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Sacrée Nana

Quel rôle joues-tu quand tu choisis ? | E030

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37min |11/04/2024
Play
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Description

Bienvenue dans ce 30ème épisode dans lequel je te parle des rôles que nous jouons au quotidien...


Cet épisode fait le lien avec les précédents :

  • dans l'épisode 26, j'ai parlé d'estime de soi

  • dans l'épisode 27, j 'ai abordé le fait de sortir de la conformité en lien avec les injonctions au bonheur

  • dans l'épisode 28, je t'ai partagé mes réflexions sur cette période intense en transition pour beaucoup d 'entre nous

  • dans l'épisode 29, je t 'ai expliqué pourquoi on se suradapte très souvent


Aujourd'hui, j'ai envie de mettre en lumière la prise de conscience de ces moments où nous jouons des rôles.


Tu sais, ces rôles qui nous entraînent dans des prises de décisions et des modes de fonctionnement qui sont tellement loin de ce qui est juste pour nous.


Dans cet épisode, je te livre des clés pour prendre conscience de ces dynamiques et rester authentiques et alignées dans nos différentes sphères de vie.


Je te souhaite une bonne écoute !



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Transcription

  • #0

    Je suis ravie de te retrouver pour cet épisode, le 30e, dans lequel je te parle des rôles que nous jouons pour continuer la série des précédents épisodes. Je te fais juste un petit récap, parce que dans le numéro 26, on a parlé d'estime de soi, qui a évidemment un lien avec tout ça. Dans l'épisode 27, j'ai abordé le fait de sortir de la conformité. en lien avec les injonctions au bonheur, dont on entend beaucoup parler pour l'instant, et je te fais part de ma position. Et puis, dans l'épisode 28, je te parle de cette période intense en transition pour beaucoup d'entre nous, pour beaucoup de sacrés nanas, et cette période qui accentue le décalage. Et la dernière fois, dans l'épisode 29, je t'ai expliqué pourquoi on se suradapte, parce que finalement, on parle des conséquences, mais on ne parle pas forcément du pourquoi. on a l'habitude, ou en tout cas, on sort difficilement, dans certains cas, de la suradaptation. Et dans ce 30e épisode, j'ai eu envie de mettre en lumière la prise de conscience, en tout cas, comment tu peux prendre conscience de ces moments où nous jouons des rôles, et des moments où on est en lien avec ces rôles. nous prenons des décisions qui ne sont pas ou bien qui ne sont plus justes. Peut-être qu'elles l'étaient il y a quelques semaines, mais qu'elles ne le sont plus aujourd'hui. Plus justes avec qui nous sommes, parce qu'effectivement, les choses bougent pas mal. On se retrouve tout de suite pour la suite de cet épisode. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, je ne t'apprends rien, la vie est parfois un vrai tourbillon, ça c'est sûr. Je crois que la période, je parle beaucoup de cette période-ci parce que beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes me renvoient ça. Moi, j'ai pendant tout un temps cru que j'étais toute seule ou en tout cas parmi les quelques personnes à vivre pas mal de choses chamboulantes. Et en fait, je me rends compte que non, pas du tout. beaucoup de personnes vivent dans une forme d'inconfort pour certaines ça bouge un petit peu plus que pour d'autres mais voilà, je connais oui, certaines personnes qui sont assez alignées et qui vivent leur plus belle vie ça existe aussi mais c'est quand même moins souvent ce que j'entends pour l'instant donc je risque pas trop de me tromper si je te partage je... tous ces éléments-là parce que je me suis rendue compte que beaucoup de personnes revenaient vers moi et me disaient Qu'est-ce que ça me fait du bien que toi, tu partages ce que tu vis. Ça me donne de l'espoir. Ça me donne cette envie de continuer à y croire. Donc, voilà. Ce dont j'ai envie de te parler aujourd'hui, c'est combien j'observe aujourd'hui, combien il est facile de se laisser entraîner dans des prises de décision et des modes de fonctionnement qui sont finalement tellement loin de ce qui est juste pour nous, pour toute une série de raisons. Je vais revoir avec toi. Parfois, ça semble des petits choix anodins. Et puis, parfois, à force de décider certaines choses qui ne nous correspondent pas. de les refaire régulièrement, on finit par à la fois jouer un rôle qui ne nous correspond pas et prendre des décisions qui, les unes après les autres, nous écartent de qui nous sommes réellement. Et ce qui était peut-être tout à fait juste pour toi il y a quelques semaines, je vais te donner un exemple perso pour illustrer ça, n'est peut-être plus du tout ce qui est juste pour toi aujourd'hui. Et ce n'est pas évident. voilà alors moi j'ai juste envie de commencer avec un exemple parce que c'est souvent comme ça que j'aime te transmettre des choses tu m'as peut-être entendu parler parce que j'ai annoncé ça publiquement peut-être début d'année, je ne sais plus, mais j'en ai parlé à plusieurs reprises, même si je ne l'ai pas fait très souvent, que j'allais partir à Bali ou que j'avais envie de partir à Bali. Alors, Bali, c'est une grande histoire. Je n'ai pas encore été à Bali, mais j'ai très, très envie d'y aller depuis environ mes 30 ans. C'est à peu près à ce moment-là. Un peu après. Mais alors, Bali, l'histoire, en ce qui me concerne... C'est, j'ai à l'époque dans mes nombreux métiers eu un magasin de décoration cadeau. J'ai fait un premier burn-out, j'avais 33 ans, donc il y a un peu plus de 25 ans. et comme j'avais un magasin de décoration cadeau c'est à cette époque là que j'ai commencé à m'intéresser un petit peu plus sensiblement à tout ce qui était développement personnel, spiritualité, toute une série d'autres choses et le lien que j'ai très très vite fait entre, ou en tout cas c'est venu à moi on va plutôt dire comme ça entre le développement personnel et un magasin de décoration cadeau, ça a été le Feng Shui. Le Feng Shui, c'est l'art d'harmoniser ton lieu de vie avec tout ce qui est énergie. Je parle très souvent d'énergie. Tu m'entends très souvent parler de ça. J'imagine. J'ai l'impression que c'est un mot que je dis très souvent parce qu'effectivement, pour moi, tout est énergie. Je suis très connectée à... ce que j'appelle cette fameuse énergie, ce qui pour certaines personnes, et peut-être que c'est ton cas, ne veut rien dire, et peut-être qu'au contraire, c'est très très clair pour toi ce que ça veut dire de l'énergie. Ok ? Et donc... Il y a eu effectivement cette époque à laquelle, vers mes 33, 34, 35 ans, je me suis beaucoup intéressée à comment tu peux te sentir bien dans ton lieu de vie, mais pas juste avec des couleurs ou des éléments de décoration, mais plus avec comment on harmonise effectivement ce flux de vie dans la maison, comment on place les objets, comment on utilise la symbolique, voilà, toute une série de choses. Et ça a été vraiment une très, très belle expérience parce que... ça faisait sens avec mon métier, en tout cas avec, je ne sais pas si c'était mon métier, mais en tout cas ce que je faisais à l'époque, d'avoir une boutique de déco. Et ça a été un premier pas pour moi dans le développement personnel, entre autres parce que j'ai commencé à donner des conférences et puis j'ai... également commencer à donner des consultations et c'est au départ de ça que je me suis rendu compte que j'avais envie d'accompagner les gens parce que la petite histoire c'est que une de mes peut-être pas première cliente parce que je faisais déjà pas mal de consultations mais un jour je suis arrivée chez une dame et je sentais qu'il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas dans son couple mais je n'étais pas habituée à poser des questions je ne suis pas formée à ça et pour faire l'histoire courte, à un moment donné, je lui ai, avec des détours, posé une question où je l'ai, alors, coincée, entre guillemets, pas parce que je voulais la coincer et lui faire du mal, mais à travers la question que je lui ai posée, qui était une question toute simple, qui était, mais dans 25 ans, comment vous vous voyez avec votre mari ? Et en fait, elle ne se voyait pas du tout avec son mari dans 25 ans, puisque le couple n'allait pas aller bien du tout. Elle m'avait dit avant, oui, tout va bien dans mon couple, mais moi, je sentais, j'observais, à travers... ce que je voyais que ce n'était pas le cas. Et là, elle est partie en vrille, émotionnellement, mais je n'étais pas du tout équipée, déjà pas moi-même vis-à-vis de moi, mais pas du tout équipée pour l'accompagner. Et j'ai eu très, très, très, très peur. Alors qu'aujourd'hui, je souris quand je revois cette femme de 35 ans que j'étais paniquée, parce que j'avais l'impression que j'avais fait quelque chose de mal, alors qu'au contraire, j'avais... Pardon. j'avais vraiment ressenti ce qui était tout à fait juste. J'avais mis le doigt exactement là où il fallait le mettre, peut-être de manière maladroite, mais je ne savais pas quoi faire avec ça. et donc c'est ce qui m'a donné envie de me former par la suite à la relation d'aide au coaching etc. Donc le Feng Shui a pris vraiment une grande place pour moi et j'ai eu envie de transmettre et de former au Feng Shui donc je me suis formée pour pouvoir transmettre par la suite le Feng Shui donc j'ai fait pas mal de cours avec des américains, avec une anglaise, Karen Kingston et c'est là où j'en arrive à Bali Karen Kingston qui est assez connue dans le monde du Feng Shui elle a écrit pas mal de bouquins c'est une anglaise qui avait épousé un bel aîné qui vivait à Bali j'ai d'ailleurs du matériel sacré que j'ai acheté à Karen et quand elle nous parlait de Bali c'était vraiment pour moi à une époque à 35 ans où c'était la panacée et j'ai toujours eu envie d'y aller. Puis ça ne s'est jamais mis pour toute une série de raisons. Connue, inconnue, consciente, inconsciente, peu importe. Mais ça revient régulièrement. Je suis très, très attirée. Et aujourd'hui, à travers ce que je vis, et à travers Sacré Nana, ma reconnexion subtile, etc., j'ai vraiment très, très envie à nouveau d'y retourner. Alors, c'est assez amusant parce que j'ai pas mal d'amis, de collègues qui y vont, des connaissances qui y vivent. Et en l'occurrence, ce qui s'est passé récemment, c'est qu'une de mes collègues, collègue et en même temps coach, c'est une dame qui m'a accompagnée, vit à Bali et elle organise une retraite qui fait partie d'un mastermind. On va appeler ça comme ça, peu importe, c'est ça qui est important. et je me suis inscrite à son programme parce que faisait partie de ce programme la possibilité d'aller à Bali et je m'étais dit, génial, comme ça je vais poursuivre et moi je vais voyager donc l'idée c'était pas de partir toute seule parce que je sais pas toujours les personnes qui ont envie de partir en même temps que moi qui ont forcément le même budget que moi, parfois c'est plus parfois c'est moins, envie de faire les mêmes choses et là je m'étais dit, bah voilà je pars une semaine pour ce programme, cette retraite sur place et puis je continue une semaine, dix jours, je profite du voyage. Et c'était prévu au mois d'avril. Et plus je me rapprochais du mois d'avril, on devait être à peu près au mois de février, et je me suis dit, non, ça ne va pas le faire, pour toute une série de raisons en lien avec ma vie perso et pro, parce que je suis dans cette fameuse transition et la clarté, elle ne vient pas sur un coup de baguette magique. Et... Je me rendais compte que le mois d'avril... ce n'était pas le bon mois pour pouvoir partir, d'autant plus que j'avais déjà un programme à Ténérife, celui-là où je donnais un programme moi-même, et puis trois jours de formation à l'école de la posture juste pour ma quatrième année. Je devais repartir tout de suite à Bali, et en gros, je me suis dit que je ne voulais même plus avoir le temps de respirer. Alors, je faisais ça il y a 20 ans, de partir, de revenir et de repartir. C'est juste que je n'ai plus 20 ans, et je sentais que ce n'était pas juste. ça tournait en boucle voilà cela dit il y avait eu des éléments de synchronicité que j'avais trouvé que j'avais pris comme des signes et peut-être que ça l'était mais c'est là où je trouve que c'est important de revenir à soi et à l'intérieur et de ne pas faire nécessairement un peu alors c'est pas faire confiance à l'extérieur mais de ne pas rester braqué sur ça ce qui s'était quand même passé que j'avais trouvé complètement fou c'est je suis partie rejoindre un événement que cette coach Marie avait mis en place à Toulouse au mois d'octobre c'est sa fin octobre donc je prends l'avion on discute de Bali je rencontre des super personnes avec qui je me dis Cool, on va pouvoir se voir à Bali. Ah oui, peut-être, je dois décider, machin, voilà. Et ces trois jours se terminent et j'arrive à l'aéroport de Toulouse qui n'est pas un aéroport au départ duquel il y a des grands voyages vers Bali, a priori, en tout cas, et ça m'a été confirmé. entre autres par une amie que je rejoignais et avec qui j'ai petit déjeuné ce matin-là, Karine Ansem, que vous avez peut-être entendu dans le congrès du HANSS il y a trois ans. Et j'arrive dans le hall de départ et il y a un écran avec les différents horaires et à côté de l'écran, il y a les pubs et la première image que je vois, c'est Bali. je ne sais même plus quelle compagnie aérienne, mais en lumière, c'est Bali. Donc évidemment, moi, je prends ça pour un signe. Et je pense que c'était OK. Ça faisait partie de l'énergie dans laquelle j'étais à ce moment-là. Et puis j'ai mon amie Karine qui arrive et je lui dis, c'est quoi ? Je viens de voir une image. Et je lui explique, elle me dit, mais ça, c'est fou, elle dit, c'est dingue, elle dit, parce qu'elle vit à Toulouse depuis des années et elle dit, c'est vraiment pas un aéroport de départ pour Bali. Elle dit, moi, je passe, je prends l'avion tout le temps, c'est la première fois que je, elle dit, moi, je ne l'ai même pas vue. Elle était la première personne à me dire, et puis on regarde, c'est le truc qui se déroule, tu mets dix minutes à voir toutes les destinations, puis on voit effectivement Bali. Elle dit, mais c'est fou, enfin voilà. Et donc, quand j'annonce. Marie, je dis, écoute, je ne viendrai pas à Bali au mois d'avril. Ce n'est pas possible pour moi. Tant pis, je passe mon tour. Elle me dit, écoute, justement, on était en train de se dire, ça n'arrange pas, toute une série de personnes, on va le reporter au mois de juillet. Et moi, génial, parce que seule, je ne sais jamais où partir au mois de juillet. Là, génial, je me dis, je vais avoir du temps. En juillet-août, il y a beaucoup moins de travail dans mon métier. Donc, je suis ravie. et donc j'ai dit à tout le monde je vais partir à Bali je m'étais acheté au moment des fêtes de fin d'année j'avais reçu un guide de Bali donc je regarde mais en même temps je me rends compte que ce n'est pas comme ça peut être à d'autres moments où j'ai le nez tout de suite dans mon guide, où je prends des notes, je fais des recherches, il y a un truc qui ne va pas. J'observe ça, graine de sagesse. J'observe que ce n'est pas l'angle où je me prends, j'ai très envie d'y aller. Et puis, ce que j'ai observé, même chose, graine de sagesse. C'est l'extérieur, mais peut-être que l'intérieur vient parasiter ça. À chaque fois que je vais regarder, puisque j'ai passé quand même pas mal de temps sur les trajets, le moins d'avions possible, moi je ne suis pas une grande fan de l'avion au niveau écologique, bien entendu, donc je fais mes choix en conscience. En même temps, j'ai envie de continuer à voyager, donc je suis OK avec ce juste milieu. Donc je regarde au niveau des budgets, je regarde le temps, parce que je ne m'étais pas rendu compte qu'il fallait autant d'heures pour arriver à Bali. par où passer, quelle compagnie, lesquelles je peux annuler, avec quelles pénalités. Enfin, voilà, j'observe ça. Et puis, chaque fois que je me réserve, il n'y a plus la place. Et puis, je me renseigne parce que j'ai quand même deux chiens qu'il faut placer pendant deux à trois semaines. Il y a toujours un truc qui déconne. Je ne sais pas placer mes chiens trois semaines au même endroit, même deux semaines et demie, c'est compliqué. et partir que deux semaines avec le voyage ça ne vaut plus vraiment le coup, ça fait cher pour le voyage et ça n'a pas beaucoup de sens pour moi, enfin voilà et donc je me rends compte que il y a des tas de choses entre autres, je n'avais pas placé mes chiens puis moi j'ai un chien qui est malade Eliott, mon deuxième chien qui a 5 ans il a la leucémie donc on vit vraiment jour le jour avec lui et à un moment il y a un truc qui me dit oh j'ai peur qu'ils partent pendant que je suis moins partie et que je ne puisse pas revenir. C'est sûr que si je suis dans le sud de la France et que ça ne va pas, je peux remonter. Si je suis à Paris, il va être plus compliqué de revenir, évidemment. Mais en même temps, c'est la vie, c'est comme ça que ça se passe. J'ai mon deuxième livre à terminer aussi, à rendre pour le mois de septembre. Je sens quand même qu'à travers tout ce que je traverse, mon niveau de fatigue, je me dis que... mon niveau de