas se corriger, ça, c'est des cas différents. Mais effectivement, on peut masquer un certain temps et aller contre nature, entre guillemets, sur les soft skills, mais il y a un moment où ça demande trop d'énergie et les gens reviennent à leur format, à leur fonctionnement normal. Et c'est là où, en général, il peut y avoir un clash.

  • Speaker #1

    Dans le masque, en fait, j'appelle ça un comportement d'emprunt. Et c'est pas de chip. En fait, tu veux le poste, donc tu vas fonctionner en fonction de ce qu'il veut faire, que le recruteur qui a son propre flash, qu'il soit influencé ou insuensable, parce que si tu donnes les mots qu'il veut entendre, forcément déjà ça se passe bien. Et je me rappelle d'une recruteuse à l'international qui me dit « moi je suis instinctive » et dans son flash ça ressort analytique. Elle me dit « en quoi vous êtes instinctive ? » Elle me dit « en fait je serre la main et je sais déjà » . Mais comment vous savez ? Je lui pose la question parce que moi, je pose des questions. Eh bien, si la personne a la main sèche, ça va, c'est là que ça va. Elle a confiance et tout. Puis si elle a les mains moites, en fait, je vois qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Et je dis, en fait, pour moi, ça, c'est le cerveau analytique parce que c'est si, alors sinon. C'est si elle a la main sèche, alors c'est cool. Si elle a la main moite, alors c'est pas cool. C'est plus de l'instant. C'est une analyse. Ah ouais, ok, d'accord Et bon nombre de fois où quand j'utilise le flash, les gens ne sont pas toujours d'accord sur un truc, sur un détail. Et merci, c'est eux qui sont experts de leur propre vie. Moi, je ne suis pas là pour dire tu fonctionnes comme ça. Ça ne marche pas. Donc, en fait, j'apporte les choses et quand les personnes me posent des questions sur telle chose, en fait, j'utilise des métaphores ou des contextes particuliers qui font que la personne prend du recul et comprend en fait pourquoi elle pensait comme ça. Et ça, c'est cool. Il y a toujours une partie. pédagogique dans ce que j'apporte et c'est ce qui me passionne.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu as des cas où le modèle ne révèle rien de probant ou pose un problème ? Je pense que tu en as eu tout au long de l'évolution du modèle, mais est-ce qu'aujourd'hui, il y a encore des cas où il y a des choses qui ne sortent pas ou pas comme tu voudrais ?

  • Speaker #1

    Je dirais que j'ai eu un cas il y a très longtemps où on était en mode débriefing et la personne avait 20-25 ans. Elle ne comprenait pas qu'elle avait la cinquième dimension qui était forte, qu'elle ne comprenait pas qu'elle influençait les autres. Mais en fait, ça, ça peut être inconscient. C'est-à-dire que... Quand on influence quelqu'un, on n'en est pas toujours conscient, c'est-à-dire que le fait d'être enjoué, le fait de dire j'ai découvert un truc génial, le fait de dire en fait on ne s'en rend pas compte, mais on influence. Et dans son approche, c'était ah ben non, moi non, je n'influence pas, ok. Et j'ai dit ok, on est d'accord, si tu le vois comme ça, c'est ok. Et en fait, ça c'était au tout début. En fait là, je n'ai pas de cas de gens qui me disent que ce n'est pas eux. Et la deuxième chose, c'est que ce qui est encore plus puissant, du coup, je ne peux pas l'influencer, c'est qu'avec plus d'une centaine de personnes formées côté francophone, ce sont les clients des gens que j'ai formés qui rapportent qu'ils ont été bluffés par le résultat. Donc là, c'est encore plus gratifiant, puisque ça veut dire que 1, je ne suis pas intervenu dans la prise en compte et le résultat de... de ce qu'ils ont pu observer et de dire, OK, c'est moi. En tout cas, c'est mes grands traits de personnalité et de caractère. Et en plus de ça, ça veut dire que c'est cool pour moi parce que j'ai bien formé. C'est pas de joc. Pour débriefer, en fait, on fait un sas de décompression émotionnelle. Il faut aussi leur dire, qu'est-ce que vous connaissez comme outil ? Parce qu'on a un cadre de référence qui fait qu'on peut aussi avoir ce biais en disant, moi, je connais ça et en fait, c'est comme ça. Donc tout ça aussi, il faut le prendre en compte dans l'analyse de son propre profil. Donc c'est bien que la personne soit cool pour recevoir les informations et que la deuxième chose, donc, il n'y ait pas d'enjeu, qu'elle soit cool au niveau émotionnel et qu'elle n'ait pas trop de cadres de référence qui pourraient en fait, comme l'outil est disruptif et qui reprend différents concepts, c'est rigolo parce que quand je fais un debriefing de flash d'une heure, une heure et demie, les gens me disent « Ah ben, je vois MBTI dedans, ah ben, je vois la PNL dedans, ah ben, ouais » .

  • Speaker #0

    mais en fait tu vois parce que tu as appris ça comme ça du coup je montrerai des images dans la vidéo pour ceux qui écouteront ou qui regarderont le podcast en vidéo sinon je les invite évidemment à te contacter pour faire leur flash, est-ce que tu peux expliquer du coup les 5 dimensions comment elles se représentent donc le fast, limit assemble, slice et hello pour expliquer un petit peu aux gens Ce qui se cache derrière ça, tu parlais des cinq sens, pour que ça soit un petit peu plus clair pour les gens qui nous écoutent, et comment après, dans l'analyse que tu fais, pour expliquer comment ça se passe, le résultat tombe avec des pourcentages, et derrière, il y a des associations de ces différentes dimensions qui permettent de donner des orientations plutôt sur tel ou tel métier ou sur tel ou tel mode de fonctionnement. Est-ce que tu peux nous expliquer ça ?

  • Speaker #1

    Très bonne question, merci Sébastien. Du coup, Flash, c'est un acronyme. Je voulais que ça serve pour les Français et les Anglais. Donc déjà, ça parle. Après, le F et le H sont à l'extérieur parce que c'est la partie extraversion, proaction. Et puis à l'intérieur, les trois centrales, c'est la réaction. Donc ça n'a pas été placé au hasard.

  • Speaker #0

    Fast,

  • Speaker #1

    c'est l'olfactif. Voilà, pour le Wacog. La deuxième, elle s'appelle Limit. Je l'expliquerai après, mais c'est la partie... c'est le visuel. La troisième assemble, qui est la terre, c'est la partie gustative. Tous les aliments viennent de la terre, c'est simple. La quatrième dimension, elle est auditive, c'est le slice du flash. Et puis, la dernière dimension est kinesthésique, c'est le H2LO. Donc là, en fait, on a comme point d'entrée, déjà, la partie vacoque de la PNL. Fast, c'est une dimension sur laquelle on va voir quelle est la vitesse de la personne pour atteindre un résultat. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'entre 30 et 70 %, les dimensions sont bien gérées en fonction du contexte qui le demande. Et là, les gens ne comprennent pas toujours ce que c'est ça. Mais on pourra voir plus loin. Au-dessus de 70 %, c'est une autoroute comportementale, c'est-à-dire qu'on a tendance à l'utiliser peu importe le contexte. C'est naturel, c'est facile. Donc, c'est à la fois un talent et c'est aussi une zone de turbulence émotionnelle. Et puis, en dessous de 30%, comme il n'y a pas de bon et mauvais profil, bon et mauvais, ça fait partie d'une dualité de l'ego, donc je ne veux pas entendre parler bon ou mauvais, qualité, les défauts, recrutement, on sait quoi. Et du coup, en dessous de 30%, c'est des dimensions qu'on ne va pas chercher régulièrement. Et si on va les chercher parce que les cinq dimensions sont disponibles,

  • Speaker #0

    il faut l'utiliser avec parcimonie, mais on ne peut pas l'utiliser dans un job à forte fréquence, forte intensité, sinon ça va nous fatiguer et on a des risques de dépression, de burn-out et de problèmes au travail. Donc face, c'est la vitesse à laquelle on va atteindre un résultat. Donc c'est un pourcentage. C'est très rigolo parce qu'on peut faire la métaphore avec le vélo, c'est-à-dire Einstein disait « si tu ne pédales pas, tu perds l'équilibre » quelque part. Donc la force gyroscopique... quand j'ai passé le permis moto, c'était 35 km heure. Une roue ne perd pas l'équilibre et ne tombe pas au-delà de 35 km heure, même si ce n'est pas motorisé derrière. Donc, on peut dire que 35, on peut être en mode haut pas au niveau des résultats si on est en dessous de 30 %, donc on est plus enclin à l'empathie. Entre 30 et 70 %. On fait une marche rapide ou un petit footing, ce qui fait que c'est facile de ralentir ou d'accélérer. Donc, c'est bien managé. Et puis, au-dessus de 70 %, on est en mode running à fond, battre des records au niveau de la vitesse et dans le défi permanent. Et ça, il faut avoir beaucoup d'énergie pour avoir un défi permanent. Donc, c'est la dimension la plus physique des cinq dimensions. Je ne sais pas si j'ai été clair sur Fast.

  • Speaker #1

    Si, si, pour moi, c'est très clair.

  • Speaker #0

    Donc, c'est la vitesse pour atteindre un résultat. La deuxième, elle est d'ordre mental. C'est limite. Donc, c'est la vue. C'est comment j'analyse la data, comment je traite l'information. C'est-à-dire que quand c'est très bas, on peut sortir des sentiers battus et des cadres de référence. Quand c'est bien géré, on peut à la fois sortir des cadres de référence ou fonctionner avec des règles de fonctionnement. Si on est supérieur à 70 %, on va avoir tendance à contrôler l'information, la vérifier. pour voir si c'est vrai ou faux. C'est une dualité qui existe derrière cette dimension, alors que dans Fast, c'est fort ou faible. On retrouve les dualités de l'ego dedans, donc c'est facile de coacher après. Donc ça, c'était la deuxième dimension sur la partie mentale. Une autre dimension qui fait partie du néocortex, c'est la dimension assemble, elle est centrale, parce que c'est la notion d'équilibre, c'est la notion de stabiliser, d'harmoniser les choses, et d'avoir une vue d'ensemble sur les choses. Ça veut dire que cette dimension-là, on est sur le lourd-léger. Quand c'est très élevé, on imagine que ce qui est lourd est solide et que si c'est léger, c'est instable, chaotique. Donc en fonction de cette dimension-là, c'est celle de l'organisation dans le temps. On est capable de voir si on peut changer son calendrier très rapidement avec une dimension très basse, ou plus de 70%, on est emprunt à avoir de l'inertie dans son fonctionnement. On met en place des calendriers qu'il ne faut pas changer. Donc il y a des métiers qui sont très bien pour ça, tu vois. Quand tu fais par exemple la paye, tu as le calendrier pour faire les tests de paye, le calcul de paye, la vérification, puis le virement. Donc ça, c'est vraiment un calendrier répétitif. Il y a des gens qui sont OK avec ça parce que ça les rassure d'avoir des choses dans le temps comme ça qui se reproduisent. Puis d'autres, ça les stresse parce qu'ils se disent c'est trop lourd, je m'ennuie, c'est une habitude, c'est une routine qui ne me plaît pas. C'est parce qu'ils ont des dimensions très basses sur cette dimension centrale.

