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Pouvoirs cachés

140. Mon plan d'action pour être moins stressée et plus apaisée (gros life update)

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37min |18/02/2025
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Description

Hello la team podcast 🥰

Ici Noellie Salgueira, hôte du podcast Pouvoirs Cachés, et aujourd’hui, on va parler vrai.

Si tu te sens souvent sous pression, que t’as l’impression d’être coincée dans une course effrénée où tout le monde semble viser les 6 chiffres, vivre à Bali et travailler 4h par semaine, alors cet épisode est pour toi.


Ces derniers mois, j’ai beaucoup réfléchi à ce que je veux vraiment. Pas ce que l’entrepreneuriat nous vend, pas ce que la société glorifie, mais ce qui, moi, me rend heureuse, alignée et apaisée. Et spoiler alert : ce n’est pas forcément ce que tout le monde considère comme la "réussite".


Dans cet épisode, je vous partage mon plan d’action pour être moins stressée et plus épanouie :
🔥 Redéfinir sa propre réussite (et arrêter de copier celle des autres)
🔥 Construire un business aligné avec ses valeurs et son bien-être
🔥 Prioriser sa santé mentale et physique au lieu de sacrifier son équilibre
🔥 Poser ses limites et exprimer ses besoins sans culpabilité
🔥 Sortir du perfectionnisme et lâcher le contrôle


Bref, un épisode qui fait du bien, qui remet les pendules à l’heure et qui, j’espère, t’aidera à souffler un peu et à avancer avec plus de sérénité.


