Speaker #0Salam alaikum, bienvenue à toi, c'est Kautal, tu es dans ton podcast Maman Lideuse, le podcast qui t'aide à lier ta mission de maman à ta mission spirituelle. Je rappelle qu'on est dans la semaine sur la jeunesse, sur les jeunes pubères, nos adolescents. Je précise bien adolescents pour que tu saches à peu près de quoi il s'agit. Et je rappelle qu'actuellement, la formation sur l'adolescence, l'iceberg de l'adolescent, est ouverte et disponible et accessible en... e-shop, finalement dans l'e-shop, dans ma boutique en ligne de formation, en e-learning Inch'Allah. Donc profitez-en pour vous former, notamment cet été et anticiper certains besoins de vos enfants pour savoir comment créer finalement un vrai projet pédagogique avec nos jeunes, d'autant plus à notre époque. Alors, on parlait de l'estime de soi dans le dernier podcast. Aujourd'hui, on va avancer un peu plus dans ce sujet-là, encore une fois, vous outiller un peu, vous ouvrir quelques horizons, et encore une fois, travailler encore cette perception-là, et lire, encore une fois, je me répète, mais une lecture finalement différente de ce que vous lisez au quotidien avec vos enfants. Comment on peut restaurer l'estime de choix chez les enfants, chez les adolescents ? Les enfants, en fait, bien souvent, ils s'autocritiquent, vous allez le remarquer, ils se jugent durement. Et ça peut se traduire par une grande tristesse, par des pleurs ou par de l'énervement. Dès que vous le sentez finalement faillir à cause d'un échec, d'une expérience ratée, c'est là où il ne faut pas le laisser sombrer. On a beaucoup d'enfants qui vont avoir des réflexions très dures, des remarques, un regard sur eux qui est très très très dur. Et là c'est important de comprendre. qu'il y a besoin d'accompagner nos enfants par rapport à ça. C'est pour ça que je disais qu'il y a besoin d'une estime de soi personnelle opérationnelle pour qu'on puisse nous très vite se ressaisir. Et Subhanallah, c'est vraiment encore une fois, j'insiste sur ça, mais parce que je l'ai vécu et je le vis tous les jours, c'est que vraiment, nos enfants, ils sont le meilleur moyen de nous dire, écoute, arrête en fait, arrête Sarah, arrête Leïla, arrête Nadia, arrête Kautsa, stop en fait. La façon dont toi tu t'autocritiques, la façon dont tu es dure envers toi-même, tu la revois chez ton fils et chez ta fille, et tu sais que ce n'est pas beau à voir, tu sais que c'est freinant, tu sais que ça le bloque dans beaucoup de choses, que ce soit dans ses relations, que ce soit dans sa scolarité, que ce soit dans ses interactions avec sa famille, ses proches, ses parents. Donc s'il te plaît, tu as envie de supplier pour dire, non, s'il te plaît, juste ne parle pas comme moi. Mais il faut rester conscient que le meilleur moyen, et c'est incroyable, Allah nous donne le moyen, on change nous, et bi'idnillah, ils vont changer. Donc... ça fait un bien pour toi et c'est ça qui est magnifique c'est que c'est toi qui te fais du bien et après grâce à cette bienveillance que tu as envers toi et ce travail que tu fais sur toi ça permet à d'autres notamment à nos enfants de faire ce travail automatiquement sûr de façon beaucoup plus naturelle plus simple et ça leur évite plus tard d'aller aussi chez des psys, de faire des thérapies etc. On leur fait gagner du temps, de l'énergie et on leur permet d'avoir une meilleure qualité de vie. Donc quand toi tu t'entends avoir ces réflexions dures envers toi-même ressaisis-toi très vite Si tu sais que ça vient de toi, dis-lui, écoute, moi je le dis parce que c'est une mauvaise habitude que j'ai, mon chéri ou ma chérie, ma fille ou mon fils. Et c'est vraiment pas bon parce qu'aujourd'hui, ça me freine, ça me bloque dans mon travail, ça me bloque dans mes interactions avec mes collègues, avec mes frères, avec mes soeurs, avec mes parents. Vraiment, c'est pas quelque chose que je te souhaite. Donc si tu veux, on fait un travail, toi et moi, ensemble. Et à chaque fois que maman, tu sens qu'elle est valable, elle