Speaker #0Bienvenue dans ce nouveau journal de bord, j'espère que ta semaine s'est bien passée, que tu vas bien. Ma semaine a été plutôt intense, j'ai fait l'erreur de ne pas prendre un ou deux jours off juste après l'immersion. Et ça c'est une vraie erreur puisque quand on vit des moments, vraiment que ce soit personnels, professionnels, spirituels, intenses, il y a ce qu'on appelle l'intégration derrière, et déjà elle peut durer des semaines, mais juste après il y a ce palier de décompression, cette décélération. Cette réintégration dans le monde normal, il faut un peu s'accorder, je ne l'ai pas trop fait. Donc ça a été assez intense, en plus je suis en préparation de la prochaine immersion, les derniers préparatifs de celle qui a fin juin en Lettonie, et mon départ aussi fin juillet en Colombie, où je vais peut-être aussi faire une autre immersion. Bref, qui dit semaine chargée, dit plein de choses que j'ai vécues et des leçons que j'en ai tirées. Donc cette semaine, dans ce nouveau journal de bord, je vais te parler de la... délégation comment déléguer pourquoi comment est ce que je suis en train de mettre en place voici un nouveau cap de délégation mon business et dans ma vie autre sujet sur le coaching je t'en parlais dans les anciens journal de bord les précédents et là j'ai pris une grande décision et tu vas savoir pourquoi il ya quel tarif aussi de le partager j'ai pris un coach j'ai aussi un super échange de valeurs avec mon pote paul dans l'île et c'est quelque chose que je voudrais vraiment de partager, je t'encourage à faire, de lui partager, de l'échange de cerveau, du jus de cerveau qu'on échange parce que c'est vraiment comme ça qu'on monte en compétence rapidement et à moindre frais. Donc je voudrais te parler du deal que j'ai fait. Et ensuite je voudrais te parler aussi d'une conversation que j'ai eue avec des potes, entrepreneurs assez avancés, et sur la partie efficacité, atteinte de ses objectifs et spiritualité que j'ai vu vraiment dans les entrepreneurs qui passent un cap où c'est... C'est un lien omniprésent aussi dans leur vie et je vois que c'est presque obligatoire. Ensuite, je voudrais te parler d'un feedback qu'on m'a fait justement. Ça a résonné, c'était pendant la même soirée, de la part de mon pote Thomas Jiang, qui est un entrepreneur aussi que j'aime beaucoup, très avancé, qui bosse énormément, mais de la bonne façon, qui est sharp. Et du coup, son feedback va peut-être te toucher aussi, va peut-être te parler aussi, vu qu'en général, on a la communauté qui nous ressemble. Et je terminerai sur deux choses. Un, la création de contenu et quelques tips, vu que je reprends pas mal la création de contenu. Et deux, évidemment, pour finir, un petit fun fact. Comme d'habitude, traditionnellement, pour clôturer ce nouveau journal de bord, c'est parti pour un nouvel épisode. Premier sujet de ce journal de bord, c'est déléguer. Et ça, je l'ai vu dans mes dernières immersions. C'est vraiment le point bloquant que je vois le plus régulièrement à tous les niveaux. Alors quand on démarre, c'est clair qu'on ne délègue pas, parce qu'on veut tout faire tout seul, ce qui est souvent l'erreur, mais souvent on n'a pas le choix quand on n'a pas de budget. Mais le problème c'est que c'est une espèce de pensée, une habitude qui reste ancrée. Et même quand on commence à avoir du budget, on a ce sentiment que ça ne pourra pas être mieux fait que si je le fais. Et je le vois moi avec des potes qui ont des centaines de salariés, il y a des choses qu'ils ne délèguent pas, sur lesquelles ils sont encore le nez dans l'opérationnel. et le pire c'est que ça fait freiner ben... toute la mécanique de leur boîte, mais c'est aussi le cas pour des potes qui sont... La problématique, c'est très bon dans plein de choses. Et du coup, ils ne veulent pas déléguer. Qu'est-ce qui se passe ? Vu que tu ne peux pas être partout à la fois et être extrêmement bon, et même avoir ton temps de cerveau disponible partout, ça les empêche de passer vraiment un niveau, vraiment un cap, parce que je te dis des bêtises. Ouais, mais le montage de mes vidéos, j'ai vraiment ma patte, mon truc, ça me prend du temps, mais je sais que c'est bien fait. Au lieu de te dire, oui, ça pourrait être bien fait, c'est juste que ça prendra des allers-retours et ça prendra plus de temps vu que tu vas le déléguer. Mais l'avantage, c'est qu'un montage, tu peux en envoyer quatre en même temps. Et que les retours, pour que ce soit fait avec ta patte, derrière, tu as juste à faire des retours et ils vont corriger. Première chose. Deuxième chose, c'est, ah ouais, mais la prospection, ça doit être moi qui le fais, ou le closing, c'est moi qui le fais, parce que c'est les clients, ils préfèrent que ce soit moi ou dans mon offre, etc. Ok ? ça veut dire que tu ne pourras pas passer un cap parce que tu te dis que tu te mets ta propre limite. Et peut-être qu'il y aura une déperdition dans ton taux de conversion, dans ton closing. Mais si derrière, le closing c'est bien tes appels de vente, pour au cas où. Et c'est pareil aussi quand tu commences à avoir des accompagnements, des customer care, des gens qui décoachent dans tes offres. dans ton système, des gens qui vont faire à ta place, des gens qui vont gérer les finances, des CMO, des CTO, ceux qui gèrent la technique, des gens qui vont faire ça mieux que toi et qui, même s'ils font ça un peu moins bien, toi tu peux... Vraiment avoir la valeur ajoutée dans ton business qui est la vision, qui est l'impulsion, qui est ta zone de génie. Et on peut pas avoir dix mille zones de génie. Tu vois, il y a un moment donné, vraiment identifie là. Et ce qui fait qu'en général ce qui se passe c'est que on n'avance pas, on stagne parce qu'on veut tout faire en même temps et quand on fait... C'est comme si par exemple tu veux, je sais pas, faire de la cuisine et tu veux faire un plat super compliqué avec l'entrée plat dessert et tu veux tout faire. bizarrement ça va te prendre énormément de temps et tu vas t'y prendre vachement à l'avance et tu peux foirer les trucs parce qu'il y a des trucs qu'il faut cuire en même temps et tu peux pas être partout et que alors que toi si tu te concentrais sur le menu les ingrédients être sûr que les invités ils ont les plats qui leur convient avec les intolérances et que tu délègues à des gens qui savent bien cuisiner et que tu vérifies que ça c'est à l'heure ceci parce que tu peux toi vérifier ce timing là là tout à coup en fait bah ouais c'est peut-être pas cuisiné comme toi, ce ne sera pas la recette de grand-mère Mais en fait, ce sera certainement beaucoup mieux fait avec une