Dis-moi en DM sur Instagram ce que t’en as pensé : @noelliesalgueira


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sous-titrage Soci J'aimerais commencer cet épisode de podcast en vous disant que si vous n'avez pas écouté l'épisode de podcast dans lequel je partage ce que je n'ai pas dit et partagé en 2024, je vous laisse aller l'écouter parce que je pense qu'il vous donnera du contexte sur ce que je vais partager dans cet épisode de podcast, vu que je vais faire un life update, slash prise de conscience, slash nouvelle décision, etc. Je pense que ça vous permettra d'avoir un peu plus de... bah ouais, de contexte pour comprendre... Qu'est-ce que je veux dire dans ce que je vais dire et mieux comprendre la profondeur de ma pensée. Donc déjà j'aimerais commencer par dire que l'année 2024, je vous en avais parlé, mais a été une année là où j'ai un petit peu couru dans tous les sens. J'adore être à Bali. Enfin si vous me suivez, vous savez que je vis six mois de l'année à Bali. Plus deux mois de plus en Australie. Et du coup l'année dernière j'étais à Bali pendant six mois. Et en fait j'adore Bali. C'est une île qui m'épanouit beaucoup. Mais qui en fait je me suis rendu compte me met énormément dans mon énergie masculine assez bizarrement. Puisque quand on pense à Bali on se dit oui ça doit être hyper reposant. Le yoga, la jungle, le truc et machin. Sauf qu'en vrai quand on vit à Bali. En tout cas, moi, quand je vis à Bali, je suis plus dans une énergie masculine, là où je fais un milliard de trucs par jour. Je vois 10 000 personnes par jour. Je suis surstimulée et j'aime ça, en vrai. Je kiffe vraiment trop ça. Mais en fait, je ne sais pas, l'année dernière, je me suis enfermée un petit peu, je dirais, dans mon business, dans mes objectifs business. Comme si mon business, en fait, c'était toute ma vie et qu'il n'y avait rien d'autre qui importait, en fait. Et c'était devenu mon obsession, ma priorité, mon identité, c'était mon business. J'étais entourée de beaucoup d'entrepreneurs aussi, chose qui est très facile à Bali. Enfin, toutes mes potes à Bali, en vrai, ce sont toutes des entrepreneurs, oui. Et en fait, je m'étais renfermée un peu dans ce cercle du business, business, business, entrepreneuriat. Même dans ma com j'en avais parlé, c'était très axé business. Et en fait, à force d'être enfermée là-dedans, à force de penser que les objectifs des autres, l'image de la réussite que les autres nous partagent, que ce soit sur les réseaux sociaux ou autre, même pas que à Bali. Mais voilà, en fait, j'avais l'impression que cette vision de la réussite... qu'on nous partage, c'était la vision de la réussite que moi j'avais et que j'avais envie d'atteindre. Et du coup en fait je me suis mise à charbonner. En fait c'est trop bizarre parce que je sais que je travaille pas plus de 25 heures par semaine, mais j'ai l'impression en fait d'avoir au taquet travaillé pendant que j'étais à Bali, et que j'étais sans cesse au coworking et tout ça. Mais en même temps, je ne travaillais pas plus de 25 heures par semaine. C'est trop bizarre de le dire comme ça. Parce que je me rends compte que je ne travaillais pas plus que ça. Mais j'ai l'impression d'avoir fait que ça. D'avoir que tout mon mental était sur mon business. La Chili's Academy, les programmes à lancer. Lou, mon assistante. Comment la gérer, comment la faire évoluer. Comment faire évoluer le business et tout ça. Et en fait, j'ai... Je sais pas en fait, je pense que aussi j'ai mis beaucoup de mon égo dans mon business. Ça je l'ai parlé dans l'autre épisode de podcast par rapport au rapport au chiffre d'affaires, par rapport à l'argent et tout ça qui était devenu un peu toxique en 2024. Et du coup en fait, je fonctionnais sur une énergie très masculine, donc très young, très dans l'action. Je me reposais pas trop, je faisais tout le temps des choses, tout le temps avoir du monde, tout le temps aller Alors qu'en vrai c'est pas du tout dans mon mindset ce genre de choses. Mais je me suis retrouvée un petit peu dans cette boucle infernale. Et je m'en suis pas rendue compte mais j'étais, et je pense que c'est parce que justement mon ego était trop imprégné dans mon business. Par rapport aux chiffres, par rapport à l'argent, par rapport au nombre de clientes etc. Je regardais ce que faisaient les autres et du coup je me comparais beaucoup. J'en avais déjà parlé dans l'autre épisode de podcast de toute manière. Et en fait, sans m'en rendre compte, j'ai accumulé l'année dernière du stress, du stress, du stress, du stress, par rapport à mon rythme de vie, à ma vision, à mes croyances par rapport à ce que c'est censé être la réussite, si j'ai envie d'être une businesswoman qui a du succès, qu'est-ce que ça veut dire, etc. Et en fait, je me suis méga stressée. Je pense aussi... que le retour en France n'a pas aidé, vu que quand on est rentré en France, du coup, comme d'habitude on rentre en France pendant 4 mois de l'année, vu que moi j'organise les retraites, Etienne, mon mari, donne des cours dans une école de commerce, dans un master en ingénierie bancaire et financière, donc il a besoin d'être là aussi une certaine période, donc on rentre en fait à chaque fois en France sur quelques mois, et quand on rentre on n'a pas de chez nous, donc on est obligé d'habiter chez la famille, chez les amis, et tout ça, on n'a pas de chez nous. Et en fait, sur la continuité de ça, je suis rentrée en France. Je vous en ai parlé, mais même après Bali, on est allé deux mois en Australie. Une fois qu'on était en Australie, vu qu'à Bali, je suis tout le temps simulée, je vois tout le temps du monde. Quand je suis arrivée en Australie, je n'avais plus du tout cette routine de ouf avec le sport le matin. Je vais boire un café avec mes potes, je vais au coworking, je vais manger avec mes potes ou avec Étienne. Je vais au coworking. Je vais à la danse, je vais manger avec des potes ou avec Étienne, on va voir le coucher de soleil, on rentre. Et rebolote le lendemain matin, là où en fait c'est un rythme qui est hyper effréné, mine de rien. Mais en fait je me suis retrouvée en Australie avec un rythme de vie à l'opposé total, c'est-à-dire j'allais un petit peu au sport le matin, mais j'allais pas à la danse parce qu'il n'y avait pas d'endroit où faire la danse. J'étais beaucoup moins stimulée parce que j'ai beaucoup moins de potes en Australie. Et en fait, c'est comme si le fait d'avoir été hyper stimulée tout le temps à Bali, j'avais pas pris le temps d'analyser, de conscientiser des choses, des peurs, des doutes, des croyances limitantes. Et en fait, en arrivant en Australie, vu que c'était le calme, c'est comme si tout était remonté à la surface. Tout le stress est remonté à la surface. J'ai organisé à cette période-là le challenge Queen of Sales et en fait, ça m'a frappée de plein fouet après le challenge. J'ai été épuisée, j'ai passé je crois deux semaines à faire que pleurer, à tout remettre en question, à douter de moi. J'étais fatiguée, j'étais stressée, il n'y avait rien qui allait. On est rentré en France après l'Australie, je me suis retrouvée chez mes grands-parents, à ne pas avoir de potes, à rien faire vu que c'est un petit village en haut de la montagne. Et à être en fait isolée chez mes grands-parents, à faire que travailler toute la journée. Ne pas être chez moi, être avec Étienne chez quelqu'un d'autre, ne pas avoir notre espace. Être dans un environnement qui visuellement ne me plaît pas. C'est la maison de mes grands-parents, je les adore mais leur décoration n'est pas du tout à mon goût. J'en avais déjà parlé. Mais du coup en fait pareil, ça me bloquait au niveau du business. Ça me bloquait au niveau de la créativité, vous l'avez peut-être remarqué si vous me suivez sur Instagram, ça fait un moment que j'ai pas posté sur Instagram parce qu'en fait c'est un peu un calvaire entre guillemets du créer du contenu dans un environnement qui est, j'ai dit qu'il est moche mais c'est subjectif si ma grand-mère entend ça, elle pète un câble. Mais ouais genre vraiment quoi, ça a impacté mon business aussi. Dans le sens où j'étais pas créative, j'étais fatiguée, j'étais pas stimulée, je voyais personne, je faisais rien. Pareil avec Étienne niveau intimité, c'était hyper compliqué quand t'es chez les autres, faut t'adapter, trucs et machins. Les repas avec mes grands-parents, c'était pas moi qui cuisinais. J'aurais pu cuisiner mais je sais pas, niveau organisation c'était un stress en plus. Bref, en fait c'était vraiment que du stress et il y a beaucoup de choses qui sont remontées à la surface aussi. Et donc... J'arrive où je veux en venir depuis le début. J'avais parlé de notre parcours en PMA dans l'autre épisode de podcast, et ça fait 5 ans que j'essaie de me faire diagnostiquer pour l'endométriose. C'est un peu un parcours du compte battant pour se faire diagnostiquer, et vu qu'on est entré en PMA, qu'on a fait les tests pour la fertilité en début d'année 2024, J'en ai profité pour dire, je pense que j'ai de l'endométriose, on m'a fait une échographie, mais on n'a rien vu, enfin normal à l'échographie on ne voit pas l'endométriose. Donc j'ai dit prescrivez-moi un IRM, et donc j'avais rendez-vous pour l'IRM fin janvier, juste avant la retraite que j'ai organisée à Avignon, qui d'ailleurs était incroyable. Bref, j'ai fait un vlog de la retraite, si jamais vous allez le voir sur Youtube, c'est disponible. Et donc, j'ai fait l'IRM, j'ai été diagnostiquée l'endométriose, une endométriose profonde. Et je m'en doutais, mais en fait, ça m'a ouvert les yeux, en fait, parce que les symptômes de l'endométriose empirent quand il y a trop d'inflammations dans le corps. L'inflammation, et je ne m'y connais pas, mais d'après les recherches que j'ai faites, allez faire vos recherches. L'inflammation empire avec une alimentation pro-inflammatoire. C'est-à-dire que je mangeais déjà beaucoup de gluten, même si j'essayais de faire attention. Mais quand j'étais à Bali, je me faisais kiffer. Chez mes grands-parents, vu que ce n'était pas moi qui cuisinait, je ne sais pas, des fois il y avait du saucisson ou des trucs comme ça, j'en mangeais, du fromage, pareil. Enfin, je ne faisais pas du tout attention à ce que je mangeais. Et autre que ça, ce qui est pro-inflammatoire, c'est le stress. Et vu que j'étais méga stressée, En fait ça a empiré mes symptômes cette dernière année a été très compliquée vis-à-vis de l'endométriose c'est à dire que et toujours encore vu que je suis en train petit à petit de faire diminuer l'inflammation dans mon corps. Et bien en fait ça a été très compliqué parce que mes symptômes cette dernière année se sont vraiment empirés et sont devenus hyper handicapants c'est à dire que ça m'impacte pendant bien deux semaines dans le mois. J'ai de la fatigue chronique, c'est-à-dire que je suis fatiguée tout le temps. J'ai des douleurs au ventre, à l'utérus, qui sont juste insoutenables quand j'ai mes règles. En dehors des règles aussi, pendant l'ovulation. Mais pendant mes règles, en gros, c'est le pire. Et vu que j'ai de l'endométriose aussi localisée au niveau du rectum, j'ai des douleurs dans le rectum qui sont juste insoutenables. Je ne peux pas aller aux toilettes, j'ai même mal quand je fais pipi. Je passe trois jours par mois pendant mes règles allongée au lit, je ne peux pas sortir du lit tellement que j'ai mal. C'est-à-dire que j'ai tellement que j'ai mal, je ne peux même pas avoir une conversation, on ne peut pas me toucher. Je pleure toute la journée dans mon lit tellement que je suis émotive et sensible de fou. La lumière m'agresse, tout m'agresse. Il y a plein d'autres symptômes que cela, mais là c'est ce que j'ai envie de mentionner comme ça. Mais ça a un impact immense parce qu'il y a déjà deux semaines dans le mois là où aussi mentalement, moralement, ça m'affecte énormément. Je pense que c'est dû aux hormones aussi. Là où je suis fatiguée, je pense que si vous avez un SPM qui est assez fort, vous savez qu'en période de SPM, en tout cas moi, peut-être qu'il y en a d'autres qui se reconnaîtront là-dedans aussi, je doute de tout, je me remets en question. Du coup, en fait, à chaque fois, je suis sur une bonne lancée. Et après, j'entre en période de SPM, c'est-à-dire une semaine avant mes règles, là où je remets tout en question. J'ai zéro motivation, je suis fatiguée, mes règles arrivent et là, je suis clouée au lit. Et en fait, à chaque fois, c'est un rythme comme ça, là où ça va et ça va pas. Et après, je suis dans le mal au fond de mon lit et ça impacte en fait mon entreprise. Donc c'est-à-dire que ces derniers mois, j'ai pas pu faire ce que j'aurais aimé faire. Et donc, forcément, les chiffres de mon entreprise ont diminué. Je ne suis pas attachée à mon chiffre d'affaires ou quoi que ce soit. Je pense que j'ai bien retenu la leçon de 2024. Mais, mine de rien, c'est quand même ce qui me permet de vivre. Donc, c'est un peu compliqué. C'est un peu stressant aussi. Et en même temps, je sais que... Là pour le moment la priorité c'est ma santé. Donc. Ma santé, ça a été de me dire là, ces derniers temps, ben vraiment, qu'est-ce qui m'apporte du stress au quotidien, qui pourrait être pro-inflammatoire du coup ? Et ben du coup, on a identifié toutes ces choses-là. Quelque chose qui me stresse beaucoup, c'était de ne pas avoir de chez moi, de toujours me poser la question, qu'est-ce qui va se passer quand on va rentrer en France, enfin même aller à l'étranger, c'est hyper... C'est hyper entre guillemets challengeant parce que même financièrement, il y a toujours des dépenses auxquelles on ne s'attend pas. Il y a toujours des imprévus. Si tu tombes malade à l'étranger, ce n'est pas pareil qu'en France. Maintenant, j'ai été diagnostiquée de l'endométriose aussi. Et puis, on avait commencé le parcours en PMA. Vu qu'à chaque fois qu'on part à l'étranger, il faut repousser les rendez-vous. Donc en fait, je ne prenais pas soin de ma santé. Donc en fait, là, on a décidé... On s'est dit avec Étienne de quoi est-ce qu'on a besoin. On a tous les deux besoin de se poser parce que là notre rythme de vie nous stresse plus qu'autre chose. Partir à l'étranger c'est très chouette, on est hyper excité etc. Mais quand on revient c'est un vrai cauchemar de ne pas avoir de chez nous etc. Pour l'instant on ne se voit pas habiter à Bali toute l'année sur le long terme. J'y reviendrai peut-être ou pas mais ni l'un ni l'autre on se voit habiter à Bali sur le long terme. C'est une autre discussion que je n'aurai pas dans cet épisode de podcast. Mais en gros, voilà, on a décidé de ne pas repartir à Bali. On devait repartir du coup début mars pour pareil refaire six mois. Et ensuite, on avait quand même prévu de se poser à la fin de ces six mois, donc en septembre, vu que Étienne... Si vous me suivez depuis un moment, vous savez qu'on a habité pendant un an à Annecy, à la fin des études de Étienne. donc il avait fait un an d'alternance à Annecy et du coup ça fait je crois 4 ans qu'on est parti de Annecy et en fait ça fait 4 ans que la boîte chez qui il était alternant lui propose un CDI chaque année, chaque année, chaque année et en fait là on s'est dit c'est maintenant, c'est le bon moment on adore Annecy on a tous les deux besoin de se poser de s'ancrer, d'avoir notre chez nous de se sentir ancrée aussi. J'ai lu quelque chose d'Anouk Koroller qui m'avait interviewé sur son podcast d'ailleurs, et qui disait que on a tous besoin d'un camp de base pour pouvoir être ancrée et voyager à partir de là et vivre, partir à l'aventure. Mais on a toujours ce camp de base auquel revenir se ressourcer. C'était un truc comme ça, mais beaucoup plus stylé que quand moi je le dis. Et en fait, c'est un petit peu ça. Aujourd'hui, on a besoin de se sentir posé, d'avoir notre chez-nous. d'avoir une routine aussi parce que mine de rien vu qu'on bougeait beaucoup avant en Australie Bali, revenir en France en fait on a plus de routine et je pense qu'il y a beaucoup de mon stress qui vient du fait que justement j'ai pas de routine que mes habitudes alimentaires changent quand je suis à Bali, quand je suis en Australie, quand je reviens en France, pareil mes habitudes en termes d'exercice physique et plein de choses comme ça et donc on s'est dit là hum On a vraiment besoin de se poser, même pour tous les rendez-vous médicaux que je vais avoir, que j'ai eu. Là, en fait, c'est la santé en priorité. Donc, nous sommes présentement, si vous me regardez sur YouTube, vous voyez enfin une décoration un peu stylée. Et pas ma chambre chez mes grands-parents. Donc, on est à Annecy pendant 20 jours pour chercher un appartement pour se poser dès maintenant. Voilà, on s'est dit qu'on n'allait pas repartir à Bali et se poser en septembre, on s'est dit on le fait de suite parce que pour l'instant, ce qui nous stresse le plus à tous les deux, c'est de ne pas avoir de chez nous. Donc, on commence par là, tout simplement. On reprend l'alimentation correctement, anti-inflammatoire, on prend soin de notre santé à tous les deux, on ralentit, on repose des bonnes bases. Et à la fin de l'année, si on a envie de repartir pendant deux mois à Bali, on repartira. Mais là, pour l'instant, la priorité, elle est autre. Et il n'y a rien de plus important que notre santé. Parce que ça, c'est une autre prise de conscience que j'ai eue cette année. C'est que, si vous êtes entrepreneur, vous savez, notre business repose sur nous. Sur nous, ça veut dire sur nous physiquement. Mais aussi sur nous mentalement, psychologiquement. Et donc en fait si la santé, qu'elle soit physique, mentale, psychologique, émotionnelle, peu importe, ne va pas, le business n'ira pas derrière. Et le business c'est pas le centre. de votre vie, mais par contre, c'est ce qui vous permet de vivre au quotidien, d'avoir un taux au-dessus de votre tête. Moi, avoir un chiffre d'affaires assez élevé, c'est ce qui me permet de postuler, enfin de candidater pour des appartements qui sont à mon goût aussi. Donc, c'est pas le plus important, mais ça a quand même un impact aussi sur la vie de tous les jours, sur le confort, la qualité de vie. Donc, c'est sûr, il ne faut pas négliger ça. Vraiment cette prise de conscience là que j'ai eu, je le savais déjà mais en fait je me suis un peu éloignée et peut-être que, enfin je sais que c'était pas pour un rien, mais en fait ta santé physique et mentale sont ta priorité si tu veux que ton entreprise, que tout tourne derrière en fait. Parce que là je parle du business mais mes relations amicales, pareil en fait, quand ça va pas dans la tête, quand ça va pas dans le corps, ça affecte. tous les secteurs de votre vie. Donc pour moi, en fait, c'est vraiment la priorité sur laquelle se concentrer. Maintenant, une autre prise de conscience et quelque chose que j'aimerais vraiment vous conseiller aussi, c'est de vous rappeler constamment que votre vision de la réussite n'a pas à ressembler à la vision de la réussite qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. C'est-à-dire que moi, l'année dernière, je me suis mis une pression folle parce que déjà, je me suis enfermée dans ce truc focus business, mais qu'en plus, je consommais du... du contenu uniquement de gens qui sont dans le business et qui ont un discours très je vais t'aider à atteindre 6 chiffres par mois et en gros qui peignent une vision de la réussite entrepreneuriale là où il faut 6 chiffres minimum par an, il faut habiter à Bali, il faut être libre de voyager, il faut avoir des trucs de flou là. Et en fait c'est... je me suis rendu compte que c'est pas ma vision de la réussite. Mais en fait, vu que c'est celle qu'on nous communique tout le temps, en fait, t'as l'impression que si tu n'as pas pour objectif ces choses-là, tu vas être, en tout cas moi, je vais parler pour moi, j'avais l'impression que j'allais pas être légitime, que j'allais pas impressionner mes clientes, et que donc, pas grand monde allait vouloir venir chez moi. Mais en fait, moi, ma vision de la réussite, c'est pas de faire 6 chiffres par an. C'est pas de vivre à Bali, j'en ai rien à foutre de tout ça, pour moi, et moi, je parle vraiment pour moi, donc pas besoin de vous identifier à moi, ma vision de la réussite, c'est d'avoir un quotidien apaisant et qui m'apporte du bonheur. C'est tout en fait, c'est pas de faire des millions, c'est pas d'habiter à Bali, c'est pas d'habiter en Australie, c'est des choses qui sont autour, mais moi ma priorité c'est vraiment de me sentir apaisée et heureuse dans mon quotidien. C'est juste ça en fait, je laisse ça là, ça n'a pas besoin d'aller plus loin non plus, et en fait je me suis perdue, et du coup en fait quand tu te perds, qu'est-ce que tu fais ? T'as une vision qui est pas vraiment alignée, et du coup... Si t'as pas une vision alignée, bah derrière ton business pareil va se construire sur quelque chose qui est pas aligné. Quand je parle du business ça va être tout ce qui va être communication. Donc moi je l'ai ressenti, ma manière de communiquer à un moment donné n'était pas du tout alignée avec ce que j'avais envie de dégager, de partager sur les réseaux sociaux. Et en fait ça va impacter beaucoup de choses. Maintenant c'est pas dramatique. J'ai employé le mot je me suis perdue mais je pense pas m'être... perdue, je me suis peut-être un petit peu éloignée de ce qui vibre vraiment à moi à force de me comparer, de regarder ce que font les autres, de ce que prônent les autres etc mais en fait ce qui est important à la fin c'est quoi ? C'est d'avoir la conscience de se ramener à soi et de se dire en fait moi ce que je veux c'est ça, ça peut passer par plein de choses, moi c'est passé par ces problèmes entre guillemets de santé qui m'ont ouvert les yeux vraiment sur ce que je veux mais je pense qu'à n'importe quel moment c'est important de se poser la question en fait qu'est-ce que moi je veux qu'est-ce qui est important pour moi qu'est-ce qui me procure du bonheur vraiment des choses simples qui vous sont propres en fait et je pense qu'il y a un truc avec quoi il faut faire attention c'est vraiment ce qu'on consomme aussi sur les réseaux sociaux il y a des choses qui peuvent être hyper inspirant mais aussi à des choses qui peuvent être hyper entre guillemets frustrantes et culpabilisant surtout quand on nous répète sans cesse quand on nous rabâche sans cesse le même discours Et quand on nous conseille aussi, ça c'est autre chose, quand on nous conseille sans cesse, si tu veux atteindre 6, il faut que tu fasses ça en 7 étapes, et voici 3 trucs que tu dois déconstruire pour atteindre ce truc, et truc et machin, la routine parfaite si tu veux faire 6 chiffres par heure, c'est bon quoi, genre lâchez-nous la grappe. Et ça je pense que c'est autre chose, faites attention au contenu que vous consommez, parce qu'en fait je trouve... Et c'est quelque chose que j'ai envie un petit peu de diminuer dans le contenu que je publie, que je partage. C'est-à-dire qu'il y a un truc qui s'est passé aussi l'année dernière, c'est qu'à force de consommer du contenu comme ça de très éducatif entre guillemets et très donneur de leçons, et bien en fait je me suis pas écoutée à moi. J'écoutais ce que me disaient les autres de faire. Les méthodes qu'on te dit qu'il faut que tu fasses, les stratégies qu'il faut que tu mettes en place. Et en fait du coup tu perds un peu ton pouvoir personnel qui est de prendre des décisions, de suivre ton intuition. Et en fait t'es tout le temps en train d'essayer d'aller chercher le dernier conseil, la dernière stratégie de fou, la dernière tendance, truc et machin. Et en fait ça te dévie juste de ta voix intérieure qui répond beaucoup à ces questions que tu te poses. Et pour lesquelles tu vas chercher les réponses chez les autres alors que les réponses tu les as déjà à l'intérieur de toi. Et c'est pour ça que j'ai envie de publier moins de contenu qui soit hyper éducatif, méthodique, stratégique. Et plus partager des choses personnelles, des partages, des choses plus inspirantes mais moins culpabilisantes. Je dis pas que j'arrêterai de partager des choses éducatives parce que je pense que des fois, enfin c'est chouette et que des fois on en a besoin aussi, mais c'est juste une prise conscience que moi j'ai eu en tout cas et c'est un type de contenu en tout cas que je consomme beaucoup moins ces contenus là où on va te conseiller de faire 36 mille choses pour atteindre ce truc là que tu as envie d'atteindre. Donc voilà je sais pas si ça vous parle, si ça résonne. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire aussi sur Instagram. J'aime trop échanger avec vous par rapport aux sujets qui sont apportés dans les épisodes de podcast. Il y a autre chose aussi que j'ai remarqué, j'en ai parlé un petit peu, mais une autre prise de conscience, c'est de faire attention à ne pas tomber dans la course à la performance qui n'a pas de valeur. Mais en fait c'est la course à la performance juste pour atteindre quelque chose et en fait c'est jamais assez et du coup on va se fixer des objectifs et dès qu'on en atteint un il nous faut atteindre le plus l'autre d'après et encore après et encore après. En fait c'est jamais assez, on n'est jamais satisfait, on doute de nous parce qu'on se dit ah ouais mais en fait on prend jamais le temps de lever la tête du guidon et d'apprécier où est-ce qu'on en est. Il faut toujours plus, plus, plus, plus, plus. C'est dans ce sens là où j'ai envie de parler de la course à la performance. Rappelez-vous de pourquoi. vous faites les choses. Rappelez-vous que vous n'avez pas tout le temps besoin d'être dans la performance, d'être dans l'effort. Vous avez le droit de ralentir, vous avez le droit de faire moins, vous avez le droit de mettre votre attention sur d'autres choses que sur l'entrepreneuriat. Voilà, votre business, c'est pas vous. Votre business ne dit rien de vous, de votre valeur, de votre... Oui, de votre valeur en tant qu'être humain aussi. Je sais que souvent, on a tendance, et c'est là aussi, j'avais envie d'en venir, j'en ai un petit peu parlé au début de cet épisode de podcast, de faire attention à ne pas mettre votre ego dans votre business. C'est quelque chose qui peut arriver très facilement. Et j'en ai parlé avec beaucoup d'entrepreneurs. Moi, c'est quelque chose qui m'est arrivé aussi, en fait, de gérer mon business avec mon ego. Et ça je trouve que c'est assez dommage, je pense que ça peut devenir toxique aussi. Donc de faire attention toujours à pourquoi est-ce que vous faites les choses. Toujours revenir à votre pourquoi pour que vous puissiez le plus possible rester aligné à ce qui est important pour vous. Et pas que vous vous déviez, vous vous épuisiez à faire des choses qui sont tout simplement pas pour vous. Parce qu'il y a peut-être des choses qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. ou ailleurs, et en fait, c'est juste pas pour vous, mais à force de l'entendre, vous êtes convaincus, vous allez vous convaincre vous-même que c'est ça qu'il faut que vous atteigniez, alors que c'est pas ce dont vous avez envie. Pour finir, j'avais envie de vous parler de quelque chose qui me semble assez important, c'est d'être bien entouré et... D'avoir surtout des gens qui vous écoutent. Et de faire attention aux gens dans votre entourage qui vont ne pas vous écouter, être tout le temps dans le conseil, être tout le temps en train de ramener les choses à eux-mêmes par rapport à l'expérience qu'eux, ils ont vécue. Quand vous expliquez quelque chose que vous avez besoin d'être écouté, vous voyez que l'autre personne, ça tambourine dans sa cervelle pour pouvoir répondre. à ce que vous êtes en train de dire pour pouvoir ramener la chose à elle-même, etc. Et en fait, vous ne vous sentez pas écouté. Et je trouve qu'il n'y a rien de plus précieux dans une vie que d'avoir un entourage qui nous écoute. Et qui nous écoute attentivement, qui n'essaie pas de modifier nos émotions, qui n'essaie pas de nous conseiller, de nous corriger. Des fois, en fait, on a juste besoin d'être écouté. Et je trouve que c'est hyper important. hyper important, que c'est hyper précieux. Faites attention de qui est-ce que vous vous entourez aussi, parce que croyez-moi, quand vous vivez quelque chose un petit peu de compliqué, vous avez juste envie d'avoir une équipe, un village autour de vous qui va être là pour vous, et ça c'est trop précieux, ça c'est trop important. D'oser aussi demander de l'aide, ça c'est quelque chose dont J'ai pris conscience, ça a été une petite leçon, de demander de l'aide alors que ce soit à votre entourage. Je sais que ça peut être difficile. Moi je sais que je suis perçue par mon entourage comme une femme forte, indépendante. J'ai quitté le foyer familial quand j'avais 14 ans. Je suis partie vivre en Australie quand j'avais 20 ans. J'y connaissais rien. J'ai toujours été... Hyper ambitieuse, j'ai fait du sport à haut niveau. Et en fait, personne ne s'est jamais inquiétée de moi. Je rentrais de l'école, je faisais mes devoirs, j'étais la bonne fille, la bonne élève, tout le machin. J'ai un fort caractère aussi. Et je sais que j'ai cette image dans mon entourage de la femme forte qui a besoin de personne parce qu'elle se débrouille toujours. Elle sait gérer ses émotions, trucs et machins. Et en fait, même... Les femmes fortes, entre guillemets, elles ont parfois le besoin d'avoir un gros câlin, de pleurer, d'être écoutées. Parce qu'en réalité, personne n'est fort, on est tous vulnérables. Moi je suis hyper sensible, j'ai souvent des moments très bas aussi. Ces derniers temps, cette dernière année, j'ai la chance d'avoir un mari qui me soutient, qui m'écoute, qui me laisse exprimer mes émotions. Et voilà, il y a quelque chose aussi qui a été partagé pendant la retraite. Pendant un repas le soir, je leur avais fait des petites questions sur des bouts de papier. En fait, on faisait tourner une pochette avec les papiers et chacune piochait une question. Et il y a une question qui était, quelle est la... question que tu aimerais qu'on te pose plus souvent. Et la femme qui a pioché ce papier, qui s'appelle Pauline, a répondu j'aimerais qu'on me demande plus souvent comment ça va. Mais comment ça va vraiment. Donc c'est peut-être un signe aussi avec cet épisode de podcast, si vous m'avez écouté jusque-là, de demander aux gens qui vous tiennent à cœur comment est-ce qu'ils vont vraiment d'engager la discussion. Parce que des fois on attend que les autres le fassent et le simple fait que nous on lance la chose On va ouvrir un espace d'écoute, un espace de partage. Donc n'hésitez pas à le faire, demandez autour de vous comment vont les gens. N'ayez pas peur des émotions des autres non plus, elles ne vont pas vous manger, elles ne vont pas vous dévorer. Mais je trouve que c'est hyper important d'être là les uns pour les autres. En tout cas quand on peut être là pour les autres. Mais voilà, je crois que c'est tout ce que j'avais envie de vous partager. Maintenant, ma vision pour 2025, ça va être de prendre soin de moi, de diminuer l'inflammation dans mon corps, de diminuer le stress, de mettre ma santé en priorité, d'avancer de manière plus alignée par rapport à ma vision des choses, de retrouver une routine, de faire attention à mon alimentation pour qu'elle soit anti-inflammatoire. et voilà en fait des choses toutes simples mais qui font beaucoup de bien j'espère que vous avez apprécié cet épisode de podcast si c'est le cas, si vous avez eu des déclics des prises de conscience, des questionnements n'hésitez pas à venir m'écrire sur les réseaux sociaux, sur Instagram je vous mettrai mon compte en description j'aime trop discuter avec vous, encore une fois c'est toujours des discussions qui sont hyper intéressantes merci n'hésitez pas à partager cet épisode sur les réseaux sociaux aussi en identifiant si jamais il vous a plu pensez à laisser un avis sur votre plateforme d'écouté préféré à laisser un petit pouce sur youtube ou en commentaire à vous abonner aussi pour ne rien rater que ce soit sur apple podcast spotify youtube peu importe il ya plein d'autres vidéos qui vont arriver plein d'autres podcasts qui vont arriver quand ma vidéo comme un caméra de vlog aura été réparé il y aura les vlogs qui vont reprendre aussi à et voilà écoutez merci pour votre écoute et sur ce je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode ciao ciao

Description

Hello la team podcast 🥰

Ici Noellie Salgueira, hôte du podcast Pouvoirs Cachés, et aujourd’hui, on va parler vrai.

