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Rébellion Féminine

RF4. VIvre de son business ou survivre de son business ?

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17min |26/02/2025
Play
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Rébellion Féminine

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17min |26/02/2025
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Description

Dans cet épisode, je te confronte à une réalité qui dérange : pourquoi te contenter de survivre quand tu as créé ton business pour vivre pleinement ?

Trop souvent, on se limite à payer nos charges, à survivre au quotidien, alors qu'en réalité, ton entreprise peut t'offrir bien plus qu'une simple rémunération.

Je t'explique comment sortir de cet état d'esprit survivaliste, redéfinir ta vision de la réussite et viser une vie d'abondance et de liberté.

Si tu es prête à dépasser le mode "juste assez" pour enfin tout avoir, cet épisode est ton signal pour changer de cap.

Prête à passer de la survie à la vie ?

------------------------------------

Rébellion Féminine : Le podcast des cheffes d’entreprise qui refusent de jouer petit.


Ici, on parle mindset, leadership et ambition sans filtre.

Parce que tu sais que tu es faite pour plus – plus d’argent, plus d’impact, plus de liberté – et il est temps d’OSER tout prendre.

Tu veux exploser tes plafonds et assumer ta posture de leader inébranlable ?

Ce podcast est là pour te challenger, déconstruire les conditionnements qui te freinent et te propulser vers ton next level.

Chaque épisode, un électrochoc pour te libérer des croyances limitantes et passer à l’action.

🚀 Prête à assumer pleinement ton ambition ?

Rejoins le club privé Rébellion Féminine et entoure-toi de femmes qui, comme toi, veulent tout. DM "REBELLE" sur Instagram (@anais.feltro) pour en savoir plus.

