Speaker #0Bonjour à tous, chers auditeurs, merci de votre écoute sur ce nouveau podcast. qui va consister à vous donner quelques clés que j'ai trouvées pour avoir un meilleur caractère. Je ne prétends pas avoir le meilleur caractère du monde, mais j'ai vraiment envie de vous transmettre ce que je pense juste. J'espère que cela va vous être utile. Tout d'abord, nous avons tous dans notre caractère des rectifications à faire, évidemment. Et c'est très bien d'en prendre conscience, car déjà on ne se prend pas pour quelqu'un de parfait, mais aussi on a déjà moins d'attente envers les autres. L'essentiel n'est-il pas de faire de son mieux ? Ce mieux qui peut changer en fonction de notre état de fatigue, des événements, des autres, et j'en passe. Donc cela va de soi, mais ne rentrons donc pas dans la méchanceté avec nous-mêmes ou avec les autres. Sachons en fait repérer quand cette méchanceté commence à apparaître en nous. Que cela soit une pensée dans notre imagination, dans nos paroles, dans nos actes, notons cet état de fait quelque part et repensons-y à tête reposée pour chercher à comprendre pourquoi cela s'est présenté. Je précise que, je vous donne quelques pistes, l'abus de certaines substances, le mensonge envers nous-mêmes ou les autres, les contenus, situations, circonstances ou personnes toxiques, la réalisation de certaines pratiques attisant les instincts, voire l'attachement à des choses matérielles, superficielles, l'attachement à son égo, peuvent nous rendre plus méchants. Du moins, c'est ce que j'ai constaté. De même que la méchanceté appelle la méchanceté, le mal nous attire toujours plus vers le mal. C'est une spirale infernale qui peut se mettre en place, le tout est de la repérer et de ne pas rentrer dedans. Qu'elle trouve son origine en nous ou en dehors de nous. Ainsi, mon podcast a en partie pour objectif de dépister ces sources qui peuvent provoquer ces débuts de spirale toxique. Je pense que la vie est bien trop précieuse, si vous voulez, pour perdre du temps là-dedans. Voilà. C'est pour ça aussi que je fais ce podcast. Pour les croyants, considérez que cela est le mal qui veut s'infiltrer, qu'il faut donc le combattre en trouvant la vérité du problème et en s'y appliquant ensuite. Vous ne le comprenez pas, demandez au ciel d'être inspiré, l'Esprit Saint. Et pour tous mes auditeurs, sachez qu'il y aura toujours de grandes références de sagesse, comme le fameux « et si » de Rudyard Kipling, les vers dorés de Pythagore, mais vous pouvez aussi aller jeter un coup d'œil sur l'onglet « citations du jour » du site ergonia.fr. Voilà tout un tas de phrases que je trouve sur ce site plein de lucidité. Pour autant, dans cet épisode, je vais vous proposer ce que je pense de certains traits de caractère, sans pour autant ne jamais juger. Je sais que c'est très difficile de sortir du noir, et je ne prétends pas non plus en être totalement sorte. C'est très long. Il faut comprendre encore et toujours que c'est notre ego, ce personnage illusoire qui veut triompher jusqu'à imprégner notre caractère, et ainsi s'exprimer en nous, et nous faire souffrir éventuellement, nous prendre à partie pour aussi faire souffrir les autres. Mais comme il est illusoire, il y a donc toujours possibilité de s'en sortir en ne faisant que chercher la vérité en nous-mêmes, et en l'appliquant ensuite, et ainsi on le désarme progressivement. Il faut être très patient, persévérant, indulgent avec nous-mêmes, car c'est très long. Mais la vie est tellement plus légère ensuite. Il ne faut jamais cesser d'avancer, si vous voulez, parce que c'est pour l'estime de soi. Dès qu'on commence à ne plus avancer, on... on piétine et là on peut perdre confiance et on peut retomber dans une spirale à la fin. Vous voyez un peu le truc ? Donc toujours y aller, ne rien lâcher. Donc premier point. Par exemple, ne voulons pas avoir toujours raison. Je