À 23 ans, Justin Sargenti part en mission en Antarctique cover
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Radio Monaco - Le Club

À 23 ans, Justin Sargenti part en mission en Antarctique

À 23 ans, Justin Sargenti part en mission en Antarctique

04min |05/12/2022|

26

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Description

Prendre quatre avions de ligne, un gros bateau, un hélicoptère, puis un petit avion à hélices pour atterrir à 1 600 km du Pôle Sud. C'est le voyage extraordinaire qu'effectue Justin Sargenti, 23 ans. Ce doctorant en architecture vient tout juste de partir en mission pour l'Antarctique dans le cadre d'un partenariat entre la start-up FGWRS, alumni de Monaco Tech, la Fondation Prince Albert II , l'Institut Polaire Français et l'Agence Spatiale Européenne.


Pendant deux mois, Justin Sargenti va tenter d'optimiser le recyclage des eaux grises  sur la base de Concordia. En effet, depuis 2005, une technologie de FGWRS permet de recycler les eaux de cuisine, de douche, des lavabos et des lave-linges sur la base franco-italienne. Diplômé en architecture à l'Université de Strasbourg, l'envoyé spécial de la start-up monégasque devra tester une nouvelle membrane, moins énergivore, et étudier la possibilité d'installer d'autres systèmes de recyclage des eaux.


En parallèle, cet ancien lycéen de l'Institut FANB à Monaco, va aussi plancher sur sa thèse de doctorat. En effet, conquis par un premier voyage en Arctique, Justin Sargenti a décidé de travailler sur le confort de vie dans les stations polaires. Fasciné par les milieux hostiles, le jeune homme nourrit également une passion pour la photographie. Il aimerait donc profiter de son séjour en Antarctique pour allier tous ces centres d'intérêts. 


Nathalie Michet a pu rencontrer Justin Sargenti peu avant son grand départ pour le Pôle Sud. 


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Prendre quatre avions de ligne, un gros bateau, un hélicoptère, puis un petit avion à hélices pour atterrir à 1 600 km du Pôle Sud. C'est le voyage extraordinaire qu'effectue Justin Sargenti, 23 ans. Ce doctorant en architecture vient tout juste de partir en mission pour l'Antarctique dans le cadre d'un partenariat entre la start-up FGWRS, alumni de Monaco Tech, la Fondation Prince Albert II , l'Institut Polaire Français et l'Agence Spatiale Européenne.


Pendant deux mois, Justin Sargenti va tenter d'optimiser le recyclage des eaux grises  sur la base de Concordia. En effet, depuis 2005, une technologie de FGWRS permet de recycler les eaux de cuisine, de douche, des lavabos et des lave-linges sur la base franco-italienne. Diplômé en architecture à l'Université de Strasbourg, l'envoyé spécial de la start-up monégasque devra tester une nouvelle membrane, moins énergivore, et étudier la possibilité d'installer d'autres systèmes de recyclage des eaux.


En parallèle, cet ancien lycéen de l'Institut FANB à Monaco, va aussi plancher sur sa thèse de doctorat. En effet, conquis par un premier voyage en Arctique, Justin Sargenti a décidé de travailler sur le confort de vie dans les stations polaires. Fasciné par les milieux hostiles, le jeune homme nourrit également une passion pour la photographie. Il aimerait donc profiter de son séjour en Antarctique pour allier tous ces centres d'intérêts. 


Nathalie Michet a pu rencontrer Justin Sargenti peu avant son grand départ pour le Pôle Sud. 


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Prendre quatre avions de ligne, un gros bateau, un hélicoptère, puis un petit avion à hélices pour atterrir à 1 600 km du Pôle Sud. C'est le voyage extraordinaire qu'effectue Justin Sargenti, 23 ans. Ce doctorant en architecture vient tout juste de partir en mission pour l'Antarctique dans le cadre d'un partenariat entre la start-up FGWRS, alumni de Monaco Tech, la Fondation Prince Albert II , l'Institut Polaire Français et l'Agence Spatiale Européenne.


Pendant deux mois, Justin Sargenti va tenter d'optimiser le recyclage des eaux grises  sur la base de Concordia. En effet, depuis 2005, une technologie de FGWRS permet de recycler les eaux de cuisine, de douche, des lavabos et des lave-linges sur la base franco-italienne. Diplômé en architecture à l'Université de Strasbourg, l'envoyé spécial de la start-up monégasque devra tester une nouvelle membrane, moins énergivore, et étudier la possibilité d'installer d'autres systèmes de recyclage des eaux.


En parallèle, cet ancien lycéen de l'Institut FANB à Monaco, va aussi plancher sur sa thèse de doctorat. En effet, conquis par un premier voyage en Arctique, Justin Sargenti a décidé de travailler sur le confort de vie dans les stations polaires. Fasciné par les milieux hostiles, le jeune homme nourrit également une passion pour la photographie. Il aimerait donc profiter de son séjour en Antarctique pour allier tous ces centres d'intérêts. 


Nathalie Michet a pu rencontrer Justin Sargenti peu avant son grand départ pour le Pôle Sud. 


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Prendre quatre avions de ligne, un gros bateau, un hélicoptère, puis un petit avion à hélices pour atterrir à 1 600 km du Pôle Sud. C'est le voyage extraordinaire qu'effectue Justin Sargenti, 23 ans. Ce doctorant en architecture vient tout juste de partir en mission pour l'Antarctique dans le cadre d'un partenariat entre la start-up FGWRS, alumni de Monaco Tech, la Fondation Prince Albert II , l'Institut Polaire Français et l'Agence Spatiale Européenne.


Pendant deux mois, Justin Sargenti va tenter d'optimiser le recyclage des eaux grises  sur la base de Concordia. En effet, depuis 2005, une technologie de FGWRS permet de recycler les eaux de cuisine, de douche, des lavabos et des lave-linges sur la base franco-italienne. Diplômé en architecture à l'Université de Strasbourg, l'envoyé spécial de la start-up monégasque devra tester une nouvelle membrane, moins énergivore, et étudier la possibilité d'installer d'autres systèmes de recyclage des eaux.


En parallèle, cet ancien lycéen de l'Institut FANB à Monaco, va aussi plancher sur sa thèse de doctorat. En effet, conquis par un premier voyage en Arctique, Justin Sargenti a décidé de travailler sur le confort de vie dans les stations polaires. Fasciné par les milieux hostiles, le jeune homme nourrit également une passion pour la photographie. Il aimerait donc profiter de son séjour en Antarctique pour allier tous ces centres d'intérêts. 


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