Description
Avec la numérisation comme négociation du pouvoir d’action, l’éducation et la formation vivent une tension forte entre les finalités émancipatrices et les choix d’infrastructures informatiques. L’interrogation devrait être la suivante : à qui sert la numérisation ? Il s’agit alors de se mettre d’accord sur la citoyenneté souhaitée pour les élèves qui sortent de la scolarité obligatoire, entre survivance aux défis de l’illectronisme et co-construction du Web en participant par exemple à Wikipédia. En bref, « le numérique » est trop polysémique. Lionel Alvarez invite à parler alors de numérisation, pour relever la portée politique de l’enjeu qui dépasse explicitement les questions d’usages des tablettes à l’école.
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.