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Nicola K Podcast

Un mur de silence

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01min |23/04/2025|

16

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Nicola K Podcast

Un mur de silence

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01min |23/04/2025|

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Description

Dans cet épisode profondément intime, Nicola nous plonge dans ses premiers pas à l’école en Belgique. Tout commence par un silence. Un silence pesant, fait d’incompréhensions, de regards moqueurs, de mots qu’il ne comprend pas et qu’il n’arrive pas à prononcer. Arriver dans une nouvelle école, dans un nouveau pays, sans maîtriser la langue, c’est comme être jeté dans un monde où l’on ne peut ni se défendre ni s’exprimer. Il devient, malgré lui, celui qu’on pointe du doigt, celui dont on rit. Il fait rire la classe, mais pas par choix.


Nicola nous raconte aussi l’autre combat : celui qu’il mène chaque soir dans un centre de devoirs, pour essayer de rattraper le retard, pour tenter de comprendre, pour se prouver qu’il peut y arriver. Mais malgré ses efforts, il échoue. Il rate son année. Il ne reçoit pas son CEB. Et ce bulletin vide devient le symbole d’un système qui ne l’a pas attendu, qui l’a laissé tomber.


Entre la honte, la solitude et une immense volonté d’avancer, Nicola partage ses blessures, mais aussi ses petites résistances quotidiennes. À travers cet épisode, on découvre l’enfant derrière les maladresses, celui qui voulait seulement apprendre, s’intégrer, et surtout… exister.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    bienvenue dans mon épisode 7 un mur de silence quand j'ai rêvé à l'école en belgique tout était un combat mais presque rien j'avais jamais bien suivi les cours de l'opinion car il aurait si c'était pique en classe en bulgare et je faisais rire tout le monde mais pas de la même manière de l'éloquent malgré moi les mots me manquaient ou les moqueries pleuvant. Chagrivois est un mur, un mur de mots que je ne pouvais pas traverser. C'était humiliant, mais je n'avais pas le choix. Il fallait affronter ce nouveau sans même avoir les outils pour l'exprimer. Donc après, avec mes parents adoptés en Belgique, au début c'était très difficile quand je parle vraiment très difficile. Tout était nouveau, même pour eux aussi. Je me souviens que la pluie Plus tard, je suis rentré en Suisse et dans une grande école, je parlais pas bien le français et je savais à peine les choses non plus. Donc après l'école, j'allais dans un endroit spécial pour faire des devoirs et étudier au même temps. Après les cours d'école, c'était dur. J'allais tous les jours, j'avais mal à tous les effets, je traitais mon ami et je pouvais m'en faire. Quand j'ai reçu ce bulletin, feed J'ai eu l'impression de tout perdre. C'était un coup de dune. Une vraie honte, comme si tout ce que je tentais ne servait à rien. Merci d'avoir écouté mon podcast. Prenez soin de vous.

Description

Dans cet épisode profondément intime, Nicola nous plonge dans ses premiers pas à l’école en Belgique. Tout commence par un silence. Un silence pesant, fait d’incompréhensions, de regards moqueurs, de mots qu’il ne comprend pas et qu’il n’arrive pas à prononcer. Arriver dans une nouvelle école, dans un nouveau pays, sans maîtriser la langue, c’est comme être jeté dans un monde où l’on ne peut ni se défendre ni s’exprimer. Il devient, malgré lui, celui qu’on pointe du doigt, celui dont on rit. Il fait rire la classe, mais pas par choix.


Nicola nous raconte aussi l’autre combat : celui qu’il mène chaque soir dans un centre de devoirs, pour essayer de rattraper le retard, pour tenter de comprendre, pour se prouver qu’il peut y arriver. Mais malgré ses efforts, il échoue. Il rate son année. Il ne reçoit pas son CEB. Et ce bulletin vide devient le symbole d’un système qui ne l’a pas attendu, qui l’a laissé tomber.


Entre la honte, la solitude et une immense volonté d’avancer, Nicola partage ses blessures, mais aussi ses petites résistances quotidiennes. À travers cet épisode, on découvre l’enfant derrière les maladresses, celui qui voulait seulement apprendre, s’intégrer, et surtout… exister.


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  • Speaker #0

    bienvenue dans mon épisode 7 un mur de silence quand j'ai rêvé à l'école en belgique tout était un combat mais presque rien j'avais jamais bien suivi les cours de l'opinion car il aurait si c'était pique en classe en bulgare et je faisais rire tout le monde mais pas de la même manière de l'éloquent malgré moi les mots me manquaient ou les moqueries pleuvant. Chagrivois est un mur, un mur de mots que je ne pouvais pas traverser. C'était humiliant, mais je n'avais pas le choix. Il fallait affronter ce nouveau sans même avoir les outils pour l'exprimer. Donc après, avec mes parents adoptés en Belgique, au début c'était très difficile quand je parle vraiment très difficile. Tout était nouveau, même pour eux aussi. Je me souviens que la pluie Plus tard, je suis rentré en Suisse et dans une grande école, je parlais pas bien le français et je savais à peine les choses non plus. Donc après l'école, j'allais dans un endroit spécial pour faire des devoirs et étudier au même temps. Après les cours d'école, c'était dur. J'allais tous les jours, j'avais mal à tous les effets, je traitais mon ami et je pouvais m'en faire. Quand j'ai reçu ce bulletin, feed J'ai eu l'impression de tout perdre. C'était un coup de dune. Une vraie honte, comme si tout ce que je tentais ne servait à rien. Merci d'avoir écouté mon podcast. Prenez soin de vous.

