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L'actu des luttes - Radio Parleur

Des interpellé.e.s du Lycée Arago mis en examen

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07min |24/05/2018
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Cet après-midi au TGI de Paris, une ambiance joviale et dansante attirait les regards des avocats et des policiers dans le palais de justice. Environ deux cents personnes se sont rassemblées pour attendre leurs camarades incarcérés. Au milieu des journalistes plusieurs parents étaient assaillis de questions et des lycéens hurlaient "freed frome desire" à chaque sortie d'un.e prévenu.e. Pour grand nombre d'entre eux, une mise en examen pour "intrusion illégale dans un lycée en vu de commettre des dégradations en réunion". C'est plus l'incompréhension qui pouvait se lire sur le visage de ces personnes interpellées mardi soir. Les conditions de l'interpellation ont pu s'éclaircir avec effectivement quatre heures passées dans un bus sans eau ni informations. Le rendez-vous donnés par les soutiens mobilisés : c'est la manifestation du 26 mai, pour "ne pas les laisser gagner avec leur répression".

Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Cet après-midi au TGI de Paris, une ambiance joviale et dansante attirait les regards des avocats et des policiers dans le palais de justice. Environ deux cents personnes se sont rassemblées pour attendre leurs camarades incarcérés. Au milieu des journalistes plusieurs parents étaient assaillis de questions et des lycéens hurlaient "freed frome desire" à chaque sortie d'un.e prévenu.e. Pour grand nombre d'entre eux, une mise en examen pour "intrusion illégale dans un lycée en vu de commettre des dégradations en réunion". C'est plus l'incompréhension qui pouvait se lire sur le visage de ces personnes interpellées mardi soir. Les conditions de l'interpellation ont pu s'éclaircir avec effectivement quatre heures passées dans un bus sans eau ni informations. Le rendez-vous donnés par les soutiens mobilisés : c'est la manifestation du 26 mai, pour "ne pas les laisser gagner avec leur répression".

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Cet après-midi au TGI de Paris, une ambiance joviale et dansante attirait les regards des avocats et des policiers dans le palais de justice. Environ deux cents personnes se sont rassemblées pour attendre leurs camarades incarcérés. Au milieu des journalistes plusieurs parents étaient assaillis de questions et des lycéens hurlaient "freed frome desire" à chaque sortie d'un.e prévenu.e. Pour grand nombre d'entre eux, une mise en examen pour "intrusion illégale dans un lycée en vu de commettre des dégradations en réunion". C'est plus l'incompréhension qui pouvait se lire sur le visage de ces personnes interpellées mardi soir. Les conditions de l'interpellation ont pu s'éclaircir avec effectivement quatre heures passées dans un bus sans eau ni informations. Le rendez-vous donnés par les soutiens mobilisés : c'est la manifestation du 26 mai, pour "ne pas les laisser gagner avec leur répression".

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