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Hello ✨
Aujourd'hui, on retrace mon passé pour comprendre comment je suis devenue entrepreneuse 🌅
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Aujourd'hui, on retrace mon passé pour comprendre comment je suis devenue entrepreneuse 🌅
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Transcription
Bonjour à tous et bienvenue dans ce tout premier épisode de mon podcast, je suis hyper contente d'être enfin sur les plateformes. Moi c'est Manon, je suis ravie de t'accueillir ici et si toi aussi t'es passionné par l'entrepreneuriat, la psychologie, le développement personnel, le marketing ou même la communication, tu es totalement au bon endroit. Ce podcast, en fait, ça va être juste à safe place, je te partagerai à travers mes expériences et mes conseils un accompagnement dans la compréhension de soi et de autrui. Mon objectif est tout simplement d'aider les personnes, peut-être comme toi, à vouloir trouver un alignement grâce à l'épanouissement personnel et professionnel. Alors, installe-toi confortablement et c'est parti ! Bon, ça y est, on y est enfin, je me lance dans les podcasts. Ça faisait super longtemps que j'hésitais à me lancer. Et pour être honnête, j'hésitais même entre YouTube, les plateformes podcast. J'ai vraiment hésité pendant un petit moment. Même mon entourage me disait, au pire, tu peux faire les deux. Je disais, bah non, j'ai pas spécialement envie de faire les deux pour commencer. En fait, j'ai la chance d'habiter dans le sud de la France. Donc, dès que le soleil revient, je pourrais vous faire du beau contenu. contenu YouTube avec le soleil. Donc j'ai trop hâte et je suis hyper contente d'être là aujourd'hui. Bon, rentrons dans le vif du sujet. Pourquoi j'ai voulu faire du podcast ? En fait, pour être tout à fait honnête, je suis une vraie pipelette. C'est-à-dire que tu vois la potcheante qui te fait 10 minutes de vocaux pour t'expliquer ou te raconter quelque chose. Bah voilà, c'est moi. Donc, mais ne t'inquiète pas, dans les podcasts, je vais complètement structurer... les podcasts pour qu'ils soient le plus linéaires possible. Mon but, c'est d'en faire une sorte de vlog pour les jeunes entrepreneurs, les futurs entrepreneurs ou même les curieux qui ont envie juste de se renseigner tout simplement sur le métier d'entrepreneur car moi-même, je suis freelance. Et aujourd'hui, pour ma première vidéo, je voulais vraiment te parler de qui je suis, de mon parcours, de pourquoi j'ai choisi l'entrepreneuriat. Voilà. Donc... Pour un peu te structurer tout ça, il y a une première partie où je vais te raconter tout simplement qui je suis. Dans une deuxième partie, on verra vraiment à travers mon parcours pro qui enchaînera sur la troisième partie de pourquoi justement à travers ce parcours pro là, j'ai choisi l'entrepreneuriat. Donc tout d'abord, qui je suis ? Donc moi je viens de Nancy, donc j'ai 27 ans. Donc Nancy ça se situe en Lorraine Je sais pas si tu vois c'est dans le nord-est de la France J'y ai vécu pendant 25 ans Donc autant te dire Un quart de siècle Et ça fait un peu plus de deux ans Que je vis à Nice Si il fallait que je parle Vraiment de moi Je te dirais que D'après les personnes Mon entourage en tout cas Qui me décriraient en fait je suis quelqu'un d'hyper solaire Que j'ai une oreille hyper hyper attentive, que je ne juge jamais personne, ce qui fait que naturellement les personnes viennent à moi pour se confier, parler de leurs problèmes, avoir des conseils sur vraiment tout et n'importe quoi comme sujet. Et on verra d'après mon parcours professionnel qu'est-ce qui me donne aussi les arguments à chaque fois que je peux leur donner. Et puis moi je te dirais que... Je suis quelqu'un d'hypersensible, alors je sais, là, les personnes qui vont entendre ça, je pense 80% du temps vont se dire Oui mais ce mot-là, on l'entend à tout et à travers, je suis totalement d'accord avec toi Malheureusement, je le suis vraiment. Et en fait, ça se définit par mes fonctions cognitives, donc mon cerveau et mon empathie sont surdéveloppées par rapport à la moyenne. Et en fait, ça me permet de vraiment littéralement lire en toi, c'est-à-dire juste en t'analysant. de A à Z, donc ton verbal, ton paraverbal, ta communication, tes gestes que tu vas me dire dans le fond, etc. Mon cerveau va l'interpréter plus rapidement que la moyenne. Et c'est comme si, littéralement, j'arrivais à lire en toi, mais comme si j'étais toi. C'est-à-dire que j'arrive à ressentir ce que tu ressens. Et tout simplement, c'est à ce moment-là que j'arrive naturellement à te donner des conseils, à voir plus loin que ce que les personnes traditionnelles, entre guillemets, te diront. Ou même, je vais arriver à poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas forcément à le faire. Et ça va t'aider tout simplement dans ta vie future. Et juste le fait de poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas à comprendre ou savoir, ça aide. énormément parce que c'est comme un médecin qui pose un diagnostic sur une maladie le fait de savoir quelle est cette maladie là plus tard le malade arrive à mieux se guérir ou en tout cas à supporter mentalement quelque chose que Que si tu ne le savais pas, en tout cas. Donc, voilà, je tiens à préciser que je me qualifie un peu de consultant, de mentorat ou de coach. En fait, c'est vraiment les trois casquettes que tu entendras vraiment à travers ce podcast. En aucun cas, je me qualifie de thérapeute ou même de psychologue. En fait, il faut savoir que Nancy, c'est vraiment une petite ville et c'est hyper facile de connaître tout le monde. Pendant mes études, j'ai aussi profité. Je suis beaucoup sortie, donc j'ai rencontré... aussi encore pas mal de personnes. Ce qui fait que j'ai pu, grâce à ces connaissances-là aussi, obtenir un bagage, on va dire, émotionnel et mental à travers des personnes. Et notamment, et là, ce qui va nous permettre d'enchaîner sur ma deuxième partie, donc mon parcours professionnel. Parce que, alors certes, il y a eu mon parcours amical, on va dire ça comme ça. Mais j'ai eu aussi un grand parcours professionnel. J'ai vraiment obtenu plein de jobs, mais plein, plein, plein. Pendant plus d'une dizaine d'années, j'ai travaillé dans plein de domaines différents. Mais vraiment de passer de la pire échelle à une très haute échelle que je vous expliquerai après. Donc voilà, j'ai vraiment su et pu obtenir énormément de compétences et de connaissances dans plein de domaines différents. Mais ce qui m'a permis de moi... savoir qu'est-ce que j'aime et qu'est-ce que je n'aime pas, et savoir qu'est-ce qui m'épanouit professionnellement et donc personnellement. Mais à côté de ça, j'arrive toujours à voir le positif en fait. Je me dis que, bon déjà... Pourquoi j'ai travaillé ? Tout simplement pour se faire de l'argent, qu'on dise les choses. Moi, j'ai eu des parents très aimants, il n'y a pas eu de soucis sur ça. Mais il y a des choses personnelles qui ont fait que je suis vite devenue indépendante et je trouvais mon argent par moi-même. Donc, quel est le meilleur moyen pour trouver de l'argent ? C'est de travailler, tout simplement. Et d'avoir ces expériences-là. En fait, malheureusement, je n'ai pas eu que des expériences positives. J'ai eu... même pas mal d'expériences négatives. C'est passé par du harcèlement au travail où mon responsable nous insultait, il insultait les clients, il nous retournait le cerveau. Des choses vraiment pas cool. J'ai eu aussi des jobs où j'étais très mal payée pour la quantité de travail que je faisais. On aurait pu croire parfois que j'étais gérante alors que je ne l'étais pas et pourtant j'étais très mal payée. J'ai même fait du travail où je pouvais faire des heures sup, bon j'étais pas payée, bon ça c'est les trois quarts des jobs malheureusement à l'heure actuelle. Mais voilà, j'ai vraiment pu passer par plein plein de choses, même des jobs tout simplement qui m'ont... qui ne m'ont pas plu en fait, enfin ce que je faisais ne me plaisait pas, j'avais aucune satisfaction en rentrant chez moi, ou au contraire, et ça ça doit être arrivé à plein de personnes, je pense même 90% de la population, d'avoir la boule vente en se disant ah demain j'ai la flemme d'aller travailler Bah voilà, ça c'était ça. Mais en grandissant, plus j'avais ces expériences-là, positifs ou négatifs, plus je me disais mais en fait, avec du recul, je suis en train de me rendre compte que c'est en train vraiment de me construire mon moi intérieur, c'est-à-dire que mon psychisme est vraiment littéralement en train de se construire sur ça. Donc j'avais l'impression à travers ces jobs-là que je me cherchais en fait tout simplement. Et là, je me suis rendue compte de quelque chose qui a, je pense, et même encore jusqu'à l'heure actuelle, construit totalement mon identité. C'est toutes tes expériences, positives comme négatives, mais surtout négatives, vont être hyper formatrices. pour mon avenir et pour mon épanouissement personnel. Alors pour la petite histoire, pour vous remettre un peu les bases, je suis quelqu'un, je suis nulle à l'école. Vraiment, je suis nulle à l'école, j'ai l'impression que je ne suis vraiment pas à ma place. Je ne comprends même pas pourquoi les personnes, il y a même des camarades de classe, ils n'ont même pas besoin de réviser, qu'ils ont plus que moi, alors que moi je passe des heures les soirs à réviser. Je ne comprends pas, en fait, littéralement, mon bac, je l'ai au rattrapage, j'ai vraiment très très peu de choses. Ma troisième, je ne l'ai pas précisé, mais je l'ai redoublée parce que, à l'époque, je faisais beaucoup de photos et tu ne sais pas pourquoi, la directrice de mon école m'a dit à mes parents, c'est soit votre fille, vous la mettez dans une école professionnelle de photos, soit je la fais redoubler. Alors que moi, je voulais aller en lycée général. Bon, je n'ai pas cherché à comprendre, j'ai redoublé parce que j'adore la photo, mais à cette époque-là, je ne me voyais pas photographe, même si j'adore et j'adore toujours la photo, c'est une de mes passions. J'arrive en post-bac, on me dit tu vas devoir trouver une filière qui va faire tout ton avenir. Moi je suis à un âge où je suis nulle à l'école, on me demande de choisir mon avenir là tout de suite maintenant, alors que moi-même je suis en train de me rechercher. Je vais choisir la première filière que je trouve. J'ai intégré une fac qui s'appelait AES. Donc, administration économique et sociale. Donc, autant vous dire que pour moi, cette filière-là, je ne sais même pas si elle existe encore, mais pour moi, c'était vraiment la filière poubelle, en fait. Tu avais vraiment de tout, de la gestion, de la comptabilité, du droit, de l'économie. Enfin, vraiment, tu avais tout et rien. Tu ne savais pas quoi prendre, tu allais là-dedans. Au moins, tu savais que tu avais touché à tout. Donc, voilà. Ce que j'ai retenu, qui m'a vraiment... à l'heure actuelle, avec laquelle je suis contente d'avoir appris, c'est qu'il y avait du droit. Et en fait, le droit d'avoir fait des fiches de jurisprudence, etc., mine de rien, et d'avoir étudié le droit, en fait, tout simplement, ça m'a vraiment permis de comprendre l'utilité et comment fonctionnait le droit. Donc ça, franchement, c'est quelque chose dans laquelle je retiens. Donc dans le négatif, on retient toujours du positif. Puis, donc là, je me dis, je ne vais clairement pas finir là-dedans, je me réoriente. encore une nouvelle fois où on me met mon chemin de vie me dit tu vas avoir encore des barrières devant toi et ben t'inquiète pas tu vas en avoir donc là je me dis bon qu'est ce que je fais ça fait à peu près trois ans dans la tête j'ai la filière de la psychologie qui me vraiment me trotte dans la tête j'en entends un peu parler on va dire c'est comme si l'univers me mettais un peu des brides même depuis début du lycée vraiment j'ai des petites brides j'entends la psychologie un peu partout Ça m'intrigue, j'ai envie de savoir c'est quoi, mais j'entends beaucoup de négatifs de cette filière-là, qu'il n'y a pas de débouchés derrière, que c'est vraiment une filière pour les L, qu'il n'y a que ceux qui fument qui vont là-dedans. Vraiment, j'entends vraiment beaucoup de négatifs. Mais je me dis, enfin de négatifs, pardon. Et je me dis, mais ce n'est pas grave, j'ai envie de tester, j'y vais. Eh bien, je rentre dans cette filière-là et je m'éclate. Pendant trois ans, je vais galérer. Il y a certaines années où j'ai galéré parce que ce n'est pas aussi facile qu'on le pense. Je vais galérer, mais par contre, je m'éclate. J'ai des notes de ouf, des notes que même de toute ma scolarité, je pense que je n'ai jamais eues. Des fois, j'obtiens des trucs, des styles, des 20. Je me souviens, j'ai une note et j'ai eu un 21 sur 20. Ça, je m'en souviendrai toujours parce qu'il y avait des bonus qu'on pouvait donner. J'avais eu 20 et j'avais eu juste au bonus. Donc, j'avais eu 21 sur 20. Vraiment, je m'éclate. Je finis ma licence, j'obtiens cette licence-là avec une mention. J'ai genre 13 de moyenne générale à toute la licence. Ce qui est bien quand on est à la fac et qu'on est complètement livré à soi-même. Parce qu'il faut savoir que je suis venue de nulle part, d'être nulle à l'école, à bah t'es à la fac, tu te démerdes par toi-même Et c'est un truc de fou parce que vraiment je me retrouve totalement. J'arrive à totalement m'organiser, je suis hyper autonome. La matière en elle-même me plaît. Je suis, enfin voilà, vraiment, je me retrouve de ouf. Mais là, le ciel me tombe sur la tête et ce que j'entendais de négatif pendant trois ans arrive devant moi. C'est-à-dire que là, en fait, il n'y a pas de boucher. C'est complètement