  • Speaker #1

    Ça doit expliquer mon aversion au procès.

  • Speaker #0

    Globalement, ça peut être ça, parce que c'est peut-être lourd en fermant.

  • Speaker #1

    Complètement. Mais pour ceux qui n'ont que l'audio, j'ai une dimension très faible sur Assemble, justement. Et donc, effectivement, les trucs lourds me fatiguent beaucoup.

  • Speaker #0

    Puis ça va à contre-ensens d'une créativité, parce que c'est le basique. Le terre-à-terre, le concret, voilà. Donc, ça a ses limites aussi. Merci pour ça, pour ton feedback, Sébastien. Donc, du coup, fast, c'est l'action, limite, le plan d'action, assemble, l'organisation dans le temps, les jalons. Donc, ces trois dimensions-là, elles sont plutôt d'ordre interne. Et puis après, on va passer aux deux dernières dimensions, slice et hello, où on est de l'ordre de l'interaction avec les autres. Puisque slice, ça veut dire trancher en français. Donc, c'est la qualité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Et l'eau, c'est la quantité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Donc, à partir de là, on comprend que la confiance en soi, c'est dans le fast. Et l'estime de soi, estime, c'est valorisé, c'est infiniment petit. Eh bien, c'est derrière le slice, la partie métal du flash. Et c'est super intéressant de voir, en fonction des deux dimensions, qui pilotent vraiment nos interactions, de faciliter à rentrer, à s'inclure dans un nouveau groupe ou à s'en exclure dès le départ. Ça, c'est la première dimension. Et la deuxième, c'est l'ouverture aux autres. Est-ce que je suis... Est-ce que je connecte facilement ? Est-ce que je souris facilement ? Est-ce que j'ai envie de partager facilement ? Est-ce que j'ai envie de connecter ? C'est cette dimension d'ouverture aux autres. Et donc, quand on étudie les deux, on est capable de voir pourquoi on réagit comme ça. Par exemple, certains qui sont traités parfois de bipolaires, parfois c'est un peu too much, c'est parce qu'on leur met une étiquette dessus. Mais si on comprend qu'un slice et un lot très élevé font qu'il y a des fois, j'ai envie de voir tout le monde, je partage et je me marre. Et que d'autres fois, je préfère être reclus, pas parler, et puis être dans un mode de tristesse attirmée. et de s'isoler pour se ressourcer, parce que c'est les deux qui font nous ressourcer. Soit je suis en introspection quand j'ai beaucoup de métal, soit je suis en extraversion si j'ai beaucoup de bois. Et on comprend le fonctionnement facilement. Donc voilà, on a passé là en revue rapidement les cinq dimensions. Et déjà, on peut voir que les combinaisons entre elles donnent des compréhensions de soi hyper pertinentes.

  • Speaker #1

    C'est là où le... où le modèle devient extrêmement fort, c'est justement quand tu commences à les combiner. Est-ce que tu peux nous expliquer, dans la façon dont tu débriefes, comment tu les combines ? Tu disais tout à l'heure justement qu'il y a une façon d'expliquer le flash. Je pense que les combinaisons, elles ne sont pas faites par hasard. Est-ce que tu peux expliquer rapidement comment tu les organises pour les gens qui nous écoutent ?

  • Speaker #0

    En fait, il y a 20 talents, j'appelle ça des talents naturels. puisqu'on a des ressources naturelles, donc on a des talents naturels. Et il y en a 20, donc je n'en présente que 8 par ordre décroissant sur le Flash Pro pour dire que déjà, en fait, tu peux aller dans ces dimensions-là, ça ne va pas te fatiguer dans le job. Donc ça, c'est super important parce que mon but, ce n'est pas forcément que tu trouves un job en disant « je vais faire la formation, c'est cool » , c'est surtout « est-ce que c'est bon pour toi ? Est-ce que ça va te fatiguer ou est-ce que tu vas être à l'aise dedans ? » Et c'est ça l'enjeu. Donc, en fin de compte, dans l'histoire... les combinaisons ensemble donnent des talents. Et c'est assez simple à comprendre, c'est-à-dire que si on est dans les deux premières dimensions très élevées, fastes et limites, on va avoir une action rapide sur une grande capacité d'analyse. Donc on va être dans la résolution de problèmes. Si on a, par exemple, la troisième dimension, un sample très élevé sur la partie solidité des choses, et qu'on a un slice très élevé sur la valeur des choses, eh bien, tout ce qui est de l'ordre des ressources naturelles ou d'investissement dans des ressources en dur, par exemple de l'immobilier ou des choses comme ça, on va être bon là-dedans parce qu'on va savoir valoriser, par exemple, un patrimoine. On va savoir, en fait, les produits de la terre qui sont bons. Donc, on peut avoir un profil de chef cuisinier qui tient plutôt une auberge. Parce qu'il va se servir du potager d'à côté, tout en local, pour faire découvrir sa cuisine, mais par rapport à quelque chose de très concentré sur le terrain. Et en fait, si tu prends un pizzaiolo uniquement le sud en saison, prends-le avec un fast très élevé, parce que tout ce qu'il veut, lui, c'est dépenser son énergie physique et c'est OK pour ça. Donc du coup, même le monde de la cuisine, le monde de la médecine, le monde du commerce. En fait, on a des profils qui sont complètement différents de l'un à l'autre. Et en fait, la combinaison des dimensions entre elles, qui sont donc des dimensions naturelles qui ne me fatiguent pas, font qu'on a des talents naturels qui nous amènent à des jobs. C'est-à-dire que si on a, par exemple, beaucoup de limites, cette soif de connaissances et beaucoup de métal qui est la valorisation des choses, on va être dans des métiers de conseil et d'expertise. Parce qu'on analyse la data et on est capable de la valoriser.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas les mêmes en fonction de l'ordre entre le premier et le deuxième. C'est drôle parce que je parcourais les miens et j'ai fait aussi bien un côté que l'autre. Des deux premiers qui sortent et en cherchant, il y a une liste de métiers qui apparaît et ils sont tous dedans. Alors que je n'ai pas été influencé du coup par le flash,

  • Speaker #0

    puisque je l'ai découvert il n'y a pas très longtemps.

  • Speaker #1

    Donc, c'est assez drôle de voir qu'en fait, j'étais déjà entre guillemets dans ma zone de confort, sans le savoir.

  • Speaker #0

    C'est rigolo parce que même quand tu t'exprimes, et ça, je l'apprends en formation, tu dis c'est assez drôle de voir. Ok, alors drôle, c'est l'amusement, le fun, la créativité, c'est le hello. Et puis, de voir, visuel, donc on est dans la partie limite des choses. Donc, quand on s'exprime, on ne fait pas toujours attention. Mais on peut utiliser son langage flash sans s'en rendre compte. Sans nous. Et c'est là où j'aide les gens aussi. Je dis, ben voilà, tu as ces préférences comportementales, donc tu risques, tu peux voir le monde. avec ses dimensions élevées. Donc, c'est chouette dans ton job. Et fais attention dans ta vie perso parce que ce n'est peut-être pas ce contexte-là qui te le demande. Et ça, ça permet d'identifier facilement avec un langage universel. En fait, c'est un peu comme la prose de M. Jourdain. Ah bon, je fais de la prose ? Oui, quand vous parlez, vous faites de la prose. Ah, c'est merveilleux, je fais de la prose. Là, en fait, on est en train de... Parce qu'en fait, on perçoit le monde par nos cinq sens. Et donc, c'est facile de faire comprendre à la personne qu'il y a notre vérité à travers le flash par rapport à la réalité. Alors, parfois, ça colle, parfois, ça ne colle pas. Et c'est pour ça que des gens qui ont des flashs complètement différents peuvent avoir des zones d'entente sur des dimensions où c'est bien géré. Et puis, il peut y avoir des zones conflictuelles parce que ce n'est pas du tout ma même vision du monde, ma même carte mentale. Et ça, c'est génial, tout ce qui est team building, cohésion d'équipe. Quand je recrute quelqu'un dans une équipe, ouais, mais il faut voir le flash des autres, parce que du coup, tu as une nouvelle dynamique dans un équilibre existant. Et à un moment donné, ça peut faire un déséquilibre avant de retrouver un équilibre. C'est un peu l'histoire du premier ou du deuxième enfant dans une famille, où ça perturbe un peu.

  • Speaker #1

    Tu me fais une transition magnifique. Aujourd'hui, tu utilises... Enfin, tu utilises YouTube. propose le flash justement pour ce genre de choses de team building, de compréhension des équipes, etc. Les unes avec les autres, de comment un tel, un tel fonctionne. Et d'un point de vue managérial, justement, de pouvoir mieux gérer ses équipes. Ça se passe comment aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    C'est simple en fait. Quand on regarde son flash dans l'ordre dans lequel il arrive, ce qui est en bas du profil pro, on est capable de voir qu'est-ce qui nous challenge, comment je communique et comment je manage naturellement. Et puis, quand on a affaire à une équipe et on va leur présenter le flash sur ça, et on peut faire une roue d'équipe, c'est-à-dire, imaginons qu'il y ait cinq personnes qui soient des personnes clés dans l'entreprise, un comex ou des choses comme ça, eh bien, en fin de compte, on va avoir la roue d'équipe. C'est-à-dire, quelle va être la tendance la plus forte si on fait la moyenne des flashs qui nous sont disponibles ? On peut avoir une tendance à la nouveauté pour sortir un nouveau produit. Ça, c'est le H de Hello. Mais si tous les flashs des gens sont vraiment bas dans la dimension Hello, soit on prend quelqu'un qui a ce côté innovant, nouveauté, dynamique, de quelque chose d'incroyable, soit on fait venir un prestataire extérieur qui a ce flash-là pour nous aider à changer notre vision, par exemple, à voir les choses autrement. Et donc, c'est puissant parce que... Ça parle à tout le monde et c'est facile, c'est un langage universel pour moi. C'est-à-dire que tu comprends visuellement les cinq dimensions. Une fois que tu as expliqué la définition, dans n'importe quel pays, ça passe. Parce qu'en fin de compte,

  • Speaker #1

    c'est universel.

