Quitter son job pour lancer son produit ? Il faut être couillu. Il faut avoir du courage. Vous avez un an, Pour vous faire une idée de si votre projet est viable ou non. Tic tac tic tac. Pauline Janin, elle, a tenté l’aventure entrepreneuriale. Une première fois. Elle a testé, éprouvé son concept. Et puis, elle a dû le plier. Et c’est OK ! Mais des projets comme CHICHE!, ça ne se présente pas tous les quatre matins. "J'y ai cru dur comme fer dès le départ. Pour ce qu’il est. Pour la marque." Le secret : confronter, partager, pour avancer. Dans cet épisode, on a évoqué : 👉🏻 Le parcours de Pauline, de l’agroalimentaire à l’entrepreneuriat. 👉🏻 Les défis et apprentissages du passage de cadre à entrepreneure. 👉🏻 Comment gérer la solitude et les doutes dans la prise de décision. 👉🏻 Sa vision du leadership et comment elle l'a fait évoluer. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Le Japon, c’était vraiment une autre planète. Et la planète grande distribution n’a rien de semblable à celle de la France. Je vous propose 10 faits marquants (vision très réductrice) concernant les supermarchés au Japon : Les Japonais privilégient les courses de proximité. En France, on observe aussi une fragmentation des achats pour maîtriser son budget, mais les Japonais vont encore plus loin : ils achètent souvent, cherchant toujours la fraîcheur. Et ça tombe bien ! Pour ça, ils ont 55 000 konbinis (proxi japonaise) contre 10 000 en France. Ouverts 24/24 et proposent tout type de services – éditer son permis, retirer de l’argent, et même faire pipi (avec des toilettes très propres, of course!). Le Japon, c’est cher ? Ça dépend des produits, mais sachez que si on fait le match prix France vs Japon : la France est largement perdante ! Ils ont une offre snacking débordante au sein des konbinis ! Et surtout une offre particulièrement fraîche, que ce soit pour le salé... mais aussi le sucré ! Aïe, point noir pour moi : les fruits et légumes. On en retrouve en supermarché, avec du sur-emballage, ou alors l’offre se fait déserte dans les konbinis (oups, j’ai croisé une banane emballée individuellement avec du plastique). Parlons-en ! LE PLASTIQUE ! Partout, tout le temps, il est l’allié clé de tous les aliments japonais. Quand sur-emballage signifie pour nous pollution, il signifie pour eux pureté et propreté. Parlons maintenant produits : mon coup de cœur : les onigiri ! Pour 1 euro, je peux en manger de toutes sortes et tous les jours!!!!! Les sushis sont différents : un poisson plus épais mais aussi plus frais ! En parlant de fraîcheur... Parlons DLC ! Une DLC courte, trèèèèès courte, de 2 à 5 jours ! Un modèle sûrement impossible à mettre en place en France, mais si pratique pour le consommateur ! Je terminerai ce post par une petite anecdote marrante : avez vous déjà vu du riz Pokémon ? Allez au Japon. Maintenant oui. PSTTTTT : Il y a un invité très spécial à mon cœur qui fait le podcast avec moi ! J'vous en dis pas plus ;) Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Vous avez beau élaborer toutes les stratégies commerciales ou marketing, si le produit tant attendu et si bien vendu n’arrive pas en magasin, c’est foutu. Et les chaînes d’approvisionnement connaissent tellement de secousses ces derniers temps… Le chocolat, l’orange, la pomme… Bref, il y a de quoi faire. Un sujet qui parle à François Deprey puisqu’il en est expert. Pendant une demi heure je me suis prêtée à une interview où j’étais en non maîtrise. Parce que la supply, l’open innovation, et même l’IA au service des chaînes d’approvisionnement… Bah j’y connais rien. Et François m’a parlé sans détour : De l'impact de l'inflation,  Des alliances stratégiques entre acteurs, Des solutions qui émergent pour rendre ces chaînes d’approvisionnement plus résilientes et durables. Bref, encore un épisode repenser les rouages du secteur .  Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour: Comment renforcer la résilience de vos approvisionnements en agroalimentaire avec François Deprey Cet épisode est en partenariat avec le SIAL PARIS Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

