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Podcasts de Nouvelle-Aquitaine

Numérique responsable - Ep 9 : Empreinte, identité numérique, traces numériques et harcèlement en ligne

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02min |15/11/2021|

120

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Description










Internet, depuis sa création, a toujours été mu par l’ambition d’être un espace de liberté, d’expression, d’apprentissage, de divertissement et d’inclusion. Au fil de son expansion, des externalités négatives sont apparues, souvent reflet de nos sociétés dans le monde physique.

Le harcèlement en ligne, ou cyber-harcèlement, en fait partie. Ce web plus accessible, qui facilite le partage de contenus tout en nous détachant de nos paroles, a malheureusement ouvert la voie à des attitudes négatives. Critiques, insultes, moqueries ou menaces qui constituent le socle du harcèlement sont depuis des années retranscrites sur le web.


Les réseaux sociaux en sont un lieu de propagation idéal. En 2020, un internaute français sur quatre a été victime ou témoin de cyber-harcèlement[1]. Le phénomène est de plus en plus reconnu et sanctionné. Cependant, la structure des réseaux sociaux ne l’endigue pas : mise en avant de certains contenus malveillants, manque de modération…


Et à ces éléments s’ajoute le débat de la part de l’anonymat en ligne dans le cyber-harcèlement. À double tranchant, le pseudo-anonymat sur le web peut être  autant protecteur de libertés que porteur de comportements punissables. 


Celui-ci est autant utilisé à bon escient par les lanceurs d’alertes ou les victimes d’harcèlement qu’à mauvais escient par les harceleurs. Nos libertés fondamentales sont aussi maintenues par cet anonymat, le proscrire reviendrait à les restreindre.


La haine en ligne constitue l’extension de celle présente hors ligne dans nos sociétés. Le combat contre elle doit donc aussi bien se faire sur le web qu’en dehors. Des gestes simples en tant que témoin ou victime peuvent limiter la prolifération de harcèlement. Le signalement, blocage, restriction de comptes et de contenus sont possibles sur les réseaux sociaux. Dans tous cas de harcèlement, parler avec un adulte proche est un début de solution pour agir.


[1] https://news.microsoft.com/fr-fr/2021/02/09/safer-internet-day-le-civisme-en-ligne-sameliore-de-3-points-dans-le-monde/


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description










Internet, depuis sa création, a toujours été mu par l’ambition d’être un espace de liberté, d’expression, d’apprentissage, de divertissement et d’inclusion. Au fil de son expansion, des externalités négatives sont apparues, souvent reflet de nos sociétés dans le monde physique.

Le harcèlement en ligne, ou cyber-harcèlement, en fait partie. Ce web plus accessible, qui facilite le partage de contenus tout en nous détachant de nos paroles, a malheureusement ouvert la voie à des attitudes négatives. Critiques, insultes, moqueries ou menaces qui constituent le socle du harcèlement sont depuis des années retranscrites sur le web.


Les réseaux sociaux en sont un lieu de propagation idéal. En 2020, un internaute français sur quatre a été victime ou témoin de cyber-harcèlement[1]. Le phénomène est de plus en plus reconnu et sanctionné. Cependant, la structure des réseaux sociaux ne l’endigue pas : mise en avant de certains contenus malveillants, manque de modération…


Et à ces éléments s’ajoute le débat de la part de l’anonymat en ligne dans le cyber-harcèlement. À double tranchant, le pseudo-anonymat sur le web peut être  autant protecteur de libertés que porteur de comportements punissables. 


Celui-ci est autant utilisé à bon escient par les lanceurs d’alertes ou les victimes d’harcèlement qu’à mauvais escient par les harceleurs. Nos libertés fondamentales sont aussi maintenues par cet anonymat, le proscrire reviendrait à les restreindre.


La haine en ligne constitue l’extension de celle présente hors ligne dans nos sociétés. Le combat contre elle doit donc aussi bien se faire sur le web qu’en dehors. Des gestes simples en tant que témoin ou victime peuvent limiter la prolifération de harcèlement. Le signalement, blocage, restriction de comptes et de contenus sont possibles sur les réseaux sociaux. Dans tous cas de harcèlement, parler avec un adulte proche est un début de solution pour agir.


