Présidente de l’ONG “Fashion Revolution France” depuis 2020. En avril 2022, Catherine a sorti un livre "Fashion" dans lequel elle aborde la violation des droits fondamentaux des travailleurs et travailleuses du textile : exploitation, violences, travail des enfants, esclavage… Autant d’horreurs qui se cachent derrière la fabrication d’un simple tee-shirt. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

En parallèle de ses études de droit, Louise devient bénévole au sein de plusieurs associations dont l’Observatoire international des prisons et GENEPI. Par le biais de ces associations, elle se rend dans les prisons et côtoie les détenu.es (http://xn--dtenu-bsa.es). Au cours d’une de ces visites en prison, un détenu lui dit « faut que tu leur dises dehors, dis leur pour nous s’il te plaît », c’est de là que le compte instagram « Dis leur pour nous » voit le jour. Depuis 2018, Louise y partage les témoignages des détenu.es (http://xn--dtenu-bsa.es) mais aussi des personnes exilées qu’elle côtoie au quotidien depuis qu’elle est devenue avocate. La parole de ces personnes invisibilisées et rendue visible grâce à Louise dont le compte est aujourd’hui suivi par plus de 4000 personnes. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

J’ai rencontré Raja il y a de ça bientôt 4 ans. Lorsque j’ai lancé « Parlons Droits Humains », c’est l’une des premières personnes que je souhaitais inviter. C’est finalement deux ans après la création de ce podcast que nous nous sommes retrouvées pour enregistrer cet épisode. Raja est très discrète et n’aime pas être mise en avant donc parler d’elle, de son parcours et de son association n’était pas un exercice facile. Elle s’en est très bien sortie et j’espère la convaincre de revenir au micro de « Parlons Droits Humains » car c’est l’une des femmes de mon entourage la plus intéressante et la plus inspirante notamment en ce qui concerne les droits de l’homme. En 2019, elle créer sa propre association humanitaire avec l’aide de quelques proches qui partagent les mêmes convictions et le même objectif : venir en aide aux plus démunis. Au fil des années, l’association diversifie ses missions en France mais aussi à l’étranger. En cinq ans, Raja a réussi à rassembler autour d’elle une centaine de bénévoles sur le terrain. Retournée vivre dans son pays d’origine, le Maroc, il y a deux ans, Raja y a lancé un grand et beau projet : construire une école pour faire en sorte que le droit à l’éducation se développe dans les villages reculés. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Née d’une mère algérienne et d’un père aux origines arméniennes, Diane se sent concernée par la thématique de l’exil. En 2015, elle se rend dans un camp de réfugiés au Liban. Elle revient sur cette expérience avec émotion qui a confirmé son engagement en faveur des droits humains. En 2011, alors étudiante en fac de droit, elle lance un blog intitulé « les 400 cris ». La création de son blog intervient au même moment que le début des « Printemps arabes ». Son frère, alors en Tunisie, lui raconte ce qu’il s’y passe. Elle retranscrit ses informations sur son blog. Elle décrit son blog comme son « lieu d’indignation ». Engagée et militante pour la défense des droits humains, Diane a travaillé au sein de l’ONG Médecins du Monde avant d’intégrer Amnesty International Belgique et l’Observatoire des Camps de réfugiés. Ses expériences tant professionnelles que personnelles lui permettent d’avoir un regard très intéressant sur les droits humains. Nous avons pu aborder plusieurs sujets tels que la migration, l’exil, les droits des réfugiés, la guerre au Yémen, le droit des femmes, le cyber harcèlement… Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.