Description
L’annonce du gouvernement congolais d’ouvrir 52 nouveaux blocs pétroliers à l’exploration — en plus des trois déjà attribués dans la cuvette centrale a, sans surprise, suscité une vague de réactions. Comme par le passé, deux camps se dessinent: d’une part, le gouvernement, qui y voit une opportunité de développement économique et d’accroissement des recettes publiques, et de l’autre, les activistes, qui redoutent l’impact sur l’environnement et les communautés locales, le manque de transparence et les risques de corruption. Les arguments de part et d’autre méritent d’être examinés avec nuance.
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