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Vivre une vie meilleure : quête de sens, équilibre et épanouissement personnel

Addictions, tabac, alcool, cannabis & cie : propositions pour s’en libérer durablement et retrouver paix intérieure et clarté mentale

Addictions, tabac, alcool, cannabis & cie : propositions pour s’en libérer durablement et retrouver paix intérieure et clarté mentale

21min |26/03/2025|

5

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21min |26/03/2025|

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Description

Bonjour et bienvenue dans un épisode essentiel du podcast Pour vivre une vie meilleure 🌱


Dans cet épisode sincère et introspectif, je te partage un témoignage fort autour des addictions les plus répandues : tabac, alcool, cannabis. Qu’il s’agisse d’une consommation sociale, récréative ou un refuge émotionnel, ces substances modifient notre cerveau, nourrissent l’ego, augmentent le stress, affaiblissent notre volonté, et nous éloignent de notre paix intérieure.


À partir de mon propre vécu, je te propose :


  • une réflexion profonde sur le mécanisme des addictions,

  • des clés concrètes pour se libérer naturellement du tabac, de l’alcool ou du cannabis,

  • des pistes alternatives pour retrouver l’équilibre (musique, sport, foi, introspection),

  • une vision renouvelée de la dopamine, de l’ego et du cheminement intérieur vers un idéal de sagesse et de liberté.


Ce contenu s’adresse à tous ceux qui veulent vivre plus librement, avec lucidité, douceur et amour de soi, qu’ils soient concernés directement ou non par l’addiction.


🎧 Bonne écoute à toi, avec cœur et discernement 🙏


🙏 Ce podcast est 100 % bénévole, sans publicité. Il partage des clés durables pour le développement personnel, la confiance en soi authentique, l’amour de soi, la paix intérieure et la quête de sens. Il ne prétend pas détenir la vérité absolue, mais il est une invitation à expérimenter la sagesse au quotidien.


🎧 Playlist :

📬 Contact : hjddjf70@gmail.com

🔗 Partage à ceux qui veulent une vie plus profonde : [Lien Spotify]