fatigabilité est plus élevé qu'avant. Alors voilà, tu verras, il y a l'âge, il y a tout le truc, mais j'observe que je peux être quelqu'un qui a beaucoup d'énergie, mais qu'un grain de sable peut vite me faire basculer. Donc, je mets ça au milieu de tout ce que je vois. La charge mentale est quand même là quand il s'agit de préparer. Il y a d'autres choses qui me prennent plus d'énergie. et puis je me rends compte aussi que finalement ce qu'on va apprendre dans ce mastermind c'est peut-être plus tout à fait ma priorité parce que le changement est tellement rapide en ce qui me concerne que aujourd'hui je ne suis plus sûre je me suis posé la question je me suis regardée en face en me disant si tu devais à nouveau rentrer dans ce programme aujourd'hui est-ce que tu y rentrerais ? et alors c'est pas parce que c'est bien que c'est pas bien je veux dire, en tout cas ça n'aurait plus été ma priorité, voilà, et donc je suis revenue à quelles sont mes priorités alors toute cette histoire de Bali à travers ce que je te partage parce que j'ai le sentiment, je vois souvent quand je partage de cette façon là que ça fait écho quand je partage mes questionnements ça peut te permettre de toi aussi te poser tes propres questions et de voir, mais finalement, qu'est-ce qui fait sens pour toi ? Et en fait, c'est là où je dis qu'on joue constamment des rôles. Et c'est OK. C'est OK de jouer des rôles. C'est OK de jouer des rôles qui ne reflètent pas nécessairement notre vraie nature ou nos aspirations profondes. Et tu vois, dans l'exemple de Bali, mais c'est quoi finalement mon aspiration profonde ? L'aspiration, c'était d'aller à Bali. Est-ce qu'elle est profonde à ce stade-ci ? Pas vraiment. Ou en tout cas, j'aurais envie de reformuler les choses autrement. Je pense que si. J'ai toujours cette aspiration profonde d'aller à Bali, mais je veux que ce soit un voyage sacré. et sacré c'est honorer honorer ce voyage et honorer c'est prendre le temps de le préparer c'est prendre le temps de décider en conscience ce que je veux faire ce que je veux vivre comme expérience à Bali et là je sens que c'est pas ok j'ai pas l'espace temps et la disponibilité mentale actuellement pour ça ma disponibilité mentale elle va ailleurs donc voilà, c'est toujours une aspiration profonde et il viendra quand ça devra venir c'est tout à fait certain et donc en fait c'est ça que je suis en train de te partager c'est consciemment quel est le rôle que j'ai joué dans quoi je vais développer est-ce que c'est par conformisme habitude, peur ou manque de connaissance de soi qu'on prend ses décisions qu'on joue ses rôles qui ne nous ressemblent pas ou qui ne nous ressemblent plus. Et je réinsiste très fort là-dessus, parce que ça fait partie de ce changement de paradigme dans lequel on est, qui ne nous ressemble plus et que ça peut switcher en trois à quatre mois. Moi, perso, je... Je fais le choix aujourd'hui d'autant que possible ne pas m'engager au-delà de trois à quatre mois parce que je me rends compte qu'au moment où je m'engage, c'est tout à fait juste, mais que pour le moment en particulier… une fois de plus, mon énergie change tellement et tellement de chaos et du chaos naissent les étoiles. Quand je dis chaos, moi je vois ça pas confortable, mais je vois ça positivement. Parce que je me dis qu'il y a quelque chose de grand qui s'en vient là derrière. Donc, j'ai vraiment cette foi-là. je suis incapable pour l'instant de créer des partenariats long terme ou de dire à quelqu'un oui je vais pouvoir dire à quelqu'un on en reparle dans 6 mois mais je ne sais pas ce que je te dirai dans 6 mois et je le précise déjà tellement ça bouge donc peut-être que ça fait écho pour toi ou pas mais voilà alors Ce qui me semble important, c'est de prendre conscience de ces dynamiques et de rester authentique dans nos différentes sphères de vie. Pose-toi toute une série de questions. Prends le temps de respirer, comme je dis, et de voir quels sont... tes priorités, avec quoi tu es aligné, qu'est-ce qui est juste pour toi. Et donc, moi, j'ai abordé les choses, je vais un petit peu plus loin, sous ce que j'ai envie de... Alors, j'ai abordé et j'aborde maintenant pour toi les choses sous trois angles. C'est... On en revient à la suradaptation et à tout un série de choses dont je parle régulièrement. C'est la norme, c'est l'habitude et c'est la peur du jugement. évidemment le tout se rejoint alors la norme il se trouve que on adopte certaines habitudes ou comportements parce que ça fait partie de ce qu'on a appris, de ce que notre entourage nous a montré. Et on s'est adapté parce qu'on ne s'est même pas posé la question de savoir si ça nous correspond encore ou pas. Et c'est particulièrement vrai si tu viens de découvrir ta singularité au potentiel, aux sensibilités multi, etc. tu ne sais peut-être même pas ce que c'est que la norme, mais pas la norme, mais c'est juste un apprentissage par lequel tu vas repasser. Et la norme, elle est aussi connectée à tes besoins, identifier ce qui te correspond ou pas, et ça s'apprend, voilà. donc je peux alors après je te parle de la norme dans ton mode de fonctionnement mais moi si je reprends l'exemple de Bali pour continuer à illustrer l'exemple, je ne pense pas que la norme m'ait influencée sur ça ça aurait pu je te donne un autre exemple par exemple si tu vas en vacances chaque année à une certaine période à un type de lieu parce que c'est comme ça que ça se fait dans ta famille depuis toujours ou que ton mari t'accompagne on fonctionne de cette manière-là et toi tu t'es adapté, ça vaut la peine de se poser la question, est-ce que c'est vraiment ça que tu veux ? Est-ce que tu fais parce que par... parce qu'une fois de plus, c'est comme ça. C'est amusant de dire c'est comme ça. Alors en réalité, pourquoi c'est comme ça ? Est-ce que ça doit être comme ça ? Non, pas forcément. Ou bien la norme, c'est de partir en vacances ensemble quand on est en couple. Je trouvais ça assez chouette en vacances ou bien de partir ensemble, même pas forcément en vacances. J'ai échangé récemment avec une collègue qui me disait, justement, je pars, je pense que c'était à Paris, à Bali, pardon, pendant deux ou trois mois, en tout cas un certain laps de temps. et à un moment donné, je me suis entendue, moi-même, lui dire, mais je me trompe ou tu étais mariée, ou tu es mariée ? Ben oui, qu'elle me fait. Elle dit, ok. Et en fait, elle a réagi, je lui dis, non, mais moi, c'est juste que tu as tout à fait raison, ce n'est pas habituel. Elle me dit, non, mais moi, je pars toute seule. Elle dit, ça va tout à fait à mon mari. Et puis, comme ça, notre mode de vie, c'est celui-là. Alors, il y a des tas de gens qui disent que ce n'est pas normal. Donc, c'est hors de la norme. et qui prédisent qu'on est bon pour le divorce. Et au contraire, elle dit, nous, on est tout à fait en phase, on vit ensemble depuis des années, elles sont mariées récemment, mais on vit ensemble depuis des années, notre couple a toujours fonctionné de cette manière-là, et c'est pour nous absolument juste dans notre mode de fonctionnement. effectivement c'est pas la norme au point que moi-même je lui ai posé cette question-là sans la juger ou quoi que ce soit c'est juste que voilà, je ne savais plus si, parce que je me suis référée à cette fameuse norme qui voudrait qu'en tant que femme mariée, tu ne pars pas trois mois toute seule pour prendre du temps pour toi. Et que ça n'a absolument rien à voir avec un couple qui fonctionne ou pas, c'est juste parce qu'elle a besoin de ce temps-là et pour toute une raison, une série de raisons qui lui appartiennent. Donc voilà, ça c'est la norme, et puis après il y a l'habitude aussi, ça peut être, c'est très proche. celle qui nous fait répéter des schémas par confort ou par peur du changement. Et du coup, on en oublie de questionner notre alignement avec ces fameux rôles qu'on joue. Même quand nos habitudes sont inconfortables, elles restent connues et on s'y accroche. Parce que le plus souvent, faire des choses que nous n'avons jamais faites, ça demande évidemment d'oser sortir de sa zone de confort et ça peut être méga. ou stressant ou juste traitant pour une série de personnes, ou au contraire, en fonction de ta personnalité, ça peut au contraire t'animer, parce qu'il y a des gens qui aiment sortir de leur zone de confort, mais ce n'est pas forcément le cas pour tout le monde. Je mets là en lumière aussi des profils singuliers comme des personnes avec un TSA, ou avec une haute sensibilité, ça peut être compliqué pour ces personnes-là, ça peut se faire violence de sortir de quelque chose de connu. comme je dis c'est un pas à la fois vois, donne du sens pourquoi tu souhaites le faire voilà je pense que ça c'est important alors cultiver sa graine de sagesse c'est en lien avec le modèle l'approche du développement du potentiel humaniste mon approche pour laquelle j'écris mon deuxième livre d'ailleurs vois un petit peu ce qui est juste pour toi en te connectant avec ton énergie. Parce que tu te sens fatigué, à quel moment tu récupères de l'énergie, à quel moment tu en perds, ça va te donner les fameux indicateurs en lien avec ce qui te porte ou ce qui ne te porte pas. Et je me rends compte que j'ai oublié de te dire que pour identifier ce qui te correspond ou pas, dans la norme et donc pouvoir apprivoiser ta grille de lecture de ton mode de fonctionnement grille de lecture émotive talentueuse comme j'ai l'habitude de dire c'est la graine de connaissance dans mon approche ok et puis oui alors quand je prends l'habitude et je fais le lien avec Bali pour continuer à illustrer mon exemple je vais le faire Ben oui, tu sais, j'avais décidé, donc j'étais dans une forme d'habitude. On pourrait presque dire ça, effectivement. J'étais dans ma zone de confort d'avoir dit, et puis re-questionner, ça peut être inconfortable, évidemment, parce que ça remet toute une série de choses en question. Et, point suivant, le dernier, la peur du jugement. Mais qu'est-ce que les autres vont dire ? Tu sais, moi, on m'a souvent traité de girouette, de personne qui ne restait pas en phase avec ce qu'elle décidait et ça aurait pu m'impacter, ce qui n'est pas du tout le cas parce que je sais pourquoi je décide ça et je suis vraiment revenue à moi. Mais ce n'est pas forcément le cas de tout le monde. Donc, la peur du jugement, du rejet, de l'échec, ça peut nous amener à endosser des masques qui nous protègent mais qui, à terme, finissent toujours par nous éloigner de notre... véritable identité de nos choix. Surtout, si tu as reçu des remarques du style tu es trop, pas assez et que tu as l'impression que tu es inadapté. Alors là, effectivement, la peur du jugement, elle peut être bel et bien là. Parfois, j'ai des personnes qui me disent non, mais ce n'est pas possible quand même de ne pas oser dire ça, tu n'as pas idée, moi, ça me touche énormément. combien de personnes, de femmes, de sacrées nanas qui sont en face de moi, qui sont mes brillantissimes, qui ne s'en rendent pas forcément compte, mais qui n'osent juste pas dire un truc qui peut paraître complètement anodin pour toi, tellement elles ont peur d'être jugées, tellement elles ont peur de sortir de ce conformisme. Et c'est parce que, voilà, elles n'ont pas été acceptées là-dedans, dans leur entourage. C'est un réapprentissage. Par contre, on peut réapprendre. Ça, c'est vraiment quelque chose que je trouve super, super important. Voilà. OK ? et je réinsiste pour mémoire ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage t'ont fait passer ce message là que tu es trop que tu es inadapté pas assez etc que c'est vrai je répète ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage ou même une seule personne te fait croire que tu n'es pas adapté ou que tu es trop ceci pas assez cela que tu es quoi que ce soit de négatif que tu dois croire cette personne et que c'est vrai je réinsiste vraiment là dessus tu as un mode de fonctionnement singulier si tu écoutes ce podcast on peut supposer ça ou que tu l'écoutes pour quelqu'un qui a un mode de fonctionnement singulier et ce mode de fonctionnement aussi singulier soit-il est tout à fait ok ok Donc, mon conseil, c'est cultiver ta graine de connaissance, la première graine de l'approche du développement du potentiel humaniste pour apprendre à bien connaître, à identifier tes valeurs et tes aspirations. C'est aussi tout un programme d'allure qu'on va aborder lors du prochain défi. Je lance du 18 au 20 avril le défi Métamorphose, trois jours pour… apprendre à sortir de la suradaptation et pardon oser être toi-même oh là là, ça ne va pas, tu imagines ? Pourquoi est-ce que je dis justement ça au moment où je répète métamorphose avec apostrophe ose, trois jours pour sortir de la suradaptation et oser être toi-même ? Voilà, c'est un défi, il est gratuit, il est en ligne, il suffit de t'inscrire via trois fois, émotif au pluriel tiré talentueux au pluriel également,.com slash défi, sans accent sur le E de défi, émotif. Alors, si je reprends, pour terminer cette peur du jugement, oui, on aurait pu imaginer que c'est compliqué à mettre en lumière Bali parce que tu te la coules douce, tu peux te permettre de partir à Bali, tu changes d'avis. voilà, il peut y avoir des tas de choses, je l'ai annoncé et puis je dis que je fais demi-tour et puis je vais annoncer, non, ce ne sera pas en avril, ce sera en juillet et puis en juillet, ce ne sera pas et je ne sais pas quand ce sera mais toi qui avais tellement envie, tu nous avais dit que, manifester ses rêves etc. Oui, juste que si je ne suis pas alignée, je ne vais rien manifester du tout et je reviens à mon alignement c'est les deux premières graines de l'approche du développement du potentiel humaniste. j'en reparle dans le défi si tu as envie d'en savoir plus et que tu veux toi aussi apprendre à t'aligner c'est un sujet sur lequel je reviens régulièrement dans mes approches le défi etc alors quelques clés parce que j'aime toujours bien en donner dans mes podcasts astuces pour cultiver ton authenticité sortir des rôles introspection régulière, crainte de connaissance, prendre du temps pour toi, une fois de plus à travers un défi comme le défi métamorphose, par exemple, écouter mon post-ass, ma vidéo, mes vidéos YouTube, lire mes newsletters, etc. Voilà, ça c'est un premier aspect. Questionner les normes, demander pourquoi tu suis certaines conventions et si elles sont en accord avec tes valeurs personnelles parce que ça peut changer pas mal de choses. En tout cas, mettre de la conscience là-dessus. Exprimer tes besoins et tes désirs, ça suppose que tu aies pris le temps de les poser. Ça peut parfois être un travail qui prend un certain temps et c'est OK, ça vaut vraiment l'investissement en temps. parce que tu ne peux pas communiquer tes besoins si tu n'es pas au clair avec tes propres besoins et tu ne peux pas mettre en place ce qui est important pour toi et ce avec quoi tu es aligné si tu ne vas pas fouiller et identifier tes vrais désirs. Et puis expérimenter, expérimenter c'est se donner la permission d'essayer, de mettre en place, de tester, de faire une expérience, y compris dans tes rôles, dans ce que tu souhaites changer. dans ce que tu décides, dans tes activités, tes comportements, parce que c'est ce qui va te permettre de plus en plus d'apprendre à te connaître et à te découvrir et ce qui développe la croissance personnelle. Et puis, pas anodin, le soutien. Le soutien, c'est entoure-toi de personnes qui t'encouragent dans ton authenticité et qui t'offrent un espace sûr pour... pour pouvoir t'explorer, pour pouvoir te connecter à toi. C'est essentiel. Et c'est vraiment, je mets un point d'honneur à mettre ça en lumière parce que dans toutes mes initiatives, défis, à l'époque le congrès, etc., je sais que je sais créer cet espace de sécurité et cet espace de soutien. Donc voilà, je te rappelle, si tu n'es pas encore inscrite, 3xW émotif. talentueux, avec un tiret talentueux.com slash défi. Voilà, si ça te parle, c'est prévu du 18 au 20 avril, trois jours dans lesquels je te transmettrai des outils, on va bosser ensemble pour dépasser ce stade de la suradaptation, pour te permettre d'oser être toi-même et puis de te détacher de la peur du jugement parce que ça peut, ça pique parfois la peur du jugement. voilà et puis si tu t'y es déjà inscrite et bien je t'invite à transmettre l'information à des connaissances pour qu'elles puissent aussi en tant que sacrée nana nous rejoindre et s'inscrire gratuitement voilà Mets ta morphe au son but ça va vibrer de tes mille facettes à tout bientôt

Description

Bienvenue dans ce 30ème épisode dans lequel je te parle des rôles que nous jouons au quotidien...


Cet épisode fait le lien avec les précédents :

  • dans l'épisode 26, j'ai parlé d'estime de soi

  • dans l'épisode 27, j 'ai abordé le fait de sortir de la conformité en lien avec les injonctions au bonheur

  • dans l'épisode 28, je t'ai partagé mes réflexions sur cette période intense en transition pour beaucoup d 'entre nous

  • dans l'épisode 29, je t 'ai expliqué pourquoi on se suradapte très souvent


Aujourd'hui, j'ai envie de mettre en lumière la prise de conscience de ces moments où nous jouons des rôles.