  • Speaker #0

    Parce que là, on parle des cinq sens, mais derrière, les pictos font que si je te dis que l'eau, c'est l'information, le feu, c'est la vitesse, après, les associations, elles se font facilement. Du coup, on est capable d'amener un nouveau langage aux personnes, en dehors de la langue qu'ils ont apprise, pour justement faciliter la communication entre les personnes.

  • Speaker #1

    On commence à arriver vers la fin. Aujourd'hui, l'outil, il fonctionne. Tu dois encore avoir des freins de certaines personnes qui disent « mais ce n'est pas possible » . Et pour l'anecdote, j'en ai eu moi il n'y a pas longtemps en en parlant. à des collègues qui me disent « Attends, avec le jour et le mois, il n'y a même pas l'année. »

  • Speaker #0

    « Je peux me parler de l'année, ok, pardon. Je peux la rajouter, hein ? »

  • Speaker #1

    « Pour la forme. » Et je dis « Non, mais honnêtement, c'est bluffant, etc. » Et tu rencontres encore beaucoup de freins où je sais que tu es en train de travailler au niveau des États-Unis. Ils commencent à s'intéresser aux trucs. Le chemin est en train de se faire, mais tu as encore beaucoup de freins ou de moins en moins ?

  • Speaker #0

    En fait, le scepticisme fait partie d'une peur. Donc, en fin de compte, je dis qu'il faut juste l'expérimenter et en parler après. Et souvent, c'est aidant de leur dire, OK, je vais vous acheter un bouquin pour bricoler et allez-y, débrouillez-vous. Vous allez construire une maison. Ça ne marche pas. Ou alors, je leur dis, la vie c'est une somme d'expériences et de rencontres. Et tu peux lire tous les bouquins, ça ne va pas t'apprendre pas vraiment comment communiquer avec les gens. Donc, c'est de l'expérience qu'il faut et c'est de l'interaction. Il faut le vivre. Pour moi, c'est une expérience à vivre. Et en fait, peu importe ce qu'on me raconte au départ sur... Parce qu'en fin de compte, c'est en profil du flash. C'est le profil flash qui fait que la réaction est comme ça. Si tu as affaire à un profil hyper analytique et que le LO est plutôt bas et qu'il n'est pas dans... Eh, la nouveauté, ça m'intéresse. Du coup... mais moi, avec mon profil, j'ai un profil plutôt sceptique. C'est-à-dire que tu m'apportes quelque chose, je vais vouloir le vérifier. Et si je n'avais pas inventé le flash et que quelqu'un d'autre me réamènerait le flash, j'aurais dit, c'est bizarre ce truc-là. Comment c'est possible qu'avec quelques data comme ça, on arrive à un résultat ? Déjà, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Et donc ça, c'est les profils très analytiques. Et en fait, si tu ne passes que par ton cerveau analytique pour prendre les décisions, Tu rentres dans si, alors, sinon, et tu dis, si je ne comprends pas, alors, je comprends. Ça ne peut pas marcher. C'est même jusque-là. Ça va jusque-là. Parfois, on fait des recours si analytiques. Et en fait, non, il faut juste faire vivre l'expérience parce que certainement que tu en as déjà parlé parce que ton « hello » , il est vraiment… Donc, c'est encore une chose que quand tu découvres quelque chose, tu as envie d'en parler. Et merci pour le podcast parce que ça en fait partie. Le podcast, c'est… Tu as envie de partager de l'information.

  • Speaker #1

    Complètement.

  • Speaker #0

    Oui, mais c'est ça. Parfois, on fait un métier ou plusieurs métiers. Je ne sais plus, c'est slasher, je crois, quand on fait plusieurs métiers. Je m'explique aussi quand les gens sont slasher. Je dis, regardez, il y a ces dimensions-là qui sont élevées, mais il y en a d'autres que tu utilises, qui sont assez fortes, que tu n'utilises pas dans ton job actuel. Donc, c'est normal que tu ailles vers ça.

  • Speaker #1

    On va chercher ces points d'accompagnement naturellement.

  • Speaker #0

    Ouais, parce que c'est des besoins, donc ça nous titille. Donc si ces besoins-là ne sont pas assouvis, on va les chercher ailleurs, tu vois. Et ça explique plein, plein, plein de choses. Donc, en fait, je m'en fiche. Avant, je repassais par l'analytique pour expliquer comment je l'avais fait pour des gens qui étaient un peu sceptiques. Aujourd'hui, je n'ai plus le temps et je pense qu'il ne faut pas que je traîne. Je pense que c'est un outil worldwide. C'est Kanaka World, donc c'est le monde de Kanaka. Kanaka qui veut dire être humain libre en Maori. c'est par la compréhension de soi. Le Graal, il n'est pas l'extérieur. C'est connais-toi toi-même. Et en fait, j'ouvre les portes. Après, si les personnes ne veulent pas clencher ou rentrer, c'est OK. Je pense que ça fait partie du truc. Je ne veux pas convaincre tout le monde sur la planète. Je veux juste que ce soit utile aux personnes qui en ont besoin. Et je pense que ça se fait naturellement. Mais c'est vrai qu'avant, je me prenais la tête en voulant à chaque fois expliquer, en disant, mais si j'ai réussi, je te montre. Comment je l'ai fait ? Plus je donnais de l'analyse, plus les gens ne comprenaient pas. Ça ne faisait pas partie de leur mindset de compréhension. Donc, on rentre tout de suite dans des registres de freins, de peurs, de scepticisme. Mais ça, ce sont des peurs et ce n'est pas grave. Il y a beaucoup de personnes qui peuvent avoir cette image-là. Après, il y a d'autres profils ou des gens qui veulent un résultat rapide, innovant, précis. Ils vont tout de suite, mais ça dépend encore d'un autre flash. Et puis les early adopteurs, c'est forcément le H2LO qui dit « Hey, c'est une découverte, je vais tester,

  • Speaker #1

    je veux voir » .

  • Speaker #0

    Mais non, ça fait partie des profils de chacun. Ce qui est puissant et bluffant, c'est que nos comportements d'achat se font avec notre flash. Et donc, si je pouvais avoir le flash de la personne à qui tu as présenté, je pourrais avoir une attitude qui fasse qu'il ait envie d'aller plus loin. Oui, ça va jusque-là.

  • Speaker #1

    De toute façon, quand tu sais après comment les gens fonctionnent et leur facilité à aller vers telle ou telle chose, forcément, tu peux t'adapter. Et c'est en ça que c'est hyper puissant aussi. Pour ceux qui nous écoutent et qui voudraient faire le test et tester par eux-mêmes, justement, où est-ce qu'ils peuvent te retrouver ?

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'ils peuvent me retrouver ? Donc on a un site anglophone mais qui se traduit facilement sur Chrome, ça s'appelle kanakaflash.com et donc là on peut prendre rendez-vous, il y a un calendrier, on s'inscrit et je fais le debriefing des gens rapidement et je leur offre le flash. Bon après si ton auditoire, les gens qui sont plus d'un million, j'aurais peut-être du mal à le faire pour tous. Avec grand plaisir pour leur faire découvrir leur flash, le potentiel naturel qu'ils ont. Ça n'enferme pas, ça donne les prédispositions. C'est pour ça que je l'ai fait, par rapport à des outils qu'ils pouvaient enfermer avec des cases. Je ne voulais pas être seulement un expert des systèmes d'information à ressources humaines. Même si j'ai ces compétences-là, je suis bien plus que ça, comme beaucoup de personnes qui sont en quête de sens. et qui ont envie de changer de job, ça rentre dans l'épiderme compétences aussi. Trajectoire pro, trajectoire perso à fond.

  • Speaker #1

    Ça permet de se situer et d'avoir des pistes de réflexion en tout cas pour ceux qui en ont besoin.

  • Speaker #0

    Vous pouvez affirmer des choses.

  • Speaker #1

    Je mettrai évidemment tout ça en description de l'épisode, comme ça vous pourrez retrouver directement le lien dans la description. Yannick, merci beaucoup. pour cet échange. J'espère qu'il aura apporté à mes auditeurs et ceux qui nous écoutent beaucoup de valeur et en tout cas l'envie de découvrir le Flash. Je vous invite vraiment à le faire pour l'avoir fait. Honnêtement, je trouve ça bluffant et hyper instructif sur soi-même. N'hésitez pas à faire le test et je vous dis à très vite.

  • Speaker #0

    Merci Sébastien.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode de Mindways. J'espère qu'il t'a ouvert une nouvelle façon de voir les défis, ces moments où tout semble se bloquer, avant qu'une idée, une prise de conscience ou une rencontre ne relance tout. Ce podcast, c'est un voyage à travers les détours de l'esprit entrepreneurial et personnel, les doutes, les rebonds, les visions qui prennent forme malgré les tempêtes. Si cet épisode t'a inspiré, abonne-toi à Mindway sur ta plateforme d'écoute préférée ou à la newsletter sur LinkedIn pour continuer à avancer ensemble, pas après pas. Tu peux aussi me retrouver sur Instagram, et Mindways underscore FR, pour prolonger la réflexion et partager tes expériences, ou simplement échanger entre esprits curieux et ambitieux. Ton écoute, tes retours et tes partages sont le moteur de cette aventure, alors n'hésite pas à partager autour de toi. Merci d'être là, d'oser te remettre en question et de continuer à construire ta voix. Reste audacieux, reste curieux, et n'oublie jamais que chaque pas compte. pour atteindre le sommet. A très vite.

Description

Vous avez déjà passé le MBTI, le Big Five, le DISC ou l’Ennéagramme ? Utile… mais incomplet.
Dans cet épisode de Mindways, Yannick Zoude présente F.L.A.S.H., un modèle sans questionnaire qui révèle instantanément les talents inconscients à partir de données minimales (prénom, nom, jour/mois). On parle leadership, recrutement, soft skills, biais des tests, et de la manière dont F.L.A.S.H. met en lumière vos forces naturelles sans vous enfermer dans une case.