bouché. Je postule à 35 masters ou j'ai 35 refus. J'ai, entre gros guillemets, seulement 13 de moyenne générale à la fac. Mais c'est pas assez. Ils prennent l'élite de l'élite et ils prennent ces gens-là. Là, moi, je suis complètement dégoûtée parce que je me dis concrètement, ils préfèrent prendre l'élite alors que des personnes comme moi qui ont ce don naturel, entre guillemets, qui ne se basent pas sur de la théorie, mais bien sur de la théorie et de la pratique et un don, on va dire, naturel, même si je me lance au cul et je reste totalement modeste en disant ça. Voilà. Mais je reste encore positive. Je me dis, l'univers, s'il a fait ça, c'est qu'il y a une bonne raison. Eh bien, ce n'est pas grave, on va choisir autre chose en attendant. J'ai cherché un travail tout simplement. Donc, il y a eu le Covid entre-temps, donc c'était compliqué parce que j'ai obtenu ma licence en 2020. Juste derrière, il y a eu le confinement. Donc, pour trouver du travail, c'était hyper compliqué. Le premier travail que je trouve et dans lequel je suis restée deux ans, c'était en restauration. Au bout de huit mois, je suis passée manager. Donc, ce n'est pas le manager où on sait, il habille en noir, il donne deux, trois ordres. Non, ce n'était pas ce genre de restauration. C'était de la restauration devant les clients. Donc, en fait, en tant que manager, je devais gérer la caisse, faire le service, faire la plonge, former mes employés, gérer la relation client, donc parler avec les clients, parce qu'en plus, les clients me connaissaient. Voilà, donc je devais vraiment tout gérer en même temps. Et j'ai vraiment kiffé. Cependant, j'étais très mal payée. pour ce que je faisais. Vers la fin, en plus, il y a eu des complications, ce qui a fait que je me suis retrouvée toute seule à gérer. Mais à côté de ça, je retiens grave du positif, c'est-à-dire que j'ai fait des rencontres de ouf. Une de mes meilleures amies, c'était ma directrice, pour vous le dire. Donc voilà, j'ai vraiment que du positif. J'ai fait des rencontres de ouf. J'ai pu en apprendre beaucoup sur moi-même en tant que manager, comment gérer une équipe, comment gérer des situations compliquées, le rush. Vraiment, sur ça, j'en retiens que du positif. Mais là, il m'arrive des choses pas cool. En 2021, j'ai le décès de mon grand-père. Là, je vois vraiment que tout mon monde s'effondre. Mon grand-père, j'étais très très proche de lui. Il était malade. Donc psychologiquement, je m'y attendais. On s'y attendait tous. Mais voilà, je ne suis vraiment pas bien à cause de ça. Et ça va se supporter pendant des mois et des mois. Au point où d'autres choses personnelles m'arrivent. Rupture amicale et là, rupture amoureuse. Et là, je décide de tout plaquer. Je pars. Quel est mon rêve depuis des années ? C'est de partir dans le sud de la France. Ok, pas de soucis. Qu'est-ce que je veux faire que je n'ai plus ? Un master. en psycho je pense que ça va être un peu mort et tous les jobs en fait que j'ai pu accumuler et là c'est là qu'on retient encore du positif dans mes expériences dans tous les jobs que j'ai fait quel est le job à laquelle je me suis le plus plu et qui me permet de réunir tout ça en fait de réunir les choses que j'aime bien d'avoir un peu peut-être de psychologie là-dedans c'est tout simplement le marketing et en fait donc je vais... chercher un master en marketing. Donc, je trouve un master en marketing et communication à distance et en alternance. Donc, j'ai l'opportunité de choisir la destination où je veux. Donc là, je dis, c'est simple, j'ai un rêve depuis des années de partir vivre dans le Sud et je veux reprendre des études. On me dit, tu vas où tu veux. Eh bien, c'est très bien. Je vais chercher, donc en gros, j'ai cherché en dessous de Lyon et peu importe l'endroit, tant qu'une alternance m'a accepté et qui soit bien sûr... de non, de non avec ce que moi je recherche aussi, parce que quand je passais les entretiens, je disais aux personnes, je vous aide dans votre entreprise, par contre, je suis encore étudiante. Donc c'est à vous de me former correctement, à m'apprendre des choses. En fait, il m'arrive plein de choses négatives à ce moment-là, mais j'arrive à trouver une espèce de force en moi, où c'est comme si j'arrivais à faire... tout un récap de tout ce qui s'est passé ces dernières années, depuis 2020 surtout, dans ma vie. Et qu'est-ce qui m'a plu, qu'est-ce qui m'a déplu. Mais en fait, je retiens tout le positif de tout ce que j'ai subi en négatif. Et en fait, c'est grâce à toutes ces choses-là que j'ai pu me dire, bon bah c'est bon, je pars en fait. Et là, je ne vous détaille pas tout le parcours de comment j'ai réussi à trouver, mais la coïncidence de fou malade, c'est que j'atterris à Nice pour une alternance. Nice, il faut savoir que c'est ma ville de cœur, mon père était niçois, donc je suis toujours venue ici parce que vraiment, je suis amoureuse de Nice. Donc l'univers, et comme quoi on attire bien les choses à nous quand on le veut profondément, c'est que j'atterris à Nice, mais parce que la première fois... personne qui m'appelle et qui me dit je suis ok pour vous prendre elle habite à Nice, c'est à dire que quelqu'un de Bordeaux m'aurait pu dire pareil, j'atterrisse à Bordeaux non, il a fallu que j'atterrisse à Nice comme par hasard après moi je dis toujours il n'y a pas de hasard, il n'y a que des synchronicités les personnes qui croient en l'univers comme moi et qui écoutent ce podcast se reconnaîtront ce que je dis là-dedans donc bref j'atterris ici, tout se passe très bien la première alternance se passe pas bien du tout Donc je change au bout de 5 mois, je retrouve une autre alternance et là, je m'éclate. Vraiment, je suis dans mon élément. C'est la première fois que je travaille dans un bureau. J'adore. Genre vraiment, c'est trop bien. Pour les personnes qui n'ont jamais travaillé en bureau, je vous assure que c'est trop bien. Passer de travailler à courir partout, à être tout le temps debout, à faire des choses manuelles, etc. Passer de travailler dans un bureau, je vous jure que ça change la vie. C'est vraiment dinguerie. Vraiment. Là, je travaille pendant un an et demi dans cette boîte-là et arrive le moment, six mois avant de signer un CDI, où littéralement, je demande, je dis, écoutez, est-ce que vous voulez que je signe un CDI avec vous dans six mois ou pas ? Ou je cherche ailleurs, moi, il n'y a pas de souci, mais je veux savoir. Non, t'inquiète pas, Manon, tu auras un CDI chez nous. Bref, je ne vous passe pas pendant six mois, c'était une fatigue mentale, mais tellement épuisante. Je pense qu'avec Durkul, il y avait cette fatigue mentale. J'étais Big Gates à ce moment-là. J'étais en train de gérer toute ma soutenance, mon oral, mon mémoire. J'étais en train de créer mon entreprise. La pression de mon employeur qui voulait me faire monter en compétence sur certaines choses, c'était horrible. Je vous le dis, horrible. Ce qui s'est passé, c'est qu'en fait, trois semaines avant de signer ce CDI-là, mon patron me prend dans son bureau et m'explique que non, ça serait un CDD et non pas un CDI. Et là, moi, je pète un câble. En fait, je pète un câble parce que je dis, mais attendez, moi, j'ai fait tout bien, j'ai fait les choses correctement, etc. Bon, je ne vais pas rentrer dans les détails parce que ce serait beaucoup trop long et on s'en fout. Mais là arrive le moment où, clairement, moi, j'ai dit stop. J'ai dit en fait, il n'y aura rien du tout. C'est-à-dire, il n'y aura rien. Je veux arrêter de bosser avec vous. Je prends mon envol. Et là, on passe à la troisième étape. Pourquoi l'entreprenariat ? Là, j'arrive dans un monde que je ne connais pas, c'est-à-dire l'entreprenariat. Là, on est fin octobre 2024 et je dois déclarer mon entreprise, je me lance vraiment dans le bain. J'ai une formation aussi depuis mai 2024 où je me forme en tant qu'entrepreneur vraiment sur plein de domaines. Là, l'heure actuelle, on est le 12 décembre. Ça fait deux mois que j'ai lancé mon entreprise et j'ai eu un lancement catastrophique. Quand je dis catastrophique, il y en a des Ausha moi qui diront Ah bah non, t'abuses de ouf ! Non, alors c'est pas catastrophique dans le sens où ça aurait pu être pire. Encore une fois, vous verrez que dans six mois, je vous dirai qu'au final, rien n'arrive sans rien. Mais à l'heure actuelle, j'ai passé des dernières semaines horribles parce que vraiment, un doute constant de ce que je vends. En fait, je vous explique. dans mon entreprise où je travaillais avant, j'étais chargée de marketing et communication, j'ai pu toucher à tout, voir tout franchement ça m'a trop plu ma responsable qui m'a formée un amour franchement je souhaite à n'importe qui d'avoir une manageuse comme ça et en fait on va dire les 6 derniers mois j'ai eu un poste équivalent à chef de projet marketing, pourquoi ? parce que je gérais tout ce qui était analyse commerciale et en plus de ça Je gérais toute la partie partenaire qui me permettait d'organiser toute la gestion et l'organisation des webinars et des événements, notamment en B2B. Donc je kiffais vraiment mon taf, c'était vraiment très très cool, mais en fait on m'a donné des deadlines impossibles à respecter, enfin bref. Le truc c'est que je ne sais pas pourquoi je ne le sens pas, donc c'est pour ça que j'ai arrêté ce truc. Et là je suis dans une phase où énergétiquement c'était épuisant. Les deux derniers mois, en plus, c'était fin octobre, début novembre. Donc, en fait, il y a eu tout l'hiver, etc., l'automne et tout. Il faut savoir que l'automne, moi qui est quelqu'un de très solaire, l'automne, je déteste ça. La pluie, le froid, vraiment, je ne peux pas. Je préfère limite l'hiver avec la neige que l'automne. Et donc, énergétiquement, très lourd, très lourd à supporter. C'est la fin d'année, tout le monde est stressé. Tous les commerçants sont stressés. Enfin, vraiment, ce n'est pas un bon mood. Donc moi, je me dis en partant, qu'est-ce que je peux faire en tant qu'entreprise ? J'ai tous ces domaines-là, donc le marketing, la com, la psychologie, le développement personnel. Vraiment, j'ai plusieurs thèmes que j'aime, mais je ne sais pas comment les exploiter tous ensemble. Mon storytelling, il va être bizarre. Et en fait, j'ai une part de personnes qui me disent, mais au pire, tu fais tout en même temps. J'en ai d'autres qui me disent, mais en fait, fais l'un, après tu fais l'autre. Il y en a qui me disent, mais au pire, tu t'en fiches, fais comme tu le sens. fait de tout. Et puis, je suis perdue. Je suis perdue à ce moment-là, je me dis, bon. Et je me déclare en tant que social media manager, donc j'aide les entreprises à faire une stratégie sur leurs réseaux sociaux pour se vendre mieux. Et à côté de ça, je me dis en tant que consultante bien-être, donc tout ce qui est développement personnel, psychologie positive, etc. Ça, c'est sur le papier. Mais, depuis 2-3 semaines, et c'est pour ça que j'ai voulu faire ce podcast-là et vraiment me... décharger en termes de mindset, avoir vraiment, reprendre quelque chose vraiment de positif et 2025 arrive et pour moi les 5 dernières années ont été vraiment très très très très compliquées. En fait j'ai envie que 2025 ça soit vraiment quelque chose de renouveau, quelque chose professionnellement où là je me découvre. En fait que vraiment 2025 pour moi ce soit si j'arrive à trouver ma voie dans l'entreprenariat parce que le salariat c'est vraiment un moment où je me dis Moi, j'en peux plus. Vraiment, j'ai ma goutte d'eau. Et moi, je crois que rien n'arrive sans rien. Si je suis là à l'heure actuelle, c'est qu'il y a quelque chose de bien qui arrive plus tard. Je le saurai après. Le conseil que je peux vous donner là-dedans, c'est vraiment suivre son instinct, suivre ses intuitions. C'est hyper important. Vous savez, la petite voix que vous entendez et que vous dites Non, mais je vais faire ça. Non, non, non, non. Suivez cette... petite voix. Je vous jure que ça, c'est une des choses que j'ai appris notamment à ma meilleure amie quand on était plus jeune, qu'elle me disait, mais comment tu sens tes pressentiments, Manon ? Parce que oui, j'ai appelé ça avant des pressentiments. Je lui disais, mais tu vois ta petite voix que t'entends là ? Elle me disait, ouais. Je lui disais, mais écoute là. Et je vous jure que depuis qu'elle fait ça, ça fait des années qu'elle fait ça maintenant, eh ben, Petite Voix te parle, c'est vraiment que tu dois vraiment, vraiment, vraiment l'écouter. Parce que c'est cette petite voix-là qui te guide, en fait. Vraiment qui te dit, là, tu dois aller dans cette direction-là, parce que je t'assure qu'il y a un truc cool derrière. Donc voilà, et à l'heure actuelle, je suis en pleine reconstruction de mon entreprise. Vraiment tourner plus vers tout ce qui est... Un mélange des deux, mais vraiment ce côté bien-être, vraiment cette Ausha naturelle que j'ai chez moi, j'ai vraiment envie de la mettre en avant. Je souhaite à n'importe qui vraiment de pouvoir faire ça. Et en fait, c'est bête, mais ça fait deux semaines là que je pense en deux semaines, j'ai vécu plus de choses intenses et positives que les deux derniers mois réunis. Parce que de penser positif, j'attire le positif à moi. Et tout simplement, je suis en train de développer. Il y a plein de projets qui arrivent à moi. Plein de projets différents que j'aurai l'occasion de vous en parler plus tard. Et en tout cas, j'ai trop hâte de vous dévoiler tous les prochains projets. Parce qu'il y en a pas mal qui arrivent. Et je vous souhaite une très très bonne journée ou soirée. Ça dépend à l'heure où vous écoutez ce podcast-là. Je suis hyper contente si vous êtes arrivés jusqu'à là. Je vous dis à la prochaine. Bisous ! S