Tu sais, ces rôles qui nous entraînent dans des prises de décisions et des modes de fonctionnement qui sont tellement loin de ce qui est juste pour nous.


Dans cet épisode, je te livre des clés pour prendre conscience de ces dynamiques et rester authentiques et alignées dans nos différentes sphères de vie.


Je te souhaite une bonne écoute !



🌱 Tu nous rejoins pour le "Défi Metamorph’OSE : 3 jours pour sortir de la suradaptation & oser être soi" ?

💎 C'est offert et en ligne du 18 au 20 avril 💎

👉 https://www.emotifs-talentueux.com/defi



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Transcription

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    Je suis ravie de te retrouver pour cet épisode, le 30e, dans lequel je te parle des rôles que nous jouons pour continuer la série des précédents épisodes. Je te fais juste un petit récap, parce que dans le numéro 26, on a parlé d'estime de soi, qui a évidemment un lien avec tout ça. Dans l'épisode 27, j'ai abordé le fait de sortir de la conformité. en lien avec les injonctions au bonheur, dont on entend beaucoup parler pour l'instant, et je te fais part de ma position. Et puis, dans l'épisode 28, je te parle de cette période intense en transition pour beaucoup d'entre nous, pour beaucoup de sacrés nanas, et cette période qui accentue le décalage. Et la dernière fois, dans l'épisode 29, je t'ai expliqué pourquoi on se suradapte, parce que finalement, on parle des conséquences, mais on ne parle pas forcément du pourquoi. on a l'habitude, ou en tout cas, on sort difficilement, dans certains cas, de la suradaptation. Et dans ce 30e épisode, j'ai eu envie de mettre en lumière la prise de conscience, en tout cas, comment tu peux prendre conscience de ces moments où nous jouons des rôles, et des moments où on est en lien avec ces rôles. nous prenons des décisions qui ne sont pas ou bien qui ne sont plus justes. Peut-être qu'elles l'étaient il y a quelques semaines, mais qu'elles ne le sont plus aujourd'hui. Plus justes avec qui nous sommes, parce qu'effectivement, les choses bougent pas mal. On se retrouve tout de suite pour la suite de cet épisode. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, je ne t'apprends rien, la vie est parfois un vrai tourbillon, ça c'est sûr. Je crois que la période, je parle beaucoup de cette période-ci parce que beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes me renvoient ça. Moi, j'ai pendant tout un temps cru que j'étais toute seule ou en tout cas parmi les quelques personnes à vivre pas mal de choses chamboulantes. Et en fait, je me rends compte que non, pas du tout. beaucoup de personnes vivent dans une forme d'inconfort pour certaines ça bouge un petit peu plus que pour d'autres mais voilà, je connais oui, certaines personnes qui sont assez alignées et qui vivent leur plus belle vie ça existe aussi mais c'est quand même moins souvent ce que j'entends pour l'instant donc je risque pas trop de me tromper si je te partage je... tous ces éléments-là parce que je me suis rendue compte que beaucoup de personnes revenaient vers moi et me disaient Qu'est-ce que ça me fait du bien que toi, tu partages ce que tu vis. Ça me donne de l'espoir. Ça me donne cette envie de continuer à y croire. Donc, voilà. Ce dont j'ai envie de te parler aujourd'hui, c'est combien j'observe aujourd'hui, combien il est facile de se laisser entraîner dans des prises de décision et des modes de fonctionnement qui sont finalement tellement loin de ce qui est juste pour nous, pour toute une série de raisons. Je vais revoir avec toi. Parfois, ça semble des petits choix anodins. Et puis, parfois, à force de décider certaines choses qui ne nous correspondent pas. de les refaire régulièrement, on finit par à la fois jouer un rôle qui ne nous correspond pas et prendre des décisions qui, les unes après les autres, nous écartent de qui nous sommes réellement. Et ce qui était peut-être tout à fait juste pour toi il y a quelques semaines, je vais te donner un exemple perso pour illustrer ça, n'est peut-être plus du tout ce qui est juste pour toi aujourd'hui. Et ce n'est pas évident. voilà alors moi j'ai juste envie de commencer avec un exemple parce que c'est souvent comme ça que j'aime te transmettre des choses tu m'as peut-être entendu parler parce que j'ai annoncé ça publiquement peut-être début d'année, je ne sais plus, mais j'en ai parlé à plusieurs reprises, même si je ne l'ai pas fait très souvent, que j'allais partir à Bali ou que j'avais envie de partir à Bali. Alors, Bali, c'est une grande histoire. Je n'ai pas encore été à Bali, mais j'ai très, très envie d'y aller depuis environ mes 30 ans. C'est à peu près à ce moment-là. Un peu après. Mais alors, Bali, l'histoire, en ce qui me concerne... C'est, j'ai à l'époque dans mes nombreux métiers eu un magasin de décoration cadeau. J'ai fait un premier burn-out, j'avais 33 ans, donc il y a un peu plus de 25 ans. et comme j'avais un magasin de décoration cadeau c'est à cette époque là que j'ai commencé à m'intéresser un petit peu plus sensiblement à tout ce qui était développement personnel, spiritualité, toute une série d'autres choses et le lien que j'ai très très vite fait entre, ou en tout cas c'est venu à moi on va plutôt dire comme ça entre le développement personnel et un magasin de décoration cadeau, ça a été le Feng Shui. Le Feng Shui, c'est l'art d'harmoniser ton lieu de vie avec tout ce qui est énergie. Je parle très souvent d'énergie. Tu m'entends très souvent parler de ça. J'imagine. J'ai l'impression que c'est un mot que je dis très souvent parce qu'effectivement, pour moi, tout est énergie. Je suis très connectée à... ce que j'appelle cette fameuse énergie, ce qui pour certaines personnes, et peut-être que c'est ton cas, ne veut rien dire, et peut-être qu'au contraire, c'est très très clair pour toi ce que ça veut dire de l'énergie. Ok ? Et donc... Il y a eu effectivement cette époque à laquelle, vers mes 33, 34, 35 ans, je me suis beaucoup intéressée à comment tu peux te sentir bien dans ton lieu de vie, mais pas juste avec des couleurs ou des éléments de décoration, mais plus avec comment on harmonise effectivement ce flux de vie dans la maison, comment on place les objets, comment on utilise la symbolique, voilà, toute une série de choses. Et ça a été vraiment une très, très belle expérience parce que... ça faisait sens avec mon métier, en tout cas avec, je ne sais pas si c'était mon métier, mais en tout cas ce que je faisais à l'époque, d'avoir une boutique de déco. Et ça a été un premier pas pour moi dans le développement personnel, entre autres parce que j'ai commencé à donner des conférences et puis j'ai... également commencer à donner des consultations et c'est au départ de ça que je me suis rendu compte que j'avais envie d'accompagner les gens parce que la petite histoire c'est que une de mes peut-être pas première cliente parce que je faisais déjà pas mal de consultations mais un jour je suis arrivée chez une dame et je sentais qu'il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas dans son couple mais je n'étais pas habituée à poser des questions je ne suis pas formée à ça et pour faire l'histoire courte, à un moment donné, je lui ai, avec des détours, posé une question où je l'ai, alors, coincée, entre guillemets, pas parce que je voulais la coincer et lui faire du mal, mais à travers la question que je lui ai posée, qui était une question toute simple, qui était, mais dans 25 ans, comment vous vous voyez avec votre mari ? Et en fait, elle ne se voyait pas du tout avec son mari dans 25 ans, puisque le couple n'allait pas aller bien du tout. Elle m'avait dit avant, oui, tout va bien dans mon couple, mais moi, je sentais, j'observais, à travers... ce que je voyais que ce n'était pas le cas. Et là, elle est partie en vrille, émotionnellement, mais je n'étais pas du tout équipée, déjà pas moi-même vis-à-vis de moi, mais pas du tout équipée pour l'accompagner. Et j'ai eu très, très, très, très peur. Alors qu'aujourd'hui, je souris quand je revois cette femme de 35 ans que j'étais paniquée, parce que j'avais l'impression que j'avais fait quelque chose de mal, alors qu'au contraire, j'avais... Pardon. j'avais vraiment ressenti ce qui était tout à fait juste. J'avais mis le doigt exactement là où il fallait le mettre, peut-être de manière maladroite, mais je ne savais pas quoi faire avec ça. et donc c'est ce qui m'a donné envie de me former par la suite à la relation d'aide au coaching etc. Donc le Feng Shui a pris vraiment une grande place pour moi et j'ai eu envie de transmettre et de former au Feng Shui donc je me suis formée pour pouvoir transmettre par la suite le Feng Shui donc j'ai fait pas mal de cours avec des américains, avec une anglaise, Karen Kingston et c'est là où j'en arrive à Bali Karen Kingston qui est assez connue dans le monde du Feng Shui elle a écrit pas mal de bouquins c'est une anglaise qui avait épousé un bel aîné qui vivait à Bali j'ai d'ailleurs du matériel sacré que j'ai acheté à Karen et quand elle nous parlait de Bali c'était vraiment pour moi à une époque à 35 ans où c'était la panacée et j'ai toujours eu envie d'y aller. Puis ça ne s'est jamais mis pour toute une série de raisons. Connue, inconnue, consciente, inconsciente, peu importe. Mais ça revient régulièrement. Je suis très, très attirée. Et aujourd'hui, à travers ce que je vis, et à travers Sacré Nana, ma reconnexion subtile, etc., j'ai vraiment très, très envie à nouveau d'y retourner. Alors, c'est assez amusant parce que j'ai pas mal d'amis, de collègues qui y vont, des connaissances qui y vivent. Et en l'occurrence, ce qui s'est passé récemment, c'est qu'une de mes collègues, collègue et en même temps coach, c'est une dame qui m'a accompagnée, vit à Bali et elle organise une retraite qui fait partie d'un mastermind. On va appeler ça comme ça, peu importe, c'est ça qui est important. et je me suis inscrite à son programme parce que faisait partie de ce programme la possibilité d'aller à Bali et je m'étais dit, génial, comme ça je vais poursuivre et moi je vais voyager donc l'idée c'était pas de partir toute seule parce que je sais pas toujours les personnes qui ont envie de partir en même temps que moi qui ont forcément le même budget que moi, parfois c'est plus parfois c'est moins, envie de faire les mêmes choses et là je m'étais dit, bah voilà je pars une semaine pour ce programme, cette retraite sur place et puis je continue une semaine, dix jours, je profite du voyage. Et c'était prévu au mois d'avril. Et plus je me rapprochais du mois d'avril, on devait être à peu près au mois de février, et je me suis dit, non, ça ne va pas le faire, pour toute une série de raisons en lien avec ma vie perso et pro, parce que je suis dans cette fameuse transition et la clarté, elle ne vient pas sur un coup de baguette magique. Et... Je me rendais compte que le mois d'avril... ce n'était pas le bon mois pour pouvoir partir, d'autant plus que j'avais déjà un programme à Ténérife, celui-là où je donnais un programme moi-même, et puis trois jours de formation à l'école de la posture juste pour ma quatrième année. Je devais repartir tout de suite à Bali, et en gros, je me suis dit que je ne voulais même plus avoir le temps de respirer. Alors, je faisais ça il y a 20 ans, de partir, de revenir et de repartir. C'est juste que je n'ai plus 20 ans, et je sentais que ce n'était pas juste. ça tournait en boucle voilà cela dit il y avait eu des éléments de synchronicité que j'avais trouvé que j'avais pris comme des signes et peut-être que ça l'était mais c'est là où je trouve que c'est important de revenir à soi et à l'intérieur et de ne pas faire nécessairement un peu alors c'est pas faire confiance à l'extérieur mais de ne pas rester braqué sur ça ce qui s'était quand même passé que j'avais trouvé complètement fou c'est je suis partie rejoindre un événement que cette coach Marie avait mis en place à Toulouse au mois d'octobre c'est sa fin octobre donc je prends l'avion on discute de Bali je rencontre des super personnes avec qui je me dis Cool, on va pouvoir se voir à Bali. Ah oui, peut-être, je dois décider, machin, voilà. Et ces trois jours se terminent et j'arrive à l'aéroport de Toulouse qui n'est pas un aéroport au départ duquel il y a des grands voyages vers Bali, a priori, en tout cas, et ça m'a été confirmé. entre autres par une amie que je rejoignais et avec qui j'ai petit déjeuné ce matin-là, Karine Ansem, que vous avez peut-être entendu dans le congrès du HANSS il y a trois ans. Et j'arrive dans le hall de départ et il y a un écran avec les différents horaires et à côté de l'écran, il y a les pubs et la première image que je vois, c'est Bali. je ne sais même plus quelle compagnie aérienne, mais en lumière, c'est Bali. Donc évidemment, moi, je prends ça pour un signe. Et je pense que c'était OK. Ça faisait partie de l'énergie dans laquelle j'étais à ce moment-là. Et puis j'ai mon amie Karine qui arrive et je lui dis, c'est quoi ? Je viens de voir une image. Et je lui explique, elle me dit, mais ça, c'est fou, elle dit, c'est dingue, elle dit, parce qu'elle vit à Toulouse depuis des années et elle dit, c'est vraiment pas un aéroport de départ pour Bali. Elle dit, moi, je passe, je prends l'avion tout le temps, c'est la première fois que je, elle dit, moi, je ne l'ai même pas vue. Elle était la première personne à me dire, et puis on regarde, c'est le truc qui se déroule, tu mets dix minutes à voir toutes les destinations, puis on voit effectivement Bali. Elle dit, mais c'est fou, enfin voilà. Et donc, quand j'annonce. Marie, je dis, écoute, je ne viendrai pas à Bali au mois d'avril. Ce n'est pas possible pour moi. Tant pis, je passe mon tour. Elle me dit, écoute, justement, on était en train de se dire, ça n'arrange pas, toute une série de personnes, on va le reporter au mois de juillet. Et moi, génial, parce que seule, je ne sais jamais où partir au mois de juillet. Là, génial, je me dis, je vais avoir du temps. En juillet-août, il y a beaucoup moins de travail dans mon métier. Donc, je suis ravie. et donc j'ai dit à tout le monde je vais partir à Bali je m'étais acheté au moment des fêtes de fin d'année j'avais reçu un guide de Bali donc je regarde mais en même temps je me rends compte que ce n'est pas comme ça peut être à d'autres moments où j'ai le nez tout de suite dans mon guide, où je prends des notes, je fais des recherches, il y a un truc qui ne va pas. J'observe ça, graine de sagesse. J'observe que ce n'est pas l'angle où je me prends, j'ai très envie d'y aller. Et puis, ce que j'ai observé, même chose, graine de sagesse. C'est l'extérieur, mais peut-être que l'intérieur vient parasiter ça. À chaque fois que je vais regarder, puisque j'ai passé quand même pas mal de temps sur les trajets, le moins d'avions possible, moi je ne suis pas une grande fan de l'avion au niveau écologique, bien entendu, donc je fais mes choix en conscience. En même temps, j'ai envie de continuer à voyager, donc je suis OK avec ce juste milieu. Donc je regarde au niveau des budgets, je regarde le temps, parce que je ne m'étais pas rendu compte qu'il fallait autant d'heures pour arriver à Bali. par où passer, quelle compagnie, lesquelles je peux annuler, avec quelles pénalités. Enfin, voilà, j'observe ça. Et puis, chaque fois que je me réserve, il n'y a plus la place. Et puis, je me renseigne parce que j'ai quand même deux chiens qu'il faut placer pendant deux à trois semaines. Il y a toujours un truc qui déconne. Je ne sais pas placer mes chiens trois semaines au même endroit, même deux semaines et demie, c'est compliqué. et partir que deux semaines avec le voyage ça ne vaut plus vraiment le coup, ça fait cher pour le voyage et ça n'a pas beaucoup de sens pour moi, enfin voilà et donc je me rends compte que il y a des tas de choses entre autres, je n'avais pas placé mes chiens puis moi j'ai un chien qui est malade Eliott, mon deuxième chien qui a 5 ans il a la leucémie donc on vit vraiment jour le jour avec lui et à un moment il y a un truc qui me dit oh j'ai peur qu'ils partent pendant que je suis moins partie et que je ne puisse pas revenir. C'est sûr que si je suis dans le sud de la France et que ça ne va pas, je peux remonter. Si je suis à Paris, il va être plus compliqué de revenir, évidemment. Mais en même temps, c'est la vie, c'est comme ça que ça se passe. J'ai mon deuxième livre à terminer aussi, à rendre pour le mois de septembre. Je sens quand même qu'à travers tout ce que je traverse, mon niveau de fatigue, je me dis que... mon niveau de fatigabilité est plus élevé qu'avant. Alors voilà, tu verras, il y a l'âge, il y a tout le truc, mais j'observe que je peux être quelqu'un qui a beaucoup d'énergie, mais qu'un grain de sable peut vite me faire basculer. Donc, je mets ça au milieu de tout ce que je vois. La charge mentale est quand même là quand il s'agit de préparer. Il y a