Ou clique ici pour découvrir le club Rébellion Féminine


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vivre ou survivre sans poème, sans blesser tout ce qu'il aime, être heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux. Je crois que c'est à peu près ça l'air, tu vois ? C'est de Daniel Balavoine, vivre ou survivre. Et si je te chante ça aujourd'hui, c'est parce qu'on va parler de vivre de son business ou survivre finalement. C'est quoi cette vision survivaliste là ? Je veux juste vivre de mon business. Bon, c'est cool. Après, vivre de son business, c'est relatif à chaque personne, en fonction du train de vie de chacun, chacune. Ok, disons ça. Mais c'est quoi cette vision survivaliste de si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si je me verse un gros SMIC... avec mon business, c'est déjà pas mal. Je te parle de l'argent que tu touches, ok ? Donc, petit point rapide, on ouvre une parenthèse, peu importe ton statut juridique, patati patata, je ne suis pas en train de te parler du chiffre d'affaires de la boîte. Je suis en train de te parler de l'argent que tu mets dans ta poche. Donc, le chiffre d'affaires, tu vas en tirer de toute façon de l'argent pour toi. Après avoir payé, oui, tu vas payer tes impôts, ton URSAF, tes charges. de roulement, bref, en fonction de ton statut et du fonctionnement de la boîte. Il y a forcément un moment donné où tu vas te verser, toi, une rémunération. D'accord ? Peu importe la forme que ça prend. Voilà, on n'est pas là pour polémiquer sur « si je suis micro-entreprise, alors vivre dans mon business voudrait dire déduire les 25% du ressort, puis les je-sais-pas-quoi. » Ce n'est pas la question. Arrête de chipoter, on arrête de bégayer. Ce n'est pas un podcast juridique ni fiscaliste. D'accord ? On est en train de se dire Là, il y a des pensées qui sont, si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si j'arrive à me verser un gros SMIC, c'est déjà bien. Le reste, c'est du bonus. Stop. En fait, juste stop. Depuis quand entreprendre, c'est juste, guillemets, ouvert, ouvre les guillemets, tenir le coup, fermer les guillemets ? Depuis quand être à ton compte, c'est de contenter du minimum ? Depuis quand ? Vivre de ton business signifie payer tes obligations et prier pour qu'il reste quelque chose, en gros, tu vois, ok. T'as pas créé ton business pour survivre ? Je crois pas. Je pense qu'il y a cette notion. Après attention, on m'a déjà dit aussi oui, mais tu vois, on préfère parfois quitter un job à 3000 euros par mois dans lequel on se sent pas bien pour pouvoir au moins se verser 1500 euros avec lesquels on se sent libre, parce qu'on est à notre compte. Mais si t'es libre, mais que t'es solvable nulle part, trois petits points, voilà. Je crois qu'on a créé nos business pour la liberté, pour vivre pleinement. Si la somme que tu prends de ta boîte, celle que tu te verses à toi, elle te permet de vivre pleinement, et de tout avoir, tout ce que tu veux, ben oui, on est dans de la vie. Si ce que tu te verses te permet uniquement de rembourser ton prêt, payer des factures, payer à bouffer, payer la maison, enfin tu vois, les choses obligatoires de la vie, sans pouvoir te permettre de partir en week-end de temps en temps si t'en as envie, de prendre des vacances si tu le souhaites, et de devoir toujours compter, alors est-ce que t'es vraiment en train de vivre ? Est-ce que t'es vraiment... Libre. Tu vois ? C'est une vraie question que je pose et je serais ravie d'avoir ton retour. Tu me cherches... Enfin, tu me cherches... Non, pas du tout ! Tu vas me trouver sur Insta, dans la description de l'épisode. Tu cliques sur le lien et je serais ravie d'échanger et de savoir comment... Bon, je ne vais pas te cacher que l'ordinateur s'est éteint en plein enregistrement. Je crois que j'en suis à te dire... de venir discuter avec moi, que je serais ravie d'échanger avec toi, pour échanger sur nos points de vue, parce que je serais ravie de savoir comment toi tu vois les choses, tu vois. Voilà, je crois que ça s'est arrêté là, j'ai réécouté vite fait dans les dernières secondes, et j'avoue ne pas souhaiter réécouter encore avant, savoir où j'en étais dans mon épisode, donc je prends le train en marche, tout va bien se passer, je suis sûre que le fil va se tenir. Cette vision survivaliste... Non, ce que je voudrais plutôt dire, c'est que je fais cet épisode parce que j'ai envie de creuser, peut-être même déconstruire ce mindset de survie. Voilà. Et j'ai envie de... partager ma vision qui est que on peut viser beaucoup plus grand et qu'on a le droit de viser beaucoup plus grand et pourquoi est-ce que finalement c'est hyper avantageux hyper positif même si il va falloir aller après étape par étape et 1 2 3 étape par étape ne pas se brûler les ailes etc mais assurément viser plus grand vouloir plus même dès le début c'est déjà une vision hyper claire, une ambition assumée, assise, c'est là, c'est en place, c'est solide. Et puis après, ouais, tu passeras très certainement des steps pour pouvoir atteindre les objectifs. Mais tu vois, il y a vraiment une notion là, dans ce que je dis, qui est, il y a une vision survivaliste. Et si tu as une vision survivaliste, alors tu ne pourras pas passer des paliers, parce que tu ne seras que dans la survie et tu vas y rester. Alors que si, dès le départ, tu t'autorises une vision de vie, vraiment la vie, tu vois, et pas la survie, alors la façon dont tu vas construire ta liberté, elle sera différente. Et le travail que tu vas mener, il sera progressif au fur et à mesure. Et pas dès que tu vas être en souffrance, dès que ça va résister ou dès que ça sera la merde, là tu te diras, ah, faudrait peut-être que je travaille ceci, cela. Tu perds du temps, en fait. Toi qui veux plus de temps, pourquoi t'en perds au lieu de tout de suite te mettre dans le mood de tes réelles ambitions. Bon. Je crois qu'on... On nous a souvent appris, je sais pas si ça a fait bip bip, je sais même pas si on entendra ça dans le truc, bon, on nous a appris à voir l'argent comme une ressource limitée. Ne sois pas trop gourmande, si tu gagnes juste assez c'est déjà bien, tu devrais être reconnaissante de pouvoir vivre de ton business, et ce peu importe la somme tu vois, voilà. Je crois que la conséquence de ça, ou les conséquences, c'est que tu te mets à travailler juste pour couvrir tes charges, mais sans jamais créer vraiment cette... La liberté et la vision réelle que tu en as, si tu t'es pas encore posé la question, mais ma vision de la liberté c'est quoi exactement ? Si je prends un grand sac qui s'appelle liberté, je mets quoi dans le sac pour pouvoir être heureuse, être épanouie dans ma vie ? Et ça se construit, évidemment que ça se construit. Mais pour ça il faut déjà le visualiser pour le construire. Parce que si c'est dans un coin sans jamais réellement prendre vie... Bah, tu construis rien du tout. En tout cas, pas ce que tu souhaites. T'es plutôt en train de suivre le flow au lieu de suivre le plan. Tu vois ce que je veux dire ? Tu plafonnes aussi, parce que ton seul objectif, c'est de, on ouvre les guillemets, tenir le coup, on ferme les guillemets. Et tu penses même pas, en fait, à multiplier tes revenus, à investir peut-être, ou peut-être même à trop investir, et du coup, tu te mets plus en priorité. Enfin, il y a tout un cercle, un peu. qui n'est pas vertueux, en tout cas, qui va se développer autour de cette vision survivaliste. Il y a un deuxième truc aussi qui revient beaucoup, je trouve, c'est l'héritage de la peur du manque. Si tu es issu d'une famille qui a toujours su... non, qui a toujours dû, plutôt, se battre pour s'en sortir, cet état d'esprit-là, il est là, il est en toi, tu luttes, tu luttes, tout le temps, tu luttes tout le temps. C'est fatigant, on est d'accord quand même, c'est fatigant de lutter en permanence, non ? Donc je te le répète, l'héritage et la peur du manque, tu ne l'as pas demandé, tu l'as eu, ça t'a été transmis, c'est là. Si tu as grandi dans un environnement où tu as vu ta famille toujours se battre pour s'en sortir, la mentalité elle est là. Encore plus d'ailleurs dans certaines situations où finalement tu t'es rendu compte toi-même de par ton parcours et tes expériences qu'il fallait peut-être te battre plus que d'autres pour pouvoir t'en sortir. Tu vois, ce sentiment-là de lutte en permanence et qui poursuit et qui est attaché comme un boulet au pied, on peut s'en débarrasser en tout cas. L'héritage de la peur du manque, c'est aussi le fait de chercher d'abord la sécurité avant même d'oser rêver. Alors que ça peut s'aligner, s'équilibrer et... On peut rêver et construire sa sécurité. Tu crois qu'il faut d'abord mériter, tu sais, avant de t'autoriser à avoir plus. Tu vois, il y a un peu ce truc-là. Il faut que je mérite. Pour mériter, il faut que je sois dans le dur. Il faut que je souffre un peu, sinon je ne mérite pas si je n'ai pas souffert, tu vois. Mais la vraie question, c'est pourquoi en fait ton seul objectif serait de payer tes factures ? Pourquoi... Tu ne viserais pas une vie où l'argent n'est plus un stress ? Et pourquoi survivre ? Quand tu peux créer toi-même ta prospérité puisque tu es ta propre patronne. Je suis désolée pour les bip-bip et tout, c'est le chargeur de l'ordi qui pète un câble. Je vais pas recommencer, je vais pas effacer, on va accepter toutes les deux le bip-bip. Voilà. Troisième mot, il y a aussi la peur d'assumer qu'on veut tout. Bah ouais. Parce que vouloir juste assez, c'est socialement acceptable. Parce que vouloir beaucoup, c'est vu comme excessif, matérialiste, égoïste. Parce qu'on nous a conditionnés à croire que l'ambition financière devait être raisonnable. Résultat des cours, je crois que tu fixes des prix qui ne sont pas à ta juste valeur, tu culpabilises quand tu gagnes plus que prévu. Tu sais, qu'est-ce que je vais faire de toute cette oseille ? Tu ne sais même pas ce que tu ferais avec l'argent si tu gagnais plus. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Voilà. Je répète cette phrase-là. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Mais si tu changes de perspective, tu vois, si tu changes de prisme, si ton business, il pouvait te permettre de vivre une vie beaucoup moins contraignante, si tu pouvais générer de l'argent pour toi. Prendre du temps pour toi, choisir tes clients, prendre du temps pour les choses importantes pour toi, investir, croître, développer. On peut utiliser plein d'autres mots, mais je crois qu'on saisit bien l'idée là. Et si ça c'était possible en fait, il faudrait déjà mettre l'énergie au bon endroit. Ça c'est sûr, parce que si tu es dans un état d'esprit de survie... Ton focus il est jamais au bon endroit, il est surtout sur le fait de pouvoir calmer ton syndrome de l'imposteur, calmer ta peur de la réussite, calmer ta peur de l'échec, calmer ta peur d'être exposé, calmer ta peur d'être jugé, d'être critiqué, et du coup ton focus il est pas au bon endroit. Donc voilà comment je crois qu'on peut passer de cet état d'esprit survivaliste à la vie pleine, qu'on croque à pleines dents. Tu peux changer ton objectif. Plutôt que de te dire je veux que mon business me permette de payer mes factures, pouvoir te dire je veux créer un business qui me permet de vivre dans l'abondance et puis définir ce que signifie l'abondance. pour toi ça veut dire en fait tout de suite être dans je vise plus haut que mes besoins de base ça veut dire intégré que l'argent c'est pas un luxe c'est une liberté ça veut dire comprendre que ce que tu gagnes te permet de choisir. Et a pour rôle, en fait, de te permettre de choisir. Tu peux revoir ton rapport à l'argent. Tu bosses pas pour payer des factures. Tu bosses pour créer une vie qui te plaît. Gagner beaucoup, ce n'est pas égoïste. C'est ce qui te permet d'avoir du choix. C'est ce qui te permet d'avoir encore plus d'impact. Si ça t'intéresse, c'est peut-être même ce qui te permet d'avoir une certaine forme de pouvoir. La sécurité financière, ce n'est pas un plafond. C'est ton point de départ. La sécurité financière, je te le redis, tu vois, la sécurité financière, ce n'est pas un plafond, c'est ton point de départ. Et quand tu comprendras ça, tu ne vas plus travailler pour, on ouvre les guillemets, tenir. ferme les guillemets, tu travailleras pour l'expansion, tu travailleras pour croître professionnellement et personnellement, et même faire croître très certainement les gens qui t'entourent, que ce soit ton entourage proche ou ton audience ou tes clients, qui tu veux. veux, qui tu souhaites, enfin voilà. Et puis, il y a un autre truc que tu peux faire aussi, c'est structurer, déléguer, bon, en fonction de là où tu en es dans ton business, parce que l'idée, ce n'est pas de travailler plus, ce n'est pas la solution, mais tu peux travailler plus intelligemment en tout cas. Est-ce qu'il y a une stratégie qui te permet de gagner plus sans bosser plus dans ton business ? Est-ce que tu y as pensé ? Est-ce que tu as retravaillé ton business modèle ? Est-ce que le business modèle que tu as maintenant te coince ? T'épuises ? Ou au contraire, ça te permet vraiment de te nourrir ? Est-ce que t'as construit un business qui fonctionne pour toi ? Ou est-ce que t'es encore dans le mode survie ? En fait, voilà. Si ton business, il dépend que de ta force de travail et que tu peux pas prendre un mois off sans stresser, t'es encore dans un modèle de survie. Ouais, j'ai dit un mois, ouais. 4 semaines. 30 jours, peut-être 31, en fonction du mois. Si tu veux briser ce... Ce schéma, tu veux passer de la survie à la vie qu'on croque à pleines dents ? Je vais faire à chaque fois le bruit du croc. Ben tu peux le faire, tu peux le faire maintenant parce que tu peux le décider tout simplement. Tu n'as pas créé ton business pour juste payer tes factures, tu l'as créé pour tout avoir finalement parce qu'il y a quand même ce gros déclencheur qui est je veux être libre. Et donc quand on veut être libre, c'est qu'il y a une forme de... tout avoir, tu vois. N'hésite pas, c'est le moment en fait là. On a écouté, on a partagé ce moment ensemble, et puis c'est ton signal que c'est le moment d'arrêter de survivre. Si t'as envie d'en discuter, viens papoter en message privé avec grand plaisir sur les réseaux. Tu as mon Instagram dans la description de l'épisode. Tu peux aussi décider de direct jump le pas. et d'intégrer le club rébellion féminine dans lequel de toute façon on travaille sur tout ça, parce que l'idée du club c'est vraiment de venir déconstruire les croyances sur l'argent, déconstruire les croyances sur la réussite, t'aider à construire une posture de leader et arrêter de la jouer petit, t'apprendre aussi à multiplier tes revenus sans sacrifier ta liberté, c'est aussi déconstruire toutes les idéologies familiales qui ne te servent plus aujourd'hui, les héritages invisibles que tu portes comme des boulets au pied aujourd'hui, donc... T'aider à déconstruire les schémas familiaux, les schémas sociétaux, reprendre ta place, incarner ton ambition, élever ton mindset pour vraiment arrêter d'attendre qu'on t'autorise à réussir, te choisir, faire tes choix, être toi à 100%. Et donc c'est aussi assumer cette rébellion face à des systèmes, d'abord ton système de croyance, puis il y a d'autres systèmes qui peut-être ne te correspondent pas aujourd'hui. Il est temps d'arrêter de rester attaché et accroché à ces choses qui t'empêchent d'assumer ta puissance, qui t'empêchent d'incarner pleinement ton ambition et prendre ta place. Et là, l'idée, ça va être vraiment de tout assumer, d'assumer tout, d'arrêter de devoir sacrifier des choses douloureusement, soi-disant parce que c'est le chemin par lequel il faut passer. Il y a peut-être d'autres façons de voir les choses. La lutte qui fait mal. n'est pas toujours un passage obligatoire. Voilà. Si t'as envie d'exploser tes plafonds de verre et d'entrer dans cette nouvelle dimension et de mettre de côté ton auto-sabotage, ne plus lui laisser la place qu'il prend aujourd'hui, je t'invite vraiment à me rejoindre au sein du Club Rébellion Féminine pour que je puisse t'accompagner avec tout ce que ça englobe, donc notamment les... workshops mensuels, les masterclass mensuels sur des thématiques spécifiques, l'accompagnement individuel, et puis du contenu audio pour reprogrammer ton mindset, pour t'autoriser à être ambitieuse sans avoir à faire des compromis et des sacrifices douloureux en permanence. Allez, rendez-vous à la prochaine !

