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S1-E1 - Soins palliatifs - Apprivoiser la mort et redevenir vivants

S1-E1 - Soins palliatifs - Apprivoiser la mort et redevenir vivants

20min |05/11/2022
Play
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Description

Dans cet épisode numero 1, on aborde un sujet tabou : la mort et l’accompagnement des personnes en fin de vie. 

Tel qu’il se pratique aujourd’hui, ce dernier témoigne du rapt furtif de notre souveraineté en ce qui concerne notre appartenance au vivant et les cycles inhérents à notre nature.

Le matérialisme scientifique, dont beaucoup de gens se réclament aujourd’hui, ne domine les modes de pensée occidentaux que depuis 3 siècles et demi.

Depuis le 17eme siècle, cette idéologie a conduit à l’effacement de notre lien à l’invisible.

Avant, en Occident, et partout ailleurs dans le monde encore aujourd’hui, le lien à l’invisible faisait et fait partie du quotidien.


L’effacement de ce lien conduit à un phénomène d’amnésie collective

Pour la majorité des Occidentaux, nous ignorons désormais que nous faisons partie du vivant dans son ensemble et que, par là, nous sommes soumis aux cycles propres au vivant.

La perte du lien au vivant est ce qui conduit aux dérives écologiques qui se sont accumulées depuis l’avènement de l’ère industrielle.

Désormais, contrairement à d’autres civilisations encore aujourd’hui, nous ne vénérons plus la terre comme notre mère : nous l’appréhendons comme un ensemble de ressources à exploiter.

La médecine matérialiste ne soigne pas des personnes mais des corps morcelés. 


Elle s’est emparée des cycles de la vie et a médicalisé ce qui, il y a à peine quelques décennies, était aux mains des gens.

La naissance et la mort sont devenues des maladies.


Sans nier les apports de la médecine en termes d’hygiène, constatons que cette focalisation matérialiste nous conduit désormais à nous appréhender sous l’angle de notre seule matérialité : nous sommes des corps et nous nous traitons comme des objets dans notre rapport à nous-mêmes et aux autres.


Parallèlement, la laïcisation de la culture a procédé à l’évacuation de tous les rites qui jadis étaient assurés par les familles. Ces rites qui réaffirmaient les liens entre les membres des groupes. 


Désormais, nous sommes des individus qui se côtoient.

Dans le processus, ce qui a toujours fait lien entre les humains s’est effacé.

Ce n’est la faute de personne : c’est la responsabilité de tous.

Car, collectivement, nous nous sommes entraîner dans un processus de repli sur soi.

Et, dans ce mouvement, nous nous sommes laissé dépouiller de ce qui donne du sens à la vie : l’amour, l’être ensemble, la compassion, l’empathie.


Alison Fautré nous parle de son affinité avec la mort.

Elle nous dit comment elle rend la parole au mourant.

Elle nous parle de la façon dont elle relie le mourant à lui-même et à ses proches pour que tout soit dit.

Alison nous offre deux pistes pour accompagner le départ d’un proche.

- se faire accompagner soi-même.

- respecter la parole de la personne occupée à mourir 


Les détails sur ce sujet passionnant sont dans l'épisode.


------------------


Les liens


Patricia Mignone - Le livre La charge mentale des femmes - De l'effondrement au sens  


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Dans cet épisode numero 1, on aborde un sujet tabou : la mort et l’accompagnement des personnes en fin de vie. 

Tel qu’il se pratique aujourd’hui, ce dernier témoigne du rapt furtif de notre souveraineté en ce qui concerne notre appartenance au vivant et les cycles inhérents à notre nature.

Le matérialisme scientifique, dont beaucoup de gens se réclament aujourd’hui, ne domine les modes de pensée occidentaux que depuis 3 siècles et demi.

Depuis le 17eme siècle, cette idéologie a conduit à l’effacement de notre lien à l’invisible.

Avant, en Occident, et partout ailleurs dans le monde encore aujourd’hui, le lien à l’invisible faisait et fait partie du quotidien.


L’effacement de ce lien conduit à un phénomène d’amnésie collective

Pour la majorité des Occidentaux, nous ignorons désormais que nous faisons partie du vivant dans son ensemble et que, par là, nous sommes soumis aux cycles propres au vivant.

La perte du lien au vivant est ce qui conduit aux dérives écologiques qui se sont accumulées depuis l’avènement de l’ère industrielle.