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous chers auditeurs, merci de me prêter votre oreille attentive sur ce nouveau sujet, ce nouvel épisode concernant les substances particulièrement addictives, donc évidemment les drogues. On va aussi parler donc de l'alcool et de la cigarette. Et tout cela est souvent, à mon sens, consommé sous... soit pour une volonté de refuge, donc pour fuir une réalité, notamment, par normes sociales, donc dans un contexte notamment culturel, dans une dynamique de groupe, par exemple, ou de manière tout simplement récréative. Dans tous les cas... toutes ces substances font sécréter au corps ce qu'on appelle la dopamine, qui est une hormone qui rend addict. Et donc, pour compenser cette sécrétion d'hormones, il est possible de s'intéresser à la musique, donc pourquoi pas chanter, faire un instrument ou non, on écoutait tout simplement, et de faire du sport. Ce sont des manières plus saines. de prendre aussi du plaisir, bien qu'il faille évidemment être dans l'équilibre de la pratique, car sinon on peut vite placer une addiction par une autre. Si la substance est à usage récréatif, je comprends que cela aide à s'amuser, mais il est aussi possible de s'amuser en soirée, en développant une grande sensibilité musicale, et ensuite on a envie de bouger, de danser, d'être dans un bain immersif. On peut aussi développer un sens de l'humour assez universel et qualitatif, pour mettre plus de joie dans les soirées, ou aussi développer le sens de l'écoute, l'empathie, sans toutefois se faire envahir. Ainsi, on évite les lendemains difficiles. On ne fleure pas avec l'addiction ou au moins on préserve le maximum de sa santé. Ne recherchons pas non plus à consommer pour avoir l'approbation des autres. Ceux qui nous aiment, nous aiment vraiment pour ce que l'on est. Et ne cherchons pas à fuir sans cesse certaines choses dans les substances. Si vous êtes dans ce cas, dites-vous « Ok, j'ai pris des substances, mais cela ne fait pas de moi quelqu'un de détestable. J'ai un cœur. » Et à tout moment, je peux décider d'affronter mes problèmes pour être une meilleure version de moi-même. Car je vous promets qu'arrêter les drogues, l'alcool, la cigarette, c'est une des plus belles expériences qui soit, au final. Car la victoire est tellement incroyable, avec un si gros combat, que la force que l'on gagne en nous pour changer est également considérable. Donc, oui, la souffrance sera là dans ce qu'on a à traverser, mais le gain en vaut tellement la peine pour préparer un meilleur avenir. Cependant... Cette force doit être mise au service d'un idéal le plus objectif qui soit, pour devenir vraiment meilleur. Donc, au service d'un idéal de sagesse, d'amour, de paix, bien qu'on doit se faire la guerre nous-mêmes dans cette histoire. Donc devenir son propre idéal afin de se confondre de plus en plus avec l'idéal que l'on vise. Bien sûr, des fois on peut se tromper dans ce que l'on vise, mais y réfléchir dans ce cas, à tête reposée. Je conseille à l'écrit, c'est moins envahissant, et ainsi avoir une vision de l'idéal toujours plus juste. grâce à cette sagesse que nous apporte la vie. Les émotions sont d'ailleurs de véritables indicateurs, ceux-là, et nos souffrances aussi. Alors cherchons à comprendre si nous le pouvons et rectifions le tir ou sinon, lâchons prise et essayons de vivre avec en attendant ou prions pour les croyants. Ayons donc pour projet de s'aimer toujours davantage et donc de pouvoir aimer aussi davantage. Et orienter les autres sans forcing à davantage s'aimer et donc à davantage aimer aussi les autres. Ainsi, notre vision de l'idéal doit toujours s'améliorer en ayant une volonté à toute épreuve pour que vérité se fasse en nous. Voici quelques idées de contenus qui m'ont beaucoup aidé. Il est possible de regarder des films de vie de saints sur la plateforme Sagesse Agir. Même pour les non-croyants, il y a quand même des valeurs fondamentales de sagesse dans ces personnages. De consulter les paroles des grands sages reconnus, comme Platon, Socrate, mais aussi Saint Thomas d'Aquin. Papus, Jacques Breillère qui a bien amélioré ma lucidité aussi, Blaise Pascal, Pierre Teilhard de Chardin, et donc vous le connaissez celui-là, Jésus. Vous pouvez aussi aller sur ma playlist que j'ai créée il y a un petit moment sur youtube, vous tapez musique au pluriel avec du sens, donc musique avec un S avec du sens. Il y a environ 90 titres, voilà donc ça peut est une manière de finalement faire passer des idées. Et enfin, faites des espaces concrets. Je peux vous dire que ressentant maintenant l'idéal qui m'aide à toujours aller mieux, je sais vraiment pourquoi chaque jour je me lève. Donc, pour me rapprocher de l'idéal, qui peut aussi être si concret comme il fait aussi battre mon cœur. Ainsi, je vous invite à penser fort à cet idéal, lui exprimer intérieurement votre amour et lui demander de se manifester. Il y a le témoignage d'une enfant de 15 ans qui a fait ça, et cela finit vraiment par fonctionner. Il est aussi possible d'écouter le témoignage de ceux qui ont la foi au creux du bide. Que ressentent-ils ? Que vivent-ils ? Qu'est-ce qui se passe dans leur vie ? Je peux d'ailleurs témoigner, si tu m'écris au mail que j'ai mis dans le descriptif de cet épisode. Je te garantis qu'avoir un idéal que tu sais vivre, qui arrive à faire battre ton cœur, c'est quand même quelque chose. Ça donne encore plus de motivation à aller vers celui-ci. Alors pourquoi je vous dis tout ça ? Parce que bon, c'est quand même censé parler d'addiction cet épisode. C'est parce qu'en fait on a tendance à combler le vide intérieur que devrait prendre l'idéal par tout un tas de trucs qui nous rendent accro. Et les substances en font partie. Vous savez, ce personnage illusoire qu'est l'ego se nourrit de tout cela, donc des choses basses, voilà. Et donc il faut se séparer de cela, et donc rejoindre l'idéal. Alors qu'on peut vraiment avoir aussi une conviction d'atteindre ce sommet, et c'est là une force qui peut devenir très puissante. Si on a juste sans cesse notre vision de l'idéal, qu'on renforce notre lien avec lui en faisant des expériences pour le ressentir concrètement. Beaucoup de croyants pourront d'ailleurs témoigner comment leur foi les a aimés. Ainsi, en plus de ce but à atteindre par nos efforts, pour arrêter tout cela, je conseille fortement de commencer à se diriger vers la musique, le sport dans l'équilibre. Mais aussi, pour ceux qui veulent arrêter, vous pouvez regarder des témoignages des anciens addicts et les clés qu'ils ont trouvées pour s'en sortir. Ce podcast étant long, chers auditeurs, je vais vous donner quand même quelques repères temporels. Je parle du tabac jusqu'à environ 11 minutes 3 à 4 secondes. Puis ensuite de l'alcool jusqu'à environ 16 minutes 30. Et ensuite je parle du cannabis jusqu'à environ 19 minutes 30. Et à partir de là je conclue sur les autres drogues et aussi sur l'épisode en entier. approfondissons maintenant le sujet du tabac le tabac tabac t virgule a b a t c'est même marqué dedans mais pour autant je ne juge aucun fumeur pour l'avoir été je peux pour autant vous dire qu'il manquait davantage en fait le tabac nous fait croire qu'il nous détend mais c'est le contraire en fumant régulièrement notre niveau de stress global augmente et nous soulage ponctuellement lorsque l'on fume du stress qui l'a lui-même engendré une vraie horreur Et les conséquences du stress sont terribles problèmes de sommeil et donc de santé mentale, car si on dort moins bien, psychiquement ça va moins bien, problèmes cardiovasculaires, etc. Voilà encore une substance dans laquelle le mal est présent, et je ne vous parle pas de la composition, notamment avec des composés radioactifs. Encore, un grand piège parmi tant d'autres de notre monde très dangereux. Donc soyons toujours vigilants. Fort de cette petite introduction, je souhaiterais maintenant partager mon témoignage d'ancien fumeur. Si cela peut aider certaines personnes à davantage prendre conscience de ce fardeau. Voici donc mon témoignage. Lorsque j'étais fumeur, pour les raisons invoquées juste avant, j'étais beaucoup plus stressé pour des choses qui, à l'heure d'aujourd'hui, ne sembleraient pas si graves que ça. Je passais donc des journées globalement plus pourries, il faut bien le dire, et je ne vous parle même pas du nombre de fois que je toussais. De surcroît, j'ai également perdu mon père d'un cancer de la gorge vu à la consommation excessive et habituelle d'alcool et de tabac. Un papa, qui à la base faisait environ 70 kilos, et qui sous chimiothérapie n'en faisait plus qu'environ 30. C'est très choquant. Imaginez comment étaient les personnes avec un cancer. Si on n'allait pas voir, s'il vous plaît, c'est horrible. Donc sur nos livres d'histoire, c'était à peu près ça pour nos pères. Et aucune personne ayant une dépendance avec l'alcool ou le tabac n'est à l'abri de se retrouver dans cette situation. Le cancer peut tomber à tout moment. Et là, c'est beaucoup de souffrance pour la personne, mais aussi pour ses proches de cœur. Ayant donc pas mal souffert de tout cela, C'est en partie pourquoi j'ai arrêté l'alcool et le tabac. Car en plus d'être globalement moins stressé et plus serein pour mon avenir, j'étais surtout content de retrouver de l'endurance physique et de pouvoir sentir les bonnes odeurs des restaurants, de la cuisine familiale. Enfin, je me suis rendu compte que je pouvais vraiment me changer et devenir qui je voulais être. Car une si grande victoire sur des substances très addictives comme le tabac ou l'alcool Ça fait décoller fortement la confiance en soi. qu'on doit mettre au service de l'idéal, bien entendu. C'est pourquoi je recommande vivement à ceux étant sous l'emprise d'une ou moins de ces deux drogues, de mener le combat sans relâche, je le répète, la volonté qu'il y aura ensuite pour changer d'autre chose sera d'autant plus forte. Voici maintenant mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il est bon de garder une liste de raisons d'arrêter le tabac sur soi. Il faut conscientiser à fond le pourquoi de l'arrêt, pour avoir ensuite encore plus de volonté et de courage. pour arrêter, mais aussi il est possible de faire une sensibilisation avec les anciens gros consommateurs. Un cercle d'entraide avec les fumeurs, ça peut aider aussi, parce qu'on se sent soutenu par les autres aussi, et voilà, on est ensemble. Éviter aussi les fumeurs pendant le sevrage, dans la mesure du possible, ou prendre aussi un substitut sain, sans nicotine, ça peut aider. Ne pas vouloir fumer pour aller mieux, évidemment, car cela stresse encore davantage. D'autre part, je ne dis pas que c'est le parcours parfait, mais j'ai personnellement aussi réussi à arrêter en passant progressivement à la cigarette électronique. Puis ensuite, j'ai diminué les grammes de nicotine dans cette cigarette électronique, puis j'ai arrêté la cigarette électronique. Je me suis mis au chewing-gum menthe forte, car en fait, je n'arrivais pas à fumer avec le goût de la menthe dans la bouche. Voilà. J'ai fait cela sur un peu moins d'un an. Ainsi, vous pouvez aller voir... La méthode simple pour en finir avec la cigarette d'Alencar. Car c'est un livre auquel on m'a donné un beau témoignage et les avis confirment cette impression. Passons maintenant à l'alcool et je vous raconterai ensuite mon témoignage. L'alcool, voici quelque chose de bien ancré dans beaucoup d'habitudes familiales, amicales, conjugales, professionnelles. même solitaire, donc dans notre société, de manière générale. Et pourtant, je peux vous dire que c'est quelque chose augmentant fortement l'anxiété, même déjà à faible dose. D'une manière générale, il est connu qu'il intensifie toutes nos émotions. Dit d'une autre manière, on devient, d'une manière relative évidemment, plus ou moins un ou une déséquilibre émotionnel en fonction de ce que l'on consomme. Donc il ne faut pas hésiter à sortir des sentiers battus, surtout pour une substance qui engendre, selon mon expérience, plus ou moins de souffrance, quelle que soit la quantité. Mais il y en a quand même toujours un minimum de la souffrance. Merci donc d'avance de prendre très au sérieux ce que je pense de tout cela, et faites vos expériences si le cœur vous en dit. Voici maintenant mon témoignage très sincère. J'attendais qu'une mère de famille arrive chez elle pour pouvoir donner des cours à son enfant. Elle tardait un peu. Plutôt que de relativiser comme j'y arrive systématiquement dans ce genre de situation, je me suis mis à angoisser. J'ai ressenti quelque chose de très désagréable et profond que je n'avais pas vécu depuis longtemps. Après réflexion, car l'idée ne m'est pas venue tout de suite, donc aucun effet placebo infiniment, il s'est donc avéré que je n'avais bu qu'un demi-verre de vin avant de vivre cette situation. Moi qui d'ordinaire, avant les cours, on n'en boit jamais. J'ai également vécu dans mon passé des petites phases, très dépressives, les lendemains de soirée, et le pire, c'est qu'en rebuvant, ça allait mieux, jusqu'à ce que ça soit encore pire après. Si ça c'est pas une drogue horrible, mais alors qu'est-ce que c'est ? Et déjà, depuis tout petit, j'ai vécu les ravages de l'alcool, car ayant déjà vu en bas âge un adulte pleurer devant mes yeux. Et je me rappelle, vous imaginez 30 ans plus tard. Voilà, et je souhaite de tout cœur que cette personne s'en soit sortie. Fort de toutes ces constatations, j'ai donc décidé de vivre une vie avec moins d'angoisse, ou pas si profonde du moins, car ayant décidé de ne plus boire du tout. Puis maintenant, fini l'an indiscutible, Difficile. Chers lecteurs, je vous invite donc vraiment à faire de même si vous consommez, que notre consommation soit très faible ou plus importante, sortons-nous de tout un tas de tourments émotionnels qui n'ont rien de normal, qu'ils soient petits ou grands. L'alcool ne mérite pas qu'on nous autorise ne serait-ce qu'un instant de contrôle sur nous-mêmes. Déjouons ce piège de notre société ou du monde pêcheur pour les croyants. Pour de bon, offrons-nous une vie meilleure, quitte à aller à l'encontre des conventions sociales. Puis encore, on n'en a qu'un. Alors, qui nous permettent davantage d'aller vers l'idéal. Et donc, pour les croyants qui deviennent un sanctuaire plus propre afin que l'éternel ait plus envie de s'inviter davantage en nous. Alors, mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il faut déjà commencer par se persuader que cela semble pas bon pour nous, en comparant objectivement nos réactions, avec ou sans alcool, face à des situations similaires comme les bouchons, une bêtise enfantine, un oubli, une contrariété. De là, il y aura peut-être déjà davantage d'envie d'arrêter. Cela, après, est malheureusement valable uniquement pour ceux ayant une faible dépendance. Pour ceux qui sont très addicts, les idées ci-dessous seront tout de même valables. Par la suite, il est aussi bon, je pense, de se faire une liste de raisons pour lesquelles on fait cela et de la garder toujours sur soi. On pourra la sortir si la tentation se présente. Exemple de bonne raison ? La santé, bien évidemment. Le budget, on pourrait faire des cadeaux sympas à des gens qu'on aime, mieux manger, voilà. Les expériences test que j'ai parlé juste avant, qui ont permis de prendre conscience de l'impact de l'alcool sur notre vie. Le contrôle de soi. C'est moins de souffrance pour nous et pour les autres, et c'est donc une vie meilleure. Il est en plus possible de rechercher toutes les conséquences néfastes de la consommation d'alcool, et tous les bienfaits qu'il y a à y gagner si on arrête, et après, hop, sur la liste qu'on garde sur nous. D'ici tant, je le répète, de se conscientiser là aussi au maximum face à la nécessité de cette décision. La volonté et les axes en seront d'autant plus forts. Regardez des témoignages vidéo d'anciens gros consommateurs. Cela peut aussi faire prendre davantage conscience de l'importance d'arrêter ou alors aller à des réunions avec des gens consommant aussi et qui vous aident et qui veulent aussi que vous en sortiez. Je dirais aussi, essayez autant que possible, au moins durant le sauvage, de ne pas ou peu fréquenter des gens qui boivent et boire plus d'eau. Et si les moments de convivialité manquent, ce qui aurait pu être mon cas, il est par exemple possible de prendre des bières sans alcool ou autres et profiter davantage de l'ambiance, de la musique. Et surtout, ne pas utiliser l'alcool pour fuir les problèmes. Au contraire, il aggrave tout, car j'ai constaté qu'il réduit notre volonté. J'avais beaucoup plus de mal à m'arrêter de fumer quand je buvais. Voilà. Et donc, il nous enfonce encore plus, finalement. C'est un cercle vicieux. Puis, quand l'arrêt sera effectif, l'estime de soi sera dopée. Et ce sentiment-là, comme je l'ai déjà dit, il pousse vraiment en avant, vers l'idéal bien sûr. Autre point important maintenant, le cannabis. Très répandu chez les jeunes français, moins addictif que d'autres drogues, et souvent vanté comme quelque chose de cool, le cannabis en reste pas moins dangereux. Pour cause, les conséquences psychologiques peuvent s'avérer désastreuses. Une fois n'est pas coutume, voici. mon témoignage. Je n'ai jamais fumé régulièrement de cannabis, mais il m'est arrivé d'en consommer de manière récréative, ce qui m'a déjà permis de constater de graves conséquences. Après plusieurs années de consommation festive, j'ai remarqué que je commençais à devenir paranoïaque. En soirée chez moi avec de très bons potes, sous emprise, je pensais qu'on parlait mal de moi. Que tout le monde parlait mal de moi. Vous imaginez le truc quoi ? En même temps. Et là, ça a été un grand déplique pour arrêter. Le cannabis peut rendre fou, sans compter une fois une hallucination visuelle. Il est également connu pour déclencher des hallucinations auditives, irréversibles d'ailleurs, qui peuvent être très dangereuses, car ces voix peuvent insulter, dévaloriser ou bien trop encenser. Voilà, on a l'impression qu'elles viennent de la tête. On ne sait pas trop d'où elles viennent en fait, c'est assez bizarre comme sensation. Donc dans tous les cas, le cannabis... ne rend pas service bien au contraire. Au passage, sans thérapie personnelle ou sans l'affaire avec quelqu'un, entendre des voix, cela peut aller très loin. Des gens peuvent aller jusqu'à tuer en fonction de ce qu'on leur dit, d'ailleurs comme ce jeune collégien de Saint-Jean-de-Luz. Vous pouvez aller le regarder si vous voulez. Bien qu'aussi, il faut bien le noter, il y a aussi des gens sains qui entendent aussi des voix. Une vie bien équilibrée, à mon sens, ne peut pas se faire avec du cannabis. Et quand bien même on n'y soit pas très réceptif, les conséquences peuvent arriver soudainement. Donc sans qu'on y prenne garde. D'autre part, dans une étude clinique, 76% des sujets dépendants au cannabis rapportaient des troubles de la mémoire et 70% des troubles de l'attention liés à leur consommation. Alors pour le bien de soi et des autres, il est mieux que nous arrêtons tout cela. Car même s'il a des propriétés médicinales, les risques peuvent être beaucoup trop graves pour risquer de le consommer et donc de se soigner avec. Voici quelques astuces pour arrêter. Si le cannabis est utilisé pour des douleurs ou des insomnies, il est bon, je pense, de trouver d'autres solutions pour cela. Il peut être intéressant de regarder du côté des huiles essentielles, pour les douleurs et pour les insomnies. Se trouver une autre huile essentielle, donc une bonne tisane, une musique d'ambiance, un bain chaud. Si c'est une addiction, peut-être qu'en passant par la CBD en cigarette électronique, même si ce n'est pas parfait, il sera plus facile d'arrêter. Dans tous les cas, et même si aucune addiction n'est présente, exemple usage récréatif alors il faut juste se motiver et se faire sa petite liste à garder sur soi contenant les raisons d'arrêter risque de perte de mémoire de troubles de l'attention budget, risque de psychose, donc de perte de la réalité, perte de motivation aussi. Pareil que l'alcool d'ailleurs. Pour les autres drogues, comme je vous l'ai déjà dit, faites en sorte de produire de la dopamine, autrement donc de manière plus saine, comme la musique et le sport, en visant l'équilibre de la pratique et en diminuant progressivement les doses de la drogue. Les témoignages poignants aussi, ça fait quelque chose. Alors allez voir des vidéos. Rejoignez des cercles. C'est motivant aussi de savoir que d'autres personnes ont envie qu'on arrête. Je vous conseille également un film qui a l'air superbe en bande-annonce contenant les addictions et qui s'intitule Les Jours Meilleurs. Mais peut-être sera-t-il déjà sorti en fonction de votre jour d'écoute de cet épisode. Écoutez également le podcast sur la plateforme YouPray, Y-O-U-P-R-A-Y, de Laurent Gay. Laurent, comme le prénom, Gay, G-A-Y, sur les addictions. Quel incroyable contenu là aussi. Ou peut-être pourrez-vous trouver son podcast ailleurs. Voilà donc, cet épisode est terminé. Je vous remercie pour votre écoute attentive. Et je vous souhaite des lendemains toujours meilleurs. Au plaisir !