dit quelque chose qui va pas sur elle-même, ou qu'elle pense quelque chose qui va pas sur elle-même, tu la reprends et moi je te reprends. Et ensemble, on essaye un peu de... de s'encourager si c'est des enfants qui sont là, des jeunes enfants qui sont conscients de ça et qui vont, vous allez cheminer ensemble et en faire un projet incha'Allah commun ou bien vraiment le faire seul si vos enfants ils sont jeunes qui ne comprendront pas mais essayez au moins de vous reprendre dans vos paroles. Donc on a des plaintes, des tristesses, des colères de nos enfants et de nous mais moi je vous projette toujours sur vos enfants parce que vous avez beaucoup plus de facilité naturellement en tant qu'humain que mère d'aller aider votre enfant que d'aller vous aider vous-même. Donc, auprès des plaintes, des colères et des tristesses de nos enfants, on a souvent tendance à réagir de trois façons. Je vais vous donner trois exemples. Quand il va se plaindre, être en colère, etc., tristesse, on va lui dire, mais non, mais non, t'es pas triste, c'est rien, c'est bon, on n'y pense plus, ça va passer, etc. Là, on est dans un déni des sentiments de l'enfant, ou du conjoint, ou de la personne en tout cas qui est en face de nous, mais là, on parle des enfants. C'est un déni, c'est un déni des sentiments. Donc là, encore une fois, on n'est pas dans un idéal de réponse, quelque part, ou d'accompagnement pour une personne qui est dans cette auto-malveillance, quelque part, envers elle-même. Ou bien on va avoir cette réponse de tu ne devrais pas réagir comme ça, il y a des enfants qui sont pires que toi, il y a des enfants qui aimeraient bien être à ta place, tu n'es pas à plaindre, franchement Ça, c'est un discours culpabilisant. Parce que comme les autres vivent des situations différentes de moi et difficiles, je n'ai pas le droit de m'attrister sur ma situation ou de vivre une situation difficilement, etc. La première, on est dans un déni de sentiment. Le deuxième, on est dans un discours culpabilisant. Et enfin, on peut être dans bon, ça suffit, maintenant t'arrêtes ton cinéma, va dans ta chambre, et puis tu reviendras quand tu seras calmée, parce que là, ça commence à monter à la tête et je comprends encore une fois parce qu'on a des profils d'enfants hypersensibles, qui sont sensibilités plus, plus, plus, plus, qui avec un tout petit événement vont te faire toute une catastrophe. Et c'est vrai que parfois il y a besoin de leur mettre un stop et que c'est compliqué quand nous-mêmes on n'arrive pas à gérer cette situation-là, de pouvoir l'accompagner dans cette émotion-là. Donc alors qu'est-ce qu'on va dire ? Vous allez me dire, mais oui, je ne lui dis pas ça, parce que le troisième ce n'est pas constructif. Le premier c'est d'être dans un déni des sentiments et le deuxième c'est un discours culpable. Alors qu'est-ce qu'on va dire ? En fait, rien. Rien pour le moment, rien sur le moment, pardon. Juste être là. Et parfois, on le sait nous, maman, en tant qu'adulte, même si notre mari, par exemple, nous dit mais t'es toujours en train de te plaindre, t'es jamais contente ça nous fait encore plus... On va dire mais juste laisse-moi parler, en fait. Je sais que je vais sortir de cette vague-là. Je sais que j'ai juste besoin de vider mon sac. J'ai juste besoin de te dire que j'ai passé une journée fatigante, que les enfants, ils m'ont pas écouté de la journée, etc. Mais j'ai pas besoin que quelqu'un me dise... Il y a des moments qui sont pires que toi, il y a des moments qui sont solos, il y a des gens qui n'ont pas en vacances, toi tu vas en vacances, tu te plains, mais en fait à ce moment-là j'ai juste besoin que tu sois là, que tu m'écoutes, que je vide mon sac, d'être écoutée. Et je vois beaucoup de moments où j'ai besoin juste d'écoute, qu'on m'écoute. Et en étant présent, même avec vos enfants, vous pouvez l'aider à faire mûrir son estime. Estime de soi parfois vacillante, mais pas toujours perçue comme... tel quand vu de l'extérieur. D'accord ? Et à chaque fois