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Nicola nous raconte aussi l’autre combat : celui qu’il mène chaque soir dans un centre de devoirs, pour essayer de rattraper le retard, pour tenter de comprendre, pour se prouver qu’il peut y arriver. Mais malgré ses efforts, il échoue. Il rate son année. Il ne reçoit pas son CEB. Et ce bulletin vide devient le symbole d’un système qui ne l’a pas attendu, qui l’a laissé tomber.


Entre la honte, la solitude et une immense volonté d’avancer, Nicola partage ses blessures, mais aussi ses petites résistances quotidiennes. À travers cet épisode, on découvre l’enfant derrière les maladresses, celui qui voulait seulement apprendre, s’intégrer, et surtout… exister.


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    bienvenue dans mon épisode 7 un mur de silence quand j'ai rêvé à l'école en belgique tout était un combat mais presque rien j'avais jamais bien suivi les cours de l'opinion car il aurait si c'était pique en classe en bulgare et je faisais rire tout le monde mais pas de la même manière de l'éloquent malgré moi les mots me manquaient ou les moqueries pleuvant. Chagrivois est un mur, un mur de mots que je ne pouvais pas traverser. C'était humiliant, mais je n'avais pas le choix. Il fallait affronter ce nouveau sans même avoir les outils pour l'exprimer. Donc après, avec mes parents adoptés en Belgique, au début c'était très difficile quand je parle vraiment très difficile. Tout était nouveau, même pour eux aussi. Je me souviens que la pluie Plus tard, je suis rentré en Suisse et dans une grande école, je parlais pas bien le français et je savais à peine les choses non plus. Donc après l'école, j'allais dans un endroit spécial pour faire des devoirs et étudier au même temps. Après les cours d'école, c'était dur. J'allais tous les jours, j'avais mal à tous les effets, je traitais mon ami et je pouvais m'en faire. Quand j'ai reçu ce bulletin, feed J'ai eu l'impression de tout perdre. C'était un coup de dune. Une vraie honte, comme si tout ce que je tentais ne servait à rien. Merci d'avoir écouté mon podcast. Prenez soin de vous.

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Dans cet épisode profondément intime, Nicola nous plonge dans ses premiers pas à l’école en Belgique. Tout commence par un silence. Un silence pesant, fait d’incompréhensions, de regards moqueurs, de mots qu’il ne comprend pas et qu’il n’arrive pas à prononcer. Arriver dans une nouvelle école, dans un nouveau pays, sans maîtriser la langue, c’est comme être jeté dans un monde où l’on ne peut ni se défendre ni s’exprimer. Il devient, malgré lui, celui qu’on pointe du doigt, celui dont on rit. Il fait rire la classe, mais pas par choix.


Nicola nous raconte aussi l’autre combat : celui qu’il mène chaque soir dans un centre de devoirs, pour essayer de rattraper le retard, pour tenter de comprendre, pour se prouver qu’il peut y arriver. Mais malgré ses efforts, il échoue. Il rate son année. Il ne reçoit pas son CEB. Et ce bulletin vide devient le symbole d’un système qui ne l’a pas attendu, qui l’a laissé tomber.


Entre la honte, la solitude et une immense volonté d’avancer, Nicola partage ses blessures, mais aussi ses petites résistances quotidiennes. À travers cet épisode, on découvre l’enfant derrière les maladresses, celui qui voulait seulement apprendre, s’intégrer, et surtout… exister.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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  • Speaker #0

    bienvenue dans mon épisode 7 un mur de silence quand j'ai rêvé à l'école en belgique tout était un combat mais presque rien j'avais jamais bien suivi les cours de l'opinion car il aurait si c'était pique en classe en bulgare et je faisais rire tout le monde mais pas de la même manière de l'éloquent malgré moi les mots me manquaient ou les moqueries pleuvant. Chagrivois est un mur, un mur de mots que je ne pouvais pas traverser. C'était humiliant, mais je n'avais pas le choix. Il fallait affronter ce nouveau sans même avoir les outils pour l'exprimer. Donc après, avec mes parents adoptés en Belgique, au début c'était très difficile quand je parle vraiment très difficile. Tout était nouveau, même pour eux aussi. Je me souviens que la pluie Plus tard, je suis rentré en Suisse et dans une grande école, je parlais pas bien le français et je savais à peine les choses non plus. Donc après l'école, j'allais dans un endroit spécial pour faire des devoirs et étudier au même temps. Après les cours d'école, c'était dur. J'allais tous les jours, j'avais mal à tous les effets, je traitais mon ami et je pouvais m'en faire. Quand j'ai reçu ce bulletin, feed J'ai eu l'impression de tout perdre. C'était un coup de dune. Une vraie honte, comme si tout ce que je tentais ne servait à rien. Merci d'avoir écouté mon podcast. Prenez soin de vous.

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