Speaker #0Bienvenue dans ce conte magique où votre enfant devient le héros de l'histoire. Avant de commencer notre belle aventure, j'ai deux messages pour vous. Le premier, toutes ces histoires sont disponibles sans pub, sans coupure et sans jingle sur notre application pour accompagner vos soirées en douceur. Le deuxième, pour prolonger la magie à la maison, vous pouvez découvrir notre boutique avec des articles doux, joyeux et pensés avec amour. pour les petits moments du quotidien. Tous les liens sont sur notre blog famillecoupleuro.com ou dans la description. Et bien sûr, si ces histoires vous plaisent, vous pouvez vous abonner et laisser un pouce. Un abonnement et un pouce permettent à cette chaîne de continuer à grandir et à créer toujours plus de nouvelles histoires. Et maintenant, place à l'aventure ! Bonjour, c'est Patricia. Je te propose... propose aujourd'hui un conte magique pour rêver et grandir tout en douceur. L'enfant qui a rallumé la tour Eiffel. Avant de commencer cette magnifique aventure, nous allons prendre un moment pour nous préparer. Installe-toi confortablement dans ton lit ou sur ton coussin préféré. Tu peux t'asseoir ou t'allonger. Choisis la position qui te fait du bien. Quand tu es prêt, Laisse doucement tes paupières se fermer, si tu en as envie maintenant ou dès que tu en ressentiras le besoin. Respire tranquillement. Inspire profondément par le nez. L'air entre doucement, comme un parfum de pain chaud dans une rue de Paris. Souffle doucement par la bouche, comme si tu faisais danser une plume posée sur la paume de ta main. Encore une fois, inspire profondément par le nez et souffle doucement par la bouche. Ton ventre devient tout moelleux, calme et détendu. Laisse ton corps se détendre, tes bras deviennent lourds, tes jambes se relâchent, ton front se lisse. Tout autour de toi devient paisible, comme une petite rue pavée de Paris le soir. Quand tout le monde rentre à la maison. Et maintenant, tu es prêt. L'histoire peut commencer. Tu es à Paris pour quelques jours de vacances avec tes parents. Dès que tu es descendu du train, tu as senti que cette ville était différente. Les bruits, les odeurs, la lumière. Tout semble avoir une histoire. Dans la rue... Les clochers se dressent entre les immeubles, les balcons en fer forgé courent le long des façades, remplis de plantes en pot et de petits drapeaux qui dansent au vent. Les pavés anciens font un bruit unique sous les chaussures, un cloc-cloc doux et régulier. A chaque coin de rue, il y a un café. Les gens s'y installent sur de petites chaises en rotin, avec des tasses fumantes et des croisses en beurré. Tu entends des discussions tranquilles, des rires, des « Monsieur, l'addition s'il vous plaît ! » et le teintement des cuillères contre les tasses. Et partout, une lumière un peu dorée, comme si le soleil, même caché derrière les nuages, voulait rester accroché au toit. Pendant ce séjour, tu vas dormir dans un petit hôtel près de la Seine. L'hôtel a une porte immense, tout en bois, un ascenseur qui grince un peu et la dame à l'accueil sent bon la lavande. Votre chambre donne sur une rue calme, pavée, avec des arbres qui laissent tomber leurs feuilles lentement même en été. Et surtout, il y a une fenêtre avec une rambarde noire toute ouvragée. Le soir, quand les bouts s'apaisent, tu ouvres doucement la fenêtre. Dehors, Les lampadaires s'allument un à un, dans un petit clic presque timide. La lumière est jaune, douce, un peu floue à travers l'air tiède. Et là, au loin, entre deux toits, tu la vois. La tour Eiffel, majestueuse, immobile, éclairée comme un sapin de Noël très élégant, sans guirlande ni étoiles scintillantes. Juste des lumières qui s'allument, s'éteignent, puis brillent à nouveau. Avec calme et fierté, elle semble te regarder, elle aussi. Aujourd'hui, vous avez visité le Louvre avec ses galeries fraîches et ses tableaux géants. Tu as écouté un violoniste dans le métro, debout près d'une affiche déchirée. Et ses notes couraient le long des rails comme des oiseaux pressés. Tu as mangé une crêpe au sucre délicieuse, juste en face de Notre-Dame. sur un banc encore tiède du soleil de l'après-midi. Le sucre croustillait un peu sous tes dents, et tu en avais plein les doigts. Hum, que c'était bon ! Et maintenant, le jour s'éloigne doucement, les rues deviennent dorées, les volets claquent ici et là, un vélo passe dans un bruit sement doux, et toi, tu attends le soir, parce que ce soir, tu as une idée. Tu