Ressources citées :
• Prendre RDV : www.kanakaflash.com

• Découvrir le F.L.A.S.H https://links.kanakaflash.com/widget/form/CYXQ8rGEHc9c4Ar8Diyr
• Yannick Zoude sur linkedin : https://www.linkedin.com/in/yannick-zoude/

• Livre mentionné : Hiring for Attitude – Mark Murphy


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Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour et bienvenue dans Mindways, on a tous un jour rempli un test de personnalité. Le MBTI, le Big Five, le DISC, le PAPI ou encore l'Enneagram, autant d'outils devenus incontournables dans le monde du coaching, du recrutement et même du développement personnel. Ces tests ont un point commun, ils cherchent à décrire qui nous sommes à travers des traits, des profils, des combinaisons de comportements et de préférences. Ils nous classent, parfois nous rassurent, souvent nous intriguent ... Ils mettent des mots sur nos façons d'agir, de penser, de ressentir. Et pourtant, malgré leur précision, leur popularité et leur décennie de recherche scientifique, les questions persistent. Ont-ils des biais ? Peuvent-ils vraiment saisir toute la complexité d'un être humain ? Parce qu'au fond, nous ne sommes pas qu'un type, ni qu'un ensemble de traits, mais nous sommes bien faits de nuances, de paradoxes, de potentiels endormis, de forces inconscientes qui ne se laissent pas cocher dans une case. C'est là que surgit une approche différente, une approche qui ne cherche pas à analyser mais à révéler. Un modèle conçu pour faire apparaître ce qui échappe aux tests classiques, ce que vous ignorez savoir faire, ce que vous n'assumez pas encore être, mais que votre inconscient exprime déjà. Cette approche s'appelle Flash, et son créateur, Yannick Zoudé, a voulu en faire un véritable pont entre toutes les méthodes existantes. Aujourd'hui dans Mindways, on plonge avec lui. dans ce modèle qui promet de mettre en lumière vos talents invisibles et peut-être de changer votre manière de vous percevoir instantanément. Yannick, bienvenue dans Mindways. Est-ce que tu peux te présenter pour nos auditeurs ? Raconte-nous ton parcours et comment on passe de la gestion RH classique à la création d'un outil comme Flash.

  • Speaker #1

    Wow, merci pour l'introduction Sébastien, c'est formidable. Mon nom c'est Zoud, il n'y a pas de E accent aigu à la fin, mais sinon c'est génial. Et en fait là tu vas relever une partie de mon Flash, puisque j'ai une partie où j'analyse et je décortique. Ça fait partie de mon fonctionnement. J'ai adoré ton introduction, je te remercie pour l'invitation. On a eu le temps de briser la glace il n'y a pas longtemps parce que tu as eu ton flash et ça c'est cool. Briser la glace, ça fait partie d'une des dimensions du flash qu'on aura certainement le temps d'expliquer. Donc Yannick Zoude, ancien RH dans les systèmes d'information dans deux grandes sociétés à l'international. Donc grand projet, conduite du changement, tout ça en fait, ça m'a donné l'occasion aussi de tester en parallèle tous les outils du marché. Puisque j'étais intéressé par le comportement humain à l'adolescence, en fait, c'était comprendre le comportement. Ensuite, j'ai lu beaucoup, je me suis intéressé aux outils qui existaient sur le marché, tout type d'outils. Et puis, quand je suis rentré au niveau professionnel dans les ressources humaines, j'ai forcément été aussi certifié. J'ai utilisé mes formations pour me former. Alors, ça a été l'analyse transactionnelle, la PNL, les néagrammes, tous les outils que tu peux citer, le MBTI, le DISC et autres. Et en fait, tellement passionné par ça, j'ai cherché les liens qu'il pouvait y avoir entre eux, puisque je ne voulais pas avoir qu'une seule facette avec une seule vision des choses, mais bien quelque chose de global, quelque chose de holistique, qui serve à la fois pour le monde du recrutement, ça veut dire la personne doit être au meilleur job possible pour elle, c'est aussi pour le développement personnel, parce qu'on passe par la connaissance et la compréhension de soi pour pouvoir changer quelque chose. Mais on ne peut pas changer quelque chose qui est inconscient. Le flash permet de se rendre compte de choses conscientes qui pouvaient paraître inconscientes et pouvoir partir dessus comme l'état des lieux d'une maison, on va dire. C'est le potentiel de départ. Et après, brique à brique, on peut étendre la maison, agrandir la maison, la mettre à notre goût. Mais en fait, c'est bien d'avoir les bases. En fait, on est vraiment basé sur les bases et sur le big data et sur la collection de données qui m'ont fait cette... passion qui était en moi, que j'ai voulu analyser au maximum, sans passer par des questionnaires où il y a trop de biais cognitifs. Ça, les autres outils le font. Et c'était chouette parce que j'ai pu voir comment ils étaient faits pour justement voir les concepts, les approches et forcément les nuances et les liens entre eux.

  • Speaker #0

    On va lever le moteur, on va lever le capot pour voir un peu le moteur tout à l'heure, expliquer un petit peu comment ça marche du sens, qu'effectivement, c'est un outil dans lequel il n'y a pas de questions. Tu remplis... très peu de choses et ça sort le profil. C'est pour ça que c'est assez bluffant et pour l'avoir effectivement fait, je peux attester que ce qui ressort est vrai. Assez étonnant. Avant de rentrer dans le détail, à quel moment tu t'es dit c'est bon, j'ai trouvé quelque chose de nouveau ? Si tu dis que tu as connecté plusieurs choses, si tu parles de data, etc., c'est à quel moment tu te dis ok, c'est bon, mon outil fonctionne et je tiens quelque chose ?

  • Speaker #1

    En fait, j'ai lancé des calculs de folie sur un échantillon et C'est en 2020 qu'il n'y a pas eu de régression de données, c'est-à-dire que si je bougeais l'algorithme et je rajoutais un profil, ça ne faisait pas mettre en erreur les profils où ça marchait. Donc en fin de compte, ça c'était ce côté empirique vérifiable informatiquement. Donc en 2020, pécard. Suite à la pandémie, on avait beaucoup de temps pour rester chez soi. Et ça m'a permis d'aller encore plus en profondeur sur ma passion.

  • Speaker #0

    Passer du temps dessus, ouais.

  • Speaker #1

    Oui, c'est là où ça a vraiment tilté parce que je me suis dit, allez, c'est maintenant parce que j'ai du temps et je m'y mets vraiment à fond et je vais voir en détail de façon très approfondie jusqu'où je peux aller. Si je ne trouve pas la clé de décodage humain, ça reste une passion et c'est pour moi. Et si ça fonctionne, je vais le tester avec des échantillons de cas concrets après l'application puisque j'avais des cas concrets avant. pour calculer la data. Mais en fait, je me suis servi de 2020 pour informatiser ce qui était un peu artisanal. Moi, j'ai monté ça un peu dans mon garage, comme on peut voir quelques créateurs de ce monde-ci, pour Apple et autres. C'était vraiment de l'artisanat au départ, où je compile de la data et je vérifie sans arrêt. Donc en fait, on peut dire 2020, grand démarrage, où je décide de l'informatiser, puisqu'avec Mac... maquette de perfectionnisme, c'était très compliqué de se lancer en disant « Est-ce que c'est bon là ? Est-ce que j'y vais ? » Du coup, ça fait partie de mon flash et je l'explique aussi, puisque moi aussi, j'ai des nuances dans mon profil. Ce qui m'avantage, c'est des choses où il faut que je fasse attention. Donc 2020.

  • Speaker #0

    Ok. Parce que moi, effectivement, j'ai tendance à dire « mieux vaut fait que parfait » .

  • Speaker #1

    Oui, mais en fait, ça, il faut que je me le mette, tu vois. Et ce n'est pas évident avec mon flash de rentrer dans ce processus.

  • Speaker #0

    Tu décris flash comme un... révélateur de talent inconscient, qu'est-ce que tu mets exactement derrière le mot inconscient ?

  • Speaker #1

    Inconscient, c'est de réagir ou d'agir sans savoir d'où ça vient, sans connaître la source. Moi, en fait, l'idée, c'était d'aller à la source de l'information pour chaque personne, pour se dire que par rapport à un même type d'événement, on peut agir ou réagir différemment. Tu vois, c'est l'histoire des trois cerveaux, par exemple, avec Fight, Flight, Freeze. En fait, c'est la peur, mais la peur... Comment on se comporte face à la peur ? Et ça, c'était encore quelque chose, encore une idée qui a germé pour le comprendre dans le flash, où on a cinq dimensions hyper importantes, puisqu'elles sont reliées déjà aux cinq sens de l'être humain. J'ai utilisé du coup le VACOG dans la PNL, visuel auditif, kinesthésique, olfactif et gustatif. Donc j'ai fait déjà les premiers liens et il y avait plein d'autres liens derrière à faire. Mais déjà, je suis parti des cinq sens classiques de l'être humain, basiques. Et on a toujours des préférences comportementales. On a tous fait pareil, on n'a pas le même câblage. Et c'est ça qui était passionnant pour moi pendant toutes ces années. Et je n'ai pas abandonné parce que c'était une passion et c'était une sorte de mission. Puisque vraiment, je peux le dire comme ça. Si j'ai commencé à l'adolescence à chercher ça et que je n'ai pas arrêté, même si j'étais dans le monde des ressources humaines. où j'ai eu une belle carrière pendant 20 ans dans de grands groupes, ça m'a toujours taraudé, titillé, envie d'aller plus loin.

  • Speaker #0

    C'est sûr que tu aurais pu rester sur les outils qui existent depuis de très nombreuses années et faire quelques ponts éventuellement entre les uns et les autres, mais sans forcément aller redévelopper un modèle. Or là, pour le coup, tu es vraiment allé beaucoup plus loin. J'avais noté la méthode, Ce n'est pas une méthode, pour le coup, c'est vraiment un modèle. C'est comment le modèle combine-t-il une approche systémique, cognitive et humaine ? Et sur quels principes neuroscientifiques, psychologiques tu t'appuies ?

  • Speaker #1

    C'est vrai que la méthode, en fait, on la fournit dans la formation. Il y a une méthode d'apprentissage, en fait, c'est comme le permis de conduire. Là, on pilote le flash. Ce n'est pas de la conduite, c'est du pilotage. Donc, on a vraiment une formation clé en main avec... éthique déontologie dedans, puisque j'étais en RH et je ne veux pas qu'on fasse n'importe quoi avec cet outil-là. Donc il y a une façon de présenter le flash aux gens. La deuxième chose, oui, c'est un modèle. Donc en fait, c'est dans ce modèle-là, on a à la fois... une modélisation statistique avec le big data qui m'a servi pour vérifier les données. Et puis, je suis parti des briques réelles, c'est-à-dire que j'ai observé les résultats des comportements réels pour beaucoup, beaucoup,

  • Speaker #0

    beaucoup de personnes.

