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Numérique responsable - Ep 5 : Binge watcher, l’empreinte pour ma personne et la planète cover
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Podcasts de Nouvelle-Aquitaine

Numérique responsable - Ep 5 : Binge watcher, l’empreinte pour ma personne et la planète

Numérique responsable - Ep 5 : Binge watcher, l’empreinte pour ma personne et la planète

02min |11/10/2021|

81

Play
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02min |11/10/2021|

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Description





Avec la montée fulgurante du visionnage de vidéos en ligne, rendue accessible par la modernisation des outils numériques et d’Internet, il n’est pas rare de passer des heures devant nos écrans.

Binge-watcher ou streamer des vidéos en direct sont devenus monnaie courante, à tel point que le streaming vidéo représente 61% du trafic Internet mondial[1]. Source de connaissances, de divertissement ou d’actualités, le streaming en ligne séduit l’ensemble de la population.

Les confinements qui ont marqué le monde sont notamment la preuve de l’importance du phénomène. Les plateformes comme Netflix, YouTube ou Facebook ont été contraintes de baisser la qualité des vidéos pour alléger la bande passante mondiale, du jamais vu.


Ce type de services amène son lot d’inconvénients, tant sur le plan environnemental que social. Binge-watcher une série jusqu’à tard impacte notre sommeil par les lumières bleues de nos écrans, auxquelles nous sommes exposés. Une exposition soutenue à ces lumières empêche la création de mélatonine, l’hormone du sommeil.


D’un point de vue environnemental, le streaming en ligne est un des services numériques les plus énergivores. Nous sommes à l’ère du HD généralisé, de la 4K, autant de formats vidéos qui pèsent lourd dans nos datacenters. Le stockage ainsi que le transfert de ces vidéos sur nos appareils demandent une grande quantité d’électricité et d’eau. Au niveau gaz à effet de serre, les centres de données pèsent près d’un quart de l’empreinte environnementale du numérique.


Des axes d’améliorations sont bien évidemment possibles et souhaitables. En tant qu’utilisateurs de ces services, la réduction du temps de visionnage et de la qualité de la vidéo sont des gestes à adopter pour limiter son impact. En utilisant ces services avec une certaine sobriété, nous pouvons façonner un futur numérique plus positif.


[1] https://fr.statista.com/infographie/21207/repartition-du-trafic-internet-mondial-par-usage/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description





Avec la montée fulgurante du visionnage de vidéos en ligne, rendue accessible par la modernisation des outils numériques et d’Internet, il n’est pas rare de passer des heures devant nos écrans.

Binge-watcher ou streamer des vidéos en direct sont devenus monnaie courante, à tel point que le streaming vidéo représente 61% du trafic Internet mondial[1]. Source de connaissances, de divertissement ou d’actualités, le streaming en ligne séduit l’ensemble de la population.

Les confinements qui ont marqué le monde sont notamment la preuve de l’importance du phénomène. Les plateformes comme Netflix, YouTube ou Facebook ont été contraintes de baisser la qualité des vidéos pour alléger la bande passante mondiale, du jamais vu.


Ce type de services amène son lot d’inconvénients, tant sur le plan environnemental que social. Binge-watcher une série jusqu’à tard impacte notre sommeil par les lumières bleues de nos écrans, auxquelles nous sommes exposés. Une exposition soutenue à ces lumières empêche la création de mélatonine, l’hormone du sommeil.


D’un point de vue environnemental, le streaming en ligne est un des services numériques les plus énergivores. Nous sommes à l’ère du HD généralisé, de la 4K, autant de formats vidéos qui pèsent lourd dans nos datacenters. Le stockage ainsi que le transfert de ces vidéos sur nos appareils demandent une grande quantité d’électricité et d’eau. Au niveau gaz à effet de serre, les centres de données pèsent près d’un quart de l’empreinte environnementale du numérique.


Des axes d’améliorations sont bien évidemment possibles et souhaitables. En tant qu’utilisateurs de ces services, la réduction du temps de visionnage et de la qualité de la vidéo sont des gestes à adopter pour limiter son impact. En utilisant ces services avec une certaine sobriété, nous pouvons façonner un futur numérique plus positif.


