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La dernière harde - Maurice Genevoix

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03min |27/07/2024
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La Dernière Harde fait partie, avec Raboliot (1925) et La Forêt perdue (1967) du triptyque de Maurice Genevoix consacré à la quête secrète, souvent conflictuelle et violente, qui anime chaque homme, parfois cristallisée par la passion de la chasse. D'aucuns y ont vu "l'un des plus authentiques chefs-d'œuvre romanesques du xxe siècle."

La Dernière Harde revêt une dimension parfois épique, qui ne se révélera pleinement que dans La Forêt perdue. L'allusion au Paradis perdu est néanmoins déjà exprimée : "Il y aurait ce même corps magnifique, plus parfait encore qu'aujourd'hui, la beauté de ses lignes en mouvement, de sa couleur, de sa couronne luisante et rameuse : un secret de tous inconnu, une vie splendide cachée au cœur des bois. Mais dans la même forêt, il y aurait aussi un homme. Et celui-là, seul entre tous, connaîtrait le secret de cette vie".

La fusion entre l'Homme et la bête n'est jamais très loin : "Sous le poil de la bête et dans la poitrine de l'homme, ce serait les mêmes battements du sang, la même fièvre, le même acharnement passionné".


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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La Dernière Harde fait partie, avec Raboliot (1925) et La Forêt perdue (1967) du triptyque de Maurice Genevoix consacré à la quête secrète, souvent conflictuelle et violente, qui anime chaque homme, parfois cristallisée par la passion de la chasse. D'aucuns y ont vu "l'un des plus authentiques chefs-d'œuvre romanesques du xxe siècle."

La Dernière Harde revêt une dimension parfois épique, qui ne se révélera pleinement que dans La Forêt perdue. L'allusion au Paradis perdu est néanmoins déjà exprimée : "Il y aurait ce même corps magnifique, plus parfait encore qu'aujourd'hui, la beauté de ses lignes en mouvement, de sa couleur, de sa couronne luisante et rameuse : un secret de tous inconnu, une vie splendide cachée au cœur des bois. Mais dans la même forêt, il y aurait aussi un homme. Et celui-là, seul entre tous, connaîtrait le secret de cette vie".

La fusion entre l'Homme et la bête n'est jamais très loin : "Sous le poil de la bête et dans la poitrine de l'homme, ce serait les mêmes battements du sang, la même fièvre, le même acharnement passionné".


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La Dernière Harde revêt une dimension parfois épique, qui ne se révélera pleinement que dans La Forêt perdue. L'allusion au Paradis perdu est néanmoins déjà exprimée : "Il y aurait ce même corps magnifique, plus parfait encore qu'aujourd'hui, la beauté de ses lignes en mouvement, de sa couleur, de sa couronne luisante et rameuse : un secret de tous inconnu, une vie splendide cachée au cœur des bois. Mais dans la même forêt, il y aurait aussi un homme. Et celui-là, seul entre tous, connaîtrait le secret de cette vie".

La fusion entre l'Homme et la bête n'est jamais très loin : "Sous le poil de la bête et dans la poitrine de l'homme, ce serait les mêmes battements du sang, la même fièvre, le même acharnement passionné".


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La Dernière Harde revêt une dimension parfois épique, qui ne se révélera pleinement que dans La Forêt perdue. L'allusion au Paradis perdu est néanmoins déjà exprimée : "Il y aurait ce même corps magnifique, plus parfait encore qu'aujourd'hui, la beauté de ses lignes en mouvement, de sa couleur, de sa couronne luisante et rameuse : un secret de tous inconnu, une vie splendide cachée au cœur des bois. Mais dans la même forêt, il y aurait aussi un homme. Et celui-là, seul entre tous, connaîtrait le secret de cette vie".

La fusion entre l'Homme et la bête n'est jamais très loin : "Sous le poil de la bête et dans la poitrine de l'homme, ce serait les mêmes battements du sang, la même fièvre, le même acharnement passionné".


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