plus grande cadence et à plus grande échelle. Et je te partage ça parce que là, en ce moment, cette semaine même, j'ai fait passer un entretien pour une assistante personnelle. Et je n'avais jamais eu d'assistante, et je n'ai toujours pas pour l'instant, d'assistante personnelle. J'avais des chefs de projet, évidemment, avec qui j'ai délégué. J'avais des monteurs, j'avais des community managers. Il y a plein de métiers à qui j'ai délégué plein de choses. Mais j'avais pas une assistante personnelle. Et en fait je discutais il y a quelques mois de ça avec mon pote Major Mouvement et je lui avais dit, lui il en avait pas, je lui ai dit mais comment tu fais ? Avec ta vie, tes enfants, ton cabinet, ta création de contenu, ton sport, tes déplacements, mais comment c'est possible ? T'as les promos de livres, enfin... Mec, t'es un dingue ! Donc j'ai trouvé une assistante personnelle, mais évidemment les cordonniers les plus mal chaussés, et puis moi j'ai pas non plus... sa vie, ni sa cadence, ni surtout en ce moment, il est vraiment dans un énorme momentum. Moi non, j'étais plutôt en mode réduction de mes activités, de ma charge mentale, etc. Mais justement, je me suis dit, si j'ai un peu de budget, le but c'est de prendre l'habitude de déléguer sereinement des choses. Et puis, pour qu'une chose soit bien déléguée, c'est pas genre, je décide que ce soit délégué, ok c'est bien délégué. Non, c'est comme n'importe quelle discipline dans la vie, n'importe quel sport, n'importe quelle chose que tu apprends ou que tu mets en place, des routines. Et si tu es raide comme un bâton et que tu te mets au yoga, ce n'est pas parce que tu t'es mis au yoga que tu vas être souple et que tu vas mettre tes pieds derrière les oreilles. Ce n'est pas parce que tu commences à déléguer que tout à coup, c'est super, tout est fluide, génial, ma vie a changé. Non, ça prend du temps, c'est des process. Et du coup, j'ai fait passer un entretien à la même assistante personnelle que mon pote Major Moumouma pour vraiment me dire, je veux prendre cette habitude. Je veux me dire que même si en ce moment, je n'ai pas d'énorme rentrée d'argent, en fait je me En fait mon temps c'est toujours ça, mon argent il me sert à avoir du temps et de baisser ma charge mentale. Du coup quand je me sens léger je me sens heureux, point barre. Donc en fait je m'en fous moi d'aller dans les très beaux hôtels, mâcher des beaux trucs, des machins. Non en fait, tu sais quoi, je préfère en fait de pas faire des trucs qui me rendent dingue. Je suis TDAH en plus, tout ce qui est formulaire, tout ce qui est truc admin, des petites tâches à la con qui me font friser des semaines. Ben maintenant je préfère les déléguer, les trucs où il faut chercher. Moi je préfère les idées du « tiens je vois ça, ça, ça, je le vois comme ça, il faudra le faire comme ça » Et boum ! Vas-y, tu vois, par exemple, j'ai envie de créer une retraite, parce que j'ai envie de le faire moi, mais j'ai aussi envie de le créer, une retraite où tu vas vivre, tu vas vraiment avoir une expérience dans le noir pendant trois ou quatre jours. Bon, mais en fait, il faut trouver les lieux. Ça, j'ai fait en story, mais après, il faut fouiller, il faut contacter les gens, etc. Ça prend du temps. Et ça, ce n'est pas un truc où j'ai énormément de valeur, finalement. Si quelqu'un peut chercher à ma place et me faire une shortlist, après me dire, il y a ça, il y a ça, ici, ça, c'est les plus, ça, c'est les moins, bah en fait c'est cool, moi ce qui m'importe c'est Comment on avance sur le projet global avec la vision, l'impulsion, l'idée et l'envie ? Ce que je t'encourage à faire si tu n'as jamais délégué, ou que tu es très mauvais pour déléguer, ou que tu es le genre de personne qui veut tout contrôler, encore une fois, tu es un entrepreneur, tu es avancé, mais qui veut tout faire ? C'est prendre une semaine et note tout ce que tu fais. Note absolument tout ce que tu fais. Les trucs perso, les trucs pro, tout, tout, tout. Vois aussi le temps que ça te prend et mets une note à côté du plaisir que tu prends. mais aussi la fréquence, c'est quelque chose que tu fais une fois de temps en temps ou très régulièrement. Et derrière, tu vas pouvoir déjà savoir te dire « Ah, en fait, le montage, ça me prend énormément de temps. » C'est quand même un truc qui est très facile à déléguer. « Ah, mais en fait, la stratégie marketing, ouais, ça ne me prend pas tant de temps que ça, mais je prends beaucoup de plaisir. » Ok, ça, je ne le délègue pas. Par contre, à côté de ça, peut-être le mailing, écrire vraiment les mails de vente, ça c'est… Ça me saoule un peu, j'aime bien relire, mais la stratégie from scratch, plus compliquée, ok, je vais peut-être le déléguer en fait. À côté de ça, pareil, dans ta vie, tu as beaucoup de déplacements, les réserves d'hôtels, les trucs, les machins, les avions, en fait, tu peux le déléguer à une assistante. donc là je suis vraiment dans ce process de tout écrire sur sur mon ocean pour voir un peu justement toutes ces tâches-là et commencer je pense à partir la semaine prochaine avec un forfait, de me dire ok, je suis dans une démarche de déléguer un maximum. Et là aussi, en ce moment sur mes montages, c'est moi qui les fais pour reprendre bien l'habitude de pouvoir derrière bien déléguer. Parce que pour déléguer quelque chose, c'est mieux de savoir bien le faire. Mieux tu sais le faire, mieux tu sais derrière expliquer comment tu veux les choses et tu sais derrière bien expliquer les besoins en fait. et que tu vas savoir parler avec la personne parce que vous savez faire la même tâche, sauf que là, c'est lui qui l'a fait. Donc vous savez vous parler et tu sais très bien déléguer précisément. Donc franchement, si t'es quelqu'un qui fait tout tout seul, ou si t'es quelqu'un même qui a pas beaucoup de budget, demande-toi le truc le plus chiant qui te prend de l'énergie et du temps dans ta semaine ou dans ton business, et dis-toi, essaie de le déléguer. Même si c'est mettre 100 balles, 200 balles sur la table, prends l'habitude. Si tu peux le faire, fais-le, économise un ou deux restos, Et tu verras que ça fait du bien de savoir aussi que quelqu'un est là pour toi, pour faire avancer ton business et que tout n'est pas à ta charge, qui dépend de ton énergie, de ton niveau de santé, de forme, de motivation. Ça change tout. Teste, fais cette liste et tu verras. Il y a moins que tu passes un vrai cap dans ton business. Maintenant, je voudrais te parler de mon plus gros point faible que j'essaie de résoudre. Si tu me suis un peu sur ce journal de bord, tu sais que c'est le coaching. J'ai vraiment du