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Aujourd'hui, on retrace mon passé pour comprendre comment je suis devenue entrepreneuse 🌅
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
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Bonjour à tous et bienvenue dans ce tout premier épisode de mon podcast, je suis hyper contente d'être enfin sur les plateformes. Moi c'est Manon, je suis ravie de t'accueillir ici et si toi aussi t'es passionné par l'entrepreneuriat, la psychologie, le développement personnel, le marketing ou même la communication, tu es totalement au bon endroit. Ce podcast, en fait, ça va être juste à safe place, je te partagerai à travers mes expériences et mes conseils un accompagnement dans la compréhension de soi et de autrui. Mon objectif est tout simplement d'aider les personnes, peut-être comme toi, à vouloir trouver un alignement grâce à l'épanouissement personnel et professionnel. Alors, installe-toi confortablement et c'est parti ! Bon, ça y est, on y est enfin, je me lance dans les podcasts. Ça faisait super longtemps que j'hésitais à me lancer. Et pour être honnête, j'hésitais même entre YouTube, les plateformes podcast. J'ai vraiment hésité pendant un petit moment. Même mon entourage me disait, au pire, tu peux faire les deux. Je disais, bah non, j'ai pas spécialement envie de faire les deux pour commencer. En fait, j'ai la chance d'habiter dans le sud de la France. Donc, dès que le soleil revient, je pourrais vous faire du beau contenu. contenu YouTube avec le soleil. Donc j'ai trop hâte et je suis hyper contente d'être là aujourd'hui. Bon, rentrons dans le vif du sujet. Pourquoi j'ai voulu faire du podcast ? En fait, pour être tout à fait honnête, je suis une vraie pipelette. C'est-à-dire que tu vois la potcheante qui te fait 10 minutes de vocaux pour t'expliquer ou te raconter quelque chose. Bah voilà, c'est moi. Donc, mais ne t'inquiète pas, dans les podcasts, je vais complètement structurer... les podcasts pour qu'ils soient le plus linéaires possible. Mon but, c'est d'en faire une sorte de vlog pour les jeunes entrepreneurs, les futurs entrepreneurs ou même les curieux qui ont envie juste de se renseigner tout simplement sur le métier d'entrepreneur car moi-même, je suis freelance. Et aujourd'hui, pour ma première vidéo, je voulais vraiment te parler de qui je suis, de mon parcours, de pourquoi j'ai choisi l'entrepreneuriat. Voilà. Donc... Pour un peu te structurer tout ça, il y a une première partie où je vais te raconter tout simplement qui je suis. Dans une deuxième partie, on verra vraiment à travers mon parcours pro qui enchaînera sur la troisième partie de pourquoi justement à travers ce parcours pro là, j'ai choisi l'entrepreneuriat. Donc tout d'abord, qui je suis ? Donc moi je viens de Nancy, donc j'ai 27 ans. Donc Nancy ça se situe en Lorraine Je sais pas si tu vois c'est dans le nord-est de la France J'y ai vécu pendant 25 ans Donc autant te dire Un quart de siècle Et ça fait un peu plus de deux ans Que je vis à Nice Si il fallait que je parle Vraiment de moi Je te dirais que D'après les personnes Mon entourage en tout cas Qui me décriraient en fait je suis quelqu'un d'hyper solaire Que j'ai une oreille hyper hyper attentive, que je ne juge jamais personne, ce qui fait que naturellement les personnes viennent à moi pour se confier, parler de leurs problèmes, avoir des conseils sur vraiment tout et n'importe quoi comme sujet. Et on verra d'après mon parcours professionnel qu'est-ce qui me donne aussi les arguments à chaque fois que je peux leur donner. Et puis moi je te dirais que... Je suis quelqu'un d'hypersensible, alors je sais, là, les personnes qui vont entendre ça, je pense 80% du temps vont se dire Oui mais ce mot-là, on l'entend à tout et à travers, je suis totalement d'accord avec toi Malheureusement, je le suis vraiment. Et en fait, ça se définit par mes fonctions cognitives, donc mon cerveau et mon empathie sont surdéveloppées par rapport à la moyenne. Et en fait, ça me permet de vraiment littéralement lire en toi, c'est-à-dire juste en t'analysant. de A à Z, donc ton verbal, ton paraverbal, ta communication, tes gestes que tu vas me dire dans le fond, etc. Mon cerveau va l'interpréter plus rapidement que la moyenne. Et c'est comme si, littéralement, j'arrivais à lire en toi, mais comme si j'étais toi. C'est-à-dire que j'arrive à ressentir ce que tu ressens. Et tout simplement, c'est à ce moment-là que j'arrive naturellement à te donner des conseils, à voir plus loin que ce que les personnes traditionnelles, entre guillemets, te diront. Ou même, je vais arriver à poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas forcément à le faire. Et ça va t'aider tout simplement dans ta vie future. Et juste le fait de poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas à comprendre ou savoir, ça aide. énormément parce que c'est comme un médecin qui pose un diagnostic sur une maladie le fait de savoir quelle est cette maladie là plus tard le malade arrive à mieux se guérir ou en tout cas à supporter mentalement quelque chose que Que si tu ne le savais pas, en tout cas. Donc, voilà, je tiens à préciser que je me qualifie un peu de consultant, de mentorat ou de coach. En fait, c'est vraiment les trois casquettes que tu entendras vraiment à travers ce podcast. En aucun cas, je me qualifie de thérapeute ou même de psychologue. En fait, il faut savoir que Nancy, c'est vraiment une petite ville et c'est hyper facile de connaître tout le monde. Pendant mes études, j'ai aussi profité. Je suis beaucoup sortie, donc j'ai rencontré... aussi encore pas mal de personnes. Ce qui fait que j'ai pu, grâce à ces connaissances-là aussi, obtenir un bagage, on va dire, émotionnel et mental à travers des personnes. Et notamment, et là, ce qui va nous permettre d'enchaîner sur ma deuxième partie, donc mon parcours professionnel. Parce que, alors certes, il y a eu mon parcours amical, on va dire ça comme ça. Mais j'ai eu aussi un grand parcours professionnel. J'ai vraiment obtenu plein de jobs, mais plein, plein, plein. Pendant plus d'une dizaine d'années, j'ai travaillé dans plein de domaines différents. Mais vraiment de passer de la pire échelle à une très haute échelle que je vous expliquerai après. Donc voilà, j'ai vraiment su et pu obtenir énormément de compétences et de connaissances dans plein de domaines différents. Mais ce qui m'a permis de moi... savoir qu'est-ce que j'aime et qu'est-ce que je n'aime pas, et savoir qu'est-ce qui m'épanouit professionnellement et donc personnellement. Mais à côté de ça, j'arrive toujours à voir le positif en fait. Je me dis que, bon déjà... Pourquoi j'ai travaillé ? Tout simplement pour se faire de l'argent, qu'on dise les choses. Moi, j'ai eu des parents très aimants, il n'y a pas eu de soucis sur ça. Mais il y a des choses personnelles qui ont fait que je suis vite devenue indépendante et je trouvais mon argent par moi-même. Donc, quel est le meilleur moyen pour trouver de l'argent ? C'est de travailler, tout simplement. Et d'avoir ces expériences-là. En fait, malheureusement, je n'ai pas eu que des expériences positives. J'ai eu... même pas mal d'expériences négatives. C'est passé par du harcèlement au travail où mon responsable nous insultait, il insultait les clients, il nous retournait le cerveau. Des choses vraiment pas cool. J'ai eu aussi des jobs où j'étais très mal payée pour la quantité de travail que je faisais. On aurait pu croire parfois que j'étais gérante alors que je ne l'étais pas et pourtant j'étais très mal payée. J'ai même fait du travail où je pouvais faire des heures sup, bon j'étais pas payée, bon ça c'est les trois quarts des jobs malheureusement à l'heure actuelle. Mais voilà, j'ai vraiment pu passer par plein plein de choses, même des jobs tout simplement qui m'ont... qui ne m'ont pas plu en fait, enfin ce que je faisais ne me plaisait pas, j'avais aucune satisfaction en rentrant chez moi, ou au contraire, et ça ça doit être arrivé à plein de personnes, je pense même 90% de la population, d'avoir la boule vente en se disant ah demain j'ai la flemme d'aller travailler Bah voilà, ça c'était ça. Mais en grandissant, plus j'avais ces expériences-là, positifs ou négatifs, plus je me disais mais en fait, avec du recul, je suis en train de me rendre compte que c'est en train vraiment de me construire mon moi intérieur, c'est-à-dire que mon psychisme est vraiment littéralement en train de se construire sur ça. Donc j'avais l'impression à travers ces jobs-là que je me cherchais en fait tout simplement. Et là, je me suis rendue compte de quelque chose qui a, je pense, et même encore jusqu'à l'heure actuelle, construit totalement mon identité. C'est toutes tes expériences, positives comme négatives, mais surtout négatives, vont être hyper formatrices. pour mon avenir et pour mon épanouissement personnel. Alors pour la petite histoire, pour vous remettre un peu les bases, je suis quelqu'un, je suis nulle à l'école. Vraiment, je suis nulle à l'école, j'ai l'impression que je ne suis vraiment pas à ma place. Je ne comprends même pas pourquoi les personnes, il y a même des camarades de classe, ils n'ont même pas besoin de réviser, qu'ils ont plus que moi, alors que moi je passe des heures les soirs à réviser. Je ne comprends pas, en fait, littéralement, mon bac, je l'ai au rattrapage, j'ai vraiment très très peu de choses. Ma troisième, je ne l'ai pas précisé, mais je l'ai redoublée parce que, à l'époque, je faisais beaucoup de photos et tu ne sais pas pourquoi, la directrice de mon école m'a dit à mes parents, c'est soit votre fille, vous la mettez dans une école professionnelle de photos, soit je la fais redoubler. Alors que moi, je voulais aller en lycée général. Bon, je n'ai pas cherché à comprendre, j'ai redoublé parce que j'adore la photo, mais à cette époque-là, je ne me voyais pas photographe, même si j'adore et j'adore toujours la photo, c'est une de mes passions. J'arrive en post-bac, on me dit tu vas devoir trouver une filière qui va faire tout ton avenir. Moi je suis à un âge où je suis nulle à l'école, on me demande de choisir mon avenir là tout de suite maintenant, alors que moi-même je suis en train de me rechercher. Je vais choisir la première filière que je trouve. J'ai intégré une fac qui s'appelait AES. Donc, administration économique et sociale. Donc, autant vous dire que pour moi, cette filière-là, je ne sais même pas si elle existe encore, mais pour moi, c'était vraiment la filière poubelle, en fait. Tu avais vraiment de tout, de la gestion, de la comptabilité, du droit, de l'économie. Enfin, vraiment, tu avais tout et rien. Tu ne savais pas quoi prendre, tu allais là-dedans. Au moins, tu savais que tu avais touché à tout. Donc, voilà. Ce que j'ai retenu, qui m'a vraiment... à l'heure actuelle, avec laquelle je suis contente d'avoir appris, c'est qu'il y avait du droit. Et en fait, le droit d'avoir fait des fiches de jurisprudence, etc., mine de rien, et d'avoir étudié le droit, en fait, tout simplement, ça m'a vraiment permis de comprendre l'utilité et comment fonctionnait le droit. Donc ça, franchement, c'est quelque chose dans laquelle je retiens. Donc dans le négatif, on retient toujours du positif. Puis, donc là, je me dis, je ne vais clairement pas finir là-dedans, je me réoriente. encore une nouvelle fois où on me met mon chemin de vie me dit tu vas avoir encore des barrières devant toi et ben t'inquiète pas tu vas en avoir donc là je me dis bon qu'est ce que je fais ça fait à peu près trois ans dans la tête j'ai la filière de la psychologie qui me vraiment me trotte dans la tête j'en entends un peu parler on va dire c'est comme si l'univers me mettais un peu des brides même depuis début du lycée vraiment j'ai des petites brides j'entends la psychologie un peu partout Ça m'intrigue, j'ai envie de savoir c'est quoi, mais j'entends beaucoup de négatifs de cette filière-là, qu'il n'y a pas de débouchés derrière, que c'est vraiment une filière pour les L, qu'il n'y a que ceux qui fument qui vont là-dedans. Vraiment, j'entends vraiment beaucoup de négatifs. Mais je me dis, enfin de négatifs, pardon. Et je me dis, mais ce n'est pas grave, j'ai envie de tester, j'y vais. Eh bien, je rentre dans cette filière-là et je m'éclate. Pendant trois ans, je vais galérer. Il y a certaines années où j'ai galéré parce que ce n'est pas aussi facile qu'on le pense. Je vais galérer, mais par contre, je m'éclate. J'ai des notes de ouf, des notes que même de toute ma scolarité, je pense que je n'ai jamais eues. Des fois, j'obtiens des trucs, des styles, des 20. Je me souviens, j'ai une note et j'ai eu un 21 sur 20. Ça, je m'en souviendrai toujours parce qu'il y avait des bonus qu'on pouvait donner. J'avais eu 20 et j'avais eu juste au bonus. Donc, j'avais eu 21 sur 20. Vraiment, je m'éclate. Je finis ma licence, j'obtiens cette licence-là avec une mention. J'ai genre 13 de moyenne générale à toute la licence. Ce qui est bien quand on est à la fac et qu'on est complètement livré à soi-même. Parce qu'il faut savoir que je suis venue de nulle part, d'être nulle à l'école, à bah t'es à la fac, tu te démerdes par toi-même Et c'est un truc de fou parce que vraiment je me retrouve totalement. J'arrive à totalement m'organiser, je suis hyper autonome. La matière en elle-même me plaît. Je suis, enfin voilà, vraiment, je me retrouve de ouf. Mais là, le ciel me tombe sur la tête et ce que j'entendais de négatif pendant trois ans arrive devant moi. C'est-à-dire que là, en fait, il n'y a pas de boucher. C'est complètement bouché. Je postule à 35 masters ou j'ai 35 refus. J'ai, entre gros