[1] https://fr.statista.com/infographie/21207/repartition-du-trafic-internet-mondial-par-usage/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Avec la montée fulgurante du visionnage de vidéos en ligne, rendue accessible par la modernisation des outils numériques et d’Internet, il n’est pas rare de passer des heures devant nos écrans.

Binge-watcher ou streamer des vidéos en direct sont devenus monnaie courante, à tel point que le streaming vidéo représente 61% du trafic Internet mondial[1]. Source de connaissances, de divertissement ou d’actualités, le streaming en ligne séduit l’ensemble de la population.

Les confinements qui ont marqué le monde sont notamment la preuve de l’importance du phénomène. Les plateformes comme Netflix, YouTube ou Facebook ont été contraintes de baisser la qualité des vidéos pour alléger la bande passante mondiale, du jamais vu.


Ce type de services amène son lot d’inconvénients, tant sur le plan environnemental que social. Binge-watcher une série jusqu’à tard impacte notre sommeil par les lumières bleues de nos écrans, auxquelles nous sommes exposés. Une exposition soutenue à ces lumières empêche la création de mélatonine, l’hormone du sommeil.


D’un point de vue environnemental, le streaming en ligne est un des services numériques les plus énergivores. Nous sommes à l’ère du HD généralisé, de la 4K, autant de formats vidéos qui pèsent lourd dans nos datacenters. Le stockage ainsi que le transfert de ces vidéos sur nos appareils demandent une grande quantité d’électricité et d’eau. Au niveau gaz à effet de serre, les centres de données pèsent près d’un quart de l’empreinte environnementale du numérique.


Des axes d’améliorations sont bien évidemment possibles et souhaitables. En tant qu’utilisateurs de ces services, la réduction du temps de visionnage et de la qualité de la vidéo sont des gestes à adopter pour limiter son impact. En utilisant ces services avec une certaine sobriété, nous pouvons façonner un futur numérique plus positif.


[1] https://fr.statista.com/infographie/21207/repartition-du-trafic-internet-mondial-par-usage/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Avec la montée fulgurante du visionnage de vidéos en ligne, rendue accessible par la modernisation des outils numériques et d’Internet, il n’est pas rare de passer des heures devant nos écrans.

Binge-watcher ou streamer des vidéos en direct sont devenus monnaie courante, à tel point que le streaming vidéo représente 61% du trafic Internet mondial[1]. Source de connaissances, de divertissement ou d’actualités, le streaming en ligne séduit l’ensemble de la population.

Les confinements qui ont marqué le monde sont notamment la preuve de l’importance du phénomène. Les plateformes comme Netflix, YouTube ou Facebook ont été contraintes de baisser la qualité des vidéos pour alléger la bande passante mondiale, du jamais vu.


Ce type de services amène son lot d’inconvénients, tant sur le plan environnemental que social. Binge-watcher une série jusqu’à tard impacte notre sommeil par les lumières bleues de nos écrans, auxquelles nous sommes exposés. Une exposition soutenue à ces lumières empêche la création de mélatonine, l’hormone du sommeil.


D’un point de vue environnemental, le streaming en ligne est un des services numériques les plus énergivores. Nous sommes à l’ère du HD généralisé, de la 4K, autant de formats vidéos qui pèsent lourd dans nos datacenters. Le stockage ainsi que le transfert de ces vidéos sur nos appareils demandent une grande quantité d’électricité et d’eau. Au niveau gaz à effet de serre, les centres de données pèsent près d’un quart de l’empreinte environnementale du numérique.


Des axes d’améliorations sont bien évidemment possibles et souhaitables. En tant qu’utilisateurs de ces services, la réduction du temps de visionnage et de la qualité de la vidéo sont des gestes à adopter pour limiter son impact. En utilisant ces services avec une certaine sobriété, nous pouvons façonner un futur numérique plus positif.


[1] https://fr.statista.com/infographie/21207/repartition-du-trafic-internet-mondial-par-usage/


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