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Au chevet de la couche d'ozone

Au chevet de la couche d'ozone

06min |02/10/2025
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Description

Entre 1975 et 1984, des campagnes de prospection avec ballons sondes organisées par le géophysicien britannique Joseph Farman et son équipe, montrent une baisse graduelle et inquiétante des taux d'ozone dans la stratosphère au-dessus de la base scientifique de Halley Bay en Antarctique.

En 1985 le résultat de leur étude est publié. Tous les hivers, un trou anormal dans la couche d’ozone apparaît au-dessus de l’Antarctique.

Cette découverte est à l'origine d’une des plus efficaces collaborations entre les industriels, les scientifiques et les États, qui aboutit en 1987 à la signature du Protocole de Montréal, ratifié par 24, puis 198 pays. Il vise à interdire la production et la commercialisation des substances chimiques chlorées détruisant la couche d'ozone. Ces substances sont principalement les CFC (chlorofluorocarbures) utilisés dans les systèmes de refroidissement (réfrigérateurs, climatiseurs…).


Pour nous expliquer ce processus, nous recevons Didier Hauglustaine, chimiste de l'atmosphère et directeur de recherche au CNRS  au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement


Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Description

Entre 1975 et 1984, des campagnes de prospection avec ballons sondes organisées par le géophysicien britannique Joseph Farman et son équipe, montrent une baisse graduelle et inquiétante des taux d'ozone dans la stratosphère au-dessus de la base scientifique de Halley Bay en Antarctique.

En 1985 le résultat de leur étude est publié. Tous les hivers, un trou anormal dans la couche d’ozone apparaît au-dessus de l’Antarctique.

Cette découverte est à l'origine d’une des plus efficaces collaborations entre les industriels, les scientifiques et les États, qui aboutit en 1987 à la signature du Protocole de Montréal, ratifié par 24, puis 198 pays. Il vise à interdire la production et la commercialisation des substances chimiques chlorées détruisant la couche d'ozone. Ces substances sont principalement les CFC (chlorofluorocarbures) utilisés dans les systèmes de refroidissement (réfrigérateurs, climatiseurs…).


Pour nous expliquer ce processus, nous recevons Didier Hauglustaine, chimiste de l'atmosphère et directeur de recherche au CNRS  au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement


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En 1985 le résultat de leur étude est publié. Tous les hivers, un trou anormal dans la couche d’ozone apparaît au-dessus de l’Antarctique.

Cette découverte est à l'origine d’une des plus efficaces collaborations entre les industriels, les scientifiques et les États, qui aboutit en 1987 à la signature du Protocole de Montréal, ratifié par 24, puis 198 pays. Il vise à interdire la production et la commercialisation des substances chimiques chlorées détruisant la couche d'ozone. Ces substances sont principalement les CFC (chlorofluorocarbures) utilisés dans les systèmes de refroidissement (réfrigérateurs, climatiseurs…).


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Entre 1975 et 1984, des campagnes de prospection avec ballons sondes organisées par le géophysicien britannique Joseph Farman et son équipe, montrent une baisse graduelle et inquiétante des taux d'ozone dans la stratosphère au-dessus de la base scientifique de Halley Bay en Antarctique.

En 1985 le résultat de leur étude est publié. Tous les hivers, un trou anormal dans la couche d’ozone apparaît au-dessus de l’Antarctique.

Cette découverte est à l'origine d’une des plus efficaces collaborations entre les industriels, les scientifiques et les États, qui aboutit en 1987 à la signature du Protocole de Montréal, ratifié par 24, puis 198 pays. Il vise à interdire la production et la commercialisation des substances chimiques chlorées détruisant la couche d'ozone. Ces substances sont principalement les CFC (chlorofluorocarbures) utilisés dans les systèmes de refroidissement (réfrigérateurs, climatiseurs…).


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