guillemets, seulement 13 de moyenne générale à la fac. Mais c'est pas assez. Ils prennent l'élite de l'élite et ils prennent ces gens-là. Là, moi, je suis complètement dégoûtée parce que je me dis concrètement, ils préfèrent prendre l'élite alors que des personnes comme moi qui ont ce don naturel, entre guillemets, qui ne se basent pas sur de la théorie, mais bien sur de la théorie et de la pratique et un don, on va dire, naturel, même si je me lance au cul et je reste totalement modeste en disant ça. Voilà. Mais je reste encore positive. Je me dis, l'univers, s'il a fait ça, c'est qu'il y a une bonne raison. Eh bien, ce n'est pas grave, on va choisir autre chose en attendant. J'ai cherché un travail tout simplement. Donc, il y a eu le Covid entre-temps, donc c'était compliqué parce que j'ai obtenu ma licence en 2020. Juste derrière, il y a eu le confinement. Donc, pour trouver du travail, c'était hyper compliqué. Le premier travail que je trouve et dans lequel je suis restée deux ans, c'était en restauration. Au bout de huit mois, je suis passée manager. Donc, ce n'est pas le manager où on sait, il habille en noir, il donne deux, trois ordres. Non, ce n'était pas ce genre de restauration. C'était de la restauration devant les clients. Donc, en fait, en tant que manager, je devais gérer la caisse, faire le service, faire la plonge, former mes employés, gérer la relation client, donc parler avec les clients, parce qu'en plus, les clients me connaissaient. Voilà, donc je devais vraiment tout gérer en même temps. Et j'ai vraiment kiffé. Cependant, j'étais très mal payée. pour ce que je faisais. Vers la fin, en plus, il y a eu des complications, ce qui a fait que je me suis retrouvée toute seule à gérer. Mais à côté de ça, je retiens grave du positif, c'est-à-dire que j'ai fait des rencontres de ouf. Une de mes meilleures amies, c'était ma directrice, pour vous le dire. Donc voilà, j'ai vraiment que du positif. J'ai fait des rencontres de ouf. J'ai pu en apprendre beaucoup sur moi-même en tant que manager, comment gérer une équipe, comment gérer des situations compliquées, le rush. Vraiment, sur ça, j'en retiens que du positif. Mais là, il m'arrive des choses pas cool. En 2021, j'ai le décès de mon grand-père. Là, je vois vraiment que tout mon monde s'effondre. Mon grand-père, j'étais très très proche de lui. Il était malade. Donc psychologiquement, je m'y attendais. On s'y attendait tous. Mais voilà, je ne suis vraiment pas bien à cause de ça. Et ça va se supporter pendant des mois et des mois. Au point où d'autres choses personnelles m'arrivent. Rupture amicale et là, rupture amoureuse. Et là, je décide de tout plaquer. Je pars. Quel est mon rêve depuis des années ? C'est de partir dans le sud de la France. Ok, pas de soucis. Qu'est-ce que je veux faire que je n'ai plus ? Un master. en psycho je pense que ça va être un peu mort et tous les jobs en fait que j'ai pu accumuler et là c'est là qu'on retient encore du positif dans mes expériences dans tous les jobs que j'ai fait quel est le job à laquelle je me suis le plus plu et qui me permet de réunir tout ça en fait de réunir les choses que j'aime bien d'avoir un peu peut-être de psychologie là-dedans c'est tout simplement le marketing et en fait donc je vais... chercher un master en marketing. Donc, je trouve un master en marketing et communication à distance et en alternance. Donc, j'ai l'opportunité de choisir la destination où je veux. Donc là, je dis, c'est simple, j'ai un rêve depuis des années de partir vivre dans le Sud et je veux reprendre des études. On me dit, tu vas où tu veux. Eh bien, c'est très bien. Je vais chercher, donc en gros, j'ai cherché en dessous de Lyon et peu importe l'endroit, tant qu'une alternance m'a accepté et qui soit bien sûr... de non, de non avec ce que moi je recherche aussi, parce que quand je passais les entretiens, je disais aux personnes, je vous aide dans votre entreprise, par contre, je suis encore étudiante. Donc c'est à vous de me former correctement, à m'apprendre des choses. En fait, il m'arrive plein de choses négatives à ce moment-là, mais j'arrive à trouver une espèce de force en moi, où c'est comme si j'arrivais à faire... tout un récap de tout ce qui s'est passé ces dernières années, depuis 2020 surtout, dans ma vie. Et qu'est-ce qui m'a plu, qu'est-ce qui m'a déplu. Mais en fait, je retiens tout le positif de tout ce que j'ai subi en négatif. Et en fait, c'est grâce à toutes ces choses-là que j'ai pu me dire, bon bah c'est bon, je pars en fait. Et là, je ne vous détaille pas tout le parcours de comment j'ai réussi à trouver, mais la coïncidence de fou malade, c'est que j'atterris à Nice pour une alternance. Nice, il faut savoir que c'est ma ville de cœur, mon père était niçois, donc je suis toujours venue ici parce que vraiment, je suis amoureuse de Nice. Donc l'univers, et comme quoi on attire bien les choses à nous quand on le veut profondément, c'est que j'atterris à Nice, mais parce que la première fois... personne qui m'appelle et qui me dit je suis ok pour vous prendre elle habite à Nice, c'est à dire que quelqu'un de Bordeaux m'aurait pu dire pareil, j'atterrisse à Bordeaux non, il a fallu que j'atterrisse à Nice comme par hasard après moi je dis toujours il n'y a pas de hasard, il n'y a que des synchronicités les personnes qui croient en l'univers comme moi et qui écoutent ce podcast se reconnaîtront ce que je dis là-dedans donc bref j'atterris ici, tout se passe très bien la première alternance se passe pas bien du tout Donc je change au bout de 5 mois, je retrouve une autre alternance et là, je m'éclate. Vraiment, je suis dans mon élément. C'est la première fois que je travaille dans un bureau. J'adore. Genre vraiment, c'est trop bien. Pour les personnes qui n'ont jamais travaillé en bureau, je vous assure que c'est trop bien. Passer de travailler à courir partout, à être tout le temps debout, à faire des choses manuelles, etc. Passer de travailler dans un bureau, je vous jure que ça change la vie. C'est vraiment dinguerie. Vraiment. Là, je travaille pendant un an et demi dans cette boîte-là et arrive le moment, six mois avant de signer un CDI, où littéralement, je demande, je dis, écoutez, est-ce que vous voulez que je signe un CDI avec vous dans six mois ou pas ? Ou je cherche ailleurs, moi, il n'y a pas de souci, mais je veux savoir. Non, t'inquiète pas, Manon, tu auras un CDI chez nous. Bref, je ne vous passe pas pendant six mois, c'était une fatigue mentale, mais tellement épuisante. Je pense qu'avec Durkul, il y avait cette fatigue mentale. J'étais Big Gates à ce moment-là. J'étais en train de gérer toute ma soutenance, mon oral, mon mémoire. J'étais en train de créer mon entreprise. La pression de mon employeur qui voulait me faire monter en compétence sur certaines choses, c'était horrible. Je vous le dis, horrible. Ce qui s'est passé, c'est qu'en fait, trois semaines avant de signer ce CDI-là, mon patron me prend dans son bureau et m'explique que non, ça serait un CDD et non pas un CDI. Et là, moi, je pète un câble. En fait, je pète un câble parce que je dis, mais attendez, moi, j'ai fait tout bien, j'ai fait les choses correctement, etc. Bon, je ne vais pas rentrer dans les détails parce que ce serait beaucoup trop long et on s'en fout. Mais là arrive le moment où, clairement, moi, j'ai dit stop. J'ai dit en fait, il n'y aura rien du tout. C'est-à-dire, il n'y aura rien. Je veux arrêter de bosser avec vous. Je prends mon envol. Et là, on passe à la troisième étape. Pourquoi l'entreprenariat ? Là, j'arrive dans un monde que je ne connais pas, c'est-à-dire l'entreprenariat. Là, on est fin octobre 2024 et je dois déclarer mon entreprise, je me lance vraiment dans le bain. J'ai une formation aussi depuis mai 2024 où je me forme en tant qu'entrepreneur vraiment sur plein de domaines. Là, l'heure actuelle, on est le 12 décembre. Ça fait deux mois que j'ai lancé mon entreprise et j'ai eu un lancement catastrophique. Quand je dis catastrophique, il y en a des Ausha moi qui diront Ah bah non, t'abuses de ouf ! Non, alors c'est pas catastrophique dans le sens où ça aurait pu être pire. Encore une fois, vous verrez que dans six mois, je vous dirai qu'au final, rien n'arrive sans rien. Mais à l'heure actuelle, j'ai passé des dernières semaines horribles parce que vraiment, un doute constant de ce que je vends. En fait, je vous explique. dans mon entreprise où je travaillais avant, j'étais chargée de marketing et communication, j'ai pu toucher à tout, voir tout franchement ça m'a trop plu ma responsable qui m'a formée un amour franchement je souhaite à n'importe qui d'avoir une manageuse comme ça et en fait on va dire les 6 derniers mois j'ai eu un poste équivalent à chef de projet marketing, pourquoi ? parce que je gérais tout ce qui était analyse commerciale et en plus de ça Je gérais toute la partie partenaire qui me permettait d'organiser toute la gestion et l'organisation des webinars et des événements, notamment en B2B. Donc je kiffais vraiment mon taf, c'était vraiment très très cool, mais en fait on m'a donné des deadlines impossibles à respecter, enfin bref. Le truc c'est que je ne sais pas pourquoi je ne le sens pas, donc c'est pour ça que j'ai arrêté ce truc. Et là je suis dans une phase où énergétiquement c'était épuisant. Les deux derniers mois, en plus, c'était fin octobre, début novembre. Donc, en fait, il y a eu tout l'hiver, etc., l'automne et tout. Il faut savoir que l'automne, moi qui est quelqu'un de très solaire, l'automne, je déteste ça. La pluie, le froid, vraiment, je ne peux pas. Je préfère limite l'hiver avec la neige que l'automne. Et donc, énergétiquement, très lourd, très lourd à supporter. C'est la fin d'année, tout le monde est stressé. Tous les commerçants sont stressés. Enfin, vraiment, ce n'est pas un bon mood. Donc moi, je me dis en partant, qu'est-ce que je peux faire en tant qu'entreprise ? J'ai tous ces domaines-là, donc le marketing, la com, la psychologie, le développement personnel. Vraiment, j'ai plusieurs thèmes que j'aime, mais je ne sais pas comment les exploiter tous ensemble. Mon storytelling, il va être bizarre. Et en fait, j'ai une part de personnes qui me disent, mais au pire, tu fais tout en même temps. J'en ai d'autres qui me disent, mais en fait, fais l'un, après tu fais l'autre. Il y en a qui me disent, mais au pire, tu t'en fiches, fais comme tu le sens. fait de tout. Et puis, je suis perdue. Je suis perdue à ce moment-là, je me dis, bon. Et je me déclare en tant que social media manager, donc j'aide les entreprises à faire une stratégie sur leurs réseaux sociaux pour se vendre mieux. Et à côté de ça, je me dis en tant que consultante bien-être, donc tout ce qui est développement personnel, psychologie positive, etc. Ça, c'est sur le papier. Mais, depuis 2-3 semaines, et c'est pour ça que j'ai voulu faire ce podcast-là et vraiment me... décharger en termes de mindset, avoir vraiment, reprendre quelque chose vraiment de positif et 2025 arrive et pour moi les 5 dernières années ont été vraiment très très très très compliquées. En fait j'ai envie que 2025 ça soit vraiment quelque chose de renouveau, quelque chose professionnellement où là je me découvre. En fait que vraiment 2025 pour moi ce soit si j'arrive à trouver ma voie dans l'entreprenariat parce que le salariat c'est vraiment un moment où je me dis Moi, j'en peux plus. Vraiment, j'ai ma goutte d'eau. Et moi, je crois que rien n'arrive sans rien. Si je suis là à l'heure actuelle, c'est qu'il y a quelque chose de bien qui arrive plus tard. Je le saurai après. Le conseil que je peux vous donner là-dedans, c'est vraiment suivre son instinct, suivre ses intuitions. C'est hyper important. Vous savez, la petite voix que vous entendez et que vous dites Non, mais je vais faire ça. Non, non, non, non. Suivez cette... petite voix. Je vous jure que ça, c'est une des choses que j'ai appris notamment à ma meilleure amie quand on était plus jeune, qu'elle me disait, mais comment tu sens tes pressentiments, Manon ? Parce que oui, j'ai appelé ça avant des pressentiments. Je lui disais, mais tu vois ta petite voix que t'entends là ? Elle me disait, ouais. Je lui disais, mais écoute là. Et je vous jure que depuis qu'elle fait ça, ça fait des années qu'elle fait ça maintenant, eh ben, Petite Voix te parle, c'est vraiment que tu dois vraiment, vraiment, vraiment l'écouter. Parce que c'est cette petite voix-là qui te guide, en fait. Vraiment qui te dit, là, tu dois aller dans cette direction-là, parce que je t'assure qu'il y a un truc cool derrière. Donc voilà, et à l'heure actuelle, je suis en pleine reconstruction de mon entreprise. Vraiment tourner plus vers tout ce qui est... Un mélange des deux, mais vraiment ce côté bien-être, vraiment cette Ausha naturelle que j'ai chez moi, j'ai vraiment envie de la mettre en avant. Je souhaite à n'importe qui vraiment de pouvoir faire ça. Et en fait, c'est bête, mais ça fait deux semaines là que je pense en deux semaines, j'ai vécu plus de choses intenses et positives que les deux derniers mois réunis. Parce que de penser positif, j'attire le positif à moi. Et tout simplement, je suis en train de développer. Il y a plein de projets qui arrivent à moi. Plein de projets différents que j'aurai l'occasion de vous en parler plus tard. Et en tout cas, j'ai trop hâte de vous dévoiler tous les prochains projets. Parce qu'il y en a pas mal qui arrivent. Et je vous souhaite une très très bonne journée ou soirée. Ça dépend à l'heure où vous écoutez ce podcast-là. Je suis hyper contente si vous êtes arrivés jusqu'à là. Je vous dis à la prochaine. Bisous ! S
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Description