veux voir la tour Eiffel de plus près, pas juste en touriste, pas en prenant des photos ou en achetant une boule à neige. Tu veux beaucoup plus que cela. Tu veux la regarder en silence, t'approcher doucement et peut-être même l'entendre respirer. J'ai deux messages pour vous. Le premier, toutes ces histoires sont disponibles sans pub, sans coupure et sans jingle sur notre application. pour accompagner vos soirées en douceur. Le deuxième, pour prolonger la magie à la maison, vous pouvez découvrir notre boutique avec des articles doux, joyeux et pensés avec amour pour les petits moments du quotidien. Tous les liens sont sur notre blogue familiercoupleuro.com ou dans la description. Et bien sûr, si ces histoires vous plaisent, vous pouvez vous abonner et laisser un pouce. Un abonnement et un pouce Permette à cette chaîne de continuer à grandir et à créer toujours plus de nouvelles histoires. Et maintenant, place à l'aventure ! Tu demandes à tes parents si vous pouvez sortir un petit peu avant d'aller dormir. Ils se regardent puis sourient et acceptent avec grand plaisir. Une petite promenade avant de dormir, c'est une très bonne idée. Et puis, l'hôtel n'est pas loin. Tu enfiles ton petit blouson et vous voilà parti dans la nuit parisienne. La balade commence dans les ruelles calmes du 7e arrondissement, l'un des quartiers les plus élégants de la ville. C'est ici que l'on trouve les ambassades, les musées et bien sûr la tour Eiffel. Les réverbères dorés s'alignent comme des sentinelles et dessinent des ombres douces sur les trottoirs gris clairs. L'air sent le bitume tiède, les tilleuls et un peu de pain chaud du boulanger qui termine sa dernière fournée. Un chat gris traverse la rue, la queue bien haute. Une dame à vélo, les cheveux relevés sous un casque à poids, pédale en silence. Et dans un appartement au troisième étage, une fenêtre est ouverte. Tu entends une mélodie de saxophone, lente et pleine de secrets, qui descend doucement jusqu'à vous. Paris chuchote, Paris veille, tu observes tout autour de toi, fasciné et émerveillé. Tu lèves les yeux, elle est là, la tour Eiffel, de tout près, majestueuse, silencieuse, immobile. Et pourtant, tu as l'impression qu'elle te voit arriver. Tu lèves la tête, elle semble toucher le ciel, les nuages passent lentement. comme s'il faisait de la place pour elle. Soudain, quelque chose te fait froncer les sourcils. Tu observes encore un peu plus et tu fais remarquer à tes parents qu'il manque une lumière tout en haut de la tour Eiffel. Tes parents regardent attentivement à leur tour et en effet, tout en haut, sur l'un des piliers, une lumière est éteinte. Juste une. Mais ça a suffi pour que tu la remarques. Ton papa hausse les épaules en disant que cela doit être une ampoule grillée. Tu ne réponds pas tout de suite, tu regardes encore plus attentivement. Et puis tu murmures comme pour toi-même. ou un mystère. Vous continuez d'avancer jusqu'à un petit banc en bois légèrement arrondi et vous vous asseyez. Tes parents commencent à discuter tranquillement de la journée, mais toi, tu n'as pas fini d'observer. Tu regardes les étages de la tour, les poutres métalliques, les ascenseurs rouges, les escaliers qui serpentent, et là, tu vois quelque chose. Une silhouette tout en haut. Elle bouge pas très vite, juste assez pour être étrange. Et puis, tu entends un bruit métallique presque régulier. Cling, cling, cling. Tu penches la tête et fronces les sourcils. Tu tends l'oreille et dis à tes parents que tu reviens très vite. Tu vas juste voir un petit truc. Tu t'approches doucement de la tour. Le cœur rem... remplie de curiosités et d'aventures. Elle est encore plus immense vue d'ici, avec ses pieds d'acier plantés dans le sol comme les racines d'un géant. Près d'un petit escalier en fer, un gardien en uniforme bleu marine t'attend, les mains dans le dos. Son képi est légèrement de travers et lui donne un air bienveillant. Il te dit d'une voix remplie de joie, « Bonsoir jeune explorateur ! » Tu lui réponds bonsoir et lui demandes si lui aussi il a entendu le bruit tout là-haut. Le gardien te regarde avec surprise, puis ses yeux pétillent et il te dit que tu as vraiment l'ouïe très fine. Il y a en effet un technicien qui est monté tout à l'heure pour vérifier un dysfonctionnement. Et il tarde à redescendre. Une lumière tout en haut s'est éteinte et ce n'est pas normal. Il s'approche un peu. Baisse la voix comme s'il te confiait un secret. Puis, il te demande