que vous entendez de sa bouche une dévalorisation, ou lorsqu'il n'est pas fier de lui, par exemple, écoutez avec compassion. Écoutez en compatissant. Je te comprends. Et si besoin, il faut recadrer des paroles négatives contre lui-même, mais doucement, mais fermement. Par exemple, votre ado, il va rentrer du collège, il est... Il est fatigué, on sent qu'il a passé une journée pas top, il a des mauvaises notes, il va commencer à s'autocritiquer très durement, je suis nul, de toute façon, mon papa avait raison ou le prof avait raison, j'ai la moins bonne note, il m'a affiché devant tout le monde, il a donné la note de la meilleure à la plus pire et c'était moi, le prof m'a fait une remarque Ça, c'est dans l'idéal, l'enfant qui parle. Le problème, c'est qu'on est beaucoup dans des profils d'enfants qui rentrent dans les mauvaises humeurs mais qui ne parlent pas. Si vous avez vraiment, j'insiste, celles qui vont en accompagnement, elles le comprendront, si vous avez des enfants qui viennent et qui vident leur sac comme ça, bravo. Bravo à vous, parce qu'il arrive à mettre des mots sur ça, et bravo à cet enfant-là qui arrive à dire comment il va, qui arrive à mettre des mots sur ce qu'il a vécu. Donc il faut un temps parfois pour parler, mais si vous avez des enfants comme ça, vraiment bravo pour le travail effectué jusque-là. Et c'est une ni'ma d'Allah subhanahu wa ta'ala d'avoir un enfant qui arrive au moins à mettre des mots, parce qu'on le sait très bien, même des fois avec un conjoint. On sait que ça ne va pas, mais on ne sait pas ce qu'il a. Avec un frère, avec une sœur, avec une amie ou avec nous-mêmes, on ne va pas bien, on n'arrive pas à mettre des mots dessus. Donc quand on a déjà un ado qui arrive à me dire ouais, c'était nul, aujourd'hui j'ai une mauvaise note, etc. c'est déjà très bien. Donc dans ce profil-là, on peut dire écoute, t'es pas nul, t'es bon parce que tu fais de ton mieux, moi je t'ai vu réviser, etc. Et la dernière fois, t'as eu un 15, bon aujourd'hui t'as eu un 8, ok, bon ben voilà. Vous voyez, subhanallah, l'estime, elle vient nous rappeler qu'il y a beaucoup de travail à faire sur nous, en tant que parents. Parce que là, je parle de ça, mais c'est dans un idéal de parents qui détachaient des notes par rapport à son fils, qui n'a pas l'impression que quand son fils a un 8, c'est elle qui a eu un 8, que quand son fils est en échec scolaire, c'est pas elle qui est en échec scolaire, que c'est pas à la fin du monde quand un enfant est en échec scolaire, etc. Donc ça, c'est encore une fois un travail sur nous, sur comment on perçoit nous les notes, parce que si nous, t'es nul, c'est quoi ce 5 que tu as eu ? L'enfant, il comprend, c'est lui le 5. vraiment l'estime de soi, elle vient rappeler beaucoup de choses. Je sais que c'est un thème introductif, vous n'allez pas faire un travail sur vous juste avec des podcasts, mais je viens ici vous dire qu'il y a besoin, attention, de faire beaucoup, il y a besoin de travailler l'estime et la confiance pour pouvoir accompagner nos enfants. Parce que sinon, on tourne autour du pot et on est vraiment dans un cercle vicieux. On arrange quelque chose, on va essayer de dire des bonnes paroles, mais en fait, au fond, on est le parent qui attend que notre enfant ait des bonnes notes. Et je donne l'exemple des notes, parce que c'est un sujet qui concerne beaucoup les mamans d'ado. Mais... Il peut y avoir d'autres choses, c'est-à-dire de l'image que les autres doivent avoir sur nous, et l'image qu'on nous donne, et donc notre valeur qu'on peut tirer par exemple à travers une note. Donc ça par exemple, c'est une réponse qui pourrait être dans un équilibre. ou un enfant qui vous dit au moment de ses devoirs j'y comprends rien, j'ai rien compris et donc il est dans un ton comme ça désespéré, il est démuni face à ses cours, là vous pouvez lui dire d'accord, t'as pas tout compris, c'est normal, je l'entends, mais dis-moi déjà la plus petite chose que t'as compris. Moi j'ai juste compris que A plus