Si tu te sens souvent sous pression, que t’as l’impression d’être coincée dans une course effrénée où tout le monde semble viser les 6 chiffres, vivre à Bali et travailler 4h par semaine, alors cet épisode est pour toi.


Ces derniers mois, j’ai beaucoup réfléchi à ce que je veux vraiment. Pas ce que l’entrepreneuriat nous vend, pas ce que la société glorifie, mais ce qui, moi, me rend heureuse, alignée et apaisée. Et spoiler alert : ce n’est pas forcément ce que tout le monde considère comme la "réussite".


Dans cet épisode, je vous partage mon plan d’action pour être moins stressée et plus épanouie :
🔥 Redéfinir sa propre réussite (et arrêter de copier celle des autres)
🔥 Construire un business aligné avec ses valeurs et son bien-être
🔥 Prioriser sa santé mentale et physique au lieu de sacrifier son équilibre
🔥 Poser ses limites et exprimer ses besoins sans culpabilité
🔥 Sortir du perfectionnisme et lâcher le contrôle


Bref, un épisode qui fait du bien, qui remet les pendules à l’heure et qui, j’espère, t’aidera à souffler un peu et à avancer avec plus de sérénité.


Dis-moi en DM sur Instagram ce que t’en as pensé : @noelliesalgueira


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sous-titrage Soci J'aimerais commencer cet épisode de podcast en vous disant que si vous n'avez pas écouté l'épisode de podcast dans lequel je partage ce que je n'ai pas dit et partagé en 2024, je vous laisse aller l'écouter parce que je pense qu'il vous donnera du contexte sur ce que je vais partager dans cet épisode de podcast, vu que je vais faire un life update, slash prise de conscience, slash nouvelle décision, etc. Je pense que ça vous permettra d'avoir un peu plus de... bah ouais, de contexte pour comprendre... Qu'est-ce que je veux dire dans ce que je vais dire et mieux comprendre la profondeur de ma pensée. Donc déjà j'aimerais commencer par dire que l'année 2024, je vous en avais parlé, mais a été une année là où j'ai un petit peu couru dans tous les sens. J'adore être à Bali. Enfin si vous me suivez, vous savez que je vis six mois de l'année à Bali. Plus deux mois de plus en Australie. Et du coup l'année dernière j'étais à Bali pendant six mois. Et en fait j'adore Bali. C'est une île qui m'épanouit beaucoup. Mais qui en fait je me suis rendu compte me met énormément dans mon énergie masculine assez bizarrement. Puisque quand on pense à Bali on se dit oui ça doit être hyper reposant. Le yoga, la jungle, le truc et machin. Sauf qu'en vrai quand on vit à Bali. En tout cas, moi, quand je vis à Bali, je suis plus dans une énergie masculine, là où je fais un milliard de trucs par jour. Je vois 10 000 personnes par jour. Je suis surstimulée et j'aime ça, en vrai. Je kiffe vraiment trop ça. Mais en fait, je ne sais pas, l'année dernière, je me suis enfermée un petit peu, je dirais, dans mon business, dans mes objectifs business. Comme si mon business, en fait, c'était toute ma vie et qu'il n'y avait rien d'autre qui importait, en fait. Et c'était devenu mon obsession, ma priorité, mon identité, c'était mon business. J'étais entourée de beaucoup d'entrepreneurs aussi, chose qui est très facile à Bali. Enfin, toutes mes potes à Bali, en vrai, ce sont toutes des entrepreneurs, oui. Et en fait, je m'étais renfermée un peu dans ce cercle du business, business, business, entrepreneuriat. Même dans ma com j'en avais parlé, c'était très axé business. Et en fait, à force d'être enfermée là-dedans, à force de penser que les objectifs des autres, l'image de la réussite que les autres nous partagent, que ce soit sur les réseaux sociaux ou autre, même pas que à Bali. Mais voilà, en fait, j'avais l'impression que cette vision de la réussite... qu'on nous partage, c'était la vision de la réussite que moi j'avais et que j'avais envie d'atteindre. Et du coup en fait je me suis mise à charbonner. En fait c'est trop bizarre parce que je sais que je travaille pas plus de 25 heures par semaine, mais j'ai l'impression en fait d'avoir au taquet travaillé pendant que j'étais à Bali, et que j'étais sans cesse au coworking et tout ça. Mais en même temps, je ne travaillais pas plus de 25 heures par semaine. C'est trop bizarre de le dire comme ça. Parce que je me rends compte que je ne travaillais pas plus que ça. Mais j'ai l'impression d'avoir fait que ça. D'avoir que tout mon mental était sur mon business. La Chili's Academy, les programmes à lancer. Lou, mon assistante. Comment la gérer, comment la faire évoluer. Comment faire évoluer le business et tout ça. Et en fait, j'ai... Je sais pas en fait, je pense que aussi j'ai mis beaucoup de mon égo dans mon business. Ça je l'ai parlé dans l'autre épisode de podcast par rapport au rapport au chiffre d'affaires, par rapport à l'argent et tout ça qui était devenu un peu toxique en 2024. Et du coup en fait, je fonctionnais sur une énergie très masculine, donc très young, très dans l'action. Je me reposais pas trop, je faisais tout le temps des choses, tout le temps avoir du monde, tout le temps aller Alors qu'en vrai c'est pas du tout dans mon mindset ce genre de choses. Mais je me suis retrouvée un petit peu dans cette boucle infernale. Et je m'en suis pas rendue compte mais j'étais, et je pense que c'est parce que justement mon ego était trop imprégné dans mon business. Par rapport aux chiffres, par rapport à l'argent, par rapport au nombre de clientes etc. Je regardais ce que faisaient les autres et du coup je me comparais beaucoup. J'en avais déjà parlé dans l'autre épisode de podcast de toute manière. Et en fait, sans m'en rendre compte, j'ai accumulé l'année dernière du stress, du stress, du stress, du stress, par rapport à mon rythme de vie, à ma vision, à mes croyances par rapport à ce que c'est censé être la réussite, si j'ai envie d'être une businesswoman qui a du succès, qu'est-ce que ça veut dire, etc. Et en fait, je me suis méga stressée. Je pense aussi... que le retour en France n'a pas aidé, vu que quand on est rentré en France, du coup, comme d'habitude on rentre en France pendant 4 mois de l'année, vu que moi j'organise les retraites, Etienne, mon mari, donne des cours dans une école de commerce, dans un master en ingénierie bancaire et financière, donc il a besoin d'être là aussi une certaine période, donc on rentre en fait à chaque fois en France sur quelques mois, et quand on rentre on n'a pas de chez nous, donc on est obligé d'habiter chez la famille, chez les amis, et tout ça, on n'a pas de chez nous. Et en fait, sur la continuité de ça, je suis rentrée en France. Je vous en ai parlé, mais même après Bali, on est allé deux mois en Australie. Une fois qu'on était en Australie, vu qu'à Bali, je suis tout le temps simulée, je vois tout le temps du monde. Quand je suis arrivée en Australie, je n'avais plus du tout cette routine de ouf avec le sport le matin. Je vais boire un café avec mes potes, je vais au coworking, je vais manger avec mes potes ou avec Étienne. Je vais au coworking. Je vais à la danse, je vais manger avec des potes ou avec Étienne, on va voir le coucher de soleil, on rentre. Et rebolote le lendemain matin, là où en fait c'est un rythme qui est hyper effréné, mine de rien. Mais en fait je me suis retrouvée en Australie avec un rythme de vie à l'opposé total, c'est-à-dire j'allais un petit peu au sport le matin, mais j'allais pas à la danse parce qu'il n'y avait pas d'endroit où faire la danse. J'étais beaucoup moins stimulée parce que j'ai beaucoup moins de potes en Australie. Et en fait, c'est comme si le fait d'avoir été hyper stimulée tout le temps à Bali, j'avais pas pris le temps d'analyser, de conscientiser des choses, des peurs, des doutes, des croyances limitantes. Et en fait, en arrivant en Australie, vu que c'était le calme, c'est comme si tout était remonté à la surface. Tout le stress est remonté à la surface. J'ai organisé à cette période-là le challenge Queen of Sales et en fait, ça m'a frappée de plein fouet après le challenge. J'ai été épuisée, j'ai passé je crois deux semaines à faire que pleurer, à tout remettre en question, à douter de moi. J'étais fatiguée, j'étais stressée, il n'y avait rien qui allait. On est rentré en France après l'Australie, je me suis retrouvée chez mes grands-parents, à ne pas avoir de potes, à rien faire vu que c'est un petit village en haut de la montagne. Et à être en fait isolée chez mes grands-parents, à faire que travailler toute la journée. Ne pas être chez moi, être avec Étienne chez quelqu'un d'autre, ne pas avoir notre espace. Être dans un environnement qui visuellement ne me plaît pas. C'est la maison de mes grands-parents, je les adore mais leur décoration n'est pas du tout à mon goût. J'en avais déjà parlé. Mais du coup en fait pareil, ça me bloquait au niveau du business. Ça me bloquait au niveau de la créativité, vous l'avez peut-être remarqué si vous me suivez sur Instagram, ça fait un moment que j'ai pas posté sur Instagram parce qu'en fait c'est un peu un calvaire entre guillemets du créer du contenu dans un environnement qui est, j'ai dit qu'il est moche mais c'est subjectif si ma grand-mère entend ça, elle pète un câble. Mais ouais genre vraiment quoi, ça a impacté mon business aussi. Dans le sens où j'étais pas créative, j'étais fatiguée, j'étais pas stimulée, je voyais personne, je faisais rien. Pareil avec Étienne niveau intimité, c'était hyper compliqué quand t'es chez les autres, faut t'adapter, trucs et machins. Les repas avec mes grands-parents, c'était pas moi qui cuisinais. J'aurais pu cuisiner mais je sais pas, niveau organisation c'était un stress en plus. Bref, en fait c'était vraiment que du stress et il y a beaucoup de choses qui sont remontées à la surface aussi. Et donc... J'arrive où je veux en venir depuis le début. J'avais parlé de notre parcours en PMA dans l'autre épisode de podcast, et ça fait 5 ans que j'essaie de me faire diagnostiquer pour l'endométriose. C'est un peu un parcours du compte battant pour se faire diagnostiquer, et vu qu'on est entré en PMA, qu'on a fait les tests pour la fertilité en début d'année 2024, J'en ai profité pour dire, je pense que j'ai de l'endométriose, on m'a fait une échographie, mais on n'a rien vu, enfin normal à l'échographie on ne voit pas l'endométriose. Donc j'ai dit prescrivez-moi un IRM, et donc j'avais rendez-vous pour l'IRM fin janvier, juste avant la retraite que j'ai organisée à Avignon, qui d'ailleurs était incroyable. Bref, j'ai fait un vlog de la retraite, si jamais vous allez le voir sur Youtube, c'est disponible. Et donc, j'ai fait l'IRM, j'ai été diagnostiquée l'endométriose, une endométriose profonde. Et je m'en doutais, mais en fait, ça m'a ouvert les yeux, en fait, parce que les symptômes de l'endométriose empirent quand il y a trop d'inflammations dans le corps. L'inflammation, et je ne m'y connais pas, mais d'après les recherches que j'ai faites, allez faire vos recherches. L'inflammation empire avec une alimentation pro-inflammatoire. C'est-à-dire que je mangeais déjà beaucoup de gluten, même si j'essayais de faire attention. Mais quand j'étais à Bali, je me faisais kiffer. Chez mes grands-parents, vu que ce n'était pas moi qui cuisinait, je ne sais pas, des fois il y avait du saucisson ou des trucs comme ça, j'en mangeais, du fromage, pareil. Enfin, je ne faisais pas du tout attention à ce que je mangeais. Et autre que ça, ce qui est pro-inflammatoire, c'est le stress. Et vu que j'étais méga stressée, En fait ça a empiré mes symptômes cette dernière année a été très compliquée vis-à-vis de l'endométriose c'est à dire que et toujours encore vu que je suis en train petit à petit de faire diminuer l'inflammation dans mon corps. Et bien en fait ça a été très compliqué parce que mes symptômes cette dernière année se sont vraiment empirés et sont devenus hyper handicapants c'est à dire que ça m'impacte pendant bien deux semaines dans le mois. J'ai de la fatigue chronique, c'est-à-dire que je suis fatiguée tout le temps. J'ai des douleurs au ventre, à l'utérus, qui sont juste insoutenables quand j'ai mes règles. En dehors des règles aussi, pendant l'ovulation. Mais pendant mes règles, en gros, c'est le pire. Et vu que j'ai de l'endométriose aussi localisée au niveau du rectum, j'ai des douleurs dans le rectum qui sont juste insoutenables. Je ne peux pas aller aux toilettes, j'ai même mal quand je fais pipi. Je passe trois jours par mois pendant mes règles allongée au lit, je ne peux pas sortir du lit tellement que j'ai mal. C'est-à-dire que j'ai tellement que j'ai mal, je ne peux même pas avoir une conversation, on ne peut pas me toucher. Je pleure toute la journée dans mon lit tellement que je suis émotive et sensible de fou. La lumière m'agresse, tout m'agresse. Il y a plein d'autres symptômes que cela, mais là c'est ce que j'ai envie de mentionner comme ça. Mais ça a un impact immense parce qu'il y a déjà deux semaines dans le mois là où aussi mentalement, moralement, ça m'affecte énormément. Je pense que c'est dû aux hormones aussi. Là où je suis fatiguée, je pense que si vous avez un SPM qui est assez fort, vous savez qu'en période de SPM, en tout cas moi, peut-être qu'il y en a d'autres qui se reconnaîtront là-dedans aussi, je doute de tout, je me remets en question. Du coup, en fait, à chaque fois, je suis sur une bonne lancée. Et après, j'entre en période de SPM, c'est-à-dire une semaine avant mes règles, là où je remets tout en question. J'ai zéro motivation, je suis fatiguée, mes règles arrivent et là, je suis clouée au lit. Et en fait, à chaque fois, c'est un rythme comme ça, là où ça va et ça va pas. Et après, je suis dans le mal au fond de mon lit et ça impacte en fait mon entreprise. Donc c'est-à-dire que ces derniers mois, j'ai pas pu faire ce que j'aurais aimé faire. Et donc, forcément, les chiffres de mon entreprise ont diminué. Je ne suis pas attachée à mon chiffre d'affaires ou quoi que ce soit. Je pense que j'ai bien retenu la leçon de 2024. Mais, mine de rien, c'est quand même ce qui me permet de vivre. Donc, c'est un peu compliqué. C'est un peu stressant aussi. Et en même temps, je sais que... Là pour le moment la priorité c'est ma santé. Donc. Ma santé, ça a été de me dire là, ces derniers temps, ben vraiment, qu'est-ce qui m'apporte du stress au quotidien, qui pourrait être pro-inflammatoire du coup ? Et ben du coup, on a identifié toutes ces choses-là. Quelque chose qui me stresse beaucoup, c'était de ne pas avoir de chez moi, de toujours me poser la question, qu'est-ce qui va se passer quand on va rentrer en France, enfin même aller à l'étranger, c'est hyper... C'est hyper entre guillemets challengeant parce que même financièrement, il y a toujours des dépenses auxquelles on ne s'attend pas. Il y a toujours des imprévus. Si tu tombes malade à l'étranger, ce n'est pas pareil qu'en France. Maintenant, j'ai été diagnostiquée de l'endométriose aussi. Et puis, on avait commencé le parcours en PMA. Vu qu'à chaque fois qu'on part à l'étranger, il faut repousser les rendez-vous. Donc en fait, je ne prenais pas soin de ma santé. Donc en fait, là, on a décidé... On s'est dit avec Étienne de quoi est-ce qu'on a besoin. On a tous les deux besoin de se poser parce que là notre rythme de vie nous stresse plus qu'autre chose. Partir à l'étranger c'est très chouette, on est hyper excité etc. Mais quand on revient c'est un vrai cauchemar de ne pas avoir de chez nous etc. Pour l'instant on ne se voit pas habiter à Bali toute l'année sur le long terme. J'y reviendrai peut-être ou pas mais ni l'un ni l'autre on se voit habiter à Bali sur le long terme. C'est une autre discussion que je n'aurai pas dans cet épisode de podcast. Mais en gros, voilà, on a décidé de ne pas repartir à Bali. On devait repartir du coup début mars pour pareil refaire six mois. Et ensuite, on avait quand même prévu de se poser à la fin de ces six mois, donc en septembre, vu que Étienne... Si vous me suivez depuis un moment, vous savez qu'on a habité pendant un an à Annecy, à la fin des études de Étienne. donc il avait fait un an d'alternance à Annecy et du coup ça fait je crois 4 ans qu'on est parti de Annecy et en fait ça fait 4 ans que la boîte chez qui il était alternant lui propose un CDI chaque année, chaque année, chaque année et en fait là on s'est dit c'est maintenant, c'est le bon moment on adore Annecy on a tous les deux besoin de se poser de s'ancrer, d'avoir notre chez nous de se sentir ancrée aussi. J'ai lu quelque chose d'Anouk Koroller qui m'avait interviewé sur son podcast d'ailleurs, et qui disait que on a tous besoin d'un camp de base pour pouvoir être ancrée et voyager à partir de là et vivre, partir à l'aventure. Mais on a toujours ce camp de base auquel revenir se ressourcer. C'était un truc comme ça, mais beaucoup plus stylé que quand moi je le dis. Et en fait, c'est un petit peu