sais que dans le fond, c'est une envie profonde d'être dans la vérité qui nous pousse à cela. Pour autant, accepter avoir tort en toute humilité devant qui que ce soit est une vraie preuve de noblesse. Une vraie preuve de grandeur d'âme qu'on ne pourra jamais nous enlever si on en fait preuve. Apprenons des autres, remercions et avançons. Ne tirons pas de supériorité d'avoir appris quelque chose. Peut-être bien que la personne qu'on a en face pourrait nous apprendre beaucoup aussi. Point suivant. Je précise que cet épisode est fait par points, donc tu pourras arrêter quand tu veux, si tu trouves ça trop long, si tu veux reprendre plus tard. Voilà. Point suivant. D'une manière générale, ne nous mettons pas en avant. C'est inutile. La vie elle-même met en avant ce qui est beau, regardez autour de vous dans la nature, ce qui est juste. Et donc, nous-mêmes aussi, je le crois, nous sommes mis en avant si vraiment nous faisons des choses magnifiques, des œuvres magnifiques. Nous avons l'illustration de personnages incroyables dans l'humanité, d'ailleurs. Donc, nul besoin par notre égo de vouloir briller. D'ailleurs, les grandes vérités restent secrètes, hermétiques. car notamment, elles n'ont nul besoin de se montrer. Elles n'ont rien à prouver. Donc je pense qu'il faut que nous soyons discrets, faisons le bien, non pas pour briller devant nos semblables, mais parce que le bien est une éthique pour nous, parce que nous l'aimons. On est en cohérence avec nos valeurs, et c'est aussi comme ça qu'on s'aime. Puis nous voulons montrer l'exemple, pour que par imitation, nos semblables fassent de même. Et ainsi, les gens seront aussi plus gentils avec nous. En tout cas, je l'ai remarqué personnel. Donc pas besoin de se montrer choquant, provoquant, violent pour se sentir exister, car ces agissements nous feront entrer dans la vie des autres que sur un court laps de temps, alors que l'amour qui nous anime, lui, nous assure de superbes relations humaines, plus fiables, plus vraies. Et je remercie au passage les superbes personnes de mon entourage de l'amour qu'elles me donnent. Merci. Donc pour revenir au sujet, prenons conscience que nous attirons les gens qui nous ressemblent bien souvent. Et donc si nous voulons des relations vraies et authentiques, donc loin du spectaculaire, de l'instinctif, de la domination, alors il faut conserver à cultiver les bonnes valeurs. Donc troisième point, ne trompons pas. Soyons sincères, lorsque quelque chose cloche, discutons pour discerner le problème et trouver la vérité ensemble. Que ce soit en couple, avec des amis, ou en famille, avec qui que ce soit, et ne jugeons pas. Ne prenons pas à cœur le jugement des autres non plus. Prenons-le en compte, oui, pour plus tard. Et examinons-le avec notre conscience. C'est ce qu'on nous a fait remarquer judicieux. Mais, voilà, ne nous torturons pas non plus. Ah oui, aussi, n'exigeons pas non plus des autres. À l'exception, évidemment, de l'autorité parandale pour certaines choses, c'est normal. Mais n'exigeons pas non plus des autres, car ils sont libres de leur choix. Notre égo n'a pas à imposer ses règles autour de lui, à mener son diktat. De même, soyons gentils avec nous-mêmes. Bien sûr qu'il ne faut pas être paresseux sans volonté, mais gardons-nous de la culpabilité d'un trop grand niveau d'exigence. Être impatient, voilà une exigence temporelle. Et pourtant, qu'est-ce que cela nous coûte de prévenir si nous sommes en retard ? Nous sommes souvent en retard ? Alors, organisons-nous mieux, pensons notre vie, reprenons un simple pouvoir sur elle. Tu pourras aller voir d'ailleurs l'épisode sur le temps à ce propos. Je recommande pour vaincre l'impatience aussi de s'occuper de discuter avec des gens qui nous entourent. L'impatience grandit en fait car nous focalisons notre conscience dessus. En se concentrant sur les sens, les autres ou d'autres