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Podcasts de Nouvelle-Aquitaine

Numérique responsable - Ep 3 : Les objets connectés d’hier, d’aujourd’hui et de demain

Numérique responsable - Ep 3 : Les objets connectés d’hier, d’aujourd’hui et de demain

02min |27/09/2021|

166

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Description

Au fil des ans, des objets connectés de toutes sortes sont apparus et leur quantité a explosé dans le monde entier. Loin d’être anodins, ces petits appareils ont un impact lourd sur l’ensemble de leur cycle de vie. À tel point qu’ils pourraient être la deuxième principale cause de la pollution numérique.

Smartphones, montres connectées, enceintes intelligentes… Leur sort commence dans les mines en Afrique ou en Amérique du Sud, là où les minerais précieux et les terres rares sont extraites. L’impact sur les populations et les écosystèmes locaux y est déjà colossal. Et l’ensemble de la phase de production qui suit (de la production de toutes les pièces de ces objets à l’assemblage) a également un impact considérable.


Les externalités négatives liées à ces objets ne s’arrêtent pas à leur fabrication, et continuent dans leur usage. Enceinte sans cesse reliée à son smartphone ou montre calculant et envoyant toutes les données de santé à son téléphone : l’interconnexion constante entre appareils est une des sources d’une explosion du trafic des données et mobilise donc une énergie importante pour leur transfert.


Les réseaux 4G, 5G, Wifi ou encore Bluetooth, qui permettent le transfert des données générées, sont aussi consommateurs d’énergie. Le stockage important de ces données engendre également une pollution liée au fonctionnement des centres de données. Les demandes en eau et en électricité s’accentuent.


À l’instar de beaucoup de petits appareils électroniques, leur durée de vie est faible, donnant place à un remplacement très rapide. Dans l’optique d’un monde numérique plus positif, les garder le plus longtemps possible reste le geste ayant le plus d’impact.


Entre gadget et réelle utilité, tentons d’utiliser ces outils pour répondre à des besoins plutôt qu’à des envies. Leur achat, s’il est envisagé, doit tendre vers la seconde main. C’est en questionnant notre besoin et en se tournant vers les appareils reconditionnés que nous pourrons limiter l’empreinte de ces objets connectés.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Au fil des ans, des objets connectés de toutes sortes sont apparus et leur quantité a explosé dans le monde entier. Loin d’être anodins, ces petits appareils ont un impact lourd sur l’ensemble de leur cycle de vie. À tel point qu’ils pourraient être la deuxième principale cause de la pollution numérique.

Smartphones, montres connectées, enceintes intelligentes… Leur sort commence dans les mines en Afrique ou en Amérique du Sud, là où les minerais précieux et les terres rares sont extraites. L’impact sur les populations et les écosystèmes locaux y est déjà colossal. Et l’ensemble de la phase de production qui suit (de la production de toutes les pièces de ces objets à l’assemblage) a également un impact considérable.


Les externalités négatives liées à ces objets ne s’arrêtent pas à leur fabrication, et continuent dans leur usage. Enceinte sans cesse reliée à son smartphone ou montre calculant et envoyant toutes les données de santé à son téléphone : l’interconnexion constante entre appareils est une des sources d’une explosion du trafic des données et mobilise donc une énergie importante pour leur transfert.


Les réseaux 4G, 5G, Wifi ou encore Bluetooth, qui permettent le transfert des données générées, sont aussi consommateurs d’énergie. Le stockage important de ces données engendre également une pollution liée au fonctionnement des centres de données. Les demandes en eau et en électricité s’accentuent.


À l’instar de beaucoup de petits appareils électroniques, leur durée de vie est faible, donnant place à un remplacement très rapide. Dans l’optique d’un monde numérique plus positif, les garder le plus longtemps possible reste le geste ayant le plus d’impact.