ça. Aujourd'hui, on a besoin de se sentir posé, d'avoir notre chez-nous. d'avoir une routine aussi parce que mine de rien vu qu'on bougeait beaucoup avant en Australie Bali, revenir en France en fait on a plus de routine et je pense qu'il y a beaucoup de mon stress qui vient du fait que justement j'ai pas de routine que mes habitudes alimentaires changent quand je suis à Bali, quand je suis en Australie, quand je reviens en France, pareil mes habitudes en termes d'exercice physique et plein de choses comme ça et donc on s'est dit là hum On a vraiment besoin de se poser, même pour tous les rendez-vous médicaux que je vais avoir, que j'ai eu. Là, en fait, c'est la santé en priorité. Donc, nous sommes présentement, si vous me regardez sur YouTube, vous voyez enfin une décoration un peu stylée. Et pas ma chambre chez mes grands-parents. Donc, on est à Annecy pendant 20 jours pour chercher un appartement pour se poser dès maintenant. Voilà, on s'est dit qu'on n'allait pas repartir à Bali et se poser en septembre, on s'est dit on le fait de suite parce que pour l'instant, ce qui nous stresse le plus à tous les deux, c'est de ne pas avoir de chez nous. Donc, on commence par là, tout simplement. On reprend l'alimentation correctement, anti-inflammatoire, on prend soin de notre santé à tous les deux, on ralentit, on repose des bonnes bases. Et à la fin de l'année, si on a envie de repartir pendant deux mois à Bali, on repartira. Mais là, pour l'instant, la priorité, elle est autre. Et il n'y a rien de plus important que notre santé. Parce que ça, c'est une autre prise de conscience que j'ai eue cette année. C'est que, si vous êtes entrepreneur, vous savez, notre business repose sur nous. Sur nous, ça veut dire sur nous physiquement. Mais aussi sur nous mentalement, psychologiquement. Et donc en fait si la santé, qu'elle soit physique, mentale, psychologique, émotionnelle, peu importe, ne va pas, le business n'ira pas derrière. Et le business c'est pas le centre. de votre vie, mais par contre, c'est ce qui vous permet de vivre au quotidien, d'avoir un taux au-dessus de votre tête. Moi, avoir un chiffre d'affaires assez élevé, c'est ce qui me permet de postuler, enfin de candidater pour des appartements qui sont à mon goût aussi. Donc, c'est pas le plus important, mais ça a quand même un impact aussi sur la vie de tous les jours, sur le confort, la qualité de vie. Donc, c'est sûr, il ne faut pas négliger ça. Vraiment cette prise de conscience là que j'ai eu, je le savais déjà mais en fait je me suis un peu éloignée et peut-être que, enfin je sais que c'était pas pour un rien, mais en fait ta santé physique et mentale sont ta priorité si tu veux que ton entreprise, que tout tourne derrière en fait. Parce que là je parle du business mais mes relations amicales, pareil en fait, quand ça va pas dans la tête, quand ça va pas dans le corps, ça affecte. tous les secteurs de votre vie. Donc pour moi, en fait, c'est vraiment la priorité sur laquelle se concentrer. Maintenant, une autre prise de conscience et quelque chose que j'aimerais vraiment vous conseiller aussi, c'est de vous rappeler constamment que votre vision de la réussite n'a pas à ressembler à la vision de la réussite qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. C'est-à-dire que moi, l'année dernière, je me suis mis une pression folle parce que déjà, je me suis enfermée dans ce truc focus business, mais qu'en plus, je consommais du... du contenu uniquement de gens qui sont dans le business et qui ont un discours très je vais t'aider à atteindre 6 chiffres par mois et en gros qui peignent une vision de la réussite entrepreneuriale là où il faut 6 chiffres minimum par an, il faut habiter à Bali, il faut être libre de voyager, il faut avoir des trucs de flou là. Et en fait c'est... je me suis rendu compte que c'est pas ma vision de la réussite. Mais en fait, vu que c'est celle qu'on nous communique tout le temps, en fait, t'as l'impression que si tu n'as pas pour objectif ces choses-là, tu vas être, en tout cas moi, je vais parler pour moi, j'avais l'impression que j'allais pas être légitime, que j'allais pas impressionner mes clientes, et que donc, pas grand monde allait vouloir venir chez moi. Mais en fait, moi, ma vision de la réussite, c'est pas de faire 6 chiffres par an. C'est pas de vivre à Bali, j'en ai rien à foutre de tout ça, pour moi, et moi, je parle vraiment pour moi, donc pas besoin de vous identifier à moi, ma vision de la réussite, c'est d'avoir un quotidien apaisant et qui m'apporte du bonheur. C'est tout en fait, c'est pas de faire des millions, c'est pas d'habiter à Bali, c'est pas d'habiter en Australie, c'est des choses qui sont autour, mais moi ma priorité c'est vraiment de me sentir apaisée et heureuse dans mon quotidien. C'est juste ça en fait, je laisse ça là, ça n'a pas besoin d'aller plus loin non plus, et en fait je me suis perdue, et du coup en fait quand tu te perds, qu'est-ce que tu fais ? T'as une vision qui est pas vraiment alignée, et du coup... Si t'as pas une vision alignée, bah derrière ton business pareil va se construire sur quelque chose qui est pas aligné. Quand je parle du business ça va être tout ce qui va être communication. Donc moi je l'ai ressenti, ma manière de communiquer à un moment donné n'était pas du tout alignée avec ce que j'avais envie de dégager, de partager sur les réseaux sociaux. Et en fait ça va impacter beaucoup de choses. Maintenant c'est pas dramatique. J'ai employé le mot je me suis perdue mais je pense pas m'être... perdue, je me suis peut-être un petit peu éloignée de ce qui vibre vraiment à moi à force de me comparer, de regarder ce que font les autres, de ce que prônent les autres etc mais en fait ce qui est important à la fin c'est quoi ? C'est d'avoir la conscience de se ramener à soi et de se dire en fait moi ce que je veux c'est ça, ça peut passer par plein de choses, moi c'est passé par ces problèmes entre guillemets de santé qui m'ont ouvert les yeux vraiment sur ce que je veux mais je pense qu'à n'importe quel moment c'est important de se poser la question en fait qu'est-ce que moi je veux qu'est-ce qui est important pour moi qu'est-ce qui me procure du bonheur vraiment des choses simples qui vous sont propres en fait et je pense qu'il y a un truc avec quoi il faut faire attention c'est vraiment ce qu'on consomme aussi sur les réseaux sociaux il y a des choses qui peuvent être hyper inspirant mais aussi à des choses qui peuvent être hyper entre guillemets frustrantes et culpabilisant surtout quand on nous répète sans cesse quand on nous rabâche sans cesse le même discours Et quand on nous conseille aussi, ça c'est autre chose, quand on nous conseille sans cesse, si tu veux atteindre 6, il faut que tu fasses ça en 7 étapes, et voici 3 trucs que tu dois déconstruire pour atteindre ce truc, et truc et machin, la routine parfaite si tu veux faire 6 chiffres par heure, c'est bon quoi, genre lâchez-nous la grappe. Et ça je pense que c'est autre chose, faites attention au contenu que vous consommez, parce qu'en fait je trouve... Et c'est quelque chose que j'ai envie un petit peu de diminuer dans le contenu que je publie, que je partage. C'est-à-dire qu'il y a un truc qui s'est passé aussi l'année dernière, c'est qu'à force de consommer du contenu comme ça de très éducatif entre guillemets et très donneur de leçons, et bien en fait je me suis pas écoutée à moi. J'écoutais ce que me disaient les autres de faire. Les méthodes qu'on te dit qu'il faut que tu fasses, les stratégies qu'il faut que tu mettes en place. Et en fait du coup tu perds un peu ton pouvoir personnel qui est de prendre des décisions, de suivre ton intuition. Et en fait t'es tout le temps en train d'essayer d'aller chercher le dernier conseil, la dernière stratégie de fou, la dernière tendance, truc et machin. Et en fait ça te dévie juste de ta voix intérieure qui répond beaucoup à ces questions que tu te poses. Et pour lesquelles tu vas chercher les réponses chez les autres alors que les réponses tu les as déjà à l'intérieur de toi. Et c'est pour ça que j'ai envie de publier moins de contenu qui soit hyper éducatif, méthodique, stratégique. Et plus partager des choses personnelles, des partages, des choses plus inspirantes mais moins culpabilisantes. Je dis pas que j'arrêterai de partager des choses éducatives parce que je pense que des fois, enfin c'est chouette et que des fois on en a besoin aussi, mais c'est juste une prise conscience que moi j'ai eu en tout cas et c'est un type de contenu en tout cas que je consomme beaucoup moins ces contenus là où on va te conseiller de faire 36 mille choses pour atteindre ce truc là que tu as envie d'atteindre. Donc voilà je sais pas si ça vous parle, si ça résonne. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire aussi sur Instagram. J'aime trop échanger avec vous par rapport aux sujets qui sont apportés dans les épisodes de podcast. Il y a autre chose aussi que j'ai remarqué, j'en ai parlé un petit peu, mais une autre prise de conscience, c'est de faire attention à ne pas tomber dans la course à la performance qui n'a pas de valeur. Mais en fait c'est la course à la performance juste pour atteindre quelque chose et en fait c'est jamais assez et du coup on va se fixer des objectifs et dès qu'on en atteint un il nous faut atteindre le plus l'autre d'après et encore après et encore après. En fait c'est jamais assez, on n'est jamais satisfait, on doute de nous parce qu'on se dit ah ouais mais en fait on prend jamais le temps de lever la tête du guidon et d'apprécier où est-ce qu'on en est. Il faut toujours plus, plus, plus, plus, plus. C'est dans ce sens là où j'ai envie de parler de la course à la performance. Rappelez-vous de pourquoi. vous faites les choses. Rappelez-vous que vous n'avez pas tout le temps besoin d'être dans la performance, d'être dans l'effort. Vous avez le droit de ralentir, vous avez le droit de faire moins, vous avez le droit de mettre votre attention sur d'autres choses que sur l'entrepreneuriat. Voilà, votre business, c'est pas vous. Votre business ne dit rien de vous, de votre valeur, de votre... Oui, de votre valeur en tant qu'être humain aussi. Je sais que souvent, on a tendance, et c'est là aussi, j'avais envie d'en venir, j'en ai un petit peu parlé au début de cet épisode de podcast, de faire attention à ne pas mettre votre ego dans votre business. C'est quelque chose qui peut arriver très facilement. Et j'en ai parlé avec beaucoup d'entrepreneurs. Moi, c'est quelque chose qui m'est arrivé aussi, en fait, de gérer mon business avec mon ego. Et ça je trouve que c'est assez dommage, je pense que ça peut devenir toxique aussi. Donc de faire attention toujours à pourquoi est-ce que vous faites les choses. Toujours revenir à votre pourquoi pour que vous puissiez le plus possible rester aligné à ce qui est important pour vous. Et pas que vous vous déviez, vous vous épuisiez à faire des choses qui sont tout simplement pas pour vous. Parce qu'il y a peut-être des choses qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. ou ailleurs, et en fait, c'est juste pas pour vous, mais à force de l'entendre, vous êtes convaincus, vous allez vous convaincre vous-même que c'est ça qu'il faut que vous atteigniez, alors que c'est pas ce dont vous avez envie. Pour finir, j'avais envie de vous parler de quelque chose qui me semble assez important, c'est d'être bien entouré et... D'avoir surtout des gens qui vous écoutent. Et de faire attention aux gens dans votre entourage qui vont ne pas vous écouter, être tout le temps dans le conseil, être tout le temps en train de ramener les choses à eux-mêmes par rapport à l'expérience qu'eux, ils ont vécue. Quand vous expliquez quelque chose que vous avez besoin d'être écouté, vous voyez que l'autre personne, ça tambourine dans sa cervelle pour pouvoir répondre. à ce que vous êtes en train de dire pour pouvoir ramener la chose à elle-même, etc. Et en fait, vous ne vous sentez pas écouté. Et je trouve qu'il n'y a rien de plus précieux dans une vie que d'avoir un entourage qui nous écoute. Et qui nous écoute attentivement, qui n'essaie pas de modifier nos émotions, qui n'essaie pas de nous conseiller, de nous corriger. Des fois, en fait, on a juste besoin d'être écouté. Et je trouve que c'est hyper important. hyper important, que c'est hyper précieux. Faites attention de qui est-ce que vous vous entourez aussi, parce que croyez-moi, quand vous vivez quelque chose un petit peu de compliqué, vous avez juste envie d'avoir une équipe, un village autour de vous qui va être là pour vous, et ça c'est trop précieux, ça c'est trop important. D'oser aussi demander de l'aide, ça c'est quelque chose dont J'ai pris conscience, ça a été une petite leçon, de demander de l'aide alors que ce soit à votre entourage. Je sais que ça peut être difficile. Moi je sais que je suis perçue par mon entourage comme une femme forte, indépendante. J'ai quitté le foyer familial quand j'avais 14 ans. Je suis partie vivre en Australie quand j'avais 20 ans. J'y connaissais rien. J'ai toujours été... Hyper ambitieuse, j'ai fait du sport à haut niveau. Et en fait, personne ne s'est jamais inquiétée de moi. Je rentrais de l'école, je faisais mes devoirs, j'étais la bonne fille, la bonne élève, tout le machin. J'ai un fort caractère aussi. Et je sais que j'ai cette image dans mon entourage de la femme forte qui a besoin de personne parce qu'elle se débrouille toujours. Elle sait gérer ses émotions, trucs et machins. Et en fait, même... Les femmes fortes, entre guillemets, elles ont parfois le besoin d'avoir un gros câlin, de pleurer, d'être écoutées. Parce qu'en réalité, personne n'est fort, on est tous vulnérables. Moi je suis hyper sensible, j'ai souvent des moments très bas aussi. Ces derniers temps, cette dernière année, j'ai la chance d'avoir un mari qui me soutient, qui m'écoute, qui me laisse exprimer mes émotions. Et voilà, il y a quelque chose aussi qui a été partagé pendant la retraite. Pendant un repas le soir, je leur avais fait des petites questions sur des bouts de papier. En fait, on faisait tourner une pochette avec les papiers et chacune piochait une question. Et il y a une question qui était, quelle est la... question que tu aimerais qu'on te pose plus souvent. Et la femme qui a pioché ce papier, qui s'appelle Pauline, a répondu j'aimerais qu'on me demande plus souvent comment ça va. Mais comment ça va vraiment. Donc c'est peut-être un signe aussi avec cet épisode de podcast, si vous m'avez écouté jusque-là, de demander aux gens qui vous tiennent à cœur comment est-ce qu'ils vont vraiment d'engager la discussion. Parce que des fois on attend que les autres le fassent et le simple fait que nous on lance la chose On va ouvrir un espace d'écoute, un espace de partage. Donc n'hésitez pas à le faire, demandez autour de vous comment vont les gens. N'ayez pas peur des émotions des autres non plus, elles ne vont pas vous manger, elles ne vont pas vous dévorer. Mais je trouve que c'est hyper important d'être là les uns pour les autres. En tout cas quand on peut être là pour les autres. Mais voilà, je crois que c'est tout ce que j'avais envie de vous partager. Maintenant, ma vision pour 2025, ça va être de prendre soin de moi, de diminuer l'inflammation dans mon corps, de diminuer le stress, de mettre ma santé en priorité, d'avancer de manière plus alignée par rapport à ma vision des choses, de retrouver une routine, de faire attention à mon alimentation pour qu'elle soit anti-inflammatoire. et voilà en fait des choses toutes simples mais qui font beaucoup de bien j'espère que vous avez apprécié cet épisode de podcast si c'est le cas, si vous avez eu des déclics des prises de conscience, des questionnements n'hésitez pas à venir m'écrire sur les réseaux sociaux, sur Instagram je vous mettrai mon compte en description j'aime trop discuter avec vous, encore une fois c'est toujours des discussions qui sont hyper intéressantes merci n'hésitez pas à partager cet épisode sur les réseaux sociaux aussi en identifiant si jamais il vous a plu pensez à laisser un avis sur votre plateforme d'écouté préféré à laisser un petit pouce sur youtube ou en commentaire à vous abonner aussi pour ne rien rater que ce soit sur apple podcast spotify youtube peu importe il ya plein d'autres vidéos qui vont arriver plein d'autres podcasts qui vont arriver quand ma vidéo comme un caméra de vlog aura été réparé il y aura les vlogs qui vont reprendre aussi à et voilà écoutez merci pour votre écoute et sur ce je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode ciao ciao

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Description

Hello la team podcast 🥰

Ici Noellie Salgueira, hôte du podcast Pouvoirs Cachés, et aujourd’hui, on va parler vrai.