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Bonjour et bienvenue dans un épisode essentiel du podcast Pour vivre une vie meilleure 🌱


Dans cet épisode sincère et introspectif, je te partage un témoignage fort autour des addictions les plus répandues : tabac, alcool, cannabis. Qu’il s’agisse d’une consommation sociale, récréative ou un refuge émotionnel, ces substances modifient notre cerveau, nourrissent l’ego, augmentent le stress, affaiblissent notre volonté, et nous éloignent de notre paix intérieure.


À partir de mon propre vécu, je te propose :


  • une réflexion profonde sur le mécanisme des addictions,

  • des clés concrètes pour se libérer naturellement du tabac, de l’alcool ou du cannabis,

  • des pistes alternatives pour retrouver l’équilibre (musique, sport, foi, introspection),

  • une vision renouvelée de la dopamine, de l’ego et du cheminement intérieur vers un idéal de sagesse et de liberté.


Ce contenu s’adresse à tous ceux qui veulent vivre plus librement, avec lucidité, douceur et amour de soi, qu’ils soient concernés directement ou non par l’addiction.


🎧 Bonne écoute à toi, avec cœur et discernement 🙏


🙏 Ce podcast est 100 % bénévole, sans publicité. Il partage des clés durables pour le développement personnel, la confiance en soi authentique, l’amour de soi, la paix intérieure et la quête de sens. Il ne prétend pas détenir la vérité absolue, mais il est une invitation à expérimenter la sagesse au quotidien.


🎧 Playlist :