  • Speaker #1

    Et donc, j'ai modélisé. C'est le principe de la PNL. La PNL n'est pas une théorie, c'est une modélisation. Et là, en fait, avec le big data que j'avais et l'informatique complexe et les statistiques, J'ai pu monter ça tout doucement en vérifiant avec un jeu de quelques profils. Puis, j'ai augmenté jusqu'à 75 000 profils. Et puis après, j'ai dit OK, l'algorithme fonctionne pour tout le monde. Donc, en fin de compte, on a des intuitions, de l'instinct et de l'analyse. En fait, c'est la combinaison de tout ça qui fait que ça marche. C'est-à-dire qu'il y a des outils qui sont hyper analytiques et pour moi trop enfermants, qui mettent dans des cases et ça, c'est dommage. Il y a des outils qui sont un peu trop perchés, où l'intuition a fait faire quelque chose, mais ce n'est pas explicable. Et en fait, dans mon fonctionnement, j'ai eu des intuitions que j'ai pu vérifier de façon analytique. Donc, en fait, j'ai monté moi-même la validation des datas sans que ce soit des mesures psychométriques. C'est-à-dire que c'est juste l'informatique qui m'a permis de dire, je comprends que tel profil fonctionne avec cette préférence-là. Je vais le vérifier sur d'autres profils et c'est en agrégeant les datas, les données, que c'est monté tout doucement et c'est pour ça que j'ai bossé 20 ans dessus. C'est parce que ça a été quelque chose d'empirique, quelque chose du concret et ça a été brique par brique. Donc déjà, les fondations, puis voir si je ne me plante pas sur les cinq dimensions et ce que c'est bien ça. Est-ce que je peux intégrer le disque à l'intérieur ? Oui. Parce qu'il y a quatre dimensions dans le disque, et là, il y en a cinq. Donc, qu'est-ce qui est splitté ? Qu'est-ce qui est en plus ? Et pourquoi ça marche comme ça ? Donc, vérifier par rapport, comme je suis certifié au disque aussi, vérifier par rapport à tous les résultats que j'avais du disque, s'il y avait une corrélation entre ce que j'avais créé et leurs résultats. Et je l'ai fait avec les autres outils également. Du coup, ça m'a permis, on va dire que... C'est comme un Tetris, en fait, si je peux t'expliquer ça. C'est quoi ? Le Tetris, s'il y a un trou, ça ne marche pas. S'il y a un trou dans la raquette, tu perds. Donc, c'était construire la base, ça s'emboîte bien, puis construire la deuxième base. Puis, si jamais dans la troisième base, il y a quelque chose qui fait que ça déconne, on redescend à la deuxième base. Et donc, en fait, c'est pour ça que c'était l'itération.

  • Speaker #0

    Une itération empirique et au fur et à mesure, ça se construit. Oui,

  • Speaker #1

    c'est pour ça que j'ai mis 20 ans. c'est parce que trouver ça comme ça, ce n'était pas possible. Mais avoir le temps de le faire, comme c'était passionnant, moi, ça ne me gênait pas. Je n'avais pas d'objectif financier, je n'avais pas d'objectif de temps, je n'avais pas… C'est juste une passion. Mais une passion avec l'envie d'atteindre un résultat quand même, tu vois, ce n'est pas une passion floue.

  • Speaker #0

    Oui, mais il n'y avait pas un objectif purement financier, en disant tiens, je vais monter un business qui va aller là-dedans, etc. ça part d'un travail de questionnement, de comment ça marche.

  • Speaker #1

    Et à chaque fois, me former, me former, me former aux outils et se dire, il y a ce qui me gêne, je pose la question, est-ce que j'ai la réponse ou pas ? Est-ce que c'est trop flou ? Est-ce qu'il y a un trou dans la raquette ? Est-ce que je peux l'intégrer dans ma méthode ? En fait, c'est parce que les outils du marché ne correspondaient pas à ce que moi j'aurais utilisé si j'avais été coach recruteur, bilan de compétences. En fait, je voulais que les gens... voient clairement des choses qui leur paraissent impossibles ou incompréhensibles. Donc, le jeu de la pédagogie a été super important dedans. Aussi, parce qu'en fin de compte, pour qu'un Tetris fonctionne, en fait, il faut donner envie. Et la pédagogie, c'est super important pour comment j'explique le flash aux gens. Donc, qu'est-ce que j'utilise comme picto ? Qu'est-ce que j'utilise comme lettres dans le flash ? Qu'est-ce que ça veut dire ? Donc, Einstein disait, si tu es capable de l'expliquer à ta grammaire, tu peux l'expliquer à tout le monde. C'est le cas. Flash est utilisé aussi par des coachs sur des enfants en difficulté scolaire qui ont 8 ans et qui comprennent la pédagogie qu'il y a derrière le Flash.

  • Speaker #0

    On va y revenir sur le fonctionnement. Comme il n'y a pas de questions, on peut le faire à n'importe qui. Peut-être que tu nous expliqueras, il y a peut-être des limites, on verra. À ce stade, effectivement, il n'y a pas de question, contrairement à ce qu'on peut avoir avec un disque ou ce genre de choses. J'aime bien le moment où tu dis, le disque, il a quatre dimensions, moi, j'en ai cinq. comment je split, etc. Moi, je suis un grand fan du disque depuis toujours et pour le coup, j'ai un profil qui est extrêmement marqué.

  • Speaker #1

    Ok, c'est très marqué, d'accord.

  • Speaker #0

    Je me suis toujours posé la question, alors même si dans mon quotidien, je pense que le profil disque est assez vrai, mais je me suis toujours posé la question de est-ce que je l'ai influencé au moment où j'ai répondu aux questions.

  • Speaker #1

    Oui, parce que le principe du questionnaire, c'est qu'on demande d'auto-déclarer son fonctionnement. Pour pouvoir s'auto-déclarer, il faut se connaître parfaitement, il ne faut pas avoir d'enjeu, et c'est OK. Du coup, le résultat est fiable. Donc, en fait, il y a déjà des paramètres de départ. Après, les autres, c'est les biais cognitifs, c'est est-ce que j'ai compris la question, est-ce que je me mets en situation globale ou en situation professionnelle, et du coup, il y a trop de questions. Donc, du coup... on est dans une auto-réflexion pour répondre. Donc, on est forcé de répondre à un instant T avec notre compréhension des questions qui nous arrivent.

  • Speaker #0

    Oui, potentiellement dans l'humeur du moment, en plus.

  • Speaker #1

    J'allais te le dire, bravo, c'est ça. C'est-à-dire, si je suis en colère, si je suis excité, si je suis stressé, peu importe le mode de stress, ça va en fait jouer sur la qualité de mes réponses. Et en fait, l'algorithme va prendre en compte forcément la réponse aux questions. Et donc, c'est qu'est-ce que je donne comme carburant au moteur de l'algorithme du disque ? J'ai répondu bleu parce que j'ai un profil quand même qui est analytique. Donc, et conformité, ça me va bien parce que c'est le monde des règles. Et en fait, je me suis appuyé sur de l'analytique pour vérifier tout ça. Cependant, à un moment donné, j'ai voulu faire le disque pour aller vers un coaching. Et en fait, j'ai répondu rouge parce que j'avais envie d'influencer le... Le test pour leur montrer que le flash, en fait, tu ne peux pas faire ça. C'était un peu le but du jeu. Donc oui, on peut un peu influencer forcément les questions.

  • Speaker #0

    Moi, j'ai eu la chance de faire ces tests-là, à part peut-être un il y a très longtemps, mais sans enjeu. Sans enjeu réel, c'est-à-dire que je n'étais pas dans une configuration de recrutement ou ce genre de choses où potentiellement tu vas essayer de répondre bien au truc pour orienter le débat et avoir ton poste. nous on l'a vraiment fait dans une optique de savoir comment l'équipe fonctionne et plusieurs fois alors il y a quand même des biais mais voilà pour le coup je sais que mon fonctionnement s'adapte pas tant que ça et du coup pour le coup c'était assez réel Est-ce que tu peux nous expliquer comment se déroule une séance flash ? Qu'est-ce que la personne vit réellement ? Je pourrais en témoigner aussi. Et du coup, quels sont les inputs de données que l'on rentre ?

  • Speaker #1

    C'est très clair, les inputs de données, comme on va chercher la source à l'origine et que ça a été vérifié informatiquement, en fait, on décode le prénom, le nom et le jour-mois de naissance. Le jour-mois de naissance, ce n'est pas de l'astrologie, de la numérologie, ça n'augmente qu'une seule des cinq dimensions. Quand on va voir la médecine traditionnelle chinoise, on voit qu'il apparaît un calendrier perpétuel. Et en fin de compte, en fonction de la longueur de chaîne de caractère de ton prénom, la longueur de chaîne de caractère de ton nom et du positionnement des lettres à l'intérieur, on n'a pas le même résultat. Et c'est ça que j'ai vérifié sans arrêt pour trouver une sorte d'énergie à l'origine. Et puis, une sorte de décodage des sources à l'origine. Et en fait, c'est ça qui est assez bluffant. C'est que je me suis mis à chercher ça par passion en disant, je veux éviter les questionnaires. Je ne veux pas passer par les questionnaires. Donc, soit je trouve, soit je ne crée pas un questionnaire par-dessus. Et quand j'ai rencontré un gars de la stratégie et de l'innovation, il m'a dit, Yannick, pour que ça marche, rajoute un questionnaire par-dessus. Même si tu fais tourner ton algorithme, j'ai refusé. Parce que le vrai faux me pilote énormément dans mon fonctionnement. Du coup, dans sa stratégie, qui aurait pu fonctionner côté business, je l'ai mis de côté complètement, parce que ce n'était pas du tout le but de l'outil, de passer par un questionnaire. Donc en fait, les datas, c'est prénom, nom, jour, mois de naissance, il n'y a pas besoin de l'année. Il n'y a pas besoin du lieu de naissance, il n'y a rien d'astral ou quoi que ce soit, c'est juste de l'agrégation mathématique, statistique, scientifique. et À partir de là, on a un résultat en une seconde, c'est-à-dire qu'on met plus de temps à taper les données d'entrée qu'à voir le résultat, qui se traduit en français, en anglais, en allemand, bientôt en espagnol, en une fraction de seconde aussi. Et après, on a tout un profil. Donc toi, tu as eu le profil pro, il existe aussi un profil... de croissance personnelle. Mais je pense que la première étape, c'est super important de savoir quel est le bon job pour nous, comment je fonctionne avec une équipe. Et donc, c'est le côté professionnel qui m'a titillé le plus, en fait, quand j'ai testé les outils dans le monde du recrutement, où je me suis dit, attention, il peut y avoir des problématiques de résultats. Et en fait, dans l'étude, suite au livre de Mark Murphy, Hiring for Attitude, en fait, j'avais regardé les études qui avaient été faites. Et en fait, les erreurs de recrutement, De 6 mois à un an et demi quand la personne ne fait plus partie de l'entreprise, on n'a que 11% qui ont fait que c'était des hard skills, c'est-à-dire des compétences dures sur je me sers des logiciels, je sais utiliser ceci, ceci, etc. Et les soft skills représentaient donc 79% des échecs dans le recrutement. Donc tout est une histoire de comportement. D'ailleurs, si on observe une centaine de personnes dans une promo pour une formation, il y aura 100 trajectoires différentes qui sont liées au comportement de chacun. Par exemple, les gens qui vont en fac de médecine, en fonction du flash, on peut les aider à s'orienter en disant est-ce qu'il faut qu'ils aillent plutôt dans les urgences, dans la gériatrie, dans les métiers de spécialisation comme l'opération de la cataracte, et en fonction vraiment du profil comportemental des gens, on n'est pas bon partout. on ne peut pas être à la fois généraliste et spécialiste,

  • Speaker #0

    le flash permet de voir le métier de généraliste.