si tu veux monter jusqu'au deuxième étage avec lui. Vous n'irez pas jusqu'en haut, mais la vue du deuxième étage est magnifique. Tu te retournes, inquiet à l'idée de t'éloigner. Tu appelles tes parents qui te rejoignent, leur demandes la permission de monter avec le gardien. Tes parents discutent avec lui. Tu es entre de bonnes mains. Ils acceptent et retournent s'asseoir. J'ai deux messages pour vous. Le premier, toutes ces histoires sont disponibles sans pub, sans coupure et sans jingle sur notre application pour accompagner vos soirées en douceur. Le deuxième, pour prolonger la magie à la maison, vous pouvez découvrir notre boutique avec des articles doux, joyeux et pensés avec amour pour les petits moments du quotidien. Tous les liens sont sur notre blogue famillecoupleuro.com ou dans la description. Et bien sûr, si ces histoires vous plaisent, vous pouvez vous abonner et laisser un pouce. Un abonnement et un pouce permettent à cette chaîne de continuer à grandir et à créer toujours plus de nouvelles histoires. Et maintenant, place à l'aventure ! Un grand sourire illumine ton visage. Tu es sûr que tu vas vivre une aventure formidable. Le gardien t'explique que ce soir l'ascenseur est fermé, vous allez grimper à pied. Tu auras le temps comme cela d'entendre les histoires de la tour Eiffel en montant. Les premières marches grincent un peu. Elles sont en fer ajouré et laissent passer la lumière des lampadaires. Au début, cela te fait un peu mal aux jambes, car il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de marches. Et puis très vite, tu oublies l'effort, parce qu'à chaque palier, Paris change sous tes yeux. Tu vois les toits d'ardoises, les lucarnes rondes, les cours cachés ou des lampes dessinent des halos jaunes. Tu vois les coupoles dorées de l'Institut de France, le Dôme des Invalides et plus loin encore, la Basilique du Sacré-Cœur posée sur sa colline comme une couronne de pierres blanches. La Seine scintille doucement, où se reflètent les ponts et les feux de la ville. Tu entends le battement lointain d'une horloge, le souffle du ventre les poutres de la tour et, plus haut, Toujours ce petit clink-clink, presque discret maintenant. Tu arrives enfin au deuxième étage. Une brise fraîche te caresse les joues. Elle sent la pierre, un peu de rouille et cette odeur particulière qu'ont les villes le soir quand tout ralentit. Tu t'appuies contre la rambarde et regardes la ville. Paris est immense et en même temps tu te sens tout petit. Exactement à ta place. Le gardien te fait un signe de la main et t'indique une petite trappe métallique cachée derrière une rambarde. Elle est basse, un peu rouillée et on dirait presque une porte secrète. Il t'indique que le technicien est là-dedans. Il vérifie les câbles et il te demande si tu veux lui dire bonjour. Tu acceptes avec grand plaisir. Tu t'approches, te baisses un peu, et tu pousses doucement la trappe. Elle s'ouvre avec un claque discret. A l'intérieur, une lumière blanche éclaire une petite pièce pleine de fils, de plans accrochés, de caisses d'outils et d'ampoules soigneusement rangées dans des boîtes transparentes. Et là, en plein milieu, Il y a le technicien assis en tailleur sur un tapis en mousse qui regarde un grand schéma. Les cheveux en bataille, une lampe frontale tordue sur la tête et des lunettes un peu de travers. Tu l'entends grogner que c'est vraiment le bazar, tous les fils sont emmêlés. Il gratte un plan avec un crayon à papier mâchouillé, entoure un symbole, efface, recommence. Puis lève la tête en t'apercevant. Il te regarde et te dit en souriant « Enfin du renfort, il en a bien besoin ! » Il a les mains dans le jus et cette lumière lui fait des caprices. Elle s'éteint, elle clignote, elle boude, on dirait qu'elle a un caractère. Tu souris, regarde autour de toi, il y a des fils partout. Des fils colorés, rouges, jaunes, verts. qui s'entrelacent comme des spaghettis électriques. Des petites ampoules à visser, à clipser, à tester et des outils, tournevis, pince, gants, gaffes aigrées, tous bien alignés sur une serviette pliée. Tu ne comprends pas tout, mais un bouton attire ton attention. Un petit cercle lumineux qui clignote doucement, en orange. Tu le désignes du doigt et demandes au technicien qu'est-ce que cela fait s'il appuie sur ce bouton. Le technicien cligne des yeux, s'approche du bouton, puis te regarde avec un sourire malicieux. C'est exactement ce qu'il allait faire, tu lis dans ses pensées. Il