La consommation baisse à cause de l’inflation. OUI MAIS. Pas que. Au SIAL PARIS, j’ai interviewé Emily Mayer. Un nom que vous avez forcément vu passer sur LinkedIn. Avec ses infographies et ses insights captivants, elle s’est fait connaître en donnant du sens au commerce de façon simple et visuelle. Face à moi, elle m’a dit : « Je ne suis ni statisticienne ni économiste. J’aime juste raconter le commerce au plus grand nombre. C’est véritablement ÇA qui me drive. » Tout ce que j’aime. Dans un contexte où les crises s'enchaînent et où le marché se durcit, il est crucial de comprendre son environnement. C’était justement le sujet de notre interview ce jour-là. Comment sortir de ce cercle vicieux ? Comment suivre ce consommateur qui fragmente ses courses ? Qu’est-ce qui structure le marché sur le long terme ? Autant de questions que de réponses dans cet épisode. Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour : « Démographie, climat et data : les 3 piliers de l'avenir du commerce avec Emily Mayer » Épisode en partenariat avec le SIAL PARIS. Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Les gens venaient me voir au bureau en me disant : « Cyril, il y a un mec à la télé qui parle de cuisine, il te ressemble comme deux gouttes d’eau ! » C’était en 2010. À l’époque, je faisais des chroniques cuisine pour 100% Mag et l’idée d’être associé à de la télé-réalité ne me tentait pas du tout. Dimanche dernier, au SIAL PARIS, j'ai eu l’opportunité de rencontrer Cyril Rouquet en personne. Et quel chef ! Une énergie communicative à revendre! Il s’était juré de ne jamais intégrer le groupe Carrefour. Finalement, il s’est plus qu’épanoui dans l’enseigne et aujourd’hui, il est chef ! Trouvez l’erreur… Figurez-vous qu’il n’y en a absolument aucune. Et quel parcours ! Atypique, mais drivé par une passion : LA BOUFFE ! En 2008, en parallèle de son poste chez Carrefour, Cyril a lancé "Kitchen Crise". Timing parfait n’est ce pas! Les caméras se sont vite tournées vers lui : 100% Mag, Masterchef… Cyril Rouquet a su marier son expertise culinaire avec celle de l’audiovisuel. Autant dire qu’il sait de quoi il parle quand on évoque le lien entre cuisine et médias. Lors de notre échange, voici les sujets que nous avons abordés : L’influence des médias sur la perception des consommateurs à l’égard de la cuisine ; Les tendances alimentaires et culinaires à suivre dans la grande distribution ; Comment les chefs peuvent promouvoir des pratiques durables, notamment en matière de sourcing et de réduction des emballages alimentaires ; L’équilibre entre tradition culinaire et innovation technologique. Et quoi de mieux que d’avoir cette conversation au SIAL PARIS, Un salon exceptionnel où le monde entier se retrouve pour célébrer la gastronomie ? L’ambiance y est unique, et la fierté des exposants de partager leurs produits est vraiment inspirante. Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour: « Les médias influencent-ils nos courses? avec Cyril Rouquet Prévost » Ce podcast est réalisé en partenariat avec le SIAL PARIS Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

« Je veux garder un ancrage fort avec le terrain ». Vous le savez, les mains dans le cambouis : c’est mon dada. Et quand Guillaume m’a parlé de son lien tout particulier avec ses commerciaux, forcément, ça m’a fait écho. Et pour cause. Environ 2 mouvements dans sa force de vente par an, il y a de quoi être fier, et Guillaume n’hésite pas à le revendiquer. « Le groupe vit bien, il y a un attachement à la marque et au damier, mais aussi aux hommes ». Au-delà des Hommes, Guillaume se félicite des belles performances de l’entreprise. Et il a raison : Le Gnocchi Star, c’est 70 points de DV réelle en magasin, en deux semaines, et avec « seulement » 30 chefs de secteur. Le secret ? La priorisation. « On sait où on doit aller, on sait ce qu’on doit faire ». Guillaume a aussi réagi au lancement de Panzani, un regard que je vous laisserai découvrir. Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour : Guillaume dévoile les secrets de la performance terrain chez Lustucru – avec Guillaume Prudhen, Directeur Commercial Lustucru! *Collaboration commerciale Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Quitter un grand groupe pour rejoindre une petite entreprise : Il n’est pas toujours facile de gérer le regard des « autres ». Un choix pourtant très structurant pour Patrick, Où il a appris à : > Identifier les opportunités, et innover dans les manières de faire, > Décider seul, sans data ni repères, > S'appuyer sur son intuition, son réseau, son équipe, > Développer un business sans ressources financières importantes, > Gagner en liberté, mais accepter d'avoir moins de marge d’erreur, > Solliciter les distributeurs comme partenaires de conseil. Dans cet épisode passionnant, nous avons abordé : 👉🏻Comment développer son intuition ? 👉🏻Quels sont les dessous d’un projet plein de rebondissements chez Thai Union ? 👉🏻Comment prendre des décisions avec du recul ? 👉🏻Comment gérer le changement, notamment lors de la fusion entre General Mills & Yoplait ? Vous commencez à connaître ce type d’épisode, ce sont les plus… ❤️Sincères, profonds. Mes invités sont épuisés à la fin de l’interview, Mais il en ressort tant de sincérité, d’audace, d’histoires. Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour : « À table #4 : Patrick Chomel, directeur commercial chez McCormick ! » Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