Description

Dans cet épisode, je te confronte à une réalité qui dérange : pourquoi te contenter de survivre quand tu as créé ton business pour vivre pleinement ?

Trop souvent, on se limite à payer nos charges, à survivre au quotidien, alors qu'en réalité, ton entreprise peut t'offrir bien plus qu'une simple rémunération.

Je t'explique comment sortir de cet état d'esprit survivaliste, redéfinir ta vision de la réussite et viser une vie d'abondance et de liberté.

Si tu es prête à dépasser le mode "juste assez" pour enfin tout avoir, cet épisode est ton signal pour changer de cap.

Prête à passer de la survie à la vie ?

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Rébellion Féminine : Le podcast des cheffes d’entreprise qui refusent de jouer petit.


Ici, on parle mindset, leadership et ambition sans filtre.

Parce que tu sais que tu es faite pour plus – plus d’argent, plus d’impact, plus de liberté – et il est temps d’OSER tout prendre.

Tu veux exploser tes plafonds et assumer ta posture de leader inébranlable ?

Ce podcast est là pour te challenger, déconstruire les conditionnements qui te freinent et te propulser vers ton next level.

Chaque épisode, un électrochoc pour te libérer des croyances limitantes et passer à l’action.

🚀 Prête à assumer pleinement ton ambition ?