  • Speaker #1

    Le médecin de campagne sur trois générations, c'est un généraliste et il aime bien rester à cet endroit-là. Il y en a d'autres qui ont le sens de l'urgence. Let's go pour ce genre de métier.

  • Speaker #0

    Je reviens sur ce que tu disais sur le côté hard skills, soft skills. Mon profil, tu ne seras pas étonné, mais effectivement, quand je recrute, je marche beaucoup à l'intuition. et me trompe rarement pour le coup alors je dis pas que ça arrive jamais mais la grande majorité des cas en général elles me donnent raison effectivement je te rejoins sur le côté hard skill en général tu peux le vérifier assez vite et soft skill les gens peuvent le masquer en tout cas dans un premier temps très rapidement le naturel revient au galop et donc ils finissent par se faire rattraper et on se rend vite compte de ce qui va, ce qui ne va pas. Après, ça peut ou pas se corriger, ça, c'est des cas différents. Mais effectivement, on peut masquer un certain temps et aller contre nature, entre guillemets, sur les soft skills, mais il y a un moment où ça demande trop d'énergie et les gens reviennent à leur format, à leur fonctionnement normal. Et c'est là où, en général, il peut y avoir un clash.

  • Speaker #1

    Dans le masque, en fait, j'appelle ça un comportement d'emprunt. Et c'est pas de chip. En fait, tu veux le poste, donc tu vas fonctionner en fonction de ce qu'il veut faire, que le recruteur qui a son propre flash, qu'il soit influencé ou insuensable, parce que si tu donnes les mots qu'il veut entendre, forcément déjà ça se passe bien. Et je me rappelle d'une recruteuse à l'international qui me dit « moi je suis instinctive » et dans son flash ça ressort analytique. Elle me dit « en quoi vous êtes instinctive ? » Elle me dit « en fait je serre la main et je sais déjà » . Mais comment vous savez ? Je lui pose la question parce que moi, je pose des questions. Eh bien, si la personne a la main sèche, ça va, c'est là que ça va. Elle a confiance et tout. Puis si elle a les mains moites, en fait, je vois qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Et je dis, en fait, pour moi, ça, c'est le cerveau analytique parce que c'est si, alors sinon. C'est si elle a la main sèche, alors c'est cool. Si elle a la main moite, alors c'est pas cool. C'est plus de l'instant. C'est une analyse. Ah ouais, ok, d'accord Et bon nombre de fois où quand j'utilise le flash, les gens ne sont pas toujours d'accord sur un truc, sur un détail. Et merci, c'est eux qui sont experts de leur propre vie. Moi, je ne suis pas là pour dire tu fonctionnes comme ça. Ça ne marche pas. Donc, en fait, j'apporte les choses et quand les personnes me posent des questions sur telle chose, en fait, j'utilise des métaphores ou des contextes particuliers qui font que la personne prend du recul et comprend en fait pourquoi elle pensait comme ça. Et ça, c'est cool. Il y a toujours une partie. pédagogique dans ce que j'apporte et c'est ce qui me passionne.

  • Speaker #0

    Est-ce que tu as des cas où le modèle ne révèle rien de probant ou pose un problème ? Je pense que tu en as eu tout au long de l'évolution du modèle, mais est-ce qu'aujourd'hui, il y a encore des cas où il y a des choses qui ne sortent pas ou pas comme tu voudrais ?

  • Speaker #1

    Je dirais que j'ai eu un cas il y a très longtemps où on était en mode débriefing et la personne avait 20-25 ans. Elle ne comprenait pas qu'elle avait la cinquième dimension qui était forte, qu'elle ne comprenait pas qu'elle influençait les autres. Mais en fait, ça, ça peut être inconscient. C'est-à-dire que... Quand on influence quelqu'un, on n'en est pas toujours conscient, c'est-à-dire que le fait d'être enjoué, le fait de dire j'ai découvert un truc génial, le fait de dire en fait on ne s'en rend pas compte, mais on influence. Et dans son approche, c'était ah ben non, moi non, je n'influence pas, ok. Et j'ai dit ok, on est d'accord, si tu le vois comme ça, c'est ok. Et en fait, ça c'était au tout début. En fait là, je n'ai pas de cas de gens qui me disent que ce n'est pas eux. Et la deuxième chose, c'est que ce qui est encore plus puissant, du coup, je ne peux pas l'influencer, c'est qu'avec plus d'une centaine de personnes formées côté francophone, ce sont les clients des gens que j'ai formés qui rapportent qu'ils ont été bluffés par le résultat. Donc là, c'est encore plus gratifiant, puisque ça veut dire que 1, je ne suis pas intervenu dans la prise en compte et le résultat de... de ce qu'ils ont pu observer et de dire, OK, c'est moi. En tout cas, c'est mes grands traits de personnalité et de caractère. Et en plus de ça, ça veut dire que c'est cool pour moi parce que j'ai bien formé. C'est pas de joc. Pour débriefer, en fait, on fait un sas de décompression émotionnelle. Il faut aussi leur dire, qu'est-ce que vous connaissez comme outil ? Parce qu'on a un cadre de référence qui fait qu'on peut aussi avoir ce biais en disant, moi, je connais ça et en fait, c'est comme ça. Donc tout ça aussi, il faut le prendre en compte dans l'analyse de son propre profil. Donc c'est bien que la personne soit cool pour recevoir les informations et que la deuxième chose, donc, il n'y ait pas d'enjeu, qu'elle soit cool au niveau émotionnel et qu'elle n'ait pas trop de cadres de référence qui pourraient en fait, comme l'outil est disruptif et qui reprend différents concepts, c'est rigolo parce que quand je fais un debriefing de flash d'une heure, une heure et demie, les gens me disent « Ah ben, je vois MBTI dedans, ah ben, je vois la PNL dedans, ah ben, ouais » .

  • Speaker #0

    mais en fait tu vois parce que tu as appris ça comme ça du coup je montrerai des images dans la vidéo pour ceux qui écouteront ou qui regarderont le podcast en vidéo sinon je les invite évidemment à te contacter pour faire leur flash, est-ce que tu peux expliquer du coup les 5 dimensions comment elles se représentent donc le fast, limit assemble, slice et hello pour expliquer un petit peu aux gens Ce qui se cache derrière ça, tu parlais des cinq sens, pour que ça soit un petit peu plus clair pour les gens qui nous écoutent, et comment après, dans l'analyse que tu fais, pour expliquer comment ça se passe, le résultat tombe avec des pourcentages, et derrière, il y a des associations de ces différentes dimensions qui permettent de donner des orientations plutôt sur tel ou tel métier ou sur tel ou tel mode de fonctionnement. Est-ce que tu peux nous expliquer ça ?

  • Speaker #1

    Très bonne question, merci Sébastien. Du coup, Flash, c'est un acronyme. Je voulais que ça serve pour les Français et les Anglais. Donc déjà, ça parle. Après, le F et le H sont à l'extérieur parce que c'est la partie extraversion, proaction. Et puis à l'intérieur, les trois centrales, c'est la réaction. Donc ça n'a pas été placé au hasard.

  • Speaker #0

    Fast,

  • Speaker #1

    c'est l'olfactif. Voilà, pour le Wacog. La deuxième, elle s'appelle Limit. Je l'expliquerai après, mais c'est la partie... c'est le visuel. La troisième assemble, qui est la terre, c'est la partie gustative. Tous les aliments viennent de la terre, c'est simple. La quatrième dimension, elle est auditive, c'est le slice du flash. Et puis, la dernière dimension est kinesthésique, c'est le H2LO. Donc là, en fait, on a comme point d'entrée, déjà, la partie vacoque de la PNL. Fast, c'est une dimension sur laquelle on va voir quelle est la vitesse de la personne pour atteindre un résultat. Ce qu'il faut savoir, c'est qu'entre 30 et 70 %, les dimensions sont bien gérées en fonction du contexte qui le demande. Et là, les gens ne comprennent pas toujours ce que c'est ça. Mais on pourra voir plus loin. Au-dessus de 70 %, c'est une autoroute comportementale, c'est-à-dire qu'on a tendance à l'utiliser peu importe le contexte. C'est naturel, c'est facile. Donc, c'est à la fois un talent et c'est aussi une zone de turbulence émotionnelle. Et puis, en dessous de 30%, comme il n'y a pas de bon et mauvais profil, bon et mauvais, ça fait partie d'une dualité de l'ego, donc je ne veux pas entendre parler bon ou mauvais, qualité, les défauts, recrutement, on sait quoi. Et du coup, en dessous de 30%, c'est des dimensions qu'on ne va pas chercher régulièrement. Et si on va les chercher parce que les cinq dimensions sont disponibles,

  • Speaker #0

    il faut l'utiliser avec parcimonie, mais on ne peut pas l'utiliser dans un job à forte fréquence, forte intensité, sinon ça va nous fatiguer et on a des risques de dépression, de burn-out et de problèmes au travail. Donc face, c'est la vitesse à laquelle on va atteindre un résultat. Donc c'est un pourcentage. C'est très rigolo parce qu'on peut faire la métaphore avec le vélo, c'est-à-dire Einstein disait « si tu ne pédales pas, tu perds l'équilibre » quelque part. Donc la force gyroscopique... quand j'ai passé le permis moto, c'était 35 km heure. Une roue ne perd pas l'équilibre et ne tombe pas au-delà de 35 km heure, même si ce n'est pas motorisé derrière. Donc, on peut dire que 35, on peut être en mode haut pas au niveau des résultats si on est en dessous de 30 %, donc on est plus enclin à l'empathie. Entre 30 et 70 %. On fait une marche rapide ou un petit footing, ce qui fait que c'est facile de ralentir ou d'accélérer. Donc, c'est bien managé. Et puis, au-dessus de 70 %, on est en mode running à fond, battre des records au niveau de la vitesse et dans le défi permanent. Et ça, il faut avoir beaucoup d'énergie pour avoir un défi permanent. Donc, c'est la dimension la plus physique des cinq dimensions. Je ne sais pas si j'ai été clair sur Fast.

  • Speaker #1

    Si, si, pour moi, c'est très clair.