Hello ✨
Aujourd'hui, on retrace mon passé pour comprendre comment je suis devenue entrepreneuse 🌅
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour à tous et bienvenue dans ce tout premier épisode de mon podcast, je suis hyper contente d'être enfin sur les plateformes. Moi c'est Manon, je suis ravie de t'accueillir ici et si toi aussi t'es passionné par l'entrepreneuriat, la psychologie, le développement personnel, le marketing ou même la communication, tu es totalement au bon endroit. Ce podcast, en fait, ça va être juste à safe place, je te partagerai à travers mes expériences et mes conseils un accompagnement dans la compréhension de soi et de autrui. Mon objectif est tout simplement d'aider les personnes, peut-être comme toi, à vouloir trouver un alignement grâce à l'épanouissement personnel et professionnel. Alors, installe-toi confortablement et c'est parti ! Bon, ça y est, on y est enfin, je me lance dans les podcasts. Ça faisait super longtemps que j'hésitais à me lancer. Et pour être honnête, j'hésitais même entre YouTube, les plateformes podcast. J'ai vraiment hésité pendant un petit moment. Même mon entourage me disait, au pire, tu peux faire les deux. Je disais, bah non, j'ai pas spécialement envie de faire les deux pour commencer. En fait, j'ai la chance d'habiter dans le sud de la France. Donc, dès que le soleil revient, je pourrais vous faire du beau contenu. contenu YouTube avec le soleil. Donc j'ai trop hâte et je suis hyper contente d'être là aujourd'hui. Bon, rentrons dans le vif du sujet. Pourquoi j'ai voulu faire du podcast ? En fait, pour être tout à fait honnête, je suis une vraie pipelette. C'est-à-dire que tu vois la potcheante qui te fait 10 minutes de vocaux pour t'expliquer ou te raconter quelque chose. Bah voilà, c'est moi. Donc, mais ne t'inquiète pas, dans les podcasts, je vais complètement structurer... les podcasts pour qu'ils soient le plus linéaires possible. Mon but, c'est d'en faire une sorte de vlog pour les jeunes entrepreneurs, les futurs entrepreneurs ou même les curieux qui ont envie juste de se renseigner tout simplement sur le métier d'entrepreneur car moi-même, je suis freelance. Et aujourd'hui, pour ma première vidéo, je voulais vraiment te parler de qui je suis, de mon parcours, de pourquoi j'ai choisi l'entrepreneuriat. Voilà. Donc... Pour un peu te structurer tout ça, il y a une première partie où je vais te raconter tout simplement qui je suis. Dans une deuxième partie, on verra vraiment à travers mon parcours pro qui enchaînera sur la troisième partie de pourquoi justement à travers ce parcours pro là, j'ai choisi l'entrepreneuriat. Donc tout d'abord, qui je suis ? Donc moi je viens de Nancy, donc j'ai 27 ans. Donc Nancy ça se situe en Lorraine Je sais pas si tu vois c'est dans le nord-est de la France J'y ai vécu pendant 25 ans Donc autant te dire Un quart de siècle Et ça fait un peu plus de deux ans Que je vis à Nice Si il fallait que je parle Vraiment de moi Je te dirais que D'après les personnes Mon entourage en tout cas Qui me décriraient en fait je suis quelqu'un d'hyper solaire Que j'ai une oreille hyper hyper attentive, que je ne juge jamais personne, ce qui fait que naturellement les personnes viennent à moi pour se confier, parler de leurs problèmes, avoir des conseils sur vraiment tout et n'importe quoi comme sujet. Et on verra d'après mon parcours professionnel qu'est-ce qui me donne aussi les arguments à chaque fois que je peux leur donner. Et puis moi je te dirais que... Je suis quelqu'un d'hypersensible, alors je sais, là, les personnes qui vont entendre ça, je pense 80% du temps vont se dire Oui mais ce mot-là, on l'entend à tout et à travers, je suis totalement d'accord avec toi Malheureusement, je le suis vraiment. Et en fait, ça se définit par mes fonctions cognitives, donc mon cerveau et mon empathie sont surdéveloppées par rapport à la moyenne. Et en fait, ça me permet de vraiment littéralement lire en toi, c'est-à-dire juste en t'analysant. de A à Z, donc ton verbal, ton paraverbal, ta communication, tes gestes que tu vas me dire dans le fond, etc. Mon cerveau va l'interpréter plus rapidement que la moyenne. Et c'est comme si, littéralement, j'arrivais à lire en toi, mais comme si j'étais toi. C'est-à-dire que j'arrive à ressentir ce que tu ressens. Et tout simplement, c'est à ce moment-là que j'arrive naturellement à te donner des conseils, à voir plus loin que ce que les personnes traditionnelles, entre guillemets, te diront. Ou même, je vais arriver à poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas forcément à le faire. Et ça va t'aider tout simplement dans ta vie future. Et juste le fait de poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas à comprendre ou savoir, ça aide. énormément parce que c'est comme un médecin qui pose un diagnostic sur une maladie le fait de savoir quelle est cette maladie là plus tard le malade arrive à mieux se guérir ou en tout cas à supporter mentalement quelque chose que Que si tu ne le savais pas, en tout cas. Donc, voilà, je tiens à préciser que je me qualifie un peu de consultant, de mentorat ou de coach. En fait, c'est vraiment les trois casquettes que tu entendras vraiment à travers ce podcast. En aucun cas, je me qualifie de thérapeute ou même de psychologue. En fait, il faut savoir que Nancy, c'est vraiment une petite ville et c'est hyper facile de connaître tout le monde. Pendant mes études, j'ai aussi profité. Je suis beaucoup sortie, donc j'ai rencontré... aussi encore pas mal de personnes. Ce qui fait que j'ai pu, grâce à ces connaissances-là aussi, obtenir un bagage, on va dire, émotionnel et mental à travers des personnes. Et notamment, et là, ce qui va nous permettre d'enchaîner sur ma deuxième partie, donc mon parcours professionnel. Parce que, alors certes, il y a eu mon parcours amical, on va dire ça comme ça. Mais j'ai eu aussi un grand parcours professionnel. J'ai vraiment obtenu plein de jobs, mais plein, plein, plein. Pendant plus d'une dizaine d'années, j'ai travaillé dans plein de domaines différents. Mais vraiment de passer de la pire échelle à une très haute échelle que je vous expliquerai après. Donc voilà, j'ai vraiment su et pu obtenir énormément de compétences et de connaissances dans plein de domaines différents. Mais ce qui m'a permis de moi... savoir qu'est-ce que j'aime et qu'est-ce que je n'aime pas, et savoir qu'est-ce qui m'épanouit professionnellement et donc personnellement. Mais à côté de ça, j'arrive toujours à voir le positif en fait. Je me dis que, bon déjà... Pourquoi j'ai travaillé ? Tout simplement pour se faire de l'argent, qu'on dise les choses. Moi, j'ai eu des parents très aimants, il n'y a pas eu de soucis sur ça. Mais il y a des choses personnelles qui ont fait que je suis vite devenue indépendante et je trouvais mon argent par moi-même. Donc, quel est le meilleur moyen pour trouver de l'argent ? C'est de travailler, tout simplement. Et d'avoir ces expériences-là. En fait, malheureusement, je n'ai pas eu que des expériences positives. J'ai eu... même pas mal d'expériences négatives. C'est passé par du harcèlement au travail où mon responsable nous insultait, il insultait les clients, il nous retournait le cerveau. Des choses vraiment pas cool. J'ai eu aussi des jobs où j'étais très mal payée pour la quantité de travail que je faisais. On aurait pu croire parfois que j'étais gérante alors que je ne l'étais pas et pourtant j'étais très mal payée. J'ai même fait du travail où je pouvais faire des heures sup, bon j'étais pas payée, bon ça c'est les trois quarts des jobs malheureusement à l'heure actuelle. Mais voilà, j'ai vraiment pu passer par plein plein de choses, même des jobs tout simplement qui m'ont... qui ne m'ont pas plu en fait, enfin ce que je faisais ne me plaisait pas, j'avais aucune satisfaction en rentrant chez moi, ou au contraire, et ça ça doit être arrivé à plein de personnes, je pense même 90% de la population, d'avoir la boule vente en se disant ah demain j'ai la flemme d'aller travailler Bah voilà, ça c'était ça. Mais en grandissant, plus j'avais ces expériences-là, positifs ou négatifs, plus je me disais mais en fait, avec du recul, je suis en train de me rendre compte que c'est en train vraiment de me construire mon moi intérieur, c'est-à-dire que mon psychisme est vraiment littéralement en train de se construire sur ça. Donc j'avais l'impression à travers ces jobs-là que je me cherchais en fait tout simplement. Et là, je me suis rendue compte de quelque chose qui a, je pense, et même encore jusqu'à l'heure actuelle, construit totalement mon identité. C'est toutes tes expériences, positives comme négatives, mais surtout négatives, vont être hyper formatrices. pour mon avenir et pour mon épanouissement personnel. Alors pour la petite histoire, pour vous remettre un peu les bases, je suis quelqu'un, je suis nulle à l'école. Vraiment, je suis nulle à l'école, j'ai l'impression que je ne suis vraiment pas à ma place. Je ne comprends même pas pourquoi les personnes, il y a même des camarades de classe, ils n'ont même pas besoin de réviser, qu'ils ont plus que moi, alors que moi je passe des heures les soirs à réviser. Je ne comprends pas, en fait, littéralement, mon bac, je l'ai au rattrapage, j'ai vraiment très très peu de choses. Ma troisième, je ne l'ai pas précisé, mais je l'ai redoublée parce que, à l'époque, je faisais beaucoup de photos et tu ne sais pas pourquoi, la directrice de mon école m'a dit à mes parents, c'est soit votre fille, vous la mettez dans une école professionnelle de photos, soit je la fais redoubler. Alors que moi, je voulais aller en lycée général. Bon, je n'ai pas cherché à comprendre, j'ai redoublé parce que j'adore la photo, mais à cette époque-là, je ne me voyais pas photographe, même si j'adore et j'adore toujours la photo, c'est une de mes passions. J'arrive en post-bac, on me dit tu vas devoir trouver une filière qui va faire tout ton avenir. Moi je suis à un âge où je suis nulle à l'école, on me demande de choisir mon avenir là tout de suite maintenant, alors que moi-même je suis en train de me rechercher. Je vais choisir la première filière que je trouve. J'ai intégré une fac qui s'appelait AES. Donc, administration économique et sociale. Donc, autant vous dire que pour moi, cette filière-là, je ne sais même pas si elle existe encore, mais pour moi, c'était vraiment la filière poubelle, en fait. Tu avais vraiment de tout, de la gestion, de la comptabilité, du droit, de l'économie. Enfin, vraiment, tu avais tout et rien. Tu ne savais pas quoi prendre, tu allais là-dedans. Au moins, tu savais que tu avais touché à tout. Donc, voilà. Ce que j'ai retenu, qui m'a vraiment... à l'heure actuelle, avec laquelle je suis contente d'avoir appris, c'est qu'il y avait du droit. Et en fait, le droit d'avoir fait des fiches de jurisprudence, etc., mine de rien, et d'avoir étudié le droit, en fait, tout simplement, ça m'a vraiment permis de comprendre l'utilité et comment fonctionnait le droit. Donc ça, franchement, c'est quelque chose dans laquelle je retiens. Donc dans le négatif, on retient toujours du positif. Puis, donc là, je me dis, je ne vais clairement pas finir là-dedans, je me réoriente. encore une nouvelle fois où on me met mon chemin de vie me dit tu vas avoir encore des barrières devant toi et ben t'inquiète pas tu vas en avoir donc là je me dis bon qu'est ce que je fais ça fait à peu près trois ans dans la tête j'ai la filière de la psychologie qui me vraiment me trotte dans la tête j'en entends un peu parler on va dire c'est comme si l'univers me mettais un peu des brides même depuis début du lycée vraiment j'ai des petites brides j'entends la psychologie un peu partout Ça m'intrigue, j'ai envie de savoir c'est quoi, mais j'entends beaucoup de négatifs de cette filière-là, qu'il n'y a pas de débouchés derrière, que c'est vraiment une filière pour les L, qu'il n'y a que ceux qui fument qui vont là-dedans. Vraiment, j'entends vraiment beaucoup de négatifs. Mais je me dis, enfin de négatifs, pardon. Et je me dis, mais ce n'est pas grave, j'ai envie de tester, j'y vais. Eh bien, je rentre dans cette filière-là et je m'éclate. Pendant trois ans, je vais galérer. Il y a certaines années où j'ai galéré parce que ce n'est pas aussi facile qu'on le pense. Je vais galérer, mais par contre, je m'éclate. J'ai des notes de ouf, des notes que même de toute ma scolarité, je pense que je n'ai jamais eues. Des fois, j'obtiens des trucs, des styles, des 20. Je me souviens, j'ai une note et j'ai eu un 21 sur 20. Ça, je m'en souviendrai toujours parce qu'il y avait des bonus qu'on pouvait donner. J'avais eu 20 et j'avais eu juste au bonus. Donc, j'avais eu 21 sur 20. Vraiment, je m'éclate. Je finis ma licence, j'obtiens cette licence-là avec une mention. J'ai genre 13 de moyenne générale à toute la licence. Ce qui est bien quand on est à la fac et qu'on est complètement livré à soi-même. Parce qu'il faut savoir que je suis venue de nulle part, d'être nulle à l'école, à bah t'es à la fac, tu te démerdes par toi-même Et c'est un truc de fou parce que vraiment je me retrouve totalement. J'arrive à totalement m'organiser, je suis hyper autonome. La matière en elle-même me plaît. Je suis, enfin voilà, vraiment, je me retrouve de ouf. Mais là, le ciel me tombe sur la tête et ce que j'entendais de négatif pendant trois ans arrive devant moi. C'est-à-dire que là, en fait, il n'y a pas de boucher. C'est complètement bouché. Je postule à 35 masters ou j'ai 35 refus. J'ai, entre gros guillemets, seulement 13 de moyenne générale à la fac. Mais c'est pas assez. Ils prennent l'élite de l'élite et ils prennent