B égale C, j'ai juste compris que l'équation c'est ça, j'ai juste compris la définition de la géométrie, mais franchement tout le reste j'ai rien compris à l'exercice. Ok ? Donc... Là, ça t'as compris, donc ne me dis pas que t'as rien compris. On essaie juste de lui enlever un peu cette image très péjorative qu'il a, et lui amener finalement un discours un peu plus positif, de plus en plus concret, avec des arguments, avec des preuves qui lui montrent que non, t'as pas tout, t'as pas rien compris, il y a des choses que t'as pas comprises, et on va aller les chercher. Donc je le sors un peu de ce côté très pessimiste. Et c'est ces recadrages-là, et ces rehaussages en fait, que vous allez installer dans vos relations avec vos enfants, au jour le jour. qui ont pour objectif d'augmenter l'estime et la confiance en lui-même d'une part, pour changer le vocabulaire de vos échanges d'autre part. Et donc ça commence encore une fois par un travail qu'il faut faire aussi envers vous-même. Observez-vous les rehaussages que vous pouvez faire sur votre propre discours, interne et externe, sur vos propres recadrages que vous pouvez vous faire, sur le changement du vocabulaire que vous utilisez quand vous parlez de vous. Même quand j'ai des mamans au téléphone qui viennent me dire j'ai l'impression d'avoir tout mal fait, j'ai tout... Non, c'est important pour moi de redire, attention, tout n'est pas mal fait, rien, tout n'est pas nul, tout n'est pas... Alhamdoulilah, vous avez éduqué des enfants, vous avez fait des sacrifices, vous avez allaité cet enfant, vous le nourrissez, vous l'aimez. Oui, il y a des manquements, comme tout le monde, on aura toujours des manquements, mais attention à ne pas toujours être dur envers soi. Et ce manque de bienveillance envers nous-mêmes, il ne fait que se refléter sur nos enfants, et c'est important. d'en prendre conscience. Donc progressivement en fait les mots négatifs ils doivent disparaître, il faut qu'ils disparaissent au fur et à mesure du temps et ils seront remplacés par des mots positifs. De manière générale, vous reprenez finalement tous les jours des exemples anciens où il s'était investi, parce qu'il y a forcément du positif dans ce jeune homme, dans cette jeune fille, afin qu'elle ne s'enferme surtout pas dans un résultat, d'accord ? Par exemple, je sais que parfois on a l'habitude de nous focaliser sur, encore une fois je reviens sur les résultats scolaires comme je disais tout à l'heure, je referme la parenthèse mais attention, il ne faut pas hésiter à le valoriser avec le sport, avec l'art, avec le côté créatif, avec la cuisine, avec l'humour. Ne focalisez pas vos enfants, ne limitez pas la réussite de vos enfants ou le résultat de vos enfants à la scolarité par pitié. L'école c'est une partie de leur vie, ce n'est pas toute leur vie. Vous voyez aujourd'hui, l'école a pris peut-être 100%, presque 90% de votre temps durant votre jeunesse et durant votre enfance et votre jeunesse. Aujourd'hui, dites-moi, qu'est-ce qu'elle représente dans votre quotidien ? Plus rien. Elle vous a construit, elle vous a donné des outils, elle vous a permis d'apprendre, de vous former, de travailler. Mais voilà, c'est fini maintenant, c'est derrière nous l'école. Donc ce n'est pas toute notre vie, une fois qu'on devient adulte. C'est un pont qui fait son chemin et une fois qu'on arrive à destination, ça y est, ça reste derrière nous. Donc c'est important de ne pas... coller que l'image de la réussite, seulement la limiter, malheureusement, à la scolarité. Il faut aller au-delà. Vous avez d'autres potentiels qui vous ont aussi aidé aujourd'hui à vous construire. Peut-être que vous avez fait un travail rien à voir avec votre diplôme, et c'est parce que vous avez un autre potentiel. C'est important que les enfants voient aussi cette horizon-là. S'ils sont doués en cuisine, en travail manuel, l'art oratoire, si elles ont une... C'est des personnes qui sont vivantes, des personnes qui ont de l'humour. Mettez souvent l'accent sur