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Pas d'écrans avant trois ans. Comment les enfants sont devenus un coeur de cible! cover
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😀 Pour une parentalitĂ© apaisĂ©e

Pas d'écrans avant trois ans. Comment les enfants sont devenus un coeur de cible!

Pas d'écrans avant trois ans. Comment les enfants sont devenus un coeur de cible!

06min |11/04/2025
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Si vous voulez en savoir plus, n'hĂ©sitez pas Ă  consulter le site MpĂ©dia.frDans cet Ă©pisode, on remonte l’histoire du lien entre tĂ©lĂ©vision et enfance, et on tente de comprendre pourquoi il a fallu, un jour, Ă©riger une barriĂšre pour protĂ©ger les plus jeunes : « Pas de tĂ©lĂ© avant 3 ans ». đŸ“ș Tout commence en 1947, avec la crĂ©ation des premiers programmes spĂ©cialement conçus pour les enfants. TrĂšs vite, ce nouveau mĂ©dia fascine
 et attire les annonceurs. L’enfant devient alors une cible marketing centrale. Un consommateur en puissance. 🧃 En 2025, soit 80 ans plus tard, les choses ont-elles vraiment changĂ© ? Pas vraiment. MalgrĂ© les alertes rĂ©pĂ©tĂ©es des scientifiques et des associations, la lĂ©gislation reste Ă©tonnamment muette. La derniĂšre feuille de route du gouvernement n’a pas retenu les mesures pour limiter le harcĂšlement nutritionnel. Pourquoi ce blocage ? Toujours la mĂȘme justification : protĂ©ger les revenus publicitaires des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision. À chaque audition parlementaire, on ressort le mĂȘme refrain : « Pas de preuve scientifique que la publicitĂ© nuit Ă  la santĂ© des enfants ». C’est faux. Les Ă©tudes sont nombreuses. Et surtout, si l’industrie agroalimentaire investit autant dans la pub, ce n’est certainement pas par altruisme. 💡 Depuis 2009, annĂ©e de la fameuse recommandation du CSA, le paysage numĂ©rique a explosĂ©. Aujourd’hui, les enfants ne sont plus seulement exposĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©vision, mais Ă  tout un Ă©cosystĂšme d’écrans et la problĂ©matique est bien plus large. 👉 Et c’est ce qu’on explorera dans les prochains Ă©pisodes.


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Si vous voulez en savoir plus, n'hĂ©sitez pas Ă  consulter le site MpĂ©dia.frDans cet Ă©pisode, on remonte l’histoire du lien entre tĂ©lĂ©vision et enfance, et on tente de comprendre pourquoi il a fallu, un jour, Ă©riger une barriĂšre pour protĂ©ger les plus jeunes : « Pas de tĂ©lĂ© avant 3 ans ». đŸ“ș Tout commence en 1947, avec la crĂ©ation des premiers programmes spĂ©cialement conçus pour les enfants. TrĂšs vite, ce nouveau mĂ©dia fascine
 et attire les annonceurs. L’enfant devient alors une cible marketing centrale. Un consommateur en puissance. 🧃 En 2025, soit 80 ans plus tard, les choses ont-elles vraiment changĂ© ? Pas vraiment. MalgrĂ© les alertes rĂ©pĂ©tĂ©es des scientifiques et des associations, la lĂ©gislation reste Ă©tonnamment muette. La derniĂšre feuille de route du gouvernement n’a pas retenu les mesures pour limiter le harcĂšlement nutritionnel. Pourquoi ce blocage ? Toujours la mĂȘme justification : protĂ©ger les revenus publicitaires des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision. À chaque audition parlementaire, on ressort le mĂȘme refrain : « Pas de preuve scientifique que la publicitĂ© nuit Ă  la santĂ© des enfants ». C’est faux. Les Ă©tudes sont nombreuses. Et surtout, si l’industrie agroalimentaire investit autant dans la pub, ce n’est certainement pas par altruisme. 💡 Depuis 2009, annĂ©e de la fameuse recommandation du CSA, le paysage numĂ©rique a explosĂ©. Aujourd’hui, les enfants ne sont plus seulement exposĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©vision, mais Ă  tout un Ă©cosystĂšme d’écrans et la problĂ©matique est bien plus large. 👉 Et c’est ce qu’on explorera dans les prochains Ă©pisodes.


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 et attire les annonceurs. L’enfant devient alors une cible marketing centrale. Un consommateur en puissance. 🧃 En 2025, soit 80 ans plus tard, les choses ont-elles vraiment changĂ© ? Pas vraiment. MalgrĂ© les alertes rĂ©pĂ©tĂ©es des scientifiques et des associations, la lĂ©gislation reste Ă©tonnamment muette. La derniĂšre feuille de route du gouvernement n’a pas retenu les mesures pour limiter le harcĂšlement nutritionnel. Pourquoi ce blocage ? Toujours la mĂȘme justification : protĂ©ger les revenus publicitaires des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision. À chaque audition parlementaire, on ressort le mĂȘme refrain : « Pas de preuve scientifique que la publicitĂ© nuit Ă  la santĂ© des enfants ». C’est faux. Les Ă©tudes sont nombreuses. Et surtout, si l’industrie agroalimentaire investit autant dans la pub, ce n’est certainement pas par altruisme. 💡 Depuis 2009, annĂ©e de la fameuse recommandation du CSA, le paysage numĂ©rique a explosĂ©. Aujourd’hui, les enfants ne sont plus seulement exposĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©vision, mais Ă  tout un Ă©cosystĂšme d’écrans et la problĂ©matique est bien plus large. 👉 Et c’est ce qu’on explorera dans les prochains Ă©pisodes.


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 et attire les annonceurs. L’enfant devient alors une cible marketing centrale. Un consommateur en puissance. 🧃 En 2025, soit 80 ans plus tard, les choses ont-elles vraiment changĂ© ? Pas vraiment. MalgrĂ© les alertes rĂ©pĂ©tĂ©es des scientifiques et des associations, la lĂ©gislation reste Ă©tonnamment muette. La derniĂšre feuille de route du gouvernement n’a pas retenu les mesures pour limiter le harcĂšlement nutritionnel. Pourquoi ce blocage ? Toujours la mĂȘme justification : protĂ©ger les revenus publicitaires des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision. À chaque audition parlementaire, on ressort le mĂȘme refrain : « Pas de preuve scientifique que la publicitĂ© nuit Ă  la santĂ© des enfants ». C’est faux. Les Ă©tudes sont nombreuses. Et surtout, si l’industrie agroalimentaire investit autant dans la pub, ce n’est certainement pas par altruisme. 💡 Depuis 2009, annĂ©e de la fameuse recommandation du CSA, le paysage numĂ©rique a explosĂ©. Aujourd’hui, les enfants ne sont plus seulement exposĂ©s Ă  la tĂ©lĂ©vision, mais Ă  tout un Ă©cosystĂšme d’écrans et la problĂ©matique est bien plus large. 👉 Et c’est ce qu’on explorera dans les prochains Ă©pisodes.


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