Et pourtant, derrière cet anglicisme se cache une compétence juste INDISPENSABLE à maîtriser si l’on veut durer dans ce métier.
Le plus amusant d’ailleurs, c’est que celles et ceux qui critiquent ce terme sont souvent des auteurs, artisans ou photojournalistes qui maîtrisent très bien cet art.

Car le networking, ou « résautage » en français, c’est tout simplement l’art de pratiquer le bouche-à-oreilles, de montrer son travail aux iconographes, envoyer des mails, passer des coups de téléphone, participer aux salons professionnels et autres festivals.

Tout le monde pratique le networking de façon plus ou moins consciente.

Mais peu de professionnels font l’effort de mettre au point une stratégie dans ce domaine, et c’est clairement ce qui fait la différence entre un photographe qui vit durablement de sa passion et celui qui n’y arrive pas ou qui galère.

Avoir une stratégie de networking est la seule solution pour développer un réseau puissant et efficace, et cela est loin d’être anodin !
Avoir un réseau puissant quand on est photographe indépendant ou même plus largement entrepreneur, c’est la possibilité de toucher plus de gens, obtenir plus de clients, les fidéliser, devenir plus crédible, plus confiant en soi et bien plus efficace sur le long terme.

J’en parle longuement dans ce nouvel atelier de formation (en plus, vous avez 50% de réduction jusqu'au 17 novembre !) : https://photographestratege.podia.com/networking?coupon=NETWORKING50

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