Désormais, contrairement à d’autres civilisations encore aujourd’hui, nous ne vénérons plus la terre comme notre mère : nous l’appréhendons comme un ensemble de ressources à exploiter.

La médecine matérialiste ne soigne pas des personnes mais des corps morcelés. 


Elle s’est emparée des cycles de la vie et a médicalisé ce qui, il y a à peine quelques décennies, était aux mains des gens.

La naissance et la mort sont devenues des maladies.


Sans nier les apports de la médecine en termes d’hygiène, constatons que cette focalisation matérialiste nous conduit désormais à nous appréhender sous l’angle de notre seule matérialité : nous sommes des corps et nous nous traitons comme des objets dans notre rapport à nous-mêmes et aux autres.


Parallèlement, la laïcisation de la culture a procédé à l’évacuation de tous les rites qui jadis étaient assurés par les familles. Ces rites qui réaffirmaient les liens entre les membres des groupes. 


Désormais, nous sommes des individus qui se côtoient.

Dans le processus, ce qui a toujours fait lien entre les humains s’est effacé.

Ce n’est la faute de personne : c’est la responsabilité de tous.

Car, collectivement, nous nous sommes entraîner dans un processus de repli sur soi.

Et, dans ce mouvement, nous nous sommes laissé dépouiller de ce qui donne du sens à la vie : l’amour, l’être ensemble, la compassion, l’empathie.


Alison Fautré nous parle de son affinité avec la mort.

Elle nous dit comment elle rend la parole au mourant.

Elle nous parle de la façon dont elle relie le mourant à lui-même et à ses proches pour que tout soit dit.

Alison nous offre deux pistes pour accompagner le départ d’un proche.

- se faire accompagner soi-même.

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Les détails sur ce sujet passionnant sont dans l'épisode.


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Tel qu’il se pratique aujourd’hui, ce dernier témoigne du rapt furtif de notre souveraineté en ce qui concerne notre appartenance au vivant et les cycles inhérents à notre nature.

Le matérialisme scientifique, dont beaucoup de gens se réclament aujourd’hui, ne domine les modes de pensée occidentaux que depuis 3 siècles et demi.

Depuis le 17eme siècle, cette idéologie a conduit à l’effacement de notre lien à l’invisible.

Avant, en Occident, et partout ailleurs dans le monde encore aujourd’hui, le lien à l’invisible faisait et fait partie du quotidien.


L’effacement de ce lien conduit à un phénomène d’amnésie collective

Pour la majorité des Occidentaux, nous ignorons désormais que nous faisons partie du vivant dans son ensemble et que, par là, nous sommes soumis aux cycles propres au vivant.

La perte du lien au vivant est ce qui conduit aux dérives écologiques qui se sont accumulées depuis l’avènement de l’ère industrielle.

Désormais, contrairement à d’autres civilisations encore aujourd’hui, nous ne vénérons plus la terre comme notre mère : nous l’appréhendons comme un ensemble de ressources à exploiter.

La médecine matérialiste ne soigne pas des personnes mais des corps morcelés. 


Elle s’est emparée des cycles de la vie et a médicalisé ce qui, il y a à peine quelques décennies, était aux mains des gens.

La naissance et la mort sont devenues des maladies.


Sans nier les apports de la médecine en termes d’hygiène, constatons que cette focalisation matérialiste nous conduit désormais à nous appréhender sous l’angle de notre seule matérialité : nous sommes des corps et nous nous traitons comme des objets dans notre rapport à nous-mêmes et aux autres.


Parallèlement, la laïcisation de la culture a procédé à l’évacuation de tous les rites qui jadis étaient assurés par les familles. Ces rites qui réaffirmaient les liens entre les membres des groupes. 


Désormais, nous sommes des individus qui se côtoient.

Dans le processus, ce qui a toujours fait lien entre les humains s’est effacé.

Ce n’est la faute de personne : c’est la responsabilité de tous.

Car, collectivement, nous nous sommes entraîner dans un processus de repli sur soi.

Et, dans ce mouvement, nous nous sommes laissé dépouiller de ce qui donne du sens à la vie : l’amour, l’être ensemble, la compassion, l’empathie.


Alison Fautré nous parle de son affinité avec la mort.

Elle nous dit comment elle rend la parole au mourant.

Elle nous parle de la façon dont elle relie le mourant à lui-même et à ses proches pour que tout soit dit.

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Elle nous dit comment elle rend la parole au mourant.

Elle nous parle de la façon dont elle relie le mourant à lui-même et à ses proches pour que tout soit dit.

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