ça pour qu'elles ne se limitent pas à cette image de je n'arrive pas à l'école, donc je n'arrive à rien Non, on n'arrive pas à l'école, c'est une chose, mais on arrive dans d'autres aspects de la vie. C'est important que nos jeunes en prennent conscience et que nous aussi, les mamans, en prennent conscience. Oui, peut-être qu'on n'a pas travaillé dans le domaine qu'on voulait, peut-être qu'on n'est pas allé au bout de notre travail, qu'on ne travaille pas avec le diplôme qu'on a, mais on a d'autres potentiels, d'autres qualités. Donc, aider. votre enfant à découvrir quelles sont ses valeurs finalement personnelles. Il peut s'agir de la patience, de la générosité, du courage, de la loyauté, de l'optimisme, etc. Voilà, de sa générosité, de plein de choses. Et avec des petits, des plus petits enfants finalement, on peut adapter aussi son langage. Mais les enfants, ils comprennent vraiment, vraiment bien puisqu'on ne le pense. Donc focalisez-vous sur le langage pour pouvoir construire des autres schémas de pensée, des autres flux de pensée, pour pouvoir reconstruire l'estime de soi, de votre enfant d'une part, et inch'Allah, changer son vocabulaire pour pouvoir l'amener. Et par là, encore une fois, on revient à notre spiritualité. où les mots ont un poids énorme dans notre spiritualité. On a beaucoup de hadiths rapportés par le prophète, qui nous encouragent à dire une bonne parole. La belle parole, c'est une aumône. Les paraboles, les métaphores qu'on a, les analogies qu'on a dans le Prolhaine par rapport à ce que représente une bonne parole avec un arbre qui apporte des fruits, et ce que représente une mauvaise parole, qu'une bonne parole vaut 10 hasenet et qu'une mauvaise parole, etc. Donc, tout le langage que les... que les gens du paradis, ceux qui ont fait attention finalement à leur langue, que la langue va faire entrer beaucoup de personnes en enfer. Donc tout ça, c'est important de prendre conscience que les mots, dans notre spiritualité, ils ont un poids, notamment dans le dikh, on est beaucoup dans des belles paroles, on évoque Allah Azzawajal avec des paroles qui sont nobles, des belles paroles qui viennent purifier nos cœurs, purifier notre âme, et qui viennent nous renforcer, et physiquement, subhanallah, et... et psychologiquement. Donc c'est important de prendre conscience que les mots sont très très très importants. Donc observez-vous aujourd'hui l'invitation dans ce podcast-là, c'est d'observer vos mots avant d'observer ceux de vos enfants. Écoutez-vous comment vous vous parlez et quand il y a un mot qui vous dérange chez vos enfants, observez, est-ce que c'est un mot que vous utilisez régulièrement ou pas, pour pouvoir vous entraîner petit à petit à réduire ces mots. Focalisez-vous sur un mot, si c'est une phrase que vous dites que vous n'aimez pas et que votre enfant dit que vous ne supportez pas. Efforcez-vous juste pendant par exemple ce mot-là. de ne plus l'utiliser, de la remplacer par un autre mot. Béinillah. Voilà, c'est tout pour moi. On se retrouve pour celles qui auront le courage et la motivation d'aller plus loin et de se former pour prendre cette responsabilité à cœur, incha'Allah, dans la formation Iceberg. Béinillah sur l'adolescence. Incha'Allah, je prévoirai aussi des ateliers mensuels pour pouvoir vous accompagner dans cette formation-là. Mais ce sera un bonus que je vous présenterai, incha'Allah, dès la rentrée. Béinillah. Prenez soin de vous. N'hésitez pas vraiment à vous procurer cette formation-là, elle va énormément vous aider. J'ai mis vraiment le nectar, on va dire, de tout ce que j'ai pu apprendre sur l'adolescence et sur son lien avec la spiritualité. C'est vraiment riche en informations et c'est plus de 7 modules où on parle de différents aspects, notamment les réseaux sociaux, les relations filles-garçons, etc. Donc beaucoup de sujets intéressants. Je vous souhaite une excellente semaine. Qu'Allah vous préserve. Fais amener la vie au Hifdeh. Assalamu alaikum. Et rahmatou Allahi ta'ala wa barakatou.