Si tu te sens souvent sous pression, que t’as l’impression d’être coincée dans une course effrénée où tout le monde semble viser les 6 chiffres, vivre à Bali et travailler 4h par semaine, alors cet épisode est pour toi.


Ces derniers mois, j’ai beaucoup réfléchi à ce que je veux vraiment. Pas ce que l’entrepreneuriat nous vend, pas ce que la société glorifie, mais ce qui, moi, me rend heureuse, alignée et apaisée. Et spoiler alert : ce n’est pas forcément ce que tout le monde considère comme la "réussite".


Dans cet épisode, je vous partage mon plan d’action pour être moins stressée et plus épanouie :
🔥 Redéfinir sa propre réussite (et arrêter de copier celle des autres)
🔥 Construire un business aligné avec ses valeurs et son bien-être
🔥 Prioriser sa santé mentale et physique au lieu de sacrifier son équilibre
🔥 Poser ses limites et exprimer ses besoins sans culpabilité
🔥 Sortir du perfectionnisme et lâcher le contrôle


Bref, un épisode qui fait du bien, qui remet les pendules à l’heure et qui, j’espère, t’aidera à souffler un peu et à avancer avec plus de sérénité.


Dis-moi en DM sur Instagram ce que t’en as pensé : @noelliesalgueira


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sous-titrage Soci J'aimerais commencer cet épisode de podcast en vous disant que si vous n'avez pas écouté l'épisode de podcast dans lequel je partage ce que je n'ai pas dit et partagé en 2024, je vous laisse aller l'écouter parce que je pense qu'il vous donnera du contexte sur ce que je vais partager dans cet épisode de podcast, vu que je vais faire un life update, slash prise de conscience, slash nouvelle décision, etc. Je pense que ça vous permettra d'avoir un peu plus de... bah ouais, de contexte pour comprendre... Qu'est-ce que je veux dire dans ce que je vais dire et mieux comprendre la profondeur de ma pensée. Donc déjà j'aimerais commencer par dire que l'année 2024, je vous en avais parlé, mais a été une année là où j'ai un petit peu couru dans tous les sens. J'adore être à Bali. Enfin si vous me suivez, vous savez que je vis six mois de l'année à Bali. Plus deux mois de plus en Australie. Et du coup l'année dernière j'étais à Bali pendant six mois. Et en fait j'adore Bali. C'est une île qui m'épanouit beaucoup. Mais qui en fait je me suis rendu compte me met énormément dans mon énergie masculine assez bizarrement. Puisque quand on pense à Bali on se dit oui ça doit être hyper reposant. Le yoga, la jungle, le truc et machin. Sauf qu'en vrai quand on vit à Bali. En tout cas, moi, quand je vis à Bali, je suis plus dans une énergie masculine, là où je fais un milliard de trucs par jour. Je vois 10 000 personnes par jour. Je suis surstimulée et j'aime ça, en vrai. Je kiffe vraiment trop ça. Mais en fait, je ne sais pas, l'année dernière, je me suis enfermée un petit peu, je dirais, dans mon business, dans mes objectifs business. Comme si mon business, en fait, c'était toute ma vie et qu'il n'y avait rien d'autre qui importait, en fait. Et c'était devenu mon obsession, ma priorité, mon identité, c'était mon business. J'étais entourée de beaucoup d'entrepreneurs aussi, chose qui est très facile à Bali. Enfin, toutes mes potes à Bali, en vrai, ce sont toutes des entrepreneurs, oui. Et en fait, je m'étais renfermée un peu dans ce cercle du business, business, business, entrepreneuriat. Même dans ma com j'en avais parlé, c'était très axé business. Et en fait, à force d'être enfermée là-dedans, à force de penser que les objectifs des autres, l'image de la réussite que les autres nous partagent, que ce soit sur les réseaux sociaux ou autre, même pas que à Bali. Mais voilà, en fait, j'avais l'impression que cette vision de la réussite... qu'on nous partage, c'était la vision de la réussite que moi j'avais et que j'avais envie d'atteindre. Et du coup en fait je me suis mise à charbonner. En fait c'est trop bizarre parce que je sais que je travaille pas plus de 25 heures par semaine, mais j'ai l'impression en fait d'avoir au taquet travaillé pendant que j'étais à Bali, et que j'étais sans cesse au coworking et tout ça. Mais en même temps, je ne travaillais pas plus de 25 heures par semaine. C'est trop bizarre de le dire comme ça. Parce que je me rends compte que je ne travaillais pas plus que ça. Mais j'ai l'impression d'avoir fait que ça. D'avoir que tout mon mental était sur mon business. La Chili's Academy, les programmes à lancer. Lou, mon assistante. Comment la gérer, comment la faire évoluer. Comment faire évoluer le business et tout ça. Et en fait, j'ai... Je sais pas en fait, je pense que aussi j'ai mis beaucoup de mon égo dans mon business. Ça je l'ai parlé dans l'autre épisode de podcast par rapport au rapport au chiffre d'affaires, par rapport à l'argent et tout ça qui était devenu un peu toxique en 2024. Et du coup en fait, je fonctionnais sur une énergie très masculine, donc très young, très dans l'action. Je me reposais pas trop, je faisais tout le temps des choses, tout le temps avoir du monde, tout le temps aller Alors qu'en vrai c'est pas du tout dans mon mindset ce genre de choses. Mais je me suis retrouvée un petit peu dans cette boucle infernale. Et je m'en suis pas rendue compte mais j'étais, et je pense que c'est parce que justement mon ego était trop imprégné dans mon business. Par rapport aux chiffres, par rapport à l'argent, par rapport au nombre de clientes etc. Je regardais ce que faisaient les autres et du coup je me comparais beaucoup. J'en avais déjà parlé dans l'autre épisode de podcast de toute manière. Et en fait, sans m'en rendre compte, j'ai accumulé l'année dernière du stress, du stress, du stress, du stress, par rapport à mon rythme de vie, à ma vision, à mes croyances par rapport à ce que c'est censé être la réussite, si j'ai envie d'être une businesswoman qui a du succès, qu'est-ce que ça veut dire, etc. Et en fait, je me suis méga stressée. Je pense aussi... que le retour en France n'a pas aidé, vu que quand on est rentré en France, du coup, comme d'habitude on rentre en France pendant 4 mois de l'année, vu que moi j'organise les retraites, Etienne, mon mari, donne des cours dans une école de commerce, dans un master en ingénierie bancaire et financière, donc il a besoin d'être là aussi une certaine période, donc on rentre en fait à chaque fois en France sur quelques mois, et quand on rentre on n'a pas de chez nous, donc on est obligé d'habiter chez la famille, chez les amis, et tout ça, on n'a pas de chez nous. Et en fait, sur la continuité de ça, je suis rentrée en France. Je vous en ai parlé, mais même après Bali, on est allé deux mois en Australie. Une fois qu'on était en Australie, vu qu'à Bali, je suis tout le temps simulée, je vois tout le temps du monde. Quand je suis arrivée en Australie, je n'avais plus du tout cette routine de ouf avec le sport le matin. Je vais boire un café avec mes potes, je vais au coworking, je vais manger avec mes potes ou avec Étienne. Je vais au coworking. Je vais à la danse, je vais manger avec des potes ou avec Étienne, on va voir le coucher de soleil, on rentre. Et rebolote le lendemain matin, là où en fait c'est un rythme qui est hyper effréné, mine de rien. Mais en fait je me suis retrouvée en Australie avec un rythme de vie à l'opposé total, c'est-à-dire j'allais un petit peu au sport le matin, mais j'allais pas à la danse parce qu'il n'y avait pas d'endroit où faire la danse. J'étais beaucoup moins stimulée parce que j'ai beaucoup moins de potes en Australie. Et en fait, c'est comme si le fait d'avoir été hyper stimulée tout le temps à Bali, j'avais pas pris le temps d'analyser, de conscientiser des choses, des peurs, des doutes, des croyances limitantes. Et en fait, en arrivant en Australie, vu que c'était le calme, c'est comme si tout était remonté à la surface. Tout le stress est remonté à la surface. J'ai organisé à cette période-là le challenge Queen of Sales et en fait, ça m'a frappée de plein fouet après le challenge. J'ai été épuisée, j'ai passé je crois deux semaines à faire que pleurer, à tout remettre en question, à douter de moi. J'étais fatiguée, j'étais stressée, il n'y avait rien qui allait. On est rentré en France après l'Australie, je me suis retrouvée chez mes grands-parents, à ne pas avoir de potes, à rien faire vu que c'est un petit village en haut de la montagne. Et à être en fait isolée chez mes grands-parents, à faire que travailler toute la journée. Ne pas être chez moi, être avec Étienne chez quelqu'un d'autre, ne pas avoir notre espace. Être dans un environnement qui visuellement ne me plaît pas. C'est la maison de mes grands-parents, je les adore mais leur décoration n'est pas du tout à mon goût. J'en avais déjà parlé. Mais du coup en fait pareil, ça me bloquait au niveau du business. Ça me bloquait au niveau de la créativité, vous l'avez peut-être remarqué si vous me suivez sur Instagram, ça fait un moment que j'ai pas posté sur Instagram parce qu'en fait c'est un peu un calvaire entre guillemets du créer du contenu dans un environnement qui est, j'ai dit qu'il est moche mais c'est subjectif si ma grand-mère entend ça, elle pète un câble. Mais ouais genre vraiment quoi, ça a impacté mon business aussi. Dans le sens où j'étais pas créative, j'étais fatiguée, j'étais pas stimulée, je voyais personne, je faisais rien. Pareil avec Étienne niveau intimité, c'était hyper compliqué quand t'es chez les autres, faut t'adapter, trucs et machins. Les repas avec mes grands-parents, c'était pas moi qui cuisinais. J'aurais pu cuisiner mais je sais pas, niveau organisation c'était un stress en plus. Bref, en fait c'était vraiment que du stress et il y a beaucoup de choses qui sont remontées à la surface aussi. Et donc... J'arrive où je veux en venir depuis le début. J'avais parlé de notre parcours en PMA dans l'autre épisode de podcast, et ça fait 5 ans que j'essaie de me faire diagnostiquer pour l'endométriose. C'est un peu un parcours du compte battant pour se faire diagnostiquer, et vu qu'on est entré en PMA, qu'on a fait les tests pour la fertilité en début d'année 2024, J'en ai profité pour dire, je pense que j'ai de l'endométriose, on m'a fait une échographie, mais on n'a rien vu, enfin normal à l'échographie on ne voit pas l'endométriose. Donc j'ai dit prescrivez-moi un IRM, et donc j'avais rendez-vous pour l'IRM fin janvier, juste avant la retraite que j'ai organisée à Avignon, qui d'ailleurs était incroyable. Bref, j'ai fait un vlog de la retraite, si jamais vous allez le voir sur Youtube, c'est disponible. Et donc, j'ai fait l'IRM, j'ai été diagnostiquée l'endométriose, une endométriose profonde. Et je m'en doutais, mais en fait, ça m'a ouvert les yeux, en fait, parce que les symptômes de l'endométriose empirent quand il y a trop d'inflammations dans le corps. L'inflammation, et je ne m'y connais pas, mais d'après les recherches que j'ai faites, allez faire vos recherches. L'inflammation empire avec une alimentation pro-inflammatoire. C'est-à-dire que je mangeais déjà beaucoup de gluten, même si j'essayais de faire attention. Mais quand j'étais à Bali, je me faisais kiffer. Chez mes grands-parents, vu que ce n'était pas moi qui cuisinait, je ne sais pas, des fois il y avait du saucisson ou des trucs comme ça, j'en mangeais, du fromage, pareil. Enfin, je ne faisais pas du tout attention à ce que je mangeais. Et autre que ça, ce qui est pro-inflammatoire, c'est le stress. Et vu que j'étais méga stressée, En fait ça a empiré mes symptômes cette dernière année a été très compliquée vis-à-vis de l'endométriose c'est à dire que et toujours encore vu que je suis en train petit à petit de faire diminuer l'inflammation dans mon corps. Et bien en fait ça a été très compliqué parce que mes symptômes cette dernière année se sont vraiment empirés et sont devenus hyper handicapants c'est à dire que ça m'impacte pendant bien deux semaines dans le mois. J'ai de la fatigue chronique, c'est-à-dire que je suis fatiguée tout le temps. J'ai des douleurs au ventre, à l'utérus, qui sont juste insoutenables quand j'ai mes règles. En dehors des règles aussi, pendant l'ovulation. Mais pendant mes règles, en gros, c'est le pire. Et vu que j'ai de l'endométriose aussi localisée au niveau du rectum, j'ai des douleurs dans le rectum qui sont juste insoutenables. Je ne peux pas aller aux toilettes, j'ai même mal quand je fais pipi. Je passe trois jours par mois pendant mes règles allongée au lit, je ne peux pas sortir du lit tellement que j'ai mal. C'est-à-dire que j'ai tellement que j'ai mal, je ne peux même pas avoir une conversation, on ne peut pas me toucher. Je pleure toute la journée dans mon lit tellement que je suis émotive et sensible de fou. La lumière m'agresse, tout m'agresse. Il y a plein d'autres symptômes que cela, mais là c'est ce que j'ai envie de mentionner comme ça. Mais ça a un impact immense parce qu'il y a déjà deux semaines dans le mois là où aussi mentalement, moralement, ça m'affecte énormément. Je pense que c'est dû aux hormones aussi. Là où je suis fatiguée, je pense que si vous avez un SPM qui est assez fort, vous savez qu'en période de SPM, en tout cas moi, peut-être qu'il y en a d'autres qui se reconnaîtront là-dedans aussi, je doute de tout, je me remets en question. Du coup, en fait, à chaque fois, je suis sur une bonne lancée. Et après, j'entre en période de SPM, c'est-à-dire une semaine avant mes règles, là où je remets tout en question. J'ai zéro motivation, je suis fatiguée, mes règles arrivent et là, je suis clouée au lit. Et en fait, à chaque fois, c'est un rythme comme ça, là où ça va et ça va pas. Et après, je suis dans le mal au fond de mon lit et ça impacte en fait mon entreprise. Donc c'est-à-dire que ces derniers mois, j'ai pas pu faire ce que j'aurais aimé faire. Et donc, forcément, les chiffres de mon entreprise ont diminué. Je ne suis pas attachée à mon chiffre d'affaires ou quoi que ce soit. Je pense que j'ai bien retenu la leçon de 2024. Mais, mine de rien, c'est quand même ce qui me permet de vivre. Donc, c'est un peu compliqué. C'est un peu stressant aussi. Et en même temps, je sais que... Là pour le moment la priorité c'est ma santé. Donc. Ma santé, ça a été de me dire là, ces derniers temps, ben vraiment, qu'est-ce qui m'apporte du stress au quotidien, qui pourrait être pro-inflammatoire du coup ? Et ben du coup, on a identifié toutes ces choses-là. Quelque chose qui me stresse beaucoup, c'était de ne pas avoir de chez moi, de toujours me poser la question, qu'est-ce qui va se passer quand on va rentrer en France, enfin même aller à l'étranger, c'est hyper... C'est hyper entre guillemets challengeant parce que même financièrement, il y a toujours des dépenses auxquelles on ne s'attend pas. Il y a toujours des imprévus. Si tu tombes malade à l'étranger, ce n'est pas pareil qu'en France. Maintenant, j'ai été diagnostiquée de l'endométriose aussi. Et puis, on avait commencé le parcours en PMA. Vu qu'à chaque fois qu'on part à l'étranger, il faut repousser les rendez-vous. Donc en fait, je ne prenais pas soin de ma santé. Donc en fait, là, on a décidé... On s'est dit avec Étienne de quoi est-ce qu'on a besoin. On a tous les deux besoin de se poser parce que là notre rythme de vie nous stresse plus qu'autre chose. Partir à l'étranger c'est très chouette, on est hyper excité etc. Mais quand on revient c'est un vrai cauchemar de ne pas avoir de chez nous etc. Pour l'instant on ne se voit pas habiter à Bali toute l'année sur le long terme. J'y reviendrai peut-être ou pas mais ni l'un ni l'autre on se voit habiter à Bali sur le long terme. C'est une autre discussion que je n'aurai pas dans cet épisode de podcast. Mais en gros, voilà, on a décidé de ne pas repartir à Bali. On devait repartir du coup début mars pour pareil refaire six mois. Et ensuite, on avait quand même prévu de se poser à la fin de ces six mois, donc en septembre, vu que Étienne... Si vous me suivez depuis un moment, vous savez qu'on a habité pendant un an à Annecy, à la fin des études de Étienne. donc il avait fait un an d'alternance à Annecy et du coup ça fait je crois 4 ans qu'on est parti de Annecy et en fait ça fait 4 ans que la boîte chez qui il était alternant lui propose un CDI chaque année, chaque année, chaque année et en fait là on s'est dit c'est maintenant, c'est le bon moment on adore Annecy on a tous les deux besoin de se poser de s'ancrer, d'avoir notre chez nous de se sentir ancrée aussi. J'ai lu quelque chose d'Anouk Koroller qui m'avait interviewé sur son podcast d'ailleurs, et qui disait que on a tous besoin d'un camp de base pour pouvoir être ancrée et voyager à partir de là et vivre, partir à l'aventure. Mais on a toujours ce camp de base auquel revenir se ressourcer. C'était un truc comme ça, mais beaucoup plus stylé que quand moi je le dis. Et en fait, c'est