d'autres choses qui me prennent plus d'énergie. et puis je me rends compte aussi que finalement ce qu'on va apprendre dans ce mastermind c'est peut-être plus tout à fait ma priorité parce que le changement est tellement rapide en ce qui me concerne que aujourd'hui je ne suis plus sûre je me suis posé la question je me suis regardée en face en me disant si tu devais à nouveau rentrer dans ce programme aujourd'hui est-ce que tu y rentrerais ? et alors c'est pas parce que c'est bien que c'est pas bien je veux dire, en tout cas ça n'aurait plus été ma priorité, voilà, et donc je suis revenue à quelles sont mes priorités alors toute cette histoire de Bali à travers ce que je te partage parce que j'ai le sentiment, je vois souvent quand je partage de cette façon là que ça fait écho quand je partage mes questionnements ça peut te permettre de toi aussi te poser tes propres questions et de voir, mais finalement, qu'est-ce qui fait sens pour toi ? Et en fait, c'est là où je dis qu'on joue constamment des rôles. Et c'est OK. C'est OK de jouer des rôles. C'est OK de jouer des rôles qui ne reflètent pas nécessairement notre vraie nature ou nos aspirations profondes. Et tu vois, dans l'exemple de Bali, mais c'est quoi finalement mon aspiration profonde ? L'aspiration, c'était d'aller à Bali. Est-ce qu'elle est profonde à ce stade-ci ? Pas vraiment. Ou en tout cas, j'aurais envie de reformuler les choses autrement. Je pense que si. J'ai toujours cette aspiration profonde d'aller à Bali, mais je veux que ce soit un voyage sacré. et sacré c'est honorer honorer ce voyage et honorer c'est prendre le temps de le préparer c'est prendre le temps de décider en conscience ce que je veux faire ce que je veux vivre comme expérience à Bali et là je sens que c'est pas ok j'ai pas l'espace temps et la disponibilité mentale actuellement pour ça ma disponibilité mentale elle va ailleurs donc voilà, c'est toujours une aspiration profonde et il viendra quand ça devra venir c'est tout à fait certain et donc en fait c'est ça que je suis en train de te partager c'est consciemment quel est le rôle que j'ai joué dans quoi je vais développer est-ce que c'est par conformisme habitude, peur ou manque de connaissance de soi qu'on prend ses décisions qu'on joue ses rôles qui ne nous ressemblent pas ou qui ne nous ressemblent plus. Et je réinsiste très fort là-dessus, parce que ça fait partie de ce changement de paradigme dans lequel on est, qui ne nous ressemble plus et que ça peut switcher en trois à quatre mois. Moi, perso, je... Je fais le choix aujourd'hui d'autant que possible ne pas m'engager au-delà de trois à quatre mois parce que je me rends compte qu'au moment où je m'engage, c'est tout à fait juste, mais que pour le moment en particulier… une fois de plus, mon énergie change tellement et tellement de chaos et du chaos naissent les étoiles. Quand je dis chaos, moi je vois ça pas confortable, mais je vois ça positivement. Parce que je me dis qu'il y a quelque chose de grand qui s'en vient là derrière. Donc, j'ai vraiment cette foi-là. je suis incapable pour l'instant de créer des partenariats long terme ou de dire à quelqu'un oui je vais pouvoir dire à quelqu'un on en reparle dans 6 mois mais je ne sais pas ce que je te dirai dans 6 mois et je le précise déjà tellement ça bouge donc peut-être que ça fait écho pour toi ou pas mais voilà alors Ce qui me semble important, c'est de prendre conscience de ces dynamiques et de rester authentique dans nos différentes sphères de vie. Pose-toi toute une série de questions. Prends le temps de respirer, comme je dis, et de voir quels sont... tes priorités, avec quoi tu es aligné, qu'est-ce qui est juste pour toi. Et donc, moi, j'ai abordé les choses, je vais un petit peu plus loin, sous ce que j'ai envie de... Alors, j'ai abordé et j'aborde maintenant pour toi les choses sous trois angles. C'est... On en revient à la suradaptation et à tout un série de choses dont je parle régulièrement. C'est la norme, c'est l'habitude et c'est la peur du jugement. évidemment le tout se rejoint alors la norme il se trouve que on adopte certaines habitudes ou comportements parce que ça fait partie de ce qu'on a appris, de ce que notre entourage nous a montré. Et on s'est adapté parce qu'on ne s'est même pas posé la question de savoir si ça nous correspond encore ou pas. Et c'est particulièrement vrai si tu viens de découvrir ta singularité au potentiel, aux sensibilités multi, etc. tu ne sais peut-être même pas ce que c'est que la norme, mais pas la norme, mais c'est juste un apprentissage par lequel tu vas repasser. Et la norme, elle est aussi connectée à tes besoins, identifier ce qui te correspond ou pas, et ça s'apprend, voilà. donc je peux alors après je te parle de la norme dans ton mode de fonctionnement mais moi si je reprends l'exemple de Bali pour continuer à illustrer l'exemple, je ne pense pas que la norme m'ait influencée sur ça ça aurait pu je te donne un autre exemple par exemple si tu vas en vacances chaque année à une certaine période à un type de lieu parce que c'est comme ça que ça se fait dans ta famille depuis toujours ou que ton mari t'accompagne on fonctionne de cette manière-là et toi tu t'es adapté, ça vaut la peine de se poser la question, est-ce que c'est vraiment ça que tu veux ? Est-ce que tu fais parce que par... parce qu'une fois de plus, c'est comme ça. C'est amusant de dire c'est comme ça. Alors en réalité, pourquoi c'est comme ça ? Est-ce que ça doit être comme ça ? Non, pas forcément. Ou bien la norme, c'est de partir en vacances ensemble quand on est en couple. Je trouvais ça assez chouette en vacances ou bien de partir ensemble, même pas forcément en vacances. J'ai échangé récemment avec une collègue qui me disait, justement, je pars, je pense que c'était à Paris, à Bali, pardon, pendant deux ou trois mois, en tout cas un certain laps de temps. et à un moment donné, je me suis entendue, moi-même, lui dire, mais je me trompe ou tu étais mariée, ou tu es mariée ? Ben oui, qu'elle me fait. Elle dit, ok. Et en fait, elle a réagi, je lui dis, non, mais moi, c'est juste que tu as tout à fait raison, ce n'est pas habituel. Elle me dit, non, mais moi, je pars toute seule. Elle dit, ça va tout à fait à mon mari. Et puis, comme ça, notre mode de vie, c'est celui-là. Alors, il y a des tas de gens qui disent que ce n'est pas normal. Donc, c'est hors de la norme. et qui prédisent qu'on est bon pour le divorce. Et au contraire, elle dit, nous, on est tout à fait en phase, on vit ensemble depuis des années, elles sont mariées récemment, mais on vit ensemble depuis des années, notre couple a toujours fonctionné de cette manière-là, et c'est pour nous absolument juste dans notre mode de fonctionnement. effectivement c'est pas la norme au point que moi-même je lui ai posé cette question-là sans la juger ou quoi que ce soit c'est juste que voilà, je ne savais plus si, parce que je me suis référée à cette fameuse norme qui voudrait qu'en tant que femme mariée, tu ne pars pas trois mois toute seule pour prendre du temps pour toi. Et que ça n'a absolument rien à voir avec un couple qui fonctionne ou pas, c'est juste parce qu'elle a besoin de ce temps-là et pour toute une raison, une série de raisons qui lui appartiennent. Donc voilà, ça c'est la norme, et puis après il y a l'habitude aussi, ça peut être, c'est très proche. celle qui nous fait répéter des schémas par confort ou par peur du changement. Et du coup, on en oublie de questionner notre alignement avec ces fameux rôles qu'on joue. Même quand nos habitudes sont inconfortables, elles restent connues et on s'y accroche. Parce que le plus souvent, faire des choses que nous n'avons jamais faites, ça demande évidemment d'oser sortir de sa zone de confort et ça peut être méga. ou stressant ou juste traitant pour une série de personnes, ou au contraire, en fonction de ta personnalité, ça peut au contraire t'animer, parce qu'il y a des gens qui aiment sortir de leur zone de confort, mais ce n'est pas forcément le cas pour tout le monde. Je mets là en lumière aussi des profils singuliers comme des personnes avec un TSA, ou avec une haute sensibilité, ça peut être compliqué pour ces personnes-là, ça peut se faire violence de sortir de quelque chose de connu. comme je dis c'est un pas à la fois vois, donne du sens pourquoi tu souhaites le faire voilà je pense que ça c'est important alors cultiver sa graine de sagesse c'est en lien avec le modèle l'approche du développement du potentiel humaniste mon approche pour laquelle j'écris mon deuxième livre d'ailleurs vois un petit peu ce qui est juste pour toi en te connectant avec ton énergie. Parce que tu te sens fatigué, à quel moment tu récupères de l'énergie, à quel moment tu en perds, ça va te donner les fameux indicateurs en lien avec ce qui te porte ou ce qui ne te porte pas. Et je me rends compte que j'ai oublié de te dire que pour identifier ce qui te correspond ou pas, dans la norme et donc pouvoir apprivoiser ta grille de lecture de ton mode de fonctionnement grille de lecture émotive talentueuse comme j'ai l'habitude de dire c'est la graine de connaissance dans mon approche ok et puis oui alors quand je prends l'habitude et je fais le lien avec Bali pour continuer à illustrer mon exemple je vais le faire Ben oui, tu sais, j'avais décidé, donc j'étais dans une forme d'habitude. On pourrait presque dire ça, effectivement. J'étais dans ma zone de confort d'avoir dit, et puis re-questionner, ça peut être inconfortable, évidemment, parce que ça remet toute une série de choses en question. Et, point suivant, le dernier, la peur du jugement. Mais qu'est-ce que les autres vont dire ? Tu sais, moi, on m'a souvent traité de girouette, de personne qui ne restait pas en phase avec ce qu'elle décidait et ça aurait pu m'impacter, ce qui n'est pas du tout le cas parce que je sais pourquoi je décide ça et je suis vraiment revenue à moi. Mais ce n'est pas forcément le cas de tout le monde. Donc, la peur du jugement, du rejet, de l'échec, ça peut nous amener à endosser des masques qui nous protègent mais qui, à terme, finissent toujours par nous éloigner de notre... véritable identité de nos choix. Surtout, si tu as reçu des remarques du style tu es trop, pas assez et que tu as l'impression que tu es inadapté. Alors là, effectivement, la peur du jugement, elle peut être bel et bien là. Parfois, j'ai des personnes qui me disent non, mais ce n'est pas possible quand même de ne pas oser dire ça, tu n'as pas idée, moi, ça me touche énormément. combien de personnes, de femmes, de sacrées nanas qui sont en face de moi, qui sont mes brillantissimes, qui ne s'en rendent pas forcément compte, mais qui n'osent juste pas dire un truc qui peut paraître complètement anodin pour toi, tellement elles ont peur d'être jugées, tellement elles ont peur de sortir de ce conformisme. Et c'est parce que, voilà, elles n'ont pas été acceptées là-dedans, dans leur entourage. C'est un réapprentissage. Par contre, on peut réapprendre. Ça, c'est vraiment quelque chose que je trouve super, super important. Voilà. OK ? et je réinsiste pour mémoire ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage t'ont fait passer ce message là que tu es trop que tu es inadapté pas assez etc que c'est vrai je répète ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage ou même une seule personne te fait croire que tu n'es pas adapté ou que tu es trop ceci pas assez cela que tu es quoi que ce soit de négatif que tu dois croire cette personne et que c'est vrai je réinsiste vraiment là dessus tu as un mode de fonctionnement singulier si tu écoutes ce podcast on peut supposer ça ou que tu l'écoutes pour quelqu'un qui a un mode de fonctionnement singulier et ce mode de fonctionnement aussi singulier soit-il est tout à fait ok ok Donc, mon conseil, c'est cultiver ta graine de connaissance, la première graine de l'approche du développement du potentiel humaniste pour apprendre à bien connaître, à identifier tes valeurs et tes aspirations. C'est aussi tout un programme d'allure qu'on va aborder lors du prochain défi. Je lance du 18 au 20 avril le défi Métamorphose, trois jours pour… apprendre à sortir de la suradaptation et pardon oser être toi-même oh là là, ça ne va pas, tu imagines ? Pourquoi est-ce que je dis justement ça au moment où je répète métamorphose avec apostrophe ose, trois jours pour sortir de la suradaptation et oser être toi-même ? Voilà, c'est un défi, il est gratuit, il est en ligne, il suffit de t'inscrire via trois fois, émotif au pluriel tiré talentueux au pluriel également,.com slash défi, sans accent sur le E de défi, émotif. Alors, si je reprends, pour terminer cette peur du jugement, oui, on aurait pu imaginer que c'est compliqué à mettre en lumière Bali parce que tu te la coules douce, tu peux te permettre de partir à Bali, tu changes d'avis. voilà, il peut y avoir des tas de choses, je l'ai annoncé et puis je dis que je fais demi-tour et puis je vais annoncer, non, ce ne sera pas en avril, ce sera en juillet et puis en juillet, ce ne sera pas et je ne sais pas quand ce sera mais toi qui avais tellement envie, tu nous avais dit que, manifester ses rêves etc. Oui, juste que si je ne suis pas alignée, je ne vais rien manifester du tout et je reviens à mon alignement c'est les deux premières graines de l'approche du développement du potentiel humaniste. j'en reparle dans le défi si tu as envie d'en savoir plus et que tu veux toi aussi apprendre à t'aligner c'est un sujet sur lequel je reviens régulièrement dans mes approches le défi etc alors quelques clés parce que j'aime toujours bien en donner dans mes podcasts astuces pour cultiver ton authenticité sortir des rôles introspection régulière, crainte de connaissance, prendre du temps pour toi, une fois de plus à travers un défi comme le défi métamorphose, par exemple, écouter mon post-ass, ma vidéo, mes vidéos YouTube, lire mes newsletters, etc. Voilà, ça c'est un premier aspect. Questionner les normes, demander pourquoi tu suis certaines conventions et si elles sont en accord avec tes valeurs personnelles parce que ça peut changer pas mal de choses. En tout cas, mettre de la conscience là-dessus. Exprimer tes besoins et tes désirs, ça suppose que tu aies pris le temps de les poser. Ça peut parfois être un travail qui prend un certain temps et c'est OK, ça vaut vraiment l'investissement en temps. parce que tu ne peux pas communiquer tes besoins si tu n'es pas au clair avec tes propres besoins et tu ne peux pas mettre en place ce qui est important pour toi et ce avec quoi tu es aligné si tu ne vas pas fouiller et identifier tes vrais désirs. Et puis expérimenter, expérimenter c'est se donner la permission d'essayer, de mettre en place, de tester, de faire une expérience, y compris dans tes rôles, dans ce que tu souhaites changer. dans ce que tu décides, dans tes activités, tes comportements, parce que c'est ce qui va te permettre de plus en plus d'apprendre à te connaître et à te découvrir et ce qui développe la croissance personnelle. Et puis, pas anodin, le soutien. Le soutien, c'est entoure-toi de personnes qui t'encouragent dans ton authenticité et qui t'offrent un espace sûr pour... pour pouvoir t'explorer, pour pouvoir te connecter à toi. C'est essentiel. Et c'est vraiment, je mets un point d'honneur à mettre ça en lumière parce que dans toutes mes initiatives, défis, à l'époque le congrès, etc., je sais que je sais créer cet espace de sécurité et cet espace de soutien. Donc voilà, je te rappelle, si tu n'es pas encore inscrite, 3xW émotif. talentueux, avec un tiret talentueux.com slash défi. Voilà, si ça te parle, c'est prévu du 18 au 20 avril, trois jours dans lesquels je te transmettrai des outils, on va bosser ensemble pour dépasser ce stade de la suradaptation, pour te permettre d'oser être toi-même et puis de te détacher de la peur du jugement parce que ça peut, ça pique parfois la peur du jugement. voilà et puis si tu t'y es déjà inscrite et bien je t'invite à transmettre l'information à des connaissances pour qu'elles puissent aussi en tant que sacrée nana nous rejoindre et s'inscrire gratuitement voilà Mets ta morphe au son but ça va vibrer de tes mille facettes à tout bientôt

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Description

Bienvenue dans ce 30ème épisode dans lequel je te parle des rôles que nous jouons au quotidien...


Cet épisode fait le lien avec les précédents :

  • dans l'épisode 26, j'ai parlé d'estime de soi

  • dans l'épisode 27, j 'ai abordé le fait de sortir de la conformité en lien avec les injonctions au bonheur

  • dans l'épisode 28, je t'ai partagé mes réflexions sur cette période intense en transition pour beaucoup d 'entre nous

  • dans l'épisode 29, je t 'ai expliqué pourquoi on se suradapte très souvent


Aujourd'hui, j'ai envie de mettre en lumière la prise de conscience de ces moments où nous jouons des rôles.