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  • Speaker #0

    Bonjour à tous chers auditeurs, merci de me prêter votre oreille attentive sur ce nouveau sujet, ce nouvel épisode concernant les substances particulièrement addictives, donc évidemment les drogues. On va aussi parler donc de l'alcool et de la cigarette. Et tout cela est souvent, à mon sens, consommé sous... soit pour une volonté de refuge, donc pour fuir une réalité, notamment, par normes sociales, donc dans un contexte notamment culturel, dans une dynamique de groupe, par exemple, ou de manière tout simplement récréative. Dans tous les cas... toutes ces substances font sécréter au corps ce qu'on appelle la dopamine, qui est une hormone qui rend addict. Et donc, pour compenser cette sécrétion d'hormones, il est possible de s'intéresser à la musique, donc pourquoi pas chanter, faire un instrument ou non, on écoutait tout simplement, et de faire du sport. Ce sont des manières plus saines. de prendre aussi du plaisir, bien qu'il faille évidemment être dans l'équilibre de la pratique, car sinon on peut vite placer une addiction par une autre. Si la substance est à usage récréatif, je comprends que cela aide à s'amuser, mais il est aussi possible de s'amuser en soirée, en développant une grande sensibilité musicale, et ensuite on a envie de bouger, de danser, d'être dans un bain immersif. On peut aussi développer un sens de l'humour assez universel et qualitatif, pour mettre plus de joie dans les soirées, ou aussi développer le sens de l'écoute, l'empathie, sans toutefois se faire envahir. Ainsi, on évite les lendemains difficiles. On ne fleure pas avec l'addiction ou au moins on préserve le maximum de sa santé. Ne recherchons pas non plus à consommer pour avoir l'approbation des autres. Ceux qui nous aiment, nous aiment vraiment pour ce que l'on est. Et ne cherchons pas à fuir sans cesse certaines choses dans les substances. Si vous êtes dans ce cas, dites-vous « Ok, j'ai pris des substances, mais cela ne fait pas de moi quelqu'un de détestable. J'ai un cœur. » Et à tout moment, je peux décider d'affronter mes problèmes pour être une meilleure version de moi-même. Car je vous promets qu'arrêter les drogues, l'alcool, la cigarette, c'est une des plus belles expériences qui soit, au final. Car la victoire est tellement incroyable, avec un si gros combat, que la force que l'on gagne en nous pour changer est également considérable. Donc, oui, la souffrance sera là dans ce qu'on a à traverser, mais le gain en vaut tellement la peine pour préparer un meilleur avenir. Cependant... Cette force doit être mise au service d'un idéal le plus objectif qui soit, pour devenir vraiment meilleur. Donc, au service d'un idéal de sagesse, d'amour, de paix, bien qu'on doit se faire la guerre nous-mêmes dans cette histoire. Donc devenir son propre idéal afin de se confondre de plus en plus avec l'idéal que l'on vise. Bien sûr, des fois on peut se tromper dans ce que l'on vise, mais y réfléchir dans ce cas, à tête reposée. Je conseille à l'écrit, c'est moins envahissant, et ainsi avoir une vision de l'idéal toujours plus juste. grâce à cette sagesse que nous apporte la vie. Les émotions sont d'ailleurs de véritables indicateurs, ceux-là, et nos souffrances aussi. Alors cherchons à comprendre si nous le pouvons et rectifions le tir ou sinon, lâchons prise et essayons de vivre avec en attendant ou prions pour les croyants. Ayons donc pour projet de s'aimer toujours davantage et donc de pouvoir aimer aussi davantage. Et orienter les autres sans forcing à davantage s'aimer et donc à davantage aimer aussi les autres. Ainsi, notre vision de l'idéal doit toujours s'améliorer en ayant une volonté à toute épreuve pour que vérité se fasse en nous. Voici quelques idées de contenus qui m'ont beaucoup aidé. Il est possible de regarder des films de vie de saints sur la plateforme Sagesse Agir. Même pour les non-croyants, il y a quand même des valeurs fondamentales de sagesse dans ces personnages. De consulter les paroles des grands sages reconnus, comme Platon, Socrate, mais aussi Saint Thomas d'Aquin. Papus, Jacques Breillère qui a bien amélioré ma lucidité aussi, Blaise Pascal, Pierre Teilhard de Chardin, et donc vous le connaissez celui-là, Jésus. Vous pouvez aussi aller sur ma playlist que j'ai créée il y a un petit moment sur youtube, vous tapez musique au pluriel avec du sens, donc musique avec un S avec du sens. Il y a environ 90 titres, voilà donc ça peut est une manière de finalement faire passer des idées. Et enfin, faites des espaces concrets. Je peux vous dire que ressentant maintenant l'idéal qui m'aide à toujours aller mieux, je sais vraiment pourquoi chaque jour je me lève. Donc, pour me rapprocher de l'idéal, qui peut aussi être si concret comme il fait aussi battre mon cœur. Ainsi, je vous invite à penser fort à cet idéal, lui exprimer intérieurement votre amour et lui demander de se manifester. Il y a le témoignage d'une enfant de 15 ans qui a fait ça, et cela finit vraiment par fonctionner. Il est aussi possible d'écouter le témoignage de ceux qui ont la foi au creux du bide. Que ressentent-ils ? Que vivent-ils ? Qu'est-ce qui se passe dans leur vie ? Je peux d'ailleurs témoigner, si tu m'écris au mail que j'ai mis dans le descriptif de cet épisode. Je te garantis qu'avoir un idéal que tu sais vivre, qui arrive à faire battre ton cœur, c'est quand même quelque chose. Ça donne encore plus de motivation à aller vers celui-ci. Alors pourquoi je vous dis tout ça ? Parce que bon, c'est quand même censé parler d'addiction cet épisode. C'est parce qu'en fait on a tendance à combler le vide intérieur que devrait prendre l'idéal par tout un tas de trucs qui nous rendent accro. Et les substances en font partie. Vous savez, ce personnage illusoire qu'est l'ego se nourrit de tout cela, donc des choses basses, voilà. Et donc il faut se séparer de cela, et donc rejoindre l'idéal. Alors qu'on peut vraiment avoir aussi une conviction d'atteindre ce sommet, et c'est là une force qui peut devenir très puissante. Si on a juste sans cesse notre vision de l'idéal, qu'on renforce notre lien avec lui en faisant des expériences pour le ressentir concrètement. Beaucoup de croyants pourront d'ailleurs témoigner comment leur foi les a aimés. Ainsi, en plus de ce but à atteindre par nos efforts, pour arrêter tout cela, je conseille fortement de commencer à se diriger vers la musique, le sport dans l'équilibre. Mais aussi, pour ceux qui veulent arrêter, vous pouvez regarder des témoignages des anciens addicts et les clés qu'ils ont trouvées pour s'en sortir. Ce podcast étant long, chers auditeurs, je vais vous donner quand même quelques repères temporels. Je parle du tabac jusqu'à environ 11 minutes 3 à 4 secondes. Puis ensuite de l'alcool jusqu'à environ 16 minutes 30. Et ensuite je parle du cannabis jusqu'à environ 19 minutes 30. Et à partir de là je conclue sur les autres drogues et aussi sur l'épisode en entier. approfondissons maintenant le sujet du tabac le tabac tabac t virgule a b a t c'est même marqué dedans mais pour autant je ne juge aucun fumeur pour l'avoir été je peux pour autant vous dire qu'il manquait davantage en fait le tabac nous fait croire qu'il nous détend mais c'est le contraire en fumant régulièrement notre niveau de stress global augmente et nous soulage ponctuellement lorsque l'on fume du stress qui l'a lui-même engendré une vraie horreur Et les conséquences du stress sont terribles problèmes de sommeil et donc de santé mentale, car si on dort moins bien, psychiquement ça va moins bien, problèmes cardiovasculaires, etc. Voilà encore une substance dans laquelle le mal est présent, et je ne vous parle pas de la composition, notamment avec des composés radioactifs. Encore, un grand piège parmi tant d'autres de notre monde très dangereux. Donc soyons toujours vigilants. Fort de cette petite introduction, je souhaiterais maintenant partager mon témoignage d'ancien fumeur. Si cela peut aider certaines personnes à davantage prendre conscience de ce fardeau. Voici donc mon témoignage. Lorsque j'étais fumeur, pour les raisons invoquées juste avant, j'étais beaucoup plus stressé pour des choses qui, à l'heure d'aujourd'hui, ne sembleraient pas si graves que ça. Je passais donc des journées globalement plus pourries, il faut bien le dire, et je ne vous parle même pas du nombre de fois que je toussais. De surcroît, j'ai également perdu mon père d'un cancer de la gorge vu à la consommation excessive et habituelle d'alcool et de tabac. Un papa, qui à la base faisait environ 70 kilos, et qui sous chimiothérapie n'en faisait plus qu'environ 30. C'est très choquant. Imaginez comment étaient les personnes avec un cancer. Si on n'allait pas voir, s'il vous plaît, c'est horrible. Donc sur nos livres d'histoire, c'était à peu près ça pour nos pères. Et aucune personne ayant une dépendance avec l'alcool ou le tabac n'est à l'abri de se retrouver dans cette situation. Le cancer peut tomber à tout moment. Et là, c'est beaucoup de souffrance pour la personne, mais aussi pour ses proches de cœur. Ayant donc pas mal souffert de tout cela, C'est en partie pourquoi j'ai arrêté l'alcool et le tabac. Car en plus d'être globalement moins stressé et plus serein pour mon avenir, j'étais surtout content de retrouver de l'endurance physique et de pouvoir sentir les bonnes odeurs des restaurants, de la cuisine familiale. Enfin, je me suis rendu compte que je pouvais vraiment me changer et devenir qui je voulais être. Car une si grande victoire sur des substances très addictives comme le tabac ou l'alcool Ça fait décoller fortement la confiance en soi. qu'on doit mettre au service de l'idéal, bien entendu. C'est pourquoi je recommande vivement à ceux étant sous l'emprise d'une ou moins de ces deux drogues, de mener le combat sans relâche, je le répète, la volonté qu'il y aura ensuite pour changer d'autre chose sera d'autant plus forte. Voici maintenant mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il est bon de garder une liste de raisons d'arrêter le tabac sur soi. Il faut conscientiser à fond le pourquoi de l'arrêt, pour avoir ensuite encore plus de volonté et de courage. pour arrêter, mais aussi il est possible de faire une sensibilisation avec les anciens gros consommateurs. Un cercle d'entraide avec les fumeurs, ça peut aider aussi, parce qu'on se sent soutenu par les autres aussi, et voilà, on est ensemble. Éviter aussi les fumeurs pendant le sevrage, dans la mesure du possible, ou prendre aussi un substitut sain, sans nicotine, ça peut aider. Ne pas vouloir fumer pour aller mieux, évidemment, car cela stresse encore davantage. D'autre part, je ne dis pas que c'est le parcours parfait, mais j'ai personnellement aussi réussi à arrêter en passant progressivement à la cigarette électronique. Puis ensuite, j'ai diminué les grammes de nicotine dans cette cigarette électronique, puis j'ai arrêté la cigarette électronique. Je me suis mis au chewing-gum menthe forte, car en fait, je n'arrivais pas à fumer avec le goût de la menthe dans la bouche. Voilà. J'ai fait cela sur un peu moins d'un an. Ainsi, vous pouvez aller voir... La méthode simple pour en finir avec la cigarette d'Alencar. Car c'est un livre auquel on m'a donné un beau témoignage et les avis confirment cette impression. Passons maintenant à l'alcool et je vous raconterai ensuite mon témoignage. L'alcool, voici quelque chose de bien ancré dans beaucoup d'habitudes familiales, amicales, conjugales, professionnelles. même solitaire, donc dans notre société, de manière générale. Et pourtant, je peux vous dire que c'est quelque chose augmentant fortement l'anxiété, même déjà à faible dose. D'une manière générale, il est connu qu'il intensifie toutes nos émotions. Dit d'une autre manière, on devient, d'une manière relative évidemment, plus ou moins un ou une déséquilibre émotionnel en fonction de ce que l'on consomme. Donc il ne faut pas hésiter à sortir des sentiers battus, surtout pour une substance qui engendre, selon mon expérience, plus ou moins de souffrance, quelle que soit la quantité. Mais il y en a quand même toujours un minimum de la souffrance. Merci donc d'avance de prendre très au sérieux ce que je pense de tout cela, et faites vos expériences si le cœur vous en dit. Voici maintenant mon témoignage très sincère. J'attendais qu'une mère de famille arrive chez elle pour pouvoir donner des cours à son enfant. Elle tardait un peu. Plutôt que de relativiser comme j'y arrive systématiquement dans ce genre de situation, je me suis mis à angoisser. J'ai ressenti quelque chose de très désagréable et profond que je n'avais pas vécu depuis longtemps. Après réflexion, car l'idée ne m'est pas venue tout de suite, donc aucun effet placebo infiniment, il s'est donc avéré que je n'avais bu qu'un demi-verre de vin avant de vivre cette situation. Moi qui d'ordinaire, avant les cours, on n'en boit jamais. J'ai également vécu dans mon passé des petites phases, très dépressives, les lendemains de soirée, et le pire, c'est qu'en rebuvant, ça allait mieux, jusqu'à ce que ça soit encore pire après. Si ça c'est pas une drogue horrible, mais alors qu'est-ce que c'est ? Et déjà, depuis tout petit, j'ai vécu les ravages de l'alcool, car ayant déjà vu en bas âge un adulte pleurer devant mes yeux. Et je me rappelle, vous imaginez 30 ans plus tard. Voilà, et je souhaite de tout cœur que cette personne s'en soit sortie. Fort de toutes ces constatations, j'ai donc décidé de vivre une vie avec moins d'angoisse, ou pas si profonde du moins, car ayant décidé de ne plus boire du tout. Puis maintenant, fini l'an indiscutible, Difficile. Chers lecteurs, je vous invite donc vraiment à faire de même si vous consommez, que notre consommation soit très faible ou plus importante, sortons-nous de tout un tas de tourments émotionnels qui n'ont rien de normal, qu'ils soient petits ou grands. L'alcool ne mérite pas qu'on nous autorise ne serait-ce qu'un instant de contrôle sur nous-mêmes. Déjouons ce piège de notre société ou du monde pêcheur pour les croyants. Pour de bon, offrons-nous une vie meilleure, quitte à aller à l'encontre des conventions sociales. Puis encore, on n'en a qu'un. Alors, qui nous permettent davantage d'aller vers l'idéal. Et donc, pour les croyants qui deviennent un sanctuaire plus propre afin que l'éternel ait plus envie de s'inviter davantage en nous. Alors, mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il faut déjà commencer par se persuader que cela semble pas bon pour nous, en comparant objectivement nos réactions, avec ou sans alcool, face à des situations similaires comme les bouchons, une bêtise enfantine, un oubli, une contrariété. De là, il y aura peut-être déjà davantage d'envie d'arrêter. Cela, après, est malheureusement valable uniquement pour ceux ayant une faible dépendance. Pour ceux qui sont très addicts, les idées ci-dessous seront tout de même valables. Par la suite, il est aussi bon, je pense, de se faire une liste de raisons pour lesquelles on fait cela et de la garder toujours sur soi. On pourra la sortir si la tentation se présente. Exemple de bonne raison ? La santé, bien évidemment. Le budget, on pourrait faire des cadeaux sympas à des gens qu'on aime, mieux manger, voilà. Les expériences test que j'ai parlé juste avant, qui ont permis de prendre conscience de l'impact de l'alcool sur notre vie. Le contrôle de soi. C'est moins de souffrance pour nous et pour les autres, et c'est donc une vie meilleure. Il est en plus possible de rechercher toutes les conséquences néfastes de la consommation d'alcool, et tous les bienfaits qu'il y a à y gagner si on arrête, et après, hop, sur la liste qu'on garde sur nous. D'ici tant, je le répète, de se conscientiser là aussi au maximum face à la nécessité de cette décision. La volonté et les axes en seront d'autant plus forts. Regardez des témoignages vidéo d'anciens gros consommateurs. Cela peut aussi faire prendre davantage conscience de l'importance d'arrêter ou alors aller à des réunions avec des gens consommant aussi et qui vous aident et qui veulent aussi que vous en sortiez. Je dirais aussi, essayez autant que possible, au moins durant le sauvage, de ne pas ou peu fréquenter des gens qui boivent et boire plus d'eau. Et si les moments de convivialité manquent, ce qui aurait pu être mon cas, il est par exemple possible de prendre des bières sans alcool ou autres et profiter davantage de l'ambiance, de la musique. Et surtout, ne pas utiliser l'alcool pour fuir les problèmes. Au contraire, il aggrave tout, car j'ai constaté qu'il réduit notre volonté. J'avais beaucoup plus de mal à m'arrêter de fumer quand je buvais. Voilà. Et donc, il nous enfonce encore plus, finalement. C'est un cercle vicieux. Puis, quand l'arrêt sera effectif, l'estime de soi sera dopée. Et ce sentiment-là, comme je l'ai déjà dit, il pousse vraiment en avant, vers l'idéal bien sûr. Autre point important maintenant, le cannabis. Très répandu chez les jeunes français, moins addictif que d'autres drogues, et souvent vanté comme quelque chose de cool, le cannabis en reste pas moins dangereux. Pour cause, les conséquences psychologiques peuvent s'avérer désastreuses. Une fois n'est pas coutume, voici. mon témoignage. Je n'ai jamais fumé régulièrement de cannabis, mais il m'est arrivé d'en consommer de manière récréative, ce qui m'a déjà permis de constater de graves conséquences. Après plusieurs années de consommation festive, j'ai remarqué que je commençais à devenir paranoïaque. En soirée chez moi avec de très bons potes, sous emprise, je pensais qu'on parlait mal de moi. Que tout le monde parlait mal de moi. Vous imaginez le truc quoi ? En même temps. Et là, ça a été un grand déplique pour arrêter. Le cannabis peut rendre fou, sans compter une fois une hallucination visuelle. Il est également connu pour déclencher des hallucinations auditives, irréversibles d'ailleurs, qui peuvent être très dangereuses, car ces voix peuvent insulter, dévaloriser ou bien trop encenser. Voilà, on a l'impression qu'elles viennent de la tête. On ne sait pas trop d'où elles viennent en fait, c'est assez bizarre comme sensation. Donc dans tous les cas, le cannabis... ne rend pas service bien au contraire. Au passage, sans thérapie personnelle ou sans l'affaire avec quelqu'un, entendre des voix, cela peut aller très loin. Des gens peuvent aller jusqu'à tuer en fonction de ce qu'on leur dit, d'ailleurs comme ce jeune collégien de Saint-Jean-de-Luz. Vous pouvez aller le regarder si vous voulez. Bien qu'aussi, il faut bien le noter, il y a aussi des gens sains qui entendent aussi des voix. Une vie bien équilibrée, à mon sens, ne peut pas se faire avec du cannabis. Et quand bien même on n'y soit pas très réceptif, les conséquences peuvent arriver soudainement. Donc sans qu'on y prenne garde. D'autre part, dans une étude clinique, 76% des sujets dépendants au cannabis rapportaient des troubles de la mémoire et 70% des troubles de l'attention liés à leur consommation. Alors pour le bien de soi et des autres, il est mieux que nous arrêtons tout cela. Car même s'il a des propriétés médicinales, les risques peuvent être beaucoup trop graves pour risquer de le consommer et donc de se soigner avec. Voici quelques astuces pour arrêter. Si le cannabis est utilisé pour des douleurs ou des insomnies, il est bon, je pense, de trouver d'autres solutions pour cela. Il peut être intéressant de regarder du côté des huiles essentielles, pour les douleurs et pour les insomnies. Se trouver une autre huile essentielle, donc une bonne tisane, une musique d'ambiance, un bain chaud. Si c'est une addiction, peut-être qu'en passant par la CBD en cigarette électronique, même si ce n'est pas parfait, il sera plus facile d'arrêter. Dans tous les cas, et même si aucune addiction n'est présente, exemple usage récréatif alors il faut juste se motiver et se faire sa petite liste à garder sur soi contenant les raisons d'arrêter risque de perte de mémoire de troubles de l'attention budget, risque de psychose, donc de perte de la réalité, perte de motivation aussi. Pareil que l'alcool d'ailleurs. Pour les autres drogues, comme je vous l'ai déjà dit, faites en sorte de produire de la dopamine, autrement donc de manière plus saine, comme la musique et le sport, en visant l'équilibre de la pratique et en diminuant progressivement les doses de la drogue. Les témoignages poignants aussi, ça fait quelque chose. Alors allez voir des vidéos. Rejoignez des cercles. C'est motivant aussi de savoir que d'autres personnes ont envie qu'on arrête. Je vous conseille également un film qui a l'air superbe en bande-annonce contenant les addictions et qui s'intitule Les Jours Meilleurs. Mais peut-être sera-t-il déjà sorti en fonction de votre jour d'écoute de cet épisode. Écoutez également le podcast sur la plateforme YouPray, Y-O-U-P-R-A-Y, de Laurent Gay. Laurent, comme le prénom, Gay, G-A-Y, sur les addictions. Quel incroyable contenu là aussi. Ou peut-être pourrez-vous trouver son podcast ailleurs. Voilà donc, cet épisode est terminé. Je vous remercie pour votre écoute attentive. Et je vous souhaite des lendemains toujours meilleurs. Au plaisir !