mal, ça a toujours été quelque chose que mon ego m'a vraiment empêché de faire. Pour ça, je lui en veux beaucoup. Et j'ai fini un coaching, c'était cinq séances, qui m'a beaucoup aidé. Et c'était sur mon positionnement. Et du coup, c'est ça qui m'a permis de reprendre le contenu sur Insta, avec ce nouveau positionnement, avec ce message que j'assume vraiment de porter, que finalement j'assume de porter sur Insta, alors que ça fait déjà beaucoup de temps que je le fais sur mon podcast. Mais bref, je me suis dit, il ne faut pas que je m'arrête sur cette lancée. Et du coup je me dis, il faut que je continue avec une autre personne pour faire autre chose. Et au-delà d'un coach cette fois, je cherchais vraiment à avoir un coach mais mentor. Quelqu'un qui finalement arrive à représenter ce que j'ai envie d'incarner, le business que j'ai envie d'avoir, etc. Et sur une reco d'un pote, d'ailleurs je lui remercie, Kevin si tu m'entends, Kevin Dufresne, j'ai eu les coordonnées de son coach, apparemment qui était vraiment canon. J'ai pris un call découverte, c'est toujours comme ça qu'on fait, surtout sur du high ticket, pour voir quand même si ça match humainement, et puis c'est ce petit appel de closing, même en tant que client on sait que ça se passe comme ça. Et j'ai vraiment eu un bon feeling, et surtout j'ai vu qu'il représentait beaucoup de choses que j'aimerais accomplir. C'est un mec qui est plutôt ancré avec sa famille, ses deux enfants, sa femme, mais qui a aussi son petit kiff gateway de partir, donc il est vers Barcelone et il va faire son kite un peu. dans la partie un peu plus sauvage, à une ou deux heures de là où il habite. Il aime bien aussi voyager, il est très dans la spiritualité. C'est un mec qui fait partie d'un univers que je ne connais pas encore. C'est vraiment celui des CEOs, celui des dirigeants de startups. Ça, c'est le milieu d'où il vient. Et vraiment, quand j'ai fait l'entretien, j'ai bien aimé le bonhomme. J'ai aimé, en plus, il est francophone. Je dirais que l'échange est vraiment subtil, dans les mots, dans l'échange, dans le ressenti. Et je me suis dit en fait, j'avais peur du prix. Parce que j'avais vu un poste où en vrai, le mec était à 2000 balles de l'heure, je dis, ouais, tu as 2000 balles de l'heure quand même. Bon, il faut vraiment que je lutte contre ce point faible, mais tu vois. Bon, j'en suis peut-être pas, vu qu'en ce moment, plus j'ai réduit mes activités, j'ai pas non plus un budget limité. Et du coup, je dis, ok, bon, c'est pas peu importe le budget qui va me dire. En gros, je suis prêt vraiment à mettre l'argent sur la table pour me faire mentorer. Et surtout que j'étais très transparent avec lui. J'ai vraiment dit, écoute, moi en business aujourd'hui, j'ai vraiment envie de développer beaucoup sur l'aspect communautaire, le cercle des solopreneurs, mais aussi avec les immersions et mieux comprendre et mieux accompagner et aider des CEOs, avec des top entrepreneurs. Et je sais que c'est des gens que tu accompagnes. Je ne suis pas là pour te concurrencer. Et au contraire. C'est plus sur l'aspect vraiment présentiel, immersion. Et lui, il me disait, moi aussi, j'ai envie d'en faire, mais je serais ravi de t'aider à mettre ça en place. Au contraire, j'ai une vision. Et le mec, il ne s'est pas senti genre, il vient me prendre un coaching pour me voler mes connaissances et me prendre mes clients. Pas du tout. Et j'ai beaucoup aimé sa mentalité, justement, de, non, mais viens, c'est cool, ça résonne. C'est un mec qui est très spirituel, qui a des méthodologies très pragmatiques comme moi aussi, une approche très précise de comment on va chercher les bonnes réponses. et comment on se pose les bonnes questions pour les avoir d'ailleurs ces réponses. Et bref, je me suis dit ok, bon bah le challenge il est là en fait. Mon challenge c'est surtout d'arriver à continuer dans cette lancée et... enfin de voir ce que ça fait potentiellement d'être en coaching mentoring de quelqu'un qui a réussi un peu ce que je veux et du coup il m'a sorti un budget de 5500 euros quand même pour 10 heures donc finalement ça revient un peu au même que la coach que j'avais avant sauf que c'est sur un package de 10 heures donc c'est quand même 500 euros de l'heure 500 euros de l'heure ça pique il faut y aller quand même faut quand même qu'il y ait de la valeur mais je me suis dit en fait c'est vraiment la phrase de ma pote lisa salis qui m'a qu'elle m'avait partagé un jour pour m'aider à essayer de sortir de ce point ce point fait, elle m'a dit tu sais Alex quand tu atteins un certain niveau j'ai dit souvent cette phrase mais pour moi elle m'a tellement marqué elle m'a dit tu es prêt à payer un mec dix mille balles pour que tout ce qu'il va te dire tu le saches déjà 80% mais tu vas à chaque fois chercher les 10 20% qui vont faire la diff que tu connais pas et qui vont te permettre d'avancer parce que plus tu avances plus c'est dur d'avoir ce petit pourcentage qui te fait avancer parce que à force tu finis par tourner en rond et que Qu'est-ce qui va faire la petite diff ? C'est peut-être ce petit pourcentage. Mais quand tu atteins un certain niveau, ce petit pourcentage, il peut faire fois deux, fois trois sur ton business, sur ton bien-être, sur ton efficacité. Et ça, ça n'a pas de prix. Donc je dis que je partage, j'allais l'attaquer début juillet. Je te tiendrai au courant des bienfaits ou pas de ce business. Est-ce que ça valait l'argent que je mets sur la table ? Mais si je te partage ça, c'est vraiment encore une fois, ne tombe pas dans le... Dans cette erreur que j'ai eu pendant, ça fait 15 ans que je suis à mon compte, dans l'entrepreneuriat, en tant que créateur de contenu, entrepreneur, bref, de ne pas mettre de l'argent régulièrement pour que quelqu'un te guide, que quelqu'un ait une vision en dehors de toi. Parce que toi, c'est trop dur d'être l'observeur et l'observer. C'est pour ça que les coachs ont des coachs. Parce que c'est trop dur et de performer et de voir comment on performe et on peut faire mieux. Le regard extérieur, il vaut de l'or. Dès que tu as un peu d'argent, mets-le dans un livre, une formation ou un accompagnement, évidemment, dès que tu peux, parce que vraiment, pour moi, ça fait la diff. Ça fait la diff. Et c'est là aussi, c'est qu'un bon coach, parce que là, tu ne cherches pas forcément un mentor, mais un bon coach, il n'a pas les réponses. Il a les bonnes questions pour t'orienter, pour que toi, tu aies de la clarté, en fait, et qu'il ressente ce que toi, tu ressens. Et c'est pour ça que des coachs ne sont pas forcément des multimillionnaires. Mais eux, ils