Tu sais, ces rôles qui nous entraînent dans des prises de décisions et des modes de fonctionnement qui sont tellement loin de ce qui est juste pour nous.


Dans cet épisode, je te livre des clés pour prendre conscience de ces dynamiques et rester authentiques et alignées dans nos différentes sphères de vie.


Je te souhaite une bonne écoute !



🌱 Tu nous rejoins pour le "Défi Metamorph’OSE : 3 jours pour sortir de la suradaptation & oser être soi" ?

💎 C'est offert et en ligne du 18 au 20 avril 💎

👉 https://www.emotifs-talentueux.com/defi



🔹  Pour me rejoindre :

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • #0

    Je suis ravie de te retrouver pour cet épisode, le 30e, dans lequel je te parle des rôles que nous jouons pour continuer la série des précédents épisodes. Je te fais juste un petit récap, parce que dans le numéro 26, on a parlé d'estime de soi, qui a évidemment un lien avec tout ça. Dans l'épisode 27, j'ai abordé le fait de sortir de la conformité. en lien avec les injonctions au bonheur, dont on entend beaucoup parler pour l'instant, et je te fais part de ma position. Et puis, dans l'épisode 28, je te parle de cette période intense en transition pour beaucoup d'entre nous, pour beaucoup de sacrés nanas, et cette période qui accentue le décalage. Et la dernière fois, dans l'épisode 29, je t'ai expliqué pourquoi on se suradapte, parce que finalement, on parle des conséquences, mais on ne parle pas forcément du pourquoi. on a l'habitude, ou en tout cas, on sort difficilement, dans certains cas, de la suradaptation. Et dans ce 30e épisode, j'ai eu envie de mettre en lumière la prise de conscience, en tout cas, comment tu peux prendre conscience de ces moments où nous jouons des rôles, et des moments où on est en lien avec ces rôles. nous prenons des décisions qui ne sont pas ou bien qui ne sont plus justes. Peut-être qu'elles l'étaient il y a quelques semaines, mais qu'elles ne le sont plus aujourd'hui. Plus justes avec qui nous sommes, parce qu'effectivement, les choses bougent pas mal. On se retrouve tout de suite pour la suite de cet épisode. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, je ne t'apprends rien, la vie est parfois un vrai tourbillon, ça c'est sûr. Je crois que la période, je parle beaucoup de cette période-ci parce que beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes me renvoient ça. Moi, j'ai pendant tout un temps cru que j'étais toute seule ou en tout cas parmi les quelques personnes à vivre pas mal de choses chamboulantes. Et en fait, je me rends compte que non, pas du tout. beaucoup de personnes vivent dans une forme d'inconfort pour certaines ça bouge un petit peu plus que pour d'autres mais voilà, je connais oui, certaines personnes qui sont assez alignées et qui vivent leur plus belle vie ça existe aussi mais c'est quand même moins souvent ce que j'entends pour l'instant donc je risque pas trop de me tromper si je te partage je... tous ces éléments-là parce que je me suis rendue compte que beaucoup de personnes revenaient vers moi et me disaient Qu'est-ce que ça me fait du bien que toi, tu partages ce que tu vis. Ça me donne de l'espoir. Ça me donne cette envie de continuer à y croire. Donc, voilà. Ce dont j'ai envie de te parler aujourd'hui, c'est combien j'observe aujourd'hui, combien il est facile de se laisser entraîner dans des prises de décision et des modes de fonctionnement qui sont finalement tellement loin de ce qui est juste pour nous, pour toute une série de raisons. Je vais revoir avec toi. Parfois, ça semble des petits choix anodins. Et puis, parfois, à force de décider certaines choses qui ne nous correspondent pas. de les refaire régulièrement, on finit par à la fois jouer un rôle qui ne nous correspond pas et prendre des décisions qui, les unes après les autres, nous écartent de qui nous sommes réellement. Et ce qui était peut-être tout à fait juste pour toi il y a quelques semaines, je vais te donner un exemple perso pour illustrer ça, n'est peut-être plus du tout ce qui est juste pour toi aujourd'hui. Et ce n'est pas évident. voilà alors moi j'ai juste envie de commencer avec un exemple parce que c'est souvent comme ça que j'aime te transmettre des choses tu m'as peut-être entendu parler parce que j'ai annoncé ça publiquement peut-être début d'année, je ne sais plus, mais j'en ai parlé à plusieurs reprises, même si je ne l'ai pas fait très souvent, que j'allais partir à Bali ou que j'avais envie de partir à Bali. Alors, Bali, c'est une grande histoire. Je n'ai pas encore été à Bali, mais j'ai très, très envie d'y aller depuis environ mes 30 ans. C'est à peu près à ce moment-là. Un peu après. Mais alors, Bali, l'histoire, en ce qui me concerne... C'est, j'ai à l'époque dans mes nombreux métiers eu un magasin de décoration cadeau. J'ai fait un premier burn-out, j'avais 33 ans, donc il y a un peu plus de 25 ans. et comme j'avais un magasin de décoration cadeau c'est à cette époque là que j'ai commencé à m'intéresser un petit peu plus sensiblement à tout ce qui était développement personnel, spiritualité, toute une série d'autres choses et le lien que j'ai très très vite fait entre, ou en tout cas c'est venu à moi on va plutôt dire comme ça entre le développement personnel et un magasin de décoration cadeau, ça a été le Feng Shui. Le Feng Shui, c'est l'art d'harmoniser ton lieu de vie avec tout ce qui est énergie. Je parle très souvent d'énergie. Tu m'entends très souvent parler de ça. J'imagine. J'ai l'impression que c'est un mot que je dis très souvent parce qu'effectivement, pour moi, tout est énergie. Je suis très connectée à... ce que j'appelle cette fameuse énergie, ce qui pour certaines personnes, et peut-être que c'est ton cas, ne veut rien dire, et peut-être qu'au contraire, c'est très très clair pour toi ce que ça veut dire de l'énergie. Ok ? Et donc... Il y a eu effectivement cette époque à laquelle, vers mes 33, 34, 35 ans, je me suis beaucoup intéressée à comment tu peux te sentir bien dans ton lieu de vie, mais pas juste avec des couleurs ou des éléments de décoration, mais plus avec comment on harmonise effectivement ce flux de vie dans la maison, comment on place les objets, comment on utilise la symbolique, voilà, toute une série de choses. Et ça a été vraiment une très, très belle expérience parce que... ça faisait sens avec mon métier, en tout cas avec, je ne sais pas si c'était mon métier, mais en tout cas ce que je faisais à l'époque, d'avoir une boutique de déco. Et ça a été un premier pas pour moi dans le développement personnel, entre autres parce que j'ai commencé à donner des conférences et puis j'ai... également commencer à donner des consultations et c'est au départ de ça que je me suis rendu compte que j'avais envie d'accompagner les gens parce que la petite histoire c'est que une de mes peut-être pas première cliente parce que je faisais déjà pas mal de consultations mais un jour je suis arrivée chez une dame et je sentais qu'il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas dans son couple mais je n'étais pas habituée à poser des questions je ne suis pas formée à ça et pour faire l'histoire courte, à un moment donné, je lui ai, avec des détours, posé une question où je l'ai, alors, coincée, entre guillemets, pas parce que je voulais la coincer et lui faire du mal, mais à travers la question que je lui ai posée, qui était une question toute simple, qui était, mais dans 25 ans, comment vous vous voyez avec votre mari ? Et en fait, elle ne se voyait pas du tout avec son mari dans 25 ans, puisque le couple n'allait pas aller bien du tout. Elle m'avait dit avant, oui, tout va bien dans mon couple, mais moi, je sentais, j'observais, à travers... ce que je voyais que ce n'était pas le cas. Et là, elle est partie en vrille, émotionnellement, mais je n'étais pas du tout équipée, déjà pas moi-même vis-à-vis de moi, mais pas du tout équipée pour l'accompagner. Et j'ai eu très, très, très, très peur. Alors qu'aujourd'hui, je souris quand je revois cette femme de 35 ans que j'étais paniquée, parce que j'avais l'impression que j'avais fait quelque chose de mal, alors qu'au contraire, j'avais... Pardon. j'avais vraiment ressenti ce qui était tout à fait juste. J'avais mis le doigt exactement là où il fallait le mettre, peut-être de manière maladroite, mais je ne savais pas quoi faire avec ça. et donc c'est ce qui m'a donné envie de me former par la suite à la relation d'aide au coaching etc. Donc le Feng Shui a pris vraiment une grande place pour moi et j'ai eu envie de transmettre et de former au Feng Shui donc je me suis formée pour pouvoir transmettre par la suite le Feng Shui donc j'ai fait pas mal de cours avec des américains, avec une anglaise, Karen Kingston et c'est là où j'en arrive à Bali Karen Kingston qui est assez connue dans le monde du Feng Shui elle a écrit pas mal de bouquins c'est une anglaise qui avait épousé un bel aîné qui vivait à Bali j'ai d'ailleurs du matériel sacré que j'ai acheté à Karen et quand elle nous parlait de Bali c'était vraiment pour moi à une époque à 35 ans où c'était la panacée et j'ai toujours eu envie d'y aller. Puis ça ne s'est jamais mis pour toute une série de raisons. Connue, inconnue, consciente, inconsciente, peu importe. Mais ça revient régulièrement. Je suis très, très attirée. Et aujourd'hui, à travers ce que je vis, et à travers Sacré Nana, ma reconnexion subtile, etc., j'ai vraiment très, très envie à nouveau d'y retourner. Alors, c'est assez amusant parce que j'ai pas mal d'amis, de collègues qui y vont, des connaissances qui y vivent. Et en l'occurrence, ce qui s'est passé récemment, c'est qu'une de mes collègues, collègue et en même temps coach, c'est une dame qui m'a accompagnée, vit à Bali et elle organise une retraite qui fait partie d'un mastermind. On va appeler ça comme ça, peu importe, c'est ça qui est important. et je me suis inscrite à son programme parce que faisait partie de ce programme la possibilité d'aller à Bali et je m'étais dit, génial, comme ça je vais poursuivre et moi je vais voyager donc l'idée c'était pas de partir toute seule parce que je sais pas toujours les personnes qui ont envie de partir en même temps que moi qui ont forcément le même budget que moi, parfois c'est plus parfois c'est moins, envie de faire les mêmes choses et là je m'étais dit, bah voilà je pars une semaine pour ce programme, cette retraite sur place et puis je continue une semaine, dix jours, je profite du voyage. Et c'était prévu au mois d'avril. Et plus je me rapprochais du mois d'avril, on devait être à peu près au mois de février, et je me suis dit, non, ça ne va pas le faire, pour toute une série de raisons en lien avec ma vie perso et pro, parce que je suis dans cette fameuse transition et la clarté, elle ne vient pas sur un coup de baguette magique. Et... Je me rendais compte que le mois d'avril... ce n'était pas le bon mois pour pouvoir partir, d'autant plus que j'avais déjà un programme à Ténérife, celui-là où je donnais un programme moi-même, et puis trois jours de formation à l'école de la posture juste pour ma quatrième année. Je devais repartir tout de suite à Bali, et en gros, je me suis dit que je ne voulais même plus avoir le temps de respirer. Alors, je faisais ça il y a 20 ans, de partir, de revenir et de repartir. C'est juste que je n'ai plus 20 ans, et je sentais que ce n'était pas juste. ça tournait en boucle voilà cela dit il y avait eu des éléments de synchronicité que j'avais trouvé que j'avais pris comme des signes et peut-être que ça l'était mais c'est là où je trouve que c'est important de revenir à soi et à l'intérieur et de ne pas faire nécessairement un peu alors c'est pas faire confiance à l'extérieur mais de ne pas rester braqué sur ça ce qui s'était quand même passé que j'avais trouvé complètement fou c'est je suis partie rejoindre un événement que cette coach Marie avait mis en place à Toulouse au mois d'octobre c'est sa fin octobre donc je prends l'avion on discute de Bali je rencontre des super personnes avec qui je me dis Cool, on va pouvoir se voir à Bali. Ah oui, peut-être, je dois décider, machin, voilà. Et ces trois jours se terminent et j'arrive à l'aéroport de Toulouse qui n'est pas un aéroport au départ duquel il y a des grands voyages vers Bali, a priori, en tout cas, et ça m'a été confirmé. entre autres par une amie que je rejoignais et avec qui j'ai petit déjeuné ce matin-là, Karine Ansem, que vous avez peut-être entendu dans le congrès du HANSS il y a trois ans. Et j'arrive dans le hall de départ et il y a un écran avec les différents horaires et à côté de l'écran, il y a les pubs et la première image que je vois, c'est Bali. je ne sais même plus quelle compagnie aérienne, mais en lumière, c'est Bali. Donc évidemment, moi, je prends ça pour un signe. Et je pense que c'était OK. Ça faisait partie de l'énergie dans laquelle j'étais à ce moment-là. Et puis j'ai mon amie Karine qui arrive et je lui dis, c'est quoi ? Je viens de voir une image. Et je lui explique, elle me dit, mais ça, c'est fou, elle dit, c'est dingue, elle dit, parce qu'elle vit à Toulouse depuis des années et elle dit, c'est vraiment pas un aéroport de départ pour Bali. Elle dit, moi, je passe, je prends l'avion tout le temps, c'est la première fois que je, elle dit, moi, je ne l'ai même pas vue. Elle était la première personne à me dire, et puis on regarde, c'est le truc qui se déroule, tu mets dix minutes à voir toutes les destinations, puis on voit effectivement Bali. Elle dit, mais c'est fou, enfin voilà. Et donc, quand j'annonce. Marie, je dis, écoute, je ne viendrai pas à Bali au mois d'avril. Ce n'est pas possible pour moi. Tant pis, je passe mon tour. Elle me dit, écoute, justement, on était en train de se dire, ça n'arrange pas, toute une série de personnes, on va le reporter au mois de juillet. Et moi, génial, parce que seule, je ne sais jamais où partir au mois de juillet. Là, génial, je me dis, je vais avoir du temps. En juillet-août, il y a beaucoup moins de travail dans mon métier. Donc, je suis ravie. et donc j'ai dit à tout le monde je vais partir à Bali je m'étais acheté au moment des fêtes de fin d'année j'avais reçu un guide de Bali donc je regarde mais en même temps je me rends compte que ce n'est pas comme ça peut être à d'autres moments où j'ai le nez tout de suite dans mon guide, où je prends des notes, je fais des recherches, il y a un truc qui ne va pas. J'observe ça, graine de sagesse. J'observe que ce n'est pas l'angle où je me prends, j'ai très envie d'y aller. Et puis, ce que j'ai observé, même chose, graine de sagesse. C'est l'extérieur, mais peut-être que l'intérieur vient parasiter ça. À chaque fois que je vais regarder, puisque j'ai passé quand même pas mal de temps sur les trajets, le moins d'avions possible, moi je ne suis pas une grande fan de l'avion au niveau écologique, bien entendu, donc je fais mes choix en conscience. En même temps, j'ai envie de continuer à voyager, donc je suis OK avec ce juste milieu. Donc je regarde au niveau des budgets, je regarde le temps, parce que je ne m'étais pas rendu compte qu'il fallait autant d'heures pour arriver à Bali. par où passer, quelle compagnie, lesquelles je peux annuler, avec quelles pénalités. Enfin, voilà, j'observe ça. Et puis, chaque fois que je me réserve, il n'y a plus la place. Et puis, je me renseigne parce que j'ai quand même deux chiens qu'il faut placer pendant deux à trois semaines. Il y a toujours un truc qui déconne. Je ne sais pas placer mes chiens trois semaines au même endroit, même deux semaines et demie, c'est compliqué. et partir que deux semaines avec le voyage ça ne vaut plus vraiment le coup, ça fait cher pour le voyage et ça n'a pas beaucoup de sens pour moi, enfin voilà et donc je me rends compte que il y a des tas de choses entre autres, je n'avais pas placé mes chiens puis moi j'ai un chien qui est malade Eliott, mon deuxième chien qui a 5 ans il a la leucémie donc on vit vraiment jour le jour avec lui et à un moment il y a un truc qui me dit oh j'ai peur qu'ils partent pendant que je suis moins partie et que je ne puisse pas revenir. C'est sûr que si je suis dans le sud de la France et que ça ne va pas, je peux remonter. Si je suis à Paris, il va être plus compliqué de revenir, évidemment. Mais en même temps, c'est la vie, c'est comme ça que ça se passe. J'ai mon deuxième livre à terminer aussi, à rendre pour le mois de septembre. Je sens quand même qu'à travers tout ce que je traverse, mon niveau de fatigue, je me dis que... mon niveau de fatigabilité est