ces gens-là. Là, moi, je suis complètement dégoûtée parce que je me dis concrètement, ils préfèrent prendre l'élite alors que des personnes comme moi qui ont ce don naturel, entre guillemets, qui ne se basent pas sur de la théorie, mais bien sur de la théorie et de la pratique et un don, on va dire, naturel, même si je me lance au cul et je reste totalement modeste en disant ça. Voilà. Mais je reste encore positive. Je me dis, l'univers, s'il a fait ça, c'est qu'il y a une bonne raison. Eh bien, ce n'est pas grave, on va choisir autre chose en attendant. J'ai cherché un travail tout simplement. Donc, il y a eu le Covid entre-temps, donc c'était compliqué parce que j'ai obtenu ma licence en 2020. Juste derrière, il y a eu le confinement. Donc, pour trouver du travail, c'était hyper compliqué. Le premier travail que je trouve et dans lequel je suis restée deux ans, c'était en restauration. Au bout de huit mois, je suis passée manager. Donc, ce n'est pas le manager où on sait, il habille en noir, il donne deux, trois ordres. Non, ce n'était pas ce genre de restauration. C'était de la restauration devant les clients. Donc, en fait, en tant que manager, je devais gérer la caisse, faire le service, faire la plonge, former mes employés, gérer la relation client, donc parler avec les clients, parce qu'en plus, les clients me connaissaient. Voilà, donc je devais vraiment tout gérer en même temps. Et j'ai vraiment kiffé. Cependant, j'étais très mal payée. pour ce que je faisais. Vers la fin, en plus, il y a eu des complications, ce qui a fait que je me suis retrouvée toute seule à gérer. Mais à côté de ça, je retiens grave du positif, c'est-à-dire que j'ai fait des rencontres de ouf. Une de mes meilleures amies, c'était ma directrice, pour vous le dire. Donc voilà, j'ai vraiment que du positif. J'ai fait des rencontres de ouf. J'ai pu en apprendre beaucoup sur moi-même en tant que manager, comment gérer une équipe, comment gérer des situations compliquées, le rush. Vraiment, sur ça, j'en retiens que du positif. Mais là, il m'arrive des choses pas cool. En 2021, j'ai le décès de mon grand-père. Là, je vois vraiment que tout mon monde s'effondre. Mon grand-père, j'étais très très proche de lui. Il était malade. Donc psychologiquement, je m'y attendais. On s'y attendait tous. Mais voilà, je ne suis vraiment pas bien à cause de ça. Et ça va se supporter pendant des mois et des mois. Au point où d'autres choses personnelles m'arrivent. Rupture amicale et là, rupture amoureuse. Et là, je décide de tout plaquer. Je pars. Quel est mon rêve depuis des années ? C'est de partir dans le sud de la France. Ok, pas de soucis. Qu'est-ce que je veux faire que je n'ai plus ? Un master. en psycho je pense que ça va être un peu mort et tous les jobs en fait que j'ai pu accumuler et là c'est là qu'on retient encore du positif dans mes expériences dans tous les jobs que j'ai fait quel est le job à laquelle je me suis le plus plu et qui me permet de réunir tout ça en fait de réunir les choses que j'aime bien d'avoir un peu peut-être de psychologie là-dedans c'est tout simplement le marketing et en fait donc je vais... chercher un master en marketing. Donc, je trouve un master en marketing et communication à distance et en alternance. Donc, j'ai l'opportunité de choisir la destination où je veux. Donc là, je dis, c'est simple, j'ai un rêve depuis des années de partir vivre dans le Sud et je veux reprendre des études. On me dit, tu vas où tu veux. Eh bien, c'est très bien. Je vais chercher, donc en gros, j'ai cherché en dessous de Lyon et peu importe l'endroit, tant qu'une alternance m'a accepté et qui soit bien sûr... de non, de non avec ce que moi je recherche aussi, parce que quand je passais les entretiens, je disais aux personnes, je vous aide dans votre entreprise, par contre, je suis encore étudiante. Donc c'est à vous de me former correctement, à m'apprendre des choses. En fait, il m'arrive plein de choses négatives à ce moment-là, mais j'arrive à trouver une espèce de force en moi, où c'est comme si j'arrivais à faire... tout un récap de tout ce qui s'est passé ces dernières années, depuis 2020 surtout, dans ma vie. Et qu'est-ce qui m'a plu, qu'est-ce qui m'a déplu. Mais en fait, je retiens tout le positif de tout ce que j'ai subi en négatif. Et en fait, c'est grâce à toutes ces choses-là que j'ai pu me dire, bon bah c'est bon, je pars en fait. Et là, je ne vous détaille pas tout le parcours de comment j'ai réussi à trouver, mais la coïncidence de fou malade, c'est que j'atterris à Nice pour une alternance. Nice, il faut savoir que c'est ma ville de cœur, mon père était niçois, donc je suis toujours venue ici parce que vraiment, je suis amoureuse de Nice. Donc l'univers, et comme quoi on attire bien les choses à nous quand on le veut profondément, c'est que j'atterris à Nice, mais parce que la première fois... personne qui m'appelle et qui me dit je suis ok pour vous prendre elle habite à Nice, c'est à dire que quelqu'un de Bordeaux m'aurait pu dire pareil, j'atterrisse à Bordeaux non, il a fallu que j'atterrisse à Nice comme par hasard après moi je dis toujours il n'y a pas de hasard, il n'y a que des synchronicités les personnes qui croient en l'univers comme moi et qui écoutent ce podcast se reconnaîtront ce que je dis là-dedans donc bref j'atterris ici, tout se passe très bien la première alternance se passe pas bien du tout Donc je change au bout de 5 mois, je retrouve une autre alternance et là, je m'éclate. Vraiment, je suis dans mon élément. C'est la première fois que je travaille dans un bureau. J'adore. Genre vraiment, c'est trop bien. Pour les personnes qui n'ont jamais travaillé en bureau, je vous assure que c'est trop bien. Passer de travailler à courir partout, à être tout le temps debout, à faire des choses manuelles, etc. Passer de travailler dans un bureau, je vous jure que ça change la vie. C'est vraiment dinguerie. Vraiment. Là, je travaille pendant un an et demi dans cette boîte-là et arrive le moment, six mois avant de signer un CDI, où littéralement, je demande, je dis, écoutez, est-ce que vous voulez que je signe un CDI avec vous dans six mois ou pas ? Ou je cherche ailleurs, moi, il n'y a pas de souci, mais je veux savoir. Non, t'inquiète pas, Manon, tu auras un CDI chez nous. Bref, je ne vous passe pas pendant six mois, c'était une fatigue mentale, mais tellement épuisante. Je pense qu'avec Durkul, il y avait cette fatigue mentale. J'étais Big Gates à ce moment-là. J'étais en train de gérer toute ma soutenance, mon oral, mon mémoire. J'étais en train de créer mon entreprise. La pression de mon employeur qui voulait me faire monter en compétence sur certaines choses, c'était horrible. Je vous le dis, horrible. Ce qui s'est passé, c'est qu'en fait, trois semaines avant de signer ce CDI-là, mon patron me prend dans son bureau et m'explique que non, ça serait un CDD et non pas un CDI. Et là, moi, je pète un câble. En fait, je pète un câble parce que je dis, mais attendez, moi, j'ai fait tout bien, j'ai fait les choses correctement, etc. Bon, je ne vais pas rentrer dans les détails parce que ce serait beaucoup trop long et on s'en fout. Mais là arrive le moment où, clairement, moi, j'ai dit stop. J'ai dit en fait, il n'y aura rien du tout. C'est-à-dire, il n'y aura rien. Je veux arrêter de bosser avec vous. Je prends mon envol. Et là, on passe à la troisième étape. Pourquoi l'entreprenariat ? Là, j'arrive dans un monde que je ne connais pas, c'est-à-dire l'entreprenariat. Là, on est fin octobre 2024 et je dois déclarer mon entreprise, je me lance vraiment dans le bain. J'ai une formation aussi depuis mai 2024 où je me forme en tant qu'entrepreneur vraiment sur plein de domaines. Là, l'heure actuelle, on est le 12 décembre. Ça fait deux mois que j'ai lancé mon entreprise et j'ai eu un lancement catastrophique. Quand je dis catastrophique, il y en a des Ausha moi qui diront Ah bah non, t'abuses de ouf ! Non, alors c'est pas catastrophique dans le sens où ça aurait pu être pire. Encore une fois, vous verrez que dans six mois, je vous dirai qu'au final, rien n'arrive sans rien. Mais à l'heure actuelle, j'ai passé des dernières semaines horribles parce que vraiment, un doute constant de ce que je vends. En fait, je vous explique. dans mon entreprise où je travaillais avant, j'étais chargée de marketing et communication, j'ai pu toucher à tout, voir tout franchement ça m'a trop plu ma responsable qui m'a formée un amour franchement je souhaite à n'importe qui d'avoir une manageuse comme ça et en fait on va dire les 6 derniers mois j'ai eu un poste équivalent à chef de projet marketing, pourquoi ? parce que je gérais tout ce qui était analyse commerciale et en plus de ça Je gérais toute la partie partenaire qui me permettait d'organiser toute la gestion et l'organisation des webinars et des événements, notamment en B2B. Donc je kiffais vraiment mon taf, c'était vraiment très très cool, mais en fait on m'a donné des deadlines impossibles à respecter, enfin bref. Le truc c'est que je ne sais pas pourquoi je ne le sens pas, donc c'est pour ça que j'ai arrêté ce truc. Et là je suis dans une phase où énergétiquement c'était épuisant. Les deux derniers mois, en plus, c'était fin octobre, début novembre. Donc, en fait, il y a eu tout l'hiver, etc., l'automne et tout. Il faut savoir que l'automne, moi qui est quelqu'un de très solaire, l'automne, je déteste ça. La pluie, le froid, vraiment, je ne peux pas. Je préfère limite l'hiver avec la neige que l'automne. Et donc, énergétiquement, très lourd, très lourd à supporter. C'est la fin d'année, tout le monde est stressé. Tous les commerçants sont stressés. Enfin, vraiment, ce n'est pas un bon mood. Donc moi, je me dis en partant, qu'est-ce que je peux faire en tant qu'entreprise ? J'ai tous ces domaines-là, donc le marketing, la com, la psychologie, le développement personnel. Vraiment, j'ai plusieurs thèmes que j'aime, mais je ne sais pas comment les exploiter tous ensemble. Mon storytelling, il va être bizarre. Et en fait, j'ai une part de personnes qui me disent, mais au pire, tu fais tout en même temps. J'en ai d'autres qui me disent, mais en fait, fais l'un, après tu fais l'autre. Il y en a qui me disent, mais au pire, tu t'en fiches, fais comme tu le sens. fait de tout. Et puis, je suis perdue. Je suis perdue à ce moment-là, je me dis, bon. Et je me déclare en tant que social media manager, donc j'aide les entreprises à faire une stratégie sur leurs réseaux sociaux pour se vendre mieux. Et à côté de ça, je me dis en tant que consultante bien-être, donc tout ce qui est développement personnel, psychologie positive, etc. Ça, c'est sur le papier. Mais, depuis 2-3 semaines, et c'est pour ça que j'ai voulu faire ce podcast-là et vraiment me... décharger en termes de mindset, avoir vraiment, reprendre quelque chose vraiment de positif et 2025 arrive et pour moi les 5 dernières années ont été vraiment très très très très compliquées. En fait j'ai envie que 2025 ça soit vraiment quelque chose de renouveau, quelque chose professionnellement où là je me découvre. En fait que vraiment 2025 pour moi ce soit si j'arrive à trouver ma voie dans l'entreprenariat parce que le salariat c'est vraiment un moment où je me dis Moi, j'en peux plus. Vraiment, j'ai ma goutte d'eau. Et moi, je crois que rien n'arrive sans rien. Si je suis là à l'heure actuelle, c'est qu'il y a quelque chose de bien qui arrive plus tard. Je le saurai après. Le conseil que je peux vous donner là-dedans, c'est vraiment suivre son instinct, suivre ses intuitions. C'est hyper important. Vous savez, la petite voix que vous entendez et que vous dites Non, mais je vais faire ça. Non, non, non, non. Suivez cette... petite voix. Je vous jure que ça, c'est une des choses que j'ai appris notamment à ma meilleure amie quand on était plus jeune, qu'elle me disait, mais comment tu sens tes pressentiments, Manon ? Parce que oui, j'ai appelé ça avant des pressentiments. Je lui disais, mais tu vois ta petite voix que t'entends là ? Elle me disait, ouais. Je lui disais, mais écoute là. Et je vous jure que depuis qu'elle fait ça, ça fait des années qu'elle fait ça maintenant, eh ben, Petite Voix te parle, c'est vraiment que tu dois vraiment, vraiment, vraiment l'écouter. Parce que c'est cette petite voix-là qui te guide, en fait. Vraiment qui te dit, là, tu dois aller dans cette direction-là, parce que je t'assure qu'il y a un truc cool derrière. Donc voilà, et à l'heure actuelle, je suis en pleine reconstruction de mon entreprise. Vraiment tourner plus vers tout ce qui est... Un mélange des deux, mais vraiment ce côté bien-être, vraiment cette Ausha naturelle que j'ai chez moi, j'ai vraiment envie de la mettre en avant. Je souhaite à n'importe qui vraiment de pouvoir faire ça. Et en fait, c'est bête, mais ça fait deux semaines là que je pense en deux semaines, j'ai vécu plus de choses intenses et positives que les deux derniers mois réunis. Parce que de penser positif, j'attire le positif à moi. Et tout simplement, je suis en train de développer. Il y a plein de projets qui arrivent à moi. Plein de projets différents que j'aurai l'occasion de vous en parler plus tard. Et en tout cas, j'ai trop hâte de vous dévoiler tous les prochains projets. Parce qu'il y en a pas mal qui arrivent. Et je vous souhaite une très très bonne journée ou soirée. Ça dépend à l'heure où vous écoutez ce podcast-là. Je suis hyper contente si vous êtes arrivés jusqu'à là. Je vous dis à la prochaine. Bisous ! S
Description
Hello ✨
Aujourd'hui, on retrace mon passé pour comprendre comment je suis devenue entrepreneuse 🌅
Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.