  • Speaker #0

    Donc, c'est la vitesse pour atteindre un résultat. La deuxième, elle est d'ordre mental. C'est limite. Donc, c'est la vue. C'est comment j'analyse la data, comment je traite l'information. C'est-à-dire que quand c'est très bas, on peut sortir des sentiers battus et des cadres de référence. Quand c'est bien géré, on peut à la fois sortir des cadres de référence ou fonctionner avec des règles de fonctionnement. Si on est supérieur à 70 %, on va avoir tendance à contrôler l'information, la vérifier. pour voir si c'est vrai ou faux. C'est une dualité qui existe derrière cette dimension, alors que dans Fast, c'est fort ou faible. On retrouve les dualités de l'ego dedans, donc c'est facile de coacher après. Donc ça, c'était la deuxième dimension sur la partie mentale. Une autre dimension qui fait partie du néocortex, c'est la dimension assemble, elle est centrale, parce que c'est la notion d'équilibre, c'est la notion de stabiliser, d'harmoniser les choses, et d'avoir une vue d'ensemble sur les choses. Ça veut dire que cette dimension-là, on est sur le lourd-léger. Quand c'est très élevé, on imagine que ce qui est lourd est solide et que si c'est léger, c'est instable, chaotique. Donc en fonction de cette dimension-là, c'est celle de l'organisation dans le temps. On est capable de voir si on peut changer son calendrier très rapidement avec une dimension très basse, ou plus de 70%, on est emprunt à avoir de l'inertie dans son fonctionnement. On met en place des calendriers qu'il ne faut pas changer. Donc il y a des métiers qui sont très bien pour ça, tu vois. Quand tu fais par exemple la paye, tu as le calendrier pour faire les tests de paye, le calcul de paye, la vérification, puis le virement. Donc ça, c'est vraiment un calendrier répétitif. Il y a des gens qui sont OK avec ça parce que ça les rassure d'avoir des choses dans le temps comme ça qui se reproduisent. Puis d'autres, ça les stresse parce qu'ils se disent c'est trop lourd, je m'ennuie, c'est une habitude, c'est une routine qui ne me plaît pas. C'est parce qu'ils ont des dimensions très basses sur cette dimension centrale.

  • Speaker #1

    Ça doit expliquer mon aversion au procès.

  • Speaker #0

    Globalement, ça peut être ça, parce que c'est peut-être lourd en fermant.

  • Speaker #1

    Complètement. Mais pour ceux qui n'ont que l'audio, j'ai une dimension très faible sur Assemble, justement. Et donc, effectivement, les trucs lourds me fatiguent beaucoup.

  • Speaker #0

    Puis ça va à contre-ensens d'une créativité, parce que c'est le basique. Le terre-à-terre, le concret, voilà. Donc, ça a ses limites aussi. Merci pour ça, pour ton feedback, Sébastien. Donc, du coup, fast, c'est l'action, limite, le plan d'action, assemble, l'organisation dans le temps, les jalons. Donc, ces trois dimensions-là, elles sont plutôt d'ordre interne. Et puis après, on va passer aux deux dernières dimensions, slice et hello, où on est de l'ordre de l'interaction avec les autres. Puisque slice, ça veut dire trancher en français. Donc, c'est la qualité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Et l'eau, c'est la quantité des relations qu'on recherche quand c'est très élevé. Donc, à partir de là, on comprend que la confiance en soi, c'est dans le fast. Et l'estime de soi, estime, c'est valorisé, c'est infiniment petit. Eh bien, c'est derrière le slice, la partie métal du flash. Et c'est super intéressant de voir, en fonction des deux dimensions, qui pilotent vraiment nos interactions, de faciliter à rentrer, à s'inclure dans un nouveau groupe ou à s'en exclure dès le départ. Ça, c'est la première dimension. Et la deuxième, c'est l'ouverture aux autres. Est-ce que je suis... Est-ce que je connecte facilement ? Est-ce que je souris facilement ? Est-ce que j'ai envie de partager facilement ? Est-ce que j'ai envie de connecter ? C'est cette dimension d'ouverture aux autres. Et donc, quand on étudie les deux, on est capable de voir pourquoi on réagit comme ça. Par exemple, certains qui sont traités parfois de bipolaires, parfois c'est un peu too much, c'est parce qu'on leur met une étiquette dessus. Mais si on comprend qu'un slice et un lot très élevé font qu'il y a des fois, j'ai envie de voir tout le monde, je partage et je me marre. Et que d'autres fois, je préfère être reclus, pas parler, et puis être dans un mode de tristesse attirmée. et de s'isoler pour se ressourcer, parce que c'est les deux qui font nous ressourcer. Soit je suis en introspection quand j'ai beaucoup de métal, soit je suis en extraversion si j'ai beaucoup de bois. Et on comprend le fonctionnement facilement. Donc voilà, on a passé là en revue rapidement les cinq dimensions. Et déjà, on peut voir que les combinaisons entre elles donnent des compréhensions de soi hyper pertinentes.

  • Speaker #1

    C'est là où le... où le modèle devient extrêmement fort, c'est justement quand tu commences à les combiner. Est-ce que tu peux nous expliquer, dans la façon dont tu débriefes, comment tu les combines ? Tu disais tout à l'heure justement qu'il y a une façon d'expliquer le flash. Je pense que les combinaisons, elles ne sont pas faites par hasard. Est-ce que tu peux expliquer rapidement comment tu les organises pour les gens qui nous écoutent ?

  • Speaker #0

    En fait, il y a 20 talents, j'appelle ça des talents naturels. puisqu'on a des ressources naturelles, donc on a des talents naturels. Et il y en a 20, donc je n'en présente que 8 par ordre décroissant sur le Flash Pro pour dire que déjà, en fait, tu peux aller dans ces dimensions-là, ça ne va pas te fatiguer dans le job. Donc ça, c'est super important parce que mon but, ce n'est pas forcément que tu trouves un job en disant « je vais faire la formation, c'est cool » , c'est surtout « est-ce que c'est bon pour toi ? Est-ce que ça va te fatiguer ou est-ce que tu vas être à l'aise dedans ? » Et c'est ça l'enjeu. Donc, en fin de compte, dans l'histoire... les combinaisons ensemble donnent des talents. Et c'est assez simple à comprendre, c'est-à-dire que si on est dans les deux premières dimensions très élevées, fastes et limites, on va avoir une action rapide sur une grande capacité d'analyse. Donc on va être dans la résolution de problèmes. Si on a, par exemple, la troisième dimension, un sample très élevé sur la partie solidité des choses, et qu'on a un slice très élevé sur la valeur des choses, eh bien, tout ce qui est de l'ordre des ressources naturelles ou d'investissement dans des ressources en dur, par exemple de l'immobilier ou des choses comme ça, on va être bon là-dedans parce qu'on va savoir valoriser, par exemple, un patrimoine. On va savoir, en fait, les produits de la terre qui sont bons. Donc, on peut avoir un profil de chef cuisinier qui tient plutôt une auberge. Parce qu'il va se servir du potager d'à côté, tout en local, pour faire découvrir sa cuisine, mais par rapport à quelque chose de très concentré sur le terrain. Et en fait, si tu prends un pizzaiolo uniquement le sud en saison, prends-le avec un fast très élevé, parce que tout ce qu'il veut, lui, c'est dépenser son énergie physique et c'est OK pour ça. Donc du coup, même le monde de la cuisine, le monde de la médecine, le monde du commerce. En fait, on a des profils qui sont complètement différents de l'un à l'autre. Et en fait, la combinaison des dimensions entre elles, qui sont donc des dimensions naturelles qui ne me fatiguent pas, font qu'on a des talents naturels qui nous amènent à des jobs. C'est-à-dire que si on a, par exemple, beaucoup de limites, cette soif de connaissances et beaucoup de métal qui est la valorisation des choses, on va être dans des métiers de conseil et d'expertise. Parce qu'on analyse la data et on est capable de la valoriser.

  • Speaker #1

    Ce n'est pas les mêmes en fonction de l'ordre entre le premier et le deuxième. C'est drôle parce que je parcourais les miens et j'ai fait aussi bien un côté que l'autre. Des deux premiers qui sortent et en cherchant, il y a une liste de métiers qui apparaît et ils sont tous dedans. Alors que je n'ai pas été influencé du coup par le flash,

  • Speaker #0

    puisque je l'ai découvert il n'y a pas très longtemps.

  • Speaker #1

    Donc, c'est assez drôle de voir qu'en fait, j'étais déjà entre guillemets dans ma zone de confort, sans le savoir.

  • Speaker #0

    C'est rigolo parce que même quand tu t'exprimes, et ça, je l'apprends en formation, tu dis c'est assez drôle de voir. Ok, alors drôle, c'est l'amusement, le fun, la créativité, c'est le hello. Et puis, de voir, visuel, donc on est dans la partie limite des choses. Donc, quand on s'exprime, on ne fait pas toujours attention. Mais on peut utiliser son langage flash sans s'en rendre compte. Sans nous. Et c'est là où j'aide les gens aussi. Je dis, ben voilà, tu as ces préférences comportementales, donc tu risques, tu peux voir le monde. avec ses dimensions élevées. Donc, c'est chouette dans ton job. Et fais attention dans ta vie perso parce que ce n'est peut-être pas ce contexte-là qui te le demande. Et ça, ça permet d'identifier facilement avec un langage universel. En fait, c'est un peu comme la prose de M. Jourdain. Ah bon, je fais de la prose ? Oui, quand vous parlez, vous faites de la prose. Ah, c'est merveilleux, je fais de la prose. Là, en fait, on est en train de... Parce qu'en fait, on perçoit le monde par nos cinq sens. Et donc, c'est facile de faire comprendre à la personne qu'il y a notre vérité à travers le flash par rapport à la réalité. Alors, parfois, ça colle, parfois, ça ne colle pas. Et c'est pour ça que des gens qui ont des flashs complètement différents peuvent avoir des zones d'entente sur des dimensions où c'est bien géré. Et puis, il peut y avoir des zones conflictuelles parce que ce n'est pas du tout ma même vision du monde, ma même carte mentale. Et ça, c'est génial, tout ce qui est team building, cohésion d'équipe. Quand je recrute quelqu'un dans une équipe, ouais, mais il faut voir le flash des autres, parce que du coup, tu as une nouvelle dynamique dans un équilibre existant. Et à un moment donné, ça peut faire un déséquilibre avant de retrouver un équilibre. C'est un peu l'histoire du premier ou du deuxième enfant dans une famille, où ça perturbe un peu.

  • Speaker #1

    Tu me fais une transition magnifique. Aujourd'hui, tu utilises... Enfin, tu utilises YouTube. propose le flash justement pour ce genre de choses de team building, de compréhension des équipes, etc. Les unes avec les autres, de comment un tel, un tel fonctionne. Et d'un point de vue managérial, justement, de pouvoir mieux gérer ses équipes. Ça se passe comment aujourd'hui ?