plus élevé qu'avant. Alors voilà, tu verras, il y a l'âge, il y a tout le truc, mais j'observe que je peux être quelqu'un qui a beaucoup d'énergie, mais qu'un grain de sable peut vite me faire basculer. Donc, je mets ça au milieu de tout ce que je vois. La charge mentale est quand même là quand il s'agit de préparer. Il y a d'autres choses qui me prennent plus d'énergie. et puis je me rends compte aussi que finalement ce qu'on va apprendre dans ce mastermind c'est peut-être plus tout à fait ma priorité parce que le changement est tellement rapide en ce qui me concerne que aujourd'hui je ne suis plus sûre je me suis posé la question je me suis regardée en face en me disant si tu devais à nouveau rentrer dans ce programme aujourd'hui est-ce que tu y rentrerais ? et alors c'est pas parce que c'est bien que c'est pas bien je veux dire, en tout cas ça n'aurait plus été ma priorité, voilà, et donc je suis revenue à quelles sont mes priorités alors toute cette histoire de Bali à travers ce que je te partage parce que j'ai le sentiment, je vois souvent quand je partage de cette façon là que ça fait écho quand je partage mes questionnements ça peut te permettre de toi aussi te poser tes propres questions et de voir, mais finalement, qu'est-ce qui fait sens pour toi ? Et en fait, c'est là où je dis qu'on joue constamment des rôles. Et c'est OK. C'est OK de jouer des rôles. C'est OK de jouer des rôles qui ne reflètent pas nécessairement notre vraie nature ou nos aspirations profondes. Et tu vois, dans l'exemple de Bali, mais c'est quoi finalement mon aspiration profonde ? L'aspiration, c'était d'aller à Bali. Est-ce qu'elle est profonde à ce stade-ci ? Pas vraiment. Ou en tout cas, j'aurais envie de reformuler les choses autrement. Je pense que si. J'ai toujours cette aspiration profonde d'aller à Bali, mais je veux que ce soit un voyage sacré. et sacré c'est honorer honorer ce voyage et honorer c'est prendre le temps de le préparer c'est prendre le temps de décider en conscience ce que je veux faire ce que je veux vivre comme expérience à Bali et là je sens que c'est pas ok j'ai pas l'espace temps et la disponibilité mentale actuellement pour ça ma disponibilité mentale elle va ailleurs donc voilà, c'est toujours une aspiration profonde et il viendra quand ça devra venir c'est tout à fait certain et donc en fait c'est ça que je suis en train de te partager c'est consciemment quel est le rôle que j'ai joué dans quoi je vais développer est-ce que c'est par conformisme habitude, peur ou manque de connaissance de soi qu'on prend ses décisions qu'on joue ses rôles qui ne nous ressemblent pas ou qui ne nous ressemblent plus. Et je réinsiste très fort là-dessus, parce que ça fait partie de ce changement de paradigme dans lequel on est, qui ne nous ressemble plus et que ça peut switcher en trois à quatre mois. Moi, perso, je... Je fais le choix aujourd'hui d'autant que possible ne pas m'engager au-delà de trois à quatre mois parce que je me rends compte qu'au moment où je m'engage, c'est tout à fait juste, mais que pour le moment en particulier… une fois de plus, mon énergie change tellement et tellement de chaos et du chaos naissent les étoiles. Quand je dis chaos, moi je vois ça pas confortable, mais je vois ça positivement. Parce que je me dis qu'il y a quelque chose de grand qui s'en vient là derrière. Donc, j'ai vraiment cette foi-là. je suis incapable pour l'instant de créer des partenariats long terme ou de dire à quelqu'un oui je vais pouvoir dire à quelqu'un on en reparle dans 6 mois mais je ne sais pas ce que je te dirai dans 6 mois et je le précise déjà tellement ça bouge donc peut-être que ça fait écho pour toi ou pas mais voilà alors Ce qui me semble important, c'est de prendre conscience de ces dynamiques et de rester authentique dans nos différentes sphères de vie. Pose-toi toute une série de questions. Prends le temps de respirer, comme je dis, et de voir quels sont... tes priorités, avec quoi tu es aligné, qu'est-ce qui est juste pour toi. Et donc, moi, j'ai abordé les choses, je vais un petit peu plus loin, sous ce que j'ai envie de... Alors, j'ai abordé et j'aborde maintenant pour toi les choses sous trois angles. C'est... On en revient à la suradaptation et à tout un série de choses dont je parle régulièrement. C'est la norme, c'est l'habitude et c'est la peur du jugement. évidemment le tout se rejoint alors la norme il se trouve que on adopte certaines habitudes ou comportements parce que ça fait partie de ce qu'on a appris, de ce que notre entourage nous a montré. Et on s'est adapté parce qu'on ne s'est même pas posé la question de savoir si ça nous correspond encore ou pas. Et c'est particulièrement vrai si tu viens de découvrir ta singularité au potentiel, aux sensibilités multi, etc. tu ne sais peut-être même pas ce que c'est que la norme, mais pas la norme, mais c'est juste un apprentissage par lequel tu vas repasser. Et la norme, elle est aussi connectée à tes besoins, identifier ce qui te correspond ou pas, et ça s'apprend, voilà. donc je peux alors après je te parle de la norme dans ton mode de fonctionnement mais moi si je reprends l'exemple de Bali pour continuer à illustrer l'exemple, je ne pense pas que la norme m'ait influencée sur ça ça aurait pu je te donne un autre exemple par exemple si tu vas en vacances chaque année à une certaine période à un type de lieu parce que c'est comme ça que ça se fait dans ta famille depuis toujours ou que ton mari t'accompagne on fonctionne de cette manière-là et toi tu t'es adapté, ça vaut la peine de se poser la question, est-ce que c'est vraiment ça que tu veux ? Est-ce que tu fais parce que par... parce qu'une fois de plus, c'est comme ça. C'est amusant de dire c'est comme ça. Alors en réalité, pourquoi c'est comme ça ? Est-ce que ça doit être comme ça ? Non, pas forcément. Ou bien la norme, c'est de partir en vacances ensemble quand on est en couple. Je trouvais ça assez chouette en vacances ou bien de partir ensemble, même pas forcément en vacances. J'ai échangé récemment avec une collègue qui me disait, justement, je pars, je pense que c'était à Paris, à Bali, pardon, pendant deux ou trois mois, en tout cas un certain laps de temps. et à un moment donné, je me suis entendue, moi-même, lui dire, mais je me trompe ou tu étais mariée, ou tu es mariée ? Ben oui, qu'elle me fait. Elle dit, ok. Et en fait, elle a réagi, je lui dis, non, mais moi, c'est juste que tu as tout à fait raison, ce n'est pas habituel. Elle me dit, non, mais moi, je pars toute seule. Elle dit, ça va tout à fait à mon mari. Et puis, comme ça, notre mode de vie, c'est celui-là. Alors, il y a des tas de gens qui disent que ce n'est pas normal. Donc, c'est hors de la norme. et qui prédisent qu'on est bon pour le divorce. Et au contraire, elle dit, nous, on est tout à fait en phase, on vit ensemble depuis des années, elles sont mariées récemment, mais on vit ensemble depuis des années, notre couple a toujours fonctionné de cette manière-là, et c'est pour nous absolument juste dans notre mode de fonctionnement. effectivement c'est pas la norme au point que moi-même je lui ai posé cette question-là sans la juger ou quoi que ce soit c'est juste que voilà, je ne savais plus si, parce que je me suis référée à cette fameuse norme qui voudrait qu'en tant que femme mariée, tu ne pars pas trois mois toute seule pour prendre du temps pour toi. Et que ça n'a absolument rien à voir avec un couple qui fonctionne ou pas, c'est juste parce qu'elle a besoin de ce temps-là et pour toute une raison, une série de raisons qui lui appartiennent. Donc voilà, ça c'est la norme, et puis après il y a l'habitude aussi, ça peut être, c'est très proche. celle qui nous fait répéter des schémas par confort ou par peur du changement. Et du coup, on en oublie de questionner notre alignement avec ces fameux rôles qu'on joue. Même quand nos habitudes sont inconfortables, elles restent connues et on s'y accroche. Parce que le plus souvent, faire des choses que nous n'avons jamais faites, ça demande évidemment d'oser sortir de sa zone de confort et ça peut être méga. ou stressant ou juste traitant pour une série de personnes, ou au contraire, en fonction de ta personnalité, ça peut au contraire t'animer, parce qu'il y a des gens qui aiment sortir de leur zone de confort, mais ce n'est pas forcément le cas pour tout le monde. Je mets là en lumière aussi des profils singuliers comme des personnes avec un TSA, ou avec une haute sensibilité, ça peut être compliqué pour ces personnes-là, ça peut se faire violence de sortir de quelque chose de connu. comme je dis c'est un pas à la fois vois, donne du sens pourquoi tu souhaites le faire voilà je pense que ça c'est important alors cultiver sa graine de sagesse c'est en lien avec le modèle l'approche du développement du potentiel humaniste mon approche pour laquelle j'écris mon deuxième livre d'ailleurs vois un petit peu ce qui est juste pour toi en te connectant avec ton énergie. Parce que tu te sens fatigué, à quel moment tu récupères de l'énergie, à quel moment tu en perds, ça va te donner les fameux indicateurs en lien avec ce qui te porte ou ce qui ne te porte pas. Et je me rends compte que j'ai oublié de te dire que pour identifier ce qui te correspond ou pas, dans la norme et donc pouvoir apprivoiser ta grille de lecture de ton mode de fonctionnement grille de lecture émotive talentueuse comme j'ai l'habitude de dire c'est la graine de connaissance dans mon approche ok et puis oui alors quand je prends l'habitude et je fais le lien avec Bali pour continuer à illustrer mon exemple je vais le faire Ben oui, tu sais, j'avais décidé, donc j'étais dans une forme d'habitude. On pourrait presque dire ça, effectivement. J'étais dans ma zone de confort d'avoir dit, et puis re-questionner, ça peut être inconfortable, évidemment, parce que ça remet toute une série de choses en question. Et, point suivant, le dernier, la peur du jugement. Mais qu'est-ce que les autres vont dire ? Tu sais, moi, on m'a souvent traité de girouette, de personne qui ne restait pas en phase avec ce qu'elle décidait et ça aurait pu m'impacter, ce qui n'est pas du tout le cas parce que je sais pourquoi je décide ça et je suis vraiment revenue à moi. Mais ce n'est pas forcément le cas de tout le monde. Donc, la peur du jugement, du rejet, de l'échec, ça peut nous amener à endosser des masques qui nous protègent mais qui, à terme, finissent toujours par nous éloigner de notre... véritable identité de nos choix. Surtout, si tu as reçu des remarques du style tu es trop, pas assez et que tu as l'impression que tu es inadapté. Alors là, effectivement, la peur du jugement, elle peut être bel et bien là. Parfois, j'ai des personnes qui me disent non, mais ce n'est pas possible quand même de ne pas oser dire ça, tu n'as pas idée, moi, ça me touche énormément. combien de personnes, de femmes, de sacrées nanas qui sont en face de moi, qui sont mes brillantissimes, qui ne s'en rendent pas forcément compte, mais qui n'osent juste pas dire un truc qui peut paraître complètement anodin pour toi, tellement elles ont peur d'être jugées, tellement elles ont peur de sortir de ce conformisme. Et c'est parce que, voilà, elles n'ont pas été acceptées là-dedans, dans leur entourage. C'est un réapprentissage. Par contre, on peut réapprendre. Ça, c'est vraiment quelque chose que je trouve super, super important. Voilà. OK ? et je réinsiste pour mémoire ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage t'ont fait passer ce message là que tu es trop que tu es inadapté pas assez etc que c'est vrai je répète ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage ou même une seule personne te fait croire que tu n'es pas adapté ou que tu es trop ceci pas assez cela que tu es quoi que ce soit de négatif que tu dois croire cette personne et que c'est vrai je réinsiste vraiment là dessus tu as un mode de fonctionnement singulier si tu écoutes ce podcast on peut supposer ça ou que tu l'écoutes pour quelqu'un qui a un mode de fonctionnement singulier et ce mode de fonctionnement aussi singulier soit-il est tout à fait ok ok Donc, mon conseil, c'est cultiver ta graine de connaissance, la première graine de l'approche du développement du potentiel humaniste pour apprendre à bien connaître, à identifier tes valeurs et tes aspirations. C'est aussi tout un programme d'allure qu'on va aborder lors du prochain défi. Je lance du 18 au 20 avril le défi Métamorphose, trois jours pour… apprendre à sortir de la suradaptation et pardon oser être toi-même oh là là, ça ne va pas, tu imagines ? Pourquoi est-ce que je dis justement ça au moment où je répète métamorphose avec apostrophe ose, trois jours pour sortir de la suradaptation et oser être toi-même ? Voilà, c'est un défi, il est gratuit, il est en ligne, il suffit de t'inscrire via trois fois, émotif au pluriel tiré talentueux au pluriel également,.com slash défi, sans accent sur le E de défi, émotif. Alors, si je reprends, pour terminer cette peur du jugement, oui, on aurait pu imaginer que c'est compliqué à mettre en lumière Bali parce que tu te la coules douce, tu peux te permettre de partir à Bali, tu changes d'avis. voilà, il peut y avoir des tas de choses, je l'ai annoncé et puis je dis que je fais demi-tour et puis je vais annoncer, non, ce ne sera pas en avril, ce sera en juillet et puis en juillet, ce ne sera pas et je ne sais pas quand ce sera mais toi qui avais tellement envie, tu nous avais dit que, manifester ses rêves etc. Oui, juste que si je ne suis pas alignée, je ne vais rien manifester du tout et je reviens à mon alignement c'est les deux premières graines de l'approche du développement du potentiel humaniste. j'en reparle dans le défi si tu as envie d'en savoir plus et que tu veux toi aussi apprendre à t'aligner c'est un sujet sur lequel je reviens régulièrement dans mes approches le défi etc alors quelques clés parce que j'aime toujours bien en donner dans mes podcasts astuces pour cultiver ton authenticité sortir des rôles introspection régulière, crainte de connaissance, prendre du temps pour toi, une fois de plus à travers un défi comme le défi métamorphose, par exemple, écouter mon post-ass, ma vidéo, mes vidéos YouTube, lire mes newsletters, etc. Voilà, ça c'est un premier aspect. Questionner les normes, demander pourquoi tu suis certaines conventions et si elles sont en accord avec tes valeurs personnelles parce que ça peut changer pas mal de choses. En tout cas, mettre de la conscience là-dessus. Exprimer tes besoins et tes désirs, ça suppose que tu aies pris le temps de les poser. Ça peut parfois être un travail qui prend un certain temps et c'est OK, ça vaut vraiment l'investissement en temps. parce que tu ne peux pas communiquer tes besoins si tu n'es pas au clair avec tes propres besoins et tu ne peux pas mettre en place ce qui est important pour toi et ce avec quoi tu es aligné si tu ne vas pas fouiller et identifier tes vrais désirs. Et puis expérimenter, expérimenter c'est se donner la permission d'essayer, de mettre en place, de tester, de faire une expérience, y compris dans tes rôles, dans ce que tu souhaites changer. dans ce que tu décides, dans tes activités, tes comportements, parce que c'est ce qui va te permettre de plus en plus d'apprendre à te connaître et à te découvrir et ce qui développe la croissance personnelle. Et puis, pas anodin, le soutien. Le soutien, c'est entoure-toi de personnes qui t'encouragent dans ton authenticité et qui t'offrent un espace sûr pour... pour pouvoir t'explorer, pour pouvoir te connecter à toi. C'est essentiel. Et c'est vraiment, je mets un point d'honneur à mettre ça en lumière parce que dans toutes mes initiatives, défis, à l'époque le congrès, etc., je sais que je sais créer cet espace de sécurité et cet espace de soutien. Donc voilà, je te rappelle, si tu n'es pas encore inscrite, 3xW émotif. talentueux, avec un tiret talentueux.com slash défi. Voilà, si ça te parle, c'est prévu du 18 au 20 avril, trois jours dans lesquels je te transmettrai des outils, on va bosser ensemble pour dépasser ce stade de la suradaptation, pour te permettre d'oser être toi-même et puis de te détacher de la peur du jugement parce que ça peut, ça pique parfois la peur du jugement. voilà et puis si tu t'y es déjà inscrite et bien je t'invite à transmettre l'information à des connaissances pour qu'elles puissent aussi en tant que sacrée nana nous rejoindre et s'inscrire gratuitement voilà Mets ta morphe au son but ça va vibrer de tes mille facettes à tout bientôt