Transcription
Bonjour à tous et bienvenue dans ce tout premier épisode de mon podcast, je suis hyper contente d'être enfin sur les plateformes. Moi c'est Manon, je suis ravie de t'accueillir ici et si toi aussi t'es passionné par l'entrepreneuriat, la psychologie, le développement personnel, le marketing ou même la communication, tu es totalement au bon endroit. Ce podcast, en fait, ça va être juste à safe place, je te partagerai à travers mes expériences et mes conseils un accompagnement dans la compréhension de soi et de autrui. Mon objectif est tout simplement d'aider les personnes, peut-être comme toi, à vouloir trouver un alignement grâce à l'épanouissement personnel et professionnel. Alors, installe-toi confortablement et c'est parti ! Bon, ça y est, on y est enfin, je me lance dans les podcasts. Ça faisait super longtemps que j'hésitais à me lancer. Et pour être honnête, j'hésitais même entre YouTube, les plateformes podcast. J'ai vraiment hésité pendant un petit moment. Même mon entourage me disait, au pire, tu peux faire les deux. Je disais, bah non, j'ai pas spécialement envie de faire les deux pour commencer. En fait, j'ai la chance d'habiter dans le sud de la France. Donc, dès que le soleil revient, je pourrais vous faire du beau contenu. contenu YouTube avec le soleil. Donc j'ai trop hâte et je suis hyper contente d'être là aujourd'hui. Bon, rentrons dans le vif du sujet. Pourquoi j'ai voulu faire du podcast ? En fait, pour être tout à fait honnête, je suis une vraie pipelette. C'est-à-dire que tu vois la potcheante qui te fait 10 minutes de vocaux pour t'expliquer ou te raconter quelque chose. Bah voilà, c'est moi. Donc, mais ne t'inquiète pas, dans les podcasts, je vais complètement structurer... les podcasts pour qu'ils soient le plus linéaires possible. Mon but, c'est d'en faire une sorte de vlog pour les jeunes entrepreneurs, les futurs entrepreneurs ou même les curieux qui ont envie juste de se renseigner tout simplement sur le métier d'entrepreneur car moi-même, je suis freelance. Et aujourd'hui, pour ma première vidéo, je voulais vraiment te parler de qui je suis, de mon parcours, de pourquoi j'ai choisi l'entrepreneuriat. Voilà. Donc... Pour un peu te structurer tout ça, il y a une première partie où je vais te raconter tout simplement qui je suis. Dans une deuxième partie, on verra vraiment à travers mon parcours pro qui enchaînera sur la troisième partie de pourquoi justement à travers ce parcours pro là, j'ai choisi l'entrepreneuriat. Donc tout d'abord, qui je suis ? Donc moi je viens de Nancy, donc j'ai 27 ans. Donc Nancy ça se situe en Lorraine Je sais pas si tu vois c'est dans le nord-est de la France J'y ai vécu pendant 25 ans Donc autant te dire Un quart de siècle Et ça fait un peu plus de deux ans Que je vis à Nice Si il fallait que je parle Vraiment de moi Je te dirais que D'après les personnes Mon entourage en tout cas Qui me décriraient en fait je suis quelqu'un d'hyper solaire Que j'ai une oreille hyper hyper attentive, que je ne juge jamais personne, ce qui fait que naturellement les personnes viennent à moi pour se confier, parler de leurs problèmes, avoir des conseils sur vraiment tout et n'importe quoi comme sujet. Et on verra d'après mon parcours professionnel qu'est-ce qui me donne aussi les arguments à chaque fois que je peux leur donner. Et puis moi je te dirais que... Je suis quelqu'un d'hypersensible, alors je sais, là, les personnes qui vont entendre ça, je pense 80% du temps vont se dire Oui mais ce mot-là, on l'entend à tout et à travers, je suis totalement d'accord avec toi Malheureusement, je le suis vraiment. Et en fait, ça se définit par mes fonctions cognitives, donc mon cerveau et mon empathie sont surdéveloppées par rapport à la moyenne. Et en fait, ça me permet de vraiment littéralement lire en toi, c'est-à-dire juste en t'analysant. de A à Z, donc ton verbal, ton paraverbal, ta communication, tes gestes que tu vas me dire dans le fond, etc. Mon cerveau va l'interpréter plus rapidement que la moyenne. Et c'est comme si, littéralement, j'arrivais à lire en toi, mais comme si j'étais toi. C'est-à-dire que j'arrive à ressentir ce que tu ressens. Et tout simplement, c'est à ce moment-là que j'arrive naturellement à te donner des conseils, à voir plus loin que ce que les personnes traditionnelles, entre guillemets, te diront. Ou même, je vais arriver à poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas forcément à le faire. Et ça va t'aider tout simplement dans ta vie future. Et juste le fait de poser des mots sur des choses que toi-même, tu n'arrives pas à comprendre ou savoir, ça aide. énormément parce que c'est comme un médecin qui pose un diagnostic sur une maladie le fait de savoir quelle est cette maladie là plus tard le malade arrive à mieux se guérir ou en tout cas à supporter mentalement quelque chose que Que si tu ne le savais pas, en tout cas. Donc, voilà, je tiens à préciser que je me qualifie un peu de consultant, de mentorat ou de coach. En fait, c'est vraiment les trois casquettes que tu entendras vraiment à travers ce podcast. En aucun cas, je me qualifie de thérapeute ou même de psychologue. En fait, il faut savoir que Nancy, c'est vraiment une petite ville et c'est hyper facile de connaître tout le monde. Pendant mes études, j'ai aussi profité. Je suis beaucoup sortie, donc j'ai rencontré... aussi encore pas mal de personnes. Ce qui fait que j'ai pu, grâce à ces connaissances-là aussi, obtenir un bagage, on va dire, émotionnel et mental à travers des personnes. Et notamment, et là, ce qui va nous permettre d'enchaîner sur ma deuxième partie, donc mon parcours professionnel. Parce que, alors certes, il y a eu mon parcours amical, on va dire ça comme ça. Mais j'ai eu aussi un grand parcours professionnel. J'ai vraiment obtenu plein de jobs, mais plein, plein, plein. Pendant plus d'une dizaine d'années, j'ai travaillé dans plein de domaines différents. Mais vraiment de passer de la pire échelle à une très haute échelle que je vous expliquerai après. Donc voilà, j'ai vraiment su et pu obtenir énormément de compétences et de connaissances dans plein de domaines différents. Mais ce qui m'a permis de moi... savoir qu'est-ce que j'aime et qu'est-ce que je n'aime pas, et savoir qu'est-ce qui m'épanouit professionnellement et donc personnellement. Mais à côté de ça, j'arrive toujours à voir le positif en fait. Je me dis que, bon déjà... Pourquoi j'ai travaillé ? Tout simplement pour se faire de l'argent, qu'on dise les choses. Moi, j'ai eu des parents très aimants, il n'y a pas eu de soucis sur ça. Mais il y a des choses personnelles qui ont fait que je suis vite devenue indépendante et je trouvais mon argent par moi-même. Donc, quel est le meilleur moyen pour trouver de l'argent ? C'est de travailler, tout simplement. Et d'avoir ces expériences-là. En fait, malheureusement, je n'ai pas eu que des expériences positives. J'ai eu... même pas mal d'expériences négatives. C'est passé par du harcèlement au travail où mon responsable nous insultait, il insultait les clients, il nous retournait le cerveau. Des choses vraiment pas cool. J'ai eu aussi des jobs où j'étais très mal payée pour la quantité de travail que je faisais. On aurait pu croire parfois que j'étais gérante alors que je ne l'étais pas et pourtant j'étais très mal payée. J'ai même fait du travail où je pouvais faire des heures sup, bon j'étais pas payée, bon ça c'est les trois quarts des jobs malheureusement à l'heure actuelle. Mais voilà, j'ai vraiment pu passer par plein plein de choses, même des jobs tout simplement qui m'ont... qui ne m'ont pas plu en fait, enfin ce que je faisais ne me plaisait pas, j'avais aucune satisfaction en rentrant chez moi, ou au contraire, et ça ça doit être arrivé à plein de personnes, je pense même 90% de la population, d'avoir la boule vente en se disant ah demain j'ai la flemme d'aller travailler Bah voilà, ça c'était ça. Mais en grandissant, plus j'avais ces expériences-là, positifs ou négatifs, plus je me disais mais en fait, avec du recul, je suis en train de me rendre compte que c'est en train vraiment de me construire mon moi intérieur, c'est-à-dire que mon psychisme est vraiment littéralement en train de se construire sur ça. Donc j'avais l'impression à travers ces jobs-là que je me cherchais en fait tout simplement. Et là, je me suis rendue compte de quelque chose qui a, je pense, et même encore jusqu'à l'heure actuelle, construit totalement mon identité. C'est toutes tes expériences, positives comme négatives, mais surtout négatives, vont être hyper formatrices. pour mon avenir et pour mon épanouissement personnel. Alors pour la petite histoire, pour vous remettre un peu les bases, je suis quelqu'un, je suis nulle à l'école. Vraiment, je suis nulle à l'école, j'ai l'impression que je ne suis vraiment pas à ma place. Je ne comprends même pas pourquoi les personnes, il y a même des camarades de classe, ils n'ont même pas besoin de réviser, qu'ils ont plus que moi, alors que moi je passe des heures les soirs à réviser. Je ne comprends pas, en fait, littéralement, mon bac, je l'ai au rattrapage, j'ai vraiment très très peu de choses. Ma troisième, je ne l'ai pas précisé, mais je l'ai redoublée parce que, à l'époque, je faisais beaucoup de photos et tu ne sais pas pourquoi, la directrice de mon école m'a dit à mes parents, c'est soit votre fille, vous la mettez dans une école professionnelle de photos, soit je la fais redoubler. Alors que moi, je voulais aller en lycée général. Bon, je n'ai pas cherché à comprendre, j'ai redoublé parce que j'adore la photo, mais à cette époque-là, je ne me voyais pas photographe, même si j'adore et j'adore toujours la photo, c'est une de mes passions. J'arrive en post-bac, on me dit tu vas devoir trouver une filière qui va faire tout ton avenir. Moi je suis à un âge où je suis nulle à l'école, on me demande de choisir mon avenir là tout de suite maintenant, alors que moi-même je suis en train de me rechercher. Je vais choisir la première filière que je trouve. J'ai intégré une fac qui s'appelait AES. Donc, administration économique et sociale. Donc, autant vous dire que pour moi, cette filière-là, je ne sais même pas si elle existe encore, mais pour moi, c'était vraiment la filière poubelle, en fait. Tu avais vraiment de tout, de la gestion, de la comptabilité, du droit, de l'économie. Enfin, vraiment, tu avais tout et rien. Tu ne savais pas quoi prendre, tu allais là-dedans. Au moins, tu savais que tu avais touché à tout. Donc, voilà. Ce que j'ai retenu, qui m'a vraiment... à l'heure actuelle, avec laquelle je suis contente d'avoir appris, c'est qu'il y avait du droit. Et en fait, le droit d'avoir fait des fiches de jurisprudence, etc., mine de rien, et d'avoir étudié le droit, en fait, tout simplement, ça m'a vraiment permis de comprendre l'utilité et comment fonctionnait le droit. Donc ça, franchement, c'est quelque chose dans laquelle je retiens. Donc dans le négatif, on retient toujours du positif. Puis, donc là, je me dis, je ne vais clairement pas finir là-dedans, je me réoriente. encore une nouvelle fois où on me met mon chemin de vie me dit tu vas avoir encore des barrières devant toi et ben t'inquiète pas tu vas en avoir donc là je me dis bon qu'est ce que je fais ça fait à peu près trois ans dans la tête j'ai la filière de la psychologie qui me vraiment me trotte dans la tête j'en entends un peu parler on va dire c'est comme si l'univers me mettais un peu des brides même depuis début du lycée vraiment j'ai des petites brides j'entends la psychologie un peu partout Ça m'intrigue, j'ai envie de savoir c'est quoi, mais j'entends beaucoup de négatifs de cette filière-là, qu'il n'y a pas de débouchés derrière, que c'est vraiment une filière pour les L, qu'il n'y a que ceux qui fument qui vont là-dedans. Vraiment, j'entends vraiment beaucoup de négatifs. Mais je me dis, enfin de négatifs, pardon. Et je me dis, mais ce n'est pas grave, j'ai envie de tester, j'y vais. Eh bien, je rentre dans cette filière-là et je m'éclate. Pendant trois ans, je vais galérer. Il y a certaines années où j'ai galéré parce que ce n'est pas aussi facile qu'on le pense. Je vais galérer, mais par contre, je m'éclate. J'ai des notes de ouf, des notes que même de toute ma scolarité, je pense que je n'ai jamais eues. Des fois, j'obtiens des trucs, des styles, des 20. Je me souviens, j'ai une note et j'ai eu un 21 sur 20. Ça, je m'en souviendrai toujours parce qu'il y avait des bonus qu'on pouvait donner. J'avais eu 20 et j'avais eu juste au bonus. Donc, j'avais eu 21 sur 20. Vraiment, je m'éclate. Je finis ma licence, j'obtiens cette licence-là avec une mention. J'ai genre 13 de moyenne générale à toute la licence. Ce qui est bien quand on est à la fac et qu'on est complètement livré à soi-même. Parce qu'il faut savoir que je suis venue de nulle part, d'être nulle à l'école, à bah t'es à la fac, tu te démerdes par toi-même Et c'est un truc de fou parce que vraiment je me retrouve totalement. J'arrive à totalement m'organiser, je suis hyper autonome. La matière en elle-même me plaît. Je suis, enfin voilà, vraiment, je me retrouve de ouf. Mais là, le ciel me tombe sur la tête et ce que j'entendais de négatif pendant trois ans arrive devant moi. C'est-à-dire que là, en fait, il n'y a pas de boucher. C'est complètement bouché. Je postule à 35 masters ou j'ai 35 refus. J'ai, entre gros guillemets, seulement 13 de moyenne générale à la fac. Mais c'est pas assez. Ils prennent l'élite de l'élite et ils prennent ces gens-là. Là, moi, je