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L'actu des luttes - Radio Parleur

Au tribunal, le droit de manifester des Gilets Jaunes sur le fil du rasoir

Au tribunal, le droit de manifester des Gilets Jaunes sur le fil du rasoir

09min |11/01/2019
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Description

Yanna a été condamnée par la 24ème chambre du tribunal de Paris. En se débattant pendant son interpellation, elle a pulvérisé de la peinture noire dans l'oeil d'un CRS. Cinq mois de prison avec sursis pour cette jeune femme de 27 ans. Deux mois après le début du mouvement des Gilets Jaunes, c’est au tribunal qu’elle et les autres interpellé·e·s découvrent l’univers judiciaire. Les 7, 8, 9 et 10 janvier, des manifestant·e·s, des « pillards », des « casseurs », en gilet jaune ou non, ont dû justifier de leur présence à Paris les jours de mobilisation. Souvent mal préparé·e·s, ils et elles ont fait face à un ministère public toujours à la limite de réprimer la manifestation elle-même, plutôt que des comportements illégaux. 

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Yanna a été condamnée par la 24ème chambre du tribunal de Paris. En se débattant pendant son interpellation, elle a pulvérisé de la peinture noire dans l'oeil d'un CRS. Cinq mois de prison avec sursis pour cette jeune femme de 27 ans. Deux mois après le début du mouvement des Gilets Jaunes, c’est au tribunal qu’elle et les autres interpellé·e·s découvrent l’univers judiciaire. Les 7, 8, 9 et 10 janvier, des manifestant·e·s, des « pillards », des « casseurs », en gilet jaune ou non, ont dû justifier de leur présence à Paris les jours de mobilisation. Souvent mal préparé·e·s, ils et elles ont fait face à un ministère public toujours à la limite de réprimer la manifestation elle-même, plutôt que des comportements illégaux. 

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Yanna a été condamnée par la 24ème chambre du tribunal de Paris. En se débattant pendant son interpellation, elle a pulvérisé de la peinture noire dans l'oeil d'un CRS. Cinq mois de prison avec sursis pour cette jeune femme de 27 ans. Deux mois après le début du mouvement des Gilets Jaunes, c’est au tribunal qu’elle et les autres interpellé·e·s découvrent l’univers judiciaire. Les 7, 8, 9 et 10 janvier, des manifestant·e·s, des « pillards », des « casseurs », en gilet jaune ou non, ont dû justifier de leur présence à Paris les jours de mobilisation. Souvent mal préparé·e·s, ils et elles ont fait face à un ministère public toujours à la limite de réprimer la manifestation elle-même, plutôt que des comportements illégaux. 

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Yanna a été condamnée par la 24ème chambre du tribunal de Paris. En se débattant pendant son interpellation, elle a pulvérisé de la peinture noire dans l'oeil d'un CRS. Cinq mois de prison avec sursis pour cette jeune femme de 27 ans. Deux mois après le début du mouvement des Gilets Jaunes, c’est au tribunal qu’elle et les autres interpellé·e·s découvrent l’univers judiciaire. Les 7, 8, 9 et 10 janvier, des manifestant·e·s, des « pillards », des « casseurs », en gilet jaune ou non, ont dû justifier de leur présence à Paris les jours de mobilisation. Souvent mal préparé·e·s, ils et elles ont fait face à un ministère public toujours à la limite de réprimer la manifestation elle-même, plutôt que des comportements illégaux. 

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