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Sur les Rives du Fleuve Congo

Recycler l'urine au jardin #5 décembre 2020

Recycler l'urine au jardin #5 décembre 2020

1h03 |06/12/2020|

13

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Description

Et si, pour se passer des engrais chimiques, on valorisait nos excréments. En janvier dernier, bien avant les affres de la bête à picots, l’équipe du Miroir des sciences est allé rencontrer une anthropologue et une designeure qui travaillent sur la collecte et la valorisation de l’urine en milieu urbain
Marine Legrand est chargée de l’animation du projet Ocapi, piloté par Fabien Esculier à l’Ecole des Ponts et Chaussées de Champs-sur-Marne. Ensemble, ils s’intéressent aux cycles biogéochimiques en ville et en particulier à la gestion des excrétions urbaines de nutriments. Plus spécifiquement, Ocapi contribue à réouvrir, un siècle après sa disparition, le débat sur les modalités de gestion des urines et matières fécales en ville
Quant à Louise Raguet, elle a conçu et réalisé un urinoir sec pour femmes. Le but : réduire les files d’attente dans les toilettes des filles et collecter l’urine pour la valoriser. Mais c’est aussi une revendication pour l’égalité des sexes et la réduction de l’impact environnementale des grandes métropoles.

En fin d’émission, la chronique de Simon Chupin, ci devant résident du média lab de la Casemate, le centre de culture scientifique de Grenoble. De quoi vous nous parlez ?
Des jeux vidéo et de l’étude des mécanismes cognitifs qu’ils entrainent, en particulier grâce à leur « jouabilité ».

Et, François Legrand propose une séquence retour vers le futur avec une évocation de l’héritage techno scientifique de l’époque 1974-1981 (les années Giscard).


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

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Et si, pour se passer des engrais chimiques, on valorisait nos excréments. En janvier dernier, bien avant les affres de la bête à picots, l’équipe du Miroir des sciences est allé rencontrer une anthropologue et une designeure qui travaillent sur la collecte et la valorisation de l’urine en milieu urbain
Marine Legrand est chargée de l’animation du projet Ocapi, piloté par Fabien Esculier à l’Ecole des Ponts et Chaussées de Champs-sur-Marne. Ensemble, ils s’intéressent aux cycles biogéochimiques en ville et en particulier à la gestion des excrétions urbaines de nutriments. Plus spécifiquement, Ocapi contribue à réouvrir, un siècle après sa disparition, le débat sur les modalités de gestion des urines et matières fécales en ville
Quant à Louise Raguet, elle a conçu et réalisé un urinoir sec pour femmes. Le but : réduire les files d’attente dans les toilettes des filles et collecter l’urine pour la valoriser. Mais c’est aussi une revendication pour l’égalité des sexes et la réduction de l’impact environnementale des grandes métropoles.

En fin d’émission, la chronique de Simon Chupin, ci devant résident du média lab de la Casemate, le centre de culture scientifique de Grenoble. De quoi vous nous parlez ?
Des jeux vidéo et de l’étude des mécanismes cognitifs qu’ils entrainent, en particulier grâce à leur « jouabilité ».

Et, François Legrand propose une séquence retour vers le futur avec une évocation de l’héritage techno scientifique de l’époque 1974-1981 (les années Giscard).


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Marine Legrand est chargée de l’animation du projet Ocapi, piloté par Fabien Esculier à l’Ecole des Ponts et Chaussées de Champs-sur-Marne. Ensemble, ils s’intéressent aux cycles biogéochimiques en ville et en particulier à la gestion des excrétions urbaines de nutriments. Plus spécifiquement, Ocapi contribue à réouvrir, un siècle après sa disparition, le débat sur les modalités de gestion des urines et matières fécales en ville
Quant à Louise Raguet, elle a conçu et réalisé un urinoir sec pour femmes. Le but : réduire les files d’attente dans les toilettes des filles et collecter l’urine pour la valoriser. Mais c’est aussi une revendication pour l’égalité des sexes et la réduction de l’impact environnementale des grandes métropoles.

En fin d’émission, la chronique de Simon Chupin, ci devant résident du média lab de la Casemate, le centre de culture scientifique de Grenoble. De quoi vous nous parlez ?
Des jeux vidéo et de l’étude des mécanismes cognitifs qu’ils entrainent, en particulier grâce à leur « jouabilité ».

Et, François Legrand propose une séquence retour vers le futur avec une évocation de l’héritage techno scientifique de l’époque 1974-1981 (les années Giscard).


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Et si, pour se passer des engrais chimiques, on valorisait nos excréments. En janvier dernier, bien avant les affres de la bête à picots, l’équipe du Miroir des sciences est allé rencontrer une anthropologue et une designeure qui travaillent sur la collecte et la valorisation de l’urine en milieu urbain
Marine Legrand est chargée de l’animation du projet Ocapi, piloté par Fabien Esculier à l’Ecole des Ponts et Chaussées de Champs-sur-Marne. Ensemble, ils s’intéressent aux cycles biogéochimiques en ville et en particulier à la gestion des excrétions urbaines de nutriments. Plus spécifiquement, Ocapi contribue à réouvrir, un siècle après sa disparition, le débat sur les modalités de gestion des urines et matières fécales en ville
Quant à Louise Raguet, elle a conçu et réalisé un urinoir sec pour femmes. Le but : réduire les files d’attente dans les toilettes des filles et collecter l’urine pour la valoriser. Mais c’est aussi une revendication pour l’égalité des sexes et la réduction de l’impact environnementale des grandes métropoles.

En fin d’émission, la chronique de Simon Chupin, ci devant résident du média lab de la Casemate, le centre de culture scientifique de Grenoble. De quoi vous nous parlez ?
Des jeux vidéo et de l’étude des mécanismes cognitifs qu’ils entrainent, en particulier grâce à leur « jouabilité ».

Et, François Legrand propose une séquence retour vers le futur avec une évocation de l’héritage techno scientifique de l’époque 1974-1981 (les années Giscard).


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