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Transcription

  • Speaker #0

    Vivre ou survivre sans poème, sans blesser tout ce qu'il aime, être heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux. Je crois que c'est à peu près ça l'air, tu vois ? C'est de Daniel Balavoine, vivre ou survivre. Et si je te chante ça aujourd'hui, c'est parce qu'on va parler de vivre de son business ou survivre finalement. C'est quoi cette vision survivaliste là ? Je veux juste vivre de mon business. Bon, c'est cool. Après, vivre de son business, c'est relatif à chaque personne, en fonction du train de vie de chacun, chacune. Ok, disons ça. Mais c'est quoi cette vision survivaliste de si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si je me verse un gros SMIC... avec mon business, c'est déjà pas mal. Je te parle de l'argent que tu touches, ok ? Donc, petit point rapide, on ouvre une parenthèse, peu importe ton statut juridique, patati patata, je ne suis pas en train de te parler du chiffre d'affaires de la boîte. Je suis en train de te parler de l'argent que tu mets dans ta poche. Donc, le chiffre d'affaires, tu vas en tirer de toute façon de l'argent pour toi. Après avoir payé, oui, tu vas payer tes impôts, ton URSAF, tes charges. de roulement, bref, en fonction de ton statut et du fonctionnement de la boîte. Il y a forcément un moment donné où tu vas te verser, toi, une rémunération. D'accord ? Peu importe la forme que ça prend. Voilà, on n'est pas là pour polémiquer sur « si je suis micro-entreprise, alors vivre dans mon business voudrait dire déduire les 25% du ressort, puis les je-sais-pas-quoi. » Ce n'est pas la question. Arrête de chipoter, on arrête de bégayer. Ce n'est pas un podcast juridique ni fiscaliste. D'accord ? On est en train de se dire Là, il y a des pensées qui sont, si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si j'arrive à me verser un gros SMIC, c'est déjà bien. Le reste, c'est du bonus. Stop. En fait, juste stop. Depuis quand entreprendre, c'est juste, guillemets, ouvert, ouvre les guillemets, tenir le coup, fermer les guillemets ? Depuis quand être à ton compte, c'est de contenter du minimum ? Depuis quand ? Vivre de ton business signifie payer tes obligations et prier pour qu'il reste quelque chose, en gros, tu vois, ok. T'as pas créé ton business pour survivre ? Je crois pas. Je pense qu'il y a cette notion. Après attention, on m'a déjà dit aussi oui, mais tu vois, on préfère parfois quitter un job à 3000 euros par mois dans lequel on se sent pas bien pour pouvoir au moins se verser 1500 euros avec lesquels on se sent libre, parce qu'on est à notre compte. Mais si t'es libre, mais que t'es solvable nulle part, trois petits points, voilà. Je crois qu'on a créé nos business pour la liberté, pour vivre pleinement. Si la somme que tu prends de ta boîte, celle que tu te verses à toi, elle te permet de vivre pleinement, et de tout avoir, tout ce que tu veux, ben oui, on est dans de la vie. Si ce que tu te verses te permet uniquement de rembourser ton prêt, payer des factures, payer à bouffer, payer la maison, enfin tu vois, les choses obligatoires de la vie, sans pouvoir te permettre de partir en week-end de temps en temps si t'en as envie, de prendre des vacances si tu le souhaites, et de devoir toujours compter, alors est-ce que t'es vraiment en train de vivre ? Est-ce que t'es vraiment... Libre. Tu vois ? C'est une vraie question que je pose et je serais ravie d'avoir ton retour. Tu me cherches... Enfin, tu me cherches... Non, pas du tout ! Tu vas me trouver sur Insta, dans la description de l'épisode. Tu cliques sur le lien et je serais ravie d'échanger et de savoir comment... Bon, je ne vais pas te cacher que l'ordinateur s'est éteint en plein enregistrement. Je crois que j'en suis à te dire... de venir discuter avec moi, que je serais ravie d'échanger avec toi, pour échanger sur nos points de vue, parce que je serais ravie de savoir comment toi tu vois les choses, tu vois. Voilà, je crois que ça s'est arrêté là, j'ai réécouté vite fait dans les dernières secondes, et j'avoue ne pas souhaiter réécouter encore avant, savoir où j'en étais dans mon épisode, donc je prends le train en marche, tout va bien se passer, je suis sûre que le fil va se tenir. Cette vision survivaliste... Non, ce que je voudrais plutôt dire, c'est que je fais cet épisode parce que j'ai envie de creuser, peut-être même déconstruire ce mindset de survie. Voilà. Et j'ai envie de... partager ma vision qui est que on peut viser beaucoup plus grand et qu'on a le droit de viser beaucoup plus grand et pourquoi est-ce que finalement c'est hyper avantageux hyper positif même si il va falloir aller après étape par étape et 1 2 3 étape par étape ne pas se brûler les ailes etc mais assurément viser plus grand vouloir plus même dès le début c'est déjà une vision hyper claire, une ambition assumée, assise, c'est là, c'est en place, c'est solide. Et puis après, ouais, tu passeras très certainement des steps pour pouvoir atteindre les objectifs. Mais tu vois, il y a vraiment une notion là, dans ce que je dis, qui est, il y a une vision survivaliste. Et si tu as une vision survivaliste, alors tu ne pourras pas passer des paliers, parce que tu ne seras que dans la survie et tu vas y rester. Alors que si, dès le départ, tu t'autorises une vision de vie, vraiment la vie, tu vois, et pas la survie, alors la façon dont tu vas construire ta liberté, elle sera différente. Et le travail que tu vas mener, il sera progressif au fur et à mesure. Et pas dès que tu vas être en souffrance, dès que ça va résister ou dès que ça sera la merde, là tu te diras, ah, faudrait peut-être que je travaille ceci, cela. Tu perds du temps, en fait. Toi qui veux plus de temps, pourquoi t'en perds au lieu de tout de suite te mettre dans le mood de tes réelles ambitions. Bon. Je crois qu'on... On nous a souvent appris, je sais pas si ça a fait bip bip, je sais même pas si on entendra ça dans le truc, bon, on nous a appris à voir l'argent comme une ressource limitée. Ne sois pas trop gourmande, si tu gagnes juste assez c'est déjà bien, tu devrais être reconnaissante de pouvoir vivre de ton business, et ce peu importe la somme tu vois, voilà. Je crois que la conséquence de ça, ou les conséquences, c'est que tu te mets à travailler juste pour couvrir tes charges, mais sans jamais créer vraiment cette... La liberté et la vision réelle que tu en as, si tu t'es pas encore posé la question, mais ma vision de la liberté c'est quoi exactement ? Si je prends un grand sac qui s'appelle liberté, je mets quoi dans le sac pour pouvoir être heureuse, être épanouie dans ma vie ? Et ça se construit, évidemment que ça se construit. Mais pour ça il faut déjà le visualiser pour le construire. Parce que si c'est dans un coin sans jamais réellement prendre vie... Bah, tu construis rien du tout. En tout cas, pas ce que tu souhaites. T'es plutôt en train de suivre le flow au lieu de suivre le plan. Tu vois ce que je veux dire ? Tu plafonnes aussi, parce que ton seul objectif, c'est de, on ouvre les guillemets, tenir le coup, on ferme les guillemets. Et tu penses même pas, en fait, à multiplier tes revenus, à investir peut-être, ou peut-être même à trop investir, et du coup, tu te mets plus en priorité. Enfin, il y a tout un cercle, un peu. qui n'est pas vertueux, en tout cas, qui va se développer autour de cette vision survivaliste. Il y a un deuxième truc aussi qui revient beaucoup, je trouve, c'est l'héritage de la peur du manque. Si tu es issu d'une famille qui a toujours su... non, qui a toujours dû, plutôt, se battre pour s'en sortir, cet état d'esprit-là, il est là, il est en toi, tu luttes, tu luttes, tout le temps, tu luttes tout le temps. C'est fatigant, on est d'accord quand même, c'est fatigant de lutter en permanence, non ? Donc je te le répète, l'héritage et la peur du manque, tu ne l'as pas demandé, tu l'as eu, ça t'a été transmis, c'est là. Si tu as grandi dans un environnement où tu as vu ta famille toujours se battre pour s'en sortir, la mentalité elle est là. Encore plus d'ailleurs dans certaines situations où finalement tu t'es rendu compte toi-même de par ton parcours et tes expériences qu'il fallait peut-être te battre plus que d'autres pour pouvoir t'en sortir. Tu vois, ce sentiment-là de lutte en permanence et qui poursuit et qui est attaché comme un boulet au pied, on peut s'en débarrasser en tout cas. L'héritage de la peur du manque, c'est aussi le fait de chercher d'abord la sécurité avant même d'oser rêver. Alors que ça peut s'aligner, s'équilibrer et... On peut rêver et construire sa sécurité. Tu crois qu'il faut d'abord mériter, tu sais, avant de t'autoriser à avoir plus. Tu vois, il y a un peu ce truc-là. Il faut que je mérite. Pour mériter, il faut que je sois dans le dur. Il faut que je souffre un peu, sinon je ne mérite pas si je n'ai pas souffert, tu vois. Mais la vraie question, c'est pourquoi en fait ton seul objectif serait de payer tes factures ? Pourquoi... Tu ne viserais pas une vie où l'argent n'est plus un stress ? Et pourquoi survivre ? Quand tu peux créer toi-même ta prospérité puisque tu es ta propre patronne. Je suis désolée pour les bip-bip et tout, c'est le chargeur de l'ordi qui pète un câble. Je vais pas recommencer, je vais pas effacer, on va accepter toutes les deux le bip-bip. Voilà. Troisième mot, il y a aussi la peur d'assumer qu'on veut tout. Bah ouais. Parce que vouloir juste assez, c'est socialement acceptable. Parce que vouloir beaucoup, c'est vu comme excessif, matérialiste, égoïste. Parce qu'on nous a conditionnés à croire que l'ambition financière devait être raisonnable. Résultat des cours, je crois que tu fixes des prix qui ne sont pas à ta juste valeur, tu culpabilises quand tu gagnes plus que prévu. Tu sais, qu'est-ce que je vais faire de toute cette oseille ? Tu ne sais même pas ce que tu ferais avec l'argent si tu gagnais plus. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Voilà. Je répète cette phrase-là. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Mais si tu changes de perspective, tu vois, si tu changes de prisme, si ton business, il pouvait te permettre de vivre une vie beaucoup moins contraignante, si tu pouvais générer de l'argent pour toi. Prendre du temps pour toi, choisir tes clients, prendre du temps pour les choses importantes pour toi, investir, croître, développer. On peut utiliser plein d'autres mots, mais je crois qu'on saisit bien l'idée là. Et si ça c'était possible en fait, il faudrait déjà mettre l'énergie au bon endroit. Ça c'est sûr, parce que si tu es dans un état d'esprit de survie... Ton focus il est jamais au bon endroit, il est surtout sur le fait de pouvoir calmer ton syndrome de l'imposteur, calmer ta peur de la réussite, calmer ta peur de l'échec, calmer ta peur d'être exposé, calmer ta peur d'être jugé, d'être critiqué, et du coup ton focus il est pas au bon endroit. Donc voilà comment je crois qu'on peut passer de cet état d'esprit survivaliste à la vie pleine, qu'on croque à pleines dents. Tu peux changer ton objectif. Plutôt que de te dire je veux que mon business me permette de payer mes factures, pouvoir te dire je veux créer un business qui me permet de vivre dans l'abondance et puis définir ce que signifie l'abondance. pour toi ça veut dire en fait tout de suite être dans je vise plus haut que mes besoins de base ça veut dire intégré que l'argent c'est pas un luxe c'est une liberté ça veut dire comprendre que ce que tu gagnes te permet de choisir. Et a pour rôle, en fait, de te permettre de choisir. Tu peux revoir ton rapport à l'argent. Tu bosses pas pour payer des factures. Tu bosses pour créer une vie qui te plaît. Gagner beaucoup, ce n'est pas égoïste. C'est ce qui te permet d'avoir du choix. C'est ce qui te permet d'avoir encore plus d'impact. Si ça t'intéresse, c'est peut-être même ce qui te permet d'avoir une certaine forme de pouvoir. La sécurité financière, ce n'est pas un plafond. C'est ton point de départ. La sécurité financière, je te le redis, tu vois, la sécurité financière, ce n'est pas un plafond, c'est ton point de départ. Et quand tu comprendras ça, tu ne vas plus travailler pour, on ouvre les guillemets, tenir. ferme les guillemets, tu travailleras pour l'expansion, tu travailleras pour croître professionnellement et personnellement, et même faire croître très certainement les gens qui t'entourent, que ce soit ton entourage proche ou ton audience ou tes clients, qui tu veux. veux, qui tu souhaites, enfin voilà. Et puis, il y a un autre truc que tu peux faire aussi, c'est structurer, déléguer, bon, en fonction de là où tu en es dans ton business, parce que l'idée, ce n'est pas de travailler plus, ce n'est pas la solution, mais tu peux travailler plus intelligemment en tout cas. Est-ce qu'il y a une stratégie qui te permet de gagner plus sans bosser plus dans ton business ? Est-ce que tu y as pensé ? Est-ce que tu as retravaillé ton business modèle ? Est-ce que le business modèle que tu as maintenant te coince ? T'épuises ? Ou au contraire, ça te permet vraiment de te nourrir ? Est-ce que t'as construit un business qui fonctionne pour toi ? Ou est-ce que t'es encore dans le mode survie ? En fait, voilà. Si ton business, il dépend que de ta force de travail et que tu peux pas prendre un mois off sans stresser, t'es encore dans un modèle de survie. Ouais, j'ai dit un mois, ouais. 4 semaines. 30 jours, peut-être 31, en fonction du mois. Si tu veux briser ce... Ce schéma, tu veux passer de la survie à la vie qu'on croque à pleines dents ? Je vais faire à chaque fois le bruit du croc. Ben tu peux le faire, tu peux le faire maintenant parce que tu peux le décider tout simplement. Tu n'as pas créé ton business pour juste payer tes factures, tu l'as créé pour tout avoir finalement parce qu'il y a quand même ce gros déclencheur qui est je veux être libre. Et donc quand on veut être libre, c'est qu'il y a une forme de... tout avoir, tu vois. N'hésite pas, c'est le moment en fait là. On a écouté, on a partagé ce moment ensemble, et puis c'est ton signal que c'est le moment d'arrêter de survivre. Si t'as envie d'en discuter, viens papoter en message privé avec grand plaisir sur les réseaux. Tu as mon Instagram dans la description de l'épisode. Tu peux aussi décider de direct jump le pas. et d'intégrer le club rébellion féminine dans lequel de toute façon on travaille sur tout ça, parce que l'idée du club c'est vraiment de venir déconstruire les croyances sur l'argent, déconstruire les croyances sur la réussite, t'aider à construire une posture de leader et arrêter de la jouer petit, t'apprendre aussi à multiplier tes revenus sans sacrifier ta liberté, c'est aussi déconstruire toutes les idéologies familiales qui ne te servent plus aujourd'hui, les héritages invisibles que tu portes comme des boulets au pied aujourd'hui, donc... T'aider à déconstruire les schémas familiaux, les schémas sociétaux, reprendre ta place, incarner ton ambition, élever ton mindset pour vraiment arrêter d'attendre qu'on t'autorise à réussir, te choisir, faire tes choix, être toi à 100%. Et donc c'est aussi assumer cette rébellion face à des systèmes, d'abord ton système de croyance, puis il y a d'autres systèmes qui peut-être ne te correspondent pas aujourd'hui. Il est temps d'arrêter de rester attaché et accroché à ces choses qui t'empêchent d'assumer ta puissance, qui t'empêchent d'incarner pleinement ton ambition et prendre ta place. Et là, l'idée, ça va être vraiment de tout assumer, d'assumer tout, d'arrêter de devoir sacrifier des choses douloureusement, soi-disant parce que c'est le chemin par lequel il faut passer. Il y a peut-être d'autres façons de voir les choses. La lutte qui fait mal. n'est pas toujours un passage obligatoire. Voilà. Si t'as envie d'exploser tes plafonds de verre et d'entrer dans cette nouvelle dimension et de mettre de côté ton auto-sabotage, ne plus lui laisser la place qu'il prend aujourd'hui, je t'invite vraiment à me rejoindre au sein du Club Rébellion Féminine pour que je puisse t'accompagner avec tout ce que ça englobe, donc notamment les... workshops mensuels, les masterclass mensuels sur des thématiques spécifiques, l'accompagnement individuel, et puis du contenu audio pour reprogrammer ton mindset, pour t'autoriser à être ambitieuse sans avoir à faire des compromis et des sacrifices douloureux en permanence. Allez, rendez-vous à la prochaine !