ont toute la méthodologie pour t'aider à extraire le talent et l'essence et l'excellence qu'il y a en toi. Et j'ai envie de te dire, on verra ce qu'il arrive à faire ressortir de moi ce nouveau coach. Ça sera parti pour début juillet. Maintenant, je voudrais te parler de l'échange de compétences. Et ça, c'est pareil. Si tu n'as vraiment pas les moyens de te faire coacher, fais du troc. C'est aussi simple que ça. Et du troc, c'est demande-toi ce que toi, en tant qu'individu... où tu as le plus de valeur, c'est quoi ton skill, c'est quoi ta valeur ajoutée vraiment dans ce que tu peux apporter aux gens, c'est souvent dans ce que toi tu fais dans ton activité professionnelle, c'est la transformation que tu offres à tes clients, puisque évidemment un produit ou un service n'est qu'une transformation, n'est qu'une solution à un problème, donc quel est le plus grand problème que tu résous, et offre-le à quelqu'un en échange de lui le problème qu'il résout, et évidemment il faut que ce problème là il puisse t'aider à toi et que tu recherches. Et de le donner comme s'il t'avait payé 25 000 euros. Et de le donner à fond parce qu'à chaque fois, c'est ultra puissant, tu as des recos, après les gens veulent échanger avec toi et en fait, tu te retrouves à pouvoir accéder à des informations et des skills qui valent des milliers d'euros, potentiellement du coup gratuitement parce que toi derrière, tu as aussi échangé avec les tiens. Et là, je viens de faire un deal, c'est lui d'ailleurs qui me l'a proposé, de Paul Danly qui est un mec génial. qui était dans mon immersion à Bali, qui est à la fois designer, mais un très grand designer. Le gars, il bosse pour des Renault, pour des grandes marques, des très grandes marques et des très grandes agences de créa. Mais à côté de ça, il a aussi une passion, ce qui lui a permis d'être très bien financièrement et très bientôt libre totalement, c'est l'investissement. L'investissement, vu qu'il est d'origine suisse, l'investissement sur carré, précisé, méthode... méthodifié et planifié et sécurisé. Et en fait, il est très bon, mais ce qu'il aime surtout, c'est vraiment cet aspect coaching. Ce n'est pas juste, tiens, regarder des vidéos. C'est vraiment, il adore prendre ton cas et dire, OK, avec toi, ton profil, tes rémunérations, ton type de prise de risque, ça va être ça. Et en fait, il m'a dit, Alex, si tu veux, moi, j'ai envie de développer cette partie coaching, cette partie business là. Et si tu veux, je te fais tout mon coaching en échange. de visibilité, de feedback et potentiellement aussi de m'aider à améliorer cette offre. Et évidemment que j'ai accepté parce qu'en ce moment je suis vraiment dans cette... toujours dans une optique et même... Si je gagne moins d'argent qu'avant, c'est toujours, et même lui le dit le premier, c'est même pas moi, c'est lui qui le dit, c'est commence même par 50 ou 100 balles en fait, par mois, 50, 20 balles. En fait, l'idée c'est de prendre l'habitude d'être dans chaque mois en fait, dès que je peux, dès qu'il y a une rentrée d'argent, en fait je sécurise mon avenir et que l'euro que je mets aujourd'hui, il en vaudra peut-être 100 ou 200 dans pas longtemps, enfin dans pas longtemps, non, quand même dans quelques années, mais d'ici 20 ans, l'effet cumulé... Il est complètement hallucinant et moi je sais que c'est quelque chose que malheureusement ce n'était pas dans la culture, il y avait assez peu d'accès à l'information et que j'ai commencé à prendre cette pige, à investir. Grande tristesse de ma vie, énorme tristesse de ma vie, surtout que moi je n'aurais pas de retraite. Donc j'essaie maintenant de récupérer le temps perdu. Mais pourquoi je te dis ça ? Parce que son coaching, il n'est pas donné, mais bon, il vaut largement, largement l'argent que tu mets sur la table. Parce que derrière, dans quelques années, tu es libre financièrement grâce à lui. et sa stratégie, ce qui est quand même plutôt très cool, et c'est juste assuré mathématiquement en fonction, c'est juste le nombre d'années qu'il te faudra par rapport à toi, à la capacité que tu as de mettre de côté. Mais tu vois, c'est quand même fou de te dire, moi je vais lui donner de la visibilité, ça c'est le truc dont il a besoin, et des feedbacks pour améliorer son offre, c'est des trucs que je sais faire aussi. Et derrière j'ai accès à ça. Demande-toi dans ton entourage, qui est, ou qui a, le skills que tu as envie d'avoir, la compétence, Peu importe l'approche, la technique, vraiment, tu veux un feedback même toi sur quelque chose et va leur offrir en échange toi ce que tu peux au plus plus haut niveau offrir. Parce que vraiment, ça se fait peu et c'est un des trucs les plus puissants. Et tu peux le faire avec des gens que tu connais, mais tu peux aussi le faire avec des gens que tu connais pas en fait. Et si l'échange il se fait et qu'il y a de la vraie confiance, etc. En fait, pour un bon troc, il faut que chacun ait l'impression d'avoir gagné. Comme même un deal... payant c'est de se dire waouh je pense que c'est moi qui gagne le plus dans l'affaire et si chaque partie est en train de se dire c'est moi qui gagne le plus dans ce deal c'est que tout le monde est content et c'est un super deal et j'encourage vraiment à le faire parce que tu vois ben paul il me l'a proposé lui tu vois naturellement je dis bah ouais bien sûr moi c'est pour moi c'est un cadeau et je suis trop content de pouvoir te donner de la visibilité et même là tu vois je le fais même tu vois naturellement sans même avoir encore eu son coaching parce que Ça m'a vraiment fait cliquer de me dire, putain mais l'échange de compétences, je le fais pas encore assez d'aller voir un gars et lui dire, vas-y moi je fais tout ça pour toi, toi tu regardes ça. Et je le fais aussi moi des fois, en ce moment on le fait un peu avec mon pote Romain Cover, qui est lui, il spécialisait vraiment dans le gross, le marketing, les lancements, la vente en ligne. Et des fois on se fait des sessions où hop, on se met dans son bureau et on se pose nos problématiques et on essaie de se faire de l'échange, je dirais instantané. Et ça c'est vraiment ultra puissant. au delà de d'essayer de faire des cerveaux collectifs, des hot-seats avec plein de gens, des fois c'est juste du one-one, paf, paf, et ça marche aussi. Donc si tu n'as pas ça en place régulièrement dans ton quotidien, avec des collègues, avec d'autres potes entrepreneurs, vraiment, mets-le en place, c'est vraiment un game changer. Maintenant, je voudrais te parler de succès et de spiritualité. Plus je parle avec des gens qui ont vraiment réussi, plus je vois vraiment deux schémas