"Mais toi, ça te fait vraiment tripper de mettre des céréales en rayon ?" C’est la question que Sophie Melloul, directrice nationale des ventes chez Delpeyrat, s’est un jour vue poser par une collègue. Une discussion qui aurait pu mal tourner, mais qui a révélé toute la profondeur de son approche. "Je ne voyais pas mon job comme ça," m’a-t-elle répondu. "Pour moi, c’était bien plus que ça : c’était créer une relation de partenariat, construire quelque chose de durable." Sophie sait que dans ce métier, rien n'est jamais acquis. Qu'est-ce que le chef de rayon attend de nous ? Comment peut-on réellement lui rendre service ? “C'est la première question à poser à ses collaborateurs!” Car une relation de partenariat, c'est du gagnant-gagnant. Quand on présente une innovation lors d'une convention, le chef de secteur sait déjà si elle va marcher ou pas. Ce n'est pas de la magie, juste de l'écoute. Dans cet épisode on a échangé sur : Son parcours atypique dans la grande conso Empathie vs bienveillance au travail Comment intégrer l'humain dans son leadership L'influence du sport sur ses performances Bref. Assez parlé. Vous avez compris l’idée! Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour! Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

C’est le 1er à avoir été directeur Marketing du Galec. De Maison du Café en tant que Chef de marque, à Intermarché en tant que Directeur Général de l'enseigne, « Je me suis toujours orienté vers des secteurs où je pouvais me renouveler, et où il y avait des problèmes à résoudre. » Des problèmes ? De quels problèmes parlons-nous ? ☕️ Maison du Café : La marque perdait des parts de marché depuis plusieurs années. Comment inverser la tendance ? 🍪 Biscuiterie Nantaise: Comment naviguer dans une entreprise anglo-saxonne lorsque le territoire et la culture vous sont totalement étrangers ? 🧀 Savencia, marque Chaume : Comment relancer une marque en déclin depuis 10 ans ?  🛒 E.Leclerc: Comment créer une fonction stratégique capable de transformer l'enseigne ? Noël possède une connaissance approfondie et une vision unique de l'histoire de la grande distribution. Et donc j’ai appelé Noël en juin dernier pour parler d’un sujet plus qu’important: La déconsommation. Ah, la déconsommation... Elle fait trembler les marques et les enseignes. Elle est mise à toutes les sauces. Mais concrètement, que signifie-t-elle ? Est-elle subie ou choisie ? Comment distinguer ce qui est structurel de ce qui est conjoncturel ? Faut-il voir la déconsommation comme une opportunité et un changement de paradigme ? Que devons-nous comprendre de l'évolution de la consommation en fonction des circuits ? C'était un réel plaisir de l'écouter et d'apprendre de son parcours. Bref, assez parlé, je vous laisse tout de suite découvrir l'épisode du jour : « Noël Zierski, La déconsommation : une nouvelle réalité décryptée » Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.

Durant l'été, je vous propose une sélection des meilleurs épisodes de Sans Filtre Ajouté de la dernière saison. L'occasion pour découvrir ou redécouvrir des épisodes qui ont été particulièrement appréciés!« Qu’est-ce que vous avez encore fait, vous, l’industrie agroalimentaire ? »Souvent rattachée à des scandales,Nous en payons parfois les pots cassés.Allez, appelons un chat un chat :De la vache folle à la viande de cheval 🐎,De la salmonelle ou plus récemment aux eaux contaminées🦠,Il y a de quoi faire.« Pour moi, une marque ne peut regagner la confiance de ses clients,Que si elle accepte de se mettre à nue et accepte la controverse »J’ai discuté aujourd’hui de transparence et en transparence avec David Garbous !David, c’est l’inventeur du « ne nous croyez pas, venez vérifier par vous-même ! »Campagne initiée quand il était directeur marketing chez Fleury Michon pour revaloriser l’image du surimi.Son nouveau défi?Imposer une véritable transparence alimentaire à l’ensemble des marques alimentaires !Et ça tombe bien, il travaille actuellement sur le sujet avec le gouvernement…Je vous laisse tout de suite avec l’épisode du jour :« La transparence au cœur du débat, avec David Garbous » Hébergé par Ausha. Visitez ausha.co/fr/politique-de-confidentialite pour plus d'informations.