un petit peu ça. Aujourd'hui, on a besoin de se sentir posé, d'avoir notre chez-nous. d'avoir une routine aussi parce que mine de rien vu qu'on bougeait beaucoup avant en Australie Bali, revenir en France en fait on a plus de routine et je pense qu'il y a beaucoup de mon stress qui vient du fait que justement j'ai pas de routine que mes habitudes alimentaires changent quand je suis à Bali, quand je suis en Australie, quand je reviens en France, pareil mes habitudes en termes d'exercice physique et plein de choses comme ça et donc on s'est dit là hum On a vraiment besoin de se poser, même pour tous les rendez-vous médicaux que je vais avoir, que j'ai eu. Là, en fait, c'est la santé en priorité. Donc, nous sommes présentement, si vous me regardez sur YouTube, vous voyez enfin une décoration un peu stylée. Et pas ma chambre chez mes grands-parents. Donc, on est à Annecy pendant 20 jours pour chercher un appartement pour se poser dès maintenant. Voilà, on s'est dit qu'on n'allait pas repartir à Bali et se poser en septembre, on s'est dit on le fait de suite parce que pour l'instant, ce qui nous stresse le plus à tous les deux, c'est de ne pas avoir de chez nous. Donc, on commence par là, tout simplement. On reprend l'alimentation correctement, anti-inflammatoire, on prend soin de notre santé à tous les deux, on ralentit, on repose des bonnes bases. Et à la fin de l'année, si on a envie de repartir pendant deux mois à Bali, on repartira. Mais là, pour l'instant, la priorité, elle est autre. Et il n'y a rien de plus important que notre santé. Parce que ça, c'est une autre prise de conscience que j'ai eue cette année. C'est que, si vous êtes entrepreneur, vous savez, notre business repose sur nous. Sur nous, ça veut dire sur nous physiquement. Mais aussi sur nous mentalement, psychologiquement. Et donc en fait si la santé, qu'elle soit physique, mentale, psychologique, émotionnelle, peu importe, ne va pas, le business n'ira pas derrière. Et le business c'est pas le centre. de votre vie, mais par contre, c'est ce qui vous permet de vivre au quotidien, d'avoir un taux au-dessus de votre tête. Moi, avoir un chiffre d'affaires assez élevé, c'est ce qui me permet de postuler, enfin de candidater pour des appartements qui sont à mon goût aussi. Donc, c'est pas le plus important, mais ça a quand même un impact aussi sur la vie de tous les jours, sur le confort, la qualité de vie. Donc, c'est sûr, il ne faut pas négliger ça. Vraiment cette prise de conscience là que j'ai eu, je le savais déjà mais en fait je me suis un peu éloignée et peut-être que, enfin je sais que c'était pas pour un rien, mais en fait ta santé physique et mentale sont ta priorité si tu veux que ton entreprise, que tout tourne derrière en fait. Parce que là je parle du business mais mes relations amicales, pareil en fait, quand ça va pas dans la tête, quand ça va pas dans le corps, ça affecte. tous les secteurs de votre vie. Donc pour moi, en fait, c'est vraiment la priorité sur laquelle se concentrer. Maintenant, une autre prise de conscience et quelque chose que j'aimerais vraiment vous conseiller aussi, c'est de vous rappeler constamment que votre vision de la réussite n'a pas à ressembler à la vision de la réussite qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. C'est-à-dire que moi, l'année dernière, je me suis mis une pression folle parce que déjà, je me suis enfermée dans ce truc focus business, mais qu'en plus, je consommais du... du contenu uniquement de gens qui sont dans le business et qui ont un discours très je vais t'aider à atteindre 6 chiffres par mois et en gros qui peignent une vision de la réussite entrepreneuriale là où il faut 6 chiffres minimum par an, il faut habiter à Bali, il faut être libre de voyager, il faut avoir des trucs de flou là. Et en fait c'est... je me suis rendu compte que c'est pas ma vision de la réussite. Mais en fait, vu que c'est celle qu'on nous communique tout le temps, en fait, t'as l'impression que si tu n'as pas pour objectif ces choses-là, tu vas être, en tout cas moi, je vais parler pour moi, j'avais l'impression que j'allais pas être légitime, que j'allais pas impressionner mes clientes, et que donc, pas grand monde allait vouloir venir chez moi. Mais en fait, moi, ma vision de la réussite, c'est pas de faire 6 chiffres par an. C'est pas de vivre à Bali, j'en ai rien à foutre de tout ça, pour moi, et moi, je parle vraiment pour moi, donc pas besoin de vous identifier à moi, ma vision de la réussite, c'est d'avoir un quotidien apaisant et qui m'apporte du bonheur. C'est tout en fait, c'est pas de faire des millions, c'est pas d'habiter à Bali, c'est pas d'habiter en Australie, c'est des choses qui sont autour, mais moi ma priorité c'est vraiment de me sentir apaisée et heureuse dans mon quotidien. C'est juste ça en fait, je laisse ça là, ça n'a pas besoin d'aller plus loin non plus, et en fait je me suis perdue, et du coup en fait quand tu te perds, qu'est-ce que tu fais ? T'as une vision qui est pas vraiment alignée, et du coup... Si t'as pas une vision alignée, bah derrière ton business pareil va se construire sur quelque chose qui est pas aligné. Quand je parle du business ça va être tout ce qui va être communication. Donc moi je l'ai ressenti, ma manière de communiquer à un moment donné n'était pas du tout alignée avec ce que j'avais envie de dégager, de partager sur les réseaux sociaux. Et en fait ça va impacter beaucoup de choses. Maintenant c'est pas dramatique. J'ai employé le mot je me suis perdue mais je pense pas m'être... perdue, je me suis peut-être un petit peu éloignée de ce qui vibre vraiment à moi à force de me comparer, de regarder ce que font les autres, de ce que prônent les autres etc mais en fait ce qui est important à la fin c'est quoi ? C'est d'avoir la conscience de se ramener à soi et de se dire en fait moi ce que je veux c'est ça, ça peut passer par plein de choses, moi c'est passé par ces problèmes entre guillemets de santé qui m'ont ouvert les yeux vraiment sur ce que je veux mais je pense qu'à n'importe quel moment c'est important de se poser la question en fait qu'est-ce que moi je veux qu'est-ce qui est important pour moi qu'est-ce qui me procure du bonheur vraiment des choses simples qui vous sont propres en fait et je pense qu'il y a un truc avec quoi il faut faire attention c'est vraiment ce qu'on consomme aussi sur les réseaux sociaux il y a des choses qui peuvent être hyper inspirant mais aussi à des choses qui peuvent être hyper entre guillemets frustrantes et culpabilisant surtout quand on nous répète sans cesse quand on nous rabâche sans cesse le même discours Et quand on nous conseille aussi, ça c'est autre chose, quand on nous conseille sans cesse, si tu veux atteindre 6, il faut que tu fasses ça en 7 étapes, et voici 3 trucs que tu dois déconstruire pour atteindre ce truc, et truc et machin, la routine parfaite si tu veux faire 6 chiffres par heure, c'est bon quoi, genre lâchez-nous la grappe. Et ça je pense que c'est autre chose, faites attention au contenu que vous consommez, parce qu'en fait je trouve... Et c'est quelque chose que j'ai envie un petit peu de diminuer dans le contenu que je publie, que je partage. C'est-à-dire qu'il y a un truc qui s'est passé aussi l'année dernière, c'est qu'à force de consommer du contenu comme ça de très éducatif entre guillemets et très donneur de leçons, et bien en fait je me suis pas écoutée à moi. J'écoutais ce que me disaient les autres de faire. Les méthodes qu'on te dit qu'il faut que tu fasses, les stratégies qu'il faut que tu mettes en place. Et en fait du coup tu perds un peu ton pouvoir personnel qui est de prendre des décisions, de suivre ton intuition. Et en fait t'es tout le temps en train d'essayer d'aller chercher le dernier conseil, la dernière stratégie de fou, la dernière tendance, truc et machin. Et en fait ça te dévie juste de ta voix intérieure qui répond beaucoup à ces questions que tu te poses. Et pour lesquelles tu vas chercher les réponses chez les autres alors que les réponses tu les as déjà à l'intérieur de toi. Et c'est pour ça que j'ai envie de publier moins de contenu qui soit hyper éducatif, méthodique, stratégique. Et plus partager des choses personnelles, des partages, des choses plus inspirantes mais moins culpabilisantes. Je dis pas que j'arrêterai de partager des choses éducatives parce que je pense que des fois, enfin c'est chouette et que des fois on en a besoin aussi, mais c'est juste une prise conscience que moi j'ai eu en tout cas et c'est un type de contenu en tout cas que je consomme beaucoup moins ces contenus là où on va te conseiller de faire 36 mille choses pour atteindre ce truc là que tu as envie d'atteindre. Donc voilà je sais pas si ça vous parle, si ça résonne. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire aussi sur Instagram. J'aime trop échanger avec vous par rapport aux sujets qui sont apportés dans les épisodes de podcast. Il y a autre chose aussi que j'ai remarqué, j'en ai parlé un petit peu, mais une autre prise de conscience, c'est de faire attention à ne pas tomber dans la course à la performance qui n'a pas de valeur. Mais en fait c'est la course à la performance juste pour atteindre quelque chose et en fait c'est jamais assez et du coup on va se fixer des objectifs et dès qu'on en atteint un il nous faut atteindre le plus l'autre d'après et encore après et encore après. En fait c'est jamais assez, on n'est jamais satisfait, on doute de nous parce qu'on se dit ah ouais mais en fait on prend jamais le temps de lever la tête du guidon et d'apprécier où est-ce qu'on en est. Il faut toujours plus, plus, plus, plus, plus. C'est dans ce sens là où j'ai envie de parler de la course à la performance. Rappelez-vous de pourquoi. vous faites les choses. Rappelez-vous que vous n'avez pas tout le temps besoin d'être dans la performance, d'être dans l'effort. Vous avez le droit de ralentir, vous avez le droit de faire moins, vous avez le droit de mettre votre attention sur d'autres choses que sur l'entrepreneuriat. Voilà, votre business, c'est pas vous. Votre business ne dit rien de vous, de votre valeur, de votre... Oui, de votre valeur en tant qu'être humain aussi. Je sais que souvent, on a tendance, et c'est là aussi, j'avais envie d'en venir, j'en ai un petit peu parlé au début de cet épisode de podcast, de faire attention à ne pas mettre votre ego dans votre business. C'est quelque chose qui peut arriver très facilement. Et j'en ai parlé avec beaucoup d'entrepreneurs. Moi, c'est quelque chose qui m'est arrivé aussi, en fait, de gérer mon business avec mon ego. Et ça je trouve que c'est assez dommage, je pense que ça peut devenir toxique aussi. Donc de faire attention toujours à pourquoi est-ce que vous faites les choses. Toujours revenir à votre pourquoi pour que vous puissiez le plus possible rester aligné à ce qui est important pour vous. Et pas que vous vous déviez, vous vous épuisiez à faire des choses qui sont tout simplement pas pour vous. Parce qu'il y a peut-être des choses qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. ou ailleurs, et en fait, c'est juste pas pour vous, mais à force de l'entendre, vous êtes convaincus, vous allez vous convaincre vous-même que c'est ça qu'il faut que vous atteigniez, alors que c'est pas ce dont vous avez envie. Pour finir, j'avais envie de vous parler de quelque chose qui me semble assez important, c'est d'être bien entouré et... D'avoir surtout des gens qui vous écoutent. Et de faire attention aux gens dans votre entourage qui vont ne pas vous écouter, être tout le temps dans le conseil, être tout le temps en train de ramener les choses à eux-mêmes par rapport à l'expérience qu'eux, ils ont vécue. Quand vous expliquez quelque chose que vous avez besoin d'être écouté, vous voyez que l'autre personne, ça tambourine dans sa cervelle pour pouvoir répondre. à ce que vous êtes en train de dire pour pouvoir ramener la chose à elle-même, etc. Et en fait, vous ne vous sentez pas écouté. Et je trouve qu'il n'y a rien de plus précieux dans une vie que d'avoir un entourage qui nous écoute. Et qui nous écoute attentivement, qui n'essaie pas de modifier nos émotions, qui n'essaie pas de nous conseiller, de nous corriger. Des fois, en fait, on a juste besoin d'être écouté. Et je trouve que c'est hyper important. hyper important, que c'est hyper précieux. Faites attention de qui est-ce que vous vous entourez aussi, parce que croyez-moi, quand vous vivez quelque chose un petit peu de compliqué, vous avez juste envie d'avoir une équipe, un village autour de vous qui va être là pour vous, et ça c'est trop précieux, ça c'est trop important. D'oser aussi demander de l'aide, ça c'est quelque chose dont J'ai pris conscience, ça a été une petite leçon, de demander de l'aide alors que ce soit à votre entourage. Je sais que ça peut être difficile. Moi je sais que je suis perçue par mon entourage comme une femme forte, indépendante. J'ai quitté le foyer familial quand j'avais 14 ans. Je suis partie vivre en Australie quand j'avais 20 ans. J'y connaissais rien. J'ai toujours été... Hyper ambitieuse, j'ai fait du sport à haut niveau. Et en fait, personne ne s'est jamais inquiétée de moi. Je rentrais de l'école, je faisais mes devoirs, j'étais la bonne fille, la bonne élève, tout le machin. J'ai un fort caractère aussi. Et je sais que j'ai cette image dans mon entourage de la femme forte qui a besoin de personne parce qu'elle se débrouille toujours. Elle sait gérer ses émotions, trucs et machins. Et en fait, même... Les femmes fortes, entre guillemets, elles ont parfois le besoin d'avoir un gros câlin, de pleurer, d'être écoutées. Parce qu'en réalité, personne n'est fort, on est tous vulnérables. Moi je suis hyper sensible, j'ai souvent des moments très bas aussi. Ces derniers temps, cette dernière année, j'ai la chance d'avoir un mari qui me soutient, qui m'écoute, qui me laisse exprimer mes émotions. Et voilà, il y a quelque chose aussi qui a été partagé pendant la retraite. Pendant un repas le soir, je leur avais fait des petites questions sur des bouts de papier. En fait, on faisait tourner une pochette avec les papiers et chacune piochait une question. Et il y a une question qui était, quelle est la... question que tu aimerais qu'on te pose plus souvent. Et la femme qui a pioché ce papier, qui s'appelle Pauline, a répondu j'aimerais qu'on me demande plus souvent comment ça va. Mais comment ça va vraiment. Donc c'est peut-être un signe aussi avec cet épisode de podcast, si vous m'avez écouté jusque-là, de demander aux gens qui vous tiennent à cœur comment est-ce qu'ils vont vraiment d'engager la discussion. Parce que des fois on attend que les autres le fassent et le simple fait que nous on lance la chose On va ouvrir un espace d'écoute, un espace de partage. Donc n'hésitez pas à le faire, demandez autour de vous comment vont les gens. N'ayez pas peur des émotions des autres non plus, elles ne vont pas vous manger, elles ne vont pas vous dévorer. Mais je trouve que c'est hyper important d'être là les uns pour les autres. En tout cas quand on peut être là pour les autres. Mais voilà, je crois que c'est tout ce que j'avais envie de vous partager. Maintenant, ma vision pour 2025, ça va être de prendre soin de moi, de diminuer l'inflammation dans mon corps, de diminuer le stress, de mettre ma santé en priorité, d'avancer de manière plus alignée par rapport à ma vision des choses, de retrouver une routine, de faire attention à mon alimentation pour qu'elle soit anti-inflammatoire. et voilà en fait des choses toutes simples mais qui font beaucoup de bien j'espère que vous avez apprécié cet épisode de podcast si c'est le cas, si vous avez eu des déclics des prises de conscience, des questionnements n'hésitez pas à venir m'écrire sur les réseaux sociaux, sur Instagram je vous mettrai mon compte en description j'aime trop discuter avec vous, encore une fois c'est toujours des discussions qui sont hyper intéressantes merci n'hésitez pas à partager cet épisode sur les réseaux sociaux aussi en identifiant si jamais il vous a plu pensez à laisser un avis sur votre plateforme d'écouté préféré à laisser un petit pouce sur youtube ou en commentaire à vous abonner aussi pour ne rien rater que ce soit sur apple podcast spotify youtube peu importe il ya plein d'autres vidéos qui vont arriver plein d'autres podcasts qui vont arriver quand ma vidéo comme un caméra de vlog aura été réparé il y aura les vlogs qui vont reprendre aussi à et voilà écoutez merci pour votre écoute et sur ce je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode ciao ciao

Description

Hello la team podcast 🥰

Ici Noellie Salgueira, hôte du podcast Pouvoirs Cachés, et aujourd’hui, on va parler vrai.