[1] https://news.microsoft.com/fr-fr/2021/02/09/safer-internet-day-le-civisme-en-ligne-sameliore-de-3-points-dans-le-monde/


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Le harcèlement en ligne, ou cyber-harcèlement, en fait partie. Ce web plus accessible, qui facilite le partage de contenus tout en nous détachant de nos paroles, a malheureusement ouvert la voie à des attitudes négatives. Critiques, insultes, moqueries ou menaces qui constituent le socle du harcèlement sont depuis des années retranscrites sur le web.


Les réseaux sociaux en sont un lieu de propagation idéal. En 2020, un internaute français sur quatre a été victime ou témoin de cyber-harcèlement[1]. Le phénomène est de plus en plus reconnu et sanctionné. Cependant, la structure des réseaux sociaux ne l’endigue pas : mise en avant de certains contenus malveillants, manque de modération…


Et à ces éléments s’ajoute le débat de la part de l’anonymat en ligne dans le cyber-harcèlement. À double tranchant, le pseudo-anonymat sur le web peut être  autant protecteur de libertés que porteur de comportements punissables. 


Celui-ci est autant utilisé à bon escient par les lanceurs d’alertes ou les victimes d’harcèlement qu’à mauvais escient par les harceleurs. Nos libertés fondamentales sont aussi maintenues par cet anonymat, le proscrire reviendrait à les restreindre.


La haine en ligne constitue l’extension de celle présente hors ligne dans nos sociétés. Le combat contre elle doit donc aussi bien se faire sur le web qu’en dehors. Des gestes simples en tant que témoin ou victime peuvent limiter la prolifération de harcèlement. Le signalement, blocage, restriction de comptes et de contenus sont possibles sur les réseaux sociaux. Dans tous cas de harcèlement, parler avec un adulte proche est un début de solution pour agir.


[1] https://news.microsoft.com/fr-fr/2021/02/09/safer-internet-day-le-civisme-en-ligne-sameliore-de-3-points-dans-le-monde/


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Internet, depuis sa création, a toujours été mu par l’ambition d’être un espace de liberté, d’expression, d’apprentissage, de divertissement et d’inclusion. Au fil de son expansion, des externalités négatives sont apparues, souvent reflet de nos sociétés dans le monde physique.

Le harcèlement en ligne, ou cyber-harcèlement, en fait partie. Ce web plus accessible, qui facilite le partage de contenus tout en nous détachant de nos paroles, a malheureusement ouvert la voie à des attitudes négatives. Critiques, insultes, moqueries ou menaces qui constituent le socle du harcèlement sont depuis des années retranscrites sur le web.


Les réseaux sociaux en sont un lieu de propagation idéal. En 2020, un internaute français sur quatre a été victime ou témoin de cyber-harcèlement[1]. Le phénomène est de plus en plus reconnu et sanctionné. Cependant, la structure des réseaux sociaux ne l’endigue pas : mise en avant de certains contenus malveillants, manque de modération…


Et à ces éléments s’ajoute le débat de la part de l’anonymat en ligne dans le cyber-harcèlement. À double tranchant, le pseudo-anonymat sur le web peut être  autant protecteur de libertés que porteur de comportements punissables. 


Celui-ci est autant utilisé à bon escient par les lanceurs d’alertes ou les victimes d’harcèlement qu’à mauvais escient par les harceleurs. Nos libertés fondamentales sont aussi maintenues par cet anonymat, le proscrire reviendrait à les restreindre.


La haine en ligne constitue l’extension de celle présente hors ligne dans nos sociétés. Le combat contre elle doit donc aussi bien se faire sur le web qu’en dehors. Des gestes simples en tant que témoin ou victime peuvent limiter la prolifération de harcèlement. Le signalement, blocage, restriction de comptes et de contenus sont possibles sur les réseaux sociaux. Dans tous cas de harcèlement, parler avec un adulte proche est un début de solution pour agir.


[1] https://news.microsoft.com/fr-fr/2021/02/09/safer-internet-day-le-civisme-en-ligne-sameliore-de-3-points-dans-le-monde/


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