sujets, ça ira mieux ensuite. Il faut donc défocaliser la conscience. Abordons un autre point. En nous posant cette question fondamentale. Il faut que tout le monde, à mon sens, se pose. Comment notre fameux ego aime aussi à s'exprimer ? En se plaignant, car ses exigences ne sont pas assouvis. Mais ne faudrait-il donc pas plutôt revoir ses exigences ? Se contenter de moins tout en faisant de son mieux ? Alors je conçois qu'il peut y avoir des plaintes plus judicieuses. Comme quand cela touche à la santé, l'entourage, à des enfants qui flottent, des besoins essentiels non assouvis. Pour autant, déjà, il faut prendre patience avec son entourage, orienter si on le peut, et couper évidemment si c'est insupportable. Bon, pour les enfants, faire de son mieux. Donc tout va bien. Endurer, toujours expliquer ce qui ne va pas. Et de toute manière, un effort n'est jamais vain. Il y a une souffrance de la solitude ? Allons voir un club, une association par exemple. Prenons un animal de compagnie. Et pas besoin d'être en couple pour être heureux. Et puis, c'est justement en faisant des trucs, en ouvrant des portes de sa vie au monde réel que l'on peut rencontrer. Pour la santé, c'est souvent notre croix. Mais là, encore une fois, il faut endurer. Trouver des solutions pour la retrouver, sinon pourquoi pas prier ou essayer. Il n'y a pas de mauvaise recette pour quelque chose d'aussi important. Sinon, s'adapter au mieux, mais dans tous les cas, quand on la retrouvera, si c'est le cas, on aura d'autant plus de gratitude d'être mieux ensuite. Pareil pour le sommeil, il faut enquêter, se rectifier, le sport est dossi d'ailleurs. Pour bien dormir. Pour les besoins essentiels, va voir mon podcast sur l'argent, enfin l'épisode sur l'argent. Vers la fin, il y a tout un tas de conseils pour mieux s'en sortir. Une fois cela dit, sauf oubli de ma part, il ne reste plus qu'à combattre. Toujours vouloir s'améliorer, ne rien lâcher, ne pas se plaindre, c'est une perte de temps. De même, autre point important, ne nous vengeons pas. Nous allons ensuite garder ce mal que nous avons fait en nous et il va nous ronger. Supportons la justice et montrons que nous sommes forts en restant dans la justice malgré tout. Car de toute manière, nous ne pouvons rien y changer. Mais la justice que l'on continue à prodiguer nous sera retournée aussi et en sera moins mauvais en nous, mettant donc en place cette spirale vertueuse. Ignorer les autres n'est pas non plus une solution. Celui qui a du cœur, qui comprend d'où vient le mal, plaint ceux qui agissent mal. Et essaie quand il le peut de les aider dans l'équilibre. Mais blâmer sans expliquer, à mon avis, c'est mauvais. car notamment cela peut enfermer l'autre dans son mal-être, commence à en sortir sans comprendre. Compliqué, hein ? Donc, surtout que lorsqu'on juge qu'on dénigre quelqu'un, cela pousse aussi à l'autre au mensonge. Que de le plaindre, de comprendre et d'essayer de l'aider, c'est déjà plus aidant, et la personne a plus de chances de s'en sortir. Après, il faut aider autant que possible. Ce que l'on arrive à endurer, bien entendu. Ne soyons pas maso, si on ne peut pas aider quelqu'un parce qu'on n'arrive pas à endurer cette personne, voilà. Et donc n'exerçons aucune forme de domination sur les autres. À part les parents qui par leur rôle doivent exercer une autorité bienveillante sur les parents. Et même le travail est une collaboration. Un patron peut demander de faire ceci ou cela à l'employé, mais l'employé a toujours le droit de refuser et donc de partir. Et je dirais même qu'il faut aller jusqu'à respecter la loi. Car c'est toujours l'ego qui se croit au-dessus des autres, et qui se permet donc de s'affranchir de la loi. Ah bah c'est moi, donc ça va. Voilà, vous voyez ? Alors que la règle, elle est pour tout le monde. On n'est pas au-dessus des autres. Donc en respectant la loi, on réduit