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Description

Bonjour et bienvenue dans un épisode essentiel du podcast Pour vivre une vie meilleure 🌱


Dans cet épisode sincère et introspectif, je te partage un témoignage fort autour des addictions les plus répandues : tabac, alcool, cannabis. Qu’il s’agisse d’une consommation sociale, récréative ou un refuge émotionnel, ces substances modifient notre cerveau, nourrissent l’ego, augmentent le stress, affaiblissent notre volonté, et nous éloignent de notre paix intérieure.


À partir de mon propre vécu, je te propose :


  • une réflexion profonde sur le mécanisme des addictions,

  • des clés concrètes pour se libérer naturellement du tabac, de l’alcool ou du cannabis,

  • des pistes alternatives pour retrouver l’équilibre (musique, sport, foi, introspection),

  • une vision renouvelée de la dopamine, de l’ego et du cheminement intérieur vers un idéal de sagesse et de liberté.


Ce contenu s’adresse à tous ceux qui veulent vivre plus librement, avec lucidité, douceur et amour de soi, qu’ils soient concernés directement ou non par l’addiction.


🎧 Bonne écoute à toi, avec cœur et discernement 🙏


🙏 Ce podcast est 100 % bénévole, sans publicité. Il partage des clés durables pour le développement personnel, la confiance en soi authentique, l’amour de soi, la paix intérieure et la quête de sens. Il ne prétend pas détenir la vérité absolue, mais il est une invitation à expérimenter la sagesse au quotidien.


🎧 Playlist :

📬 Contact : hjddjf70@gmail.com

🔗 Partage à ceux qui veulent une vie plus profonde : [Lien Spotify]