Entre gadget et réelle utilité, tentons d’utiliser ces outils pour répondre à des besoins plutôt qu’à des envies. Leur achat, s’il est envisagé, doit tendre vers la seconde main. C’est en questionnant notre besoin et en se tournant vers les appareils reconditionnés que nous pourrons limiter l’empreinte de ces objets connectés.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Au fil des ans, des objets connectés de toutes sortes sont apparus et leur quantité a explosé dans le monde entier. Loin d’être anodins, ces petits appareils ont un impact lourd sur l’ensemble de leur cycle de vie. À tel point qu’ils pourraient être la deuxième principale cause de la pollution numérique.

Smartphones, montres connectées, enceintes intelligentes… Leur sort commence dans les mines en Afrique ou en Amérique du Sud, là où les minerais précieux et les terres rares sont extraites. L’impact sur les populations et les écosystèmes locaux y est déjà colossal. Et l’ensemble de la phase de production qui suit (de la production de toutes les pièces de ces objets à l’assemblage) a également un impact considérable.


Les externalités négatives liées à ces objets ne s’arrêtent pas à leur fabrication, et continuent dans leur usage. Enceinte sans cesse reliée à son smartphone ou montre calculant et envoyant toutes les données de santé à son téléphone : l’interconnexion constante entre appareils est une des sources d’une explosion du trafic des données et mobilise donc une énergie importante pour leur transfert.


Les réseaux 4G, 5G, Wifi ou encore Bluetooth, qui permettent le transfert des données générées, sont aussi consommateurs d’énergie. Le stockage important de ces données engendre également une pollution liée au fonctionnement des centres de données. Les demandes en eau et en électricité s’accentuent.


À l’instar de beaucoup de petits appareils électroniques, leur durée de vie est faible, donnant place à un remplacement très rapide. Dans l’optique d’un monde numérique plus positif, les garder le plus longtemps possible reste le geste ayant le plus d’impact.


Entre gadget et réelle utilité, tentons d’utiliser ces outils pour répondre à des besoins plutôt qu’à des envies. Leur achat, s’il est envisagé, doit tendre vers la seconde main. C’est en questionnant notre besoin et en se tournant vers les appareils reconditionnés que nous pourrons limiter l’empreinte de ces objets connectés.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Au fil des ans, des objets connectés de toutes sortes sont apparus et leur quantité a explosé dans le monde entier. Loin d’être anodins, ces petits appareils ont un impact lourd sur l’ensemble de leur cycle de vie. À tel point qu’ils pourraient être la deuxième principale cause de la pollution numérique.

Smartphones, montres connectées, enceintes intelligentes… Leur sort commence dans les mines en Afrique ou en Amérique du Sud, là où les minerais précieux et les terres rares sont extraites. L’impact sur les populations et les écosystèmes locaux y est déjà colossal. Et l’ensemble de la phase de production qui suit (de la production de toutes les pièces de ces objets à l’assemblage) a également un impact considérable.


Les externalités négatives liées à ces objets ne s’arrêtent pas à leur fabrication, et continuent dans leur usage. Enceinte sans cesse reliée à son smartphone ou montre calculant et envoyant toutes les données de santé à son téléphone : l’interconnexion constante entre appareils est une des sources d’une explosion du trafic des données et mobilise donc une énergie importante pour leur transfert.


Les réseaux 4G, 5G, Wifi ou encore Bluetooth, qui permettent le transfert des données générées, sont aussi consommateurs d’énergie. Le stockage important de ces données engendre également une pollution liée au fonctionnement des centres de données. Les demandes en eau et en électricité s’accentuent.


À l’instar de beaucoup de petits appareils électroniques, leur durée de vie est faible, donnant place à un remplacement très rapide. Dans l’optique d’un monde numérique plus positif, les garder le plus longtemps possible reste le geste ayant le plus d’impact.


Entre gadget et réelle utilité, tentons d’utiliser ces outils pour répondre à des besoins plutôt qu’à des envies. Leur achat, s’il est envisagé, doit tendre vers la seconde main. C’est en questionnant notre besoin et en se tournant vers les appareils reconditionnés que nous pourrons limiter l’empreinte de ces objets connectés.


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