appuie doucement sur le bouton, clac, un silence, puis une seconde plus tard, la haute. tout en haut de la tour Eiffel, la lumière s'allume. D'abord un scintillement, comme une étincelle timide, puis une brillance nette, claire, fière. La tour Eiffel est complète. Il ne manque plus aucune lumière, plus une faille. Tu regardes par la fenêtre ronde de la trappe, elle brille dans la nuit, forte et paisible. Elle a repris sa place dans le ciel de Paris. J'ai deux messages pour vous. Le premier, toutes ces histoires sont disponibles sans pub, sans coupure et sans jingle sur notre application pour accompagner vos soirées en douceur. Le deuxième, pour prolonger la magie à la maison, vous pouvez découvrir notre boutique avec des articles doux, joyeux et pensés avec amour. pour les petits moments du quotidien. Tous les liens sont sur notre blog famillecoupleuro.com ou dans la description. 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Tu es fier et surtout heureux, parce que ce soir tu as vu Paris d'en haut et tu as compris qu'une seule lumière peut faire toute la différence. En bas, tes parents t'attendent près du banc avec un chocolat chaud dans un gobelet à couvercle. Ils sentent le cacao, la vanille et un peu la crème fouettée. Ils te regardent les yeux brillants. Ton papa te demande comment a été ton aventure. En haut de la tour Eiffel, tu Ausha tête, un sourire sur les lèvres, et lui dis d'une voix fière que la lumière est réparée. Ta maman t'ébouriffe les cheveux, tu es leur petit veilleur de Paris. Sur le chemin du retour, tu ne dis plus un mot. La ville te semble encore plus belle maintenant. Les réverbères s'alignent en silence, les bateaux glissent sur la Seine. Et la tour Eiffel scintille à nouveau, comme pour te dire merci. De retour à l'hôtel, tes parents t'aident à te préparer. Ils te glissent sous la couette, te bordent avec tendresse. Ton oreiller sent le linge propre et la fenêtre est entreouverte, juste assez pour laisser passer un souffle d'air doux. Ta maman s'assoit à côté de toi et te tend un petit paquet. Un petit cadeau pour bien finir cette journée spéciale. Tu déchires doucement le papier. C'est un livre, un bel album cartonné, avec des pages épaisses et des illustrations dorées. Tu lis le titre « Petites énigmes de Paris » . Tu l'ouvres doucement et découvres à l'intérieur des coins secrets, des devinettes sur les monuments, des détails à retrouver dans des ruelles, Des histoires de gargouilles, de jardins cachés, de messages gravés sur les murs. Tu serres le livre contre toi, tout contre ton cœur. Il est tiède et doux, et il sent un peu l'imprimerie, un peu l'encre et beaucoup l'aventure. Tu fermes les yeux et te voilà déjà de retour là-haut, sur la tour. Le vent joue dans tes cheveux. La ville s'étend à tes pieds, immense et silencieuse. Tu vois les toits gris, les ponts, les dômes, et au loin, une petite lumière qui clignote, rien que pour toi. Ferme doucement les yeux, laisse ton souffle ralentir, comme Paris qui s'endort doucement, ses lumières une à une. comme des paupières qui se ferment. Inspire par le nez et souffle doucement par la bouche, comme si tu soufflais une dernière fois sur une bougie posée au bord de la Seine. Encore une fois, inspire les secrets du vent parisien. Souffle ce qui est trop lourd ou trop agité. Ton corps devient calme Tes bras s'enfoncent doucement dans ton lit, tes jambes se relâchent, ta tête devient légère. Autour de toi, tout est paisible, les rues sont silencieuses, la ville dort. Et quelque part tout en haut, une lumière veille. Et toi aussi, tu peux te reposer. Belle nuit, cœur audacieux. Que tes rêves soient aussi clairs que les lumières de Paris et aussi précieux que les secrets qu'elles gardent pour toi. Fais de beaux rêves ! A bientôt ! J'ai deux messages pour vous. Le premier, toutes ces histoires sont disponibles sans pub, sans coupure et sans jingle sur notre application. Vous raccompagnez vos soirées en douceur. Le deuxième, pour prolonger la magie à la maison, vous pouvez découvrir notre boutique avec des articles doux, joyeux et pensés avec amour pour les petits moments du quotidien. Tous les liens sont sur notre blogue famillecoupleuro.com ou dans la description. Et bien sûr, si ces histoires vous plaisent, vous pouvez vous abonner et laisser un pouce. Un abonnement et un pouce permettent à cette chaîne de continuer à grandir et à créer toujours plus de nouvelles histoires. Et maintenant, place à l'aventure !