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous chers auditeurs, merci de me prêter votre oreille attentive sur ce nouveau sujet, ce nouvel épisode concernant les substances particulièrement addictives, donc évidemment les drogues. On va aussi parler donc de l'alcool et de la cigarette. Et tout cela est souvent, à mon sens, consommé sous... soit pour une volonté de refuge, donc pour fuir une réalité, notamment, par normes sociales, donc dans un contexte notamment culturel, dans une dynamique de groupe, par exemple, ou de manière tout simplement récréative. Dans tous les cas... toutes ces substances font sécréter au corps ce qu'on appelle la dopamine, qui est une hormone qui rend addict. Et donc, pour compenser cette sécrétion d'hormones, il est possible de s'intéresser à la musique, donc pourquoi pas chanter, faire un instrument ou non, on écoutait tout simplement, et de faire du sport. Ce sont des manières plus saines. de prendre aussi du plaisir, bien qu'il faille évidemment être dans l'équilibre de la pratique, car sinon on peut vite placer une addiction par une autre. Si la substance est à usage récréatif, je comprends que cela aide à s'amuser, mais il est aussi possible de s'amuser en soirée, en développant une grande sensibilité musicale, et ensuite on a envie de bouger, de danser, d'être dans un bain immersif. On peut aussi développer un sens de l'humour assez universel et qualitatif, pour mettre plus de joie dans les soirées, ou aussi développer le sens de l'écoute, l'empathie, sans toutefois se faire envahir. Ainsi, on évite les lendemains difficiles. On ne fleure pas avec l'addiction ou au moins on préserve le maximum de sa santé. Ne recherchons pas non plus à consommer pour avoir l'approbation des autres. Ceux qui nous aiment, nous aiment vraiment pour ce que l'on est. Et ne cherchons pas à fuir sans cesse certaines choses dans les substances. Si vous êtes dans ce cas, dites-vous « Ok, j'ai pris des substances, mais cela ne fait pas de moi quelqu'un de détestable. J'ai un cœur. » Et à tout moment, je peux décider d'affronter mes problèmes pour être une meilleure version de moi-même. Car je vous promets qu'arrêter les drogues, l'alcool, la cigarette, c'est une des plus belles expériences qui soit, au final. Car la victoire est tellement incroyable, avec un si gros combat, que la force que l'on gagne en nous pour changer est également considérable. Donc, oui, la souffrance sera là dans ce qu'on a à traverser, mais le gain en vaut tellement la peine pour préparer un meilleur avenir. Cependant... Cette force doit être mise au service d'un idéal le plus objectif qui soit, pour devenir vraiment meilleur. Donc, au service d'un idéal de sagesse, d'amour, de paix, bien qu'on doit se faire la guerre nous-mêmes dans cette histoire. Donc devenir son propre idéal afin de se confondre de plus en plus avec l'idéal que l'on vise. Bien sûr, des fois on peut se tromper dans ce que l'on vise, mais y réfléchir dans ce cas, à tête reposée. Je conseille à l'écrit, c'est moins envahissant, et ainsi avoir une vision de l'idéal toujours plus juste. grâce à cette sagesse que nous apporte la vie. Les émotions sont d'ailleurs de véritables indicateurs, ceux-là, et nos souffrances aussi. Alors cherchons à comprendre si nous le pouvons et rectifions le tir ou sinon, lâchons prise et essayons de vivre avec en attendant ou prions pour les croyants. Ayons donc pour projet de s'aimer toujours davantage et donc de pouvoir aimer aussi davantage. Et orienter les autres sans forcing à davantage s'aimer et donc à davantage aimer aussi les autres. Ainsi, notre vision de l'idéal doit toujours s'améliorer en ayant une volonté à toute épreuve pour que vérité se fasse en nous. Voici quelques idées de contenus qui m'ont beaucoup aidé. Il est possible de regarder des films de vie de saints sur la plateforme Sagesse Agir. Même pour les non-croyants, il y a quand même des valeurs fondamentales de sagesse dans ces personnages. De consulter les paroles des grands sages reconnus, comme Platon, Socrate, mais aussi Saint Thomas d'Aquin. Papus, Jacques Breillère qui a bien amélioré ma lucidité aussi, Blaise Pascal, Pierre Teilhard de Chardin, et donc vous le connaissez celui-là, Jésus. Vous pouvez aussi aller sur ma playlist que j'ai créée il y a un petit moment sur youtube, vous tapez musique au pluriel avec du sens, donc musique avec un S avec du sens. Il y a environ 90 titres, voilà donc ça peut est une manière de finalement faire passer des idées. Et enfin, faites des espaces concrets. Je peux vous dire que ressentant maintenant l'idéal qui m'aide à toujours aller mieux, je sais vraiment pourquoi chaque jour je me lève. Donc, pour me rapprocher de l'idéal, qui peut aussi être si concret comme il fait aussi battre mon cœur. Ainsi, je vous invite à penser fort à cet idéal, lui exprimer intérieurement votre amour et lui demander de se manifester. Il y a le témoignage d'une enfant de 15 ans qui a fait ça, et cela finit vraiment par fonctionner. Il est aussi possible d'écouter le témoignage de ceux qui ont la foi au creux du bide. Que ressentent-ils ? Que vivent-ils ? Qu'est-ce qui se passe dans leur vie ? Je peux d'ailleurs témoigner, si tu m'écris au mail que j'ai mis dans le descriptif de cet épisode. Je te garantis qu'avoir un idéal que tu sais vivre, qui arrive à faire battre ton cœur, c'est quand même quelque chose. Ça donne encore plus de motivation à aller vers celui-ci. Alors pourquoi je vous dis tout ça ? Parce que bon, c'est quand même censé parler d'addiction cet épisode. C'est parce qu'en fait on a tendance à combler le vide intérieur que devrait prendre l'idéal par tout un tas de trucs qui nous rendent accro. Et les substances en font partie. Vous savez, ce personnage illusoire qu'est l'ego se nourrit de tout cela, donc des choses basses, voilà. Et donc il faut se séparer de cela, et donc rejoindre l'idéal. Alors qu'on peut vraiment avoir aussi une conviction d'atteindre ce sommet, et c'est là une force qui peut devenir très puissante. Si on a juste sans cesse notre vision de l'idéal, qu'on renforce notre lien avec lui en faisant des expériences pour le ressentir concrètement. Beaucoup de croyants pourront d'ailleurs témoigner comment leur foi les a aimés. Ainsi, en plus de ce but à atteindre par nos efforts, pour arrêter tout cela, je conseille fortement de commencer à se diriger vers la musique, le sport dans l'équilibre. Mais aussi, pour ceux qui veulent arrêter, vous pouvez regarder des témoignages des anciens addicts et les clés qu'ils ont trouvées pour s'en sortir. Ce podcast étant long, chers auditeurs, je vais vous donner quand même quelques repères temporels. Je parle du tabac jusqu'à environ 11 minutes 3 à 4 secondes. Puis ensuite de l'alcool jusqu'à environ 16 minutes 30. Et ensuite je parle du cannabis jusqu'à environ 19 minutes 30. Et à partir de là je conclue sur les autres drogues et aussi sur l'épisode en entier. approfondissons maintenant le sujet du tabac le tabac tabac t virgule a b a t c'est même marqué dedans mais pour autant je ne juge aucun fumeur pour l'avoir été je peux pour autant vous dire qu'il manquait davantage en fait le tabac nous fait croire qu'il nous détend mais c'est le contraire en fumant régulièrement notre niveau de stress global augmente et nous soulage ponctuellement lorsque l'on fume du stress qui l'a lui-même engendré une vraie horreur Et les conséquences du stress sont terribles problèmes de sommeil et donc de santé mentale, car si on dort moins bien, psychiquement ça va moins bien, problèmes cardiovasculaires, etc. Voilà encore une substance dans laquelle le mal est présent, et je ne vous parle pas de la composition, notamment avec des composés radioactifs. Encore, un grand piège parmi tant d'autres de notre monde très dangereux. Donc soyons toujours vigilants. Fort de cette petite introduction, je souhaiterais maintenant partager mon témoignage d'ancien fumeur. Si cela peut aider certaines personnes à davantage prendre conscience de ce fardeau. Voici donc mon témoignage. Lorsque j'étais fumeur, pour les raisons invoquées juste avant, j'étais beaucoup plus stressé pour des choses qui, à l'heure d'aujourd'hui, ne sembleraient pas si graves que ça. Je passais donc des journées globalement plus pourries, il faut bien le dire, et je ne vous parle même pas du nombre de fois que je toussais. De surcroît, j'ai également perdu mon père d'un cancer de la gorge vu à la consommation excessive et habituelle d'alcool et de tabac. Un papa, qui à la base faisait environ 70 kilos, et qui sous chimiothérapie n'en faisait plus qu'environ 30. C'est très choquant. Imaginez comment étaient les personnes avec un cancer. Si on n'allait pas voir, s'il vous plaît, c'est horrible. Donc sur nos livres d'histoire, c'était à peu près ça pour nos pères. Et aucune personne ayant une dépendance avec l'alcool ou le tabac n'est à l'abri de se retrouver dans cette situation. Le cancer peut tomber à tout moment. Et là, c'est beaucoup de souffrance pour la personne, mais aussi pour ses proches de cœur. Ayant donc pas mal souffert de tout cela, C'est en partie pourquoi j'ai arrêté l'alcool et le tabac. Car en plus d'être globalement moins stressé et plus serein pour mon avenir, j'étais surtout content de retrouver de l'endurance physique et de pouvoir sentir les bonnes odeurs des restaurants, de la cuisine familiale. Enfin, je me suis rendu compte que je pouvais vraiment me changer et devenir qui je voulais être. Car une si grande victoire sur des substances très addictives comme le tabac ou l'alcool Ça fait décoller fortement la confiance en soi. qu'on doit mettre au service de l'idéal, bien entendu. C'est pourquoi je recommande vivement à ceux étant sous l'emprise d'une ou moins de ces deux drogues, de mener le combat sans relâche, je le répète, la volonté qu'il y aura ensuite pour changer d'autre chose sera d'autant plus forte. Voici maintenant mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il est bon de garder une liste de raisons d'arrêter le tabac sur soi. Il faut conscientiser à fond le pourquoi de l'arrêt, pour avoir ensuite encore plus de volonté et de courage. pour arrêter, mais aussi il est possible de faire une sensibilisation avec les anciens gros consommateurs. Un cercle d'entraide avec les fumeurs, ça peut aider aussi, parce qu'on se sent soutenu par les autres aussi, et voilà, on est ensemble. Éviter aussi les fumeurs pendant le sevrage, dans la mesure du possible, ou prendre aussi un substitut sain, sans nicotine, ça peut aider. Ne pas vouloir fumer pour aller mieux, évidemment, car cela stresse encore davantage. D'autre part, je ne dis pas que c'est le parcours parfait, mais j'ai personnellement aussi réussi à arrêter en passant progressivement à la cigarette électronique. Puis ensuite, j'ai diminué les grammes de nicotine dans cette cigarette électronique, puis j'ai arrêté la cigarette électronique. Je me suis mis au chewing-gum menthe forte, car en fait, je n'arrivais pas à fumer avec le goût de la menthe dans la bouche. Voilà. J'ai fait cela sur un peu moins d'un an. Ainsi, vous pouvez aller voir... La méthode simple pour en finir avec la cigarette d'Alencar. Car c'est un livre auquel on m'a donné un beau témoignage et les avis confirment cette impression. Passons maintenant à l'alcool et je vous raconterai ensuite mon témoignage. L'alcool, voici quelque chose de bien ancré dans beaucoup d'habitudes familiales, amicales, conjugales, professionnelles. même solitaire, donc dans notre société, de manière générale. Et pourtant, je peux vous dire que c'est quelque chose augmentant fortement l'anxiété, même déjà à faible dose. D'une manière générale, il est connu qu'il intensifie toutes nos émotions. Dit d'une autre manière, on devient, d'une manière relative évidemment, plus ou moins un ou une déséquilibre émotionnel en fonction de ce que l'on consomme. Donc il ne faut pas hésiter à sortir des sentiers battus, surtout pour une substance qui engendre, selon mon expérience, plus ou moins de souffrance, quelle que soit la quantité. Mais il y en a quand même toujours un minimum de la souffrance. Merci donc d'avance de prendre très au sérieux ce que je pense de tout cela, et faites vos expériences si le cœur vous en dit. Voici maintenant mon témoignage très sincère. J'attendais qu'une mère de famille arrive chez elle pour pouvoir donner des cours à son enfant. Elle tardait un peu. Plutôt que de relativiser comme j'y arrive systématiquement dans ce genre de situation, je me suis mis à angoisser. J'ai ressenti quelque chose de très désagréable et profond que je n'avais pas vécu depuis longtemps. Après réflexion, car l'idée ne m'est pas venue tout de suite, donc aucun effet placebo infiniment, il s'est donc avéré que je n'avais bu qu'un demi-verre de vin avant de vivre cette situation. Moi qui d'ordinaire, avant les cours, on n'en boit jamais. J'ai également vécu dans mon passé des petites phases, très dépressives, les lendemains de soirée, et le pire, c'est qu'en rebuvant, ça allait mieux, jusqu'à ce que ça soit encore pire après. Si ça c'est pas une drogue horrible, mais alors qu'est-ce que c'est ? Et déjà, depuis tout petit, j'ai vécu les ravages de l'alcool, car ayant déjà vu en bas âge un adulte pleurer devant mes yeux. Et je me rappelle, vous imaginez 30 ans plus tard. Voilà, et je souhaite de tout cœur que cette personne s'en soit sortie. Fort de toutes ces constatations, j'ai donc décidé de vivre une vie avec moins d'angoisse, ou pas si profonde du moins, car ayant décidé de ne plus boire du tout. Puis maintenant, fini l'an indiscutible, Difficile. Chers lecteurs, je vous invite donc vraiment à faire de même si vous consommez, que notre consommation soit très faible ou plus importante, sortons-nous de tout un tas de tourments émotionnels qui n'ont rien de normal, qu'ils soient petits ou grands. L'alcool ne mérite pas qu'on nous autorise ne serait-ce qu'un instant de contrôle sur nous-mêmes. Déjouons ce piège de notre société ou du monde pêcheur pour les croyants. Pour de bon, offrons-nous une vie meilleure, quitte à aller à l'encontre des conventions sociales. Puis encore, on n'en a qu'un. Alors, qui nous permettent davantage d'aller vers l'idéal. Et donc, pour les croyants qui deviennent un sanctuaire plus propre afin que l'éternel ait plus envie de s'inviter davantage en nous. Alors, mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il faut déjà commencer par se persuader que cela semble pas bon pour nous, en comparant objectivement nos réactions, avec ou sans alcool, face à des situations similaires comme les bouchons, une bêtise enfantine, un oubli, une contrariété. De là, il y aura peut-être déjà davantage d'envie d'arrêter. Cela, après, est malheureusement valable uniquement pour ceux ayant une faible dépendance. Pour ceux qui sont très addicts, les idées ci-dessous seront tout de même valables. Par la suite, il est aussi bon, je pense, de se faire une liste de raisons pour lesquelles on fait cela et de la garder toujours sur soi. On pourra la sortir si la tentation se présente. Exemple de bonne raison ? La santé, bien évidemment. Le budget, on pourrait faire des cadeaux sympas à des gens qu'on aime, mieux manger, voilà. Les expériences test que j'ai parlé juste avant, qui ont permis de prendre conscience de l'impact de l'alcool sur notre vie. Le contrôle de soi. C'est moins de souffrance pour nous et pour les autres, et c'est donc une vie meilleure. Il est en plus possible de rechercher toutes les conséquences néfastes de la consommation d'alcool, et tous les bienfaits qu'il y a à y gagner si on arrête, et après, hop, sur la liste qu'on garde sur nous. D'ici tant, je le répète, de se conscientiser là aussi au maximum face à la nécessité de cette décision. La volonté et les axes en seront d'autant plus forts. Regardez des témoignages vidéo d'anciens gros consommateurs. Cela peut aussi faire prendre davantage conscience de l'importance d'arrêter ou alors aller à des réunions avec des gens consommant aussi et qui vous aident et qui veulent aussi que vous en sortiez. Je dirais aussi, essayez autant que possible, au moins durant le sauvage, de ne pas ou peu fréquenter des gens qui boivent et boire plus d'eau. Et si les moments de convivialité manquent, ce qui aurait pu être mon cas, il est par exemple possible de prendre des bières sans alcool ou autres et profiter davantage de l'ambiance, de la musique. Et surtout, ne pas utiliser l'alcool pour fuir les problèmes. Au contraire, il aggrave tout, car j'ai constaté qu'il réduit notre volonté. J'avais beaucoup plus de mal à m'arrêter de fumer quand je buvais. Voilà. Et donc, il nous enfonce encore plus, finalement. C'est un cercle vicieux. Puis, quand l'arrêt sera effectif, l'estime de soi sera dopée. Et ce sentiment-là, comme je l'ai déjà dit, il pousse vraiment en avant, vers l'idéal bien sûr. Autre point important maintenant, le cannabis. Très répandu chez les jeunes français, moins addictif que d'autres drogues, et souvent vanté comme quelque chose de cool, le cannabis en reste pas moins dangereux. Pour cause, les conséquences psychologiques peuvent s'avérer désastreuses. Une fois n'est pas coutume, voici. mon témoignage. Je n'ai jamais fumé régulièrement de cannabis, mais il m'est arrivé d'en consommer de manière récréative, ce qui m'a déjà permis de constater de graves conséquences. Après plusieurs années de consommation festive, j'ai remarqué que je commençais à devenir paranoïaque. En soirée chez moi avec de très bons potes, sous emprise, je pensais qu'on parlait mal de moi. Que tout le monde parlait mal de moi. Vous imaginez le truc quoi ? En même temps. Et là, ça a été un grand déplique pour arrêter. Le cannabis peut rendre fou, sans compter une fois une hallucination visuelle. Il est également connu pour déclencher des hallucinations auditives, irréversibles d'ailleurs, qui peuvent être très dangereuses, car ces voix peuvent insulter, dévaloriser ou bien trop encenser. Voilà, on a l'impression qu'elles viennent de la tête. On ne sait pas trop d'où elles viennent en fait, c'est assez bizarre comme sensation. Donc dans tous les cas, le cannabis... ne rend pas service bien au contraire. Au passage, sans thérapie personnelle ou sans l'affaire avec quelqu'un, entendre des voix, cela peut aller très loin. Des gens peuvent aller jusqu'à tuer en fonction de ce qu'on leur dit, d'ailleurs comme ce jeune collégien de Saint-Jean-de-Luz. Vous pouvez aller le regarder si vous voulez. Bien qu'aussi, il faut bien le noter, il y a aussi des gens sains qui entendent aussi des voix. Une vie bien équilibrée, à mon sens, ne peut pas se faire avec du cannabis. Et quand bien même on n'y soit pas très réceptif, les conséquences peuvent arriver soudainement. Donc sans qu'on y prenne garde. D'autre part, dans une étude clinique, 76% des sujets dépendants au cannabis rapportaient des troubles de la mémoire et 70% des troubles de l'attention liés à leur consommation. Alors pour le bien de soi et des autres, il est mieux que nous arrêtons tout cela. Car même s'il a des propriétés médicinales, les risques peuvent être beaucoup trop graves pour risquer de le consommer et donc de se soigner avec. Voici quelques astuces pour arrêter. Si le cannabis est utilisé pour des douleurs ou des insomnies, il est bon, je pense, de trouver d'autres solutions pour cela. Il peut être intéressant de regarder du côté des huiles essentielles, pour les douleurs et pour les insomnies. Se trouver une autre huile essentielle, donc une bonne tisane, une musique d'ambiance, un bain chaud. Si c'est une addiction, peut-être qu'en passant par la CBD en cigarette électronique, même si ce n'est pas parfait, il sera plus facile d'arrêter. Dans tous les cas, et même si aucune addiction n'est présente, exemple usage récréatif alors il faut juste se motiver et se faire sa petite liste à garder sur soi contenant les raisons d'arrêter risque de perte de mémoire de troubles de l'attention budget, risque de psychose, donc de perte de la réalité, perte de motivation aussi. Pareil que l'alcool d'ailleurs. Pour les autres drogues, comme je vous l'ai déjà dit, faites en sorte de produire de la dopamine, autrement donc de manière plus saine, comme la musique et le sport, en visant l'équilibre de la pratique et en diminuant progressivement les doses de la drogue. Les témoignages poignants aussi, ça fait quelque chose. Alors allez voir des vidéos. Rejoignez des cercles. C'est motivant aussi de savoir que d'autres personnes ont envie qu'on arrête. Je vous conseille également un film qui a l'air superbe en bande-annonce contenant les addictions et qui s'intitule Les Jours Meilleurs. Mais peut-être sera-t-il déjà sorti en fonction de votre jour d'écoute de cet épisode. Écoutez également le podcast sur la plateforme YouPray, Y-O-U-P-R-A-Y, de Laurent Gay. Laurent, comme le prénom, Gay, G-A-Y, sur les addictions. Quel incroyable contenu là aussi. Ou peut-être pourrez-vous trouver son podcast ailleurs. Voilà donc, cet épisode est terminé. Je vous remercie pour votre écoute attentive. Et je vous souhaite des lendemains toujours meilleurs. Au plaisir !