l'orgueil, donc l'ego. On devient donc plus humble, on se rapproche de la bonté. Inutile de dire aussi, dans ce énième point, qu'il ne faut manipuler personne, ou même tricher, car c'est évidemment pour servir les intérêts de l'ego. Et nous ne voulons pas lui faire ce plaisir, n'est-ce pas ? Que ce soit pour du fric, une relation, un poste, un bien, un service, ou que sais-je encore. Notre grandeur est bien au-dessus de cela, elle est dans notre cœur, et si elle est cultivée, personne ne pourra nous l'enlever. Je précise que la manipulation peut aussi se traduire par des calculs aux dépens des autres de la société. Certains dissimulent ce qu'ils ressentent pour ne pas nuire aux intérêts qu'ils convoitent. Donc attention à ça. Autre point, guéroyer, cela aussi est vain. Rentrer dans des rapports de force, adopter des tons, gestes ou regards violents, une posture de domination, tout cela nous pourrit intérieurement. Et même si certains prennent plaisir à faire souffrir, tout cela est quand même addictif et nous rend debout. de plus en plus mauvais. Et oui, cela revient à creuser sa propre tombe. Il faut donc apprendre à lâcher prise, ou plutôt à... Vous savez qui ? C'est nécessairement pour gagner en liberté. Voilà. C'est nécessaire, je veux dire, pour gagner en liberté, il faut lâcher prise. Puis pourquoi luttons-nous la plupart du temps ? Malheureusement, c'est souvent pour des choses vaines. Mais c'est pas grave, l'avenir est plein d'espoir. Il y a des faux combats qu'on ne mènera plus. Fallait juste comprendre qu'il ne servait à rien de perdre du temps, de l'argent, de l'énergie pour ceci ou cela. Que dire d'autre qui a évité ? Ne pas dénigrer bien sûr, surtout que l'on connaît jamais complètement les gens, qu'on a déjà du mal à se connaître soi-même. Je trouve personnellement qu'avoir de la compassion, de la commisération est plus noble que de jeter de la main à un homme. de l'acide et de se moquer, ou d'ironiser malveillamment. Et encore une fois, vous me remarquerez que ceux qui font cela en sont prisonniers. Et je ne sais pas vous, mais moi, je l'ai plein en fait. C'est bien triste pour eux. De toute manière, tout comportement mauvais que Que ce soit des pensées, des paroles, des actes, de l'imagination, c'est addictif. Observez autour de vous et vous verrez. Et j'ai envie de dire tant mieux, car cela nous force à changer, si nous avons enfin remarqué nos travers, ce que je souhaite à qui que ce soit vraiment. Je dirais que l'ingratitude est aussi un grand mal. Mais il ne faut pas culpabiliser pour autant, car des fois, il faut que quelque chose ne soit plus là pour prendre conscience de sa valeur. Donc, chaque chose en son temps. L'ingratitude est quelque chose de très présent chez les ados et les jeunes adultes, car il faut manquer, souffrir, il faut vivre. Puis, il faut aussi prendre conscience de ce qui est vraiment précieux. Et plus on prend conscience... Et plus on aura de gratitude envers les autres, envers la planète, envers la vie. Car on prend conscience aussi en se rendant compte que beaucoup de choses du monde en fait sont vanites, superficielles, vides. Donc d'une manière générale, tout ce qui satisfait l'ego. Et ainsi, ce qui reste est tellement magnifique, vrai, donc la nature, la santé, l'amour des semblables, de superbes savoir-faire, de superbes beaux-arts, des idées, des paroles profondes, des actes pleins de valeur. Merci, merci. Aussi, évitons de se faire justice, de crier vengeance. Je sais que c'est très tentant, car l'ego ne demande que ça. Mais... Ce qu'il faut faire, à mon avis, c'est déjà prendre du recul sur la situation, ne pas réagir à chaud. Puis ensuite, essayer de comprendre le comportement du ou des autres. Qu'est-ce qui a amené cette personne à faire cela ? Quelles illusions pourries a-t-elle dans la tête ? Qu'est-ce qui, dans son environnement, n'arrange pas son cas ? N'oublions