  • Speaker #0

    C'est simple en fait. Quand on regarde son flash dans l'ordre dans lequel il arrive, ce qui est en bas du profil pro, on est capable de voir qu'est-ce qui nous challenge, comment je communique et comment je manage naturellement. Et puis, quand on a affaire à une équipe et on va leur présenter le flash sur ça, et on peut faire une roue d'équipe, c'est-à-dire, imaginons qu'il y ait cinq personnes qui soient des personnes clés dans l'entreprise, un comex ou des choses comme ça, eh bien, en fin de compte, on va avoir la roue d'équipe. C'est-à-dire, quelle va être la tendance la plus forte si on fait la moyenne des flashs qui nous sont disponibles ? On peut avoir une tendance à la nouveauté pour sortir un nouveau produit. Ça, c'est le H de Hello. Mais si tous les flashs des gens sont vraiment bas dans la dimension Hello, soit on prend quelqu'un qui a ce côté innovant, nouveauté, dynamique, de quelque chose d'incroyable, soit on fait venir un prestataire extérieur qui a ce flash-là pour nous aider à changer notre vision, par exemple, à voir les choses autrement. Et donc, c'est puissant parce que... Ça parle à tout le monde et c'est facile, c'est un langage universel pour moi. C'est-à-dire que tu comprends visuellement les cinq dimensions. Une fois que tu as expliqué la définition, dans n'importe quel pays, ça passe. Parce qu'en fin de compte,

  • Speaker #1

    c'est universel.

  • Speaker #0

    Parce que là, on parle des cinq sens, mais derrière, les pictos font que si je te dis que l'eau, c'est l'information, le feu, c'est la vitesse, après, les associations, elles se font facilement. Du coup, on est capable d'amener un nouveau langage aux personnes, en dehors de la langue qu'ils ont apprise, pour justement faciliter la communication entre les personnes.

  • Speaker #1

    On commence à arriver vers la fin. Aujourd'hui, l'outil, il fonctionne. Tu dois encore avoir des freins de certaines personnes qui disent « mais ce n'est pas possible » . Et pour l'anecdote, j'en ai eu moi il n'y a pas longtemps en en parlant. à des collègues qui me disent « Attends, avec le jour et le mois, il n'y a même pas l'année. »

  • Speaker #0

    « Je peux me parler de l'année, ok, pardon. Je peux la rajouter, hein ? »

  • Speaker #1

    « Pour la forme. » Et je dis « Non, mais honnêtement, c'est bluffant, etc. » Et tu rencontres encore beaucoup de freins où je sais que tu es en train de travailler au niveau des États-Unis. Ils commencent à s'intéresser aux trucs. Le chemin est en train de se faire, mais tu as encore beaucoup de freins ou de moins en moins ?

  • Speaker #0

    En fait, le scepticisme fait partie d'une peur. Donc, en fin de compte, je dis qu'il faut juste l'expérimenter et en parler après. Et souvent, c'est aidant de leur dire, OK, je vais vous acheter un bouquin pour bricoler et allez-y, débrouillez-vous. Vous allez construire une maison. Ça ne marche pas. Ou alors, je leur dis, la vie c'est une somme d'expériences et de rencontres. Et tu peux lire tous les bouquins, ça ne va pas t'apprendre pas vraiment comment communiquer avec les gens. Donc, c'est de l'expérience qu'il faut et c'est de l'interaction. Il faut le vivre. Pour moi, c'est une expérience à vivre. Et en fait, peu importe ce qu'on me raconte au départ sur... Parce qu'en fin de compte, c'est en profil du flash. C'est le profil flash qui fait que la réaction est comme ça. Si tu as affaire à un profil hyper analytique et que le LO est plutôt bas et qu'il n'est pas dans... Eh, la nouveauté, ça m'intéresse. Du coup... mais moi, avec mon profil, j'ai un profil plutôt sceptique. C'est-à-dire que tu m'apportes quelque chose, je vais vouloir le vérifier. Et si je n'avais pas inventé le flash et que quelqu'un d'autre me réamènerait le flash, j'aurais dit, c'est bizarre ce truc-là. Comment c'est possible qu'avec quelques data comme ça, on arrive à un résultat ? Déjà, je ne comprends pas. Je ne comprends pas. Et donc ça, c'est les profils très analytiques. Et en fait, si tu ne passes que par ton cerveau analytique pour prendre les décisions, Tu rentres dans si, alors, sinon, et tu dis, si je ne comprends pas, alors, je comprends. Ça ne peut pas marcher. C'est même jusque-là. Ça va jusque-là. Parfois, on fait des recours si analytiques. Et en fait, non, il faut juste faire vivre l'expérience parce que certainement que tu en as déjà parlé parce que ton « hello » , il est vraiment… Donc, c'est encore une chose que quand tu découvres quelque chose, tu as envie d'en parler. Et merci pour le podcast parce que ça en fait partie. Le podcast, c'est… Tu as envie de partager de l'information.

  • Speaker #1

    Complètement.

  • Speaker #0

    Oui, mais c'est ça. Parfois, on fait un métier ou plusieurs métiers. Je ne sais plus, c'est slasher, je crois, quand on fait plusieurs métiers. Je m'explique aussi quand les gens sont slasher. Je dis, regardez, il y a ces dimensions-là qui sont élevées, mais il y en a d'autres que tu utilises, qui sont assez fortes, que tu n'utilises pas dans ton job actuel. Donc, c'est normal que tu ailles vers ça.

  • Speaker #1

    On va chercher ces points d'accompagnement naturellement.

  • Speaker #0

    Ouais, parce que c'est des besoins, donc ça nous titille. Donc si ces besoins-là ne sont pas assouvis, on va les chercher ailleurs, tu vois. Et ça explique plein, plein, plein de choses. Donc, en fait, je m'en fiche. Avant, je repassais par l'analytique pour expliquer comment je l'avais fait pour des gens qui étaient un peu sceptiques. Aujourd'hui, je n'ai plus le temps et je pense qu'il ne faut pas que je traîne. Je pense que c'est un outil worldwide. C'est Kanaka World, donc c'est le monde de Kanaka. Kanaka qui veut dire être humain libre en Maori. c'est par la compréhension de soi. Le Graal, il n'est pas l'extérieur. C'est connais-toi toi-même. Et en fait, j'ouvre les portes. Après, si les personnes ne veulent pas clencher ou rentrer, c'est OK. Je pense que ça fait partie du truc. Je ne veux pas convaincre tout le monde sur la planète. Je veux juste que ce soit utile aux personnes qui en ont besoin. Et je pense que ça se fait naturellement. Mais c'est vrai qu'avant, je me prenais la tête en voulant à chaque fois expliquer, en disant, mais si j'ai réussi, je te montre. Comment je l'ai fait ? Plus je donnais de l'analyse, plus les gens ne comprenaient pas. Ça ne faisait pas partie de leur mindset de compréhension. Donc, on rentre tout de suite dans des registres de freins, de peurs, de scepticisme. Mais ça, ce sont des peurs et ce n'est pas grave. Il y a beaucoup de personnes qui peuvent avoir cette image-là. Après, il y a d'autres profils ou des gens qui veulent un résultat rapide, innovant, précis. Ils vont tout de suite, mais ça dépend encore d'un autre flash. Et puis les early adopteurs, c'est forcément le H2LO qui dit « Hey, c'est une découverte, je vais tester,

  • Speaker #1

    je veux voir » .

  • Speaker #0

    Mais non, ça fait partie des profils de chacun. Ce qui est puissant et bluffant, c'est que nos comportements d'achat se font avec notre flash. Et donc, si je pouvais avoir le flash de la personne à qui tu as présenté, je pourrais avoir une attitude qui fasse qu'il ait envie d'aller plus loin. Oui, ça va jusque-là.

  • Speaker #1

    De toute façon, quand tu sais après comment les gens fonctionnent et leur facilité à aller vers telle ou telle chose, forcément, tu peux t'adapter. Et c'est en ça que c'est hyper puissant aussi. Pour ceux qui nous écoutent et qui voudraient faire le test et tester par eux-mêmes, justement, où est-ce qu'ils peuvent te retrouver ?

  • Speaker #0

    Où est-ce qu'ils peuvent me retrouver ? Donc on a un site anglophone mais qui se traduit facilement sur Chrome, ça s'appelle kanakaflash.com et donc là on peut prendre rendez-vous, il y a un calendrier, on s'inscrit et je fais le debriefing des gens rapidement et je leur offre le flash. Bon après si ton auditoire, les gens qui sont plus d'un million, j'aurais peut-être du mal à le faire pour tous. Avec grand plaisir pour leur faire découvrir leur flash, le potentiel naturel qu'ils ont. Ça n'enferme pas, ça donne les prédispositions. C'est pour ça que je l'ai fait, par rapport à des outils qu'ils pouvaient enfermer avec des cases. Je ne voulais pas être seulement un expert des systèmes d'information à ressources humaines. Même si j'ai ces compétences-là, je suis bien plus que ça, comme beaucoup de personnes qui sont en quête de sens. et qui ont envie de changer de job, ça rentre dans l'épiderme compétences aussi. Trajectoire pro, trajectoire perso à fond.

  • Speaker #1

    Ça permet de se situer et d'avoir des pistes de réflexion en tout cas pour ceux qui en ont besoin.

  • Speaker #0

    Vous pouvez affirmer des choses.

  • Speaker #1

    Je mettrai évidemment tout ça en description de l'épisode, comme ça vous pourrez retrouver directement le lien dans la description. Yannick, merci beaucoup. pour cet échange. J'espère qu'il aura apporté à mes auditeurs et ceux qui nous écoutent beaucoup de valeur et en tout cas l'envie de découvrir le Flash. Je vous invite vraiment à le faire pour l'avoir fait. Honnêtement, je trouve ça bluffant et hyper instructif sur soi-même. N'hésitez pas à faire le test et je vous dis à très vite.

  • Speaker #0

    Merci Sébastien.

  • Speaker #1

    Merci d'avoir écouté cet épisode de Mindways. J'espère qu'il t'a ouvert une nouvelle façon de voir les défis, ces moments où tout semble se bloquer, avant qu'une idée, une prise de conscience ou une rencontre ne relance tout. Ce podcast, c'est un voyage à travers les détours de l'esprit entrepreneurial et personnel, les doutes, les rebonds, les visions qui prennent forme malgré les tempêtes. Si cet épisode t'a inspiré, abonne-toi à Mindway sur ta plateforme d'écoute préférée ou à la newsletter sur LinkedIn pour continuer à avancer ensemble, pas après pas. Tu peux aussi me retrouver sur Instagram, et Mindways underscore FR, pour prolonger la réflexion et partager tes expériences, ou simplement échanger entre esprits curieux et ambitieux. Ton écoute, tes retours et tes partages sont le moteur de cette aventure, alors n'hésite pas à partager autour de toi. Merci d'être là, d'oser te remettre en question et de continuer à construire ta voix. Reste audacieux, reste curieux, et n'oublie jamais que chaque pas compte. pour atteindre le sommet. A très vite.

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