Que se passe-t-il quand des professionnelles investies, responsables d’un service aussi sensible que l’accueil de jeunes enfants, tirent la sonnette d’alarme sur leurs conditions de travail… et qu’on leur répond par des mandalas et de la danse tahitienne ?
Dans cet épisode, Karen raconte l’après : l’arrêt brutal, la sidération dans sa voiture, la perte de repères, mais aussi ce que révèle cette expérience — sur elle, sur le monde du travail, et sur la violence silencieuse des organisations.
👉 Ce moment où la hiérarchie propose des ateliers de bien-être à des directrices épuisées illustre un mécanisme de déni institutionnel : nier les causes structurelles, évacuer la dimension politique du travail, et renvoyer la responsabilité de la souffrance à l’individu.
Une scène absurde… mais tristement banale.
Un témoignage précieux sur le piège de l’engagement sans limite, la culpabilité, la reconstruction, et le courage de se choisir, enfin.
🙏 Merci à Karen pour la puissance et la lucidité de son témoignage.
🎵 Musique d’intro et d’outro : Cvilni Violin – - Music by Adi Iswanto (https://pixabay.com/fr/users/adiiswanto-48763226/?utm_source=link-attribution&utm_medium=referral&utm_campaign=music&utm_content=302859)from Pixabay (https://pixabay.com//?utm_source=link-attribution&utm_medium=referral&utm_campaign=music&utm_content=302859)
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