se dessiner. Il y en a un qui est « je réussis mais je suis en colère, je veux prouver que je suis assez, qu'en fait tu sens qu'ils sont pas en paix, tu sens que ces mecs-là ou ces meufs-là, ils sont en guerre, ils sont en guerre contre eux-mêmes, contre la planète pour montrer « ah ah vous aviez tort » . C'est un super fuel, mais qui finalement t'apporte pas je trouve, je dirais la récompense que tu cherches depuis le début. Quand tu veux être riche, c'est successful, c'est que tu veux être en paix, tu veux être heureux, tu veux la reconnaissance, tu veux t'aimer en fait et tu veux qu'on t'aime. Et il y a l'autre schéma que je vois, c'est chaque personne que je rencontre, et de plus en plus, qui vont être dans une recherche de réussite, de performance, mais vont s'intéresser aussi à la spiritualité. C'est fou, mais je les trouve beaucoup plus ancrés, en paix, avec de l'amour, avec beaucoup d'humilité aussi dans le... c'est que le début du chemin et c'est ok en fait et c'est pas grave si je finis pas et ça donne d'autant plus de raison pour eux de réussir parce qu'ils ont un espèce de recul de recul où c'est pas grave si je chute mais c'est très agréable en fait d'avancer parce que je le fais aussi parce que ça me ressemble ça me fait du bien et il y a vraiment ce parce que je discutais, j'étais à une soirée je crois que c'était hier d'ailleurs j'ai discuté avec mon pote Flo qui est vraiment sur un business qui fait du cash, de mise en relation Je te passe les détails. Mais il s'est vraiment mis dans tout ce qui est, et je pense que chaque chemin a évidemment ses dangers. Donc il a vraiment fait aussi plusieurs cérémonies de plantes traditionnelles, soit ayahuasca, soit du buffo, lui il a fait aussi la retraite dans le noir. Donc là, il n'y a aucune substance, c'est juste du noir. Et c'est fou, en fait, parce que je me suis dit, waouh ! Évidemment, il y a un danger de se dire, je prends tous les raccourcis possibles, on prend dans les substances, les trucs, les machins, et je veux être méga spirituel et truc. Et là, en fait, tu retombes dans l'autre schéma de je veux toujours plus, je veux toujours plus, mais même si c'est la spiritualité, tu l'appliques. Mais si tu fais attention à ces dangers, comme dans n'importe quel chemin, tu me dis, waouh ! Plus ça va, plus c'est quelque chose qui se démocratise déjà, ou c'est moins diabolisé. de méditer, d'essayer de faire des expériences émotionnelles, d'essayer de comprendre ce qu'il y a dans son cerveau sans juste être une machine qui exécute et qui enfonce les murs. Parce qu'en fait, on commence à avoir aujourd'hui des retours de gens qui ont tout réussi, qui ont enfoncé tous les murs et qui ne sont pas si heureux que ça en fait. Et qui justement disent que oui, c'est bien de réussir, mais si en même temps que l'aspect financier réussite, tu ne bosses pas, tu as réussite intérieure. Si ta réussite extérieure elle est pas du tout synchronisée avec ta réussite intérieure, et la réussite intérieure pour moi c'est juste s'aimer, aimer les gens qu'on a autour de nous, aimer ce qu'on fait au quotidien, et juste être dans l'amour, être bien. Si t'as pas ce niveau là en fait, et que tu t'es à l'intérieur, t'as des pensées limitantes, tu t'aimes pas, tu t'autoflagelles, c'est le stress, c'est la pression, c'est de la charge mentale élevée, c'est jamais assez, c'est de la colère. C'est de la colère, c'est de l'impression d'être en retard tout le temps. Mais qu'à l'extérieur, tu as tous les trucs matériels, à quoi ça sert en vrai ? Ça sert à rien. Et je m'aperçois vraiment, et pourquoi je te partage ça, c'est parce que si tu n'es jamais encore trop intéressé à la spiritualité, déjà je trouve ça, si tu es dans l'entrepreneuriat, je trouve ça peut-être pas étonnant, mais en tout cas je pense que tu as déjà dû mettre un pied dans le développement personnel. Le développement personnel, c'est quoi ? C'est se poser des questions sur soi-même. En gros, qui on est, qui on n'est pas, comment on fait pour s'améliorer, comment on fait pour améliorer son esprit, sa vision du monde, ses capacités, sa façon de se comporter vis-à-vis de soi-même, vis-à-vis des autres. Quand tu commences à creuser un peu ce sujet, tu vas vite aller vers quelque chose qui est un peu plus grand, en fait, et ça fait du bien, je trouve, qui est décorrélé. Et quand je dis spiritualisé, justement, ce n'est pas religieux. C'est sentir qu'il y a quelque chose de plus grand, qui est connecté, qui fait du bien, mais qui n'est pas relié à des dogmes. religieux en particulier. Et je pense que c'est comme chaque chemin, c'est pareil, un dev perso, si tu es un dev perso en permanence, du jus d'ego de machin, j'ai compris la life, c'est insupportable, mais si tu arrives comme n'importe quelle discipline à l'aborder avec l'état d'esprit d'un élève qui apprend et qui n'est pas celui qui est assez bon, j'ai compris, en fait la spiritualité ça fait beaucoup de bien et on le voit en fait. Pour moi la spiritualité c'est un peu la religion consciente. aucune offense à toutes les personnes très religieuses. Mais pour moi, la spiritualité, ça va être de la même façon que quand on est religieux, on sent qu'il y a un dieu qui nous guide avec des guidelines, on les suit très bien. Mais là, ça va être la même chose, sauf qu'il va falloir soi-même ressentir quelles sont les guidelines et décider par nous-mêmes. Et je trouve que c'est un chemin beaucoup plus conscient de réfléchir par soi-même, de ressentir par soi-même, d'avoir ces challenges aussi par soi-même et de se dire, c'est ça en fait ma religion, entre guillemets, ma spiritualité. Et je pense que la religion a beaucoup de bienfaits, mais je trouve qu'elle enlève un peu trop le fait de penser par soi-même. Elle empêche un peu trop d'aller vraiment remettre trop les choses en question. Et j'aime beaucoup la spiritualité pour ça, c'est vraiment de se créer son propre chemin vers Dieu, si on doit l'appeler comme ça, vers l'univers, vers le grand tout, vers ce que tu appelles, peu importe, pour moi il n'y a pas de mots. Je n'arrive pas à représenter vraiment l'essence de ça, mais je le vois de plus en plus, les gens qui sont apaisés, qui ont de la profondeur d'âme, qui ont de la sagesse, et des gens qui sont d'une façon ou d'une autre vers une forme de spiritualité, vers une forme de connexion justement à eux-mêmes, qu'en fait c'est ça, c'est se connecter à soi, sentir que le soi est connecté à un truc de plus grand, et que ça leur apporte en fait une quête plus douce aussi. et qui démystifie aussi la gravité des choses. Parce que quand tu t'aperçois que tu es vraiment