jamais que comprendre, c'est pardonner. Et si nous ne comprenons pas, abstenons-nous de nous venger et croyons en une justice de la vie. Mais essayons quand même de comprendre au maximum. Cela peut être difficile, mais c'est tellement libérateur. Puis avec un grand recul, est-ce que quelque part cela ne m'aura-t-il pas fait grandir ? On pourrait se dire. Certains croyants d'ailleurs connaissent cette phrase, c'est le fameux « aimez vos amis » . Car il est à mon sens rare que la souffrance n'apporte strictement à rien, quand bien même elle soit engendrée par quelqu'un, un groupe ou le qu'est-ce-j' À moins de revivre toujours la même chose, voire de s'infliger toujours la même chose, mais des fois aussi, il faut bien dire, il faut beaucoup, beaucoup souffrir sur certains points pour enfin comprendre... Bah c'est comme ça. Pourvu qu'on réfléchisse au pourquoi de nos souffrances, et ensuite qu'on fasse les modifications nécessaires pour ne pas payer pour rien. Enfin, en dernier point, je dirais qu'il faut avoir un regard lucide sur nos vies, nos choix qui peuvent nous rendre la vie infernale. Je veux parler de l'entourage bien sûr, mais aussi du métier, des... des collègues de certaines habitudes, voire des activités, des médias, des substances, des idées, paroles, actions, de nous-mêmes, des autres, de notre imaginaire. Se préserver du mal dans tout ça, tout simplement. Se créer une routine de vie. vie plus paisible et aussi s'imposer une grande discipline pour ne pas que le mal entre en nous. C'est une discipline d'amour. Avouons que oui c'est dur, il faut se faire violence, mais voilà comment la vie est tellement meilleure ensuite. Et elle en vaut pas la peine quand même. Et puis qui a le pouvoir de rallonger son temps de vie ? Voilà tout et si jamais... Voilà tout, je voulais dire. Et si jamais le mal s'infiltre pour la colère, le stress, inspiré expiré Marche très bien. La marche aussi aide aussi à bien apaiser le mental. De même, le sport permet un meilleur sommeil et donc moins de fatigue, moins d'irritabilité, de fragilité et un meilleur mental. Aussi, si des pensées importantes traversent son esprit, mais cela... et t'obsédant, alors tu peux te noter l'idée sur un bloc-notes et repenser calmement à tête reposée et arrêter dès que cela devient addictif. Aussi, je recommande pour stopper un imaginaire ou des pensées toxiques de se concentrer visuellement sur les détails de notre environnement, notre espérance. notre rythme cardiaque ou sur un nos sens. En fait c'est scientifique, le cerveau ne peut pas recevoir et émettre en même temps et ça c'est génial parce qu'en fait dès qu'il émet donc des pensées et un imaginaire toxiques on le met en mode réception donc on se concentre sur les sens tout simplement. On regarde quelque chose, on sent quelque chose, on entend quelque chose, voilà on ressent quelque chose voilà donc voilà c'est un très bel outil, ça s'appelle la méthode de vitose si jamais ça vous intéresse Après, je pense qu'une activité musicale peut aussi avoir des vertus d'apaisement. Donc ça, c'est l'essence. Je recommande également de cultiver le silence, de parler peu, car trop parler, c'est aussi addictif. Et cela peut même exciter le mental, à ce que j'ai remarqué. Et après, on a plus de pensées pourries. Mais je l'ai vraiment vécu, vérifié, et même autour de moi. Donc le silence extérieur, si vous voulez, amène au silence intérieur. C'est reconnu, et c'est d'ailleurs même pratiqué par les moines. Et pour ceux qui veulent être plus présents, apprécier davantage la vie, c'est essentiel. Et encore plus pour ceux qui veulent ressentir la présence de Dieu. Donc voilà tout ce que je pouvais vous dire. Vraiment, je vous remercie pour votre écoute attentive. Je l'espère pour que ça vous apporte le plus de choses possibles. Et je vous dis à bientôt, je l'espère, sur un prochain épisode. Au plaisir, salut !