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Description

Dans cet épisode, je te confronte à une réalité qui dérange : pourquoi te contenter de survivre quand tu as créé ton business pour vivre pleinement ?

Trop souvent, on se limite à payer nos charges, à survivre au quotidien, alors qu'en réalité, ton entreprise peut t'offrir bien plus qu'une simple rémunération.

Je t'explique comment sortir de cet état d'esprit survivaliste, redéfinir ta vision de la réussite et viser une vie d'abondance et de liberté.

Si tu es prête à dépasser le mode "juste assez" pour enfin tout avoir, cet épisode est ton signal pour changer de cap.

Prête à passer de la survie à la vie ?

------------------------------------

Rébellion Féminine : Le podcast des cheffes d’entreprise qui refusent de jouer petit.


Ici, on parle mindset, leadership et ambition sans filtre.

Parce que tu sais que tu es faite pour plus – plus d’argent, plus d’impact, plus de liberté – et il est temps d’OSER tout prendre.

Tu veux exploser tes plafonds et assumer ta posture de leader inébranlable ?

Ce podcast est là pour te challenger, déconstruire les conditionnements qui te freinent et te propulser vers ton next level.

Chaque épisode, un électrochoc pour te libérer des croyances limitantes et passer à l’action.

🚀 Prête à assumer pleinement ton ambition ?

Rejoins le club privé Rébellion Féminine et entoure-toi de femmes qui, comme toi, veulent tout. DM "REBELLE" sur Instagram (@anais.feltro) pour en savoir plus.