Description

Bienvenue dans ce 30ème épisode dans lequel je te parle des rôles que nous jouons au quotidien...


Cet épisode fait le lien avec les précédents :

  • dans l'épisode 26, j'ai parlé d'estime de soi

  • dans l'épisode 27, j 'ai abordé le fait de sortir de la conformité en lien avec les injonctions au bonheur

  • dans l'épisode 28, je t'ai partagé mes réflexions sur cette période intense en transition pour beaucoup d 'entre nous

  • dans l'épisode 29, je t 'ai expliqué pourquoi on se suradapte très souvent


Aujourd'hui, j'ai envie de mettre en lumière la prise de conscience de ces moments où nous jouons des rôles.


Tu sais, ces rôles qui nous entraînent dans des prises de décisions et des modes de fonctionnement qui sont tellement loin de ce qui est juste pour nous.


Dans cet épisode, je te livre des clés pour prendre conscience de ces dynamiques et rester authentiques et alignées dans nos différentes sphères de vie.


Je te souhaite une bonne écoute !



🌱 Tu nous rejoins pour le "Défi Metamorph’OSE : 3 jours pour sortir de la suradaptation & oser être soi" ?

💎 C'est offert et en ligne du 18 au 20 avril 💎

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Transcription

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    Je suis ravie de te retrouver pour cet épisode, le 30e, dans lequel je te parle des rôles que nous jouons pour continuer la série des précédents épisodes. Je te fais juste un petit récap, parce que dans le numéro 26, on a parlé d'estime de soi, qui a évidemment un lien avec tout ça. Dans l'épisode 27, j'ai abordé le fait de sortir de la conformité. en lien avec les injonctions au bonheur, dont on entend beaucoup parler pour l'instant, et je te fais part de ma position. Et puis, dans l'épisode 28, je te parle de cette période intense en transition pour beaucoup d'entre nous, pour beaucoup de sacrés nanas, et cette période qui accentue le décalage. Et la dernière fois, dans l'épisode 29, je t'ai expliqué pourquoi on se suradapte, parce que finalement, on parle des conséquences, mais on ne parle pas forcément du pourquoi. on a l'habitude, ou en tout cas, on sort difficilement, dans certains cas, de la suradaptation. Et dans ce 30e épisode, j'ai eu envie de mettre en lumière la prise de conscience, en tout cas, comment tu peux prendre conscience de ces moments où nous jouons des rôles, et des moments où on est en lien avec ces rôles. nous prenons des décisions qui ne sont pas ou bien qui ne sont plus justes. Peut-être qu'elles l'étaient il y a quelques semaines, mais qu'elles ne le sont plus aujourd'hui. Plus justes avec qui nous sommes, parce qu'effectivement, les choses bougent pas mal. On se retrouve tout de suite pour la suite de cet épisode. Sacré Nana est un podcast hebdomadaire qui s'adresse aux femmes qui veulent incarner leurs multiples facettes sur tous les plans de leur vie. Ces femmes qui veulent s'assumer avec authenticité et ouverture du cœur. Il s'adresse aussi aux sacrés mecs qui ont un désir authentique de comprendre et de soutenir les femmes dans leur parcours singulier. tu découvriras des clés pour vivre pleinement ta puissance féminine par le biais d'entrevues avec des experts, des témoignages, ainsi que des épisodes solos relatant les nombreux conseils pour mieux incarner chaque passette du diamant que tu es. Cela en vue de développer ta foi en la vie, de ton potentiel féminin et de te réaliser sur de nombreux plans personnels et professionnels avec légèreté et joie. Et si tu es concerné par la haute sensibilité et le haut potentiel, tu trouveras également des ressources dans ce podcast. Sacré nana ! est animée par Nathalie Alsteyn, senior coach, thérapeute, auteure du livre Émotifs talentueux, être soi autrement et fondatrice de l'approche du développement du potentiel humaniste. Bienvenue parmi nous, Sacré Nana, le podcast qui te permet de rayonner de mille facettes. Alors, je ne t'apprends rien, la vie est parfois un vrai tourbillon, ça c'est sûr. Je crois que la période, je parle beaucoup de cette période-ci parce que beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes me renvoient ça. Moi, j'ai pendant tout un temps cru que j'étais toute seule ou en tout cas parmi les quelques personnes à vivre pas mal de choses chamboulantes. Et en fait, je me rends compte que non, pas du tout. beaucoup de personnes vivent dans une forme d'inconfort pour certaines ça bouge un petit peu plus que pour d'autres mais voilà, je connais oui, certaines personnes qui sont assez alignées et qui vivent leur plus belle vie ça existe aussi mais c'est quand même moins souvent ce que j'entends pour l'instant donc je risque pas trop de me tromper si je te partage je... tous ces éléments-là parce que je me suis rendue compte que beaucoup de personnes revenaient vers moi et me disaient Qu'est-ce que ça me fait du bien que toi, tu partages ce que tu vis. Ça me donne de l'espoir. Ça me donne cette envie de continuer à y croire. Donc, voilà. Ce dont j'ai envie de te parler aujourd'hui, c'est combien j'observe aujourd'hui, combien il est facile de se laisser entraîner dans des prises de décision et des modes de fonctionnement qui sont finalement tellement loin de ce qui est juste pour nous, pour toute une série de raisons. Je vais revoir avec toi. Parfois, ça semble des petits choix anodins. Et puis, parfois, à force de décider certaines choses qui ne nous correspondent pas. de les refaire régulièrement, on finit par à la fois jouer un rôle qui ne nous correspond pas et prendre des décisions qui, les unes après les autres, nous écartent de qui nous sommes réellement. Et ce qui était peut-être tout à fait juste pour toi il y a quelques semaines, je vais te donner un exemple perso pour illustrer ça, n'est peut-être plus du tout ce qui est juste pour toi aujourd'hui. Et ce n'est pas évident. voilà alors moi j'ai juste envie de commencer avec un exemple parce que c'est souvent comme ça que j'aime te transmettre des choses tu m'as peut-être entendu parler parce que j'ai annoncé ça publiquement peut-être début d'année, je ne sais plus, mais j'en ai parlé à plusieurs reprises, même si je ne l'ai pas fait très souvent, que j'allais partir à Bali ou que j'avais envie de partir à Bali. Alors, Bali, c'est une grande histoire. Je n'ai pas encore été à Bali, mais j'ai très, très envie d'y aller depuis environ mes 30 ans. C'est à peu près à ce moment-là. Un peu après. Mais alors, Bali, l'histoire, en ce qui me concerne... C'est, j'ai à l'époque dans mes nombreux métiers eu un magasin de décoration cadeau. J'ai fait un premier burn-out, j'avais 33 ans, donc il y a un peu plus de 25 ans. et comme j'avais un magasin de décoration cadeau c'est à cette époque là que j'ai commencé à m'intéresser un petit peu plus sensiblement à tout ce qui était développement personnel, spiritualité, toute une série d'autres choses et le lien que j'ai très très vite fait entre, ou en tout cas c'est venu à moi on va plutôt dire comme ça entre le développement personnel et un magasin de décoration cadeau, ça a été le Feng Shui. Le Feng Shui, c'est l'art d'harmoniser ton lieu de vie avec tout ce qui est énergie. Je parle très souvent d'énergie. Tu m'entends très souvent parler de ça. J'imagine. J'ai l'impression que c'est un mot que je dis très souvent parce qu'effectivement, pour moi, tout est énergie. Je suis très connectée à... ce que j'appelle cette fameuse énergie, ce qui pour certaines personnes, et peut-être que c'est ton cas, ne veut rien dire, et peut-être qu'au contraire, c'est très très clair pour toi ce que ça veut dire de l'énergie. Ok ? Et donc... Il y a eu effectivement cette époque à laquelle, vers mes 33, 34, 35 ans, je me suis beaucoup intéressée à comment tu peux te sentir bien dans ton lieu de vie, mais pas juste avec des couleurs ou des éléments de décoration, mais plus avec comment on harmonise effectivement ce flux de vie dans la maison, comment on place les objets, comment on utilise la symbolique, voilà, toute une série de choses. Et ça a été vraiment une très, très belle expérience parce que... ça faisait sens avec mon métier, en tout cas avec, je ne sais pas si c'était mon métier, mais en tout cas ce que je faisais à l'époque, d'avoir une boutique de déco. Et ça a été un premier pas pour moi dans le développement personnel, entre autres parce que j'ai commencé à donner des conférences et puis j'ai... également commencer à donner des consultations et c'est au départ de ça que je me suis rendu compte que j'avais envie d'accompagner les gens parce que la petite histoire c'est que une de mes peut-être pas première cliente parce que je faisais déjà pas mal de consultations mais un jour je suis arrivée chez une dame et je sentais qu'il y avait quelque chose qui ne fonctionnait pas dans son couple mais je n'étais pas habituée à poser des questions je ne suis pas formée à ça et pour faire l'histoire courte, à un moment donné, je lui ai, avec des détours, posé une question où je l'ai, alors, coincée, entre guillemets, pas parce que je voulais la coincer et lui faire du mal, mais à travers la question que je lui ai posée, qui était une question toute simple, qui était, mais dans 25 ans, comment vous vous voyez avec votre mari ? Et en fait, elle ne se voyait pas du tout avec son mari dans 25 ans, puisque le couple n'allait pas aller bien du tout. Elle m'avait dit avant, oui, tout va bien dans mon couple, mais moi, je sentais, j'observais, à travers... ce que je voyais que ce n'était pas le cas. Et là, elle est partie en vrille, émotionnellement, mais je n'étais pas du tout équipée, déjà pas moi-même vis-à-vis de moi, mais pas du tout équipée pour l'accompagner. Et j'ai eu très, très, très, très peur. Alors qu'aujourd'hui, je souris quand je revois cette femme de 35 ans que j'étais paniquée, parce que j'avais l'impression que j'avais fait quelque chose de mal, alors qu'au contraire, j'avais... Pardon. j'avais vraiment ressenti ce qui était tout à fait juste. J'avais mis le doigt exactement là où il fallait le mettre, peut-être de manière maladroite, mais je ne savais pas quoi faire avec ça. et donc c'est ce qui m'a donné envie de me former par la suite à la relation d'aide au coaching etc. Donc le Feng Shui a pris vraiment une grande place pour moi et j'ai eu envie de transmettre et de former au Feng Shui donc je me suis formée pour pouvoir transmettre par la suite le Feng Shui donc j'ai fait pas mal de cours avec des américains, avec une anglaise, Karen Kingston et c'est là où j'en arrive à Bali Karen Kingston qui est assez connue dans le monde du Feng Shui elle a écrit pas mal de bouquins c'est une anglaise qui avait épousé un bel aîné qui vivait à Bali j'ai d'ailleurs du matériel sacré que j'ai acheté à Karen et quand elle nous parlait de Bali c'était vraiment pour moi à une époque à 35 ans où c'était la panacée et j'ai toujours eu envie d'y aller. Puis ça ne s'est jamais mis pour toute une série de raisons. Connue, inconnue, consciente, inconsciente, peu importe. Mais ça revient régulièrement. Je suis très, très attirée. Et aujourd'hui, à travers ce que je vis, et à travers Sacré Nana, ma reconnexion subtile, etc., j'ai vraiment très, très envie à nouveau d'y retourner. Alors, c'est assez amusant parce que j'ai pas mal d'amis, de collègues qui y vont, des connaissances qui y vivent. Et en l'occurrence, ce qui s'est passé récemment, c'est qu'une de mes collègues, collègue et en même temps coach, c'est une dame qui m'a accompagnée, vit à Bali et elle organise une retraite qui fait partie d'un mastermind. On va appeler ça comme ça, peu importe, c'est ça qui est important. et je me suis inscrite à son programme parce que faisait partie de ce programme la possibilité d'aller à Bali et je m'étais dit, génial, comme ça je vais poursuivre et moi je vais voyager donc l'idée c'était pas de partir toute seule parce que je sais pas toujours les personnes qui ont envie de partir en même temps que moi qui ont forcément le même budget que moi, parfois c'est plus parfois c'est moins, envie de faire les mêmes choses et là je m'étais dit, bah voilà je pars une semaine pour ce programme, cette retraite sur place et puis je continue une semaine, dix jours, je profite du voyage. Et c'était prévu au mois d'avril. Et plus je me rapprochais du mois d'avril, on devait être à peu près au mois de février, et je me suis dit, non, ça ne va pas le faire, pour toute une série de raisons en lien avec ma vie perso et pro, parce que je suis dans cette fameuse transition et la clarté, elle ne vient pas sur un coup de baguette magique. Et... Je me rendais compte que le mois d'avril... ce n'était pas le bon mois pour pouvoir partir, d'autant plus que j'avais déjà un programme à Ténérife, celui-là où je donnais un programme moi-même, et puis trois jours de formation à l'école de la posture juste pour ma quatrième année. Je devais repartir tout de suite à Bali, et en gros, je me suis dit que je ne voulais même plus avoir le temps de respirer. Alors, je faisais ça il y a 20 ans, de partir, de revenir et de repartir. C'est juste que je n'ai plus 20 ans, et je sentais que ce n'était pas juste. ça tournait en boucle voilà cela dit il y avait eu des éléments de synchronicité que j'avais trouvé que j'avais pris comme des signes et peut-être que ça l'était mais c'est là où je trouve que c'est important de revenir à soi et à l'intérieur et de ne pas faire nécessairement un peu alors c'est pas faire confiance à l'extérieur mais de ne pas rester braqué sur ça ce qui s'était quand même passé que j'avais trouvé complètement fou c'est je suis partie rejoindre un événement que cette coach Marie avait mis en place à Toulouse au mois d'octobre c'est sa fin octobre donc je prends l'avion on discute de Bali je rencontre des super personnes avec qui je me dis Cool, on va pouvoir se voir à Bali. Ah oui, peut-être, je dois décider, machin, voilà. Et ces trois jours se terminent et j'arrive à l'aéroport de Toulouse qui n'est pas un aéroport au départ duquel il y a des grands voyages vers Bali, a priori, en tout cas, et ça m'a été confirmé. entre autres par une amie que je rejoignais et avec qui j'ai petit déjeuné ce matin-là, Karine Ansem, que vous avez peut-être entendu dans le congrès du HANSS il y a trois ans. Et j'arrive dans le hall de départ et il y a un écran avec les différents horaires et à côté de l'écran, il y a les pubs et la première image que je vois, c'est Bali. je ne sais même plus quelle compagnie aérienne, mais en lumière, c'est Bali. Donc évidemment, moi, je prends ça pour un signe. Et je pense que c'était OK. Ça faisait partie de l'énergie dans laquelle j'étais à ce moment-là. Et puis j'ai mon amie Karine qui arrive et je lui dis, c'est quoi ? Je viens de voir une image. Et je lui explique, elle me dit, mais ça, c'est fou, elle dit, c'est dingue, elle dit, parce qu'elle vit à Toulouse depuis des années et elle dit, c'est vraiment pas un aéroport de départ pour Bali. Elle dit, moi, je passe, je prends l'avion tout le temps, c'est la première fois que je, elle dit, moi, je ne l'ai même pas vue. Elle était la première personne à me dire, et puis on regarde, c'est le truc qui se déroule, tu mets dix minutes à voir toutes les destinations, puis on voit effectivement Bali. Elle dit, mais c'est fou, enfin voilà. Et donc, quand j'annonce. Marie, je dis, écoute, je ne viendrai pas à Bali au mois d'avril. Ce n'est pas possible pour moi. Tant pis, je passe mon tour. Elle me dit, écoute, justement, on était en train de se dire, ça n'arrange pas, toute une série de personnes, on va le reporter au mois de juillet. Et moi, génial, parce que seule, je ne sais jamais où partir au mois de juillet. Là, génial, je me dis, je vais avoir du temps. En juillet-août, il y a beaucoup moins de travail dans mon métier. Donc, je suis ravie. et donc j'ai dit à tout le monde je vais partir à Bali je m'étais acheté au moment des fêtes de fin d'année j'avais reçu un guide de Bali donc je regarde mais en même temps je me rends compte que ce n'est pas comme ça peut être à d'autres moments où j'ai le nez tout de suite dans mon guide, où je prends des notes, je fais des recherches, il y a un truc qui ne va pas. J'observe ça, graine de sagesse. J'observe que ce n'est pas l'angle où je me prends, j'ai très envie d'y aller. Et puis, ce que j'ai observé, même chose, graine de sagesse. C'est l'extérieur, mais peut-être que l'intérieur vient parasiter ça. À chaque fois que je vais regarder, puisque j'ai passé quand même pas mal de temps sur les trajets, le moins d'avions possible, moi je ne suis pas une grande fan de l'avion au niveau écologique, bien entendu, donc je fais mes choix en conscience. En même temps, j'ai envie de continuer à voyager, donc je suis OK avec ce juste milieu. Donc je regarde au niveau des budgets, je regarde le temps, parce que je ne m'étais pas rendu compte qu'il fallait autant d'heures pour arriver à Bali. par où passer, quelle compagnie, lesquelles je peux annuler, avec quelles pénalités. Enfin, voilà, j'observe ça. Et puis, chaque fois que je me réserve, il n'y a plus la place. Et puis, je me renseigne parce que j'ai quand même deux chiens qu'il faut placer pendant deux à trois semaines. Il y a toujours un truc qui déconne. Je ne sais pas placer mes chiens trois semaines au même endroit, même deux semaines et demie, c'est compliqué. et partir que deux semaines avec le voyage ça ne vaut plus vraiment le coup, ça fait cher pour le voyage et ça n'a pas