un tout petit truc dans l'univers qui est connecté à un truc qui est gigantissime, bon ben en fait, on n'est pas grand-chose. Ça décomplexe, donc tu te prends un peu moins au sérieux. Et quand tu te prends un peu moins au sérieux et que tu fais les choses avec beaucoup d'amour et de légèreté, en général, c'est plus simple. Donc ouais, c'est quelque chose que je voulais te partager parce que j'avais été étonné. Alors c'est peut-être parce que je suis dans ma bulle et que je suis connecté à des gens comme ça, mais je vois de plus en plus d'entrepreneurs et d'entrepreneuses qui... qui veulent réussir, mais qui veulent aussi se nourrir et explorer leur intérieur, et je trouve ça beau. Et si t'as pas commencé, ben... Ça peut peut-être être l'occasion de commencer par méditer, lire des ouvrages, écouter des audios qui commencent vraiment à montrer d'autres perspectives de vie et de réussite. Je voudrais justement continuer le prochain sujet sur un feedback que j'ai eu, qui n'est pas du tout sur la spiritualité pour le coup. C'était dans la même soirée, c'est de la part de mon pote Thomas Jiang, qui est vraiment un mec adorable, qui est un mec qui bosse. Il mérite ce qu'il a. Tu vois c'est le mec Il est fils d'immigrés chinois, il a bossé, aujourd'hui il fait des très gros chiffres, parce qu'il fait des très gros horaires, il bosse, mais il arrive en plus maintenant à avoir ses moments off. Avant c'était vraiment le mec qui était workaholic, tu vois. Et lui, l'entrepreneuriat c'est son jeu préféré, même si aujourd'hui il a d'autres loisirs, etc. Et du coup, forcément, ses feedbacks pour moi, ils ont beaucoup de valeur, parce que c'est un mec qui a de l'expérience. Et du coup, je lui expliquais, on se donnait un peu des news, ça faisait longtemps que je ne l'avais pas vu, et je lui parlais de mes immersions pour des profils, des entrepreneurs, surtout qu'il y avait un de nos potes qui était venu à un moment d'immersion, mon pote Dany, et du coup c'était intéressant aussi d'avoir ses feedbacks, mais il me dit, tu sais, je lui disais que ça a été dur pour moi d'accepter le fait de me mettre vraiment à fond aussi dans mes immersions, en plus du cercle des solopreneurs, mais parce que, en fait, ça... Comme je disais, ce n'est pas quelque chose qui se scale parce que c'est présentiel. Et ça a été dur pour mon égo de dire, « Non, on va être limité financièrement à court terme tant qu'on n'a pas trouvé un truc qui fait que. » Et c'est OK. Mais le « c'est OK » , il m'a pris du temps. Parce que c'est encore une fois, « Waouh, je fais moins d'argent, je décrois en termes d'équipe, d'activité. » Et du coup, plus tu avances dans l'âge, plus tu te dis que... Tu dois avoir des responsabilités, de l'argent, de la visibilité. Et en étant en décroissance sur ces sujets, je me dis que j'ai moins de valeur, c'est-à-dire que je n'ai pas réussi. Et ça a été très dur à accepter, parce que mon égo foutait vraiment la merde là-dedans. Et quand justement je me suis reconnecté à mon cœur, à mon feu intérieur, à ce qui me passionne vraiment, j'y suis allé à fond. Grâce notamment à mes propres immersions, où moi je suis le premier participant de mes immersions, mon hot seat, donc le cerveau collectif, vraiment. problématique business, les gars qui étaient là m'ont vraiment dit mec vas-y à All In, t'es fait pour ça et ça m'a fait du bien. Et du coup quand je lui donnais ces nouvelles, j'ai bien aimé une phrase qu'il m'a dit Thomas, il m'a dit en fait toi t'as jamais été attiré par l'argent, toi ce que tu veux c'est vivre des expériences et si tu as fait des trucs que moi je pourrais jamais me payer, que je ne vivrais certainement jamais, tu as toujours mis finalement le temps et l'énergie sur ça, sur les expériences de vie et il dit du coup si l'argent t'a jamais motivé, tu peux pas en fait être en compétition avec des mecs qui sont driveés par l'argent. Tu vois ? Ils disent c'est impossible, tu gagneras jamais. Parce que eux ils ont le feu et ils s'arrêteront jamais parce qu'ils veulent la moula, ils veulent l'oseille. Et c'est ok, c'est un drive. Il y en a qui ont été dans la pauvreté quand ils étaient gamins, ils veulent se mettre eux et toute leur famille à l'abri. Et c'est totalement normal. Moi j'ai pas eu ça. Ce qui fait que ça a jamais été mon drive l'argent. Et je m'en suis tout de suite. Surtout que... très jeune on va dire j'ai fait des gros salaires en tant qu'employé alors que je m'y attendais pas et je suis en mode ouais ok ça m'a fait rien ça m'a rien fait je me suis rien payé de plus je suis pas comme ça ça me est en fait le fait qu'il me l'ait dit il m'a dit mais en fait ça sert à rien que tu sois tu toi au contraire double down sur un truc qui te fait du bien parce que en fait tu vas chercher à être en compétition avec un truc toi ça te motive pas et que tout le monde à la dalle et il dit que tu crois qu'il va se passer tu vas tu vas perdre à chaque fois et ça fait vachement bien qu'ils me disent ça en fait dans le mode mec te ne te trompe pas de compétition. Tu n'inscris pas au javelot quand toi tu fais du saut à la perche. C'est cool le javelot, mais il y en a qui vont lancer loin le javelot, toi tu vas juste sauter haut, c'est un autre délire et c'est très bien. Et ce qui est fou, c'est que Thomas, on ne se voit pas non plus très souvent, ce n'est pas non plus quelqu'un avec qui on échange tous les jours des messages, mais qu'il ait vu ça en fait, et tu sais, de voir aussi une forme de respect et d'admiration, je trouve ça cool, tu as trouvé ta zone de génie vraiment, et c'est vraiment fait pour toi parce que bah Ce soir-là, on faisait une soirée jeu, évidemment. Il m'a dit, mec, the goat, tu vois, de mettre l'ambiance, de fédérer, de créer les groupes, les trucs, le machin. Et c'est vrai que pour moi, c'est naturel et je prends du plaisir. Alors que lui, tu vois, il est plutôt introverti. C'est un enfer de devoir parler devant des gens, etc. Lui, c'est vraiment le gars qui est ultra fort devant son ordi, avec des strats en one-one, etc. Et le fait qu'un mec comme ça, vraiment, il voit ma zone de génie et qu'il ait de l'admiration et du respect et qu'il t'encourage, ça m'a fait beaucoup de bien en fait Si je te partage ça, c'est que justement, c'est quand encore une fois, la dernière fois, où tu n'as pas demandé un vrai feedback à quelqu'un ? Et là, je te dis souvent de demander à part de tes clients, de ta communauté, et quand tu fais quelque chose, mais va voir quelqu'un que tu admires ou que tu aimes profondément et demande-lui un feedback sur toi. Tu peux lui poser des questions comme dans quelle tâche tu