Ou clique ici pour découvrir le club Rébellion Féminine


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Transcription

  • Speaker #0

    Vivre ou survivre sans poème, sans blesser tout ce qu'il aime, être heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux. Je crois que c'est à peu près ça l'air, tu vois ? C'est de Daniel Balavoine, vivre ou survivre. Et si je te chante ça aujourd'hui, c'est parce qu'on va parler de vivre de son business ou survivre finalement. C'est quoi cette vision survivaliste là ? Je veux juste vivre de mon business. Bon, c'est cool. Après, vivre de son business, c'est relatif à chaque personne, en fonction du train de vie de chacun, chacune. Ok, disons ça. Mais c'est quoi cette vision survivaliste de si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si je me verse un gros SMIC... avec mon business, c'est déjà pas mal. Je te parle de l'argent que tu touches, ok ? Donc, petit point rapide, on ouvre une parenthèse, peu importe ton statut juridique, patati patata, je ne suis pas en train de te parler du chiffre d'affaires de la boîte. Je suis en train de te parler de l'argent que tu mets dans ta poche. Donc, le chiffre d'affaires, tu vas en tirer de toute façon de l'argent pour toi. Après avoir payé, oui, tu vas payer tes impôts, ton URSAF, tes charges. de roulement, bref, en fonction de ton statut et du fonctionnement de la boîte. Il y a forcément un moment donné où tu vas te verser, toi, une rémunération. D'accord ? Peu importe la forme que ça prend. Voilà, on n'est pas là pour polémiquer sur « si je suis micro-entreprise, alors vivre dans mon business voudrait dire déduire les 25% du ressort, puis les je-sais-pas-quoi. » Ce n'est pas la question. Arrête de chipoter, on arrête de bégayer. Ce n'est pas un podcast juridique ni fiscaliste. D'accord ? On est en train de se dire Là, il y a des pensées qui sont, si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si j'arrive à me verser un gros SMIC, c'est déjà bien. Le reste, c'est du bonus. Stop. En fait, juste stop. Depuis quand entreprendre, c'est juste, guillemets, ouvert, ouvre les guillemets, tenir le coup, fermer les guillemets ? Depuis quand être à ton compte, c'est de contenter du minimum ? Depuis quand ? Vivre de ton business signifie payer tes obligations et prier pour qu'il reste quelque chose, en gros, tu vois, ok. T'as pas créé ton business pour survivre ? Je crois pas. Je pense qu'il y a cette notion. Après attention, on m'a déjà dit aussi oui, mais tu vois, on préfère parfois quitter un job à 3000 euros par mois dans lequel on se sent pas bien pour pouvoir au moins se verser 1500 euros avec lesquels on se sent libre, parce qu'on est à notre compte. Mais si t'es libre, mais que t'es solvable nulle part, trois petits points, voilà. Je crois qu'on a créé nos business pour la liberté, pour vivre pleinement. Si la somme que tu prends de ta boîte, celle que tu te verses à toi, elle te permet de vivre pleinement, et de tout avoir, tout ce que tu veux, ben oui, on est dans de la vie. Si ce que tu te verses te permet uniquement de rembourser ton prêt, payer des factures, payer à bouffer, payer la maison, enfin tu vois, les choses obligatoires de la vie, sans pouvoir te permettre de partir en week-end de temps en temps si t'en as envie, de prendre des vacances si tu le souhaites, et de devoir toujours compter, alors est-ce que t'es vraiment en train de vivre ? Est-ce que t'es vraiment... Libre. Tu vois ? C'est une vraie question que je pose et je serais ravie d'avoir ton retour. Tu me cherches... Enfin, tu me cherches... Non, pas du tout ! Tu vas me trouver sur Insta, dans la description de l'épisode. Tu cliques sur le lien et je serais ravie d'échanger et de savoir comment... Bon, je ne vais pas te cacher que l'ordinateur s'est éteint en plein enregistrement. Je crois que j'en suis à te dire... de venir discuter avec moi, que je serais ravie d'échanger avec toi, pour échanger sur nos points de vue, parce que je serais ravie de savoir comment toi tu vois les choses, tu vois. Voilà, je crois que ça s'est arrêté là, j'ai réécouté vite fait dans les dernières secondes, et j'avoue ne pas souhaiter réécouter encore avant, savoir où j'en étais dans mon épisode, donc je prends le train en marche, tout va bien se passer, je suis sûre que le fil va se tenir. Cette vision survivaliste... Non, ce que je voudrais plutôt dire, c'est que je fais cet épisode parce que j'ai envie de creuser, peut-être même déconstruire ce mindset de survie. Voilà. Et j'ai envie de... partager ma vision qui est que on peut viser beaucoup plus grand et qu'on a le droit de viser beaucoup plus grand et pourquoi est-ce que finalement c'est hyper avantageux hyper positif même si il va falloir aller après étape par étape et 1 2 3 étape par étape ne pas se brûler les ailes etc mais assurément viser plus grand vouloir plus même dès le début c'est déjà une vision hyper claire, une ambition assumée, assise, c'est là, c'est en place, c'est solide. Et puis après, ouais, tu passeras très certainement des steps pour pouvoir atteindre les objectifs. Mais tu vois, il y a vraiment une notion là, dans ce que je dis, qui est, il y a une vision survivaliste. Et si tu as une vision survivaliste, alors tu ne pourras pas passer des paliers, parce que tu ne seras que dans la survie et tu vas y rester. Alors que si, dès le départ, tu t'autorises une vision de vie, vraiment la vie, tu vois, et pas la survie, alors la façon dont tu vas construire ta liberté, elle sera différente. Et le travail que tu vas mener, il sera progressif au fur et à mesure. Et pas dès que tu vas être en souffrance, dès que ça va résister ou dès que ça sera la merde, là tu te diras, ah, faudrait peut-être que je travaille ceci, cela. Tu perds du temps, en fait. Toi qui veux plus de temps, pourquoi t'en perds au lieu de tout de suite te mettre dans le mood de tes réelles ambitions. Bon. Je crois qu'on... On nous a souvent appris, je sais pas si ça a fait bip bip, je sais même pas si on entendra ça dans le truc, bon, on nous a appris à voir l'argent comme une ressource limitée. Ne sois pas trop gourmande, si tu gagnes juste assez c'est déjà bien, tu devrais être reconnaissante de pouvoir vivre de ton business, et ce peu importe la somme tu vois, voilà. Je crois que la conséquence de ça, ou les conséquences, c'est que tu te mets à travailler juste pour couvrir tes charges, mais sans jamais créer vraiment cette... La liberté et la vision réelle que tu en as, si tu t'es pas encore posé la question, mais ma vision de la liberté c'est quoi exactement ? Si je prends un grand sac qui s'appelle liberté, je mets quoi dans le sac pour pouvoir être heureuse, être épanouie dans ma vie ? Et ça se construit, évidemment que ça se construit. Mais pour ça il faut déjà le visualiser pour le construire. Parce que si c'est dans un coin sans jamais réellement prendre vie... Bah, tu construis rien du tout. En tout cas, pas ce que tu souhaites. T'es plutôt en train de suivre le flow au lieu de suivre le plan. Tu vois ce que je veux dire ? Tu plafonnes aussi, parce que ton seul objectif, c'est de, on ouvre les guillemets, tenir le coup, on ferme les guillemets. Et tu penses même pas, en fait, à multiplier tes revenus, à investir peut-être, ou peut-être même à trop investir, et du coup, tu te mets plus en priorité. Enfin, il y a tout un cercle, un peu. qui n'est pas vertueux, en tout cas, qui va se développer autour de cette vision survivaliste. Il y a un deuxième truc aussi qui revient beaucoup, je trouve, c'est l'héritage de la peur du manque. Si tu es issu d'une famille qui a toujours su... non, qui a toujours dû, plutôt, se battre pour s'en sortir, cet état d'esprit-là, il est là, il est en toi, tu luttes, tu luttes, tout le temps, tu luttes tout le temps. C'est fatigant, on est d'accord quand même, c'est fatigant de lutter en permanence, non ? Donc je te le répète, l'héritage et la peur du manque, tu ne l'as pas demandé, tu l'as eu, ça t'a été transmis, c'est là. Si tu as grandi dans un environnement où tu as vu ta famille toujours se battre pour s'en sortir, la mentalité elle est là. Encore plus d'ailleurs dans certaines situations où finalement tu t'es rendu compte toi-même de par ton parcours et tes expériences qu'il fallait peut-être te battre plus que d'autres pour pouvoir t'en sortir. Tu vois, ce sentiment-là de lutte en permanence et qui poursuit et qui est attaché comme un boulet au pied, on peut s'en débarrasser en tout cas. L'héritage de la peur du manque, c'est aussi le fait de chercher d'abord la sécurité avant même d'oser rêver. Alors que ça peut s'aligner, s'équilibrer et... On peut rêver et construire sa sécurité. Tu crois qu'il faut d'abord mériter, tu sais, avant de t'autoriser à avoir plus. Tu vois, il y a un peu ce truc-là. Il faut que je mérite. Pour mériter, il faut que je sois dans le dur. Il faut que je souffre un peu, sinon je ne mérite pas si je n'ai pas souffert, tu vois. Mais la vraie question, c'est pourquoi en fait ton seul objectif serait de payer tes factures ? Pourquoi... Tu ne viserais pas une vie où l'argent n'est plus un stress ? Et pourquoi survivre ? Quand tu peux créer toi-même ta prospérité puisque tu es ta propre patronne. Je suis désolée pour les bip-bip et tout, c'est le chargeur de l'ordi qui pète un câble. Je vais pas recommencer, je vais pas effacer, on va accepter toutes les deux le bip-bip. Voilà. Troisième mot, il y a aussi la peur d'assumer qu'on veut tout. Bah ouais. Parce que vouloir juste assez, c'est socialement acceptable. Parce que vouloir beaucoup, c'est vu comme excessif, matérialiste, égoïste. Parce qu'on nous a conditionnés à croire que l'ambition financière devait être raisonnable. Résultat des cours, je crois que tu fixes des prix qui ne sont pas à ta juste valeur, tu culpabilises quand tu gagnes plus que prévu. Tu sais, qu'est-ce que je vais faire de toute cette oseille ? Tu ne sais même pas ce que tu ferais avec l'argent si tu gagnais plus. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Voilà. Je répète cette phrase-là. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Mais si tu changes de perspective, tu vois, si tu changes de prisme, si ton business, il pouvait te permettre de vivre une vie beaucoup moins contraignante, si tu pouvais générer de l'argent pour toi. Prendre du temps pour toi, choisir tes clients, prendre du temps pour les choses importantes pour toi, investir, croître, développer. On peut utiliser plein d'autres mots, mais je crois qu'on saisit bien l'idée là. Et si ça c'était possible en fait, il faudrait déjà mettre l'énergie au bon endroit. Ça c'est sûr, parce que si tu es dans un état d'esprit de survie... Ton focus il est jamais au bon endroit, il est surtout sur le fait de pouvoir calmer ton syndrome de l'imposteur, calmer ta peur de la réussite, calmer ta peur de l'échec, calmer ta peur d'être exposé, calmer ta peur d'être jugé, d'être critiqué, et du coup ton focus il est pas au bon endroit. Donc voilà comment je crois qu'on peut passer de cet état d'esprit survivaliste à la vie pleine, qu'on croque à pleines dents. Tu peux changer ton objectif. Plutôt que de te dire je veux que mon business me permette de payer mes factures, pouvoir te dire je veux créer un business qui me permet de vivre dans l'abondance et puis définir ce que signifie l'abondance. pour toi ça veut dire en fait tout de suite être dans je vise plus haut que mes besoins de base ça veut dire intégré que l'argent c'est pas un luxe c'est une liberté ça veut dire comprendre que ce que tu gagnes te permet de choisir. Et a pour rôle, en fait, de te permettre de choisir. Tu peux revoir ton rapport à l'argent. Tu bosses pas pour payer des factures. Tu bosses pour créer une vie qui te plaît. Gagner beaucoup, ce n'est pas égoïste. C'est ce qui te permet d'avoir du choix. C'est ce qui te permet d'avoir encore plus d'impact. Si ça t'intéresse, c'est peut-être même ce qui te permet d'avoir une certaine forme de pouvoir. La sécurité financière, ce n'est pas un plafond. C'est ton point de départ. La sécurité financière, je te le redis, tu vois, la sécurité financière, ce n'est pas un plafond, c'est ton point de départ. Et quand tu comprendras ça, tu ne vas plus travailler pour, on ouvre les guillemets, tenir. ferme les guillemets, tu travailleras pour l'expansion, tu travailleras pour croître professionnellement et personnellement, et même faire croître très certainement les gens qui t'entourent, que ce soit ton entourage proche ou ton audience ou tes clients, qui tu veux. veux, qui tu souhaites, enfin voilà. Et puis, il y a un autre truc que tu peux faire aussi, c'est structurer, déléguer, bon, en fonction de là où tu en es dans ton business, parce que l'idée, ce n'est pas de travailler plus, ce n'est pas la solution, mais tu peux travailler plus intelligemment en tout cas. Est-ce qu'il y a une stratégie qui te permet de gagner plus sans bosser plus dans ton business ? Est-ce que tu y as pensé ? Est-ce que tu as retravaillé ton business modèle ? Est-ce que le business modèle que tu as maintenant te coince ? T'épuises ? Ou au contraire, ça te permet vraiment de te nourrir ? Est-ce que t'as construit un business qui fonctionne pour toi ? Ou est-ce que t'es encore dans le mode survie ? En fait, voilà. Si ton business, il dépend que de ta force de travail et que tu peux pas prendre un mois off sans stresser, t'es encore dans un modèle de survie. Ouais, j'ai dit un mois, ouais. 4 semaines. 30 jours, peut-être 31, en fonction du mois. Si tu veux briser ce... Ce schéma, tu veux passer de la survie à la vie qu'on croque à pleines dents ? Je vais faire à chaque fois le bruit du croc. Ben tu peux le faire, tu peux le faire maintenant parce que tu peux le décider tout simplement. Tu n'as pas créé ton business pour juste payer tes factures, tu l'as créé pour tout avoir finalement parce qu'il y a quand même ce gros déclencheur qui est je veux être libre. Et donc quand on veut être libre, c'est qu'il y a une forme de... tout avoir, tu vois. N'hésite pas, c'est le moment en fait là. On a écouté, on a partagé ce moment ensemble, et puis c'est ton signal que c'est le moment d'arrêter de survivre. Si t'as envie d'en discuter, viens papoter en message privé avec grand plaisir sur les réseaux. Tu as mon Instagram dans la description de l'épisode. Tu peux aussi décider de direct jump le pas. et d'intégrer le club rébellion féminine dans lequel de toute façon on travaille sur tout ça, parce que l'idée du club c'est vraiment de venir déconstruire les croyances sur l'argent, déconstruire les croyances sur la réussite, t'aider à construire une posture de leader et arrêter de la jouer petit, t'apprendre aussi à multiplier tes revenus sans sacrifier ta liberté, c'est aussi déconstruire toutes les idéologies familiales qui ne te servent plus aujourd'hui, les héritages invisibles que tu portes comme des boulets au pied aujourd'hui, donc... T'aider à déconstruire les schémas familiaux, les schémas sociétaux, reprendre ta place, incarner ton ambition, élever ton mindset pour vraiment arrêter d'attendre qu'on t'autorise à réussir, te choisir, faire tes choix, être toi à 100%. Et donc c'est aussi assumer cette rébellion face à des systèmes, d'abord ton système de croyance, puis il y a d'autres systèmes qui peut-être ne te correspondent pas aujourd'hui. Il est temps d'arrêter de rester attaché et accroché à ces choses qui t'empêchent d'assumer ta puissance, qui t'empêchent d'incarner pleinement ton ambition et prendre ta place. Et là, l'idée, ça va être vraiment de tout assumer, d'assumer tout, d'arrêter de devoir sacrifier des choses douloureusement, soi-disant parce que c'est le chemin par lequel il faut passer. Il y a peut-être d'autres façons de voir les choses. La lutte qui fait mal. n'est pas toujours un passage obligatoire. Voilà. Si t'as envie d'exploser tes plafonds de verre et d'entrer dans cette nouvelle dimension et de mettre de côté ton auto-sabotage, ne plus lui laisser la place qu'il prend aujourd'hui, je t'invite vraiment à me rejoindre au sein du Club Rébellion Féminine pour que je puisse t'accompagner avec tout ce que ça englobe, donc notamment les... workshops mensuels, les masterclass mensuels sur des thématiques spécifiques, l'accompagnement individuel, et puis du contenu audio pour reprogrammer ton mindset, pour t'autoriser à être ambitieuse sans avoir à faire des compromis et des sacrifices douloureux en permanence. Allez, rendez-vous à la prochaine !

