Description
Si vous voulez en savoir plus, n'hĂ©sitez pas Ă consulter le site MpĂ©dia.frDans cet Ă©pisode, on remonte lâhistoire du lien entre tĂ©lĂ©vision et enfance, et on tente de comprendre pourquoi il a fallu, un jour, Ă©riger une barriĂšre pour protĂ©ger les plus jeunes : « Pas de tĂ©lĂ© avant 3 ans ». đș Tout commence en 1947, avec la crĂ©ation des premiers programmes spĂ©cialement conçus pour les enfants. TrĂšs vite, ce nouveau mĂ©dia fascine⊠et attire les annonceurs. Lâenfant devient alors une cible marketing centrale. Un consommateur en puissance. đ§ En 2025, soit 80 ans plus tard, les choses ont-elles vraiment changĂ© ? Pas vraiment. MalgrĂ© les alertes rĂ©pĂ©tĂ©es des scientifiques et des associations, la lĂ©gislation reste Ă©tonnamment muette. La derniĂšre feuille de route du gouvernement nâa pas retenu les mesures pour limiter le harcĂšlement nutritionnel. Pourquoi ce blocage ? Toujours la mĂȘme justification : protĂ©ger les revenus publicitaires des chaĂźnes de tĂ©lĂ©vision. Ă chaque audition parlementaire, on ressort le mĂȘme refrain : « Pas de preuve scientifique que la publicitĂ© nuit Ă la santĂ© des enfants ». Câest faux. Les Ă©tudes sont nombreuses. Et surtout, si lâindustrie agroalimentaire investit autant dans la pub, ce nâest certainement pas par altruisme. đĄ Depuis 2009, annĂ©e de la fameuse recommandation du CSA, le paysage numĂ©rique a explosĂ©. Aujourdâhui, les enfants ne sont plus seulement exposĂ©s Ă la tĂ©lĂ©vision, mais Ă tout un Ă©cosystĂšme dâĂ©crans et la problĂ©matique est bien plus large. đ Et câest ce quâon explorera dans les prochains Ă©pisodes.
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