Description

Bonjour et bienvenue dans un épisode essentiel du podcast Pour vivre une vie meilleure 🌱


Dans cet épisode sincère et introspectif, je te partage un témoignage fort autour des addictions les plus répandues : tabac, alcool, cannabis. Qu’il s’agisse d’une consommation sociale, récréative ou un refuge émotionnel, ces substances modifient notre cerveau, nourrissent l’ego, augmentent le stress, affaiblissent notre volonté, et nous éloignent de notre paix intérieure.


À partir de mon propre vécu, je te propose :


  • une réflexion profonde sur le mécanisme des addictions,

  • des clés concrètes pour se libérer naturellement du tabac, de l’alcool ou du cannabis,

  • des pistes alternatives pour retrouver l’équilibre (musique, sport, foi, introspection),

  • une vision renouvelée de la dopamine, de l’ego et du cheminement intérieur vers un idéal de sagesse et de liberté.


Ce contenu s’adresse à tous ceux qui veulent vivre plus librement, avec lucidité, douceur et amour de soi, qu’ils soient concernés directement ou non par l’addiction.


🎧 Bonne écoute à toi, avec cœur et discernement 🙏


🙏 Ce podcast est 100 % bénévole, sans publicité. Il partage des clés durables pour le développement personnel, la confiance en soi authentique, l’amour de soi, la paix intérieure et la quête de sens. Il ne prétend pas détenir la vérité absolue, mais il est une invitation à expérimenter la sagesse au quotidien.


🎧 Playlist :