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Dans cet épisode, je te confronte à une réalité qui dérange : pourquoi te contenter de survivre quand tu as créé ton business pour vivre pleinement ?

Trop souvent, on se limite à payer nos charges, à survivre au quotidien, alors qu'en réalité, ton entreprise peut t'offrir bien plus qu'une simple rémunération.

Je t'explique comment sortir de cet état d'esprit survivaliste, redéfinir ta vision de la réussite et viser une vie d'abondance et de liberté.

Si tu es prête à dépasser le mode "juste assez" pour enfin tout avoir, cet épisode est ton signal pour changer de cap.

Prête à passer de la survie à la vie ?

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Rébellion Féminine : Le podcast des cheffes d’entreprise qui refusent de jouer petit.


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Parce que tu sais que tu es faite pour plus – plus d’argent, plus d’impact, plus de liberté – et il est temps d’OSER tout prendre.

Tu veux exploser tes plafonds et assumer ta posture de leader inébranlable ?

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  • Speaker #0

    Vivre ou survivre sans poème, sans blesser tout ce qu'il aime, être heureux, malheureux, vivre seul ou même à deux. Je crois que c'est à peu près ça l'air, tu vois ? C'est de Daniel Balavoine, vivre ou survivre. Et si je te chante ça aujourd'hui, c'est parce qu'on va parler de vivre de son business ou survivre finalement. C'est quoi cette vision survivaliste là ? Je veux juste vivre de mon business. Bon, c'est cool. Après, vivre de son business, c'est relatif à chaque personne, en fonction du train de vie de chacun, chacune. Ok, disons ça. Mais c'est quoi cette vision survivaliste de si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si je me verse un gros SMIC... avec mon business, c'est déjà pas mal. Je te parle de l'argent que tu touches, ok ? Donc, petit point rapide, on ouvre une parenthèse, peu importe ton statut juridique, patati patata, je ne suis pas en train de te parler du chiffre d'affaires de la boîte. Je suis en train de te parler de l'argent que tu mets dans ta poche. Donc, le chiffre d'affaires, tu vas en tirer de toute façon de l'argent pour toi. Après avoir payé, oui, tu vas payer tes impôts, ton URSAF, tes charges. de roulement, bref, en fonction de ton statut et du fonctionnement de la boîte. Il y a forcément un moment donné où tu vas te verser, toi, une rémunération. D'accord ? Peu importe la forme que ça prend. Voilà, on n'est pas là pour polémiquer sur « si je suis micro-entreprise, alors vivre dans mon business voudrait dire déduire les 25% du ressort, puis les je-sais-pas-quoi. » Ce n'est pas la question. Arrête de chipoter, on arrête de bégayer. Ce n'est pas un podcast juridique ni fiscaliste. D'accord ? On est en train de se dire Là, il y a des pensées qui sont, si j'arrive à payer mes charges, c'est déjà bien. Si j'arrive à me verser un gros SMIC, c'est déjà bien. Le reste, c'est du bonus. Stop. En fait, juste stop. Depuis quand entreprendre, c'est juste, guillemets, ouvert, ouvre les guillemets, tenir le coup, fermer les guillemets ? Depuis quand être à ton compte, c'est de contenter du minimum ? Depuis quand ? Vivre de ton business signifie payer tes obligations et prier pour qu'il reste quelque chose, en gros, tu vois, ok. T'as pas créé ton business pour survivre ? Je crois pas. Je pense qu'il y a cette notion. Après attention, on m'a déjà dit aussi oui, mais tu vois, on préfère parfois quitter un job à 3000 euros par mois dans lequel on se sent pas bien pour pouvoir au moins se verser 1500 euros avec lesquels on se sent libre, parce qu'on est à notre compte. Mais si t'es libre, mais que t'es solvable nulle part, trois petits points, voilà. Je crois qu'on a créé nos business pour la liberté, pour vivre pleinement. Si la somme que tu prends de ta boîte, celle que tu te verses à toi, elle te permet de vivre pleinement, et de tout avoir, tout ce que tu veux, ben oui, on est dans de la vie. Si ce que tu te verses te permet uniquement de rembourser ton prêt, payer des factures, payer à bouffer, payer la maison, enfin tu vois, les choses obligatoires de la vie, sans pouvoir te permettre de partir en week-end de temps en temps si t'en as envie, de prendre des vacances si tu le souhaites, et de devoir toujours compter, alors est-ce que t'es vraiment en train de vivre ? Est-ce que t'es vraiment... Libre. Tu vois ? C'est une vraie question que je pose et je serais ravie d'avoir ton retour. Tu me cherches... Enfin, tu me cherches... Non, pas du tout ! Tu vas me trouver sur Insta, dans la description de l'épisode. Tu cliques sur le lien et je serais ravie d'échanger et de savoir comment... Bon, je ne vais pas te cacher que l'ordinateur s'est éteint en plein enregistrement. Je crois que j'en suis à te dire... de venir discuter avec moi, que je serais ravie d'échanger avec toi, pour échanger sur nos points de vue, parce que je serais ravie de savoir comment toi tu vois les choses, tu vois. Voilà, je crois que ça s'est arrêté là, j'ai réécouté vite fait dans les dernières secondes, et j'avoue ne pas souhaiter réécouter encore avant, savoir où j'en étais dans mon épisode, donc je prends le train en marche, tout va bien se passer, je suis sûre que le fil va se tenir. Cette vision survivaliste... Non, ce que je voudrais plutôt dire, c'est que je fais cet épisode parce que j'ai envie de creuser, peut-être même déconstruire ce mindset de survie. Voilà. Et j'ai envie de... partager ma vision qui est que on peut viser beaucoup plus grand et qu'on a le droit de viser beaucoup plus grand et pourquoi est-ce que finalement c'est hyper avantageux hyper positif même si il va falloir aller après étape par étape et 1 2 3 étape par étape ne pas se brûler les ailes etc mais assurément viser plus grand vouloir plus même dès le début c'est déjà une vision hyper claire, une ambition assumée, assise, c'est là, c'est en place, c'est solide. Et puis après, ouais, tu passeras très certainement des steps pour pouvoir atteindre les objectifs. Mais tu vois, il y a vraiment une notion là, dans ce que je dis, qui est, il y a une vision survivaliste. Et si tu as une vision survivaliste, alors tu ne pourras pas passer des paliers, parce que tu ne seras que dans la survie et tu vas y rester. Alors que si, dès le départ, tu t'autorises une vision de vie, vraiment la vie, tu vois, et pas la survie, alors la façon dont tu vas construire ta liberté, elle sera différente. Et le travail que tu vas mener, il sera progressif au fur et à mesure. Et pas dès que tu vas être en souffrance, dès que ça va résister ou dès que ça sera la merde, là tu te diras, ah, faudrait peut-être que je travaille ceci, cela. Tu perds du temps, en fait. Toi qui veux plus de temps, pourquoi t'en perds au lieu de tout de suite te mettre dans le mood de tes réelles ambitions. Bon. Je crois qu'on... On nous a souvent appris, je sais pas si ça a fait bip bip, je sais même pas si on entendra ça dans le truc, bon, on nous a appris à voir l'argent comme une ressource limitée. Ne sois pas trop gourmande, si tu gagnes juste assez c'est déjà bien, tu devrais être reconnaissante de pouvoir vivre de ton business, et ce peu importe la somme tu vois, voilà. Je crois que la conséquence de ça, ou les conséquences, c'est que tu te mets à travailler juste pour couvrir tes charges, mais sans jamais créer vraiment cette... La liberté et la vision réelle que tu en as, si tu t'es pas encore posé la question, mais ma vision de la liberté c'est quoi exactement ? Si je prends un grand sac qui s'appelle liberté, je mets quoi dans le sac pour pouvoir être heureuse, être épanouie dans ma vie ? Et ça se construit, évidemment que ça se construit. Mais pour ça il faut déjà le visualiser pour le construire. Parce que si c'est dans un coin sans jamais réellement prendre vie... Bah, tu construis rien du tout. En tout cas, pas ce que tu souhaites. T'es plutôt en train de suivre le flow au lieu de suivre le plan. Tu vois ce que je veux dire ? Tu plafonnes aussi, parce que ton seul objectif, c'est de, on ouvre les guillemets, tenir le coup, on ferme les guillemets. Et tu penses même pas, en fait, à multiplier tes revenus, à investir peut-être, ou peut-être même à trop investir, et du coup, tu te mets plus en priorité. Enfin, il y a tout un cercle, un peu. qui n'est pas vertueux, en tout cas, qui va se développer autour de cette vision survivaliste. Il y a un deuxième truc aussi qui revient beaucoup, je trouve, c'est l'héritage de la peur du manque. Si tu es issu d'une famille qui a toujours su... non, qui a toujours dû, plutôt, se battre pour s'en sortir, cet état d'esprit-là, il est là, il est en toi, tu luttes, tu luttes, tout le temps, tu luttes tout le