beaucoup de sens pour moi, enfin voilà et donc je me rends compte que il y a des tas de choses entre autres, je n'avais pas placé mes chiens puis moi j'ai un chien qui est malade Eliott, mon deuxième chien qui a 5 ans il a la leucémie donc on vit vraiment jour le jour avec lui et à un moment il y a un truc qui me dit oh j'ai peur qu'ils partent pendant que je suis moins partie et que je ne puisse pas revenir. C'est sûr que si je suis dans le sud de la France et que ça ne va pas, je peux remonter. Si je suis à Paris, il va être plus compliqué de revenir, évidemment. Mais en même temps, c'est la vie, c'est comme ça que ça se passe. J'ai mon deuxième livre à terminer aussi, à rendre pour le mois de septembre. Je sens quand même qu'à travers tout ce que je traverse, mon niveau de fatigue, je me dis que... mon niveau de fatigabilité est plus élevé qu'avant. Alors voilà, tu verras, il y a l'âge, il y a tout le truc, mais j'observe que je peux être quelqu'un qui a beaucoup d'énergie, mais qu'un grain de sable peut vite me faire basculer. Donc, je mets ça au milieu de tout ce que je vois. La charge mentale est quand même là quand il s'agit de préparer. Il y a d'autres choses qui me prennent plus d'énergie. et puis je me rends compte aussi que finalement ce qu'on va apprendre dans ce mastermind c'est peut-être plus tout à fait ma priorité parce que le changement est tellement rapide en ce qui me concerne que aujourd'hui je ne suis plus sûre je me suis posé la question je me suis regardée en face en me disant si tu devais à nouveau rentrer dans ce programme aujourd'hui est-ce que tu y rentrerais ? et alors c'est pas parce que c'est bien que c'est pas bien je veux dire, en tout cas ça n'aurait plus été ma priorité, voilà, et donc je suis revenue à quelles sont mes priorités alors toute cette histoire de Bali à travers ce que je te partage parce que j'ai le sentiment, je vois souvent quand je partage de cette façon là que ça fait écho quand je partage mes questionnements ça peut te permettre de toi aussi te poser tes propres questions et de voir, mais finalement, qu'est-ce qui fait sens pour toi ? Et en fait, c'est là où je dis qu'on joue constamment des rôles. Et c'est OK. C'est OK de jouer des rôles. C'est OK de jouer des rôles qui ne reflètent pas nécessairement notre vraie nature ou nos aspirations profondes. Et tu vois, dans l'exemple de Bali, mais c'est quoi finalement mon aspiration profonde ? L'aspiration, c'était d'aller à Bali. Est-ce qu'elle est profonde à ce stade-ci ? Pas vraiment. Ou en tout cas, j'aurais envie de reformuler les choses autrement. Je pense que si. J'ai toujours cette aspiration profonde d'aller à Bali, mais je veux que ce soit un voyage sacré. et sacré c'est honorer honorer ce voyage et honorer c'est prendre le temps de le préparer c'est prendre le temps de décider en conscience ce que je veux faire ce que je veux vivre comme expérience à Bali et là je sens que c'est pas ok j'ai pas l'espace temps et la disponibilité mentale actuellement pour ça ma disponibilité mentale elle va ailleurs donc voilà, c'est toujours une aspiration profonde et il viendra quand ça devra venir c'est tout à fait certain et donc en fait c'est ça que je suis en train de te partager c'est consciemment quel est le rôle que j'ai joué dans quoi je vais développer est-ce que c'est par conformisme habitude, peur ou manque de connaissance de soi qu'on prend ses décisions qu'on joue ses rôles qui ne nous ressemblent pas ou qui ne nous ressemblent plus. Et je réinsiste très fort là-dessus, parce que ça fait partie de ce changement de paradigme dans lequel on est, qui ne nous ressemble plus et que ça peut switcher en trois à quatre mois. Moi, perso, je... Je fais le choix aujourd'hui d'autant que possible ne pas m'engager au-delà de trois à quatre mois parce que je me rends compte qu'au moment où je m'engage, c'est tout à fait juste, mais que pour le moment en particulier… une fois de plus, mon énergie change tellement et tellement de chaos et du chaos naissent les étoiles. Quand je dis chaos, moi je vois ça pas confortable, mais je vois ça positivement. Parce que je me dis qu'il y a quelque chose de grand qui s'en vient là derrière. Donc, j'ai vraiment cette foi-là. je suis incapable pour l'instant de créer des partenariats long terme ou de dire à quelqu'un oui je vais pouvoir dire à quelqu'un on en reparle dans 6 mois mais je ne sais pas ce que je te dirai dans 6 mois et je le précise déjà tellement ça bouge donc peut-être que ça fait écho pour toi ou pas mais voilà alors Ce qui me semble important, c'est de prendre conscience de ces dynamiques et de rester authentique dans nos différentes sphères de vie. Pose-toi toute une série de questions. Prends le temps de respirer, comme je dis, et de voir quels sont... tes priorités, avec quoi tu es aligné, qu'est-ce qui est juste pour toi. Et donc, moi, j'ai abordé les choses, je vais un petit peu plus loin, sous ce que j'ai envie de... Alors, j'ai abordé et j'aborde maintenant pour toi les choses sous trois angles. C'est... On en revient à la suradaptation et à tout un série de choses dont je parle régulièrement. C'est la norme, c'est l'habitude et c'est la peur du jugement. évidemment le tout se rejoint alors la norme il se trouve que on adopte certaines habitudes ou comportements parce que ça fait partie de ce qu'on a appris, de ce que notre entourage nous a montré. Et on s'est adapté parce qu'on ne s'est même pas posé la question de savoir si ça nous correspond encore ou pas. Et c'est particulièrement vrai si tu viens de découvrir ta singularité au potentiel, aux sensibilités multi, etc. tu ne sais peut-être même pas ce que c'est que la norme, mais pas la norme, mais c'est juste un apprentissage par lequel tu vas repasser. Et la norme, elle est aussi connectée à tes besoins, identifier ce qui te correspond ou pas, et ça s'apprend, voilà. donc je peux alors après je te parle de la norme dans ton mode de fonctionnement mais moi si je reprends l'exemple de Bali pour continuer à illustrer l'exemple, je ne pense pas que la norme m'ait influencée sur ça ça aurait pu je te donne un autre exemple par exemple si tu vas en vacances chaque année à une certaine période à un type de lieu parce que c'est comme ça que ça se fait dans ta famille depuis toujours ou que ton mari t'accompagne on fonctionne de cette manière-là et toi tu t'es adapté, ça vaut la peine de se poser la question, est-ce que c'est vraiment ça que tu veux ? Est-ce que tu fais parce que par... parce qu'une fois de plus, c'est comme ça. C'est amusant de dire c'est comme ça. Alors en réalité, pourquoi c'est comme ça ? Est-ce que ça doit être comme ça ? Non, pas forcément. Ou bien la norme, c'est de partir en vacances ensemble quand on est en couple. Je trouvais ça assez chouette en vacances ou bien de partir ensemble, même pas forcément en vacances. J'ai échangé récemment avec une collègue qui me disait, justement, je pars, je pense que c'était à Paris, à Bali, pardon, pendant deux ou trois mois, en tout cas un certain laps de temps. et à un moment donné, je me suis entendue, moi-même, lui dire, mais je me trompe ou tu étais mariée, ou tu es mariée ? Ben oui, qu'elle me fait. Elle dit, ok. Et en fait, elle a réagi, je lui dis, non, mais moi, c'est juste que tu as tout à fait raison, ce n'est pas habituel. Elle me dit, non, mais moi, je pars toute seule. Elle dit, ça va tout à fait à mon mari. Et puis, comme ça, notre mode de vie, c'est celui-là. Alors, il y a des tas de gens qui disent que ce n'est pas normal. Donc, c'est hors de la norme. et qui prédisent qu'on est bon pour le divorce. Et au contraire, elle dit, nous, on est tout à fait en phase, on vit ensemble depuis des années, elles sont mariées récemment, mais on vit ensemble depuis des années, notre couple a toujours fonctionné de cette manière-là, et c'est pour nous absolument juste dans notre mode de fonctionnement. effectivement c'est pas la norme au point que moi-même je lui ai posé cette question-là sans la juger ou quoi que ce soit c'est juste que voilà, je ne savais plus si, parce que je me suis référée à cette fameuse norme qui voudrait qu'en tant que femme mariée, tu ne pars pas trois mois toute seule pour prendre du temps pour toi. Et que ça n'a absolument rien à voir avec un couple qui fonctionne ou pas, c'est juste parce qu'elle a besoin de ce temps-là et pour toute une raison, une série de raisons qui lui appartiennent. Donc voilà, ça c'est la norme, et puis après il y a l'habitude aussi, ça peut être, c'est très proche. celle qui nous fait répéter des schémas par confort ou par peur du changement. Et du coup, on en oublie de questionner notre alignement avec ces fameux rôles qu'on joue. Même quand nos habitudes sont inconfortables, elles restent connues et on s'y accroche. Parce que le plus souvent, faire des choses que nous n'avons jamais faites, ça demande évidemment d'oser sortir de sa zone de confort et ça peut être méga. ou stressant ou juste traitant pour une série de personnes, ou au contraire, en fonction de ta personnalité, ça peut au contraire t'animer, parce qu'il y a des gens qui aiment sortir de leur zone de confort, mais ce n'est pas forcément le cas pour tout le monde. Je mets là en lumière aussi des profils singuliers comme des personnes avec un TSA, ou avec une haute sensibilité, ça peut être compliqué pour ces personnes-là, ça peut se faire violence de sortir de quelque chose de connu. comme je dis c'est un pas à la fois vois, donne du sens pourquoi tu souhaites le faire voilà je pense que ça c'est important alors cultiver sa graine de sagesse c'est en lien avec le modèle l'approche du développement du potentiel humaniste mon approche pour laquelle j'écris mon deuxième livre d'ailleurs vois un petit peu ce qui est juste pour toi en te connectant avec ton énergie. Parce que tu te sens fatigué, à quel moment tu récupères de l'énergie, à quel moment tu en perds, ça va te donner les fameux indicateurs en lien avec ce qui te porte ou ce qui ne te porte pas. Et je me rends compte que j'ai oublié de te dire que pour identifier ce qui te correspond ou pas, dans la norme et donc pouvoir apprivoiser ta grille de lecture de ton mode de fonctionnement grille de lecture émotive talentueuse comme j'ai l'habitude de dire c'est la graine de connaissance dans mon approche ok et puis oui alors quand je prends l'habitude et je fais le lien avec Bali pour continuer à illustrer mon exemple je vais le faire Ben oui, tu sais, j'avais décidé, donc j'étais dans une forme d'habitude. On pourrait presque dire ça, effectivement. J'étais dans ma zone de confort d'avoir dit, et puis re-questionner, ça peut être inconfortable, évidemment, parce que ça remet toute une série de choses en question. Et, point suivant, le dernier, la peur du jugement. Mais qu'est-ce que les autres vont dire ? Tu sais, moi, on m'a souvent traité de girouette, de personne qui ne restait pas en phase avec ce qu'elle décidait et ça aurait pu m'impacter, ce qui n'est pas du tout le cas parce que je sais pourquoi je décide ça et je suis vraiment revenue à moi. Mais ce n'est pas forcément le cas de tout le monde. Donc, la peur du jugement, du rejet, de l'échec, ça peut nous amener à endosser des masques qui nous protègent mais qui, à terme, finissent toujours par nous éloigner de notre... véritable identité de nos choix. Surtout, si tu as reçu des remarques du style tu es trop, pas assez et que tu as l'impression que tu es inadapté. Alors là, effectivement, la peur du jugement, elle peut être bel et bien là. Parfois, j'ai des personnes qui me disent non, mais ce n'est pas possible quand même de ne pas oser dire ça, tu n'as pas idée, moi, ça me touche énormément. combien de personnes, de femmes, de sacrées nanas qui sont en face de moi, qui sont mes brillantissimes, qui ne s'en rendent pas forcément compte, mais qui n'osent juste pas dire un truc qui peut paraître complètement anodin pour toi, tellement elles ont peur d'être jugées, tellement elles ont peur de sortir de ce conformisme. Et c'est parce que, voilà, elles n'ont pas été acceptées là-dedans, dans leur entourage. C'est un réapprentissage. Par contre, on peut réapprendre. Ça, c'est vraiment quelque chose que je trouve super, super important. Voilà. OK ? et je réinsiste pour mémoire ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage t'ont fait passer ce message là que tu es trop que tu es inadapté pas assez etc que c'est vrai je répète ça n'est pas parce que la plupart des personnes de ton entourage ou même une seule personne te fait croire que tu n'es pas adapté ou que tu es trop ceci pas assez cela que tu es quoi que ce soit de négatif que tu dois croire cette personne et que c'est vrai je réinsiste vraiment là dessus tu as un mode de fonctionnement singulier si tu écoutes ce podcast on peut supposer ça ou que tu l'écoutes pour quelqu'un qui a un mode de fonctionnement singulier et ce mode de fonctionnement aussi singulier soit-il est tout à fait ok ok Donc, mon conseil, c'est cultiver ta graine de connaissance, la première graine de l'approche du développement du potentiel humaniste pour apprendre à bien connaître, à identifier tes valeurs et tes aspirations. C'est aussi tout un programme d'allure qu'on va aborder lors du prochain défi. Je lance du 18 au 20 avril le défi Métamorphose, trois jours pour… apprendre à sortir de la suradaptation et pardon oser être toi-même oh là là, ça ne va pas, tu imagines ? Pourquoi est-ce que je dis justement ça au moment où je répète métamorphose avec apostrophe ose, trois jours pour sortir de la suradaptation et oser être toi-même ? Voilà, c'est un défi, il est gratuit, il est en ligne, il suffit de t'inscrire via trois fois, émotif au pluriel tiré talentueux au pluriel également,.com slash défi, sans accent sur le E de défi, émotif. Alors, si je reprends, pour terminer cette peur du jugement, oui, on aurait pu imaginer que c'est compliqué à mettre en lumière Bali parce que tu te la coules douce, tu peux te permettre de partir à Bali, tu changes d'avis. voilà, il peut y avoir des tas de choses, je l'ai annoncé et puis je dis que je fais demi-tour et puis je vais annoncer, non, ce ne sera pas en avril, ce sera en juillet et puis en juillet, ce ne sera pas et je ne sais pas quand ce sera mais toi qui avais tellement envie, tu nous avais dit que, manifester ses rêves etc. Oui, juste que si je ne suis pas alignée, je ne vais rien manifester du tout et je reviens à mon alignement c'est les deux premières graines de l'approche du développement du potentiel humaniste. j'en reparle dans le défi si tu as envie d'en savoir plus et que tu veux toi aussi apprendre à t'aligner c'est un sujet sur lequel je reviens régulièrement dans mes approches le défi etc alors quelques clés parce que j'aime toujours bien en donner dans mes podcasts astuces pour cultiver ton authenticité sortir des rôles introspection régulière, crainte de connaissance, prendre du temps pour toi, une fois de plus à travers un défi comme le défi métamorphose, par exemple, écouter mon post-ass, ma vidéo, mes vidéos YouTube, lire mes newsletters, etc. Voilà, ça c'est un premier aspect. Questionner les normes, demander pourquoi tu suis certaines conventions et si elles sont en accord avec tes valeurs personnelles parce que ça peut changer pas mal de choses. En tout cas, mettre de la conscience là-dessus. Exprimer tes besoins et tes désirs, ça suppose que tu aies pris le temps de les poser. Ça peut parfois être un travail qui prend un certain temps et c'est OK, ça vaut vraiment l'investissement en temps. parce que tu ne peux pas communiquer tes besoins si tu n'es pas au clair avec tes propres besoins et tu ne peux pas mettre en place ce qui est important pour toi et ce avec quoi tu es aligné si tu ne vas pas fouiller et identifier tes vrais désirs. Et puis expérimenter, expérimenter c'est se donner la permission d'essayer, de mettre en place, de tester, de faire une expérience, y compris dans tes rôles, dans ce que tu souhaites changer. dans ce que tu décides, dans tes activités, tes comportements, parce que c'est ce qui va te permettre de plus en plus d'apprendre à te connaître et à te découvrir et ce qui développe la croissance personnelle. Et puis, pas anodin, le soutien. Le soutien, c'est entoure-toi de personnes qui t'encouragent dans ton authenticité et qui t'offrent un espace sûr pour... pour pouvoir t'explorer, pour pouvoir te connecter à toi. C'est essentiel. Et c'est vraiment, je mets un point d'honneur à mettre ça en lumière parce que dans toutes mes initiatives, défis, à l'époque le congrès, etc., je sais que je sais créer cet espace de sécurité et cet espace de soutien. Donc voilà, je te rappelle, si tu n'es pas encore inscrite, 3xW émotif. talentueux, avec un tiret talentueux.com slash défi. Voilà, si ça te parle, c'est prévu du 18 au 20 avril, trois jours dans lesquels je te transmettrai des outils, on va bosser ensemble pour dépasser ce stade de la suradaptation, pour te permettre d'oser être toi-même et puis de te détacher de la peur du jugement parce que ça peut, ça pique parfois la peur du jugement. voilà et puis si tu t'y es déjà inscrite et bien je t'invite à transmettre l'information à des connaissances pour qu'elles puissent aussi en tant que sacrée nana nous rejoindre et s'inscrire gratuitement voilà Mets ta morphe au son but ça va vibrer de tes mille facettes à tout bientôt

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