suis complètement dégoûtée parce que je me dis concrètement, ils préfèrent prendre l'élite alors que des personnes comme moi qui ont ce don naturel, entre guillemets, qui ne se basent pas sur de la théorie, mais bien sur de la théorie et de la pratique et un don, on va dire, naturel, même si je me lance au cul et je reste totalement modeste en disant ça. Voilà. Mais je reste encore positive. Je me dis, l'univers, s'il a fait ça, c'est qu'il y a une bonne raison. Eh bien, ce n'est pas grave, on va choisir autre chose en attendant. J'ai cherché un travail tout simplement. Donc, il y a eu le Covid entre-temps, donc c'était compliqué parce que j'ai obtenu ma licence en 2020. Juste derrière, il y a eu le confinement. Donc, pour trouver du travail, c'était hyper compliqué. Le premier travail que je trouve et dans lequel je suis restée deux ans, c'était en restauration. Au bout de huit mois, je suis passée manager. Donc, ce n'est pas le manager où on sait, il habille en noir, il donne deux, trois ordres. Non, ce n'était pas ce genre de restauration. C'était de la restauration devant les clients. Donc, en fait, en tant que manager, je devais gérer la caisse, faire le service, faire la plonge, former mes employés, gérer la relation client, donc parler avec les clients, parce qu'en plus, les clients me connaissaient. Voilà, donc je devais vraiment tout gérer en même temps. Et j'ai vraiment kiffé. Cependant, j'étais très mal payée. pour ce que je faisais. Vers la fin, en plus, il y a eu des complications, ce qui a fait que je me suis retrouvée toute seule à gérer. Mais à côté de ça, je retiens grave du positif, c'est-à-dire que j'ai fait des rencontres de ouf. Une de mes meilleures amies, c'était ma directrice, pour vous le dire. Donc voilà, j'ai vraiment que du positif. J'ai fait des rencontres de ouf. J'ai pu en apprendre beaucoup sur moi-même en tant que manager, comment gérer une équipe, comment gérer des situations compliquées, le rush. Vraiment, sur ça, j'en retiens que du positif. Mais là, il m'arrive des choses pas cool. En 2021, j'ai le décès de mon grand-père. Là, je vois vraiment que tout mon monde s'effondre. Mon grand-père, j'étais très très proche de lui. Il était malade. Donc psychologiquement, je m'y attendais. On s'y attendait tous. Mais voilà, je ne suis vraiment pas bien à cause de ça. Et ça va se supporter pendant des mois et des mois. Au point où d'autres choses personnelles m'arrivent. Rupture amicale et là, rupture amoureuse. Et là, je décide de tout plaquer. Je pars. Quel est mon rêve depuis des années ? C'est de partir dans le sud de la France. Ok, pas de soucis. Qu'est-ce que je veux faire que je n'ai plus ? Un master. en psycho je pense que ça va être un peu mort et tous les jobs en fait que j'ai pu accumuler et là c'est là qu'on retient encore du positif dans mes expériences dans tous les jobs que j'ai fait quel est le job à laquelle je me suis le plus plu et qui me permet de réunir tout ça en fait de réunir les choses que j'aime bien d'avoir un peu peut-être de psychologie là-dedans c'est tout simplement le marketing et en fait donc je vais... chercher un master en marketing. Donc, je trouve un master en marketing et communication à distance et en alternance. Donc, j'ai l'opportunité de choisir la destination où je veux. Donc là, je dis, c'est simple, j'ai un rêve depuis des années de partir vivre dans le Sud et je veux reprendre des études. On me dit, tu vas où tu veux. Eh bien, c'est très bien. Je vais chercher, donc en gros, j'ai cherché en dessous de Lyon et peu importe l'endroit, tant qu'une alternance m'a accepté et qui soit bien sûr... de non, de non avec ce que moi je recherche aussi, parce que quand je passais les entretiens, je disais aux personnes, je vous aide dans votre entreprise, par contre, je suis encore étudiante. Donc c'est à vous de me former correctement, à m'apprendre des choses. En fait, il m'arrive plein de choses négatives à ce moment-là, mais j'arrive à trouver une espèce de force en moi, où c'est comme si j'arrivais à faire... tout un récap de tout ce qui s'est passé ces dernières années, depuis 2020 surtout, dans ma vie. Et qu'est-ce qui m'a plu, qu'est-ce qui m'a déplu. Mais en fait, je retiens tout le positif de tout ce que j'ai subi en négatif. Et en fait, c'est grâce à toutes ces choses-là que j'ai pu me dire, bon bah c'est bon, je pars en fait. Et là, je ne vous détaille pas tout le parcours de comment j'ai réussi à trouver, mais la coïncidence de fou malade, c'est que j'atterris à Nice pour une alternance. Nice, il faut savoir que c'est ma ville de cœur, mon père était niçois, donc je suis toujours venue ici parce que vraiment, je suis amoureuse de Nice. Donc l'univers, et comme quoi on attire bien les choses à nous quand on le veut profondément, c'est que j'atterris à Nice, mais parce que la première fois... personne qui m'appelle et qui me dit je suis ok pour vous prendre elle habite à Nice, c'est à dire que quelqu'un de Bordeaux m'aurait pu dire pareil, j'atterrisse à Bordeaux non, il a fallu que j'atterrisse à Nice comme par hasard après moi je dis toujours il n'y a pas de hasard, il n'y a que des synchronicités les personnes qui croient en l'univers comme moi et qui écoutent ce podcast se reconnaîtront ce que je dis là-dedans donc bref j'atterris ici, tout se passe très bien la première alternance se passe pas bien du tout Donc je change au bout de 5 mois, je retrouve une autre alternance et là, je m'éclate. Vraiment, je suis dans mon élément. C'est la première fois que je travaille dans un bureau. J'adore. Genre vraiment, c'est trop bien. Pour les personnes qui n'ont jamais travaillé en bureau, je vous assure que c'est trop bien. Passer de travailler à courir partout, à être tout le temps debout, à faire des choses manuelles, etc. Passer de travailler dans un bureau, je vous jure que ça change la vie. C'est vraiment dinguerie. Vraiment. Là, je travaille pendant un an et demi dans cette boîte-là et arrive le moment, six mois avant de signer un CDI, où littéralement, je demande, je dis, écoutez, est-ce que vous voulez que je signe un CDI avec vous dans six mois ou pas ? Ou je cherche ailleurs, moi, il n'y a pas de souci, mais je veux savoir. Non, t'inquiète pas, Manon, tu auras un CDI chez nous. Bref, je ne vous passe pas pendant six mois, c'était une fatigue mentale, mais tellement épuisante. Je pense qu'avec Durkul, il y avait cette fatigue mentale. J'étais Big Gates à ce moment-là. J'étais en train de gérer toute ma soutenance, mon oral, mon mémoire. J'étais en train de créer mon entreprise. La pression de mon employeur qui voulait me faire monter en compétence sur certaines choses, c'était horrible. Je vous le dis, horrible. Ce qui s'est passé, c'est qu'en fait, trois semaines avant de signer ce CDI-là, mon patron me prend dans son bureau et m'explique que non, ça serait un CDD et non pas un CDI. Et là, moi, je pète un câble. En fait, je pète un câble parce que je dis, mais attendez, moi, j'ai fait tout bien, j'ai fait les choses correctement, etc. Bon, je ne vais pas rentrer dans les détails parce que ce serait beaucoup trop long et on s'en fout. Mais là arrive le moment où, clairement, moi, j'ai dit stop. J'ai dit en fait, il n'y aura rien du tout. C'est-à-dire, il n'y aura rien. Je veux arrêter de bosser avec vous. Je prends mon envol. Et là, on passe à la troisième étape. Pourquoi l'entreprenariat ? Là, j'arrive dans un monde que je ne connais pas, c'est-à-dire l'entreprenariat. Là, on est fin octobre 2024 et je dois déclarer mon entreprise, je me lance vraiment dans le bain. J'ai une formation aussi depuis mai 2024 où je me forme en tant qu'entrepreneur vraiment sur plein de domaines. Là, l'heure actuelle, on est le 12 décembre. Ça fait deux mois que j'ai lancé mon entreprise et j'ai eu un lancement catastrophique. Quand je dis catastrophique, il y en a des Ausha moi qui diront Ah bah non, t'abuses de ouf ! Non, alors c'est pas catastrophique dans le sens où ça aurait pu être pire. Encore une fois, vous verrez que dans six mois, je vous dirai qu'au final, rien n'arrive sans rien. Mais à l'heure actuelle, j'ai passé des dernières semaines horribles parce que vraiment, un doute constant de ce que je vends. En fait, je vous explique. dans mon entreprise où je travaillais avant, j'étais chargée de marketing et communication, j'ai pu toucher à tout, voir tout franchement ça m'a trop plu ma responsable qui m'a formée un amour franchement je souhaite à n'importe qui d'avoir une manageuse comme ça et en fait on va dire les 6 derniers mois j'ai eu un poste équivalent à chef de projet marketing, pourquoi ? parce que je gérais tout ce qui était analyse commerciale et en plus de ça Je gérais toute la partie partenaire qui me permettait d'organiser toute la gestion et l'organisation des webinars et des événements, notamment en B2B. Donc je kiffais vraiment mon taf, c'était vraiment très très cool, mais en fait on m'a donné des deadlines impossibles à respecter, enfin bref. Le truc c'est que je ne sais pas pourquoi je ne le sens pas, donc c'est pour ça que j'ai arrêté ce truc. Et là je suis dans une phase où énergétiquement c'était épuisant. Les deux derniers mois, en plus, c'était fin octobre, début novembre. Donc, en fait, il y a eu tout l'hiver, etc., l'automne et tout. Il faut savoir que l'automne, moi qui est quelqu'un de très solaire, l'automne, je déteste ça. La pluie, le froid, vraiment, je ne peux pas. Je préfère limite l'hiver avec la neige que l'automne. Et donc, énergétiquement, très lourd, très lourd à supporter. C'est la fin d'année, tout le monde est stressé. Tous les commerçants sont stressés. Enfin, vraiment, ce n'est pas un bon mood. Donc moi, je me dis en partant, qu'est-ce que je peux faire en tant qu'entreprise ? J'ai tous ces domaines-là, donc le marketing, la com, la psychologie, le développement personnel. Vraiment, j'ai plusieurs thèmes que j'aime, mais je ne sais pas comment les exploiter tous ensemble. Mon storytelling, il va être bizarre. Et en fait, j'ai une part de personnes qui me disent, mais au pire, tu fais tout en même temps. J'en ai d'autres qui me disent, mais en fait, fais l'un, après tu fais l'autre. Il y en a qui me disent, mais au pire, tu t'en fiches, fais comme tu le sens. fait de tout. Et puis, je suis perdue. Je suis perdue à ce moment-là, je me dis, bon. Et je me déclare en tant que social media manager, donc j'aide les entreprises à faire une stratégie sur leurs réseaux sociaux pour se vendre mieux. Et à côté de ça, je me dis en tant que consultante bien-être, donc tout ce qui est développement personnel, psychologie positive, etc. Ça, c'est sur le papier. Mais, depuis 2-3 semaines, et c'est pour ça que j'ai voulu faire ce podcast-là et vraiment me... décharger en termes de mindset, avoir vraiment, reprendre quelque chose vraiment de positif et 2025 arrive et pour moi les 5 dernières années ont été vraiment très très très très compliquées. En fait j'ai envie que 2025 ça soit vraiment quelque chose de renouveau, quelque chose professionnellement où là je me découvre. En fait que vraiment 2025 pour moi ce soit si j'arrive à trouver ma voie dans l'entreprenariat parce que le salariat c'est vraiment un moment où je me dis Moi, j'en peux plus. Vraiment, j'ai ma goutte d'eau. Et moi, je crois que rien n'arrive sans rien. Si je suis là à l'heure actuelle, c'est qu'il y a quelque chose de bien qui arrive plus tard. Je le saurai après. Le conseil que je peux vous donner là-dedans, c'est vraiment suivre son instinct, suivre ses intuitions. C'est hyper important. Vous savez, la petite voix que vous entendez et que vous dites Non, mais je vais faire ça. Non, non, non, non. Suivez cette... petite voix. Je vous jure que ça, c'est une des choses que j'ai appris notamment à ma meilleure amie quand on était plus jeune, qu'elle me disait, mais comment tu sens tes pressentiments, Manon ? Parce que oui, j'ai appelé ça avant des pressentiments. Je lui disais, mais tu vois ta petite voix que t'entends là ? Elle me disait, ouais. Je lui disais, mais écoute là. Et je vous jure que depuis qu'elle fait ça, ça fait des années qu'elle fait ça maintenant, eh ben, Petite Voix te parle, c'est vraiment que tu dois vraiment, vraiment, vraiment l'écouter. Parce que c'est cette petite voix-là qui te guide, en fait. Vraiment qui te dit, là, tu dois aller dans cette direction-là, parce que je t'assure qu'il y a un truc cool derrière. Donc voilà, et à l'heure actuelle, je suis en pleine reconstruction de mon entreprise. Vraiment tourner plus vers tout ce qui est... Un mélange des deux, mais vraiment ce côté bien-être, vraiment cette Ausha naturelle que j'ai chez moi, j'ai vraiment envie de la mettre en avant. Je souhaite à n'importe qui vraiment de pouvoir faire ça. Et en fait, c'est bête, mais ça fait deux semaines là que je pense en deux semaines, j'ai vécu plus de choses intenses et positives que les deux derniers mois réunis. Parce que de penser positif, j'attire le positif à moi. Et tout simplement, je suis en train de développer. Il y a plein de projets qui arrivent à moi. Plein de projets différents que j'aurai l'occasion de vous en parler plus tard. Et en tout cas, j'ai trop hâte de vous dévoiler tous les prochains projets. Parce qu'il y en a pas mal qui arrivent. Et je vous souhaite une très très bonne journée ou soirée. Ça dépend à l'heure où vous écoutez ce podcast-là. Je suis hyper contente si vous êtes arrivés jusqu'à là. Je vous dis à la prochaine. Bisous ! S
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