Si tu te sens souvent sous pression, que t’as l’impression d’être coincée dans une course effrénée où tout le monde semble viser les 6 chiffres, vivre à Bali et travailler 4h par semaine, alors cet épisode est pour toi.


Ces derniers mois, j’ai beaucoup réfléchi à ce que je veux vraiment. Pas ce que l’entrepreneuriat nous vend, pas ce que la société glorifie, mais ce qui, moi, me rend heureuse, alignée et apaisée. Et spoiler alert : ce n’est pas forcément ce que tout le monde considère comme la "réussite".


Dans cet épisode, je vous partage mon plan d’action pour être moins stressée et plus épanouie :
🔥 Redéfinir sa propre réussite (et arrêter de copier celle des autres)
🔥 Construire un business aligné avec ses valeurs et son bien-être
🔥 Prioriser sa santé mentale et physique au lieu de sacrifier son équilibre
🔥 Poser ses limites et exprimer ses besoins sans culpabilité
🔥 Sortir du perfectionnisme et lâcher le contrôle


Bref, un épisode qui fait du bien, qui remet les pendules à l’heure et qui, j’espère, t’aidera à souffler un peu et à avancer avec plus de sérénité.


Dis-moi en DM sur Instagram ce que t’en as pensé : @noelliesalgueira


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Sous-titrage Soci J'aimerais commencer cet épisode de podcast en vous disant que si vous n'avez pas écouté l'épisode de podcast dans lequel je partage ce que je n'ai pas dit et partagé en 2024, je vous laisse aller l'écouter parce que je pense qu'il vous donnera du contexte sur ce que je vais partager dans cet épisode de podcast, vu que je vais faire un life update, slash prise de conscience, slash nouvelle décision, etc. Je pense que ça vous permettra d'avoir un peu plus de... bah ouais, de contexte pour comprendre... Qu'est-ce que je veux dire dans ce que je vais dire et mieux comprendre la profondeur de ma pensée. Donc déjà j'aimerais commencer par dire que l'année 2024, je vous en avais parlé, mais a été une année là où j'ai un petit peu couru dans tous les sens. J'adore être à Bali. Enfin si vous me suivez, vous savez que je vis six mois de l'année à Bali. Plus deux mois de plus en Australie. Et du coup l'année dernière j'étais à Bali pendant six mois. Et en fait j'adore Bali. C'est une île qui m'épanouit beaucoup. Mais qui en fait je me suis rendu compte me met énormément dans mon énergie masculine assez bizarrement. Puisque quand on pense à Bali on se dit oui ça doit être hyper reposant. Le yoga, la jungle, le truc et machin. Sauf qu'en vrai quand on vit à Bali. En tout cas, moi, quand je vis à Bali, je suis plus dans une énergie masculine, là où je fais un milliard de trucs par jour. Je vois 10 000 personnes par jour. Je suis surstimulée et j'aime ça, en vrai. Je kiffe vraiment trop ça. Mais en fait, je ne sais pas, l'année dernière, je me suis enfermée un petit peu, je dirais, dans mon business, dans mes objectifs business. Comme si mon business, en fait, c'était toute ma vie et qu'il n'y avait rien d'autre qui importait, en fait. Et c'était devenu mon obsession, ma priorité, mon identité, c'était mon business. J'étais entourée de beaucoup d'entrepreneurs aussi, chose qui est très facile à Bali. Enfin, toutes mes potes à Bali, en vrai, ce sont toutes des entrepreneurs, oui. Et en fait, je m'étais renfermée un peu dans ce cercle du business, business, business, entrepreneuriat. Même dans ma com j'en avais parlé, c'était très axé business. Et en fait, à force d'être enfermée là-dedans, à force de penser que les objectifs des autres, l'image de la réussite que les autres nous partagent, que ce soit sur les réseaux sociaux ou autre, même pas que à Bali. Mais voilà, en fait, j'avais l'impression que cette vision de la réussite... qu'on nous partage, c'était la vision de la réussite que moi j'avais et que j'avais envie d'atteindre. Et du coup en fait je me suis mise à charbonner. En fait c'est trop bizarre parce que je sais que je travaille pas plus de 25 heures par semaine, mais j'ai l'impression en fait d'avoir au taquet travaillé pendant que j'étais à Bali, et que j'étais sans cesse au coworking et tout ça. Mais en même temps, je ne travaillais pas plus de 25 heures par semaine. C'est trop bizarre de le dire comme ça. Parce que je me rends compte que je ne travaillais pas plus que ça. Mais j'ai l'impression d'avoir fait que ça. D'avoir que tout mon mental était sur mon business. La Chili's Academy, les programmes à lancer. Lou, mon assistante. Comment la gérer, comment la faire évoluer. Comment faire évoluer le business et tout ça. Et en fait, j'ai... Je sais pas en fait, je pense que aussi j'ai mis beaucoup de mon égo dans mon business. Ça je l'ai parlé dans l'autre épisode de podcast par rapport au rapport au chiffre d'affaires, par rapport à l'argent et tout ça qui était devenu un peu toxique en 2024. Et du coup en fait, je fonctionnais sur une énergie très masculine, donc très young, très dans l'action. Je me reposais pas trop, je faisais tout le temps des choses, tout le temps avoir du monde, tout le temps aller Alors qu'en vrai c'est pas du tout dans mon mindset ce genre de choses. Mais je me suis retrouvée un petit peu dans cette boucle infernale. Et je m'en suis pas rendue compte mais j'étais, et je pense que c'est parce que justement mon ego était trop imprégné dans mon business. Par rapport aux chiffres, par rapport à l'argent, par rapport au nombre de clientes etc. Je regardais ce que faisaient les autres et du coup je me comparais beaucoup. J'en avais déjà parlé dans l'autre épisode de podcast de toute manière. Et en fait, sans m'en rendre compte, j'ai accumulé l'année dernière du stress, du stress, du stress, du stress, par rapport à mon rythme de vie, à ma vision, à mes croyances par rapport à ce que c'est censé être la réussite, si j'ai envie d'être une businesswoman qui a du succès, qu'est-ce que ça veut dire, etc. Et en fait, je me suis méga stressée. Je pense aussi... que le retour en France n'a pas aidé, vu que quand on est rentré en France, du coup, comme d'habitude on rentre en France pendant 4 mois de l'année, vu que moi j'organise les retraites, Etienne, mon mari, donne des cours dans une école de commerce, dans un master en ingénierie bancaire et financière, donc il a besoin d'être là aussi une certaine période, donc on rentre en fait à chaque fois en France sur quelques mois, et quand on rentre on n'a pas de chez nous, donc on est obligé d'habiter chez la famille, chez les amis, et tout ça, on n'a pas de chez nous. Et en fait, sur la continuité de ça, je suis rentrée en France. Je vous en ai parlé, mais même après Bali, on est allé deux mois en Australie. Une fois qu'on était en Australie, vu qu'à Bali, je suis tout le temps simulée, je vois tout le temps du monde. Quand je suis arrivée en Australie, je n'avais plus du tout cette routine de ouf avec le sport le matin. Je vais boire un café avec mes potes, je vais au coworking, je vais manger avec mes potes ou avec Étienne. Je vais au coworking. Je vais à la danse, je vais manger avec des potes ou avec Étienne, on va voir le coucher de soleil, on rentre. Et rebolote le lendemain matin, là où en fait c'est un rythme qui est hyper effréné, mine de rien. Mais en fait je me suis retrouvée en Australie avec un rythme de vie à l'opposé total, c'est-à-dire j'allais un petit peu au sport le matin, mais j'allais pas à la danse parce qu'il n'y avait pas d'endroit où faire la danse. J'étais beaucoup moins stimulée parce que j'ai beaucoup moins de potes en Australie. Et en fait, c'est comme si le fait d'avoir été hyper stimulée tout le temps à Bali, j'avais pas pris le temps d'analyser, de conscientiser des choses, des peurs, des doutes, des croyances limitantes. Et en fait, en arrivant en Australie, vu que c'était le calme, c'est comme si tout était remonté à la surface. Tout le stress est remonté à la surface. J'ai organisé à cette période-là le challenge Queen of Sales et en fait, ça m'a frappée de plein fouet après le challenge. J'ai été épuisée, j'ai passé je crois deux semaines à faire que pleurer, à tout remettre en question, à douter de moi. J'étais fatiguée, j'étais stressée, il n'y avait rien qui allait. On est rentré en France après l'Australie, je me suis retrouvée chez mes grands-parents, à ne pas avoir de potes, à rien faire vu que c'est un petit village en haut de la montagne. Et à être en fait isolée chez mes grands-parents, à faire que travailler toute la journée. Ne pas être chez moi, être avec Étienne chez quelqu'un d'autre, ne pas avoir notre espace. Être dans un environnement qui visuellement ne me plaît pas. C'est la maison de mes grands-parents, je les adore mais leur décoration n'est pas du tout à mon goût. J'en avais déjà parlé. Mais du coup en fait pareil, ça me bloquait au niveau du business. Ça me bloquait au niveau de la créativité, vous l'avez peut-être remarqué si vous me suivez sur Instagram, ça fait un moment que j'ai pas posté sur Instagram parce qu'en fait c'est un peu un calvaire entre guillemets du créer du contenu dans un environnement qui est, j'ai dit qu'il est moche mais c'est subjectif si ma grand-mère entend ça, elle pète un câble. Mais ouais genre vraiment quoi, ça a impacté mon business aussi. Dans le sens où j'étais pas créative, j'étais fatiguée, j'étais pas stimulée, je voyais personne, je faisais rien. Pareil avec Étienne niveau intimité, c'était hyper compliqué quand t'es chez les autres, faut t'adapter, trucs et machins. Les repas avec mes grands-parents, c'était pas moi qui cuisinais. J'aurais pu cuisiner mais je sais pas, niveau organisation c'était un stress en plus. Bref, en fait c'était vraiment que du stress et il y a beaucoup de choses qui sont remontées à la surface aussi. Et donc... J'arrive où je veux en venir depuis le début. J'avais parlé de notre parcours en PMA dans l'autre épisode de podcast, et ça fait 5 ans que j'essaie de me faire diagnostiquer pour l'endométriose. C'est un peu un parcours du compte battant pour se faire diagnostiquer, et vu qu'on est entré en PMA, qu'on a fait les tests pour la fertilité en début d'année 2024, J'en ai profité pour dire, je pense que j'ai de l'endométriose, on m'a fait une échographie, mais on n'a rien vu, enfin normal à l'échographie on ne voit pas l'endométriose. Donc j'ai dit prescrivez-moi un IRM, et donc j'avais rendez-vous pour l'IRM fin janvier, juste avant la retraite que j'ai organisée à Avignon, qui d'ailleurs était incroyable. Bref, j'ai fait un vlog de la retraite, si jamais vous allez le voir sur Youtube, c'est disponible. Et donc, j'ai fait l'IRM, j'ai été diagnostiquée l'endométriose, une endométriose profonde. Et je m'en doutais, mais en fait, ça m'a ouvert les yeux, en fait, parce que les symptômes de l'endométriose empirent quand il y a trop d'inflammations dans le corps. L'inflammation, et je ne m'y connais pas, mais d'après les recherches que j'ai faites, allez faire vos recherches. L'inflammation empire avec une alimentation pro-inflammatoire. C'est-à-dire que je mangeais déjà beaucoup de gluten, même si j'essayais de faire attention. Mais quand j'étais à Bali, je me faisais kiffer. Chez mes grands-parents, vu que ce n'était pas moi qui cuisinait, je ne sais pas, des fois il y avait du saucisson ou des trucs comme ça, j'en mangeais, du fromage, pareil. Enfin, je ne faisais pas du tout attention à ce que je mangeais. Et autre que ça, ce qui est pro-inflammatoire, c'est le stress. Et vu que j'étais méga stressée, En fait ça a empiré mes symptômes cette dernière année a été très compliquée vis-à-vis de l'endométriose c'est à dire que et toujours encore vu que je suis en train petit à petit de faire diminuer l'inflammation dans mon corps. Et bien en fait ça a été très compliqué parce que mes symptômes cette dernière année se sont vraiment empirés et sont devenus hyper handicapants c'est à dire que ça m'impacte pendant bien deux semaines dans le mois. J'ai de la fatigue chronique, c'est-à-dire que je suis fatiguée tout le temps. J'ai des douleurs au ventre, à l'utérus, qui sont juste insoutenables quand j'ai mes règles. En dehors des règles aussi, pendant l'ovulation. Mais pendant mes règles, en gros, c'est le pire. Et vu que j'ai de l'endométriose aussi localisée au niveau du rectum, j'ai des douleurs dans le rectum qui sont juste insoutenables. Je ne peux pas aller aux toilettes, j'ai même mal quand je fais pipi. Je passe trois jours par mois pendant mes règles allongée au lit, je ne peux pas sortir du lit tellement que j'ai mal. C'est-à-dire que j'ai tellement que j'ai mal, je ne peux même pas avoir une conversation, on ne peut pas me toucher. Je pleure toute la journée dans mon lit tellement que je suis émotive et sensible de fou. La lumière m'agresse, tout m'agresse. Il y a plein d'autres symptômes que cela, mais là c'est ce que j'ai envie de mentionner comme ça. Mais ça a un impact immense parce qu'il y a déjà deux semaines dans le mois là où aussi mentalement, moralement, ça m'affecte énormément. Je pense que c'est dû aux hormones aussi. Là où je suis fatiguée, je pense que si vous avez un SPM qui est assez fort, vous savez qu'en période de SPM, en tout cas moi, peut-être qu'il y en a d'autres qui se reconnaîtront là-dedans aussi, je doute de tout, je me remets en question. Du coup, en fait, à chaque fois, je suis sur une bonne lancée. Et après, j'entre en période de SPM, c'est-à-dire une semaine avant mes règles, là où je remets tout en question. J'ai zéro motivation, je suis fatiguée, mes règles arrivent et là, je suis clouée au lit. Et en fait, à chaque fois, c'est un rythme comme ça, là où ça va et ça va pas. Et après, je suis dans le mal au fond de mon lit et ça impacte en fait mon entreprise. Donc c'est-à-dire que ces derniers mois, j'ai pas pu faire ce que j'aurais aimé faire. Et donc, forcément, les chiffres de mon entreprise ont diminué. Je ne suis pas attachée à mon chiffre d'affaires ou quoi que ce soit. Je pense que j'ai bien retenu la leçon de 2024. Mais, mine de rien, c'est quand même ce qui me permet de vivre. Donc, c'est un peu compliqué. C'est un peu stressant aussi. Et en même temps, je sais que... Là pour le moment la priorité c'est ma santé. Donc. Ma santé, ça a été de me dire là, ces derniers temps, ben vraiment, qu'est-ce qui m'apporte du stress au quotidien, qui pourrait être pro-inflammatoire du coup ? Et ben du coup, on a identifié toutes ces choses-là. Quelque chose qui me stresse beaucoup, c'était de ne pas avoir de chez moi, de toujours me poser la question, qu'est-ce qui va se passer quand on va rentrer en France, enfin même aller à l'étranger, c'est hyper... C'est hyper entre guillemets challengeant parce que même financièrement, il y a toujours des dépenses auxquelles on ne s'attend pas. Il y a toujours des imprévus. Si tu tombes malade à l'étranger, ce n'est pas pareil qu'en France. Maintenant, j'ai été diagnostiquée de l'endométriose aussi. Et puis, on avait commencé le parcours en PMA. Vu qu'à chaque fois qu'on part à l'étranger, il faut repousser les rendez-vous. Donc en fait, je ne prenais pas soin de ma santé. Donc en fait, là, on a décidé... On s'est dit avec Étienne de quoi est-ce qu'on a besoin. On a tous les deux besoin de se poser parce que là notre rythme de vie nous stresse plus qu'autre chose. Partir à l'étranger c'est très chouette, on est hyper excité etc. Mais quand on revient c'est un vrai cauchemar de ne pas avoir de chez nous etc. Pour l'instant on ne se voit pas habiter à Bali toute l'année sur le long terme. J'y reviendrai peut-être ou pas mais ni l'un ni l'autre on se voit habiter à Bali sur le long terme. C'est une autre discussion que je n'aurai pas dans cet épisode de podcast. Mais en gros, voilà, on a décidé de ne pas repartir à Bali. On devait repartir du coup début mars pour pareil refaire six mois. Et ensuite, on avait quand même prévu de se poser à la fin de ces six mois, donc en septembre, vu que Étienne... Si vous me suivez depuis un moment, vous savez qu'on a habité pendant un an à Annecy, à la fin des études de Étienne. donc il avait fait un an d'alternance à Annecy et du coup ça fait je crois 4 ans qu'on est parti de Annecy et en fait ça fait 4 ans que la boîte chez qui il était alternant lui propose un CDI chaque année, chaque année, chaque année et en fait là on s'est dit c'est maintenant, c'est le bon moment on adore Annecy on a tous les deux besoin de se poser de s'ancrer, d'avoir notre chez nous de se sentir ancrée aussi. J'ai lu quelque chose d'Anouk Koroller qui m'avait interviewé sur son podcast d'ailleurs, et qui disait que on a tous besoin d'un camp de base pour pouvoir être ancrée et voyager à partir de là et vivre, partir à l'aventure. Mais on a toujours ce camp de base auquel revenir se ressourcer. C'était un truc comme ça, mais