📬 Contact : hjddjf70@gmail.com

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Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Bonjour à tous chers auditeurs, merci de me prêter votre oreille attentive sur ce nouveau sujet, ce nouvel épisode concernant les substances particulièrement addictives, donc évidemment les drogues. On va aussi parler donc de l'alcool et de la cigarette. Et tout cela est souvent, à mon sens, consommé sous... soit pour une volonté de refuge, donc pour fuir une réalité, notamment, par normes sociales, donc dans un contexte notamment culturel, dans une dynamique de groupe, par exemple, ou de manière tout simplement récréative. Dans tous les cas... toutes ces substances font sécréter au corps ce qu'on appelle la dopamine, qui est une hormone qui rend addict. Et donc, pour compenser cette sécrétion d'hormones, il est possible de s'intéresser à la musique, donc pourquoi pas chanter, faire un instrument ou non, on écoutait tout simplement, et de faire du sport. Ce sont des manières plus saines. de prendre aussi du plaisir, bien qu'il faille évidemment être dans l'équilibre de la pratique, car sinon on peut vite placer une addiction par une autre. Si la substance est à usage récréatif, je comprends que cela aide à s'amuser, mais il est aussi possible de s'amuser en soirée, en développant une grande sensibilité musicale, et ensuite on a envie de bouger, de danser, d'être dans un bain immersif. On peut aussi développer un sens de l'humour assez universel et qualitatif, pour mettre plus de joie dans les soirées, ou aussi développer le sens de l'écoute, l'empathie, sans toutefois se faire envahir. Ainsi, on évite les lendemains difficiles. On ne fleure pas avec l'addiction ou au moins on préserve le maximum de sa santé. Ne recherchons pas non plus à consommer pour avoir l'approbation des autres. Ceux qui nous aiment, nous aiment vraiment pour ce que l'on est. Et ne cherchons pas à fuir sans cesse certaines choses dans les substances. Si vous êtes dans ce cas, dites-vous « Ok, j'ai pris des substances, mais cela ne fait pas de moi quelqu'un de détestable. J'ai un cœur. » Et à tout moment, je peux décider d'affronter mes problèmes pour être une meilleure version de moi-même. Car je vous promets qu'arrêter les drogues, l'alcool, la cigarette, c'est une des plus belles expériences qui soit, au final. Car la victoire est tellement incroyable, avec un si gros combat, que la force que l'on gagne en nous pour changer est également considérable. Donc, oui, la souffrance sera là dans ce qu'on a à traverser, mais le gain en vaut tellement la peine pour préparer un meilleur avenir. Cependant... Cette force doit être mise au service d'un idéal le plus objectif qui soit, pour devenir vraiment meilleur. Donc, au service d'un idéal de sagesse, d'amour, de paix, bien qu'on doit se faire la guerre nous-mêmes dans cette histoire. Donc devenir son propre idéal afin de se confondre de plus en plus avec l'idéal que l'on vise. Bien sûr, des fois on peut se tromper dans ce que l'on vise, mais y réfléchir dans ce cas, à tête reposée. Je conseille à l'écrit, c'est moins envahissant, et ainsi avoir une vision de l'idéal toujours plus juste. grâce à cette sagesse que nous apporte la vie. Les émotions sont d'ailleurs de véritables indicateurs, ceux-là, et nos souffrances aussi. Alors cherchons à comprendre si nous le pouvons et rectifions le tir ou sinon, lâchons prise et essayons de vivre avec en attendant ou prions pour les croyants. Ayons donc pour projet de s'aimer toujours davantage et donc de pouvoir aimer aussi davantage. Et orienter les autres sans forcing à davantage s'aimer et donc à davantage aimer aussi les autres. Ainsi, notre vision de l'idéal doit toujours s'améliorer en ayant une volonté à toute épreuve pour que vérité se fasse en nous. Voici quelques idées de contenus qui m'ont beaucoup aidé. Il est possible de regarder des films de vie de saints sur la plateforme Sagesse Agir. Même pour les non-croyants, il y a quand même des valeurs fondamentales de sagesse dans ces personnages. De consulter les paroles des grands sages reconnus, comme Platon, Socrate, mais aussi Saint Thomas d'Aquin. Papus, Jacques Breillère qui a bien amélioré ma lucidité aussi, Blaise Pascal, Pierre Teilhard de Chardin, et donc vous le connaissez celui-là, Jésus. Vous pouvez aussi aller sur ma playlist que j'ai créée il y a un petit moment sur youtube, vous tapez musique au pluriel avec du sens, donc musique avec un S avec du sens. Il y a environ 90 titres, voilà donc ça peut est une manière de finalement faire passer des idées. Et enfin, faites des espaces concrets. Je peux vous dire que ressentant maintenant l'idéal qui m'aide à toujours aller mieux, je sais vraiment pourquoi chaque jour je me lève. Donc, pour me rapprocher de l'idéal, qui peut aussi être si concret comme il fait aussi battre mon cœur. Ainsi, je vous invite à penser fort à cet idéal, lui exprimer intérieurement votre amour et lui demander de se manifester. Il y a le témoignage d'une enfant de 15 ans qui a fait ça, et cela finit vraiment par fonctionner. Il est aussi possible d'écouter le témoignage de ceux qui ont la foi au creux du bide. Que ressentent-ils ? Que vivent-ils ? Qu'est-ce qui se passe dans leur vie ? Je peux d'ailleurs témoigner, si tu m'écris au mail que j'ai mis dans le descriptif de cet épisode. Je te garantis qu'avoir un idéal que tu sais vivre, qui arrive à faire battre ton cœur, c'est quand même quelque chose. Ça donne encore plus de motivation à aller vers celui-ci. Alors pourquoi je vous dis tout ça ? Parce que bon, c'est quand même censé parler d'addiction cet épisode. C'est parce qu'en fait on a tendance à combler le vide intérieur que devrait prendre l'idéal par tout un tas de trucs qui nous rendent accro. Et les substances en font partie. Vous savez, ce personnage illusoire qu'est l'ego se nourrit de tout cela, donc des choses basses, voilà. Et donc il faut se séparer de cela, et donc rejoindre l'idéal. Alors qu'on peut vraiment avoir aussi une conviction d'atteindre ce sommet, et c'est là une force qui peut devenir très puissante. Si on a juste sans cesse notre vision de l'idéal, qu'on renforce notre lien avec lui en faisant des expériences pour le ressentir concrètement. Beaucoup de croyants pourront d'ailleurs témoigner comment leur foi les a aimés. Ainsi, en plus de ce but à atteindre par nos efforts, pour arrêter tout cela, je conseille fortement de commencer à se diriger vers la musique, le sport dans l'équilibre. Mais aussi, pour ceux qui veulent arrêter, vous pouvez regarder des témoignages des anciens addicts et les clés qu'ils ont trouvées pour s'en sortir. Ce podcast étant long, chers auditeurs, je vais vous donner quand même quelques repères temporels. Je parle du tabac jusqu'à environ 11 minutes 3 à 4 secondes. Puis ensuite de l'alcool jusqu'à environ 16 minutes 30. Et ensuite je parle du cannabis jusqu'à environ 19 minutes 30. Et à partir de là je conclue sur les autres drogues et aussi sur l'épisode en entier. approfondissons maintenant le sujet du tabac le tabac tabac t virgule a b a t c'est même marqué dedans mais pour autant je ne juge aucun fumeur pour l'avoir été je peux pour autant vous dire qu'il manquait davantage en fait le tabac nous fait croire qu'il nous détend mais c'est le contraire en fumant régulièrement notre niveau de stress global augmente et nous soulage ponctuellement lorsque l'on fume du stress qui l'a lui-même engendré une vraie horreur Et les conséquences du stress sont terribles problèmes de sommeil et donc de santé mentale, car si on dort moins bien, psychiquement ça va moins bien, problèmes cardiovasculaires, etc. Voilà encore une substance dans laquelle le mal est présent, et je ne vous parle pas de la composition, notamment avec des composés radioactifs. Encore, un grand piège parmi tant d'autres de notre monde très dangereux. Donc soyons toujours vigilants. Fort de cette petite introduction, je souhaiterais maintenant partager mon témoignage d'ancien fumeur. Si cela peut aider certaines personnes à davantage prendre conscience de ce fardeau. Voici donc mon témoignage. Lorsque j'étais fumeur, pour les raisons invoquées juste avant, j'étais beaucoup plus stressé pour des choses qui, à l'heure d'aujourd'hui, ne sembleraient pas si graves que ça. Je passais donc des journées globalement plus pourries, il faut bien le dire, et je ne vous parle même pas du nombre de fois que je toussais. De surcroît, j'ai également perdu mon père d'un cancer de la gorge vu à la consommation excessive et habituelle d'alcool et de tabac. Un papa, qui à la base faisait environ 70 kilos, et qui sous chimiothérapie n'en faisait plus qu'environ 30. C'est très choquant. Imaginez comment étaient les personnes avec un cancer. Si on n'allait pas voir, s'il vous plaît, c'est horrible. Donc sur nos livres d'histoire, c'était à peu près ça pour nos pères. Et aucune personne ayant une dépendance avec l'alcool ou le tabac n'est à l'abri de se retrouver dans cette situation. Le cancer peut tomber à tout moment. Et là, c'est beaucoup de souffrance pour la personne, mais aussi pour ses proches de cœur. Ayant donc pas mal souffert de tout cela, C'est en partie pourquoi j'ai arrêté l'alcool et le tabac. Car en plus d'être globalement moins stressé et plus serein pour mon avenir, j'étais surtout content de retrouver de l'endurance physique et de pouvoir sentir les bonnes odeurs des restaurants, de la cuisine familiale. Enfin, je me suis rendu compte que je pouvais vraiment me changer et devenir qui je voulais être. Car une si grande victoire sur des substances très addictives comme le tabac ou l'alcool Ça fait décoller fortement la confiance en soi. qu'on doit mettre au service de l'idéal, bien entendu. C'est pourquoi je recommande vivement à ceux étant sous l'emprise d'une ou moins de ces deux drogues, de mener le combat sans relâche, je le répète, la volonté qu'il y aura ensuite pour changer d'autre chose sera d'autant plus forte. Voici maintenant mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il est bon de garder une liste de raisons d'arrêter le tabac sur soi. Il faut conscientiser à fond le pourquoi de l'arrêt, pour avoir ensuite encore plus de volonté et de courage. pour arrêter, mais aussi il est possible de faire une sensibilisation avec les anciens gros consommateurs. Un cercle d'entraide avec les fumeurs, ça peut aider aussi, parce qu'on se sent soutenu par les autres aussi, et voilà, on est ensemble. Éviter aussi les fumeurs pendant le sevrage, dans la mesure du possible, ou prendre aussi un substitut sain, sans nicotine, ça peut aider. Ne pas vouloir fumer pour aller mieux, évidemment, car cela stresse encore davantage. D'autre part, je ne dis pas que c'est le parcours parfait, mais j'ai personnellement aussi réussi à arrêter en passant progressivement à la cigarette électronique. Puis ensuite, j'ai diminué les grammes de nicotine dans cette cigarette électronique, puis j'ai arrêté la cigarette électronique. Je me suis mis au chewing-gum menthe forte, car en fait, je n'arrivais pas à fumer avec le goût de la menthe dans la bouche. Voilà. J'ai fait cela sur un peu moins d'un an. Ainsi, vous pouvez aller voir... La méthode simple pour en finir avec la cigarette d'Alencar. Car c'est un livre auquel on m'a donné un beau témoignage et les avis confirment cette impression. Passons maintenant à l'alcool et je vous raconterai ensuite mon témoignage. L'alcool, voici quelque chose de bien ancré dans beaucoup d'habitudes familiales, amicales, conjugales, professionnelles. même solitaire, donc dans notre société, de manière générale. Et pourtant, je peux vous dire que c'est quelque chose augmentant fortement l'anxiété, même déjà à faible dose. D'une manière générale, il est connu qu'il intensifie toutes nos émotions. Dit d'une autre manière, on devient, d'une manière relative évidemment, plus ou moins un ou une déséquilibre émotionnel en fonction de ce que l'on consomme. Donc il ne faut pas hésiter à sortir des sentiers battus, surtout pour une substance qui engendre, selon mon expérience, plus ou moins de souffrance, quelle que soit la quantité. Mais il y en a quand même toujours un minimum de la souffrance. Merci donc d'avance de prendre très au sérieux ce que je pense de tout cela, et faites vos expériences si le cœur vous en dit. Voici maintenant mon témoignage très sincère. J'attendais qu'une mère de famille arrive chez elle pour pouvoir donner des cours à son enfant. Elle tardait un peu. Plutôt que de relativiser comme j'y arrive systématiquement dans ce genre de situation, je me suis mis à angoisser. J'ai ressenti quelque chose de très désagréable et profond que je n'avais pas vécu depuis longtemps. Après réflexion, car l'idée ne m'est pas venue tout de suite, donc aucun effet placebo infiniment, il s'est donc avéré que je n'avais bu qu'un demi-verre de vin avant de vivre cette situation. Moi qui d'ordinaire, avant les cours, on n'en boit jamais. J'ai également vécu dans mon passé des petites phases, très dépressives, les lendemains de soirée, et le pire, c'est qu'en rebuvant, ça allait mieux, jusqu'à ce que ça soit encore pire après. Si ça c'est pas une drogue horrible, mais alors qu'est-ce que c'est ? Et déjà, depuis tout petit, j'ai vécu les ravages de l'alcool, car ayant déjà vu en bas âge un adulte pleurer devant mes yeux. Et je me rappelle, vous imaginez 30 ans plus tard. Voilà, et je souhaite de tout cœur que cette personne s'en soit sortie. Fort de toutes ces constatations, j'ai donc décidé de vivre une vie avec moins d'angoisse, ou pas si profonde du moins, car ayant décidé de ne plus boire du tout. Puis maintenant, fini l'an indiscutible, Difficile. Chers lecteurs, je vous invite donc vraiment à faire de même si vous consommez, que notre consommation soit très faible ou plus importante, sortons-nous de tout un tas de tourments émotionnels qui n'ont rien de normal, qu'ils soient petits ou grands. L'alcool ne mérite pas qu'on nous autorise ne serait-ce qu'un instant de contrôle sur nous-mêmes. Déjouons ce piège de notre société ou du monde pêcheur pour les croyants. Pour de bon, offrons-nous une vie meilleure, quitte à aller à l'encontre des conventions sociales. Puis encore, on n'en a qu'un. Alors, qui nous permettent davantage d'aller vers l'idéal. Et donc, pour les croyants qui deviennent un sanctuaire plus propre afin que l'éternel ait plus envie de s'inviter davantage en nous. Alors, mes astuces pour arrêter. Je dirais qu'il faut déjà commencer par se persuader que cela semble pas bon pour nous, en comparant objectivement nos réactions, avec ou sans alcool, face à des situations similaires comme les bouchons, une bêtise enfantine, un oubli, une contrariété. De là, il y aura peut-être déjà davantage d'envie d'arrêter. Cela, après, est malheureusement valable uniquement pour ceux ayant une faible dépendance. Pour ceux qui sont très addicts, les idées ci-dessous seront tout de même valables. Par la suite, il est aussi bon, je pense, de se faire une liste de raisons pour lesquelles on fait cela et de la garder toujours sur soi. On pourra la sortir si la tentation se présente. Exemple de bonne raison ? La santé, bien évidemment. Le budget, on pourrait faire des cadeaux sympas à des gens qu'on aime, mieux manger, voilà. Les expériences test que j'ai parlé juste avant, qui ont permis de prendre conscience de l'impact de l'alcool sur notre vie. Le contrôle de soi. C'est moins de souffrance pour nous et pour les autres, et c'est donc une vie meilleure. Il est en plus possible de rechercher toutes les conséquences néfastes de la consommation d'alcool, et tous les bienfaits qu'il y a à y gagner si on arrête, et après, hop, sur la liste qu'on garde sur nous. D'ici tant, je le répète, de se conscientiser là aussi au maximum face à la nécessité de cette décision. La volonté et les axes en seront d'autant plus forts. Regardez des témoignages vidéo d'anciens gros consommateurs. Cela peut aussi faire prendre davantage conscience de l'importance d'arrêter ou alors aller à des réunions avec des gens consommant aussi et qui vous aident et qui veulent aussi que vous en sortiez. Je dirais aussi, essayez autant que possible, au moins durant le sauvage, de ne pas ou peu fréquenter des gens qui boivent et boire plus d'eau. Et si les moments de convivialité manquent, ce qui aurait pu être mon cas, il est par exemple possible de prendre des bières sans alcool ou autres et profiter davantage de l'ambiance, de la musique. Et surtout, ne pas utiliser l'alcool pour fuir les problèmes. Au contraire, il aggrave tout, car j'ai constaté qu'il réduit notre volonté. J'avais beaucoup plus de mal à m'arrêter de fumer quand je buvais. Voilà. Et donc, il nous enfonce encore plus, finalement. C'est un cercle vicieux. Puis, quand l'arrêt sera effectif, l'estime de soi sera dopée. Et ce sentiment-là, comme je l'ai déjà dit, il pousse vraiment en avant, vers l'idéal bien sûr. Autre point important maintenant, le cannabis. Très répandu chez les jeunes français, moins addictif que d'autres drogues, et souvent vanté comme quelque chose de cool, le cannabis en reste pas moins dangereux. Pour cause, les conséquences psychologiques peuvent s'avérer désastreuses. Une fois n'est pas coutume, voici. mon témoignage. Je n'ai jamais fumé régulièrement de cannabis, mais il m'est arrivé d'en consommer de manière récréative, ce qui m'a déjà permis de constater de graves conséquences. Après plusieurs années de consommation festive, j'ai remarqué que je commençais à devenir paranoïaque. En soirée chez moi avec de très bons potes, sous emprise, je pensais qu'on parlait mal de moi. Que tout le monde parlait mal de moi. Vous imaginez le truc quoi ? En même temps. Et là, ça a été un grand déplique pour arrêter. Le cannabis peut rendre fou, sans compter une fois une hallucination visuelle. Il est également connu pour déclencher des hallucinations auditives, irréversibles d'ailleurs, qui peuvent être très dangereuses, car ces voix peuvent insulter, dévaloriser ou bien trop encenser. Voilà, on a l'impression qu'elles viennent de la tête. On ne sait pas trop d'où elles viennent en fait, c'est assez bizarre comme sensation. Donc dans tous les cas, le cannabis... ne rend pas service bien au contraire. Au passage, sans thérapie personnelle ou sans l'affaire avec quelqu'un, entendre des voix, cela peut aller très loin. Des gens peuvent aller jusqu'à tuer en fonction de ce qu'on leur dit, d'ailleurs comme ce jeune collégien de Saint-Jean-de-Luz. Vous pouvez aller le regarder si vous voulez. Bien qu'aussi, il faut bien le noter, il y a aussi des gens sains qui entendent aussi des voix. Une vie bien équilibrée, à mon sens, ne peut pas se faire avec du cannabis. Et quand bien même on n'y soit pas très réceptif, les conséquences peuvent arriver soudainement. Donc sans qu'on y prenne garde. D'autre part, dans une étude clinique, 76% des sujets dépendants au cannabis rapportaient des troubles de la mémoire et 70% des troubles de l'attention liés à leur consommation. Alors pour le bien de soi et des autres, il est mieux que nous arrêtons tout cela. Car même s'il a des propriétés médicinales, les risques peuvent être beaucoup trop graves pour risquer de le consommer et donc de se soigner avec. Voici quelques astuces pour arrêter. Si le cannabis est utilisé pour des douleurs ou des insomnies, il est bon, je pense, de trouver d'autres solutions pour cela. Il peut être intéressant de regarder du côté des huiles essentielles, pour les douleurs et pour les insomnies. Se trouver une autre huile essentielle, donc une bonne tisane, une musique d'ambiance, un bain chaud. Si c'est une addiction, peut-être qu'en passant par la CBD en cigarette électronique, même si ce n'est pas parfait, il sera plus facile d'arrêter. Dans tous les cas, et même si aucune addiction n'est présente, exemple usage récréatif alors il faut juste se motiver et se faire sa petite liste à garder sur soi contenant les raisons d'arrêter risque de perte de mémoire de troubles de l'attention budget, risque de psychose, donc de perte de la réalité, perte de motivation aussi. Pareil que l'alcool d'ailleurs. Pour les autres drogues, comme je vous l'ai déjà dit, faites en sorte de produire de la dopamine, autrement donc de manière plus saine, comme la musique et le sport, en visant l'équilibre de la pratique et en diminuant progressivement les doses de la drogue. Les témoignages poignants aussi, ça fait quelque chose. Alors allez voir des vidéos. Rejoignez des cercles. C'est motivant aussi de savoir que d'autres personnes ont envie qu'on arrête. Je vous conseille également un film qui a l'air superbe en bande-annonce contenant les addictions et qui s'intitule Les Jours Meilleurs. Mais peut-être sera-t-il déjà sorti en fonction de votre jour d'écoute de cet épisode. Écoutez également le podcast sur la plateforme YouPray, Y-O-U-P-R-A-Y, de Laurent Gay. Laurent, comme le prénom, Gay, G-A-Y, sur les addictions. Quel incroyable contenu là aussi. Ou peut-être pourrez-vous trouver son podcast ailleurs. Voilà donc, cet épisode est terminé. Je vous remercie pour votre écoute attentive. Et je vous souhaite des lendemains toujours meilleurs. Au plaisir !

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