temps. C'est fatigant, on est d'accord quand même, c'est fatigant de lutter en permanence, non ? Donc je te le répète, l'héritage et la peur du manque, tu ne l'as pas demandé, tu l'as eu, ça t'a été transmis, c'est là. Si tu as grandi dans un environnement où tu as vu ta famille toujours se battre pour s'en sortir, la mentalité elle est là. Encore plus d'ailleurs dans certaines situations où finalement tu t'es rendu compte toi-même de par ton parcours et tes expériences qu'il fallait peut-être te battre plus que d'autres pour pouvoir t'en sortir. Tu vois, ce sentiment-là de lutte en permanence et qui poursuit et qui est attaché comme un boulet au pied, on peut s'en débarrasser en tout cas. L'héritage de la peur du manque, c'est aussi le fait de chercher d'abord la sécurité avant même d'oser rêver. Alors que ça peut s'aligner, s'équilibrer et... On peut rêver et construire sa sécurité. Tu crois qu'il faut d'abord mériter, tu sais, avant de t'autoriser à avoir plus. Tu vois, il y a un peu ce truc-là. Il faut que je mérite. Pour mériter, il faut que je sois dans le dur. Il faut que je souffre un peu, sinon je ne mérite pas si je n'ai pas souffert, tu vois. Mais la vraie question, c'est pourquoi en fait ton seul objectif serait de payer tes factures ? Pourquoi... Tu ne viserais pas une vie où l'argent n'est plus un stress ? Et pourquoi survivre ? Quand tu peux créer toi-même ta prospérité puisque tu es ta propre patronne. Je suis désolée pour les bip-bip et tout, c'est le chargeur de l'ordi qui pète un câble. Je vais pas recommencer, je vais pas effacer, on va accepter toutes les deux le bip-bip. Voilà. Troisième mot, il y a aussi la peur d'assumer qu'on veut tout. Bah ouais. Parce que vouloir juste assez, c'est socialement acceptable. Parce que vouloir beaucoup, c'est vu comme excessif, matérialiste, égoïste. Parce qu'on nous a conditionnés à croire que l'ambition financière devait être raisonnable. Résultat des cours, je crois que tu fixes des prix qui ne sont pas à ta juste valeur, tu culpabilises quand tu gagnes plus que prévu. Tu sais, qu'est-ce que je vais faire de toute cette oseille ? Tu ne sais même pas ce que tu ferais avec l'argent si tu gagnais plus. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Voilà. Je répète cette phrase-là. Tu restes dans un cycle où tu bosses trop pour trop peu. Mais si tu changes de perspective, tu vois, si tu changes de prisme, si ton business, il pouvait te permettre de vivre une vie beaucoup moins contraignante, si tu pouvais générer de l'argent pour toi. Prendre du temps pour toi, choisir tes clients, prendre du temps pour les choses importantes pour toi, investir, croître, développer. On peut utiliser plein d'autres mots, mais je crois qu'on saisit bien l'idée là. Et si ça c'était possible en fait, il faudrait déjà mettre l'énergie au bon endroit. Ça c'est sûr, parce que si tu es dans un état d'esprit de survie... Ton focus il est jamais au bon endroit, il est surtout sur le fait de pouvoir calmer ton syndrome de l'imposteur, calmer ta peur de la réussite, calmer ta peur de l'échec, calmer ta peur d'être exposé, calmer ta peur d'être jugé, d'être critiqué, et du coup ton focus il est pas au bon endroit. Donc voilà comment je crois qu'on peut passer de cet état d'esprit survivaliste à la vie pleine, qu'on croque à pleines dents. Tu peux changer ton objectif. Plutôt que de te dire je veux que mon business me permette de payer mes factures, pouvoir te dire je veux créer un business qui me permet de vivre dans l'abondance et puis définir ce que signifie l'abondance. pour toi ça veut dire en fait tout de suite être dans je vise plus haut que mes besoins de base ça veut dire intégré que l'argent c'est pas un luxe c'est une liberté ça veut dire comprendre que ce que tu gagnes te permet de choisir. Et a pour rôle, en fait, de te permettre de choisir. Tu peux revoir ton rapport à l'argent. Tu bosses pas pour payer des factures. Tu bosses pour créer une vie qui te plaît. Gagner beaucoup, ce n'est pas égoïste. C'est ce qui te permet d'avoir du choix. C'est ce qui te permet d'avoir encore plus d'impact. Si ça t'intéresse, c'est peut-être même ce qui te permet d'avoir une certaine forme de pouvoir. La sécurité financière, ce n'est pas un plafond. C'est ton point de départ. La sécurité financière, je te le redis, tu vois, la sécurité financière, ce n'est pas un plafond, c'est ton point de départ. Et quand tu comprendras ça, tu ne vas plus travailler pour, on ouvre les guillemets, tenir. ferme les guillemets, tu travailleras pour l'expansion, tu travailleras pour croître professionnellement et personnellement, et même faire croître très certainement les gens qui t'entourent, que ce soit ton entourage proche ou ton audience ou tes clients, qui tu veux. veux, qui tu souhaites, enfin voilà. Et puis, il y a un autre truc que tu peux faire aussi, c'est structurer, déléguer, bon, en fonction de là où tu en es dans ton business, parce que l'idée, ce n'est pas de travailler plus, ce n'est pas la solution, mais tu peux travailler plus intelligemment en tout cas. Est-ce qu'il y a une stratégie qui te permet de gagner plus sans bosser plus dans ton business ? Est-ce que tu y as pensé ? Est-ce que tu as retravaillé ton business modèle ? Est-ce que le business modèle que tu as maintenant te coince ? T'épuises ? Ou au contraire, ça te permet vraiment de te nourrir ? Est-ce que t'as construit un business qui fonctionne pour toi ? Ou est-ce que t'es encore dans le mode survie ? En fait, voilà. Si ton business, il dépend que de ta force de travail et que tu peux pas prendre un mois off sans stresser, t'es encore dans un modèle de survie. Ouais, j'ai dit un mois, ouais. 4 semaines. 30 jours, peut-être 31, en fonction du mois. Si tu veux briser ce... Ce schéma, tu veux passer de la survie à la vie qu'on croque à pleines dents ? Je vais faire à chaque fois le bruit du croc. Ben tu peux le faire, tu peux le faire maintenant parce que tu peux le décider tout simplement. Tu n'as pas créé ton business pour juste payer tes factures, tu l'as créé pour tout avoir finalement parce qu'il y a quand même ce gros déclencheur qui est je veux être libre. Et donc quand on veut être libre, c'est qu'il y a une forme de... tout avoir, tu vois. N'hésite pas, c'est le moment en fait là. On a écouté, on a partagé ce moment ensemble, et puis c'est ton signal que c'est le moment d'arrêter de survivre. Si t'as envie d'en discuter, viens papoter en message privé avec grand plaisir sur les réseaux. Tu as mon Instagram dans la description de l'épisode. Tu peux aussi décider de direct jump le pas. et d'intégrer le club rébellion féminine dans lequel de toute façon on travaille sur tout ça, parce que l'idée du club c'est vraiment de venir déconstruire les croyances sur l'argent, déconstruire les croyances sur la réussite, t'aider à construire une posture de leader et arrêter de la jouer petit, t'apprendre aussi à multiplier tes revenus sans sacrifier ta liberté, c'est aussi déconstruire toutes les idéologies familiales qui ne te servent plus aujourd'hui, les héritages invisibles que tu portes comme des boulets au pied aujourd'hui, donc... T'aider à déconstruire les schémas familiaux, les schémas sociétaux, reprendre ta place, incarner ton ambition, élever ton mindset pour vraiment arrêter d'attendre qu'on t'autorise à réussir, te choisir, faire tes choix, être toi à 100%. Et donc c'est aussi assumer cette rébellion face à des systèmes, d'abord ton système de croyance, puis il y a d'autres systèmes qui peut-être ne te correspondent pas aujourd'hui. Il est temps d'arrêter de rester attaché et accroché à ces choses qui t'empêchent d'assumer ta puissance, qui t'empêchent d'incarner pleinement ton ambition et prendre ta place. Et là, l'idée, ça va être vraiment de tout assumer, d'assumer tout, d'arrêter de devoir sacrifier des choses douloureusement, soi-disant parce que c'est le chemin par lequel il faut passer. Il y a peut-être d'autres façons de voir les choses. La lutte qui fait mal. n'est pas toujours un passage obligatoire. Voilà. Si t'as envie d'exploser tes plafonds de verre et d'entrer dans cette nouvelle dimension et de mettre de côté ton auto-sabotage, ne plus lui laisser la place qu'il prend aujourd'hui, je t'invite vraiment à me rejoindre au sein du Club Rébellion Féminine pour que je puisse t'accompagner avec tout ce que ça englobe, donc notamment les... workshops mensuels, les masterclass mensuels sur des thématiques spécifiques, l'accompagnement individuel, et puis du contenu audio pour reprogrammer ton mindset, pour t'autoriser à être ambitieuse sans avoir à faire des compromis et des sacrifices douloureux en permanence. Allez, rendez-vous à la prochaine !

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