beaucoup plus stylé que quand moi je le dis. Et en fait, c'est un petit peu ça. Aujourd'hui, on a besoin de se sentir posé, d'avoir notre chez-nous. d'avoir une routine aussi parce que mine de rien vu qu'on bougeait beaucoup avant en Australie Bali, revenir en France en fait on a plus de routine et je pense qu'il y a beaucoup de mon stress qui vient du fait que justement j'ai pas de routine que mes habitudes alimentaires changent quand je suis à Bali, quand je suis en Australie, quand je reviens en France, pareil mes habitudes en termes d'exercice physique et plein de choses comme ça et donc on s'est dit là hum On a vraiment besoin de se poser, même pour tous les rendez-vous médicaux que je vais avoir, que j'ai eu. Là, en fait, c'est la santé en priorité. Donc, nous sommes présentement, si vous me regardez sur YouTube, vous voyez enfin une décoration un peu stylée. Et pas ma chambre chez mes grands-parents. Donc, on est à Annecy pendant 20 jours pour chercher un appartement pour se poser dès maintenant. Voilà, on s'est dit qu'on n'allait pas repartir à Bali et se poser en septembre, on s'est dit on le fait de suite parce que pour l'instant, ce qui nous stresse le plus à tous les deux, c'est de ne pas avoir de chez nous. Donc, on commence par là, tout simplement. On reprend l'alimentation correctement, anti-inflammatoire, on prend soin de notre santé à tous les deux, on ralentit, on repose des bonnes bases. Et à la fin de l'année, si on a envie de repartir pendant deux mois à Bali, on repartira. Mais là, pour l'instant, la priorité, elle est autre. Et il n'y a rien de plus important que notre santé. Parce que ça, c'est une autre prise de conscience que j'ai eue cette année. C'est que, si vous êtes entrepreneur, vous savez, notre business repose sur nous. Sur nous, ça veut dire sur nous physiquement. Mais aussi sur nous mentalement, psychologiquement. Et donc en fait si la santé, qu'elle soit physique, mentale, psychologique, émotionnelle, peu importe, ne va pas, le business n'ira pas derrière. Et le business c'est pas le centre. de votre vie, mais par contre, c'est ce qui vous permet de vivre au quotidien, d'avoir un taux au-dessus de votre tête. Moi, avoir un chiffre d'affaires assez élevé, c'est ce qui me permet de postuler, enfin de candidater pour des appartements qui sont à mon goût aussi. Donc, c'est pas le plus important, mais ça a quand même un impact aussi sur la vie de tous les jours, sur le confort, la qualité de vie. Donc, c'est sûr, il ne faut pas négliger ça. Vraiment cette prise de conscience là que j'ai eu, je le savais déjà mais en fait je me suis un peu éloignée et peut-être que, enfin je sais que c'était pas pour un rien, mais en fait ta santé physique et mentale sont ta priorité si tu veux que ton entreprise, que tout tourne derrière en fait. Parce que là je parle du business mais mes relations amicales, pareil en fait, quand ça va pas dans la tête, quand ça va pas dans le corps, ça affecte. tous les secteurs de votre vie. Donc pour moi, en fait, c'est vraiment la priorité sur laquelle se concentrer. Maintenant, une autre prise de conscience et quelque chose que j'aimerais vraiment vous conseiller aussi, c'est de vous rappeler constamment que votre vision de la réussite n'a pas à ressembler à la vision de la réussite qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. C'est-à-dire que moi, l'année dernière, je me suis mis une pression folle parce que déjà, je me suis enfermée dans ce truc focus business, mais qu'en plus, je consommais du... du contenu uniquement de gens qui sont dans le business et qui ont un discours très je vais t'aider à atteindre 6 chiffres par mois et en gros qui peignent une vision de la réussite entrepreneuriale là où il faut 6 chiffres minimum par an, il faut habiter à Bali, il faut être libre de voyager, il faut avoir des trucs de flou là. Et en fait c'est... je me suis rendu compte que c'est pas ma vision de la réussite. Mais en fait, vu que c'est celle qu'on nous communique tout le temps, en fait, t'as l'impression que si tu n'as pas pour objectif ces choses-là, tu vas être, en tout cas moi, je vais parler pour moi, j'avais l'impression que j'allais pas être légitime, que j'allais pas impressionner mes clientes, et que donc, pas grand monde allait vouloir venir chez moi. Mais en fait, moi, ma vision de la réussite, c'est pas de faire 6 chiffres par an. C'est pas de vivre à Bali, j'en ai rien à foutre de tout ça, pour moi, et moi, je parle vraiment pour moi, donc pas besoin de vous identifier à moi, ma vision de la réussite, c'est d'avoir un quotidien apaisant et qui m'apporte du bonheur. C'est tout en fait, c'est pas de faire des millions, c'est pas d'habiter à Bali, c'est pas d'habiter en Australie, c'est des choses qui sont autour, mais moi ma priorité c'est vraiment de me sentir apaisée et heureuse dans mon quotidien. C'est juste ça en fait, je laisse ça là, ça n'a pas besoin d'aller plus loin non plus, et en fait je me suis perdue, et du coup en fait quand tu te perds, qu'est-ce que tu fais ? T'as une vision qui est pas vraiment alignée, et du coup... Si t'as pas une vision alignée, bah derrière ton business pareil va se construire sur quelque chose qui est pas aligné. Quand je parle du business ça va être tout ce qui va être communication. Donc moi je l'ai ressenti, ma manière de communiquer à un moment donné n'était pas du tout alignée avec ce que j'avais envie de dégager, de partager sur les réseaux sociaux. Et en fait ça va impacter beaucoup de choses. Maintenant c'est pas dramatique. J'ai employé le mot je me suis perdue mais je pense pas m'être... perdue, je me suis peut-être un petit peu éloignée de ce qui vibre vraiment à moi à force de me comparer, de regarder ce que font les autres, de ce que prônent les autres etc mais en fait ce qui est important à la fin c'est quoi ? C'est d'avoir la conscience de se ramener à soi et de se dire en fait moi ce que je veux c'est ça, ça peut passer par plein de choses, moi c'est passé par ces problèmes entre guillemets de santé qui m'ont ouvert les yeux vraiment sur ce que je veux mais je pense qu'à n'importe quel moment c'est important de se poser la question en fait qu'est-ce que moi je veux qu'est-ce qui est important pour moi qu'est-ce qui me procure du bonheur vraiment des choses simples qui vous sont propres en fait et je pense qu'il y a un truc avec quoi il faut faire attention c'est vraiment ce qu'on consomme aussi sur les réseaux sociaux il y a des choses qui peuvent être hyper inspirant mais aussi à des choses qui peuvent être hyper entre guillemets frustrantes et culpabilisant surtout quand on nous répète sans cesse quand on nous rabâche sans cesse le même discours Et quand on nous conseille aussi, ça c'est autre chose, quand on nous conseille sans cesse, si tu veux atteindre 6, il faut que tu fasses ça en 7 étapes, et voici 3 trucs que tu dois déconstruire pour atteindre ce truc, et truc et machin, la routine parfaite si tu veux faire 6 chiffres par heure, c'est bon quoi, genre lâchez-nous la grappe. Et ça je pense que c'est autre chose, faites attention au contenu que vous consommez, parce qu'en fait je trouve... Et c'est quelque chose que j'ai envie un petit peu de diminuer dans le contenu que je publie, que je partage. C'est-à-dire qu'il y a un truc qui s'est passé aussi l'année dernière, c'est qu'à force de consommer du contenu comme ça de très éducatif entre guillemets et très donneur de leçons, et bien en fait je me suis pas écoutée à moi. J'écoutais ce que me disaient les autres de faire. Les méthodes qu'on te dit qu'il faut que tu fasses, les stratégies qu'il faut que tu mettes en place. Et en fait du coup tu perds un peu ton pouvoir personnel qui est de prendre des décisions, de suivre ton intuition. Et en fait t'es tout le temps en train d'essayer d'aller chercher le dernier conseil, la dernière stratégie de fou, la dernière tendance, truc et machin. Et en fait ça te dévie juste de ta voix intérieure qui répond beaucoup à ces questions que tu te poses. Et pour lesquelles tu vas chercher les réponses chez les autres alors que les réponses tu les as déjà à l'intérieur de toi. Et c'est pour ça que j'ai envie de publier moins de contenu qui soit hyper éducatif, méthodique, stratégique. Et plus partager des choses personnelles, des partages, des choses plus inspirantes mais moins culpabilisantes. Je dis pas que j'arrêterai de partager des choses éducatives parce que je pense que des fois, enfin c'est chouette et que des fois on en a besoin aussi, mais c'est juste une prise conscience que moi j'ai eu en tout cas et c'est un type de contenu en tout cas que je consomme beaucoup moins ces contenus là où on va te conseiller de faire 36 mille choses pour atteindre ce truc là que tu as envie d'atteindre. Donc voilà je sais pas si ça vous parle, si ça résonne. Si c'est le cas, n'hésitez pas à me le dire aussi sur Instagram. J'aime trop échanger avec vous par rapport aux sujets qui sont apportés dans les épisodes de podcast. Il y a autre chose aussi que j'ai remarqué, j'en ai parlé un petit peu, mais une autre prise de conscience, c'est de faire attention à ne pas tomber dans la course à la performance qui n'a pas de valeur. Mais en fait c'est la course à la performance juste pour atteindre quelque chose et en fait c'est jamais assez et du coup on va se fixer des objectifs et dès qu'on en atteint un il nous faut atteindre le plus l'autre d'après et encore après et encore après. En fait c'est jamais assez, on n'est jamais satisfait, on doute de nous parce qu'on se dit ah ouais mais en fait on prend jamais le temps de lever la tête du guidon et d'apprécier où est-ce qu'on en est. Il faut toujours plus, plus, plus, plus, plus. C'est dans ce sens là où j'ai envie de parler de la course à la performance. Rappelez-vous de pourquoi. vous faites les choses. Rappelez-vous que vous n'avez pas tout le temps besoin d'être dans la performance, d'être dans l'effort. Vous avez le droit de ralentir, vous avez le droit de faire moins, vous avez le droit de mettre votre attention sur d'autres choses que sur l'entrepreneuriat. Voilà, votre business, c'est pas vous. Votre business ne dit rien de vous, de votre valeur, de votre... Oui, de votre valeur en tant qu'être humain aussi. Je sais que souvent, on a tendance, et c'est là aussi, j'avais envie d'en venir, j'en ai un petit peu parlé au début de cet épisode de podcast, de faire attention à ne pas mettre votre ego dans votre business. C'est quelque chose qui peut arriver très facilement. Et j'en ai parlé avec beaucoup d'entrepreneurs. Moi, c'est quelque chose qui m'est arrivé aussi, en fait, de gérer mon business avec mon ego. Et ça je trouve que c'est assez dommage, je pense que ça peut devenir toxique aussi. Donc de faire attention toujours à pourquoi est-ce que vous faites les choses. Toujours revenir à votre pourquoi pour que vous puissiez le plus possible rester aligné à ce qui est important pour vous. Et pas que vous vous déviez, vous vous épuisiez à faire des choses qui sont tout simplement pas pour vous. Parce qu'il y a peut-être des choses qu'on vous vend sur les réseaux sociaux. ou ailleurs, et en fait, c'est juste pas pour vous, mais à force de l'entendre, vous êtes convaincus, vous allez vous convaincre vous-même que c'est ça qu'il faut que vous atteigniez, alors que c'est pas ce dont vous avez envie. Pour finir, j'avais envie de vous parler de quelque chose qui me semble assez important, c'est d'être bien entouré et... D'avoir surtout des gens qui vous écoutent. Et de faire attention aux gens dans votre entourage qui vont ne pas vous écouter, être tout le temps dans le conseil, être tout le temps en train de ramener les choses à eux-mêmes par rapport à l'expérience qu'eux, ils ont vécue. Quand vous expliquez quelque chose que vous avez besoin d'être écouté, vous voyez que l'autre personne, ça tambourine dans sa cervelle pour pouvoir répondre. à ce que vous êtes en train de dire pour pouvoir ramener la chose à elle-même, etc. Et en fait, vous ne vous sentez pas écouté. Et je trouve qu'il n'y a rien de plus précieux dans une vie que d'avoir un entourage qui nous écoute. Et qui nous écoute attentivement, qui n'essaie pas de modifier nos émotions, qui n'essaie pas de nous conseiller, de nous corriger. Des fois, en fait, on a juste besoin d'être écouté. Et je trouve que c'est hyper important. hyper important, que c'est hyper précieux. Faites attention de qui est-ce que vous vous entourez aussi, parce que croyez-moi, quand vous vivez quelque chose un petit peu de compliqué, vous avez juste envie d'avoir une équipe, un village autour de vous qui va être là pour vous, et ça c'est trop précieux, ça c'est trop important. D'oser aussi demander de l'aide, ça c'est quelque chose dont J'ai pris conscience, ça a été une petite leçon, de demander de l'aide alors que ce soit à votre entourage. Je sais que ça peut être difficile. Moi je sais que je suis perçue par mon entourage comme une femme forte, indépendante. J'ai quitté le foyer familial quand j'avais 14 ans. Je suis partie vivre en Australie quand j'avais 20 ans. J'y connaissais rien. J'ai toujours été... Hyper ambitieuse, j'ai fait du sport à haut niveau. Et en fait, personne ne s'est jamais inquiétée de moi. Je rentrais de l'école, je faisais mes devoirs, j'étais la bonne fille, la bonne élève, tout le machin. J'ai un fort caractère aussi. Et je sais que j'ai cette image dans mon entourage de la femme forte qui a besoin de personne parce qu'elle se débrouille toujours. Elle sait gérer ses émotions, trucs et machins. Et en fait, même... Les femmes fortes, entre guillemets, elles ont parfois le besoin d'avoir un gros câlin, de pleurer, d'être écoutées. Parce qu'en réalité, personne n'est fort, on est tous vulnérables. Moi je suis hyper sensible, j'ai souvent des moments très bas aussi. Ces derniers temps, cette dernière année, j'ai la chance d'avoir un mari qui me soutient, qui m'écoute, qui me laisse exprimer mes émotions. Et voilà, il y a quelque chose aussi qui a été partagé pendant la retraite. Pendant un repas le soir, je leur avais fait des petites questions sur des bouts de papier. En fait, on faisait tourner une pochette avec les papiers et chacune piochait une question. Et il y a une question qui était, quelle est la... question que tu aimerais qu'on te pose plus souvent. Et la femme qui a pioché ce papier, qui s'appelle Pauline, a répondu j'aimerais qu'on me demande plus souvent comment ça va. Mais comment ça va vraiment. Donc c'est peut-être un signe aussi avec cet épisode de podcast, si vous m'avez écouté jusque-là, de demander aux gens qui vous tiennent à cœur comment est-ce qu'ils vont vraiment d'engager la discussion. Parce que des fois on attend que les autres le fassent et le simple fait que nous on lance la chose On va ouvrir un espace d'écoute, un espace de partage. Donc n'hésitez pas à le faire, demandez autour de vous comment vont les gens. N'ayez pas peur des émotions des autres non plus, elles ne vont pas vous manger, elles ne vont pas vous dévorer. Mais je trouve que c'est hyper important d'être là les uns pour les autres. En tout cas quand on peut être là pour les autres. Mais voilà, je crois que c'est tout ce que j'avais envie de vous partager. Maintenant, ma vision pour 2025, ça va être de prendre soin de moi, de diminuer l'inflammation dans mon corps, de diminuer le stress, de mettre ma santé en priorité, d'avancer de manière plus alignée par rapport à ma vision des choses, de retrouver une routine, de faire attention à mon alimentation pour qu'elle soit anti-inflammatoire. et voilà en fait des choses toutes simples mais qui font beaucoup de bien j'espère que vous avez apprécié cet épisode de podcast si c'est le cas, si vous avez eu des déclics des prises de conscience, des questionnements n'hésitez pas à venir m'écrire sur les réseaux sociaux, sur Instagram je vous mettrai mon compte en description j'aime trop discuter avec vous, encore une fois c'est toujours des discussions qui sont hyper intéressantes merci n'hésitez pas à partager cet épisode sur les réseaux sociaux aussi en identifiant si jamais il vous a plu pensez à laisser un avis sur votre plateforme d'écouté préféré à laisser un petit pouce sur youtube ou en commentaire à vous abonner aussi pour ne rien rater que ce soit sur apple podcast spotify youtube peu importe il ya plein d'autres vidéos qui vont arriver plein d'autres podcasts qui vont arriver quand ma vidéo comme un caméra de vlog aura été réparé il y aura les vlogs qui vont reprendre aussi à et voilà écoutez merci pour votre écoute et sur ce je vous dis à très bientôt pour un nouvel épisode ciao ciao

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