me confierais où tu es sûr que j'y arriverais ? Où tu me ferais entièrement confiance ? Et quelle tâche que tu ne me confierais jamais ? Qu'est-ce que tu trouves qui est fort chez moi que, à ton avis, je ne vois pas ? Quels sont mes points faibles dont je ne me rends pas compte ? Avoir des feedbacks de la part de quelqu'un qu'on estime et qui compte, ça fait vraiment prendre compte. Il y a même des trucs qu'on se dit, mais quand ça vient aussi de façon extérieure. C'est comme si ça venait le valider. Donc si tu ne l'as pas encore fait, fais-le parce que moi, ça m'a conforté, ça m'a fait beaucoup de bien. Maintenant, on va passer sur un sujet un petit peu plus pratico-pratique, la création de contenu. Vraiment, je le vois là en ce moment, j'essaie de me réserver deux heures, les deux premières heures du matin. Je ne prends pas mon tel, je vais au café, je mets maison de tétas. Ah oui, alors d'ailleurs, pour la création de contenu, j'ai vraiment remis, même pour ma concentration opérationnelle au passage. J'avais toujours ce logiciel mais là c'était comme si il était ouvert mais j'utilisais plus Tu sais un peu comme si tu perds les bonnes habitudes Parce que ça marchait Donc tu dis bon je le fais plus Mais les ondes Theta, brain.fm Vraiment brain, le de cerveau, .fm J'ai essayé Handle C'est nul, j'aime pas Trop fancy, ça a l'air stylé mais en fait c'est le brouillon, c'est chiant J'ai payé l'abonnement l'année, j'ai dit ça dégage Alors que brain.fm c'est ludique, c'est simple, c'est minimaliste, tout ce que j'aime et ça me fucking met dans un tunnel, en fait je le redeviens avec un cerveau normal en fait, pas de TDAH, et du coup t'as l'aspect focus mais t'as l'aspect créatif, et ça ça me fait beaucoup de bien, dans mes phases de 2h du matin où justement je crée, et vraiment, la création de contenu c'est comme un sport, bizarrement quand t'en fais tous les jours, en fait en un mois tu vas avoir des progrès de ouf, et dès que tu t'arrêtes, bah tu vas t'apercevoir que ça fait un mois que tu t'es arrêté en fait. Et je suis très mauvais sur la discipline et la régularité, mais quand tu veux un résultat en fait, la création de contenu, tu te bloques 2h, et vas-y tu les remplis en fait Et au début, si vraiment t'arrives à rien faire d'autre que ça, même si le premier quart d'heure tu tournes en rond, tu sais pas quoi mettre, « Eh, y'a trop de trucs là, moi j'ai fait plein de scripts là, du coup qu'est-ce que je vais faire dans les jours à venir ? » J'ai loué plusieurs villas pour avoir un décor et être au calme parce qu'il y a un petit peu de bruit là où je suis, pour pouvoir filmer et continuer ma création de contenu comme je te disais. En fait, moi j'aime bien faire des time blocks par thématique. Tu vois, une journée j'ai fait plein de scripts, une autre... une autre thématique de script et après je vais par exemple faire une thématique de tournage sur un ou deux jours et après ça va être du montage et après ça va être aussi vu que là j'aurais bien remonté ces types de contenus prendre le temps de déléguer ce montage donc de bien briefer de trouver le monteur etc mais vraiment c'est et je le vois en fait c'est fou à quel point dans ce monde de bruit tu existes que si tu crées et créer si t'as pas de visibilité t'existe pas dans un business c'est triste Et si t'as pas de visibilité, ça peut être sur plein de choses différentes. T'as pas que de la création de contenu. Il y en a qui détestent ça, donc tu peux avoir le bon vieux bouche à oreille. T'as de la visibilité parce qu'on a parlé de toi, en fait. Et ça, c'est magnifique. Alors ça, les gens, ils adorent. C'est le plus facile, c'est le genre, parce que t'as encore... Faut faire des bonnes prestas, mais après t'as la pub. Tu te payes la visibilité que tu veux avoir mécaniquement, et ça, ça marche bien. mais il y a aussi ce côté et en plus avec l'IA c'est quand même fluidifié en termes de de création, d'avoir des idées, de formater des idées, même de montage. Si en plus tu n'aimes pas montrer ta tête, tu peux créer un avatar à ta place. En fonction de ton business, si tu n'es pas dans du coaching personnel, parce que si tu es dans un coaching personnel, c'est quand même à toi de mettre ta tête. Sinon, pourquoi je vais engager un avatar si derrière j'ai quelqu'un d'autre ? Mais si tu es dans un business de vente d'objets, un business global de services, d'un software, d'un SaaS, d'un hébergement... En fait, tu sais quoi, tu peux créer, aujourd'hui avec l'IA, tu peux créer tellement de choses, tellement de choses sans montrer ton visage. Moi je trouve ça dommage, parce que justement, moi je mise plus sur l'humain et que l'IA elle m'aide dans ma création de contenu pour générer des idées par rapport à qui je suis, ce que je fais, ce que j'aime et je lui donne des choses et ça reformate, ça filtre. Et moi après je mets ma patte, mais tu peux aller même jusque là. Et vraiment, c'est plus, si tu pensais qu'il y avait la création de contenu, Il y en avait beaucoup, à temps de voir dans six mois ou dans un an, quand n'importe qui peut créer du contenu en permanence grâce à l'IA. Et je te dis ça, c'est pas du tout pour se faire flipper, c'est de te dire, en fait, le meilleur moment pour commencer, c'était il y a deux ans, ou il y a dix ans même. Et l'autre meilleur moment, c'est maintenant. C'est comme un arbre, c'est le principe. Le meilleur moment pour planter un arbre, c'était il y a dix ans, tu voulais récolter les fruits. Mais c'est OK, en fait. Parce que plus tu te dis, j'aurais dû commencer, et bah en fait commence maintenant et moi tu vois je me suis arrêté presque pendant deux ans là je reprends Je ne fais pas des stats de fou, ce n'est pas grave, parce que je prends du plaisir et surtout j'ai la visibilité par rapport aux nouvelles valeurs que j'assume. C'est que j'ai toujours eu, mais que là j'assume vraiment. Et je le vois typiquement sur le tournage montage. En deux jours, j'avais fait 12 réels tournés, mais en fait, ça fait 15 jours que je n'ai pas tourné. J'ai préparé. Alors que je me dis, si j'avais une meilleure cadence, c'est vraiment ça le plus important. C'est vraiment la création de contenu. C'est comme tout. Et d'autant plus, je pense, dans un business, c'est vraiment un muscle. C'est vraiment un muscle qu'il faut pratiquer. Parce que c'est comme quand tu te fous à faire des tractions, à aller courir, à faire un trail. Au début, c'est un enfer. Et en fait, après, tu kiffes. Parce que quand tu crées quelque chose, tu te sens exister. Quand tu fais porter ta voix et tes valeurs et ce que tu ressens pour de vrai et de façon vulnérable, et que c'est entendu, et du coup tu vas connecter avec des gens qui connectent avec ça. C'est ça qui est beau. Et que tu vas faire fuir naturellement et repousser naturellement ceux à qui ça parle pas. Et ça, ça fait du bien. Enfin là je repars dans vraiment tout ce que j'ai toujours défendu qui est dans le personal branding, mais... Créer, moi je me sens exister, ça me fait du bien, plutôt que consommer connement et scroller à chaque fois... Tu vois ces dernières années j'étais plus en mode scrolleur, bah ça m'a plus rendu triste et insecure et anxieux et avoir l'impression d'être en retard et de pas exister que l'inverse, de me dire là j'ai posté, là j'ai mis mon coeur, j'ai mis mes valeurs, mon storytelling, ce qui m'est arrivé, je l'ai publié, ça me fait du bien, j'ai pris le temps de formater, de mettre des mots, de l'assumer, et je le partage au monde, ça fait du bien et ça change tout. Et si tu le fais pas encore, cale-toi vraiment à un rythme de création. Un blog qui fait que c'est comme ton sport préféré ou le moment où tu vas chercher tes enfants à l'école si t'en as, tu te dirais pas « Ah non, aujourd'hui non, il rentre tout seul, il a 3 ans, il se démerde. » Là c'est pareil. Ton contenu, tu sais jamais qui va impacter et qui va aider, donc sois vraiment généreux là-dessus. Chaque contenu que tu poses pas, c'est quelqu'un que t'aides pas et c'est toi aussi qui au final, tu nourris pas. Et quand tu reprendras le rythme, si tu l'as arrêté ou si t'accélères la cadence, tu verras à quel point ça fait du bien. Et maintenant ! Pour terminer ce journal de bord, évidemment, c'est le moment du fun fact. Petit fun fact qui m'est arrivé hier soir. Hier soir, on s'était dit, d'ailleurs c'était un de mes potes, mais une des personnes qui était dans mon immersion, un des participants, il y avait un des gros trucs, c'était de remettre du jeu dans notre vie. Remettre du jeu parce que le jeu, comme je t'en avais parlé, ça permet d'être beaucoup plus créatif, beaucoup plus focus, et surtout de baisser la cortisol et donc de baisser le stress dans le corps et arrêter de se prendre au sérieux. La vie, c'est... Ça c'est pas si sérieux. Nous on n'est pas encore dans des conflits en guerre, donc à un moment donné, gardons de la légèreté. Qu'est-ce qu'on a fait ? Action, réaction, petite soirée jeu. Game night. Donc il a organisé ça chez lui. Hop, on arrive, les pizzas. Évidemment, au bout d'un petit moment, je dis bon it's time. Tu vois, évidemment, Dany me regarde, il fait vas-y mec. Parce que évidemment, c'est moi qui suis de sortie pour organiser tout ça, avec ma grande voix de gueulard. Et bien, qu'est-ce qui s'est passé ? On a fait un truc classique, on a fait Time's Up. On était neuf, donc deux équipes, quatre et cinq, Time's Up. Donc Time's Up, le principe, si tu connais pas, c'est que t'as des mots que tu dois faire deviner, soit par le dire, le faire deviner à l'oral sans dire le mot, soit avec un seul mot, parce que t'as plusieurs rounds, et le troisième round, c'est par le mime. Et nous, on avait pris les catégories, vu qu'il y avait des personnes anglophones aussi, c'était animaux, objets et métiers. Et je me suis dit... Viens parce que d'habitude on finit toujours par le mime et ça m'embête parce qu'en fait c'est le plus drôle tu vois et on a commencé par le mime, on a fait l'inverse, on a fait un seul mot pour faire deviner et après on a fait tu dis autant de mots que tu veux mais tu avais le droit à qu'une seule réponse, fallait pas te planter et on arrive et premier round de mime, écoute moi en terme de mime je m'aperçois que j'ai l'impression que mes mains dessinent dans les airs j'ai l'impression qu'il y a de la couleur, il y a des formes, j'ai l'impression que mon corps il se transforme parce que Moi dans ma tête, s'il faut faire un koala, je suis un koala. Si je suis un boulanger, j'ai du pain entre les mains, je te le dis. Et je le sais parce que les gens devinent, je suis super fort. Après il n'y a pas que moi, parce que tout le monde passe, chacun son tour. Il faut faire deviner le plus de mots en une minute possible. Premier round, il y avait 40 mots. On gagne 21-19, si je ne dis pas de bêtises. Et on est là évidemment, dans toute ma grande modestie avec mes amis. Je suis vraiment... Donc le mec par exemple qui est en immersion, qui est dans l'écoute, qui est humble, qui est supportive, je suis l'opposé, voilà, vraiment l'opposé quand je suis avec mes potes en mode jeu. Je suis le, je trash talk de malade, je t'enfonce, je creuse ta tombe et je remets du gravier, vraiment. Je suis là, moi c'est ça qui m'amuse, tu vois, c'est la guerre, c'est les missiles. Et là du coup, évidemment on gagne le premier round. Autant te dire que je n'ai pas tari d'éloge sur mon équipe et sur notre victoire. Mais, évidemment, petit excès de confiance, on dit « bah, il y a trois rounds » . C'est quoi ? On dit l'équipe qui gagne, c'est l'équipe qui a le plus de points au final ou c'est par les rounds ? Et moi, je me suis dit « donc il y a trois rounds, donc t'es obligé qu'il y ait un gagnant » . Et je dis bah... Vas-y, c'est le nombre de points total ! Aïe aïe ! Là, c'est là où j'ai fait une connerie. Là j'ai fait une petite connerie. Surtout que j'ai fait la connerie. Deuxième round où faut dire, t'sais, un seul mot. Tout le monde, mon équipe, leur équipe, ça se passe bien. Moi, mais moi je sais pas dire un seul mot. Moi j'ai besoin de parler, j'ai besoin de... Tu vois, ou même faire plein de trucs, même si c'est que des gestes. Faut que je fasse plein de trucs. Un seul truc ! J'ai... Voilà. Je suis tombé sur métronome. J'ai dit musique. Ça... Non. ça les a pas tu vois j'aurais dû dire tempo un truc comme ça bref parce qu'on avait déjà fait j'ai kéblo et en gros le deuxième round on s'est pris genre 17 23 17 23 donc on avait pris un peu de retard troisième round ou là mon pote siam je le balance il dit vous êtes sûr qu'on veut compter les papiers parce que vous ça ira plus vite à mon avis allez-y boom on gagne on regagne 21 19 donc dans l'idée on a gagné tu vois on a gagné deux rounds sur trois sauf que vu que j'avais ouvert ma gueule en disant c'est le nombre total de points qui va compter, là on avait perdu. Donc j'avais méga le sum. Donc tout ça pour te dire que dans la vie, quand tu crois que tu vas gagner, assure-toi la victoire. Ne fais pas d'excès de zèle. Tu dis je le sens bien, assure la victoire, et après rigole. Parce que là du coup j'ai un petit peu mangé mon caca, c'était un petit peu chiant, mais on a bien rigolé, j'ai adoré, et c'était vraiment très drôle. Et je te dis à la semaine prochaine. Ciao.